info.referentiel-autisme.fr NewsBots - report
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info.referentiel-autisme.fr |
Thu May 1 02:45:15 CEST 2025
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A Brief History of the Science of Autism Spectrum Disorder |
24/04/2025 |
«Understanding the history of ASD may help us understand its increased prevalence KEY POINTS. As misinformation about autism increases, knowing its real history and research is pivotal.Autism was once separate, but autism now includes Aspergers and other pervasive developmental disorders.Increased prevalence of autism is due to merging diagnoses, genetic drift, and increased awarenessPoliticians and the media always like simple, curable answers to autism, but the research shows differently.»...
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psychologytoday |
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Molecules that fight infection also act on the brain, inducing anxiety or sociability |
09/04/2025 |
«Immune molecules called cytokines play important roles in the body's defense against infection, helping to control inflammation and coordinating the responses of other immune cells.
A growing body of evidence suggests that some of these molecules also influence the brain, leading to behavioral changes during illness.Two new studies from MIT and Harvard Medical School, focused on a cytokine called IL-17, now add to that evidence.
The researchers found that IL-17 acts on two distinct brain regions ...” the amygdala and the somatosensory cortex ...” to exert two divergent effects. In the amygdala, IL-17 can elicit feelings of anxiety, while in the cortex it promotes sociable behavior.»...
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scienceblog |
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Autisme : et si l'environnement prenatal comptait plus que la genetique ? |
08/04/2025 |
«Longtemps considéré comme une pathologie à forte composante génétique, l'autisme pourrait en réalité résulter d'une interaction bien plus complexe entre gènes et environnement.
C'est ce que défendent les chercheurs Yehezkel Ben-Ari, neuroscientifique de renommée mondiale, et Etienne E. Danchin, directeur de recherche émérite au CNRS, dans une étude récemment publiée dans le Journal of Medical Genetics.
Selon eux, il est urgent de réévaluer le poids des facteurs environnementaux prénatals dans l'émergence des troubles du spectre autistique (TSA) et de revoir en profondeur les stratégies de dépistage et de prise en charge.»...
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pourquoidocteur |
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Autisme: une etude evoque une perturbation du transport du calcium dans le cerveau | L'actualite |
04/04/2025 |
«MONTREAL ...” Un dérèglement du mécanisme de transport du calcium dans le cerveau pourrait être associé à l'autisme et à la déficience intellectuelle, démontrent des travaux effectués à l'Université McGill.Ces conclusions chamboulent une croyance bien implantée chez les neuroscientifiques et pourraient ouvrir la voie à de nouveaux traitements, assure-t-on.«Ã‡a change complètement notre compréhension du fonctionnement du cerveau, a dit le professeur Derek Bowie, de l'Ecole des sciences biomédicales de McGill.
On a maintenant une sorte de structure, de « framework », pour comprendre comment fonctionne l'autisme.»Le professeur Bowie et son équipe ont constaté, contrairement à ce que l'on croyait, que des structures cérébrales connues sous le nom de récepteurs AMPA peuvent transporter du calcium, et qu'elles sont même très efficaces à le faire.»...
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lactualite |
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SFARI | Simons Sleep Project Releases Data About Sleep Behaviors and Autism |
28/03/2025 |
«Disrupted sleep is a common occurrence for those with autism, and a new project is helping discover why. The Simons Foundation Autism Research Initiative (SFARI) is pleased to announce the release of data collected from its Simons Sleep Project (SSP), a study aimed at accelerating research into sleep and daily behaviors in individuals with autism.
The SSP engaged more than 100 adolescent participants with autism and their non-affected siblings and collected more than 3,000 nights' worth of data.Related ContentSFARI workshop explores sleep challenges in autism spectrum disorder"The SSP is the first-ever study to compile sleep data from adolescents with and without autism over a long period of time," says the study's senior author, Ilan Dinstein, a former senior visiting research scientist at SFARI and a professor at the Ben-Gurion University of the Negev in Israel.
"This data was collected in the participants' own homes, helping to ensure that it captures each person's typical sleep experience as closely as possible. It also employed several state-of-the-art technologies for recording critical sleep-related measures that may differ between individuals with and without autism."»...
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sfari |
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Auditory environments influence the link between Autistic traits and quality of life | Scientific Reports |
28/03/2025 |
«Abstract Autistic people often report a heightened sensitivity to sound. Yet, research into Autistic people's auditory environments and their impacts on quality of life is limited.
We conducted an online survey to understand how auditory environments influence the relationships between Autistic traits and impacts on quality of life (iQoL) due to sound sensitivity.
We also sought to determine strategies that Autistic people use to navigate auditory sensitivities in daily life.296 Autistic adults (58.4% women, 15.9% men, 24.3% non-binary+) aged 18-71Â years completed the survey comprising a questionnaire with bespoke items measuring auditory experiences in different environments (e.g., noisy vs.
quiet) and measures of Autistic traits and iQoL. Our path analyses revealed a significant indirect effect of aversive auditory environments on the relationships between all domains of Autistic traits and iQoL. Notably, the association between non-verbal social communication trait and iQoL was fully mediated by all forms of auditory environments»...
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nature |
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l’Institut Robert-Debré du Cerveau de l’Enfant voit le jour |
19/03/2025 |
«1 Communiqué de presse Lancement du 19 mars 2025 Une étape décisive pour transformer la compréhension des vulnérabilités neuro-développementales, améliorer la prévention et faciliter les apprentissages Comment le cerveau de l’enfant apprend-il ? Pourquoi certains enfants rencontrent-ils des difficultés dans leur développement affectif et cognitif ? Comment mieux prévenir et accompagner ces vulnérabilités, notamment à l’école ? Pour répondre à ces enjeux majeurs, l’Institut Robert-Debré du Cerveau de l’Enfant voit le jour.
Véritable carrefour entre recherche, médecine et éducation, ce nouvel institut a une ambition claire : révolutionner la compréhension du développement cérébral pour améliorer la trajectoire des enfants présentant un trouble du neurodéveloppement.»...
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cea |
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l’Institut Robert-Debré du Cerveau de l’Enfant voit le jour |
19/03/2025 |
«1 Communiqué de presse Lancement du 19 mars 2025 Une étape décisive pour transformer la compréhension des vulnérabilités neuro-développementales, améliorer la prévention et faciliter les apprentissages Comment le cerveau de l’enfant apprend-il ? Pourquoi certains enfants rencontrent-ils des difficultés dans leur développement affectif et cognitif ? Comment mieux prévenir et accompagner ces vulnérabilités, notamment à l’école ? Pour répondre à ces enjeux majeurs, l’Institut Robert-Debré du Cerveau de l’Enfant voit le jour.
Véritable carrefour entre recherche, médecine et éducation, ce nouvel institut a une ambition claire : révolutionner la compréhension du développement cérébral pour améliorer la trajectoire des enfants présentant un trouble du neurodéveloppement.»...
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cea |
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L'etude montre comment une alimentation difficile liee a l'autisme provoque de graves carences en vitamines |
14/03/2025 |
«Dans un récent article de revue dans la revue NutrimentsLes chercheurs aux Etats-Unis ont exploré les carences en micronutriments (autres que la carence en vitamine C isolée, bien que les cas où une carence en vitamine C se traduise par d'autres carences aient été incluses) chez les enfants atteints de trouble du spectre d'autisme (TSA).Ils ont identifié 44 cas discutés dans 27 études et ont constaté que les carences en vitamines A, B et D, ainsi que le fer et le calcium, sont les plus courantes.
La vitamine E, le zinc et l'iode (2,4% des cas) ont représenté relativement peu d'instances, bien que celles-ci se soient souvent produites aux côtés d'autres carences.»
[...]
«Dans cette étude, les chercheurs ont passé en revue la littérature médicale pour les cas de carence en micronutriments chez les enfants américains atteints de TSA, identifiant 27 articles qui ont documenté 44 cas.
Ils se sont concentrés sur les cas où les tests de laboratoire ont confirmé des niveaux de nutriments inadéquats. Pour se concentrer sur les carences causées par une alimentation sélective, ils ont exclu les cas impliquant des conditions médicales telles que la maladie ou le cancer de Crohn, la pauvreté, les troubles de l'alimentation ou les interactions médicamenteuses. Ils ont également exclu les cas où la seule carence était la vitamine C.
»...
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ma-clinique |
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Are babies secret lip readers? Study uncovers surprising early language skills |
07/03/2025 |
«Babies are like little detectives, constantly piecing together clues about the world around them. If you've ever noticed your baby staring at you while you talk, it's because they're picking up on more than just sounds - they're learning how those sounds are made.
Our recent study, published in Developmental Science, shows this amazing process starts as early as four months old, shaking up the old belief that babies learn these patterns only after tuning in to their native language between 6 and 12 months of age.It also gives us an earlier window to help children who might be at risk of speech or language delays.»...
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psypost |
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Study reveals three distinct mechanisms of language comprehension |
02/03/2025 |
«A recent study published in npj Science of Learning has shed light on how humans comprehend language, revealing that our ability to understand what is said to us is not a single skill, but rather relies on three separate mental mechanisms.
Researchers analyzed language abilities in a large group of individuals with language difficulties and found that these abilities naturally group into three distinct categories.
This suggests that our brains use at least three different approaches to process and make sense of language, ranging from basic commands to complex sentences.»
[...]
«While we know language is central to our intelligence, the specific brain processes that enable us to understand language have remained a puzzle. Previous research hinted at the existence of different language comprehension mechanisms, and a study focusing on autistic individuals identified three potential mechanisms.
The current study aimed to confirm and expand upon these earlier findings by examining a more diverse group of people struggling with language. The researchers wanted to see if the same three mechanisms would emerge in a broader population and to explore how these mechanisms might relate to known brain functions. They were particularly interested in understanding if these language mechanisms could be linked to different types of mental processes, such as imagining and combining ideas in our minds.
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psypost |
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Autisme | Une vitamine intrigue les chercheurs |
28/02/2025 |
«La forme métabolisée de l’acide folique fait rêver les parents d’enfants atteints d’un trouble sur le spectre de l’autisme. Leur espoir est alimenté par les travaux d’un médecin américain, le neurologue pédiatrique Richard Frye, qui étudie le leucovorine, un médicament générique dérivé de l’acide folique qui est administré aux gens qui, pour une raison ou pour une autre, ne sont pas en mesure de le métaboliser.»
[...]
« L’acide folique est surtout connu pour être prescrit aux femmes enceintes afin d’assurer un développement normal du tube neural.
Le docteur Frye et d’autres spécialistes croient que certains problèmes neurologiques associés à l’autisme surviennent parce que le patient est incapable de transformer l’acide folique en acide folinique et que leur cerveau en est donc privé.
L’administration de leucovorine contournerait le problème en fournissant au patient l’acide folinique qu’il est incapable de produire seul.
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lapresse |
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Decret n° 2025-137 du 14 fevrier 2025 relatif a l'intervention des accompagnants des eleves en situation de handicap sur la pause meridienne - Legifrance |
16/02/2025 |
«Publics concernés : accompagnants des élèves en situation de handicap (AESH) exerçant leurs fonctions sur le temps de la pause méridienne.Objet : le décret précise que lorsqu'ils exercent pendant le temps de pause méridienne, les accompagnants des élèves en situation de handicap se conforment aux consignes du responsable du service de restauration ou des activités périscolaires ayant pour objet la sécurité des élèves et le bon fonctionnement du service.
L'Etat continue d'assumer toutes les charges et obligations inhérentes à sa qualité d'employeur.Entrée en vigueur : le décret entre en vigueur le lendemain de la publication.Application : le décret est pris en application de la loi n° 2024-475 du 27 mai 2024 visant la prise en charge par l'Etat de l'accompagnement humain des élèves en situation de handicap durant le temps de pause méridienne.Le Premier ministre,Sur le rapport de la ministre d'Etat, ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche,Vu le code de l'éducation, notamment son article L. 917-1 ;Vu le code général de la fonction publique ;Vu le décret n° 2014-724 du 27 juin 2014 modifié relatif aux conditions de recrutement et d'emploi des accompagnants des élèves en situation de handicap ;Vu l'avis du comité social d'administration ministériel de l'éducation nationale en date du 21 janvier 2025,Décrète :Article 1A l'article 1er du décret du 27 juin 2014 susvisé, sont ajoutés deux alinéas ainsi rédigés :« Lorsqu'ils exercent pendant le temps de pause méridienne, les accompagnants des élèves en situation de handicap se conforment aux consignes du responsable du service de restauration ou des activités périscolaires ayant pour objet la sécurité des élèves et le bon fonctionnement du service.
Celles-ci ne peuvent avoir pour objet de les investir d'une autre mission que celle de l'accompagnement des élèves en situation de handicap désignés par les services de l'Etat.« Lorsque les accompagnants des élèves en situation de handicap exercent leurs fonctions sur le temps de la pause méridienne, l'Etat continue d'assumer toutes les charges et obligations inhérentes à sa qualité d'employeur.
»»...
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legifrance.gouv |
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Intervention technology of aural perception controllable headset for children with autism spectrum disorder | Scientific Reports |
13/02/2025 |
«AbstractThis study explored aural perception in children with autism using an aural perception test and electrophysiological responses to sound stimuli. The results demonstrated unique responses to sound stimuli at different sound intensity levels, emphasising the need for customised noise-control strategies targeting specific troublesome frequencies.
To address this issue, headset intervention technology with a hybrid active noise control system integrated with an aural perception controlling function was developed for children with autism with distinct auditory perception based on their psychoacoustic characteristics.
The results showed that the noise-control strategy was effective in mitigating unpleasant feelings and reducing the loudness and sharpness of daily stimuli. The proposed aural perception controllable headset can minimise noise, leading to a noticeable reduction in the magnitude of the auditory evoked potential at the midline central brain region for children with autism exposed to certain sounds, such as heavy vehicles and thunder, providing a more pleasant aural perception.
A diminished auditory evoked potential response was associated with lower annoyance and pleasant aural perception. This study suggests that the proposed aural-perception-based noise-control method has the potential to alleviate behaviours related to auditory hyperreactivity in children with autism.»...
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nature |
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Video game diagnoses autism in children | heise online |
31/01/2025 |
«The CAMI (Computerized Assessment of Motor Imitation) game can detect differences in motor imitation skills using motion tracking technology and thus identify autism. It was developed by researchers at the Kennedy Krieger Institute and Nottingham Trent University.The success rate in differentiating between children with autism and children who were classified as neurologically normal was 80 percent.
Children with ADHD or autism could be distinguished from each other with a 70 percent probability.»...
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heise |
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Autism researchers shed light on how α2δ protein mutations affect neurodevelopmental processes |
29/01/2025 |
«A study in the journal Pharmaceuticals has uncovered how specific genetic mutations in α2δ-1 and α2δ-3 proteins linked to autism spectrum disorders (ASD) alter neuronal functionality.
These mutations significantly reduce the proteins' membrane expression and synaptic targeting but do not impair calcium channel activity or trans-synaptic signaling.»
[...]
« The results underscore the need for new experimental tools and might offer new angles for developing targeted treatments addressing the complex biology of ASD.
»...
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medicalxpress |
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Vitamin A Deficiency in Children With Autism Spectrum Disorder | Cureus |
08/01/2025 |
«Abstract Vitamin A deficiency (VAD) can manifest as xerophthalmia, a spectrum of eye conditions ranging from night blindness to severe outcomes like keratomalacia and corneal scarring.We report two cases of a seven-year-old girl and a 13-year-old boy in Japan with xerophthalmia caused by VAD associated with autism spectrum disorder (ASD). The first case demonstrates severe complications of prolonged VAD, including optic disc edema and irreversible corneal damage, which then results in blindness.
The second case identified and treated earlier in the stage of corneal xerosis shows favorable prognosis. These two cases illustrate the risk of VAD among children with ASD and the importance of timely intervention to prevent permanent vision loss.Because of the prevalence of ASD, awareness of VAD as a potential health problem needs to be raised.
Early detection, proper treatment, and dietary guidance are crucial in managing VAD. Ophthalmologists must be vigilant for signs of VAD in children with ASD, including difficulty opening eyelids, to prevent irreversible visual loss.»...
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cureus |
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Breakthrough study reveals bumetanide treatme | EurekAlert! |
30/12/2024 |
«In a comprehensive Genomic Press Interview, researchers from the University of Texas Health Science Center at San Antonio and Hirosaki University have uncovered critical new insights into the developmental trajectory of social behaviors in fragile X syndrome, the leading genetic cause of autism spectrum disorder.The study, published in Genomic Psychiatry, demonstrates that treating pregnant mice with bumetanide - a drug that regulates chloride levels in neurons - can restore normal neonatal social communication patterns in newborn pups carrying the fragile X mutation.
However, the same treatment unexpectedly reduced post-pubertal social interaction in both normal and fragile X mice.»...
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eurekalert |
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Genetic testing changes course of care in children with neurodevelopmental conditions | ScienceDaily |
20/12/2024 |
«Adding genetic testing to the evaluation of pediatric patients with neurodevelopmental disorders (NDD) resulted in more individualized care, including changes in medication, referrals to clinical trials or specialists, and surveillance for potential medical issues, according to a new UCLA Health study.»...
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sciencedaily |
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Une etude revele un lien genetique jusqu'alors inconnu avec les troubles du spectre autistique |
20/12/2024 |
«Dans l'étude publiée aujourd'hui, des chercheurs de l'Hospital for Sick Children (SickKids) au Canada et de l'Istituto Giannina Gaslini en Italie ont testé cliniquement 10 personnes atteintes de TSA provenant de 8 familles différentes et ont découvert que des variantes dans le DDX53 Le gène était hérité de la mère et présent chez ces individus.
Notamment, la majorité étaient des hommes, soulignant le rôle potentiel du gène dans la prédominance masculine observée dans les TSA.« En repérant DDX53 en tant qu'acteur clé, en particulier chez les hommes, nous pouvons mieux comprendre les mécanismes biologiques en jeu et améliorer l'exactitude du diagnostic pour les individus et leurs familles », déclare le Dr Stephen Scherer, auteur principal, scientifique principal, génétique et biologie du génome et chef de la recherche à SickKids.
et directeur du McLaughlin Centre de l'Université de Toronto.»...
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ma-clinique |
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Comparative effectiveness of physical exercise interventions on sociability and communication in children and adolescents with autism: a systematic review and network meta-analysis |
30/11/2024 |
«Abstract ObjectiveTo investigate the efficacy of physical activity as a crucial intervention for Autism spectrum disorder (ASD) in clinical settings, we conducted a network meta-analysis to evaluate the effect of various exercise interventions on sociability and communication in individuals with ASD. Our aim was to identify the exercise modalities most conducive to enhancing these essential skills.»
[...]
«Conclusion
Physical exercise plays a significant role in alleviating symptoms and enhancing sociability and communication in individuals with ASD. Our findings highlight that sports games, combination therapy, team ball sports, and outdoor exercise are particularly effective in improving sociability. In terms of communication skills, combination therapy, sports games, team ball sports, outdoor exercise, and mind-body exercise demonstrated the most substantial benefits. These results provide a robust foundation for future interventions aimed at improving the quality of life for individuals with ASD
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bmcpsychology.biomedcentral |
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Appel a candidatures pour les comites et les membres du conseil d'administration de l'EMA - Commission europeenne |
27/11/2024 |
«Appels ouverts Représentants des associations de patients et des cliniciens: Réouverture de l'appel à manifestation d'intérêt pour le comité des thérapies innovantes de l'EMA (EMA CAT) La Commission rouvre la procédure de sélection des représentants des associations de patients et des cliniciens au sein du comité des thérapies innovantes de l'Agence européenne des médicaments, initialement lancée le 12 aout 2024. Cette réouverture est nécessaire car le nombre de candidats éligibles à la suite de l'évaluation initiale était insuffisant pour pourvoir les postes disponibles.
Veuillez noter que les conditions de l'appel initial restent inchangées. Les candidats qui ont déjà postulé seront considérés sans qu'il soit nécessaire de les soumettre à nouveau.
Pour plus de détails, veuillez vous référer au point 7 de l'appel à manifestation d'intérêt.»...
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health.ec.europa |
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Dopamine and serotonin balance reward learning in opposing ways |
26/11/2024 |
«If you've heard of two of the brain's chemical neurotransmitters, it's probably dopamine and serotonin. Never mind that glutamate and GABA do most of the work -; it's the thrill of dopamine as the "pleasure chemical" and serotonin as tender mood-stabilizer that attract all the headlines. Of course, the headlines mostly get it wrong. Dopamine's role in shaping behavior goes way beyond simple concepts like "pleasure" or even "reward". And the fact that it takes weeks or months for serotonin-boosting SSRI antidepressants to work suggests that it's not actually the immediate jump in serotonin levels that drum out the doldrums of depression, but some still-mysterious shift in downstream brain circuits.A new study from Stanford's Wu Tsai Neurosciences Institute reveals yet another new facet of these mood-managing molecules.
The research, published on-line November 25, 2024 in Nature, demonstrates for the first time exactly how dopamine and serotonin work together -; or more precisely, in opposition -to shape our behavior. »...
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news-medical |
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Dopamine and serotonin balance reward learning in opposing ways |
26/11/2024 |
«If you've heard of two of the brain's chemical neurotransmitters, it's probably dopamine and serotonin. Never mind that glutamate and GABA do most of the work -; it's the thrill of dopamine as the "pleasure chemical" and serotonin as tender mood-stabilizer that attract all the headlines. Of course, the headlines mostly get it wrong. Dopamine's role in shaping behavior goes way beyond simple concepts like "pleasure" or even "reward". And the fact that it takes weeks or months for serotonin-boosting SSRI antidepressants to work suggests that it's not actually the immediate jump in serotonin levels that drum out the doldrums of depression, but some still-mysterious shift in downstream brain circuits.A new study from Stanford's Wu Tsai Neurosciences Institute reveals yet another new facet of these mood-managing molecules.
The research, published on-line November 25, 2024 in Nature, demonstrates for the first time exactly how dopamine and serotonin work together -; or more precisely, in opposition -to shape our behavior. »...
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news-medical |
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Depenses sociales et medico-sociales : les departements au pied du mur |
24/10/2024 |
«Soutien aux personnes en situation de handicapLa dépense nette en faveur des personnes en situation de handicap a atteint 9,29 milliards d'euros l'an dernier. L'hébergement et l'accueil de jour ont représenté 62 % du total, la prestation de compensation du handicap (PCH) 32 % et les autres dépenses 6 %. Cette dépense a, elle aussi, à nouveau augmenté de manière importante, indique l'ODAS : 580 millions d'euros, soit + 6,7 % en dépense nette, et 47 millions d'euros en charge nette, soit + 5,9 % après compensation par la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA). L'essentiel de la progression des dépenses tient à la PCH qui a progressé de 10,5 % (280 millions d'euros), après déjà une hausse de 11,8 % en 2022. Le relèvement de 13,8 % du concours de la CNSA conduit à une augmentation un peu plus faible de la charge nette : 9,1 %. Si la moitié de l'augmentation de la dépense nette s'explique par l'évolution du cout de la prestation, l'autre moitié provient de l'évolution du nombre de ses bénéficiaires, en progression continue depuis sa création en 2006, complètent les auteurs de l'enquête.»...
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weka |
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Targeting the circadian modulation: novel therapeutic approaches in the management of ASD |
14/10/2024 |
«Circadian dysfunction is prevalent in neurodevelopmental disorders, particularly in autism spectrum disorder (ASD). A plethora of empirical studies demonstrate a strong correlation between ASD and circadian disruption, suggesting that modulation of circadian rhythms and the clocks could yield satisfactory advancements.
Research indicates that circadian dysfunction associated with abnormal neurodevelopmental phenotypes in ASD individuals, potentially contribute to synapse plasticity disruption.
Therefore, targeting circadian rhythms may emerge as a key therapeutic approach. In this study, we did a brief review of the mammalian circadian clock, and the correlation between the circadian mechanism and the pathology of ASD at multiple levels.
In addition, we highlight that circadian is the target or modulator to participate in the therapeutic approaches in the management of ASD, such as phototherapy, melatonin, modulating circadian components, natural compounds, and chronotherapies.
A deep understanding of the circadian clock's regulatory role in the neurodevelopmental phenotypes in ASD may inspire novel strategies for improving ASD treatment.»...
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frontiersin |
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Education nationale : l'Etat condamne a verser 1360 euros a une famille pour des professeurs absents et non remplaces |
20/09/2024 |
«C'est dix euros par heure de cours non dispensée, a calculé le journal Le Parisien, qui révèle que l'Etat a été condamné cette semaine à verser 1360 euros à une famille parisienne, pour des professeurs absents et non remplacés pendant l'année scolaire 2021-2022. En tout, la fille de Kate, qui se trouvait alors inscrite en 4e au collège Marie-Curie de Paris (XVIIe) a perdu 136 heures de cours sur l'année.
Assez donc pour une condamnation de l'Etat français, les magistrats du tribunal administratif de Paris ont jugé que ce jugement «résulte « résulte du volume élevé d'heures de cours non dispensés que Kate a nécessairement accusé un retard dans ses enseignements ». C'est presque 15% du volume d'heures totale de cours sur l'année.»...
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lavoixdunord |
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Depakine : Sanofi condamne a indemniser la lanceuse d'alerte Marine Martin apres douze ans de procedure |
10/09/2024 |
«Le tribunal judiciaire de Paris a condamné le laboratoire à verser à cette mère et à ses deux enfants près de 285 000 euros d'indemnités pour «défaut d'information » sur les risques de malformation et neurodéveloppementaux causés par le produit « défectueux » commercialisé par le laboratoire.»...
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lemonde |
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Targeting the Circadian Modulation: Novel Therapeutic Approaches in the Management of ASD |
09/09/2024 |
«Circadian dysfunction is prevalent in neurodevelopmental disorders, particularly in autism spectrum disorder (ASD). A plethora of empirical studies demonstrate a strong correlation between ASD and circadian disruption, suggesting that modulation of circadian rhythms and the clocks could yield satisfactory advancements.
Research indicates that circadian dysfunction associated with abnormal neurodevelopmental phenotypes in ASD individuals, potentially contribute to synapse plasticity disruption.
Therefore, targeting circadian rhythms may emerge as a key therapeutic approach. In this study, we did a brief review of the mammalian circadian clock, and the correlation between the circadian mechanism and the pathology of ASD at multiple levels.
In addition, we highlight that circadian is the target or modulator to participate in the therapeutic approaches in the management of ASD, such as phototherapy, melatonin, modulating circadian components, natural compounds, and chronotherapies.
A deep understanding of the circadian clock's regulatory role in the neurodevelopmental phenotypes in ASD may inspire novel strategies for improving ASD treatment.»...
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frontiersin |
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Early Brain Changes May Trigger Autism - Neuroscience News |
23/08/2024 |
«Summary: Researchers have uncovered critical insights into how autism spectrum disorders (ASD) may develop at early stages of brain formation. Using mouse models, the team discovered that environmental factors causing autism-like symptoms are linked to early changes in neurotransmitter activity in the brain.Specifically, they observed that a temporary switch from the inhibitory neurotransmitter GABA to the excitatory neurotransmitter glutamate in neonatal mice could lead to the development of ASD-like behaviors, such as repetitive actions and reduced social interaction, later in life.
By intervening during this early stage and reversing the neurotransmitter switch, the researchers were able to prevent the onset of these behaviors in adulthood.»...
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neurosciencenews |
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Early Brain Changes May Trigger Autism - Neuroscience News |
23/08/2024 |
«Summary: Researchers have uncovered critical insights into how autism spectrum disorders (ASD) may develop at early stages of brain formation. Using mouse models, the team discovered that environmental factors causing autism-like symptoms are linked to early changes in neurotransmitter activity in the brain.Specifically, they observed that a temporary switch from the inhibitory neurotransmitter GABA to the excitatory neurotransmitter glutamate in neonatal mice could lead to the development of ASD-like behaviors, such as repetitive actions and reduced social interaction, later in life.
By intervening during this early stage and reversing the neurotransmitter switch, the researchers were able to prevent the onset of these behaviors in adulthood.»...
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neurosciencenews |
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Dysregulation of parvalbumin expression and neurotransmitter imbalance in the auditory cortex of the BTBR mouse model of autism spectrum disorder. |
12/08/2024 |
«Individuals diagnosed with autism spectrum disorder (ASD) frequently exhibit abnormalities in auditory perception, a phenomenon potentially attributed to alterations in the excitatory and inhibitory cells constituting cortical circuits.
However, the exact genetic factors and cell types affected by ASD remain unclear. The present study investigated the balance of excitatory and inhibitory activity in the auditory cortex using BTBR T Itpr3/J (BTBR) mice, a well-established model for autism research.
Our investigation unveiled a reduction in parvalbumin-positive (PV) neurons within the AC of BTBR mice. Remarkably, in vivo magnetic resonance spectroscopy studies disclosed an elevation in glutamate (Glu) levels alongside a decrement in γ-aminobutyric acid (GABA) levels in this cortical region.
Additionally, transcriptomic analysis of the mouse model facilitated the classification of several ASD-associated genes based on their cellular function and pathways. By comparing autism risk genes with RNA transcriptome sequencing data from the ASD mouse model, we identified the recurrent target gene Scn1a and performed validation.
Intriguingly, we uncovered the specific expression of Scn1a in cortical inhibitory neurons. These findings hold significant value for understanding the underlying neural mechanisms of abnormal sensory perception in animal models of ASD.»...
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physiciansweekly |
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Dysregulation of parvalbumin expression and neurotransmitter imbalance in the auditory cortex of the BTBR mouse model of autism spectrum disorder. |
12/08/2024 |
«Individuals diagnosed with autism spectrum disorder (ASD) frequently exhibit abnormalities in auditory perception, a phenomenon potentially attributed to alterations in the excitatory and inhibitory cells constituting cortical circuits.
However, the exact genetic factors and cell types affected by ASD remain unclear. The present study investigated the balance of excitatory and inhibitory activity in the auditory cortex using BTBR T Itpr3/J (BTBR) mice, a well-established model for autism research.
Our investigation unveiled a reduction in parvalbumin-positive (PV) neurons within the AC of BTBR mice. Remarkably, in vivo magnetic resonance spectroscopy studies disclosed an elevation in glutamate (Glu) levels alongside a decrement in γ-aminobutyric acid (GABA) levels in this cortical region.
Additionally, transcriptomic analysis of the mouse model facilitated the classification of several ASD-associated genes based on their cellular function and pathways. By comparing autism risk genes with RNA transcriptome sequencing data from the ASD mouse model, we identified the recurrent target gene Scn1a and performed validation.
Intriguingly, we uncovered the specific expression of Scn1a in cortical inhibitory neurons. These findings hold significant value for understanding the underlying neural mechanisms of abnormal sensory perception in animal models of ASD.»...
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physiciansweekly |
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A study finds that autistic children do not perceive concepts through language |
26/07/2024 |
«For the first time the Lindy Lab group has explored the effect of linguistic labelling in autistic children. The results of the study suggest that autistic children do not perceive concepts through language, so they have difficulty inferring that two objects given the same name form a category.
In this respect, the need for further research into the relationship between language and concepts in the autistic mind is stressed."The autistic child population does not expect two objects, simply because they merely share a name, to have common properties or are the same type of object.
They are not sensitive to categorisation through the language they are being offered," said AgustÃn Vicente, Ikerbasque Research Professor and researcher in the UPV/EHU's Lindy Lab group.
"If the autistic population displays difficulties in deducing that two objects with the same name form a category, they may tend to generate concepts that do not coincide with those of the rest of the children and this may lead to difficulties in communication, among other things," added Vicente.»...
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alphagalileo |
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A study finds that autistic children do not perceive concepts through language |
26/07/2024 |
«For the first time the Lindy Lab group has explored the effect of linguistic labelling in autistic children. The results of the study suggest that autistic children do not perceive concepts through language, so they have difficulty inferring that two objects given the same name form a category.
In this respect, the need for further research into the relationship between language and concepts in the autistic mind is stressed."The autistic child population does not expect two objects, simply because they merely share a name, to have common properties or are the same type of object.
They are not sensitive to categorisation through the language they are being offered," said AgustÃn Vicente, Ikerbasque Research Professor and researcher in the UPV/EHU's Lindy Lab group.
"If the autistic population displays difficulties in deducing that two objects with the same name form a category, they may tend to generate concepts that do not coincide with those of the rest of the children and this may lead to difficulties in communication, among other things," added Vicente.»...
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alphagalileo |
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Emploi direct : la PCH ne sert pas seulement a payer les salaires |
15/07/2024 |
«Fin juin, la Direction générale de la cohésion sociale a envoyé un courrier à tous les conseils départementaux. Elle leur précise que le tarif PCH emploi direct ne prend pas seulement en compte le salaire brut, les congés payés et toutes les cotisations patronales.
Elle y liste toutes les autres charges que cette prestation a vocation à couvrir, des majorations de salaire les jours fériés aux indemnités de fin de CDD. Un rappel au droit qui sonne comme une avancée pour les particuliers employeurs.»
[...]
« Une liste des charges à couvrir par la PCH
Fin juin, la Direction générale de la cohésion sociale (DGCS) a envoyé un courrier à tous les CD. Elle précise que le tarif PCH ne prend pas seulement en compte le salaire brut, les congés payés et toutes les cotisations patronales. Et y liste toutes les autres charges qu’elle a vocation à couvrir :
– les majorations de salaires découlant de la convention collective, notamment pour heures supplémentaires, jours fériés et repos hebdomadaires :
– les frais liés à la surveillance médicale des salariés,
– la participation aux abonnements de transport public ou de service public de location de vélo,
– le supplément de rémunération au titre du temps de conduite du salarié pour les besoins de ses activités professionnelles,
– les indemnités kilométriques versées au salarié,
– et le versement des indemnités de fin de contrat à durée déterminée.
»...
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faire-face |
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Emploi direct : la PCH ne sert pas seulement a payer les salaires |
15/07/2024 |
«Fin juin, la Direction générale de la cohésion sociale a envoyé un courrier à tous les conseils départementaux. Elle leur précise que le tarif PCH emploi direct ne prend pas seulement en compte le salaire brut, les congés payés et toutes les cotisations patronales.
Elle y liste toutes les autres charges que cette prestation a vocation à couvrir, des majorations de salaire les jours fériés aux indemnités de fin de CDD. Un rappel au droit qui sonne comme une avancée pour les particuliers employeurs.»
[...]
« Une liste des charges à couvrir par la PCH
Fin juin, la Direction générale de la cohésion sociale (DGCS) a envoyé un courrier à tous les CD. Elle précise que le tarif PCH ne prend pas seulement en compte le salaire brut, les congés payés et toutes les cotisations patronales. Et y liste toutes les autres charges qu’elle a vocation à couvrir :
– les majorations de salaires découlant de la convention collective, notamment pour heures supplémentaires, jours fériés et repos hebdomadaires :
– les frais liés à la surveillance médicale des salariés,
– la participation aux abonnements de transport public ou de service public de location de vélo,
– le supplément de rémunération au titre du temps de conduite du salarié pour les besoins de ses activités professionnelles,
– les indemnités kilométriques versées au salarié,
– et le versement des indemnités de fin de contrat à durée déterminée.
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faire-face |
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Youth mental health is improving in Utah, survey finds |
12/07/2024 |
«SALT LAKE CITY Youth mental health is improving, the further away we get from the pandemic.That's according to new research from the Utah Department of Health and Human Services. The number of youth reporting depression is not small.
But it is lower than it was the last time they asked.The latest Youth Risk Behavior Survey found that 37% of the respondents reported feeling so sad or hopeless that they changed their usual activities.
It was more than 41% when students were surveyed in 2021.Utah officials said the number of teens feeling hopelessness spiked about six months after the pandemic started. They said that timing is consistent with societal trauma.»...
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kslnewsradio |
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Youth mental health is improving in Utah, survey finds |
12/07/2024 |
«SALT LAKE CITY Youth mental health is improving, the further away we get from the pandemic.That's according to new research from the Utah Department of Health and Human Services. The number of youth reporting depression is not small.
But it is lower than it was the last time they asked.The latest Youth Risk Behavior Survey found that 37% of the respondents reported feeling so sad or hopeless that they changed their usual activities.
It was more than 41% when students were surveyed in 2021.Utah officials said the number of teens feeling hopelessness spiked about six months after the pandemic started. They said that timing is consistent with societal trauma.»...
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kslnewsradio |
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Erroneous predictive coding across brain hierarchies in a non-human primate model of autism spectrum disorder | Communications Biology |
12/07/2024 |
«Abstract In autism spectrum disorder (ASD), atypical sensory experiences are often associated with irregularities in predictive coding, which proposes that the brain creates hierarchical sensory models via a bidirectional process of predictions and prediction errors.
However, it remains unclear how these irregularities manifest across different functional hierarchies in the brain. To address this, we study a marmoset model of ASD induced by valproic acid (VPA) treatment.
We record high-density electrocorticography (ECoG) during an auditory task with two layers of temporal control, and applied a quantitative model to quantify the integrity of predictive coding across two distinct hierarchies.
Our results demonstrate a persistent pattern of sensory hypersensitivity and unstable predictions across two brain hierarchies in VPA-treated animals, and reveal the associated spatio-spectro-temporal neural signatures.
Despite the regular occurrence of imprecise predictions in VPA-treated animals, we observe diverse configurations of underestimation or overestimation of sensory regularities within the hierarchies.
Our results demonstrate the coexistence of the two primary Bayesian accounts of ASD: overly-precise sensory observations and weak prior beliefs, and offer a potential multi-layered biomarker for ASD, which could enhance our understanding of its diverse symptoms.»...
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nature |
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Erroneous predictive coding across brain hierarchies in a non-human primate model of autism spectrum disorder | Communications Biology |
12/07/2024 |
«Abstract In autism spectrum disorder (ASD), atypical sensory experiences are often associated with irregularities in predictive coding, which proposes that the brain creates hierarchical sensory models via a bidirectional process of predictions and prediction errors.
However, it remains unclear how these irregularities manifest across different functional hierarchies in the brain. To address this, we study a marmoset model of ASD induced by valproic acid (VPA) treatment.
We record high-density electrocorticography (ECoG) during an auditory task with two layers of temporal control, and applied a quantitative model to quantify the integrity of predictive coding across two distinct hierarchies.
Our results demonstrate a persistent pattern of sensory hypersensitivity and unstable predictions across two brain hierarchies in VPA-treated animals, and reveal the associated spatio-spectro-temporal neural signatures.
Despite the regular occurrence of imprecise predictions in VPA-treated animals, we observe diverse configurations of underestimation or overestimation of sensory regularities within the hierarchies.
Our results demonstrate the coexistence of the two primary Bayesian accounts of ASD: overly-precise sensory observations and weak prior beliefs, and offer a potential multi-layered biomarker for ASD, which could enhance our understanding of its diverse symptoms.»...
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nature |
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STALICLA publishes pioneering phase 1b data on precision treatment for autism spectrum disorder in Biomedicines |
27/06/2024 |
«Geneva, Switzerland - June 27, 2024 - STALICLA SA, a Swiss neuro precision biotech company dedicated to developing precision medicine-based treatments for neuropsychiatric and neurodevelopmental disorders, today announced the publication of a landmark phase 1b study with STP1, a novel combination therapy tailored for the treatment of a clinically and biologically defined subgroup of patients with autism spectrum disorder (ASD), named ASD Phenotype 1 (ASD-Phen1).The results of the study were published in the peer-reviewed journal Biomedicines, in an article titled "Safety, Tolerability, and EEG-Based Target Engagement of STP1 (PDE3,4 Inhibitor and NKCC1 Antagonist) in a Randomized Clinical Trial in a Subgroup of Patients with ASD".Lynn Durham, CEO of STALICLA, highlighted: "This study marks a significant milestone in the advancement of precision medicine for ASD. It is a first-of-its-kind stratification-based approach for clinical development in neurodevelopmental disorders, demonstrating the potential of precision medicine in ASD."The randomized, double-blind, placebo-controlled phase 1b clinical trial evaluated the safety and tolerability of STP1, a combination of ibudilast and bumetanide, in ASD-Phen1 patients.
The clinical trial (registered at clinicaltrials.gov NCT04644003), involved two 14-day treatment phases of ASD-Phen1 patients receiving STP1 or placebo.»...
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tmcnet |
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STALICLA publishes pioneering phase 1b data on precision treatment for autism spectrum disorder in Biomedicines |
27/06/2024 |
«Geneva, Switzerland - June 27, 2024 - STALICLA SA, a Swiss neuro precision biotech company dedicated to developing precision medicine-based treatments for neuropsychiatric and neurodevelopmental disorders, today announced the publication of a landmark phase 1b study with STP1, a novel combination therapy tailored for the treatment of a clinically and biologically defined subgroup of patients with autism spectrum disorder (ASD), named ASD Phenotype 1 (ASD-Phen1).The results of the study were published in the peer-reviewed journal Biomedicines, in an article titled "Safety, Tolerability, and EEG-Based Target Engagement of STP1 (PDE3,4 Inhibitor and NKCC1 Antagonist) in a Randomized Clinical Trial in a Subgroup of Patients with ASD".Lynn Durham, CEO of STALICLA, highlighted: "This study marks a significant milestone in the advancement of precision medicine for ASD. It is a first-of-its-kind stratification-based approach for clinical development in neurodevelopmental disorders, demonstrating the potential of precision medicine in ASD."The randomized, double-blind, placebo-controlled phase 1b clinical trial evaluated the safety and tolerability of STP1, a combination of ibudilast and bumetanide, in ASD-Phen1 patients.
The clinical trial (registered at clinicaltrials.gov NCT04644003), involved two 14-day treatment phases of ASD-Phen1 patients receiving STP1 or placebo.»...
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tmcnet |
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Research: More Intervention May Not Benefit Autistic Children | Mirage News |
25/06/2024 |
«When a child is diagnosed with autism, healthcare professionals often recommend intensive interventions, which can amount to 20-40 hours per week to support their development.However, a new study led by Micheal Sandbank, PhD, assistant professor in the Department of Health Sciences at the UNC School of Medicine, and other researchers across the United States has found that more does not necessarily mean better.»...
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miragenews |
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Research: More Intervention May Not Benefit Autistic Children | Mirage News |
25/06/2024 |
«When a child is diagnosed with autism, healthcare professionals often recommend intensive interventions, which can amount to 20-40 hours per week to support their development.However, a new study led by Micheal Sandbank, PhD, assistant professor in the Department of Health Sciences at the UNC School of Medicine, and other researchers across the United States has found that more does not necessarily mean better.»...
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miragenews |
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Protein-based homing device precisely delivers drugs to target neurons |
21/06/2024 |
«Biomedical engineers at Duke University have developed a method to deliver drugs to specific types of neurons throughout the brain. This new approach, which was tested in mice, was 100 times more precise than existing methods and enables researchers to more effectively study neurological diseases and explore efficient, targeted drug treatments.»...
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medicalxpress |
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L'Etat condamne pour des heures de cours non remplacees : « Ils nous ont contraints d'en arriver la » - Le Parisien |
19/05/2024 |
«A la veille du Congrès national de la fédération des conseils de parents d'élèves (FCPE), le président de la section des Hauts-de-Seine revient sur la condamnation inédite de l'Etat par le tribunal administratif de Cergy-Pontoise pour «Â carence dans l'organisation du service public de l'enseignement ». Les familles de cinq collégiens de Villeneuve-la-Garenne devraient être indemnisées.»...
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leparisien |
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Enrichment of a subset of Neanderthal polymorphisms in autistic probands and siblings | Molecular Psychiatry |
18/05/2024 |
«AbstractHomo sapiens and Neanderthals underwent hybridization during the Middle/Upper Paleolithic age, culminating in retention of small amounts of Neanderthal-derived DNA in the modern human genome.
In the current study, we address the potential roles Neanderthal single nucleotide polymorphisms (SNP) may be playing in autism susceptibility in samples of black non-Hispanic, white Hispanic, and white non-Hispanic people using data from the Simons Foundation Powering Autism Research (SPARK), Genotype-Tissue Expression (GTEx), and 1000 Genomes (1000G) databases.
We have discovered that rare variants are significantly enriched in autistic probands compared to race-matched controls. In addition, we have identified 25 rare and common SNPs that are significantly enriched in autism on different ethnic backgrounds, some of which show significant clinical associations.
We have also identified other SNPs that share more specific genotype-phenotype correlations but which are not necessarily enriched in autism and yet may nevertheless play roles in comorbid phenotype expression (e.g., intellectual disability, epilepsy, and language regression). These results strongly suggest Neanderthal-derived DNA is playing a significant role in autism susceptibility across major populations in the United States»...
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nature |
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Fever Effect May Improve Autism Symptoms - Neuroscience News |
14/05/2024 |
«Summary: Researchers are exploring how fever can temporarily improve autism symptoms. They aim to understand the cellular and molecular mechanisms behind this "fever effect" to develop therapies that mimic it.Their research focuses on the immune molecule IL-17a, which has shown promise in animal studies.
By creating a biobank of samples from individuals with and without autism, the team hopes to translate these findings into effective treatments.»
[...]
« Scientists are catching up to what parents and other caregivers have been reporting for many years: When some people with autism spectrum disorders experience an infection that sparks a fever, their autism-related symptoms seem to improve.
With a pair of new grants from The Marcus Foundation, scientists at MIT and Harvard Medical School hope to explain how this happens in an effort to eventually develop therapies that mimic the “fever effect” to similarly improve symptoms.
“Although it isn’t actually triggered by the fever, per se, the ‘fever effect’ is real, and it provides us with an opportunity to develop therapies to mitigate symptoms of autism spectrum disorders,” said neuroscientist Gloria Choi, associate professor in The Picower Institute for Learning and Memory and the Department of Brain and Cognitive Sciences at MIT.
»...
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neurosciencenews |
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Royaume-Uni | Un bebe ne sourd entend grace a la therapie genique | La Presse |
09/05/2024 |
«Opal Sandy est la première patiente traitée dans le cadre d'un essai mondial de thérapie génique, a indiqué le NHS, le service public de santé britannique, dans un communiqué publié jeudi.Elle est la première patiente britannique et la plus jeune enfant à recevoir ce type de traitement.La petite fille est née atteinte d'une maladie génétique, une neuropathie auditive, causée par une perturbation des signaux nerveux de l'oreille interne vers le cerveau.»...
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lapresse |
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Potential link between PTSD and autism found in mice |
08/05/2024 |
«People on the autism spectrum are predisposed to Post-Traumatic Stress Disorder (PTSD), a new study from The Australian National University (ANU) and the University of Queensland has shown.The research also found PTSD can lead to the aggravation of core traits of autism such as repetitive behavior.The study, published in the journal iScience, showed that while generally PTSD is triggered by an extreme stress, a single mild stress can be enough to produce a traumatic memory in those with autism spectrum disorder (ASD).»
[...]
«
"PTSD in autism is currently challenging to diagnose," she said. "If we can understand a bit more about the underlying mechanisms, it will go a long way to making sure people are managing their symptoms appropriately."
According to the researchers, the study also supports the idea that everyday life situations—like entering a particularly noisy or unfamiliar environment—can be experienced as traumatic by neurodivergent populations.
The study calls for better awareness of PTSD in autism, to allow for efficient intervention for those more likely to experience trauma.
"Timely detection appears to be essential, especially if PTSD can worsen the core ASD traits," Dr. Dehorter said. "We need more research into the overlap between these two conditions."
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medicalxpress |
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La participation citoyenne directe dans les politiques de solidarite : Bilan et perspectives - IGAS - Inspection generale des affaires sociales |
09/04/2024 |
«Le rapport dresse un état des lieux des pratiques de participation citoyenne dans le champ des solidarités, en s'attachant particulièrement à l'implication directe des personnes concernées dans trois politiques publiques : lutte contre la pauvreté, accompagnement du handicap et du grand âge.Soulignant le foisonnement actuel des démarches nationales et locales de participation citoyenne, le rapport en montre la grande diversité d'ambitions et d'approches.Sous réserve que ces démarches participatives s'intègrent pleinement aux processus de décision et qu'elles reposent sur des modalités exigeantes et créatives, leurs apports sont réels : reconnaissance des personnes concernées, meilleure pertinence et effectivité des politiques publiques.La mission a constaté une appropriation inégale des principes méthodologiques de base et des règles garantissant une expression véritable des plus vulnérables, qui suppose notamment de soutenir le développement du pouvoir d'agir global des personnes concernées.»...
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igas.gouv |
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La participation citoyenne directe dans les politiques de solidarite : Bilan et perspectives - IGAS - Inspection generale des affaires sociales |
09/04/2024 |
«Le rapport dresse un état des lieux des pratiques de participation citoyenne dans le champ des solidarités, en s'attachant particulièrement à l'implication directe des personnes concernées dans trois politiques publiques : lutte contre la pauvreté, accompagnement du handicap et du grand âge.Soulignant le foisonnement actuel des démarches nationales et locales de participation citoyenne, le rapport en montre la grande diversité d'ambitions et d'approches.Sous réserve que ces démarches participatives s'intègrent pleinement aux processus de décision et qu'elles reposent sur des modalités exigeantes et créatives, leurs apports sont réels : reconnaissance des personnes concernées, meilleure pertinence et effectivité des politiques publiques.La mission a constaté une appropriation inégale des principes méthodologiques de base et des règles garantissant une expression véritable des plus vulnérables, qui suppose notamment de soutenir le développement du pouvoir d'agir global des personnes concernées.»...
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igas.gouv |
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La participation citoyenne directe dans les politiques de solidarite : Bilan et perspectives - IGAS - Inspection generale des affaires sociales |
09/04/2024 |
«Le rapport dresse un état des lieux des pratiques de participation citoyenne dans le champ des solidarités, en s'attachant particulièrement à l'implication directe des personnes concernées dans trois politiques publiques : lutte contre la pauvreté, accompagnement du handicap et du grand âge.Soulignant le foisonnement actuel des démarches nationales et locales de participation citoyenne, le rapport en montre la grande diversité d'ambitions et d'approches.Sous réserve que ces démarches participatives s'intègrent pleinement aux processus de décision et qu'elles reposent sur des modalités exigeantes et créatives, leurs apports sont réels : reconnaissance des personnes concernées, meilleure pertinence et effectivité des politiques publiques.La mission a constaté une appropriation inégale des principes méthodologiques de base et des règles garantissant une expression véritable des plus vulnérables, qui suppose notamment de soutenir le développement du pouvoir d'agir global des personnes concernées.»...
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igas.gouv |
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Des auteurs de violences sexuelles se retrouvent a travailler au contact de personnes handicapees |
30/03/2024 |
«Les établissements pour personnes handicapées ne contrôlent pas toujours les antécédents judiciaires des salariés, bénévoles et prestataires. Résultat, des auteurs de violences sexuelles, déjà condamnés, sont parfois recrutés.Luçon, Vendée (85) - Une maison blanche de plain-pied, bordée par une haie bien taillée, nichée dans une rue pavillonnaire.
Le centre d'habitat «Â la Cabanière » pour personnes handicapées se fond dans le décor. C'est dans ce foyer d'hébergement géré par l'ADAPEI des Papillons Blancs, qu'Alexandre exerce son métier de surveillant de nuit.
On est en 2015 et l'homme de 40 ans vient d'être condamné à un an de prison sous surveillance électronique pour agressions sexuelles sur mineurs et sur une personne handicapée.Malgré ses antécédents judiciaires, il a gardé son emploi à la «Â Cabanière ». Son employeur ne lui aurait pas demandé les raisons de sa condamnation et le juge ne lui a pas interdit d'exercer sa profession.
Comme s'il ne s'était rien passé, il reprend son poste, bracelet à la cheville. Et comme à l'accoutumée, il se retrouve chaque soir, seul, avec les adultes handicapés. C'est pendant ces longues nuits, qu'Alexandre impose des fellations, des pénétrations et des masturbations à trois résidents âgés de 23 à 28 ans.
Il est condamné en mars 2021, à 13 ans de réclusion criminelle pour viols en état de récidive. A cette époque, l'affaire ne fait pas grand bruit. Seulement quelques papiers dans le quotidien régional Ouest France viennent relater ce procès.»
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«Pourtant, il s'agit là d'un dossier symptomatique des défaillances de la lutte contre la récidive des infractions sexuelles dans le secteur du handicap
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streetpress |
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Evaluating screening for autism spectrum disorder using cluster randomization | Scientific Reports |
22/03/2024 |
«Abstract We evaluated the rate of autism spectrum disorder (ASD) in a group invited to a screening program compared to the rates in two groups who received usual care. The population eligible for screening was all children in Iceland registered for their 30-month well-child visits at primary healthcare centers (PHCs) from March 1, 2016, to October 31, 2017 (N=7173). The PHCs in the capital area of Reykjavik were the units of cluster randomization.
Nine PHCs were selected for intervention (invited group), while eight PHCs received usual care (control group 1). PHCs outside the capital area were without randomization (control group 2). An interdisciplinary team, including a pediatrician contributing with physical and neurological examination, a psychologist evaluating autism symptoms using a diagnostic instrument, and a social worker interviewing the parents, reached a consensus on the clinical diagnosis of ASD according to the ICD-10 diagnostic system.
Children in the population were followed up for at least two years and 119 cases were identified. The overall cumulative incidence of ASD was 1.66 (95% confidence interval (CI): 1.37, 1.99). In the invited group the incidence rate was 2.13 (95% CI: 1.60, 2.78); in control group 1, the rate was 1.83 (95% CI: 1.31, 2.50); and in control group 2, the rate was 1.02 (95% CI: 0.66, 1.50). Although the rate of ASD was higher in the invited group than in the control groups, the wide confidence intervals prevented us from concluding definitively that the screening detected ASD more readily than usual care.»...
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nature |
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Genomic analysis of 116 autism families strengthens known risk genes and highlights promising candidates | npj Genomic Medicine |
22/03/2024 |
«Abstract Autism spectrum disorder (ASD) is a complex neurodevelopmental condition with a strong genetic component in which rare variants contribute significantly to risk. We performed whole genome and/or exome sequencing (WGS and WES) and SNP-array analysis to identify both rare sequence and copy number variants (SNVs and CNVs) in 435 individuals from 116 ASD families.
We identified 37 rare potentially damaging de novo SNVs (pdSNVs) in the cases (n=144). Interestingly, two of them (one stop-gain and one missense variant) occurred in the same gene, BRSK2. Moreover, the identification of 8 severe de novo pdSNVs in genes not previously implicated in ASD (AGPAT3, IRX5, MGAT5B, RAB8B, RAP1A, RASAL2, SLC9A1, YME1L1) highlighted promising candidates.
Potentially damaging CNVs (pdCNVs) provided support to the involvement of inherited variants in PHF3, NEGR1, TIAM1 and HOMER1 in neurodevelopmental disorders (NDD), although mostly acting as susceptibility factors with incomplete penetrance.
Interpretation of identified pdSNVs/pdCNVs according to the ACMG guidelines led to a molecular diagnosis in 19/144 cases, although this figure represents a lower limit and is expected to increase thanks to further clarification of the role of likely pathogenic variants in ASD/NDD candidate genes not yet established.
In conclusion, our study highlights promising ASD candidate genes and contributes to characterize the allelic diversity, mode of inheritance and phenotypic impact of de novo and inherited risk variants in ASD/NDD genes.»...
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nature |
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Early childhood neurodevelopmental milestones in children with allergic diseases: the Japan Environment and Children's Study (JECS) | Scientific Reports |
18/03/2024 |
«Abstract This study investigated the potential link between early childhood allergic diseases and neurodevelopmental milestone attainment during the first 3Â years of life.
Utilizing data from a large-scale prospective birth cohort study in Japan, encompassing 87,986 children, we examined physician-diagnosed and caregiver-reported allergic conditions, including atopic dermatitis (AD), asthma, and food allergy (FA). Neurodevelopmental milestones were assessed using the Ages and Stages Questionnaires at 1, 1.5, 2, 2.5, and 3Â years of age.
Stabilized inverse probability-weighted generalized estimating equation models were employed to estimate odds ratios (ORs). Our analysis revealed no significant association of AD and asthma with delay in communication, gross motor, fine motor, problem-solving, and personal-social skills during the initial 3Â years of life.
However, children with FA showed an increased likelihood of experiencing gross motor delay compared with that shown by those without FA (weighted adjusted OR: 1.14). Despite this, no significant association of FA with other developmental domains was observed.
Early childhood allergies may not influence neurodevelopmental delays. However, there is a potential association between FA and delays, specifically in gross motor skills, that warrants routine developmental monitoring and additional investigations.»...
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nature |
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Genetics of environmental sensitivity and its association with variations in emotional problems, autistic traits, and wellbeing | Molecular Psychiatry |
18/03/2024 |
«Abstract Greater environmental sensitivity has been associated with increased risk of mental health problems, especially in response to stressors, and lower levels of subjective wellbeing.
Conversely, sensitivity also correlates with lower risk of emotional problems in the absence of adversity, and in response to positive environmental influences. Additionally, sensitivity has been found to correlate positively with autistic traits.
Individual differences in environmental sensitivity are partly heritable, but it is unknown to what extent the aetiological factors underlying sensitivity overlap with those on emotional problems (anxiety and depressive symptoms), autistic traits and wellbeing.
The current study used multivariate twin models and data on sensitivity, emotional problems, autistic traits, and several indices of psychological and subjective wellbeing, from over 2800 adolescent twins in England and Wales.
We found that greater overall sensitivity correlated with greater emotional problems, autistic traits, and lower subjective wellbeing. A similar pattern of correlations was found for the Excitation and Sensory factors of sensitivity, but, in contrast, the Aesthetic factor was positively correlated with psychological wellbeing, though not with emotional problems nor autistic traits.
The observed correlations were largely due to overlapping genetic influences. Importantly, genetic influences underlying sensitivity explained between 2 and 12% of the variations in emotional problems, autistic traits, and subjective wellbeing, independent of trait-specific or overlapping genetic influences.
These findings encourage incorporating the genetics of environmental sensitivity in future genomic studies aiming to delineate the heterogeneity in emotional problems, autistic traits, and wellbeing.»...
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nature |
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Genetics of environmental sensitivity and its association with variations in emotional problems, autistic traits, and wellbeing | Molecular Psychiatry |
18/03/2024 |
«Abstract Greater environmental sensitivity has been associated with increased risk of mental health problems, especially in response to stressors, and lower levels of subjective wellbeing.
Conversely, sensitivity also correlates with lower risk of emotional problems in the absence of adversity, and in response to positive environmental influences. Additionally, sensitivity has been found to correlate positively with autistic traits.
Individual differences in environmental sensitivity are partly heritable, but it is unknown to what extent the aetiological factors underlying sensitivity overlap with those on emotional problems (anxiety and depressive symptoms), autistic traits and wellbeing.
The current study used multivariate twin models and data on sensitivity, emotional problems, autistic traits, and several indices of psychological and subjective wellbeing, from over 2800 adolescent twins in England and Wales.
We found that greater overall sensitivity correlated with greater emotional problems, autistic traits, and lower subjective wellbeing. A similar pattern of correlations was found for the Excitation and Sensory factors of sensitivity, but, in contrast, the Aesthetic factor was positively correlated with psychological wellbeing, though not with emotional problems nor autistic traits.
The observed correlations were largely due to overlapping genetic influences. Importantly, genetic influences underlying sensitivity explained between 2 and 12% of the variations in emotional problems, autistic traits, and subjective wellbeing, independent of trait-specific or overlapping genetic influences.
These findings encourage incorporating the genetics of environmental sensitivity in future genomic studies aiming to delineate the heterogeneity in emotional problems, autistic traits, and wellbeing.»...
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nature |
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Symptoms of Cognitive Impairment Among Children With Atopic Dermatitis | Pediatrics | JAMA Dermatology | JAMA Network |
07/03/2024 |
«Abstract Importance Previous studies suggest that atopic dermatitis (AD) is associated with cognitive impairment in children, but these studies have relied primarily on neurodevelopmental diagnoses (rather than symptoms) as proxy measures of cognitive function.
It remains unknown if certain subpopulations of children with AD are at greater risk of cognitive impairment. Objective To examine the association of AD with symptoms of cognitive impairment (difficulty in learning or memory) among US children and whether this association varies according to the presence or absence of neurodevelopmental comorbidities (attention-deficit/hyperactivity disorder [ADHD], developmental delay, or learning disability).Design, Setting, and Participants This cross-sectional study used 2021 data from the US National Health Interview Survey collected on children aged 17 years or younger without intellectual disability or autism.
The presence of AD was based on a parent or adult caregiver's report indicating either a current diagnosis of AD or a previous medical confirmation of AD by a health care professional.Main Outcomes and Measures Difficulty with learning or memory as reported by the child's caregiver.»
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«Conclusions and Relevance Results of this cross-sectional study suggest that pediatric AD was generally associated with greater odds of reported difficulties in learning and memory. However, this association was primarily limited to children with neurodevelopmental comorbidities, such as ADHD or learning disabilities. These findings may improve the risk stratification of children with AD for cognitive impairments and suggest that evaluation for cognitive difficulties should be prioritized among children with AD and neurodevelopmental disorders.
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jamanetwork |
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Symptoms of Cognitive Impairment Among Children With Atopic Dermatitis | Pediatrics | JAMA Dermatology | JAMA Network |
07/03/2024 |
«Abstract Importance Previous studies suggest that atopic dermatitis (AD) is associated with cognitive impairment in children, but these studies have relied primarily on neurodevelopmental diagnoses (rather than symptoms) as proxy measures of cognitive function.
It remains unknown if certain subpopulations of children with AD are at greater risk of cognitive impairment. Objective To examine the association of AD with symptoms of cognitive impairment (difficulty in learning or memory) among US children and whether this association varies according to the presence or absence of neurodevelopmental comorbidities (attention-deficit/hyperactivity disorder [ADHD], developmental delay, or learning disability).Design, Setting, and Participants This cross-sectional study used 2021 data from the US National Health Interview Survey collected on children aged 17 years or younger without intellectual disability or autism.
The presence of AD was based on a parent or adult caregiver's report indicating either a current diagnosis of AD or a previous medical confirmation of AD by a health care professional.Main Outcomes and Measures Difficulty with learning or memory as reported by the child's caregiver.»
[...]
«Conclusions and Relevance Results of this cross-sectional study suggest that pediatric AD was generally associated with greater odds of reported difficulties in learning and memory. However, this association was primarily limited to children with neurodevelopmental comorbidities, such as ADHD or learning disabilities. These findings may improve the risk stratification of children with AD for cognitive impairments and suggest that evaluation for cognitive difficulties should be prioritized among children with AD and neurodevelopmental disorders.
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jamanetwork |
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Study reveals unexpected literacy in autistic people who cannot speak |
07/03/2024 |
«About one-third of autistic people are unable to communicate using speech, and most are never provided an effective alternative. However, a new study from scientists at the University of Virginia suggests that many of these individuals are literate, raising the possibility that they could learn to express themselves through writing.The study, published in the journal Autism, reports that five times more nonspeaking autistic teenagers and adults demonstrated knowledge of written language conventions than would be expected from previous estimates of their abilities.
The finding has important implications for the millions of autistic people around the world who have little or no speech and who are often assumed to be incapable of acquiring literacy.»
[...]
« "If we assume that someone who can't speak doesn't understand, it limits the doors we open for them—we may not even try to figure out what they understand," said Vikram Jaswal, Professor of Psychology at the University of Virginia and the lead author of the study. "Our study shows that nonspeaking autistic people's capacity for language, for learning, and for literacy has been seriously underestimated."
»...
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medicalxpress |
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Study reveals unexpected literacy in autistic people who cannot speak |
07/03/2024 |
«About one-third of autistic people are unable to communicate using speech, and most are never provided an effective alternative. However, a new study from scientists at the University of Virginia suggests that many of these individuals are literate, raising the possibility that they could learn to express themselves through writing.The study, published in the journal Autism, reports that five times more nonspeaking autistic teenagers and adults demonstrated knowledge of written language conventions than would be expected from previous estimates of their abilities.
The finding has important implications for the millions of autistic people around the world who have little or no speech and who are often assumed to be incapable of acquiring literacy.»
[...]
« "If we assume that someone who can't speak doesn't understand, it limits the doors we open for them—we may not even try to figure out what they understand," said Vikram Jaswal, Professor of Psychology at the University of Virginia and the lead author of the study. "Our study shows that nonspeaking autistic people's capacity for language, for learning, and for literacy has been seriously underestimated."
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medicalxpress |
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Asthme : attention aux effets indesirables neuropsychiatriques associes a SINGULAIR et generiques (montelukast) |
06/03/2024 |
«Asthme : attention aux effets indésirables neuropsychiatriques associés à SINGULAIR et génériques (montélukast)L'ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) recommande aux professionnels de santé et aux patients ou proches aidants d'être attentifs à l'apparition de tout effet indésirable neuropsychiatrique suite à la prise de médicaments à base de montélukast (SINGULAIR et génériques).En effet, bien que la survenue de troubles neuropsychiatriques liés à ces médicaments soit déjà connue et mentionnée dans les notices, plusieurs signalements montrent que le lien n'est pas suffisamment identifié, avec pour conséquence un retard de diagnostic et de prise en charge adaptée.»
[...]
«Les effets indésirables neuropsychiatriques associés au montélukast se manifestent par divers symptômes (modifications du comportement, troubles de l'humeur) qui régressent généralement à l'arrêt du traitement. Les patients, parents ou aidants doivent être informés sur ce risque et, en cas de troubles psychiatriques, doivent consulter un médecin rapidement afin qu'il réévalue le traitement par montélukast.
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vidal |
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DIMANCHE 24 MARS 21:10 ZONE INTERDITE Scandales et défaillance de l’Etat : les dossiers noirs du handicap |
06/03/2024 |
«C'est un scandale, ou plutôt une série de scandales que révèle cette enquête de Zone Interdite sur la prise en charge du handicap en France. Pendant plus d'un an, une équipe de journalistes a suivi le combat quotidien de personnes en situation de handicap et de leurs proches, à la recherche d'une place en institut spécialisé ou à l'école.
Une réalité insoutenable.Manque de structures d'accueil, sous-effectif chronique, personnel non qualifié, recruté sans diplôme : le système censé épanouir les personnes les plus vulnérables et les sortir de l'isolement les néglige, voire les violente.Les chiffres font froid dans le dos : 30 000 enfants et leur famille sont laissés sans solution, réduits à vivre en vase clos.
Il manque des centaines de milliers d'accompagnants dans les établissements scolaires et 50 000 soignants dans les instituts spécialisés. Des défaillances du système qui conduisent à de nombreuses dérives : maltraitances physiques, pressions psychologiques, erreurs médicamenteuses.
Ceux qui les dénoncent se heurtent à l'inertie des institutions qui préfèrent le « pas de vague » à la transparence.»
[...]
«
Mais l’enquête de Zone Interdite ne s’arrête pas là. Elle met également le doigt sur un autre scandale, financier cette fois-ci, et qui pourrait éclabousser jusqu’aux services même de l’Etat.
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pro.m6 |
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Percer les mysteres moleculaires de l'autisme et de la deficience intellectuelle |
03/03/2024 |
«Une nouvelle étude menée par une équipe de chercheurs de l'Université McGill et de l'Université Vanderbilt met en lumière notre compréhension des origines moléculaires de certaines formes d'autisme et de déficience intellectuelle.Pour la première fois, les chercheurs ont réussi à capturer des images à résolution atomique du récepteur ionotropique du glutamate (iGluR) à déplacement rapide pendant qu'il transporte le calcium.
Les iGluR et leur capacité à transporter le calcium sont d'une importance vitale pour de nombreuses fonctions cérébrales telles que la vision ou d'autres informations provenant des organes sensoriels.
Le calcium entraine également des changements dans la capacité de signalisation des iGluR et des connexions nerveuses, qui sont des événements cellulaires clés conduisant à notre capacité à acquérir de nouvelles compétences et à former des souvenirs.»...
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ma-clinique |
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Percer les mysteres moleculaires de l'autisme et de la deficience intellectuelle |
03/03/2024 |
«Une nouvelle étude menée par une équipe de chercheurs de l'Université McGill et de l'Université Vanderbilt met en lumière notre compréhension des origines moléculaires de certaines formes d'autisme et de déficience intellectuelle.Pour la première fois, les chercheurs ont réussi à capturer des images à résolution atomique du récepteur ionotropique du glutamate (iGluR) à déplacement rapide pendant qu'il transporte le calcium.
Les iGluR et leur capacité à transporter le calcium sont d'une importance vitale pour de nombreuses fonctions cérébrales telles que la vision ou d'autres informations provenant des organes sensoriels.
Le calcium entraine également des changements dans la capacité de signalisation des iGluR et des connexions nerveuses, qui sont des événements cellulaires clés conduisant à notre capacité à acquérir de nouvelles compétences et à former des souvenirs.»...
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ma-clinique |
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Agressions sexuelles dans un IME : un ado lance l'alerte, dix victimes recensees - Faire Face - Toute l'actualite du handicap |
28/02/2024 |
«Grâce à ses outils de communication alternative et améliorée, un ado polyhandicapé de 14 ans a pu dire à ses parents qu'un éducateur l'avait violé. L'enquête, menée par la brigade des mineurs, a permis d'identifier neuf autres victimes dans cet IME parisien de la Fondation Saint-Jean-de-Dieu, et conduit au placement en détention provisoire de l'agresseur.
Les parents de Nathan* témoignent.« C'est notre fils qui a lancé l'alerte. Grâce à lui, le prédateur qui abusait sexuellement des enfants de son institut médico-éducatif a pu être arrêté. » Sophia* a toujours été convaincue que Nathan*, non oralisant, serait capable de communiquer pour peu qu'elle trouve les bons outils.
Cette Parisienne s'est donc formée à la communication alternative et améliorée (CAA) afin de pouvoir accompagner son fils, atteint d'un syndrome génétique rare à l'origine de sa déficience intellectuelle sévère et de ses retards psychomoteurs.»...
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faire-face |
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Agressions sexuelles dans un IME : un ado lance l'alerte, dix victimes recensees - Faire Face - Toute l'actualite du handicap |
28/02/2024 |
«Grâce à ses outils de communication alternative et améliorée, un ado polyhandicapé de 14 ans a pu dire à ses parents qu'un éducateur l'avait violé. L'enquête, menée par la brigade des mineurs, a permis d'identifier neuf autres victimes dans cet IME parisien de la Fondation Saint-Jean-de-Dieu, et conduit au placement en détention provisoire de l'agresseur.
Les parents de Nathan* témoignent.« C'est notre fils qui a lancé l'alerte. Grâce à lui, le prédateur qui abusait sexuellement des enfants de son institut médico-éducatif a pu être arrêté. » Sophia* a toujours été convaincue que Nathan*, non oralisant, serait capable de communiquer pour peu qu'elle trouve les bons outils.
Cette Parisienne s'est donc formée à la communication alternative et améliorée (CAA) afin de pouvoir accompagner son fils, atteint d'un syndrome génétique rare à l'origine de sa déficience intellectuelle sévère et de ses retards psychomoteurs.»...
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faire-face |
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Polygenic risk for major depression, attention deficit hyperactivity disorder, neuroticism, and schizophrenia are correlated with experience of intimate partner violence | Translational Psychiatry |
26/02/2024 |
«AbstractResearch has suggested that mental illness may be a risk factor for, as well as a sequela of, experiencing intimate partner violence (IPV). The association between IPV and mental illness may also be due in part to gene-environment correlations.
Using polygenic risk scores for six psychiatric disorders - attention-deficit hyperactivity disorder (ADHD), autism spectrum disorder (ASD), bipolar disorder (BPD), major depressive disorder (MDD), neuroticism, and schizophrenia...”and a combined measure of overall genetic risk for mental illness, we tested whether women's genetic risk for mental illness was associated with the experience of three types of intimate partner violence.
In this cohort of women of European ancestry (N=11,095), participants in the highest quintile of genetic risk for ADHD (OR range: 1.38-1.49), MDD (OR range: 1.28-1.43), neuroticism (OR range: (1.18-1.25), schizophrenia (OR range: 1.30-1.34), and overall genetic risk (OR range: 1.30-1.41) were at higher risk for experiencing more severe emotional and physical abuse, and, except schizophrenia, more severe sexual abuse, as well as more types of abuse and chronic abuse.
In addition, participants in the highest quintile of genetic risk for neuroticism (OR=1.43 95% CI: 1.18, 1.72), schizophrenia (OR=1.33 95% CI: 1.10, 1.62), and the overall genetic risk (OR=1.40 95% CI: 1.15, 1.71) were at higher risk for experiencing intimate partner intimidation and control.
Participants in the highest quintile of genetic risk for ADHD, ASD, MDD, schizophrenia, and overall genetic risk, compared to the lowest quintile, were at increased risk for experiencing harassment from a partner (OR range: 1.22-1.92). No associations were found between genetic risk for BPD with IPV. A better understanding of the salience of the multiple possible pathways linking genetic risk for mental illness with risk for IPV may aid in preventing IPV victimization or re-victimization.»...
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nature |
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Altered hippocampal neurogenesis in a mouse model of autism revealed by genetic polymorphisms and by atypical development of newborn neurons | Scientific Reports |
26/02/2024 |
«AbstractIndividuals with autism spectrum disorder (ASD) often exhibit atypical hippocampal anatomy and connectivity throughout their lifespan, potentially linked to alterations in the neurogenic process within the hippocampus.
In this study, we performed an in-silico analysis to identify single-nucleotide polymorphisms (SNPs) in genes relevant to adult neurogenesis in the C58/J model of idiopathic autism.
We found coding non-synonymous (Cn) SNPs in 33 genes involved in the adult neurogenic process, as well as in 142 genes associated with the signature genetic profile of neural stem cells (NSC) and neural progenitors.
Based on the potential alterations in adult neurogenesis predicted by the in-silico analysis, we evaluated the number and distribution of newborn neurons in the dentate gyrus (DG) of young adult C58/J mice.
We found a reduced number of newborn cells in the whole DG, a higher proportion of early neuroblasts in the subgranular layer (SGZ), and a lower proportion of neuroblasts with morphological maturation signs in the granule cell layer (GCL) of the DG compared to C57BL/6J mice.
The observed changes may be associated with a delay in the maturation trajectory of newborn neurons in the C58/J strain, linked to the Cn SNPs in genes involved in adult hippocampal neurogenesis.»...
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nature |
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McGill Study Links Neurotransmitter Receptors to Neuro Disease | |
26/02/2024 |
«A new study from a team of McGill University and Vanderbilt University researchers is shedding light on our understanding of the molecular origins of some forms of autism and intellectual disability.For the first time, researchers were able to successfully capture atomic resolution images of the fast-moving ionotropic glutamate receptor (iGluR) as it transports calcium.
iGluRs and their ability to transport calcium are vitally important for many brain functions such as vision or other information coming from sensory organs. Calcium also brings about changes in the signalling capacity of iGluRs and nerve connections which are a key cellular events that lead to our ability to learn new skills and form memories.»...
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miragenews |
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ASD jab: Chinese scientists reach milestone in revolutionary gene therapy for autism |
19/02/2024 |
«The team created a genome editing system, which successfully modified the DNA of mice that had been given a mutation found in some patients with autism spectrum disorder (ASD).Mice given the injection containing the editing system registered a decrease in ASD-associated behaviour.In a paper on their research, published in the journal Nature Neuroscience on Nov 27, the scientists said the potential treatment method could not just be used for patients with ASD, but also other genetic neurodevelopmental disorders.ASD affects about 1 per cent of the global population.
One in every 36 children in the United States is diagnosed with the disorder, according to the US Centres for Disease Control and Prevention (CDC).The disorder can affect a person's ability to interact and communicate, as well as cause repetitive behaviours and intense interests.To study the impact of genomic editing for the treatment of ASD, the researchers created mice with mutations in the MEF2C gene, which they said was "strongly associated" with the disorder.Mutations in this gene were thought to cause developmental deficits, speech problems, repetitive behaviours and epilepsy, the paper said»...
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channelnewsasia |
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Mild COVID infections may make insomnia ...˜more likely,' new study says | Euronews |
05/02/2024 |
«A study of patients with mild COVID infections found that most reported trouble sleeping, including bouts of insomnia.Sleep researchers have found that even a mild COVID-19 infection may increase symptoms of insomnia.They surveyed more than 1,000 people who had been diagnosed with COVID-19 in the six months before the study.The participants had not been hospitalised and had no history of insomnia or psychiatric illness.»...
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euronews |
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Nouveaux regards sur l'autisme | CNRS Le journal |
01/02/2024 |
«Autrefois considérés comme relevant d’une maladie rare et incurable, les troubles du spectre autistique sont l’objet d’un intense effort de recherche qui permet de mieux les comprendre, mieux les diagnostiquer et mieux les prendre en charge.
Aujourd’hui en France, 1 à 2 % de la population est directement concernée par les troubles du spectre autistique (TSA), troubles qui s’intègrent plus largement dans la catégorie des troubles neurodéveloppementaux, affectant dans leur ensemble une personne sur six.
C’est dans ce contexte qu’a été lancée, le 22 novembre 2023, une nouvelle stratégie nationale pour les troubles du neurodéveloppement(link is external) qui vise notamment à améliorer et fédérer la recherche pour mieux comprendre les TSA, de leurs origines à leur prise en charge.
Alors que la recherche a considérablement progressé au cours des deux dernières décennies, transformant le regard et les représentations autour de l’autisme, le lancement de ce plan est l’occasion de faire le point sur les récentes avancées scientifiques concernant les TSA.»...
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lejournal.cnrs |
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Role of the Dopaminergic System in Reversal Learning |
02/01/2024 |
«Exploring the Dopaminergic System in Reversal LearningExtensive research has been conducted on the role of the dopaminergic system in human cognition and behavior. One of the areas that have seen significant strides is the understanding of reversal learning.
A recent study has provided compelling evidence on the crucial role of the dopaminergic system, particularly striatal dopamine (DA) release, in reversal learning. The study, which employed dynamic [...] Raclopride PET-fMRI and computational modeling, discovered significant DA release in the associative striatum, consistent with a reward reversal.Reversal learning is a process where an individual learns to change their response to stimuli due to changes in their environment.
This ability is essential for adapting to new situations and is a significant component of cognitive flexibility. This study has shed light on how the dopaminergic system underpins this critical cognitive function.»...
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medriva |
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Interpregnancy interval and early infant neurodevelopment: the role of maternal-fetal glucose metabolism |
02/01/2024 |
«AbstractBackgroundInterpregnancy interval (IPI) is associated with a variety of adverse maternal and infant outcomes. However, reports of its associations with early infant neurodevelopment are limited and the mechanisms of this association have not been elucidated.
Maternal-fetal glucose metabolism has been shown to be associated with infant neurodevelopmental. The objective of this study was to determine whether this metabolism plays a role in the relationship between IPI and neurodevelopment.»
[...]
« Conclusions
IPI < 12 months was associated with failing the communication domain in infants. Maternal–fetal glucose metabolism abnormality may partially explain the risk of neurodevelopmental delay caused by short IPI.
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bmcmedicine.biomedcentral |
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La therapie de remplacement pancreatique peut ameliorer le comportement inadapte chez les enfants d'age prescolaire atteints d'autisme |
30/12/2023 |
«Etats-Unis : les résultats d'une étude récente publiée dans JAMA Network Open suggèrent une amélioration des comportements inadaptés chez les enfants d'âge préscolaire atteints de troubles du spectre autistique (TSA), tels que l'agitation ou l'irritabilité, grâce à une thérapie de remplacement pancréatique à haute teneur en protéase.« Les enfants atteints de TSA ont souvent plusieurs comportements inadaptés concomitants, comme l'irritabilité. Nous voulions savoir si ces comportements inadaptés pouvaient être traités par une intervention présentant un faible risque d'effets secondaires », a déclaré Deborah A. Pearson, PhD, professeur de psychiatrie et de sciences du comportement à la McGovern Medical School de l'UTHealth Houston et auteur principal de cet article.
. Pearson est également directeur de la clinique de neuropsychologie du développement à UTHealth Houston.»
[...]
« Au total, 190 enfants âgés de 3 à 6 ans ont participé à l'étude. Au cours de la première phase en double aveugle de l'essai, 92 enfants ont été randomisés dans le groupe de traitement actif et ont pris 900 mg d'une enzyme pancréatique porcine microencapsulée à haute teneur en protéase, saupoudrée sur leur nourriture trois fois par jour. Dans l'autre bras, 98 enfants ont reçu un placebo saupoudré sur leur nourriture pendant 12 semaines. Au cours de la deuxième phase ouverte, tous les enfants ont reçu le médicament actif pendant 24 semaines.
Selon les résultats à 12 semaines, les parents des enfants du groupe de traitement actif ont signalé une diminution significative des symptômes d'irritabilité, d'hyperactivité/non-observance et d'élocution inappropriée de leur enfant, par rapport aux parents des enfants du groupe placebo. Au cours de la deuxième phase de 24 semaines, des diminutions significatives ont été signalées dans tous les comportements ci-dessus, ainsi que dans la léthargie/le retrait social. Aucun événement indésirable grave n'a été associé au traitement.
"Cette étude a démontré que le remplacement enzymatique pancréatique, censé améliorer l'apport d'acides aminés essentiels nécessaires à la synthèse des neurotransmetteurs, était associé à une amélioration de la fonction comportementale chez les enfants d'âge préscolaire atteints de TSA, avec des effets secondaires minimes", a déclaré Pearson.
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medicaldialogues |
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Conseil d'Etat N° 489645 ECLI:FR:CEORD:2023:489645.20231220 |
22/12/2023 |
«Vu la procédure suivante :Mme C... A... et M. D... A..., agissant en leur nom personnel et en qualité de représentants légaux de leur fils F... B... A..., ont demandé au juge des référés du tribunal administratif de Versailles, statuant sur le fondement de l'article L. 521-2 du code de justice administrative, d'enjoindre à la directrice générale de l'agence régionale de santé d'Ile-de-France d'affecter, au moins provisoirement, E... dans un institut médico-éducatif avec un accueil permanent en internat si ce dernier est situé hors département, sous astreinte de 500 euros par jour de retard, et de prononcer toute mesure utile à la sauvegarde de ses libertés fondamentales.Par une ordonnance n° 2308991 du 8 novembre 2023, le juge des référés du tribunal administratif de Versailles a enjoint à la directrice générale de l'agence régionale de santé d'Ile-de-France d'accomplir, sans délai, toutes diligences afin de s'assurer de l'existence de places disponibles au sein des instituts médico-éducatifs ayant refusé d'accueillir E... de manière permanente pour une raison de sectorisation géographique, puis de proposer, dans les meilleurs délais et, en tout état de cause, dans un délai de huit jours à compter de la notification de cette ordonnance, une solution d'accueil permanent pour E... au niveau régional, y compris en sureffectif le cas échéant, si aucune solution ne permettait de respecter la décision de placement de la commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées au niveau du département de l'Essonne.»
[...]
«Par une requête, enregistrée le 24 novembre 2023 au secrétariat du contentieux du Conseil d'Etat, le ministre de la santé et de la prévention demande au juge des référés du Conseil d'Etat, statuant sur le fondement de l'article L. 521-2 du code de justice administrative :1°) d'annuler l'ordonnance du 8 novembre 2023 du juge des référés du tribunal administratif de Versailles ;2°) de rejeter la demande présentée en première instance.
____
8. Il résulte de ce qui précède que l'appel présenté par le ministre de la santé et de la prévention ne tend à remettre en cause aucun des effets de l'injonction prononcée par le juge des référés du tribunal administratif de Versailles sur le fondement de l'article L. 521-2 du code de justice administrative. Ses conclusions sont, par suite, irrecevables, et ne peuvent qu'être rejetées.
Sur les conclusions présentées sur le fondement de l'article L. 761-1 du code de justice administrative :
9. Il y a lieu, dans les circonstances de l'espèce, de mettre à la charge de l'Etat une somme de 2 000 euros à verser à M. et Mme A... au titre des dispositions de l'article L. 761 du code de justice administrative.
O R D O N N E :
Article 1er : La requête du ministre de la santé et de la prévention est rejetée.
Article 2 : L'Etat versera une somme de 2 000 euros à M. et Mme A... au titre de l'article L. 761-1 du code de justice administrative.
Article 3 : La présente ordonnance sera notifiée au ministre de la santé et de la prévention et à M. et Mme D... et C... A....
Copie en sera adressée à l'institut médico-éducatif " Notre Ecole ".
Fait à Paris, le 20 décembre 2023
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conseil-etat |
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Conseil d'Etat N° 489645 ECLI:FR:CEORD:2023:489645.20231220 |
22/12/2023 |
«Vu la procédure suivante :Mme C... A... et M. D... A..., agissant en leur nom personnel et en qualité de représentants légaux de leur fils F... B... A..., ont demandé au juge des référés du tribunal administratif de Versailles, statuant sur le fondement de l'article L. 521-2 du code de justice administrative, d'enjoindre à la directrice générale de l'agence régionale de santé d'Ile-de-France d'affecter, au moins provisoirement, E... dans un institut médico-éducatif avec un accueil permanent en internat si ce dernier est situé hors département, sous astreinte de 500 euros par jour de retard, et de prononcer toute mesure utile à la sauvegarde de ses libertés fondamentales.Par une ordonnance n° 2308991 du 8 novembre 2023, le juge des référés du tribunal administratif de Versailles a enjoint à la directrice générale de l'agence régionale de santé d'Ile-de-France d'accomplir, sans délai, toutes diligences afin de s'assurer de l'existence de places disponibles au sein des instituts médico-éducatifs ayant refusé d'accueillir E... de manière permanente pour une raison de sectorisation géographique, puis de proposer, dans les meilleurs délais et, en tout état de cause, dans un délai de huit jours à compter de la notification de cette ordonnance, une solution d'accueil permanent pour E... au niveau régional, y compris en sureffectif le cas échéant, si aucune solution ne permettait de respecter la décision de placement de la commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées au niveau du département de l'Essonne.»
[...]
«Par une requête, enregistrée le 24 novembre 2023 au secrétariat du contentieux du Conseil d'Etat, le ministre de la santé et de la prévention demande au juge des référés du Conseil d'Etat, statuant sur le fondement de l'article L. 521-2 du code de justice administrative :1°) d'annuler l'ordonnance du 8 novembre 2023 du juge des référés du tribunal administratif de Versailles ;2°) de rejeter la demande présentée en première instance.
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8. Il résulte de ce qui précède que l'appel présenté par le ministre de la santé et de la prévention ne tend à remettre en cause aucun des effets de l'injonction prononcée par le juge des référés du tribunal administratif de Versailles sur le fondement de l'article L. 521-2 du code de justice administrative. Ses conclusions sont, par suite, irrecevables, et ne peuvent qu'être rejetées.
Sur les conclusions présentées sur le fondement de l'article L. 761-1 du code de justice administrative :
9. Il y a lieu, dans les circonstances de l'espèce, de mettre à la charge de l'Etat une somme de 2 000 euros à verser à M. et Mme A... au titre des dispositions de l'article L. 761 du code de justice administrative.
O R D O N N E :
Article 1er : La requête du ministre de la santé et de la prévention est rejetée.
Article 2 : L'Etat versera une somme de 2 000 euros à M. et Mme A... au titre de l'article L. 761-1 du code de justice administrative.
Article 3 : La présente ordonnance sera notifiée au ministre de la santé et de la prévention et à M. et Mme D... et C... A....
Copie en sera adressée à l'institut médico-éducatif " Notre Ecole ".
Fait à Paris, le 20 décembre 2023
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conseil-etat |
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Mission aux fins d'amelioration de la prise en charge et de l'accompagnement des victimes de faits d'inceste et de violences sexuelles pendant leur minorite - IGAS - Inspection generale des affaires sociales |
21/12/2023 |
«Le rapport conjoint de l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS) et l'Inspection générale de la justice (IGJ) sur l'amélioration de la prise en charge et de l'accompagnement des victimes de faits d'inceste et de violences sexuelles pendant leur minorité identifie des pistes d'amélioration sur l'écoute, la prise en charge et l'accompagnement des personnes majeures victimes d'inceste et de violences sexuelles pendant leur minorité.La mission a pris en compte le travail conduit par la Commission indépendante sur l'inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (CIIVISE) pour en tirer des observations transposables.
Elle s'est également enrichie des réflexions issues des travaux de la commission indépendante sur les abus sexuels dans l'Eglise (CIASE), de la Commission de reconnaissance et de réparation (CRR) et de l'Instance nationale indépendante de reconnaissance et de réparation (INIRR).Ce rapport intervient sur un sujet complémentaire aux travaux menés par la CIIVISEÂ : il se concentre sur la prise en charge et l'accompagnement des personnes majeures, victimes d'abus sexuels pendant l'enfance.»
[...]
« Rapport »...
Source: http://igas.gouv.fr | Source Status
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igas.gouv |
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Mission aux fins d'amelioration de la prise en charge et de l'accompagnement des victimes de faits d'inceste et de violences sexuelles pendant leur minorite - IGAS - Inspection generale des affaires sociales |
21/12/2023 |
«Le rapport conjoint de l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS) et l'Inspection générale de la justice (IGJ) sur l'amélioration de la prise en charge et de l'accompagnement des victimes de faits d'inceste et de violences sexuelles pendant leur minorité identifie des pistes d'amélioration sur l'écoute, la prise en charge et l'accompagnement des personnes majeures victimes d'inceste et de violences sexuelles pendant leur minorité.La mission a pris en compte le travail conduit par la Commission indépendante sur l'inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (CIIVISE) pour en tirer des observations transposables.
Elle s'est également enrichie des réflexions issues des travaux de la commission indépendante sur les abus sexuels dans l'Eglise (CIASE), de la Commission de reconnaissance et de réparation (CRR) et de l'Instance nationale indépendante de reconnaissance et de réparation (INIRR).Ce rapport intervient sur un sujet complémentaire aux travaux menés par la CIIVISEÂ : il se concentre sur la prise en charge et l'accompagnement des personnes majeures, victimes d'abus sexuels pendant l'enfance.»
[...]
« Rapport »...
Source: http://igas.gouv.fr | Source Status
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igas.gouv |
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Mission aux fins d'amelioration de la prise en charge et de l'accompagnement des victimes de faits d'inceste et de violences sexuelles pendant leur minorite - IGAS - Inspection generale des affaires sociales |
21/12/2023 |
«Le rapport conjoint de l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS) et l'Inspection générale de la justice (IGJ) sur l'amélioration de la prise en charge et de l'accompagnement des victimes de faits d'inceste et de violences sexuelles pendant leur minorité identifie des pistes d'amélioration sur l'écoute, la prise en charge et l'accompagnement des personnes majeures victimes d'inceste et de violences sexuelles pendant leur minorité.La mission a pris en compte le travail conduit par la Commission indépendante sur l'inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (CIIVISE) pour en tirer des observations transposables.
Elle s'est également enrichie des réflexions issues des travaux de la commission indépendante sur les abus sexuels dans l'Eglise (CIASE), de la Commission de reconnaissance et de réparation (CRR) et de l'Instance nationale indépendante de reconnaissance et de réparation (INIRR).Ce rapport intervient sur un sujet complémentaire aux travaux menés par la CIIVISEÂ : il se concentre sur la prise en charge et l'accompagnement des personnes majeures, victimes d'abus sexuels pendant l'enfance.»
[...]
« Rapport »...
Source: http://igas.gouv.fr | Source Status
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igas.gouv |
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Mission aux fins d'amelioration de la prise en charge et de l'accompagnement des victimes de faits d'inceste et de violences sexuelles pendant leur minorite - IGAS - Inspection generale des affaires sociales |
21/12/2023 |
«Le rapport conjoint de l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS) et l'Inspection générale de la justice (IGJ) sur l'amélioration de la prise en charge et de l'accompagnement des victimes de faits d'inceste et de violences sexuelles pendant leur minorité identifie des pistes d'amélioration sur l'écoute, la prise en charge et l'accompagnement des personnes majeures victimes d'inceste et de violences sexuelles pendant leur minorité.La mission a pris en compte le travail conduit par la Commission indépendante sur l'inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (CIIVISE) pour en tirer des observations transposables.
Elle s'est également enrichie des réflexions issues des travaux de la commission indépendante sur les abus sexuels dans l'Eglise (CIASE), de la Commission de reconnaissance et de réparation (CRR) et de l'Instance nationale indépendante de reconnaissance et de réparation (INIRR).Ce rapport intervient sur un sujet complémentaire aux travaux menés par la CIIVISEÂ : il se concentre sur la prise en charge et l'accompagnement des personnes majeures, victimes d'abus sexuels pendant l'enfance.»
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« Rapport »...
Source: http://igas.gouv.fr | Source Status
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igas.gouv |
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Une intelligence artificielle peut detecter l'autisme chez l'enfant en analysant des photos des retines ! |
19/12/2023 |
«es chercheurs coréens ont réussi à entrainer une intelligence artificielle à reconnaitre l'autisme chez les enfants rien qu'en se basant sur des photos rétiniennes. Leur modèle serait un bon indicateur pour la sévérité des symptômes, et obtiendrait un score parfait pour le diagnostic de l'autisme...¦»...
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futura-sciences |
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Une intelligence artificielle peut detecter l'autisme chez l'enfant en analysant des photos des retines ! |
19/12/2023 |
«es chercheurs coréens ont réussi à entrainer une intelligence artificielle à reconnaitre l'autisme chez les enfants rien qu'en se basant sur des photos rétiniennes. Leur modèle serait un bon indicateur pour la sévérité des symptômes, et obtiendrait un score parfait pour le diagnostic de l'autisme...¦»...
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futura-sciences |
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Un regulateur cerebral implique dans des maladies psychiatriques [ - Sante Mentale |
12/12/2023 |
«Dans le cerveau, un récepteur supposément excitateur appelé GluD1 se révèle contre tout attente jouer un rôle majeur dans le contrôle de l'inhibition des neurones. Des altérations dans le gène GluD1 étant retrouvées dans un certain nombre de troubles neurodéveloppementaux et de maladies psychiatriques comme les troubles du spectre autistique (TSA) ou la schizophrénie, cette découverte ouvre la voie à de nouvelles pistes thérapeutiques pour lutter contre les déséquilibres entre transmissions neuronales excitatrices et inhibitrices associés à ces maladies.
Ce travail, publié dans Science, est le fruit de collaborations de chercheurs et chercheuses de l'Inserm, du CNRS et de l'ENS au sein de l'Institut de biologie de l'ENS (IBENS, Paris) avec le laboratoire de Biologie moléculaire du MRC à Cambridge au Royaume-Uni.»
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«
Les chercheurs savaient déjà que contrairement à son nom, le récepteur GluD1 ne peut pas se lier au glutamate. Mais dans cette étude, ils ont eu la surprise de constater qu’il fixait le GABA. L’équipe de Radu Aricescu à Cambridge a même décrit dans la publication la structure atomique fine du site d’interaction de GluD1 avec le GABA, grâce à une technique appelée cristallographie aux rayons X[1].
Son rôle dans le cerveau n’est donc a priori pas excitateur de l’activité neuronale mais inhibiteur. En prenant en compte ce résultat, peut-on toujours dire qu’il s’agit d’un récepteur appartenant à la famille des récepteurs à glutamate ?
« C’est en effet une interrogation mais toutes les analyses de phylogénie (les liens de parenté entre gènes et protéines) et les données structurales montrent qu’il en fait bien partie. En revanche, il est possible que certaines mutations acquises au cours de l’évolution aient profondément modifié ses propriétés fonctionnelles », explique Pierre Paoletti.
Autre curiosité, ce récepteur ne fonctionne ni comme un récepteur « classique » du glutamate ni comme un récepteur du GABA. Les deux provoquent en effet l’ouverture de canaux dans la membrane cellulaire permettant le passage d’ions responsables de l’excitation ou de l’inhibition du neurone. Le récepteur GluD1, lui, ne permet l’ouverture d’aucun canal. Son activité résulte d’autres mécanismes internes à la cellule qui restent à clarifier.
Enfin, ce travail suggère un rôle régulateur majeur de GluD1 vis-à-vis des synapses inhibitrices. En effet, lorsqu’il est activé par la présence de GABA, la synapse inhibitrice voit son efficacité augmenter. Cela se traduit par une réponse inhibitrice plus importante qui perdure pendant des dizaines de minute.
« Autrement dit, GluD1 renforce le signal d’inhibition. Peut-être en favorisant le recrutement de nouveaux récepteurs GABA à la synapse ? On peut en tout cas parler de régulateur clé », explique Laetitia Mony.
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santementale |
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Comment quatre enfants nes sourds ont retrouve l'audition grace a la therapie genique |
11/12/2023 |
«Quelques semaines à peine après avoir reçu un traitement par thérapie génique, quatre enfants sourds de naissance ont recouvert l'audition, en Chine. CNEWS s'est entretenu avec le chercheur qui a dirigé les recherches ainsi qu'avec une autre scientifique travaillant sur un projet similaire.C'est un espoir pour les parents dont les enfants sont atteints de surdité. En Chine, quatre enfants âgés de 2 à 6 ans, sourds de naissance, ont en effet retrouvé une audition quasi normale, après avoir reçu un traitement expérimental proposé en octobre 2022 par des chercheurs et médecins de l'hôpital ophtalmologique et ORL de l'université de Fudan (Shangai).»
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« «Une équipe de chercheurs menée par le Docteur Christine Petit, à l’Institut Pasteur, a par le passé étudié des familles de personnes atteintes d'une forme héréditaire de surdité dite sensorineurale, appelée "surdité autosomique dominante liée à l'X". C'est ce que détaille le Professeur Natalie Loundon, qui dirige le centre de recherche en audiologie pédiatrique de l'hôpital Necker-Enfants malades. En 1999, poursuit-elle, l’équipe a découvert que ces familles présentaient des mutations dans un gène situé sur le chromosome X [l’un des deux chromosomes sexuels, présent chez l’homme et la femme, n.d.l.r], qu'ils ont appelé OTOF».
L’équipe a, dans le même temps – nous précise la chercheuse – découvert la protéine produite par OTOF, appelée otoferline, au rôle crucial dans l’audition. Les chercheurs, après avoir artificiellement reproduit la délétion de cette protéine chez des souris, pour étudier la symptomatologie qui en découle, n’ont eu de cesse de chercher un moyen de la remplacer.
Le signal sonore emprunte un chemin complexe qui va du pavillon à la cochlée (image de gauche). [Institut Pasteur]
Grâce à la thérapie génique, les chercheurs sont capables de produire l'otoferline dans les cellules de la cochlée qui sont déficientes. Ici, l'otoferline, qui apparaît en vert, a pu être produite dans la majorité des cellules cilliées de souris marquées en bleu, lors de précédentes recherches (image de droite). [Institut Pasteur/Génétique et physiologie de l'audition]
UNE PROTÉINE CRUCIALE MANQUANTE
L'otoferline est en effet une protéine impliquée dans la formation et la fonction des cellules ciliées du système auditif, qui sont des cellules sensorielles qui convertissent les vibrations sonores qui parviennent à l’oreille interne en signaux électriques, qui sont ensuite transmis au cerveau.
Plus précisément, l'otoferline joue un rôle important dans un processus biologique commun appelé exocytose, qui consiste à libérer des neurotransmetteurs des cellules nerveuses vers d’autres cellules, tel un messager. Dans le cas des cellules ciliées, l'otoferline aide à libérer le neurotransmetteur appelé glutamate, qui stimule les neurones auditifs et permet donc au cerveau, en somme, de transformer les vibrations reçues par l’oreille en sons intelligibles.
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cnews |
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Des synapses du systeme de la recompense a l'origine de troubles autistiques - Faculte de medecine - UNIGE |
18/11/2023 |
«Chez tous les mammifères, le système de la récompense est un circuit cérébral fondamental qui permet de renforcer certains comportements en apportant la motivation nécessaire à leur accomplissement.
La recherche de nourriture, les apprentissages ou encore les comportements affectifs lui sont ainsi fortement liés. Récemment, plusieurs études ont montré qu'un dysfonctionnement de ce système pourrait être à la base de l'altération du comportement social typique des troubles autistiques.
Les neurones dopaminergiques, essentiels à son bon fonctionnement, seraient déficients chez les personnes atteintes de ces troubles, qui perdraient ainsi toute motivation à interagir avec les autres.
Mais quels sont les mécanismes neurobiologiques sous-jacents?»
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« Une mauvaise construction des synapses
«En partant de cette hypothèse de la motivation, nous voulions décrypter le rôle des neurones dopaminergiques dans les interactions sociales afin de vérifier si des altérations les concernant pouvaient expliquer certains déficits sociaux propres aux personnes souffrant de troubles du spectre autistique», explique Camilla Bellone, professeure au Département des neurosciences fondamentales de la Faculté de médecine de l’UNIGE, qui a dirigé ces travaux. Pour ce faire, les scientifiques ont étudié des souris dont un gène, appelé «Neuroligin 3», avait été supprimé, ou dont l’activité avait été fortement diminuée dans les neurones dopaminergiques, afin d’imiter une mutation identifiée chez les personnes autistes. Et contrairement à leurs congénères, ces souris présentaient un déficit d’intérêt pour la nouveauté et une motivation moindre à interagir socialement, des traits comportementaux que l’on retrouve fréquemment chez certains autistes.
Les scientifiques ont également étudié la plasticité synaptique des souris (les synapses étant la partie des neurones leur permettant de communiquer entre eux). Normalement, l’exposition à une nouveauté sociale engendre une modification synaptique qui permet de maintenir l’intérêt et de poursuivre le contact social. Chez les souris au gène Neuroligin 3 déficient, cette plasticité était bien moindre : le renforcement synaptique ne se faisait pas, ce qui engendrait une moins bonne réponse à un nouveau stimulus.
«Nous avons observé le même déficit synaptique chez des animaux porteurs d’une autre mutation génétique – sur le gène Shank 3 – également courante dans les cas d’autisme. Il s’agit donc bien d’une mauvaise maturation de la synapse qui, au final, empêche un bon développement social», ajoute Camilla Bellone. Plus d’une centaine de gènes ont déjà été identifiés comme étant liés à un symptôme autistique, et une bonne partie d’entre eux sont impliqués dans le fonctionnement synaptique, expliquant pourquoi les troubles sociaux sont si courant chez les autistes.
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unige |
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La solitude chez les personnes autistes : un fleau meconnu -|Sciences et Avenir |
17/11/2023 |
«Comment les personnes autistes ressentent-elles la solitude ? Pour le savoir, une étude publiée dans la revue Autism in Adulthood le 2 novembre 2023 a donné la parole une centaine de personnes autistes, d'âges et d'identité différentes. Lisa Quadt, neurologue cognitive britannique, Gemma Williams,linguiste britannique, et leur équipe se sont penchées sur la problématique de la solitude chez les autistes.»
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«"La solitude impacte quatre fois plus les personnes autistes que les neurotypiques"
L'équipe a donc décidé d'interroger, pour la première partie de l'étude, une cohorte de 109 autistes (sans retard mental, ni biais cognitif lié à des troubles psychiatriques ou psychologiques importants, n'ayant aucune lésion cérébrale ou dommage crânien) et 100 personnes dites neurotypiques (qui ne présentent aucun trouble comportemental).
Des tests avérés ont été utilisés, comme celui de la mesure de l'hypersensibilié sensorielle (Glasgow Sensory Questionnaire) ou encore celui mesurant l'impact de la solitude sur la santé mentale (UCLA LS) mais avec des questions plus adaptées pour les autistes. "Le problème des anciennes études, c'est le manque d'outils en adéquation avec la perception des autistes", rapportent les autrices dans l'étude. Les statistiques démontrent que les autistes ressentaient avec plus d'intensité les effets physiques comme mentaux de la solitude. "La solitude impacte quatre fois plus les personnes autistes que les neurotypiques", affirment les autrices. En revanche, quel que soit le groupe étudié, les différences sensorielles sont associées à la dépression ou l'anxiété.
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sciencesetavenir |
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Screen Time's Link to Autism and ADHD Explored - Neuroscience News |
29/10/2023 |
«Summary: Researchers examined the connection between screen time and genetic predispositions to Autism Spectrum Disorder (ASD) and ADHD.Analyzing over 6.5 million genetic polymorphisms, they determined that children genetically predisposed to ASD showed increased screen usage.
Meanwhile, children with ADHD tendencies increased their screen time as they aged.The findings challenge the belief that screen time might cause ASD, suggesting instead it's an early indicator.Key Facts:The study used a "polygenic risk score" to evaluate genetic susceptibility to ASD and ADHD based on 6.5 million polymorphisms in children's DNA.Children with a higher genetic risk for ASD were up to 2.1 times more likely to use screens for over four hours a day from an early age.Instead of being a causative factor, prolonged screen time might be an early sign of ASD, as such children often find objects more engaging than human interaction.»
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« “Screen time may be an early sign of ASD, rather than a cause, as children with ASD are often more attracted to objects than people. Physicians should know that it is not fair to conclude that prolonged screen time is a risk factor for the development of ASD.”
v. »...
Source: http://neurosciencenews.com | Source Status
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neurosciencenews |
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Audio - Phobie scolaire, quand l'ecole devient impossible |
17/10/2023 |
«A l'âge de 12 ans, Bibou* ne vit pas bien son entrée au secondaire, et après quelques mois, il souffre de douleurs et arrête d'aller à l'école. Il s'agit d'un refus scolaire, une dénomination qui recouvre des réalités différentes, comme l'explique le pédopsychiatre Laurent Holzer.»...
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rts |
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Persistence of Autism Spectrum Disorder From Early Childhood Through School Age | Autism Spectrum Disorders | JAMA Pediatrics | JAMA Network |
09/10/2023 |
«Key PointsQuestion What is the frequency with which children diagnosed clinically with autism spectrum disorder (ASD) at 12 to 36 months of age continue to meet criteria for ASD based on functioning at 5 to 7 years of age, and what factors are associated with ASD persistence?Findings Of the 213 children in this cohort study, 79 (37%) had nonpersistent ASD. Higher baseline adaptive functioning and female sex were associated with nonpersistent ASD.Meaning These findings suggest that an ASD diagnosis in a child younger than 3 years may not persist, and child-specific factors may be associated with persistence.»
[...]
«
Results Of the 213 participants diagnosed with ASD at initial clinical assessment (mean [SD] age, 24.6 [...] months; 177 boys [83.1%]), 79 (37.1%) did not continue to meet diagnostic criteria for ASD (nonpersistent ASD) at research assessment (mean [SD] age, 74.3 [...] months).
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jamanetwork |
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Study says child verbal abuse comparable to sexual, physical abuse |
05/10/2023 |
«Children are more likely to experience verbal abuse than any other form of maltreatment, and this abuse can have lasting effects.Photo by: ShutterstockBy: Justin BoggsPosted at 9:35 AM, Oct 04, 2023 and last updated 6:35 PM, Oct 04, 2023A study by researchers from the University College London says that child verbal abuse can be as damaging as physical and sexual abuse. The study, which was published this week in Child Abuse & Neglect: The International Journal said that children subjected to verbal abuse face increased risks of anger, depression, substance abuse, self-harm and obesity.»
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«
Behaviors such as belittling, shouting and threatening language can lead to these outcomes, researchers said. Of children who faced verbal abuse, parents were the main perpetrators 76.5% of the time, the study said. Teachers were the main perpetrators 12.7% of the time, while other adult caregivers were responsible in 2.4% of instances.
The study suggested that verbal abuse should be classified in the same way other forms of child maltreatment are classified, such as physical and sexual abuse. The study noted that the World Health Organization has said that emotional abuse is the most prevalent form of child maltreatment. Researchers cautioned, however, that the term "emotional abuse" was ambiguous and focused on the victim.
University College London researchers used 166 studies in making their determination.
"Preventing the maltreatment of children is the most effective way we can reduce the prevalence of child mental health problems," Peter Fonagy, a professor at the University College London, said in a statement. "A sharp focus on childhood verbal abuse by adults around them by the new charity Words Matter, and this review will help make significant change, and support and direct our efforts to identify and respond to this risk in an effective and timely manner."
The researchers said that focusing on child verbal abuse and not just emotional abuse more broadly will make prevention strategies easier.
“We’ve seen tremendous strides in increased awareness and interventions targeting physical and sexual abuse perpetrators leading to the reduction in these forms of maltreatment," said Shanta Dube, a professor at Wingate University, who led the study. "If we focus on verbal abuse by perpetrators rather than just emotional abuse among victims, we may develop similar actions to prevent childhood verbal abuse and its consequences."
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ksby |
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Trauma/Dissociation - Audio - CNEP, ceci n'est pas une crise d'epilepsie |
03/10/2023 |
«Auréa a fait plusieurs crises non-épileptiques psychogènes (CNEP), des événements qui ressemblent à des crises épileptiques mais qui n'en sont pas. Pour Auréa, comme pour 80% des personnes qui vivent avec des CNEP, ces dernières sont associées à des antécédents de traumatisme psychologique.
Lamyae Benzakour, responsable de la consultation de psychotraumatologie des Hôpitaux Universitaires de Genève (HUG), explique comment ces crises peuvent être diagnostiquées et prises en charge.»...
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rts |
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Why Asperger's Syndrome Is No Longer an Official Diagnosis |
29/09/2023 |
«Asperger's syndrome (also known as Asperger's disorder or simply Asperger's) was retired as an official diagnosis in 2013. Asperger's syndrome today would be diagnosed as level 1 autism spectrum disorder (ASD).Asperger's syndrome, now called level one ASD, is a developmental disorder.
A person with ASD has normal language and cognitive development with impairments in social interactions and repetitive patterns of behavior and interests. People with level 1 ASD are on the highest-functioning end of the autism spectrum.This article discusses the change in Asperger's diagnosis, symptoms associated with ASD, levels of ASD, as well as where to find support.»
[...]
« What Is the New Name for Asperger’s?
The change to the DSM entry for Asperger's is somewhat controversial, as people who are not severely autistic and may have been previously diagnosed as having Asperger's now receive the same diagnosis as those who are non-verbal, intellectually challenged, and in need of significant daily support for basic life skills.
For clarity and to alleviate confusion, the DSM-5 describes three distinct levels of ASD based on the amount of support a person needs. The new definition of autism describes people as having a severity level of 1, 2, or 3:6
Level 1 ASD: "Requiring support"
Level 2 ASD: "Requiring substantial support"
Level 3 ASD: "Requiring very substantial support"
Virtually everyone with a prior Asperger's syndrome diagnosis qualifies for a level 1 diagnosis, defined as “in need of a relatively low level of support.” Individuals presenting for the first time with relatively mild symptoms of autism will receive a first-time diagnosis of level 1 autism spectrum disorder as well, though this may be reassessed over time.
What Are the Different Types of Autism?
Level 1
Those with level 1 ASD can speak in full sentences and engage in communication but they may struggle with back-and-forth conversation. In addition, their attempts to make friends may appear odd and are typically unsuccessful.
Social communication is categorized as follows for level 1 ASD:6
Without support in place, deficits in social communication cause noticeable impairments
Difficulty initiating social interactions and shows atypical or unsuccessful responses to social cues
May appear to have decreased interest in social interactions
Restricted, repetitive behaviors for level 1 ASD include:6
Inflexibility of behavior causes significant interference with functioning in one or more contexts.
The person has difficulty switching between activities.
Problems of organization and planning hamper independence.
Levels 2 and 3
For level 2 ASD, deficits are apparent even with support in place, and restricted or repetitive behaviors appear frequently enough to be noticeable and interfere with functioning in a variety of contexts.
Level 3 ASD is described as severe deficits that cause severe impairments in functioning and behaviors that are severe and interfere in all contexts.
People with Asperger's syndrome do not exhibit these deficits or levels of impairment in functioning.
Continued Use of the Name
Despite being excluded from the DSM-5, Asperger's syndrome is still used sometimes in both the United States and other countries. A common reason for this is that a diagnosis of ASD can carry stigma, and people who were previously diagnosed with Asperger's syndrome may still identify with the term and prefer it.
A 2017 study analyzing the effect of removing Asperger's syndrome from the DSM found the change "has the potential to threaten the identity of those affected," citing autism as a stigmatizing diagnostic label.7 Some advocacy groups and organizations continue to use the term as well, at least in part because some people continue to identify as having Asperger's, not autism.
Even so, medical consensus continues to move away from the Asperger's syndrome diagnosis. Following the DSM's lead, the 11th revision of the International Classification of Diseases (ICD-11), which took effect on January 1, 2022, has moved Asperger's syndrome under the autism spectrum disorder umbrella. The ICD-11 will be used by all World Health Organization member states.8
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verywellhealth |
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Why Asperger's Syndrome Is No Longer an Official Diagnosis |
29/09/2023 |
«Asperger's syndrome (also known as Asperger's disorder or simply Asperger's) was retired as an official diagnosis in 2013. Asperger's syndrome today would be diagnosed as level 1 autism spectrum disorder (ASD).Asperger's syndrome, now called level one ASD, is a developmental disorder.
A person with ASD has normal language and cognitive development with impairments in social interactions and repetitive patterns of behavior and interests. People with level 1 ASD are on the highest-functioning end of the autism spectrum.This article discusses the change in Asperger's diagnosis, symptoms associated with ASD, levels of ASD, as well as where to find support.»
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« What Is the New Name for Asperger’s?
The change to the DSM entry for Asperger's is somewhat controversial, as people who are not severely autistic and may have been previously diagnosed as having Asperger's now receive the same diagnosis as those who are non-verbal, intellectually challenged, and in need of significant daily support for basic life skills.
For clarity and to alleviate confusion, the DSM-5 describes three distinct levels of ASD based on the amount of support a person needs. The new definition of autism describes people as having a severity level of 1, 2, or 3:6
Level 1 ASD: "Requiring support"
Level 2 ASD: "Requiring substantial support"
Level 3 ASD: "Requiring very substantial support"
Virtually everyone with a prior Asperger's syndrome diagnosis qualifies for a level 1 diagnosis, defined as “in need of a relatively low level of support.” Individuals presenting for the first time with relatively mild symptoms of autism will receive a first-time diagnosis of level 1 autism spectrum disorder as well, though this may be reassessed over time.
What Are the Different Types of Autism?
Level 1
Those with level 1 ASD can speak in full sentences and engage in communication but they may struggle with back-and-forth conversation. In addition, their attempts to make friends may appear odd and are typically unsuccessful.
Social communication is categorized as follows for level 1 ASD:6
Without support in place, deficits in social communication cause noticeable impairments
Difficulty initiating social interactions and shows atypical or unsuccessful responses to social cues
May appear to have decreased interest in social interactions
Restricted, repetitive behaviors for level 1 ASD include:6
Inflexibility of behavior causes significant interference with functioning in one or more contexts.
The person has difficulty switching between activities.
Problems of organization and planning hamper independence.
Levels 2 and 3
For level 2 ASD, deficits are apparent even with support in place, and restricted or repetitive behaviors appear frequently enough to be noticeable and interfere with functioning in a variety of contexts.
Level 3 ASD is described as severe deficits that cause severe impairments in functioning and behaviors that are severe and interfere in all contexts.
People with Asperger's syndrome do not exhibit these deficits or levels of impairment in functioning.
Continued Use of the Name
Despite being excluded from the DSM-5, Asperger's syndrome is still used sometimes in both the United States and other countries. A common reason for this is that a diagnosis of ASD can carry stigma, and people who were previously diagnosed with Asperger's syndrome may still identify with the term and prefer it.
A 2017 study analyzing the effect of removing Asperger's syndrome from the DSM found the change "has the potential to threaten the identity of those affected," citing autism as a stigmatizing diagnostic label.7 Some advocacy groups and organizations continue to use the term as well, at least in part because some people continue to identify as having Asperger's, not autism.
Even so, medical consensus continues to move away from the Asperger's syndrome diagnosis. Following the DSM's lead, the 11th revision of the International Classification of Diseases (ICD-11), which took effect on January 1, 2022, has moved Asperger's syndrome under the autism spectrum disorder umbrella. The ICD-11 will be used by all World Health Organization member states.8
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verywellhealth |
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Physical fitness may reduce need for psychiatric medications |
07/09/2023 |
«Being fit doesn't just help your body -- it also helps your mind, a new study reports.People in better physical condition appear to have less need for drugs to treat mood disorders, Norwegian researchers have found.ADVERTISEMENT"We find that people who are in better shape fill fewer prescriptions for anxiety and depression medications," said senior author Linda Ernstsen, an associate professor of public health and nursing at the Norwegian University of Science and Technology in Trondheim.»...
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upi |
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Cardiorespiratory fitness and incident use of anxiolytics and antidepressants in adults. A linkage study between HUNT and the Norwegian Prescription Database - ScienceDirect |
07/09/2023 |
«Abstract BackgroundWe investigated the association between cardiorespiratory fitness (CRF) and incident use of antidepressants or anxiolytics in the general adult population.MethodsA non-exercise prediction model was used to estimate CRF in 32,603 participants in the third wave of the Trøndelag Health Study (HUNT3; 2006-08). Data on first purchase of antidepressants and anxiolytics were obtained from the Norwegian Prescription Database.
Cox regression was used to estimate hazard ratios (HRs).»
[...]
« Results
Each 1- metabolic equivalent of task (MET) increase in CRF was associated with 4 % reduced risk of purchasing antidepressant or anxiolytic medication during follow-up (HR 0.96, 95 % Confidence interval [CI] 0.94–0.98). Compared to the low CRF tertile, participants in intermediate (HR 0.93, 95 % CI 0.87–0.98) and high (HR 0.92, 95 % CI 0.86–0.98) CRF tertiles had reduced risk of medication purchase. Men in intermediate and high CRF tertile had lower risk of medication purchase (intermediate HR 0.87, 95 % CI 0.79–0.96; high HR 0.87, 95 % CI 0.78–0.96). Intermediate and high CRF tertiles were associated with reduced risk of medication use for younger adults (20 to <30 years old; intermediate HR 0.74, 95 % CI 0.61–0.91, high HR 0.78, 95 % CI 0.64–0.95) and middle-aged adults (30 to <65 years old; intermediate HR 0.90, 95 % CI 0.83–0.97, high HR 0.90, 95 % CI 0.84–0.98), but not in older adults (≥65 years old).
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sciencedirect |
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GABA-mediated inhibition in visual feedback neurons fine-tunes Drosophila male courtship - PubMed |
07/09/2023 |
«Abstract Vision is critical for the regulation of mating behaviors in many species. Here, we discovered that the Drosophila ortholog of human GABA A -receptor-associated protein (GABARAP) is required to fine-tune male courtship by modulating the activity of visual feedback neurons, lamina tangential cells (Lat). GABARAP is a ubiquitin-like protein that regulates cell-surface levels of GABA A receptors.
Knocking down GABARAP or GABA A receptors in Lat neurons or hyperactivating them induces male courtship toward other males. Inhibiting Lat neurons, on the other hand, delays copulation by impairing the ability of males to follow females.
Remarkably, the human ortholog of Drosophila GABARAP restores function in Lat neurons. Using in vivo two-photon imaging and optogenetics, we show that Lat neurons are functionally connected to neural circuits that mediate visually-guided courtship pursuits in males.
Our work reveals a novel physiological role for GABARAP in fine-tuning the activity of a visual circuit that tracks a mating partner during courtship.»...
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pubmed.ncbi.nlm.nih |
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New research sheds light on origins of social behaviors |
07/09/2023 |
«New research from Cornell University biologists suggests the fruit fly's visual system, not just chemical receptors, are deeply involved with their social behaviors. The work sheds light on the possible origin of differences in human social behaviors, such as those seen in people with bipolar disorder and autism.The paper, "Visual Feedback Neurons Fine-tune Drosophila Male Courtship via GABA-mediated Inhibition," published in Current Biology on Sept.
5.»...
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sciencedaily |
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Depister le psychotraumatisme des personnes autistes victimes de violences et violences sexuelles - Diagnostic etat de stress post-traumatique ESPT |
04/09/2023 |
«L'état de la littérature scientifique* montre de manière constante que les personnes autistes courent un risque accru de subir des violences ( Hoover, 2015 ; Rumball, 2019 ).Par rapport au groupe témoin, McDonnell et al.
(2019) ont constaté une augmentation significative des taux de violence physique chez les enfants autistes, et les adultes autistes signalent des taux de violence physique pendant l'enfance plus élevés que les témoins non autistes ( Gibbs et al., 2021 ; Weiss & Fardella, 2018 ).S'appuyant sur le rapport des soignants, Mandell et al.
(2005) ont rapporté que 18,5 % des enfants autistes avaient été victimes de violence physique. Le risque accru de victimisation semble se poursuivre à l'âge adulte ( Gibbs et al., 2022 ; Rumball, Brook, et al., 2021 ;Weiss & Fardella, 2018 ), Gibbs et Pellicano (2023) rapportant que la violence était perçue comme si courante par les adultes autistes que de telles expériences étaient devenues normalisées.Les personnes autistes, en particulier les filles et les femmes autistes, courent un risque accru d'être victimes de violences sexuelles ( Bargiela et al., 2016 ; Brown-Lavoie et al., 2014 ; Christoffersen, 2022 ; Dike et al., 2022 ; Gibbs et al.
, 2021 ; Gotby et al., 2018 ; Mandell et al., 2005 ; Pecora et al., 2019 ; Rumball, Brook, et al., 2021 ; Weiss et Fardella, 2018 ) Une récente étude norvégienne met en avant la nécessité du dépistage du syndrome de stress post-traumatique.»
[...]
«Qu’en est-il du repérage psychotraumatique sur cette population à risque ?
Une récente étude norvégienne met en avant la nécessité du dépistage du syndrome de stress post-traumatique.
Étude : Trouble de stress post-traumatique et expériences impliquant des violences ou des violences sexuelels dans un échantillon clinique d’adultes autistes ayant une déficience intellectuelle
Les expériences antérieures impliquant des violences ou des violences sexuelles étaient courantes dans un échantillon clinique d’adultes autistes ayant une déficience intellectuelle, soulignent l’importance du dépistage et de l’évaluation des traumatismes dans cette population.
Peu de participants ont reçu un diagnostic de SSPT ( Syndrome de Stress Post-Traumatique ), ce qui suggère que le SSPT reste un diagnostic sous-utilisé dans cette population. De plus, l’étude précise qu’il est peu probable que les changements émotionnels et comportementaux associés à une expérience traumatisante se reflètent dans les diagnostics de santé mentale de ces personnes.
Plusieurs mécanismes potentiels expliquent ce manque de reconnaissance possibles :
le chevauchement des manifestations comportementales du SSPT et des troubles anxieux/dépressifs,
l’incapacité à explorer la signification du traumatisme pour ces individus,
le diagnostic du SSPT nécessite des déductions plus approfondies que le diagnostic de l’anxiété/dépression chez les individus ayant des compétences de communication verbale limitées,
les professionnel-les de santé s’étant habitués au stress et à l’anxiété chez les personnes autistes, les considèrent donc comme intrinsèques à l’autisme.
Enfin, les associations identifiées entre la violence, les violences sexuelles et une mesure des comportements « difficiles » confirment davantage le lien précédemment identifié entre les symptômes de traumatisme/ESPT ( État de stress post-traumatique ) et les comportements « difficiles ».
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femmesautistesfrancophones |
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Depister le psychotraumatisme des personnes autistes victimes de violences et violences sexuelles - Diagnostic etat de stress post-traumatique ESPT |
04/09/2023 |
«L'état de la littérature scientifique* montre de manière constante que les personnes autistes courent un risque accru de subir des violences ( Hoover, 2015 ; Rumball, 2019 ).Par rapport au groupe témoin, McDonnell et al.
(2019) ont constaté une augmentation significative des taux de violence physique chez les enfants autistes, et les adultes autistes signalent des taux de violence physique pendant l'enfance plus élevés que les témoins non autistes ( Gibbs et al., 2021 ; Weiss & Fardella, 2018 ).S'appuyant sur le rapport des soignants, Mandell et al.
(2005) ont rapporté que 18,5 % des enfants autistes avaient été victimes de violence physique. Le risque accru de victimisation semble se poursuivre à l'âge adulte ( Gibbs et al., 2022 ; Rumball, Brook, et al., 2021 ;Weiss & Fardella, 2018 ), Gibbs et Pellicano (2023) rapportant que la violence était perçue comme si courante par les adultes autistes que de telles expériences étaient devenues normalisées.Les personnes autistes, en particulier les filles et les femmes autistes, courent un risque accru d'être victimes de violences sexuelles ( Bargiela et al., 2016 ; Brown-Lavoie et al., 2014 ; Christoffersen, 2022 ; Dike et al., 2022 ; Gibbs et al.
, 2021 ; Gotby et al., 2018 ; Mandell et al., 2005 ; Pecora et al., 2019 ; Rumball, Brook, et al., 2021 ; Weiss et Fardella, 2018 ) Une récente étude norvégienne met en avant la nécessité du dépistage du syndrome de stress post-traumatique.»
[...]
«Qu’en est-il du repérage psychotraumatique sur cette population à risque ?
Une récente étude norvégienne met en avant la nécessité du dépistage du syndrome de stress post-traumatique.
Étude : Trouble de stress post-traumatique et expériences impliquant des violences ou des violences sexuelels dans un échantillon clinique d’adultes autistes ayant une déficience intellectuelle
Les expériences antérieures impliquant des violences ou des violences sexuelles étaient courantes dans un échantillon clinique d’adultes autistes ayant une déficience intellectuelle, soulignent l’importance du dépistage et de l’évaluation des traumatismes dans cette population.
Peu de participants ont reçu un diagnostic de SSPT ( Syndrome de Stress Post-Traumatique ), ce qui suggère que le SSPT reste un diagnostic sous-utilisé dans cette population. De plus, l’étude précise qu’il est peu probable que les changements émotionnels et comportementaux associés à une expérience traumatisante se reflètent dans les diagnostics de santé mentale de ces personnes.
Plusieurs mécanismes potentiels expliquent ce manque de reconnaissance possibles :
le chevauchement des manifestations comportementales du SSPT et des troubles anxieux/dépressifs,
l’incapacité à explorer la signification du traumatisme pour ces individus,
le diagnostic du SSPT nécessite des déductions plus approfondies que le diagnostic de l’anxiété/dépression chez les individus ayant des compétences de communication verbale limitées,
les professionnel-les de santé s’étant habitués au stress et à l’anxiété chez les personnes autistes, les considèrent donc comme intrinsèques à l’autisme.
Enfin, les associations identifiées entre la violence, les violences sexuelles et une mesure des comportements « difficiles » confirment davantage le lien précédemment identifié entre les symptômes de traumatisme/ESPT ( État de stress post-traumatique ) et les comportements « difficiles ».
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femmesautistesfrancophones |
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Scientists discover new microglial population important for memory and learning |
01/09/2023 |
«Following more than seven years of research, researchers at the University of Seville-IBiS (Institute of Biomedicine of Seville) have identified a new key cell type with a critical role in the developmental processes of memory and learning.
This breakthrough has been published in the prestigious journal Nature Neuroscience.The research, led jointly by the University of Seville-IBiS and Karolinska Institutet, helps to understand how neural systems with decisive functions for human behavior mature.
The in-depth study highlights the role of microglia, a group of cells that has been the subject of substantial information in recent years due to its involvement in various brain pathologies such as Alzheimer's disease.»
[...]
« Microglia and their role in brain development
A group of immune cells found in the central nervous system (CNS) is known as microglia. These cells act as the CNS's first line of defense against injury, infection and other threats. They also play a major role in maintaining neuronal homeostasis, eliminating waste and remodeling synapses (the connections between neurons).
Microglia have historically been defined as the macrophages of the brain, and as such belong to the innate immune system. However, it is a very dynamic cell and it is becoming increasingly clear that this group also plays a decisive role in very important functions of the central nervous system: in brain connectivity, in neurogenesis regulation [the appearance of new neurons], in neuronal excitability regulation, etc.".
José Luis Venero, Professor of Biochemistry and Molecular Biology at the University of Seville and Head Researcher of the Neuronal Ageing Group at IBiS
During the development of the central nervous system, in the early embryonic and early postnatal stages, numerous neural systems are connected. This is what makes up the CNS. Microglia play a key role in this process. Potential alterations during these phases are related to neurodevelopmental diseases such as autism spectrum disorders, bipolar disorders and various cognitive problems.
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news-medical |
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Les chroniques de Caroline Goldman |
01/09/2023 |
«Remarques diverses Confusions de l’éducation positive Le TDAH La dysphorie de genre HPI : idées reçues sur la santé psychologique de nos enfants Faire autorité face à un ado La dépression de l’enfant Une idée de rite de passage adolescent Les critiques formulées par les auditeurs sur la chronique de Caroline Goldman dans la matinale de France Inter sont particulièrement nombreuses et font ressortir des préoccupations importantes liées à l'éthique d'une radio de service public et à sa responsabilité envers ses auditeurs.
Cinq types de critiques ressortent des messages : .»
[...]
«
– L’absence de contradicteurs –
Des auditeurs soulignent l’absence de contradicteurs dans la chronique de Caroline Goldman. Ils remettent en question le choix de lui donner une tribune exclusive sans présenter des points de vue divergents. Ils craignent que ses recommandations assénées avec force soient perçues comme des vérités absolues, malgré la complexité des questions abordées. En somme, des auditeurs estiment que l’absence de débat contradictoire peut être dangereuse pour les parents qui prendraient ses conseils au pied de la lettre.
– La remise en cause de faits scientifiquement établis –
Un point de friction majeur réside dans la remise en cause par Caroline Goldman de faits scientifiques avérés. Les auditeurs sont préoccupés par le manque de vérification des informations délivrées et estiment que cela peut induire le public en erreur. Certains appellent à la prise de parole de spécialistes pour fournir un véritable éclairage médical et scientifique.
– La prédominance de la psychanalyse –
La focalisation sur la psychanalyse dans les interventions de Caroline Goldman suscite également des critiques. Certains auditeurs considèrent que cette orientation étroite nuit à la diversité des approches en psychologie. Ils s’inquiètent du fait que la psychanalyse, considérée comme obsolète dans la plupart des pays du globe, hormis en France, en Belgique, en Suisse et en Argentine, soit promue sur France Inter.
– La culpabilisation des parents –
Certains auditeurs reprochent à Caroline Goldman de culpabiliser les parents dans ses interventions. Ils estiment que son discours peut contribuer à renforcer le sentiment de faute chez certains d’entre eux, dans un contexte où l’éducation et la parentalité sont des sujets sensibles et préoccupent nombre d’entre eux.
– L’autopromotion constante –
Plusieurs auditeurs s’étonnent de l’autopromotion régulière de Caroline Goldman. Ils considèrent que cette pratique nuit à l’intégrité de la chronique et qu’elle peut être perçue comme une publicité déguisée pour ses propres livres et idées. Ce point soulève en effet une question déontologique essentielle
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mediateur.radiofrance |
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Appel a Candidature 2023 ARS/Education Nationale - Creation d'un Dispositif d'AutoRegulation (DAR) experimental dans un lycee professionnel de Correze (19) | Agence regionale de sante Nouvelle-Aquitaine |
01/09/2023 |
«Appel à Candidature médico-social 2023 lancé conjointement par l'ARS et l'Education Nationale - Création d'un Dispositif d'Autorégulation (DAR) expérimental au sein d'un lycée professionnel en Corrèze (19) à destination de 10 jeunes inscrits en lycée professionnel.Ouverture du dispositif prévue le 6 novembre 2023.»...
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nouvelle-aquitaine.ars.sante |
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Decret n° 2023-829 du 29 aout 2023 portant creation de l'Office mineurs (OFMIN) - Legifrance |
30/08/2023 |
«Publics concernés : enquêteurs, autorités judiciaires et administrations de l'Etat (services de la Première ministre, ministère de la justice, ministère de l'intérieur et des outre-mer).Objet : création à la direction nationale de la police judiciaire d'un nouvel office judiciaire dénommé l'Office mineurs (OFMIN).Entrée en vigueur : le décret entre en vigueur le lendemain de sa publication .Notice : le décret crée l'Office mineurs (OFMIN) rattaché à la direction nationale de la police judiciaire.
En réponse à la hausse des atteintes faites aux mineurs, ce nouvel office central de police judiciaire vise à améliorer l'efficacité du traitement judiciaire de ces violences.
Il sera compétent en matière de lutte contre les infractions commises à l'encontre de mineurs, notamment en matière de lutte contre les viols et les agressions sexuelles, y compris incestueux, et leurs tentatives, commis sur un mineur, les homicides, tentatives d'homicides et autres violences graves contre l'intégrité physique ou psychique, commis sur un mineur, les faits de harcèlement et de cyberharcèlement scolaires, ainsi que pour toutes formes d'exploitation des mineurs.
La Première ministre,Sur le rapport du ministre de l'intérieur et des outre-mer et du garde des sceaux, ministre de la justice, Vu le code pénal, notamment son titre II du livre II ;Vu le code de procédure pénale, notamment ses articles R. 15-18, R. 15-21, D. 2 à D. 8-1 ;Vu la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 modifiée relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés ;Vu la loi n° 2023-22 du 24 janvier 2023 d'orientation et de programmation du ministère de l'intérieur, notamment son rapport annexé ;Vu le décret n° 87-389 du 15 juin 1987 modifié relatif à l'organisation des services d'administration centrale ;Vu le décret n° 2003-372 du 15 avril 2003 portant publication du protocole facultatif à la convention relative aux droits de l'enfant, concernant la vente d'enfants, la prostitution des enfants et la pornographie mettant en scène des enfants, fait à New York le 25 mai 2000 ;Vu le décret n° 2006-519 du 6 mai 2006 portant création d'un Office central pour la répression des violences aux personnes ;Vu le décret n° 2013-728 du 12 aout 2013 modifié portant organisation de l'administration centrale du ministère de l'intérieur et du ministère des outre-mer, notamment son article 6 ;Vu le décret n° 2015-510 du 7 mai 2015 modifié portant charte de la déconcentration ;Vu l'avis du comité social d'administration de service central de réseau de la police nationale en date du 15 juin 2023,Décrète :»
[...]
« Article 1
Il est créé un office central dénommé « Office mineurs » (OFMIN), rattaché au ministère de l'intérieur et des outre-mer (direction générale de la police nationale, direction nationale de la police judiciaire).
La direction générale de la gendarmerie nationale est associée aux activités de cet office.
Cet office exerce ses missions en lien avec les services du ministère chargé de l'enfance, du ministère chargé de la jeunesse, du ministère de l'intérieur, du ministère de la justice, du ministère des affaires étrangères, du ministère chargé de l'éducation nationale, du ministère chargé de la santé, et du ministère chargé des sports.
L'action de cet office fait l'objet d'une coordination avec celle des autres offices centraux de police judiciaire exercée par la direction nationale de la police judiciaire.
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Article 2
Sans préjudice de la compétence des autres offices centraux de police judiciaire, l'office est compétent en matière de lutte contre les infractions commises à l'encontre de mineurs, notamment :
• les viols et les agressions sexuelles, y compris incestueux, et leurs tentatives, commis sur un mineur ;
• toutes formes d'exploitation des mineurs ;
• les homicides, tentatives d'homicides et autres violences graves contre l'intégrité physique ou psychique, commis sur un mineur ;
• les faits de harcèlement et de cyberharcèlement scolaires, à l'exception des faits commis dans les circonstances prévues aux articles 132-76 et 132-77 du code pénal.
Versions
Liens relatifs
Article 3
L'office est chargé :
1° De procéder, sur l'ensemble du territoire national, à des enquêtes judiciaires relatives aux infractions entrant dans son champ de compétence et présentant une gravité, une complexité ou une sensibilité particulière, une dimension internationale marquée ou une suspicion de caractère sériel ;
2° D'effectuer ou poursuivre à l'étranger des recherches afférentes aux infractions entrant dans son champ de compétence ;
3° Sous le contrôle de l'autorité judiciaire, d'animer et de coordonner, à l'échelon national et au plan opérationnel, les investigations des services et unités de police judiciaire et les recherches entrant dans son domaine de compétence ;
4° D'assister, à leur demande, les services et unités de police judiciaire, le cas échéant dans le cadre de saisines conjointes décidées par l'autorité judiciaire ;
5° De collecter les signalements et informations opérationnelles auprès de divers services partenaires, français et étrangers, et des organes de coopération policière européenne et internationale et d'assurer l'exploitation de ces informations et leur diffusion à l'ensemble des services concourant à la mission et aux autorités judiciaires, tout en effectuant les liaisons nécessaires aux rapprochements entre services enquêteurs ;
6° De centraliser les informations entrant dans son domaine de compétence et dont les services territoriaux de police et de gendarmerie nationales ont connaissance ;
7° De produire un état de la menace dans son champ de compétence ;
8° De participer avec l'ensemble des partenaires concernés à la définition et à la mise en œuvre des mesures de prévention et de détection des infractions entrant dans son champ de compétence.
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legifrance.gouv |
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Autistic adults show enhanced generosity to socially distant others - Paul AG Forbes, Irini Chaliani, Leonhard Schilbach, Tobias Kalenscher, 2023 |
28/08/2023 |
«Abstract Sharing resources is fundamental for human cooperation and survival. People tend to share resources more with individuals they feel close to compared to those who are more socially distant.
This decline in generosity at increasing social distance is called social discounting and is influenced by both social traits and abilities, such as empathy, and non-social psychological factors, such as decision-making biases.
People who receive a diagnosis of autism show differences in social interaction as well as displaying differences in non-social domains, such as more restricted and repetitive behaviours.
We investigated social discounting in autism and found that autistic adults were more generous than neurotypical participants, which was driven by greater generosity to socially distant others.
Crucially, we also investigated framing effects during prosocial decision-making. Autistic participants were less susceptible to whether decisions were framed as causing monetary gains, compared to preventing monetary losses, for the potential recipient.
Our results support the view of ...˜enhanced rationality' in autism as participants' prosocial decisions were less influenced by potential biasing information, such as the closeness of the recipient or how choices were framed.
Therefore, the differences seen in autism, as well as posing certain challenges, can also have prosocial consequences.»...
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journals.sagepub |
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Social circuits and their dysfunction in autism spectrum disorder | Molecular Psychiatry |
24/08/2023 |
«Abstract Social behaviors, how individuals act cooperatively and competitively with conspecifics, are widely seen across species. Rodents display various social behaviors, and many different behavioral paradigms have been used for investigating their neural circuit bases.
Social behavior is highly vulnerable to brain network dysfunction caused by neurological and neuropsychiatric conditions such as autism spectrum disorders (ASDs). Studying mouse models of ASD provides a promising avenue toward elucidating mechanisms of abnormal social behavior and potential therapeutic targets for treatment.
In this review, we outline recent progress and key findings on neural circuit mechanisms underlying social behavior, with particular emphasis on rodent studies that monitor and manipulate the activity of specific circuits using modern systems neuroscience approaches.
Social behavior is mediated by a distributed brain-wide network among major cortical (e.g., medial prefrontal cortex (mPFC), anterior cingulate cortex, and insular cortex (IC)) and subcortical (e.g., nucleus accumbens, basolateral amygdala (BLA), and ventral tegmental area) structures, influenced by multiple neuromodulatory systems (e.g., oxytocin, dopamine, and serotonin). We particularly draw special attention to IC as a unique cortical area that mediates multisensory integration, encoding of ongoing social interaction, social decision-making, emotion, and empathy.
Additionally, a synthesis of studies investigating ASD mouse models demonstrates that dysfunctions in mPFC-BLA circuitry and neuromodulation are prominent. Pharmacological rescues by local or systemic (e.g., oral) administration of various drugs have provided valuable clues for developing new therapeutic agents for ASD. Future efforts and technological advances will push forward the next frontiers in this field, such as the elucidation of brain-wide network activity and inter-brain neural dynamics during real and virtual social interactions, and the establishment of circuit-based therapy for disorders affecting social functions.»...
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nature |
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Post-traumatic stress disorder and experiences involving violence or sexual abuse in a clinical sample of autistic adults with intellectual disabilities: Prevalence and clinical correlates - Arvid Nikolai Kildahl, Sissel Berge Helverschou, 2023 |
23/08/2023 |
«AbstractAutistic people appear to be at increased risk of post-traumatic stress disorder, and experiences involving violence or sexual abuse appear to be common in this population.
However, knowledge concerning trauma in autistic people with co-occurring intellectual disabilities is limited. In this cross-sectional study, we explored the prevalence of post-traumatic stress disorder, as well as the prevalence and clinical correlates of reported experiences of violence and sexual abuse, in a clinical sample of 88 autistic adults with intellectual disabilities referred for mental health assessment.
Only three participants (3.4%) were diagnosed with post-traumatic stress disorder, even if experiences involving violence (34.1%) or sexual abuse (17.0%) were common. Anxiety and affective disorders were common diagnoses among participants with these experiences.
Controlling for autism characteristics, level of intellectual disability and communication skills, experiences of violence/sexual abuse were found to be associated with a measure of ...˜challenging' behaviours (Aberrant Behaviour Checklist). These results indicate that potentially traumatic experiences are common in autistic adults with intellectual disabilities referred for mental health assessment and that post-traumatic stress disorder may be under-recognised.
The findings highlight the importance of trauma screening and post-traumatic stress disorder assessment, as well as the importance of trauma-informed care, in this population.»...
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journals.sagepub |
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Study identifies best ways of helping teachers adopt supports for students with autism |
20/08/2023 |
«Most teachers will work with students with autism in their careers, often not in a separate special education setting. Evidence-based practices exist to help those educators assist students with accessing content and developing skills.
A new study from the University of Kansas and University of Washington sheds light on the best ways to train teachers so they understand the practices and can implement them in their classrooms.
Research has shown more than a dozen practices to be effective at helping students with autism in general education settings. However, little is known how best to implement them in schools.
Maria Hugh, assistant professor of special education at KU, led a study that surveyed and interviewed more than 85 teachers on the most effective methods of professional development and training to ensure the practices are used properly, effectively and with support for the educators.»...
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phys |
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Une instruction sur le droit de derogation des DG d'ARS |
15/08/2023 |
«ARS longa,vita brevis,occasio praeceps,experimentum periculosum,iudicium difficile....¦ disait Hippocrate (voir ici ; oui c'est fort potache)Bref, 4 siècles avant notre ère, le père traditionnel de la médecine savait déjà que l'ARS est lente (mais avec des effets positifs de long terme) et que toute expérimentation s'avère délicate.Mais cette expérimentation s'est petit à petit imposée pour les ARS comme pour les préfets d'ailleurs.
Avec notamment un décret du 7 avril 2023 prolongeant et amplifiant son devancier de 2017 (I).Or, une instruction interministérielle vient d'être diffusée à cet effet (II).I.»
[...]
« Il sera ainsi désormais possible pour les ARS de déroger à la réglementation en vigueur (mais pas à la loi) lorsque cela permettra d’alléger les démarches administratives, de réduire les délais de procédure ou de favoriser l’accès aux aides publiques. Ce droit de dérogation sera activé au cas par cas, en réponse à un besoin particulier et à des circonstances locales, pour débloquer une situation, accélérer une procédure, simplifier une démarche, et lorsque l’intérêt général le justifie.
Par exemple, les directeurs généraux des ARS pourront simplifier les cahiers des charges imposés dans certaines procédures (labellisation des hôpitaux de proximité, organisation de la permanence des soins, appels à projets dans le secteur médico-social, etc.). Ils pourront aussi accélérer la mise en œuvre de solutions identifiées dans les concertations conduites localement dans le cadre du Conseil national de la refondation en santé. Le principe d’égalité sera bien entendu assuré : une dérogation accordée en réponse à une circonstance particulière devra ainsi être accordée à d’autres situations présentant des circonstances similaires.
Le ministre de la Santé et de la Prévention, et le ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées, feront ensemble régulièrement le bilan des dérogations demandées et accordées par les ARS.
II. La nouvelle instruction interministérielle
A été diffusée l’INSTRUCTION INTERMINISTÉRIELLE N° SGMCAS/Pôle Santé
•ARS/2023/100 du 27 juin 2023 relative à la mise en œuvre du décret n° 2023-260 du 7 avril 2023 relatif au droit de dérogation du directeur général de l’agence régionale de santé (NOR : SPRZ2316708J) que voici :
Cette instruction décrit, donc, les conditions de mise en œuvre du droit de dérogation des directeurs généraux des ARS en application du décret n° 2023-260 du 7 avril 2023.
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Source: http://blog.landot-avocats.net | Source Status
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blog.landot-avocats |
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Stanford's Meta-Study Unravels the Link Between Childhood Trauma and Alexithymia - Gilmore Health News |
10/08/2023 |
«Childhood's Echo in Adulthood Childhood traumas have been observed to cast long, intricate patterns on adult lives. Emotional difficulties in adulthood, especially the profound challenge of identifying and expressing personal emotions, are often predicted by these traumas.
Additionally, the ability to grasp the emotions of others is sometimes hindered by these early experiences.Depressed PersonRead Alexithymia UnveiledThe term ...˜alexithymia' has been introduced to the world, describing the sensation of being overwhelmed by an emotion yet found at a loss for words.
This phenomenon isn't merely a fleeting feeling; it's identified as a persistent trait. Its roots, as research suggests, are often anchored in childhood traumas.Stanford's RevelationsA comprehensive meta-analysis was undertaken by Stanford University.
Published in the esteemed journal Psychological Bulletin, a connection between alexithymia and various forms of childhood maltreatment was unveiled. Alexithymia's association with childhood traumas was solidified by this research.»...
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gilmorehealth |
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Cureus | Early Diagnosis of Autism Spectrum Disorder: A Review and Analysis of the Risks and Benefits | Article |
10/08/2023 |
«Abstract Autism spectrum disorder (ASD) is a neurodevelopmental condition made up of enduring challenges in social communication and interaction and the presence of repetitive and restricted behavior patterns.
Early diagnosis of autism is crucial for timely intervention and improved long-term outcomes. This review aims to explore some of its signs and symptoms, look into some diagnostic tools, and analyze the benefits and risks associated with an early diagnosis of autism.The symptoms of ASD vary from child to child, some of which are: avoidance of eye contact, lack of response to names, excessive fear, and lack of interactive and pretend play.
Early identification of these symptoms by caregivers and healthcare providers facilitates the need for diagnosis and appropriate interventions. Some screening and diagnostic tools that have been found to help make the diagnosis are the Modified Checklist for Autism in Toddlers, Revised with Follow-Up (M-CHAT-R/F), the Social Communication Questionnaire (SCQ), the Parents' Evaluation of Developmental Status (PEDS), and the Childhood Autism Rating Scale (CARS), amongst others.The benefits of early diagnosis include the opportunity for early intervention, which has been shown to enhance developmental outcomes and improve adaptive skills.
Early identification allows for the implementation of specialized interventions tailored to the specific needs of individuals with autism, targeting social communication, language development, and behavioral challenges.
Furthermore, early diagnosis enables families to access appropriate support services, educational resources, and community programs, facilitating better coping mechanisms, reducing parental stress, and increasing adult independence.However, early diagnosis of autism also entails certain risks.
One significant concern is the potential for labeling and stigmatization, which can impact the child's self-esteem and social interactions. There is a risk of overdiagnosis or misdiagnosis, leading to unnecessary interventions and treatments.
Additionally, the diagnostic process can be lengthy, complex, and emotionally challenging for families, requiring comprehensive assessments by multidisciplinary teams.This review highlights the importance of a balanced approach when considering the benefits and risks of early diagnosis.
Early identification allows for timely interventions that significantly improve developmental outcomes and quality of life for individuals with autism. To mitigate the risks, it is crucial to ensure accurate and reliable diagnostic procedures, support families throughout the process, and promote societal awareness and acceptance.
We also highlighted some future directions in the management of autism, including the use of biomarkers and the use of artificial intelligence and learning for diagnosing ASD.»...
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cureus |
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Deux animateurs mis en examen pour abus sexuels sur enfants autistes, huit ans apres la premiere plainte | CNEWS |
08/08/2023 |
«Neuf familles d'enfants autistes avaient porté plainte en 2015 contre plusieurs animateurs d'un institut médico-éducatif de Voiron en Isère, pour abus sexuels. Huit ans plus tard, deux des animateurs ont été mis en examen.Huit ans de combat.
Deux éducateurs d'un institut médico-éducatif, poursuivis pour des agressions sexuelles sur sept enfants autistes, dont un pour viol, ont été mis en examen le 4 juillet dernier par la chambre de l'instruction, a révélé le Parisien ce mardi 8 aout.En 2015, les familles d'enfants autistes placés dans un institut spécialisé à Voiron en Isère, avaient constaté des signes inhabituels et alarmants.
Parmi ces signes, les enfants ont décrit, à leur manière, des abus dont ils auraient été victimes. Par ailleurs, les parents avaient également remarqué des marques physiques sur le corps des enfants.»
[...]
« Alors que les différentes familles ne se connaissaient pas, les dépôts de plaintes se sont multipliés, pour les mêmes faits à chaque fois.
LICENCIÉ DE L'IME POUR DÉTENTION D'IMAGES PÉDOPRONOGRAPHIQUES
Le principal mis en cause, avait été renvoyé de l’IME en 2015 pour téléchargement et détention d’images pédopornographiques. L’homme avait également été soupçonné d’avoir abusé de deux de ses neveux dans le passé, affaires classées sans suite. De son côté, la structure médico-éducative n’avait pas vérifié les antécédents judiciaires de l'animateur au moment du recrutement.
En 2016, l’affaire est classée une première fois. Après la plainte d’une nouvelle victime, la juge a appris que le mis en cause avait été écarté d’un club de football pour comportement inapproprié à l’égard de plusieurs jeunes. Il a nié les faits en bloc une fois placé en garde à vue. Ainsi, la juge avait rendu un non-lieu général en 2020.
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cnews |
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New research examines emotional regulation in infants later diagnosed with autism spectrum disorder |
06/08/2023 |
«A recent study published in Development and Psychopathology sheds light on the emotional and physiological differences observed in siblings of children with autism spectrum disorder (ASD). These siblings have an increased likelihood of being diagnosed with ASD themselves, making their development a crucial area of investigation.Previous research has already identified physiological differences in typical children during emotionally charged tasks.
By unraveling these differences in the context of siblings of children with ASD, we can gain valuable insights into both typical and atypical child development.»
[...]
« The study’s results revealed that at 24 months of age, IL infants who were later classified with ASD displayed notable differences compared to children not classified with ASD. Specifically, they showed higher levels of negative emotions, displayed differences in gaze, and had a greater increase in heart rate during emotionally charged tasks.
The IL infants who were later classified with ASD spent more time looking at the baseline task compared to the other two groups. This means they showed less interest in the emotionally salient tasks.
The IL infants who were later classified with ASD showed a greater increase in heart rate from baseline during the toy removal and negative tasks compared to the LL group. This suggests that they had more intense physiological arousal in response to these emotionally challenging tasks.
These differences could have implications for understanding the underlying mechanisms related to the emergence of ASD symptoms in these children.
While these findings provide crucial information for identifying differences in child development between those with autism and those without, it’s essential to acknowledge certain limitations. The study focused on a specific group of siblings, so the results may not directly apply to children with autism who don’t have siblings with the condition. Additionally, due to pandemic restrictions, some evaluations had to be adapted, and important data such as height and weight measurements were not available.
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psypost |
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Screen time and diagnoses of anxiety and depression in autistic versus neurotypical youth - ScienceDirect |
05/08/2023 |
«AbstractBackgroundAutistic youth engage in higher levels of screen time and are more likely to have mental health conditions (e.g., anxiety and depression) than their neurotypical peers; however, no study has compared the relationship between daily screen time hours and mental health in autistic and neurotypical youth.
Therefore, this study sought to compare the association between parent-reported daily screen time hours and parent-reported anxiety and depression in a large, nationally derived sample of autistic and neurotypical youth (i.e., with data from the National Survey of Children's Health).»
[...]
«Conclusions
Results indicate that autistic children may have a different relationship with electronic screen media than neurotypical children. Whereas neurotypical youth find electronic screen media to be a source of social stress and comparison, autistic youth may not experience screen time as stress-inducing. Supporters (e.g., parents and clinicians) of autistic youth should consider whether the autistic child experiences screen time as promotive, reductive, or neither for their mental health before establishing screen time limits.
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sciencedirect |
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Haifa researchers: Autism linked to neuron development in embryos |
31/07/2023 |
«University of Haifa researchers have discovered a significant association between autism and accelerated development of neurons in embryos.The findings shed new light on the possible origins of autism and open up possibilities for new treatments.
ENTAn estimated 75 million people have autism spectrum disorder, a developmental disability caused by differences in the brain. People on the autistic spectrum frequently have difficulties with social communication and interacting with others, or exhibit repetitive or restricted behaviors.
They often have different ways of learning, moving or paying attention.The research, led by Dr. Shani Stern from the Department of Neurobiology at the University of Haifa, focused on children with autism who had genetic mutations as the underlying cause of their condition.»
[...]
«
“Neurons that develop at a normal rate typically develop defense mechanisms for their complex activities, such as handling ions and neurotransmitters, which can be toxic. The accelerated development we observed in children with autism may have caused them to be exposed to these challenges before having developed adequate protective mechanisms,” explained Stern.
The team’s study was published in Translational Psychiatry, a peer-reviewed journal, earlier in July.
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jns |
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Autism Study Unveils New Genetic Players and Role of Language Delay - Neuroscience News |
31/07/2023 |
«Summary: Researchers shed new light on how genetics may influence the development of autism spectrum disorder (ASD). The study, the largest ever to focus on families with multiple children diagnosed with autism, has revealed seven potential risk genes.
Additionally, it has provided genetic evidence for reconsidering language delay as a key component of ASD. These findings highlight the complex interplay between common and rare genetic variations in determining autism risk.
Key Facts: UCLA Health researchers conducted the largest study to date on families with more than one child diagnosed with autism, uncovering seven potential risk genes. The study highlights the importance of the role of both common and rare inherited genetic variations in autism risk.
Genetic evidence from the study suggests that language delay and dysfunction may be a core component of autism, contrary to the current DSM-5 diagnostic guide.»
[...]
«This helps explains why parents who carry a single rare mutation may not show signs of autism even if their children do. It also lends support to the liability threshold model, a concept in behavioral genetics that holds there is an additive effect of genes that influences the probability that someone develops a certain trait.
In another important finding, children who had language delay had a higher likelihood of inheriting a polygenic score associated with autism, while there was not a similar relationship for children without language delays.
This pattern was specific to autism and was not seen in other traits like educational attainment, schizophrenia or bipolar disorder, suggesting there’s a link between the genetic risk for autism and language delay.
However, the most recent edition of the professional guidebook used by mental health providers to diagnose disorders—the Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, 5th Edition (DSM-5)—does not consider language delay a core autism symptom, citing the variability in language ability among people with autism.
“This association of general risk for ASD that was strongest in those with language delay suggests that language is actually a core component of ASD. This finding needs to be replicated in larger cohorts, especially those recruited more recently under DSM-5,” Geschwind said.
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neurosciencenews |
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The relationship between camouflaging and mental health: Are there differences among subgroups in autistic adults? - Wikke J van der Putten, Audrey JJ Mol, Tulsi A Radhoe, Carolien Torenvliet, Joost A Agelink van Rentergem, Annabeth P Groenman, Hilde M Geurts, 2023 |
27/07/2023 |
«Abstract Camouflaging is hypothesized to play an important role in developing mental health difficulties. But this might not be true for everyone. It remains unclear for whom camouflaging is associated with mental health.
In this preregistered study (AsPredicted #45095), we investigated whether (1) camouflaging and mental health were associated and (2) we could detect subgroups with a different association between camouflaging and mental health.
For this study, 352 autistic adults aged 30-84years filled in, among others, the Dutch Camouflaging Autistic Traits Questionnaire to measure camouflaging and the Symptom Checklist-90 Revised to measure mental health difficulties.
We found a moderate correlation between camouflaging and mental health difficulties (r=0.45). However, there was only a strong association between camouflaging and mental health in a small subgroup, while the association was small in most autistic adults.
For varying levels of negative affect and (to a lesser extent) autism traits, the association between camouflaging and mental health differed, but not for biological sex, age, or educational level.
Thus, while one should be careful with group-based conclusions regarding the (negative) impact of camouflaging, camouflaging can be important to consider in clinical practice, especially for people with a substantial level of negative affect.»...
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journals.sagepub |
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Genetic defects in nerve cells of autistic children develop quickly - The Jerusalem Post |
23/07/2023 |
«A new study undertaken at the University of Haifa has found that among children with autism spectrum disorders (ASD) that result from genetic mutations, there is an accelerated development of cortical neurons even in the fetal stage.
This is followed by a rapid deterioration in the nerve cells, leading among other phenomena to low connectivity. The study found a recurrence of this phenomenon among children with autism originating in four different types of genetic mutations.
It was published in the prestigious journal (part of the Nature group) under the title "Early maturation and hyperexcitability is a shared phenotype of cortical neurons derived from different ASD-associated mutations.".»
[...]
«The results of the study showed that among children with autism, regardless of the genetic mutation, there was an accelerated development of the cortical neurons even in the stage analogous to the fetal stage and during the first months of life, so even at this early stage. The neurons were regarded as “mature” – they created action potentials, had large, strong ionic currents, and even began to form active neural networks.
However. among the control group at this stage of the development, the neurons did not create action potentials, their electric currents were very limited, and they did not form any neural networks.
At the stage when the cortical neurons of the children without autism reached the stage when they began to create action potentials and networks, the neurons of the children with autism already began to deteriorate, as reflected, among other phenomena, in low connectivity. That means that the cortical neurons of children with autism developed rapidly and then deteriorated rapidly.
Stern explained that the early development of the neurons may contribute to this deterioration. “Cortical neurons perform very intricate and complex actions. These may be impaired, for example, by the penetration of ions and neurotransmitters that are liable to be toxic for the neurons; in normal development, they acquire protective mechanisms during the early stages when they are still inactive. It is certainly possible that the accelerated development led them to begin to become active before they had these protective mechanisms, and naturally this is liable to lead to damage.”
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jpost |
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Autistic adults exhibit highly precise representations of others' emotions but a reduced influence of emotion representations on emotion recognition accuracy | Scientific Reports |
23/07/2023 |
«AbstractTo date, studies have not yet established the mechanisms underpinning differences in autistic and non-autistic emotion recognition. The current study first investigated whether autistic and non-autistic adults differed in terms of the precision and/or differentiation of their visual emotion representations and their general matching abilities, and second, explored whether differences therein were related to challenges in accurately recognizing emotional expressions.
To fulfil these aims, 45 autistic and 45 non-autistic individuals completed three tasks employing dynamic point light displays of emotional facial expressions. We identified that autistic individuals had more precise visual emotion representations than their non-autistic counterparts, however, this did not confer any benefit for their emotion recognition.
Whilst for non-autistic people, non-verbal reasoning and the interaction between precision of emotion representations and matching ability predicted emotion recognition, no variables contributed to autistic emotion recognition.
These findings raise the possibility that autistic individuals are less guided by their emotion representations, thus lending support to Bayesian accounts of autism.»...
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nature |
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Teaching people with autism to drive | WVTF |
22/07/2023 |
«As a professor of psychiatry at UVA and director of the driving safety laboratory, Daniel Cox was concerned about people with autism learning to drive. "Generally speaking they are relatively rigid rule-followers who pay close attention to a relatively narrow field of information, and they're quite good at that, Cox explains.
He knew it was an important skill for any young adult. "If you're on the spectrum or have a child who's on the spectrum, there's a huge push toward autonomy and independence, and driving is one part of achieving autonomy and independence." But for most students with autism, driving posed a huge challenge.»...
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wvtf |
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The short and long-term effects of a lifestyle intervention in children with mental illnesses: a randomized controlled trial (Movementss study) | BMC Psychiatry | Full Text |
22/07/2023 |
«Abstract Background A lifestyle including poor diet, physical inactivity, excessive gaming and inadequate sleep hygiene is frequently seen among Dutch children. These lifestyle behaviors can cause long-term health problems later in life.
Unhealthy lifestyle and poor physical health are even more prevalent among children with mental illness (MI) such as autism, attention-deficit/hyperactivity disorder, depression, and anxiety.
However, research on lifestyle interventions among children with MI is lacking. As a result, there are currently no guidelines, or treatment programs where children with MI and poor lifestyle can receive effective support.
To address these issues and to provide insight into the effectiveness of lifestyle interventions in children with MI and their families, the Movementss study was designed. This paper describes the rationale, study design, and methods of an ongoing randomized controlled trial (RCT) comparing the short-term (12 weeks) and long-term (1 year) effects of a lifestyle intervention with care as usual (CAU) in children with MI and an unhealthy lifestyle.»...
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bmcpsychiatry.biomedcentral |
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What happens on the schoolyard? Sensors on clothing reveal painful patterns |
22/07/2023 |
«The design of school playgrounds partially influences whether children play together. This is particularly relevant for more vulnerable students, such as children with hearing impairments or autism.
Researchers examined whether new play objects could break group patterns. However, sensors on the children's clothing revealed that these objects mainly reinforce the position of popular children.
"Some children already experience stomach pain on Sundays at the thought of going to school the next day," says psychologist Carolien Rieffe. She is the lead researcher of the Inclusive School Environment project, a long-term study into the physical and social accessibility of schoolyards.
Not all children feel at ease on the schoolyard and often find themselves standing alone during breaks.»...
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medicalxpress |
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Audio [1/2] Hans Asperger et le programme nazi d'euthanasie des enfants handicapes |
20/07/2023 |
«14:21CopiéVIRGINIE GIROD 05h00, le 19 juillet 2023Découvrez l'histoire du psychiatre Hans Asperger, racontée par l'historienne Virginie Girod dans un récit inédit en deux épisodes.
Dès sa jeunesse, Hans Asperger se prédestine pour la médecine. En Autriche, son pays d'origine, dans les années 1920, une politique "d'eugénisme positive" est mise en place. Les populations dites "inférieurs", les plus pauvres, les porteurs de maladies génétiques ou les handicapés, sont poussées à ne pas se reproduire. A cette époque déjà, c'est à dire bien avant l'arrivée du nazisme en Autriche, les enfants dits "difficiles" peuvent être pris en charge dans des hôpitaux psychiatriques.
En 1925, Hans Asperger est diplômé de médecine. Il travaille dans le service de pédiatrie d'un hôpital de Vienne. Les enfants dont il s'occupe sont considérés comme "asociaux". Bientôt, des idéaux nazis et "d'hygiène raciale" influencent le regard que porte Asperger sur ses petits patients. »...
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europe1 |
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Voice acoustics allow classifying autism spectrum disorder with high accuracy | Translational Psychiatry |
20/07/2023 |
«Abstract Early identification of children on the autism spectrum is crucial for early intervention with long-term positive effects on symptoms and skills. The need for improved objective autism detection tools is emphasized by the poor diagnostic power in current tools.
Here, we aim to evaluate the classification performance of acoustic features of the voice in children with autism spectrum disorder (ASD) with respect to a heterogeneous control group (composed of neurotypical children, children with Developmental Language Disorder [...] and children with sensorineural hearing loss with Cochlear Implant [CI]). This retrospective diagnostic study was conducted at the Child Psychiatry Unit of Tours University Hospital (France). A total of 108 children, including 38 diagnosed with ASD (8.5±0.25years), 24 typically developing (TD; 8.2±0.32years) and 46 children with atypical development (DLD and CI; 7.9±0.36years) were enrolled in our studies.
The acoustic properties of speech samples produced by children in the context of a nonword repetition task were measured. We used a Monte Carlo cross-validation with an ROC (Receiving Operator Characteristic) supervised k-Means clustering algorithm to develop a classification model that can differentially classify a child with an unknown disorder.
We showed that voice acoustics classified autism diagnosis with an overall accuracy of 91% [CI95%, 90.40%-91.65%] against TD children, and of 85% [CI95%, 84.5%-86.6%] against an heterogenous group of non-autistic children.
Accuracy reported here with multivariate analysis combined with Monte Carlo cross-validation is higher than in previous studies. Our findings demonstrate that easy-to-measure voice acoustic parameters could be used as a diagnostic aid tool, specific to ASD»...
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nature |
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Vidéo - Handicap et sterilisations forcees : la fin d'un crime ? - Decryptages - Regarder le documentaire complet | ARTE |
20/07/2023 |
«Handicap et stérilisations forcées : la fin d'un crime ?DécryptagesLire plusDe nombreuses lois en Europe autorisent encore la stérilisation forcée de personnes handicapées.Une directive européenne pourrait bien exiger des Etats membres une interdiction globale de cette pratique jugée validiste.
Ces débats permettent d'ouvrir la parole sur la sexualité mais aussi sur les violences sexuelles vécues par les femmes handicapées.»...
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arte |
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What is Sensory Overload? |
18/07/2023 |
«Causes and symptoms of sensory overloadSensory overload and Autism Spectrum DisorderSensory overload and attention deficit hyperactivity disorderHow is modern life influencing sensory overload?The future of research into overstimulationReferencesFurther readingSensory overload occurs when the brain becomes overwhelmed by the volume or nature of the sensory inputs it receives.
Sensory inputs can be any stimuli that enter through one of the sensory modalities: sight, sound, gustation, olfaction, and tactile sensations. Tactile sensations include responses to pressure and temperature.»...
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news-medical |
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Study finds children with autism have broad memory difficulties |
16/07/2023 |
«According to new Stanford School of Medicine research, children with autism have memory issues that limit not only their ability to remember faces but also their capacity to retain other types of information.
The study discovered that these deficits are represented in unique wiring patterns in the children's brains.The research, which will be published in Biological Psychiatry: Cognitive Neuroscience and Neuroimaging, clarifies a debate about memory function in kids with autism, showing that their memory struggles surpass their ability to form social memories.
The finding should prompt broader thinking about autism in children and about treatment of the developmental disorder, according to the scientists who conducted the study. "Many high-functioning kids with autism go to mainstream schools and receive the same instruction as other kids," said lead author Jin Liu, PhD, a postdoctoral scholar in psychiatry and behavioral sciences.»
[...]
« “Social cognition cannot occur without reliable memory,” said senior author Vinod Menon, PhD, the Rachael L. and Walter F. Nichols, MD, Professor and a professor of psychiatry and behavioral sciences.
“Social behaviors are complex, and they involve multiple brain processes, including associating faces and voices to particular contexts, which require robust episodic memory,” Menon said. “Impairments.
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organiser |
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Cortical somatostatin interneuron subtypes form cell-type-specific circuits - PubMed |
14/07/2023 |
«AbstractThe cardinal classes are a useful simplification of cortical interneuron diversity, but such broad subgroupings gloss over the molecular, morphological, and circuit specificity of interneuron subtypes, most notably among the somatostatin interneuron class.
Although there is evidence that this diversity is functionally relevant, the circuit implications of this diversity are unknown. To address this knowledge gap, we designed a series of genetic strategies to target the breadth of somatostatin interneuron subtypes and found that each subtype possesses a unique laminar organization and stereotyped axonal projection pattern.
Using these strategies, we examined the afferent and efferent connectivity of three subtypes (two Martinotti and one non-Martinotti) and demonstrated that they possess selective connectivity with intratelecephalic or pyramidal tract neurons.
Even when two subtypes targeted the same pyramidal cell type, their synaptic targeting proved selective for particular dendritic compartments. We thus provide evidence that subtypes of somatostatin interneurons form cell-type-specific cortical circuits.»...
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pubmed.ncbi.nlm.nih |
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Economie | Marseille : l'intelligence artificielle au service de la recherche sur les troubles autistiques | La Provence |
11/07/2023 |
«Marseille L'entreprise B&A Biomedical a été fondée par le neuroscientifique Yehezkel Ben-Ari à Marseille. Son équipe travaille sur une méthode de détection précoce des troubles du spectre de l'autisme grâce à l'intelligence artificielle.
Près de 8 000 enfants atteints de troubles du spectre autistique naissent chaque année. La Haute Autorité de Santé estime qu'environ 100 000 jeunes de moins de 20 ans et près de 600 000 adultes sont autistes en France.* Déficit de la communication et des interactions sociales, caractère restreint et répétitif des comportements, manque d'attention et hyperactivité... Ces particularités touchent les individus à des degrés différents.»
[...]
«Pour comprendre comment se forment les réseaux perturbateurs de l'activité cérébrale, les scientifiques de B&A Biomedical ambitionnent d'analyser la pathogénèse, en identifiant dès la naissance les bébés qui seront plus tard diagnostiqués autistes.
"Ce travail de recherche est une première mondiale, s'enorgueillit Yehezkel Ben-Ari, chercheur et CEO de Neurochlore, B&A Oncomedical et B&A Biomedical. Nous recueillons les données de quatre maternités et analysons a posteriori, grâce à la participation d'un pédopsychiatre, les dossiers. Ainsi, nous devrions en recueillir environ 1 000 d'enfants diagnostiqués entre 3 et 5 ans de TSA, et 3 000 d'enfants sans problème neurologique ou psychiatrique. Nous développons un programme type Machine Learning permettant, de façon automatique, d'analyser les images et de compter le nombre de neurones dans chaque structure marquée d'anticorps."
Une détection plus précoce d'enfants atteints de troubles autistiques permettrait de gagner du temps sur le développement de la pathologie car, selon les données scientifiques récoltées, plus un traitement comportemental est entrepris tôt, plus il a de chances de réussir au moment où la plasticité cérébrale est la plus importante. Soit, en début de vie
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laprovence |
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Decret n 2023-575 du 6 juillet 2023 portant adaptation de la composition de la commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapees a la nouvelle organisation territoriale de l'Etat - Legifrance |
08/07/2023 |
«Publics concernés : services déconcentrés de l'Etat, maisons départementales des personnes handicapées.Objet : composition de la commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées.Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication.Notice : le décret adapte la représentation de l'Etat au sein de la commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées à la nouvelle organisation de l'Etat issue du décret du 9 décembre 2020 relatif à l'organisation et aux missions des directions régionales de l'économie, de l'emploi, du travail et des solidarités, des directions départementales de l'emploi, du travail et des solidarités et des directions départementales de l'emploi, du travail des solidarités et de la protection des populations.
Il met également à jour la représentation de l'Etat au sein de la commission à Saint-Pierre-et-Miquelon.Références : le décret et les dispositions du code de l'action sociale et des familles qu'il modifie peuvent être consultés, dans leur rédaction issue de cette modification, sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr).»
[...]
« Article 1
I. - L'article R. 241-24 du code de l'action sociale et des familles est ainsi modifié :
1° Au premier alinéa du 2°, le mot : « Quatre » est remplacé par le mot : « Trois » ;
2° Au a du 2°, les mots : « le directeur régional de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale » sont remplacés par les mots : « le directeur régional de l'économie, de l'emploi, du travail et des solidarités » ;
3° Le b du 2° est abrogé, le c et le d deviennent respectivement b et c ;
4° Au 3°, au 6° et au 8°, les mots : « directeur régional de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale » sont remplacés par les mots : « directeur régional de l'économie, de l'emploi, du travail et des solidarités » ;
5° Au 4°, les mots : « le directeur régional des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi » sont remplacés par les mots : « le directeur départemental de l'emploi, du travail et des solidarités ».
II. - L'article R. 241-27 du même code est ainsi modifié :
1° Le premier alinéa est complété par une phrase ainsi rédigée : « Chaque membre ayant voix délibérative dispose d'une voix, à l'exception du membre mentionné au a du 2° du même article qui dispose de deux voix. » ;
2° Au dernier alinéa, les mots : « au nombre N2 des autres membres présents » sont remplacés par les mots : « au nombre N2 des voix dont disposent les autres membres présents ».
III. - L'article R. 532-4 du même code est ainsi modifié :
1° Au 1°, les mots : « conseil général » sont remplacés par les mots : « conseil territorial » ;
2° Au a du 2° et au 4°, les mots : « chef du service du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle » sont remplacés par les mots : « directeur de la cohésion sociale, du travail, de l'emploi et de la population » ;
3° Au b du 2°, au 3°, au 6° et au 7°, les mots : « chef du service des affaires sanitaires et sociales » sont remplacés par les mots : « représentant de l'Etat, chargé de l'administration territoriale de santé ».
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legifrance.gouv |
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Rapport - Evaluation des Centres Régionaux du Psychotraumatisme : des besoins considérables, des prises en charge insuffisantes, des moyens dérisoires. ÉtoileÉtoileÉtoileÉtoileÉtoile Évaluation des Centres Régionaux du Psychotraumatisme : une situation alarmante |
07/07/2023 |
«Rapport - Evaluation des Centres Régionaux du Psychotraumatisme : des besoins considérables, des prises en charge insuffisantes, des moyens dérisoires. Évaluation des Centres Régionaux du Psychotraumatisme : une situation alarmante Handicap Voir notamment La formation au repérage La méconnaissance/ignorance des troubles . Les vulnérabilités et le déni des violences cachent souvent le traumatisme.»...
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haut-conseil-egalite.gouv |
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Early childhood reading linked to better well-being: study |
03/07/2023 |
«Researchers say children who start reading for pleasure early in life could end up with better test scores and mental health outcomes as teenagers.A study published on June 28 in the journal Psychological Medicine found a strong link between reading an optimal amount of 12 hours a week and improved performance on cognitive tests later in adolescence.»...
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ctvnews |
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« Dans ce milieu, c'est le ''pas de vague'' qui prime » |
30/06/2023 |
«Cet enseignant spécialisé remue ciel et terre depuis plusieurs années pour alerter sur les dysfonctionnements affectant l'accueil des enfants scolarisés dans l'institut médico-éducatif dont il est coordonnateur pédagogique.
Malgré les difficultés, il ne lâche rien.Par Emmanuelle Pirat...” «La discrimination est un délit. Et, en tant que fonctionnaires, nous avons le devoir de le dénoncer. On ne peut pas rester silencieux et être complices du système en y participant.» C'est sur la base de ces principes chevillés au corps qu'Olivier Paolini a osé dénoncer la «sous-scolarisation des enfants en situation de handicap» de l'institut médico-éducatif pour lequel il travaille, dans l'Aude.
Une structure qu'il a intégrée en 2009.»
[...]
«Voyant que ces enfants ne bénéficient pas des temps d’enseignement réglementaires, il commence par alerter sa hiérarchie. En vain. Il se tourne alors vers les services départementaux de l’Éducation nationale. Puis l’inspection académique.
Sur les conseils de son syndicat, il contacte le collège de déontologie du ministère de l’Éducation nationale, qui sera la première instance à lui reconnaître le statut de lanceur d’alerte, en février 2022. Puis le Défenseur des droits, qui, au terme d’une longue procédure, lui accordera également la qualité de lanceur d’alerte, en janvier 2023. Il ira même jusqu’à interpeller les rapporteurs spéciaux de l’ONU pour les droits des enfants handicapés. Évidemment, tout ce ramdam n’est pas du goût de l’« écosystème médico-éducatif, censé être garant de l’éducation des enfants, où tout le monde s’est tellement accommodé de la situation que plus personne ne s’en indigne. Dans ce milieu, c’est le “pas de vague” qui prime ».
Les représailles seront féroces : convocations à répétition, interdiction d’assister aux réunions… « On m’a reproché mon manque de loyauté », ajoute-t-il, amer. Alors, et puisque ses alertes répétées semblent insuffisantes pour faire changer les pratiques au sein de l’établissement, il décide de porter plainte devant le tribunal judiciaire de Carcassonne pour discrimination, atteinte à la dignité humaine et détournement de fonds publics. La procédure est en cours.
Actuellement en arrêt maladie, Olivier Paolini a demandé sa mutation. Cependant, ajoute-t-il : « Je veux partir de cet établissement en ayant été au bout de mon alerte. Que les responsabilités soient établies. Et j’aimerais que mon combat serve à d’autres, qui vivent aussi des situations difficiles mais n’osent pas parler. »
»...
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syndicalismehebdo |
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« Dans ce milieu, c'est le ''pas de vague'' qui prime » |
30/06/2023 |
«Cet enseignant spécialisé remue ciel et terre depuis plusieurs années pour alerter sur les dysfonctionnements affectant l'accueil des enfants scolarisés dans l'institut médico-éducatif dont il est coordonnateur pédagogique.
Malgré les difficultés, il ne lâche rien.Par Emmanuelle Pirat...” Publié le 30/06/2023 à 11h00Olivier Paolini.© DR«La discrimination est un délit. Et, en tant que fonctionnaires, nous avons le devoir de le dénoncer.
On ne peut pas rester silencieux et être complices du système en y participant.» C'est sur la base de ces principes chevillés au corps qu'Olivier Paolini a osé dénoncer la «sous-scolarisation des enfants en situation de handicap» de l'institut médico-éducatif pour lequel il travaille, dans l'Aude.
Une structure qu'il a intégrée en 2009.»
[...]
«Voyant que ces enfants ne bénéficient pas des temps d’enseignement réglementaires, il commence par alerter sa hiérarchie. En vain. Il se tourne alors vers les services départementaux de l’Éducation nationale. Puis l’inspection académique.
Sur les conseils de son syndicat, il contacte le collège de déontologie du ministère de l’Éducation nationale, qui sera la première instance à lui reconnaître le statut de lanceur d’alerte, en février 2022. Puis le Défenseur des droits, qui, au terme d’une longue procédure, lui accordera également la qualité de lanceur d’alerte, en janvier 2023. Il ira même jusqu’à interpeller les rapporteurs spéciaux de l’ONU pour les droits des enfants handicapés. Évidemment, tout ce ramdam n’est pas du goût de l’« écosystème médico-éducatif, censé être garant de l’éducation des enfants, où tout le monde s’est tellement accommodé de la situation que plus personne ne s’en indigne. Dans ce milieu, c’est le “pas de vague” qui prime ».
Les représailles seront féroces : convocations à répétition, interdiction d’assister aux réunions… « On m’a reproché mon manque de loyauté », ajoute-t-il, amer. Alors, et puisque ses alertes répétées semblent insuffisantes pour faire changer les pratiques au sein de l’établissement, il décide de porter plainte devant le tribunal judiciaire de Carcassonne pour discrimination, atteinte à la dignité humaine et détournement de fonds publics. La procédure est en cours.
Actuellement en arrêt maladie, Olivier Paolini a demandé sa mutation. Cependant, ajoute-t-il : « Je veux partir de cet établissement en ayant été au bout de mon alerte. Que les responsabilités soient établies. Et j’aimerais que mon combat serve à d’autres, qui vivent aussi des situations difficiles mais n’osent pas parler. »
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syndicalismehebdo |
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Splitting Complex Post-Traumatic Stress Disorder and Borderline Personality Disorder - Mad In America |
21/06/2023 |
«Complex Post-Traumatic Stress Disorder (C-PTSD) has long been hailed as a beacon of hope in the maze of psychiatric diagnoses, even among those of us who have felt harmed by such labels.
It offers a fresh perspective on the relentless, pervasive trauma that acts more as a sculptor than an event...”a relentless chiseler that etches seemingly indelible patterns and erects defensive fortresses so deeply embedded in our being that they seem less like experiences we've weathered, and more like integral fragments of our identity.When ICD-11, the diagnostic manual used by Europe and half the world, recently acknowledged C-PTSD, it was perceived as a potential breakthrough for those of us profoundly impacted by such trauma.
Expectations were high for increased understanding, empathy, and support. However, the rapidly changing landscape suggests that the recognition of C-PTSD might be a double-edged sword, inadvertently further marginalizing the very individuals it aimed to assist...”those diagnosed with Borderline Personality Disorder (BPD). Why?»...
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madinamerica |
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Autisme : apprendre sur le tard que l'on est atteint ne change pas la vie |
16/06/2023 |
«Autisme : un diagnostic tardif peut-il avoir une incidence sur la qualité de vie ? Une étude de l'Université de Bath et du King's College de Londres (Royaume-Uni) s'est récemment intéressée au diagnostic tardif des troubles du spectre de l'autisme et son incidence sur la qualité de vie des patients.
Ces travaux ont été publiés dans la revue scientifique Autism. Pour les besoins de cette recherche, les chercheurs britanniques ont recruté 300 adultes autistes. Ils les ont notamment interrogés sur l’âge auquel ils avaient reçu leur diagnostic.
Les participants ont également dû fournir des informations précises sur leur contexte sociodémographique (âge actuel, sexe, origine ethnique, emploi, revenu du foyer…) et sur la présence potentielle d’autres troubles de la santé mentale.
Dans un second temps, les volontaires ont répondu à des questions sur leur qualité de vie telles que "Dans quelle mesure pensez-vous que votre vie a un sens ?" et "Êtes-vous satisfait du soutien que vous apportent vos amis ?".»
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« "Il n’existe aucun lien entre l'âge auquel les personnes ont découvert leur autisme et leur qualité de vie"
Pour les besoins de cette recherche, les chercheurs britanniques ont recruté 300 adultes autistes. Ils les ont notamment interrogés sur l’âge auquel ils avaient reçu leur diagnostic. Les participants ont également dû fournir des informations précises sur leur contexte sociodémographique (âge actuel, sexe, origine ethnique, emploi, revenu du foyer…) et sur la présence potentielle d’autres troubles de la santé mentale. Dans un second temps, les volontaires ont répondu à des questions sur leur qualité de vie telles que "Dans quelle mesure pensez-vous que votre vie a un sens ?" et "Êtes-vous satisfait du soutien que vous apportent vos amis ?".
D’après les résultats, un diagnostic tardif de trouble du spectre de l’autisme n’a que très peu d’incidence sur la qualité de vie. "Pour certaines personnes, le fait d'apprendre qu'elles sont autistes plus tôt que plus tard est lié à une meilleure qualité de vie. Pour d'autres, le fait de l'apprendre plus tard était meilleur. Dans l'ensemble, il n’existe aucun lien entre l'âge auquel les personnes ont découvert leur autisme et leur qualité de vie", a souligné Lucy Livingston.
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pourquoidocteur |
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Detection of autism spectrum disorder (ASD) in children and adults using machine learning | Scientific Reports |
14/06/2023 |
«AbstractAutism spectrum disorder (ASD) presents a neurological and developmental disorder that has an impact on the social and cognitive skills of children causing repetitive behaviours, restricted interests, communication problems and difficulty in social interaction.
Early diagnosis of ASD can prevent from its severity and prolonged effects. Federated learning (FL) is one of the most recent techniques that can be applied for accurate ASD diagnoses in early stages or prevention of its long-term effects.
In this article, FL technique has been uniquely applied for autism detection by training two different ML classifiers including logistic regression and support vector machine locally for classification of ASD factors and detection of ASD in children and adults.
Due to FL, results obtained from these classifiers have been transmitted to central server where meta classifier is trained to determine which approach is most accurate in the detection of ASD in children and adults.
Four different ASD patient datasets, each containing more than 600 records of effected children and adults have been obtained from different repository for features extraction.
The proposed model predicted ASD with 98% accuracy (in children) and 81% accuracy (in adults).»...
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nature |
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Sensory-adapted dental clinic reduces stress in autistic children |
14/06/2023 |
«LOS ANGELES, US: Dental visits can be a source of great stress for patients, especially those who have autism. In a recent study, researchers at the University of Southern California (USC) in Los Angeles sought to examine the effect of a sensory-adapted dental environment (SADE) on the physiological stress of autistic children.
They found that certain visual, auditory and tactile sensory adaptations help create a less distressing oral care experience for autistic children, thus enabling their dental care.»...
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dental-tribune |
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Une enquete montre que les profs doivent se former seuls et sur leur temps libre |
08/06/2023 |
«Pour expliquer le manque d'attractivité du métier d'enseignant, le faible niveau des salaires est souvent mis en avant. Mais le manque d'accompagnement explique aussi que les enseignants se sentent seuls et perdent leur motivation.
Selon une étude, ils se forment à 80% par eux-mêmes.La solitude des enseignants. Les professeurs se forment à 80% par eux-mêmes, principalement sur les réseaux sociaux, sur leur temps libre, et à 20% seulement par des formations proposées par l'Education nationale, selon une enquête de l'Observatoire Ecolhuma, une association qui accompagne les enseignants et les chefs d'établissements.»
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« Internet et les réseaux sociaux plutôt que l'Éducation nationale
Parmi les pays européens, la France est la plus mauvaise élève en matière de formation continue des enseignants. Avec moins de jours de formation et des délais trop longs. "Ça peut prendre parfois jusqu'à un an parce qu'il faut avoir un certain nombre de candidats pour que notre demande de formation soit validée", précise Francine, professeur en lycée professionnel. "Il faut qu'il y ait parfois un regroupement entre deux établissements, donc les délais peuvent être longs."
Comme Francine, les professeurs se débrouillent souvent seuls et se forment principalement sur les réseaux sociaux et sur internet. "Je le fais pour des raisons d'efficacité et de rapidité", dit-elle. "On est dans un métier qui nous demande d'être réactifs et parfois on a besoin de réponses immédiates, donc c'est à travers ces supports que je trouve les réponses pour accompagner au mieux mes élèves."
Cette enseignante a même suivi un MOOC, un cours en ligne, de l'université de Laval, au Québec. "Par exemple, par rapport au décrochage scolaire, j'ai eu besoin de chercher des informations, pour pouvoir répondre au mieux à la problématique de mon établissement", détaille-t-elle. "Je me suis aussi formée quand nous avons accueilli un élève qui avait un syndrome bien particulier pour pouvoir l'aider à éviter les situations de stress et ne pas aggraver son mal-être au quotidien, c'est-à-dire lui permettre d'évoluer dans notre établissement dans les meilleures conditions possibles."
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radiofrance |
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New meta-analysis explores the link between adult alexithymia and all forms of child maltreatment |
06/06/2023 |
«Have you ever wanted to convey a feeling but just couldn't find the right words? Millions of people struggle with a personality trait known as alexithymia, which means "no words for feelings." Individuals with alexithymia have difficulty identifying and describing their emotions.
This trait can harm their social and intimate relationships. They are likely to miss social cues and thus fail to recognize or understand the feelings of others. Past research has suggested that a history of child maltreatment could play a role in developing adult alexithymia.A new meta-analysis published this month in Psychological Bulletin, led by Stanford University researchers, is the first study to synthesize empirical evidence in global literature on links between adult alexithymia and all forms of child maltreatment."We can say now with more confidence that these phenomena - child maltreatment and alexithymia - are related to each other to a great extent," said senior co-author Anat Talmon, who supervised the study as a postdoctoral research fellow at Stanford University and currently serves as an assistant professor with the Paul Baerwald School of Social Work and Social Welfare at the Hebrew University of Jerusalem.»...
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news-medical |
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Capturing autism's sleep problems with devices nearable and wearable | Spectrum | Autism Research News |
06/06/2023 |
«Autism scientists have long been on a quest to crack the condition's sleep conundrum. Problems with falling and staying asleep are not typically considered a core trait of autism, but they are exceedingly common among autistic people and have compound effects: They can exacerbate a range of autism traits and are linked to greater difficulties with daily functioning.But to track and assess what goes on in the body during sleep ...” historically at least ...” research participants have had to sleep in a lab, tucked up in a web of cumbersome equipment: The gold-standard approach, polysomnography, temporarily turns a sleeper into something resembling the prey of a giant electrical spider, bound in electrodes and wire leads that capture brain activity via electroencephalography (EEG), and breathing and body position, among other measures.This scenario is uncomfortable enough for neurotypical people, never mind someone with autism who may also have anxiety and sensory, communication or behavioral difficulties, notes Beth Ann Malow, professor of neurology and pediatrics at Vanderbilt University in Nashville, Tennessee."The question is, are you really getting a valid night's sleep [under those conditions]?"»...
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spectrumnews |
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France : sterilisation des femmes handicapees, le consentement en jeu (episode 2/5) | Euronews |
06/06/2023 |
«Dans une petite clinique gynécologique de Paris, Béatrice Idiard-Chamois, une sage-femme, accueille une nouvelle patiente. Il s'agit d'une jeune femme, autiste, et qui ne parle pas.
Elle est accompagnée de sa mère et d'une sage-femme qui travaille au sein de l'établissement pour personnes handicapées où elle va être admise.La mère réclame une ligature des trompes de sa fille, qui n'a jamais eu de relations sexuelles. La consultation se déroule sans encombre et Béatrice Idiard-Chamois procède à un examen externe. La patiente, bien qu'incapable de parler en raison de son handicap, n'exprime aucun désaccord.
Mais la sage-femme qui réalise l'examen médical refuse la demande de stérilisation et propose une alternative, qu'accepteront finalement les parents.»
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«En France, 500 femmes handicapées sont stérilisées chaque année
"Les centres d'hébergements pour adultes handicapés demandent toujours aux résidentes de prendre des contraceptifs pour être acceptées", explique Béatrice Idiard-Chamois, car "cela évite les problèmes". Dans plus de cent cas qu'elle a traités, les femmes en situation de handicap du centre parisien de Montsouris étaient sous traitement contraceptif.
"C'est le centre qui donne la pilule aux femmes de la clinique. Elle est prescrite par un psychiatre, mais aucun médecin spécialisé ne donne son avis. Ils donnent la même pilule à toutes les femmes sans examen gynécologique", ajoute-t-elle.
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fr.euronews |
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Catatonie : elle se reveille apres avoir recu un traitement contre le lupus |
05/06/2023 |
«Après une telle durée, on pense généralement que les choses n'évolueront plus...¦ Et pourtant, après avoir passé 20 ans en psychiatrie, April Burrell a vu une amélioration de son état si importante qu'elle a réussi à sortir de l'hôpital et se réadapter à la vie normale. Schizophrénie et catatonie, deux troubles psychiatriquesL'histoire, relatée par le Washington Post, commence lorsqu'April Burrell avait 21 ans.
Alors que la patiente est encore étudiante, elle est diagnostiquée comme schizophrène, avec une forme sévère. En parallèle, elle est aussi atteinte de catatonie, définie par la Haute Autorité de Santé (HAS) comme un syndrome psychomoteur complexe qui associe des signes comportementaux, moteurs et neurovégétatifs. Parmi les symptômes de la catatonie, il y a la stupeur (absence d'activité psychomotrice, pas d'interaction avec l'environnement), l'agitation (sans lien avec des stimuli externes), le mutisme (absence ou quasi-absence de réponse verbale), le négativisme (opposition ou absence de réponse à des instructions ou à des stimuli), etc...»
[...]
« Un traitement contre le lupus améliore ses troubles psychiatriques
Pour April Burrell, les principaux symptômes sont surtout l’incapacité à communiquer, à prendre soin d’elle, à avoir des souvenirs lointains, à reconnaître des membres de sa famille.
En raison de ses deux troubles psychiatriques, la jeune femme est rapidement internée en psychiatrie et y restera pendant 20 ans… Jusqu’en 2018, moment où Sander Markx, un psychiatre américain, étudie son cas. Pour lui, les symptômes dont elle souffre pourraient aussi être ceux du lupus, une maladie chronique auto-immune.
Après confirmation du diagnostic, elle entame un traitement contre le lupus. En à peine six mois, cette prise en charge améliore très nettement son état cognitif. Ainsi, elle retrouve ses souvenirs et reconnaît les membres de sa famille. En 2020, elle sort de l’hôpital et intégré à un centre de réadaptation.
Ce cas montre que certains patients que l’on croit atteints de schizophrénie peuvent en réalité souffrir d’une autre pathologie, ici le lupus. Ainsi, traiter cette maladie pourrait améliorer leur état général.
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pourquoidocteur |
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Catatonie : elle se reveille apres avoir recu un traitement contre le lupus |
05/06/2023 |
«Après une telle durée, on pense généralement que les choses n'évolueront plus...¦ Et pourtant, après avoir passé 20 ans en psychiatrie, April Burrell a vu une amélioration de son état si importante qu'elle a réussi à sortir de l'hôpital et se réadapter à la vie normale. Schizophrénie et catatonie, deux troubles psychiatriquesL'histoire, relatée par le Washington Post, commence lorsqu'April Burrell avait 21 ans.
Alors que la patiente est encore étudiante, elle est diagnostiquée comme schizophrène, avec une forme sévère. En parallèle, elle est aussi atteinte de catatonie, définie par la Haute Autorité de Santé (HAS) comme un syndrome psychomoteur complexe qui associe des signes comportementaux, moteurs et neurovégétatifs. Parmi les symptômes de la catatonie, il y a la stupeur (absence d'activité psychomotrice, pas d'interaction avec l'environnement), l'agitation (sans lien avec des stimuli externes), le mutisme (absence ou quasi-absence de réponse verbale), le négativisme (opposition ou absence de réponse à des instructions ou à des stimuli), etc...»
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« Un traitement contre le lupus améliore ses troubles psychiatriques
Pour April Burrell, les principaux symptômes sont surtout l’incapacité à communiquer, à prendre soin d’elle, à avoir des souvenirs lointains, à reconnaître des membres de sa famille.
En raison de ses deux troubles psychiatriques, la jeune femme est rapidement internée en psychiatrie et y restera pendant 20 ans… Jusqu’en 2018, moment où Sander Markx, un psychiatre américain, étudie son cas. Pour lui, les symptômes dont elle souffre pourraient aussi être ceux du lupus, une maladie chronique auto-immune.
Après confirmation du diagnostic, elle entame un traitement contre le lupus. En à peine six mois, cette prise en charge améliore très nettement son état cognitif. Ainsi, elle retrouve ses souvenirs et reconnaît les membres de sa famille. En 2020, elle sort de l’hôpital et intégré à un centre de réadaptation.
Ce cas montre que certains patients que l’on croit atteints de schizophrénie peuvent en réalité souffrir d’une autre pathologie, ici le lupus. Ainsi, traiter cette maladie pourrait améliorer leur état général.
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pourquoidocteur |
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How autoimmune disease can attack the brain, cause psychiatric symptoms - The Washington Post |
02/06/2023 |
«The young woman was catatonic, stuck at the nurses' station ” unmoving, unblinking and unknowing of where or who she was.Her name was April Burrell.Before she became a patient, April had been an outgoing, straight-A student majoring in accounting at the University of Maryland Eastern Shore.
But after a traumatic event when she was 21, April suddenly developed psychosis and became lost in a constant state of visual and auditory hallucinations. The former high school valedictorian could no longer communicate, bathe or take care of herself.»
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Changing psychiatric care
How many people ultimately will be helped by the research remains a subject of debate in the scientific community. But the research has spurred excitement about the potential to better understand what is going on in the brain during serious mental illness.
“I think we, as basic neuroscientists, are now in a position, both conceptually and technologically, to contribute, and it’s our responsibility to do so,” said Richard Axel, Nobel laureate and co-director of Columbia’s Zuckerman Mind Brain Behavior Institute.
Emerging research has implicated inflammation and immunological dysfunction as potential players in a variety of neuropsychiatric conditions, including schizophrenia, depression and autism.
“It opens new treatment possibilities to patients that used to be treated very differently,” said Ludger Tebartz van Elst, a professor of psychiatry and psychotherapy at University Medical Clinic Freiburg in Germany.
In one study, published last year in Molecular Psychiatry, Tebartz van Elst and his colleagues identified 91 psychiatric patients with suspected autoimmune diseases, and reported that immunotherapies benefited the majority of them.
Belinda Lennox, head of the psychiatry department at the University of Oxford, is enrolling patients in clinical trials to test the effectiveness of immunotherapy for autoimmune psychosis patients.
In addition to more common autoimmune conditions, researchers also have identified 17 diseases, many with different neurological and psychiatric symptoms, in which antibodies specifically target neurons, said Josep Dalmau, a neurologist at the University of Barcelona Hospital Clinic. Dalmau first identified one of the most common of these diseases, called anti-NMDA receptor autoimmune encephalitis.
As a result of the research, screenings for immunological markers in psychotic patients are already routine in Germany, where psychiatrists regularly collect samples from cerebrospinal fluid.
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washingtonpost |
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Language Impairments Unraveled: How Mutations in a Language Gene Produce Speech Deficits |
24/05/2023 |
«Faulty versions of the Foxp2 gene disrupt neurons' ability to form synapses in brain regions involved in speech, a new study shows.Mutations of a gene called Foxp2 have been linked to a type of speech disorder called apraxia that makes it difficult to produce sequences of sound.
A new study from MIT and National Yang Ming Chiao Tung University sheds light on how this gene controls the ability to produce speech.In a study of mice, the researchers found that mutations in Foxp2 disrupt the formation of dendrites and neuronal synapses in the brain's striatum, which plays important roles in the control of movement.
Mice with these mutations also showed impairments in their ability to produce the high-frequency sounds that they use to communicate with other mice.Those malfunctions arise because Foxp2 mutations prevent the proper assembly of motor proteins, which move molecules within cells, the researchers found."These mice have abnormal vocalizations, and in the striatum there are many cellular abnormalities," says Ann Graybiel, an MIT Institute Professor, a member of MIT's McGovern Institute for Brain Research, and an author of the paper.
"This was an exciting finding. Who would have thought that a speech problem might come from little motors inside cells?" .»
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«In the new study, the researchers wanted to explore how the Foxp2 mutation that has been linked with apraxia affects speech production, using ultrasonic vocalizations in mice as a proxy for speech. Many rodents and other animals such as bats produce these vocalizations to communicate with each other.
While previous studies, including the work by Liu and Graybiel in 2016, had suggested that Foxp2 affects dendrite growth and synapse formation, the mechanism for how that occurs was not known. In the new study, led by Liu, the researchers investigated one proposed mechanism, which is that Foxp2 affects motor proteins.
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scitechdaily |
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Decision sur le bien-fonde :Forum europeen des personnes handicapees (EDF) et Inclusion Europe c. France, reclamation n° 168/2018 |
17/05/2023 |
«Forum européen des personnes handicapées (EDF) et Inclusion Europe c. France Réclamation n° 168/2018 Le Comité européen des droits sociaux, comité d'experts indépendants institué en vertu de l'article 25 de la Charte sociale européenne (« le Comité »), au cours de sa 330e session dans la composition suivante : Karin LUKAS, Présidente Eliane CHEMLA, Vice-Présidente Aoife NOLAN, Vice-Présidente Giuseppe PALMISANO, Rapporteur général Jozsef HAJDUBarbara KRESAL Kristine DUPATE Karin Møhl LARSEN Yusuf BALCI Tatiana PUIU George THEODOSIS Mario VINKOVIC Miriam KULLMANN Assisté de Henrik KRISTENSEN, Secrétaire exécutif adjoint Après avoir délibéré les 18 mai, 6 juillet, 14 septembre et 19 octobre 2022, Sur la base du rapport présenté par Aoife NOLAN, Rend la décision suivante adoptée à cette dernière date :.. .»
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« PROCÉDURE
La réclamation présentée par le Forum européen des personnes handicapées (EDF) et Inclusion Europe a été enregistrée le mai 2018.
Les organisations réclamantes allèguent que la France n’a pas mis en œuvre les mesures nécessaires pour garantir dans les faits :
• l’accès suffisant et effectif des personnes handicapées aux services d’aide social et équipements (article 15§3 de la Charte), notamment à ceux qui sont destinés à intégrer les enfants handicapés dans les écoles ordinaires (article 15§3 lu seul et/ou en combinaison avec l’article E de la Charte sociale européenne révisée (« la Charte »)) ;
• l’accès égal et effectif des personnes handicapées aux services sociaux (article 14§1 lu seul ou en combinaison avec l’article E de la Charte) ;
• le droit à la protection contre la pauvreté et l’exclusion sociale (article 30 de la Charte) ;
• l’accès égal et effectif des personnes handicapées au logement (article 31§1 et 3 lu seul et/ou en combinaison avec l’article E) ;
• la jouissance effective, pleine et entière des personnes handicapées, à l’égal du reste de la population, du droit à la protection de la santé en raison notamment du manque d’accessibilité de ces services (article 11§1 de la Charte lu seul et/ou en combinaison avec l’article E).
Les organisations réclamantes soutiennent, en outre, qu’en n’assurant pas un accès effectif des personnes handicapées à une vie autonome et incluse dans la société, la France manque à son devoir de protection envers les familles de ces personnes, ce qui place ces familles dans une situation de fragilité et de désavantage (article 16 lu seul et/ou en combinaison avec l’article E).
Enfin, selon les organisations réclamantes, l’absence d’accès suffisant des personnes handicapées aux services de proximité spécifiques, y compris à l’aide personnelle et aux services destinés à la population générale, entrave la conciliation entre vie familiale et vie professionnelle des travailleurs qui assurent en tout ou en partie l’accompagnement de leur(s) proche(s) handicapé(s), par rapport aux autres travailleurs ayant des responsabilités familiales (article 27§1 lu seul et/ou en combinaison avec l’article E de la Charte).
Le 16 octobre 2018, le Comité a déclaré la réclamation recevable, conformément à l'article 6 du Protocole additionnel à la Charte sociale européenne prévoyant un système de réclamations collectives ("le Protocole").
Dans sa décision sur la recevabilité, le Comité a invité le Gouvernement à soumettre par écrit, avant le 19 décembre 2018, un mémoire sur le bien-fondé de la réclamation en application de l’article 7§1 du Protocole et de l’article 31§1 du Règlement du Comité (« le Règlement »).
En application de l’article 7§§1 et 2 du Protocole et de l’article 32§§1 et 2 de son Règlement, le Comité a invité les États parties au Protocole et les États ayant fait une déclaration au titre de l’article D§2 de la Charte, ainsi que les organisations internationales d’employeurs ou de travailleurs visées à l’article 27§2 de la Charte de 1961, à lui transmettre leurs éventuelles observations sur le bien-fondé de la réclamation avant le 19 décembre 2018.
Conformément à l’article 7§1 du Protocole et en application de l’article 28§2 du Règlement, le Président du Comité a décidé, à la demande du Gouvernement défendeur, de proroger au 15 janvier 2019 la date limite de présentation du mémoire du Gouvernement sur le bien-fondé de la réclamation. Le mémoire du Gouvernement sur le bien-fondé de la réclamation a été enregistré au secrétariat le 15 janvier 2019.
Le 22 janvier 2019, conformément à l’article 31§2 du Règlement, le Président du Comité a invité EDF et Inclusion Europe à soumettre une réplique à ce mémoire avant le 20 mars 2019. La réplique d’EDF et Inclusion Europe a été enregistrée le 20 mars 2019.
Conformément à l’article 31§3 du Règlement, le Président du Comité a invité le Gouvernement à soumettre une nouvelle réplique avant le 10 mai 2019.
En réponse à la lettre du 5 mars 2020 de la présidence de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (ci-après « CNCDH ») demandant l’autorisation de soumettre des observations dans le cadre de la présente réclamation, le Président du Comité a invité, conformément à l’article 32A§1 du Règlement, la CNCDH à soumettre des observations écrites sur la présente espèce avant le 14 avril 2020. Les observations de la CNCDH ont été enregistrées le 4 juin 2020.
La réponse du Gouvernement aux observations de la CNCDH a été enregistrée au secrétariat le 7 décembre 2020.
A la suite de la demande de la Défenseure française des droits de soumettre des observations dans le cadre de la présente réclamation, le Président du Comité a invité, conformément au Protocole et à l’article 32A§1 du Règlement, la Défenseure des droits à soumettre ses observations écrites sur la présente espèce avant le 31 mars 2021. Les observations de la Défenseure des droits ont été enregistrées le 26 mars 2021. Le Président du Comité a invité les organisations réclamantes et le Gouvernement à soumettre d’éventuelles réponses à ces observations avant le 25 mai 2021.
Conformément à l’article 7 du Protocole et à l’article 28§2 du Règlement, le Président du Comité a accepté la demande du Gouvernement et prorogé le délai pour soumettre sa réplique aux observations de la Défenseure des droits au 11 juin 2021. La réponse du Gouvernement a été enregistrée le 16 juin 2021.
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hudoc.esc.coe |
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DREES Les proches aidants : une population hétérogène |
17/05/2023 |
«1 Synthèse Les proches aidants : une population hétérogène Proposition de grille d’analyse pour rendre compte de la diversité des situations des proches aidants de personnes vivant à domicile et cerner celles dont le vécu est le plus difficile Thomas Blavet (DREES, Institut des Politiques Publiques, Paris School of Economics), Yann Caenen (DREES)»...
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drees.solidarites-sante.gouv |
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L'IME de Marzy au bord de l'implosion, des salaries et parents denoncent un management de fer menant a des maltraitances - Marzy (58180) |
15/05/2023 |
«Un établissement au bord du gouffre, un climat social délétère, du harcèlement ? C'est la situation que décrivent des salariés et des parents d'élèves de l'IME Claude-Joly à Marzy.
Cet établissement médico-social de la Sauvegarde 58, a connu 10 démissions en 2022 et presque autant d'arrêts maladie pour "burn-out". En cause, deux cheffes de services désignées comme responsables.
La direction reconnait des négligences, mais se défend.Rien ne va plus à l'IME Claude-Joly de Marzy (Institut médico-éducatif) ? C'est en tout cas ce que laissent penser des salariés, des parents d'enfants suivis, et l'ancienne directrice adjointe.»
[...]
« Au sujet des maltraitances, l’ancienne directrice adjointe déclare dans le rapport que : "L’IME Claude-Joly n’est pas réellement sensibilisé à la question de la bientraitance. Bien au contraire, la maltraitance et la négligence sont de rigueur. Sur le groupe 'enfance' et 'préados' la maltraitance et la malveillance sont prégnantes. Sur le groupe 'enfance', des faits ont été relatés par les professionnels, des écrits ont été transmis aux cheffes de service et sont restés sans aucune réponse."
»...
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lejdc |
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Vidéo Replay Cassée debout - La France en Vrai - Auvergne - Rhone-Alpes les replays et videos en streaming Auvergne-Rhone-Alpes |
15/05/2023 |
«Cassée debout dresse le portrait d'une femme en lutte pour épargner la destinée des autres, tout en refondant sa propre existence. Les mots de Marie Rabatel sont d'autant plus précieux qu'ils sont rares.
Dans la salutaire vague de libération mondiale de la parole, celle des personnes en situation de handicap peine à se faire entendre, alors qu'elles sont au moins deux fois plus victimes de violences sexuelles.
90 % des femmes autistes, comme Marie, ont en subi. Les enfants ayant une déficience intellectuelle ont cinq fois plus de risques d'être victimes d'abus sexuels que les autres enfants.
Pour faire avancer cette cause qu'elle incarne de toute son âme et dans sa chair, Marie Rabatel enchaine actions et prises de parole. Cette bataille, Marie la mène pour les autres.
En ce qui la concerne, c'est trop tard. Cassée par les violences qu'elle a subies, elle vit désormais par le combat et pour le combat.»...
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france3-regions.francetvinfo |
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Psychoeducation or Psychiatric Contagion? Social Media and Self-Diagnosis |
08/05/2023 |
«SPECIAL REPORT: CHILD AND ADOLESCENT PSYCHIATRY"I have autism. All my friends say so," announced "Asher," the cheerful nonbinary 17-year-old sitting in my office. "I need a diagnosis for school so I can be excused from class when I get overwhelmed." I was taken aback.
Asher was one of the most engaging, expressive, and social adolescents in our Partial Hospital program, and they had no history of developmental concerns of any kind. Subsequent interviews with their mother, teacher, and therapist revealed no symptoms related to autism, except for sensitivity to loud noises.
However, relating my opinion to Asher that they do not have autism was met not with relief but frustration: "I do have autism. You just don't get it." As clinicians, we can and should help all patients pursue healthy ways to address unmet psychological needs, including these patients influenced by social media.
For example, if a patient reports online ruminations about depression function to garner social support, we may encourage that patient to meet this need elsewhere, such as engaging in team sports or after-school activities that provide social opportunities, or arranging in-person recreational time with a peer or family member.
For adolescents whose social media involvement appears excessive, scheduled breaks may be helpful, such as implementing a new practice of removing screen media from the bedroom or moving the screens to another room during family dinner or homework.
In cases in which online access threatens safety or severely impairs functioning, we may consider advising parents to remove internet access entirely for a limited time as a last resort, while also preparing for the contingency that doing so may provoke a crisis, as may be the case for patients who are psychologically dependent on social media connection.»
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«Concluding Thoughts
As clinicians, we can and should help all patients pursue healthy ways to address unmet psychological needs, including these patients influenced by social media. For example, if a patient reports online ruminations about depression function to garner social support, we may encourage that patient to meet this need elsewhere, such as engaging in team sports or after-school activities that provide social opportunities, or arranging in-person recreational time with a peer or family member. For adolescents whose social media involvement appears excessive, scheduled breaks may be helpful, such as implementing a new practice of removing screen media from the bedroom or moving the screens to another room during family dinner or homework. In cases in which online access threatens safety or severely impairs functioning, we may consider advising parents to remove internet access entirely for a limited time as a last resort, while also preparing for the contingency that doing so may provoke a crisis, as may be the case for patients who are psychologically dependent on social media connection.
The internal lives of adolescents are increasingly influenced by social media interactions, and it is the responsibility of mental health practitioners to incorporate an understanding of this process into assessment and treatment. We must be influencers of a different kind.
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psychiatrictimes |
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Rapport DdD - Examen de la France - 2702e reunion, 93e session, Comite des droits de l'enfant (CRC) 09 mai 2023x |
08/05/2023 |
«2702e réunion, 93e session, Comité des droits de l'enfant (CRC) 09 mai 2023 Examen de la France Rapport du Défenseur des droits au Comité des droits de l’enfant des Nations-Unies Décembre 2022 Dans ce nouveau rapport du Défenseur des droits sur l’effectivité de la Convention internationale des droits de l’enfant1 , en réponse au rapport déposé par le gouvernement français auprès du Comité le 11 juillet 2022, l’appréciation objective et indépendante que notre institution porte est en demi-teinte.»
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q) ENFANTS HANDICAPES
La scolarisation des enfants handicapés (école inclusive)
Si la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019 pour une École de la confiance renforce dans son chapitre IV l’école inclusive, les saisines adressées au Défenseur des droits mettent en lumière la persistance de graves entraves dans l’égal accès à l’éducation des enfants en situation de handicap.
Ces difficultés ont notamment été soulignées par la Défenseure des droits dans son rapport parallèle de juin 2021 adressé dans la perspective de l’examen de la France sur la mise en œuvre de la CIDPH1.
De manière générale, la Défenseure des droits constate toujours que, faute d’un environnement scolaire inclusif, l’école demande encore trop souvent aux enfants en situation de handicap de s’adapter, au risque de les stigmatiser et, in fine, de les exclure.
Sur Twitter quelques morceaux choisis comme :
Au programme 🇫🇷
les MDPH orientent de plus en plus ... certains élèves en IME...selon des critères opaques ...
La @Defenseurdroits constate par ailleurs que le droit à l’éducation n’est pas toujours effectif dans les IME
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Source: http://inclure.fr | Source Status
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inclure |
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Misdiagnosis of Autism for Mental and Personality Disorders | Psychology Today |
06/05/2023 |
«KEY POINTS Autistic adults often first come into contact with medical services because of symptoms of depression, anxiety, or suicidality.Because of this, autism is sometimes misdiagnosed for other conditions...” including mood disorders, ADHD, and personality disorders.Gendered assumptions mean women are more likely to be diagnosed with personality disorders and men with mood or behavioral disorders.»
[...]
«Anyone who feels they have been misdiagnosed should talk to their healthcare provider to get an accurate diagnosis and appropriate treatment.
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psychologytoday |
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Kids with nonverbal autism may still understand much spoken language |
05/05/2023 |
«About a third of children with autism aren't able to speak...”but that doesn't mean they're unable to listen and comprehend, a new study reports.About 1 in 4 kids and teens who have autism and are minimally verbal understand significantly more language than they're able to produce, said lead researcher Yanru Chen, a postdoctoral associate with the Center for Autism Research Excellence at Boston University.The study also revealed that children with better motor and social skills had a greater chance of understanding what people are saying, even if they can't speak themselves."Our findings highlight the importance of supporting language comprehension development in [these] individuals," Chen said.
"Clinicians and therapists should consider these skills when planning and implementing interventions, providing instructions that are simple and clear enough to understand so [they] can get the most out of the interventions." Part of the reason that doctors focus on a child's expressive ability is that it's easier to gauge than their ability to understand language.»
[...]
« "We tend to focus on the expressive production of language, but effective understanding of language is linked to a lot of other skills," Martinez said. "Languages in many settings have been found to be the most stable predictor of a variety of different skills, in terms of social skills and educational skills and academic achievement and adaptive or independent functioning."
Part of the reason that doctors focus on a child's expressive ability is that it's easier to gauge than their ability to understand language.
"Babies start babbling at about 6 months old and then, hopefully, around a year they're saying a couple of words," Martinez said. "That's something that's very easy for pediatrician to ask a parent, whereas the receptive language milestones early on tend to be a lot more subtle."
Parents should keep an eye for certain milestones in receptive language, Martinez said,
Babies younger than 6 months should be responding consistently to different sounds, turning their heads to find the source.
By 6 months, babies should start responding to their names, and responding emotionally to different tones of voice from their parents.
At 1 year, babies should recognize simple everyday words for objects, and be able to follow some simple commands, like "come here."
By a year-and-a-half, children should be able to point to body parts when asked "where is your nose?" or "where are your eyes?"
Researchers aren't certain at this time what prevents some kids with autism from making the leap from understanding speech to speaking themselves.
"Our lab is testing some hypotheses, including how oral motor functioning, gross motor development and brain responses to speech and sounds may influence … individuals' abilities to speak," Chen said.
She noted that even though some of these kids understand speech, "their language comprehension skills still fell behind what we expect to see in typical development."
"Our study suggests it is much better to simplify the language you use," Chen said. "Try using minimal instructions, showing, demonstration or visual aids to facilitate communication."
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medicalxpress |
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Scientists discover how mutations in a language gene produce speech deficits | MIT News | Massachusetts Institute of Technology |
04/05/2023 |
«Mutations of a gene called Foxp2 have been linked to a type of speech disorder called apraxia that makes it difficult to produce sequences of sound. A new study from MIT and National Yang Ming Chiao Tung University sheds light on how this gene controls the ability to produce speech.In a study of mice, the researchers found that mutations in Foxp2 disrupt the formation of dendrites and neuronal synapses in the brain's striatum, which plays important roles in the control of movement.
Mice with these mutations also showed impairments in their ability to produce the high-frequency sounds that they use to communicate with other mice.Those malfunctions arise because Foxp2 mutations prevent the proper assembly of motor proteins, which move molecules within cells, the researchers found.»...
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news.mit |
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Trans kids: What gender-exploratory therapy is really about. |
02/05/2023 |
«Gender-exploratory therapy is growing in popularity—particularly in states that are already working to ban gender-affirming care for trans youth. Last August, Florida's Medicaid stopped reimbursing patients for most forms of gender-affirming care.
This is part of a larger push in the state to ban gender-affirming care, which transgender youth can no longer start receiving as of this past March.But there is one kind of care for trans kids that the state seems to be in favor of.
In a report on Medicaid coverage of gender-affirming care by Gov. Ron DeSantis and now-former Secretary of the Agency for Healthcare Administration Simone Marstiller, they noted gender-exploratory therapy as a treatment for adolescents who exhibit "gender identity issues."On its face, gender-exploratory therapy, or GET, sounds innocuous...”even beneficial.
This type of therapy is typically presented as a "neutral ground between the ...˜radical' gender-affirmative model and ...˜unethical' conversion practices," bioethicist Florence Ashley wrote in a 2022 paper.»...
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slate |
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Data-driven dissection of the fever effect in autism spectrum disorder - PubMed |
30/04/2023 |
«Some individuals with autism spectrum disorder (ASD) demonstrate marked behavioral improvements during febrile episodes, in what is perhaps the only present-day means of modulating the core ASD phenotype.
Understanding the nature of this so-called fever effect is therefore essential for leveraging this natural temporary relief of symptoms to a sustained efficacious intervention.
Toward this goal, we used machine learning to analyze the rich clinical data of the Simons Simplex Collection, in which one out of every six children with ASD was reported to improve during febrile episodes, across multiple ASD domains.
Reported behavioral improvements during febrile episodes were associated with maternal infection in pregnancy (OR = 1.7, 95% CI = [1.42, 2.03], P = 4.24 × 10-4 ) and gastrointestinal (GI) dysfunction (OR = 1.46, 95% CI = [1.15, 1.81], P = 1.94 × 10-3 ). Family members of children reported to improve when febrile have an increased prevalence of autoimmune disorders (OR = 1.43, 95% CI = [1.23, 1.67], P = 3.0 × 10-6 ), language disorders (OR = 1.63, 95% CI = [1.29, 2.04], P = 2.5 × 10-5 ), and neuropsychiatric disorders (OR = 1.59, 95% CI = [1.34, 1.89], P < 1 × 10-6 ). Since both GI abnormalities and maternal immune activation have been linked to ASD via proinflammatory.»
[...]
«Since both GI abnormalities and maternal immune activation have been linked to ASD via proinflammatory cytokines, these results might suggest a possible involvement of immune dysregulation in the fever effect, consistent with findings in mouse models. This work advances our understanding of the fever-responsive ASD subtype and motivates the future studies to directly test the link between proinflammatory cytokines and behavioral modifications in individuals with ASD.
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pubmed.ncbi.nlm.nih |
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Autism Is Not a Trend - Is it cool to be autistic now? |
29/04/2023 |
«Is it cool to be autistic now? That seems to be a question a lot of folks are exploring in online discourse, particularly on TikTok. And, honestly, a part of me gets why it has become a "hot topic". Now more than ever, autistic people are visible on mainstream platforms, and their discussions of being neurodivergent have shattered preconceived notions on what autism is.
Quinni, the autistic queer teen of the 2022 reboot of Heartbreak High, is the show's breakout character. Chloé Hayden, the actress and disability rights activist who plays her, has been making waves by advocating for representation of autistic people.
While some of the discourse I've seen is innocuous at best, most of it is harmful, even dangerous.»
[...]
«My parents knew I was autistic since I was a child, and they were encouraged to seek an evaluation for me by doctors. I had all the signs: delayed and limited speech, lack of facial expressions or interest in playing with others, repetitive movements like rocking back and forth and shaking my head side to side, meltdowns, you name it. Ultimately, my parents never took me to a neuropsychologist because they didn’t want me in special education or be “different”. They wanted to raise me as if I was “just like everyone else”.
But I’ve always felt different. I never knew why. It was incredibly fucking isolating.
Long story short, my therapist clocked my autism from the very moment we met. It took me a year to book an appointment for an evaluation. On October 20, 2022, I was officially diagnosed with autism spectrum disorder. I’ve written about it before on here, and I’ve been able to do so because I’ve been able to learn how to separate my “writer” persona from my true self. I can pour my heart out online, but also maintain some level of distance. Of course, they still bleed into each other and inform one another. And I still experience soul-crushing anxiety when an article of mine is published because I am being perceived.
In “the real world”, I rarely talk about being autistic. Not at work, not in grad school. I barely talk about it with family and my only two real friends. My partner is the one I’m most comfortable sharing my autism with, but even that’s hard sometimes. Letting go years of shame is hard. Most of the time, I’d rather be invisible and unknown. April is Autism Acceptance Month, and now more than ever these thoughts weigh heavy on my mind. Visibility is important, but it puts us at risk in a world that is not built for neurodivergent people. Even though an entire month is dedicated to honor autistic people, neurotypical voices still dominate the conversation because they believe that we can’t speak about our own experiences.
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autostraddle |
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Autism Is Not a Trend - Is it cool to be autistic now? |
29/04/2023 |
«Is it cool to be autistic now? That seems to be a question a lot of folks are exploring in online discourse, particularly on TikTok. And, honestly, a part of me gets why it has become a "hot topic". Now more than ever, autistic people are visible on mainstream platforms, and their discussions of being neurodivergent have shattered preconceived notions on what autism is.
Quinni, the autistic queer teen of the 2022 reboot of Heartbreak High, is the show's breakout character. Chloé Hayden, the actress and disability rights activist who plays her, has been making waves by advocating for representation of autistic people.
While some of the discourse I've seen is innocuous at best, most of it is harmful, even dangerous.»
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«My parents knew I was autistic since I was a child, and they were encouraged to seek an evaluation for me by doctors. I had all the signs: delayed and limited speech, lack of facial expressions or interest in playing with others, repetitive movements like rocking back and forth and shaking my head side to side, meltdowns, you name it. Ultimately, my parents never took me to a neuropsychologist because they didn’t want me in special education or be “different”. They wanted to raise me as if I was “just like everyone else”.
But I’ve always felt different. I never knew why. It was incredibly fucking isolating.
Long story short, my therapist clocked my autism from the very moment we met. It took me a year to book an appointment for an evaluation. On October 20, 2022, I was officially diagnosed with autism spectrum disorder. I’ve written about it before on here, and I’ve been able to do so because I’ve been able to learn how to separate my “writer” persona from my true self. I can pour my heart out online, but also maintain some level of distance. Of course, they still bleed into each other and inform one another. And I still experience soul-crushing anxiety when an article of mine is published because I am being perceived.
In “the real world”, I rarely talk about being autistic. Not at work, not in grad school. I barely talk about it with family and my only two real friends. My partner is the one I’m most comfortable sharing my autism with, but even that’s hard sometimes. Letting go years of shame is hard. Most of the time, I’d rather be invisible and unknown. April is Autism Acceptance Month, and now more than ever these thoughts weigh heavy on my mind. Visibility is important, but it puts us at risk in a world that is not built for neurodivergent people. Even though an entire month is dedicated to honor autistic people, neurotypical voices still dominate the conversation because they believe that we can’t speak about our own experiences.
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autostraddle |
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Heterogeneity of autism makes clinical trials difficult, says CHLA expert |
29/04/2023 |
«Each year in the U.S. the incidence of autism spectrum disorder increases, yet the number of medications to treat the core features of autism remains stuck at zero. Therapies and medications that address related symptoms like sleep, focus and behavioral issues are the current "gold standard" for autism treatment.
But what's next?Why is there no medication to treat autism?Although at any given time there are hundreds of ongoing clinical trials testing drugs to treat autism, there are many reasons why none have been proven effective.
Autism is a heterogeneous disorder. It isn't caused by a single factor like a bacteria or even a single gene. It's a complex condition that has been linked to myriad genetic changes, as well as a variety of environmental factors.
In addition, symptoms and the degree of their impact vary widely, giving rise to the now-famous quote, "If you've met one person with autism, you've met one person with autism."Given all this variability, how can a study definitively show that a medication is working»...
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news-medical |
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Heterogeneity of autism makes clinical trials difficult, says CHLA expert |
29/04/2023 |
«Each year in the U.S. the incidence of autism spectrum disorder increases, yet the number of medications to treat the core features of autism remains stuck at zero. Therapies and medications that address related symptoms like sleep, focus and behavioral issues are the current "gold standard" for autism treatment.
But what's next?Why is there no medication to treat autism?Although at any given time there are hundreds of ongoing clinical trials testing drugs to treat autism, there are many reasons why none have been proven effective.
Autism is a heterogeneous disorder. It isn't caused by a single factor like a bacteria or even a single gene. It's a complex condition that has been linked to myriad genetic changes, as well as a variety of environmental factors.
In addition, symptoms and the degree of their impact vary widely, giving rise to the now-famous quote, "If you've met one person with autism, you've met one person with autism."Given all this variability, how can a study definitively show that a medication is working»...
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news-medical |
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Handicap: qu'est-ce que le dispositif d'accompagnement gynecologique que le gouvernement veut generaliser? |
27/04/2023 |
«Emmanuel Macron a confirmé mercredi la volonté du gouvernement de généraliser le dispositif Handigynéco, qui prévoit un accompagnement gynécologique pour les femmes en situation de handicap dans les établissements médico-sociaux.
Il doit notamment permettre de mieux détecter les violences sexuelles.Emmanuel Macron a annoncé mercredi, lors de la Conférence nationale du handicap, "le déploiement de l'action gynécologique dans les établissements et services médico-sociaux". Le dossier de presse de cette conférence qui se tient tous les trois ans détaille que sur la période 2024-2026, le dispositif Handigynéco doit être "généralisé".Ce dispositif, qui relève des agences régionales de santé (ARS), a été instauré en ÃŽle-de-France en 2016 et a commencé à être déployé en Normandie et en Bretagne ces dernières années.
Il permet l'intervention de sages-femmes libérales, volontaires et formées aux questions liées au handicap dans des établissements médico-sociaux Leitha voit cette mesure d'un bon œil, mais elle pointe que "le dispositif vient proposer des consultations respectueuses, ce qui devrait être la norme".»
[...]
«Un dispositif qui devrait "être la norme"
Leitha voit cette mesure d'un bon œil, mais elle pointe que "le dispositif vient proposer des consultations respectueuses, ce qui devrait être la norme".
"Le but, c'est de créer des consultations qui prennent en compte les besoins des personnes handicapées et ça devrait être la base", appuie-t-elle.
Elle juge aussi qu'il s'agit d'une "bonne rustine sur une situation qui ne devrait pas exister: l'institutionnalisation de personnes handicapées". Cette politique consiste à placer sur le long terme une personne handicapée dans une structure séparée en raison de son handicap. En 2021, le Comité des Nations unies pour les droits des personnes handicapées a appelé la France à mettre fin à "l’institutionnalisation systématique sur la base du handicap", qui favorise les violences et les discriminations.
En attendant, "il y a aujourd'hui des personnes qui sont dans des institutions et elles ont aussi le droit d’avoir accès à des soins gynécologiques et d’être protégées contre les violences sexuelles", juge Marie Rabatel.
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bfmtv |
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Accueil - Consultation citoyenne sur la strategie nationale troubles du neuro-developpement : Autisme, Dys, TDAH, TDI |
26/04/2023 |
«Consultation citoyenne sur la stratégie nationale troubles du neuro-développement : Autisme, Dys, TDAH, TDI Inscrivez-vous pour être informé de l'ouverture Adresse électronique [ ] Format attendu : nom@domaine.org»...
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consultation-tnd.handicap.gouv |
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Covid long : la liste des symptomes rallongee par la HAS |
22/04/2023 |
«Le Covid-19 n'est toujours pas qu'un lointain souvenir. Alors que le virus circule encore dans l'Hexagone, avec, selon les derniers relevés, un peu moins de 9 000 nouveaux cas et une trentaine d'admissions en soins critiques par jour, selon Santé publique France, certains patients trainent des symptômes d'une contamination qui ne date pas d'hier.
On parle alors de «Covid long» (ou syndrome post Covid-19). La Haute autorité de santé (HAS) s'y intéresse depuis 2021 et actualise régulièrement ses travaux, sous forme de « réponses rapides », en listant notamment les symptômes prolongés de la maladie Jusqu'en janvier 2023, la rubrique dédiée sur le site de la HAS disposait de quatorze fiches techniques, conçues par symptômes et par spécialités (douleurs, fatigue, troubles oculaires, dyspnée…). Elles s'enrichissent dès le mois d'avril 2023 d'une quinzième fiche consacrée aux troubles psychiatriques et psychologiques associés.
Un aspect que tente d'ailleurs d'explorer la fondation FondaMental via son site Post Covid NeuroPsy, en ligne depuis novembre 2022 (Lire : Covid long : site pour dépister les troubles neuropsy associés). D'après Santé publique France, deux millions de personnes de plus de 18 ans souffriraient de symptômes neuropsychiatriques post-Covid.
Cela se traduit la plupart du temps par de la dépression, de l'anxiété, de la fatigue, du stress, des traumatismes ou encore des troubles de la mémoire. La fiche informative de la HAS a été élaborée à destination des soignants mais aussi des patients, et propose des préconisations quant à leur diagnostic et leur prise en charge.
Elle traduit la prise en compte sérieuse par les autorités de ces symptômes dits « invisibles » et qui, pourtant, invalident le quotidien des personnes concernées.»
[...]
«Les symptômes psy enfin reconnus
Jusqu'en janvier 2023, la rubrique dédiée sur le site de la HAS disposait de quatorze fiches techniques, conçues par symptômes et par spécialités (douleurs, fatigue, troubles oculaires, dyspnée…). Elles s'enrichissent dès le mois d'avril 2023 d'une quinzième fiche consacrée aux troubles psychiatriques et psychologiques associés. Un aspect que tente d'ailleurs d'explorer la fondation FondaMental via son site Post Covid NeuroPsy, en ligne depuis novembre 2022 (Lire : Covid long : site pour dépister les troubles neuropsy associés). D'après Santé publique France, deux millions de personnes de plus de 18 ans souffriraient de symptômes neuropsychiatriques post-Covid. Cela se traduit la plupart du temps par de la dépression, de l'anxiété, de la fatigue, du stress, des traumatismes ou encore des troubles de la mémoire. La fiche informative de la HAS a été élaborée à destination des soignants mais aussi des patients, et propose des préconisations quant à leur diagnostic et leur prise en charge. Elle traduit la prise en compte sérieuse par les autorités de ces symptômes dits « invisibles » et qui, pourtant, invalident le quotidien des personnes concernées.
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informations.handicap |
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Gamma-Aminobutyric Acid (GABA): What It Is, Uses, and Benefits | HealthNews |
20/04/2023 |
«Gamma-aminobutyric acid (GABA) is a chemical messenger in the brain that blocks certain signals in the central nervous system and results in a soothing effect. GABA is believed to reduce stress, relieve anxiety, and improve sleep.
Research into the effects of GABA is available. However, more research is needed to prove that supplements and food containing GABA can prevent or treat disease. Gamma-aminobutyric acid (GABA) is a chemical messenger in the brain (neurotransmitter). GABA blocks (inhibits) chemical signals in the brain and spinal cord (central nervous system) to decrease stimulation.»
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« What is GABA?
Gamma-aminobutyric acid (GABA) is a chemical messenger in the brain (neurotransmitter). GABA blocks (inhibits) chemical signals in the brain and spinal cord (central nervous system) to decrease stimulation.
GABA is the most common neurotransmitter inhibitor in the central nervous system. When GABA blocks stimulation signals in the nervous system, what results is a soothing or calming effect. A balance in the levels of GABA is necessary for healthy brain function. Lower levels of GABA are caused when GABA signaling isn’t working properly.
Lower levels of GABA are associated with:
Anxiety
Schizophrenia
Autism spectrum disorder
Depression
Epilepsy and seizures
GABA is produced naturally in the human body and in some foods. GABA also occurs in plants, animals, and microorganisms. There are prescription medications and supplements designed to increase GABA levels.
Increasing GABA levels may help improve these conditions and others. Research is ongoing into the health benefits of GABA.
Potential health benefits of GABA
In 2019, a review of research on the medicinal properties of GABA was performed.
"GABA has been investigated for its effects on reducing stress and enhancing sleep in human studies and for its other biological activities, which include anti-hypertension, anti-diabetes, anti-cancer, antioxidant, anti-inflammation, anti-microbial, and anti-allergy effects."
Dai-Hung Ngo and Thanh Sang Vo
The results of this review showed that increasing GABA levels had the following effects to varying degrees:
Protection of the brain, kidneys, liver, and intestines against toxins.
Improving or preventing neurological disorders, including improving depression, sleeplessness, cognitive impairment, and memory loss.
May help treat or prevent high blood pressure, insomnia, and diabetes.
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healthnews |
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Opinion | Why I Am More and More Ambivalent About My Autism Diagnosis - The New York Times |
19/04/2023 |
«Few, if any, psychologists would say that a preference for natural lighting, doodling in class, or even identifying as L.G.B.T.Q. is a sign of A.D.H.D. or autism.And yet, everywhere I look online, someone is trying to diagnose me with something, using "symptoms" unrelated to clinical diagnostic criteria.
Videos with titles like "6 Signs You May Have A.D.H.D." and "Signs That You Might Have O.C.D." can rack up millions of views. In them, "neurodiversity advocates" encourage me to consider which of my personality quirks is instead a sign of mental illness or neurodiversity.In many online circles ...” particularly those frequented by young, white, middle-class women like me ...” certain diagnoses are treated like a zodiac sign or Myers-Briggs type.
Once they were primarily serious medical conditions, perhaps ones of which to be ashamed. Now, absent social stigma, mental health status functions as yet another category in our ever-expanding identity politics, transforming what it means to have a psychological or neurological disorder for a generation of young people, though not entirely for the better.»
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«The attraction of a flattened label is the way it provides meaning to common insecurities. Disorganization can be A.D.H.D.; social ineptitude can be autism. This approach provides quick relief from many of the anxieties central to teenage and young adult life. Am I weird? Is something wrong with me? Is this normal? When labeled, what makes you wince isn’t your fault, and it’s not something to be ashamed of. It’s what makes you unique.
But flattening mental health labels into little more than personality test results risks the chance that our culture will take these conditions — and the people who claim to have them — less seriously.
One visible consequence is a more common embrace of self-diagnosis over clinical evaluation. When mental health labels are framed primarily as tools for increasing self-knowledge, anyone is as qualified to diagnose mental illness as a therapist or doctor. The mental health influencers most frequently promoting this perspective post videos detailing often-questionable symptoms that appear to rack up particularly high view counts.
Given the mental health crisis among American youth, some of the attraction of self-diagnosis is that it’s often difficult for young adults who seek a clinical evaluation to get one. In the United States, adult evaluations for conditions like autism and A.D.H.D. are often not covered by insurance. When they are covered, they can still be expensive — mine was over $500. Waiting times for testing in places like Canada and Britain can be years long.
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nytimes |
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Weaponized heterogeneity only harms the most vulnerable autistic people | Spectrum | Autism Research News |
18/04/2023 |
«Autistic people as a group are heterogeneous, with a wide range of presentations, challenges and support needs. That heterogeneity is commonly weaponized against more able autistic people, often by autism researchers or parents who wish to highlight the needs of their autistic children who have higher support needs.
This tactic, however, can backfire and increase harm to the most vulnerable autistic people because it separates this group from the insights gained from autistic scholarship.
Focusing on aspects of autistic experience that we all share may be more fruitful and lead more quickly to our shared goal of improved outcomes for all autistic people.»
[...]
«As I write this, I have no access to fluent speech. I am autistic: an able, high-achieving, highly accomplished autistic woman. A medical professional who teaches peers about autism. Yet if you saw me in a difficult moment — such as at Gatwick Airport last night — or indeed during an INSAR [International Society for Autism Research] planning meeting today, you might not recognize me. An intensive day of interaction and teaching at the Royal College of Psychiatrists’ National Autism Training Programme for Psychiatrists yesterday, followed by a difficult journey home and a trainee support workshop this morning, which I didn’t feel able to cancel, has left me completely spent and, as we say in the autistic community, totally “out of spoons.” Luckily, our neurodivergent family functions perfectly well without the need for spoken words, and my autistic teenager can empathically say, “It’s OK, Mum. Don’t try to talk.” At other times, I’m the one saying the same to him.
Darkness, a complete lack of interaction (even online), favored comfort items, intense stimming and time is what it will take for me to regulate to the point at which I can once again communicate using spoken words. I hope it happens overnight — because I have a meeting with my occupational therapist tomorrow, which I badly need in order to plan out my next few days. But this is not within my control.
We need to recognize these challenges, which are common among autistic people. Unreliability of speech for usually fluent autistic people, and the speed at which we can go from articulate and competent to completely unable to access speech, is not generally appreciated. Would I prefer that this aspect of my life was not shared publicly? Yes, of course. I spend quite a lot of time and effort ensuring that I am not seen in such a state except by those who know and love me unconditionally. But if we are to address the needs of the entire autistic community, we should consider those aspects of autistic experience that we all, or most of us, share.
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spectrumnews |
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Une application de realite virtuelle pour mieux comprendre l'autisme | Sante | Actualites | Le Soleil - Quebec |
16/04/2023 |
«Depuis sa création, la réalité virtuelle a permis à des milliers de personnes de vivre une pléthore d'expériences immersives. Elle permet désormais de mieux comprendre la réalité d'une personne autiste, et ce, grâce à la créativité d'une équipe de chercheurs du Centre de recherche de l'Institut universitaire en santé mentale de Montréal.L'application bilingue et gratuite vise à illustrer les défis auxquels sont confrontées les personnes autistes dans la vie de tous les jours.
Trois ans de travail ont été nécessaires pour en arriver à l'expérience immersive de neuf minutes.»
[...]
«Le programme, qui est destiné aux appareils Meta Oculus Quest 2, simule une visite dans un cabinet de dentiste, une situation qui peut s’avérer angoissante pour une personne se trouvant dans le trouble du spectre de l’autisme.
«Nous savons tous que la meilleure façon de mieux comprendre la réalité de quelqu’un est de se mettre dans sa peau, explique M. Lanovaz. Nous avons donc simulé les difficultés qu’une personne autiste peut éprouver sur les plans sensoriel et social quand elle fait face à une situation stressante.»
«Aller chez le dentiste peut être une source de stress pour n’importe qui, pas seulement les personnes autistes, poursuit le chercheur. Mais pour celles-ci, ça peut représenter des défis supplémentaires qu’on a voulu montrer en exagérant certains éléments dans la simulation.»
D’ailleurs, prévient M. Lanovaz, l’application de réalité virtuelle ne représente l’expérience que d’une seule personne autiste et ne doit pas être généralisée. «Chaque personne autiste est unique, donc notre programme ne représente qu’une seule expérience parmi d’innombrables scénarios possibles», note le spécialiste.
Pour sensibiliser
L’application, conçue grâce au soutien financier de la Fondation de l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal et du Réseau national d’expertise en trouble du spectre de l’autisme, pourra être utilisée par les écoles, les établissements de santé et les milieux de travail pour susciter une prise de conscience auprès des personnes qui côtoient des individus TSA.
«Notre objectif ce sont les grandes organisations, notamment parce qu’ils ont déjà les appareils ou que c’est plus facile pour eux de s’en procurer, indique M. Lanovaz. Notre équipe est prête à se rendre disponible pour venir offrir des ateliers de sensibilisation auprès de ces personnes qui vont être amenées à côtoyer des personnes autistes.»
La démarche semble déjà porter ses fruits. Une première étude auprès de 104 membres d’une communauté cégépienne ayant utilisé l’application conclut que ses utilisateurs sont davantage sensibilisés à la réalité des personnes autistes, notamment en améliorant «significativement les attitudes, l’ouverture et les connaissances à l’égard de l’autisme».
«Dans les faits, on avait un groupe de personnes qui avait fait l’expérience de réalité virtuelle et un qui ne l’avait pas fait. On leur a soumis un questionnaire et ce qui est intéressant, c’est que les personnes qui avaient fait la simulation s’étaient montrées plus ouvertes, affichaient davantage de connaissances et avaient des attitudes plus positives à l’égard des personnes avec des caractéristiques d’autisme», indique M. Lanovaz.
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lesoleil |
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AUTISME : Quels liens avec l'obesite et les troubles cardiometaboliques ? | sante log |
14/04/2023 |
«Alors que les données sur l'association entre les troubles du spectre autistique (TSA) et les troubles cardiométaboliques, cette équipe de l'Université Texas Tech a entrepris une méta-analyse sur le sujet.
Les conclusions, publiées dans le JAMA Pediatrics, confirment avec les TSA un risque accru d'obésité et de troubles cardiométaboliques tels que le diabète et la dyslipidémie. Les dernières estimations suggèrent qu'1 enfant sur 44 âgé de 3 à 17 ans est diagnostiqué avec une forme de TSA (CDC 2009-2017). Rares sont les études ayant porté sur l'association entre les TSA et les troubles métaboliques.
Une étude de l'hôpital de Philadelphie a cependant révélé un risque accru de 50% d'être en surpoids ou obèse plus tard dans la vie, chez les enfants atteints d'autisme et à retard de développement.
Pour préciser le lien possible entre les TSA et les maladies cardiométaboliques, l'équipe du Texas a mené une revue systématique et une méta-analyse des données de la littérature.»
[...]
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L'autisme est-il à l'origine de ces troubles métaboliques ? Les chercheurs précisent que leur analyse n’en apporte pas la démonstration, mais que le risque cardiométabolique plus élevé chez les enfants autistes appelle une détection régulière et une vigilance de la part des médecins de soins primaires. Par ailleurs, ces données ont des implications pour la prescription de certains médicaments, pouvant entraîner des effets indésirables métaboliques chez les enfants autistes.
« Les parents d'enfants autistes devraient également être conscients du risque plus élevé d’obésité et de complications métaboliques. Ces parents devraient discuter de ce risque et des interventions de prévention possibles pour l’enfant, avec le médecin traitant ».
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santelog |
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Une etude identifie 4 sous-groupes d'autisme differents |
12/04/2023 |
«L'autisme est un trouble neuro-développemental encore bien mystérieux. Pour mieux le prendre en charge, il nous faut mieux le comprendre. Des auteurs se sont penchés sur les connexions cérébrales qui se font ou pas dans le cerveau des autistes.
Il existerait en fait quatre formes différentes d'autisme.L'autisme est un trouble neuro-développemental très hétérogène. Il n'y a pas un, mais plusieurs autismes. C'est pourquoi on parle de troubles du spectre autistique ou TSA. Les mécanismes sous-jacents à cette hétérogénéité des symptômes de l'autisme ne sont pas très bien compris par les chercheurs.
En se basant sur un très grand nombre de données de neuro-imagerie, une équipe a essayé de déterminer des sous-groupes d'autisme en fonction de la connectivité fonctionnelle du réseau cérébral.
Leurs travaux ont été publiés dans Nature neuroscience.»
[...]
« Quelles étaient les caractéristiques de chaque groupe ?
Un groupe avait des capacités verbales bien développées et peu de comportements répétitifs, mais un déficit de communication sociale. Un autre avait des capacités verbales bien développées et une bonne communication sociale, mais beaucoup de comportements répétitifs. Il a été observé que dans le premier groupe les connexions du cerveau en charge des informations visuelles étaient hyperactives tandis qu’elles étaient faibles dans le second groupe.
Concernant les deux autres sous-groupes, les patients atteints avaient d’importantes déficiences sociales et de nombreux comportements répétitifs et soit de bonnes capacités verbales, soit de très mauvaises capacités verbales. Ici aussi, les connexions neuronales étaient caractéristiques de chaque groupe.
ref : Molecular and network-level mechanisms explaining individual differences in autism spectrum disorder
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Source: http://www.futura-sciences.com | Source Status
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futura-sciences |
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Autisme : 4 sous-groupes identifies |
12/04/2023 |
«L'autisme est une condition neurodéveloppementale dont l'ensemble des mécanismes ne sont pas encore bien identifiés. Toutefois, les travaux du Weill Cornell Medicine (New York), présentés dans la revue scientifique Nature Neuroscience le 9 avril 2023, offrent une avancée intéressante.
Les chercheurs sont parvenus à identifier quatre sous-types distincts du trouble. Avec l’aide d’une intelligence artificielle disposant d'outils d’apprentissage automatique, les scientifiques ont analysé les données de neuro-imagerie de 299 personnes autistes et de 907 individus neurotypiques.
Ils ont trouvé des schémas de connexions cérébrales liés à des traits comportementaux chez les autistes comme la capacité verbale, l'affect social et les comportements répétitifs ou stéréotypés.»
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« TSA : 4 sous-groupes distincts mis en lumière
Avec l’aide d’une intelligence artificielle disposant d'outils d’apprentissage automatique, les scientifiques ont analysé les données de neuro-imagerie de 299 personnes autistes et de 907 individus neurotypiques. Ils ont trouvé des schémas de connexions cérébrales liés à des traits comportementaux chez les autistes comme la capacité verbale, l'affect social et les comportements répétitifs ou stéréotypés.
Ils sont ainsi parvenus à distinguer quatre sous-groupes d'autisme. Chacun présente des différences d'expression régionale des gènes ou encore des interactions protéine-protéine pouvant expliquer les différences cérébrales et comportementales observées.
"Deux des groupes avaient une intelligence verbale supérieure à la moyenne. L’un présentait également de graves déficits de communication sociale, mais des comportements moins répétitifs, tandis que l'autre avait des comportements plus répétitifs et moins de déficience sociale. Les connexions entre les parties du cerveau qui traitent les informations visuelles et aident le cerveau à identifier les informations entrantes les plus saillantes, étaient hyperactives dans le sous-groupe avec plus de déficience sociale. Ces mêmes connexions étaient faibles dans le groupe avec des comportements plus répétitifs", expliquent les auteurs dans le communiqué de Weill Cornell Medicine.
"Il était intéressant au niveau des circuits cérébraux qu'il y ait des réseaux cérébraux similaires impliqués dans ces deux sous-types, mais les connexions dans ces mêmes réseaux étaient atypiques dans des directions opposées", a ajouté la Dr Amanda Buch qui a travaillé sur l’étude.
Les deux autres sous-groupes présentaient d’importantes déficiences sociales et des comportements répétitifs, mais avaient des capacités verbales aux extrémités opposées du spectre. Ainsi, malgré certaines similitudes comportementales, les chercheurs ont découvert des schémas de connexion cérébrale complètement différents.
L'équipe a analysé l'expression des gènes qui expliquait les connexions cérébrales atypiques présentes dans chaque sous-groupe afin de mieux comprendre ce qui causait les différences. Elle a mis en lumière de nombreux gènes déjà liés à l'autisme dans d’autres travaux.
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pourquoidocteur |
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Autisme : 4 sous-groupes identifies |
11/04/2023 |
«Les personnes touchées par des troubles du spectre autistique (TSA) peuvent être classées en quatre sous-types distincts en fonction de leur activité cérébrale et de leurs comportements, selon une étude du Weill Cornell.
Des chercheurs ont utilisé de nouvelles technologies pour étudier les fonctions cérébrales de personnes ayant un trouble du spectre autistique.Ils ont pu identifier 4 sous-types d'autisme distincts.Cette découverte pourrait aider à améliorer la prise en charge des autistes.L'autisme est une condition neurodéveloppementale dont l'ensemble des mécanismes ne sont pas encore bien identifiés.
Toutefois, les travaux du Weill Cornell Medicine (New York), présentés dans la revue scientifique Nature Neuroscience le 9 avril 2023, offrent une avancée intéressante. Les chercheurs sont parvenus à identifier quatre sous-types distincts du trouble.»
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«TSA : 4 sous-groupes distincts mis en lumière
Avec l’aide d’une intelligence artificielle disposant d'outils d’apprentissage automatique, les scientifiques ont analysé les données de neuro-imagerie de 299 personnes autistes et de 907 individus neurotypiques. Ils ont trouvé des schémas de connexions cérébrales liés à des traits comportementaux chez les autistes comme la capacité verbale, l'affect social et les comportements répétitifs ou stéréotypés.
Ils sont ainsi parvenus à distinguer quatre sous-groupes d'autisme. Chacun présente des différences d'expression régionale des gènes ou encore des interactions protéine-protéine pouvant expliquer les différences cérébrales et comportementales observées.
"Deux des groupes avaient une intelligence verbale supérieure à la moyenne. L’un présentait également de graves déficits de communication sociale, mais des comportements moins répétitifs, tandis que l'autre avait des comportements plus répétitifs et moins de déficience sociale. Les connexions entre les parties du cerveau qui traitent les informations visuelles et aident le cerveau à identifier les informations entrantes les plus saillantes, étaient hyperactives dans le sous-groupe avec plus de déficience sociale. Ces mêmes connexions étaient faibles dans le groupe avec des comportements plus répétitifs", expliquent les auteurs dans le communiqué de Weill Cornell Medicine.
"Il était intéressant au niveau des circuits cérébraux qu'il y ait des réseaux cérébraux similaires impliqués dans ces deux sous-types, mais les connexions dans ces mêmes réseaux étaient atypiques dans des directions opposées", a ajouté la Dr Amanda Buch qui a travaillé sur l’étude.
Les deux autres sous-groupes présentaient d’importantes déficiences sociales et des comportements répétitifs, mais avaient des capacités verbales aux extrémités opposées du spectre. Ainsi, malgré certaines similitudes comportementales, les chercheurs ont découvert des schémas de connexion cérébrale complètement différents.
L'équipe a analysé l'expression des gènes qui expliquait les connexions cérébrales atypiques présentes dans chaque sous-groupe afin de mieux comprendre ce qui causait les différences. Elle a mis en lumière de nombreux gènes déjà liés à l'autisme dans d’autres travaux. Les chercheurs ont aussi remarqué que l'ocytocine, hormone précédemment associée aux interactions sociales positives, était une protéine centrale dans le sous-groupe des individus ayant plus de déficience sociale et des comportements répétitifs relativement limités. Ces résultats ont été confirmés sur un deuxième ensemble de données humaines : les mêmes quatre sous-groupes étaient trouvés.
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pourquoidocteur |
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Scientists identify autism subgroups, could lead to tailor-made support - The Jerusalem Post |
10/04/2023 |
«Autism can be classified into different subtypes based on behavior and brain activity, with scientists now identifying four of them, according to a recent study.The findings of this study were published in the peer-reviewed academic journal Nature Neuroscience.Conducted by researchers from Cornell University's medical school Weill Cornell Medicine, the study utilized machine learning and neuroimaging data to study brain activity linked with behavioral traits in autistic people and neurotypical people.»
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«Autism is often misconstrued by some as being a mental disorder, but this isn't actually the case. Rather, it is a neurological condition. That means that it tends to result in physical and observable differences in the brain.
In addition, despite what some say about different potential causes of autism, such as vaccines or genetic factors, the fact is that there is no clear understanding of what causes autism and the vaccine claim has been thoroughly debunked.
This misunderstanding is further fueled by another misunderstanding, that there is an autism epidemic due to rising diagnoses. This isn't true though – there is now just a better understanding of autism to better diagnose it.
There is also a tendency to say that autism is something that needs to be cured. This is also a very controversial topic and is taken as offensive by many experts and autistic people. Rather, autism has become more and more understood as a disability and part of neurodiversity. Rather than seeking cures, what is now suggested is accommodation, in line with the social model of disability.
However, it is important to note that not everyone who has autism is the same. Autism is a spectrum, and it can manifest in a varied number of ways and symptoms with different levels of needed support and functionality.
Some high-functioning autistic people are able to more or less live perfectly normal lives while those who are lower functioning need significantly more support.
In other words, the level of support and accommodation autistic people need can vary. However, on the outside, it may be difficult to ascertain who needs what kind of support and how to classify it all.
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jpost |
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Autism Is Not My Problem, Trauma Is | by Rivka Wolf | Invisible Illness | Apr, 2023 | Medium |
08/04/2023 |
«I was first diagnosed with autism when I was seven years old.My parents took me to a child psychiatrist for a multitude of reasons, really. I wasn't socializing with other kids.
I would sit in the corner for hours on end, reading or staring into empty space or doing nothing at all. I seemed quiet and withdrawn and totally disconnected from what was going on around me.
I had strange physical symptoms like scratching at my arms and legs, and complaining of itching under my skin. I was sick all the time and felt nauseous or sick to my stomach most days.Those were just the symptoms other people could see.
Inside was even worse. I was afraid of other people. I hated being touched. Men terrified me particularly. I was being bullied at school. The model of femininity I was learning from my mother and from my religion was to always be nice, sweet, passive, and have no assertiveness skills whatsoever, so I was everybody's easiest scapegoat.
It's no surprise I was sick all the time.»
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«I wonder sometimes who autistic people would be if so many of us had not been abused. Most of us have survived childhood bullying. Most women were survivors of child sexual abuse, and many men were too. Statistically, many of us identify as transgender or nonbinary, which means we have also faced homophobia. Statistically, many of us have physical disabilities, which means we also face those barriers. Our lives are full of traumas.
Many of the traits commonly associated with autism are in fact traits autistic people exhibit under extreme stress or trauma. Autistic meltdowns, or the inverse, shutdowns, are responses to extreme sensory overload. Stimming, attempting to calm ourselves down through repetitive motion, can be anything from singing at inappropriate times to rocking back and forth, and this, too, is a stress response. So telling, isn’t it, that the cultural imagination of an autistic person, is an autistic person in trauma.
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medium |
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Population heterogeneity in developmental trajectories of internalising and externalising mental health symptoms in childhood: differential effects of parenting styles | Epidemiology and Psychiatric Sciences | Cambridge Core |
31/03/2023 |
«Abstract Aims Multiple studies have connected parenting styles to children's internalising and externalising mental health symptoms (MHS). However, it is not clear how different parenting styles are jointly influencing the development of children's MHS over the course of childhood.
Hence, the differential effects of parenting style on population heterogeneity in the joint developmental trajectories of children's internalising and externalising MHS were examined In short, the findings suggest that a non-negligible proportion of the child population is susceptible to being at high risk for developing MHS. Moreover, a smaller proportion of children was improving but still displayed high symptoms of MHS (mild-risk). Furthermore, hostile parenting style is a substantial risk factor for increments in child MHS, whereas consistent parenting can serve as a protective factor in cases of mild-risk.
Evidence-based parent training/management programmes may be needed to reduce the risk of developing MHS.»
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« Conclusions
In short, the findings suggest that a non-negligible proportion of the child population is susceptible to being at high risk for developing MHS. Moreover, a smaller proportion of children was improving but still displayed high symptoms of MHS (mild-risk). Furthermore, hostile parenting style is a substantial risk factor for increments in child MHS, whereas consistent parenting can serve as a protective factor in cases of mild-risk. Evidence-based parent training/management programmes may be needed to reduce the risk of developing MHS.
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cambridge |
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Altered behavior, brain structure, and neurometabolites in a rat model of autism-specific maternal autoantibody exposure | Molecular Psychiatry |
27/03/2023 |
«Abstract Maternal immune dysregulation is a prenatal risk factor for autism spectrum disorder (ASD). Importantly, a clinically relevant connection exists between inflammation and metabolic stress that can result in aberrant cytokine signaling and autoimmunity.
In this study we examined the potential for maternal autoantibodies (aAbs) to disrupt metabolic signaling and induce neuroanatomical changes in the brains of exposed offspring.
To accomplish this, we developed a model of maternal aAb exposure in rats based on the clinical phenomenon of maternal autoantibody-related ASD (MAR-ASD). Following confirmation of aAb production in rat dams and antigen-specific immunoglobulin G (IgG) transfer to offspring, we assessed offspring behavior and brain structure longitudinally.
MAR-ASD rat offspring displayed a reduction in pup ultrasonic vocalizations and a pronounced deficit in social play behavior when allowed to freely interact with a novel partner.
Additionally, longitudinal in vivo structural magnetic resonance imaging (sMRI) at postnatal day 30 (PND30) and PND70, conducted in a separate cohort of animals, revealed sex-specific differences in total and regional brain volume.
Treatment-specific effects by region appeared to converge on midbrain and cerebellar structures in MAR-ASD offspring. Simultaneously, in vivo 1H magnetic resonance spectroscopy (1H-MRS) data were collected to examine brain metabolite levels in the medial prefrontal cortex.
Results showed that MAR-ASD offspring displayed decreased levels of choline-containing compounds and glutathione, accompanied by increased taurine compared to control animals.
Overall, we found that rats exposed to MAR-ASD aAbs present with alterations in behavior, brain structure, and neurometabolites; reminiscent of findings observed in clinical ASD.»...
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nature |
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Misguided antibodies change the course of brain development | Molecular Psychiatry |
27/03/2023 |
«Autism spectrum disorder (ASD) is an increasingly diagnosed neurodevelopmental disorder with hypothesized causes including a range of genetic and environmental risk factors [1, 2]. Symptoms of ASD include altered communication, reduced interest in social interaction, and repetitive/stereotyped behaviors [2]. Numerous studies have identified maternal immune responses during pregnancy to be a risk factor for a child's ASD diagnosis [3]. Among this body of literature is the finding that about 20% of mothers whose children are subsequently diagnosed with ASD have circulating autoantibodies (aAbs) against proteins critical for early development [4]. While there is growing interest in the role of maternal aAbs in ASD pathogenesis, the mechanistic link between maternal aAb exposure and altered offspring neurodevelopment remains unclear.
A study from Bruce et al. in this issue sought to better characterize the long-term neurological impact of maternal aAb exposure on offspring brain maturation, neurometabolism, and behavior [5].»...
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Molecular diagnosis of 405 individuals with autism spectrum disorder | European Journal of Human Genetics |
27/03/2023 |
«Autism spectrum disorder (ASD) is caused by combined genetic and environmental factors. Genetic heritability in ASD is estimated as 60-90%, and genetic investigations have revealed many monogenic factors.
We analyzed 405 patients with ASD using family-based exome sequencing to detect disease-causing single-nucleotide variants (SNVs), small insertions and deletions (indels), and copy number variations (CNVs) for molecular diagnoses.
All candidate variants were validated by Sanger sequencing or quantitative polymerase chain reaction and were evaluated using the American College of Medical Genetics and Genomics/Association for Molecular Pathology guidelines for molecular diagnosis.
We identified 55 disease-causing SNVs/indels in 53 affected individuals and 13 disease-causing CNVs in 13 affected individuals, achieving a molecular diagnosis in 66 of 405 affected individuals (16.3%). Among the 55 disease-causing SNVs/indels, 51 occurred de novo, 2 were compound heterozygous (in one patient), and 2 were X-linked hemizygous variants inherited from unaffected mothers.
The molecular diagnosis rate in females was significantly higher than that in males. We analyzed affected sibling cases of 24 quads and 2 quintets, but only one pair of siblings shared an identical pathogenic variant.
Notably, there was a higher molecular diagnostic rate in simplex cases than in multiplex families. Our simulation indicated that the diagnostic yield is increasing by 0.63% (range 0-2.5%) per year.
Based on our simple simulation, diagnostic yield is improving over time. Thus, periodical reevaluation of ES data should be strongly encouraged in undiagnosed ASD patients.»...
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Prevalence and Characteristics of Autism Spectrum Disorder Among Children Aged 8 Years ...” Autism and Developmental Disabilities Monitoring Network, 11 Sites, United States, 2020 | MMWR |
24/03/2023 |
«AbstractProblem/Condition: Autism spectrum disorder (ASD).Period Covered: 2020.Description of System: The Autism and Developmental Disabilities Monitoring (ADDM) Network is an active surveillance program that provides estimates of the prevalence of ASD among children aged 8 years.
In 2020, there were 11 ADDM Network sites across the United States (Arizona, Arkansas, California, Georgia, Maryland, Minnesota, Missouri, New Jersey, Tennessee, Utah, and Wisconsin). To ascertain ASD among children aged 8 years, ADDM Network staff review and abstract developmental evaluations and records from community medical and educational service providers.
A child met the case definition if their record documented 1) an ASD diagnostic statement in an evaluation, 2) a classification of ASD in special education, or 3) an ASD International Classification of Diseases (ICD) code.»
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«Results: For 2020, across all 11 ADDM sites, ASD prevalence per 1,000 children aged 8 years ranged from 23.1 in Maryland to 44.9 in California. The overall ASD prevalence was 27.6 per 1,000 (one in 36) children aged 8 years and was 3.8 times as prevalent among boys as among girls (43.0 versus 11.4). Overall, ASD prevalence was lower among non-Hispanic White children (24.3) and children of two or more races (22.9) than among non-Hispanic Black or African American (Black), Hispanic, and non-Hispanic Asian or Pacific Islander (A/PI) children (29.3, 31.6, and 33.4 respectively). ASD prevalence among non-Hispanic American Indian or Alaska Native (AI/AN) children (26.5) was similar to that of other racial and ethnic groups. ASD prevalence was associated with lower household income at three sites, with no association at the other sites.
Across sites, the ASD prevalence per 1,000 children aged 8 years based exclusively on documented ASD diagnostic statements was 20.6 (range = 17.1 in Wisconsin to 35.4 in California). Of the 6,245 children who met the ASD case definition, 74.7% had a documented diagnostic statement of ASD, 65.2% had a documented ASD special education classification, 71.6% had a documented ASD ICD code, and 37.4% had all three types of ASD indicators. The median age of earliest known ASD diagnosis was 49 months and ranged from 36 months in California to 59 months in Minnesota.
Among the 4,165 (66.7%) children with ASD with information on cognitive ability, 37.9% were classified as having an intellectual disability. Intellectual disability was present among 50.8% of Black, 41.5% of A/PI, 37.8% of two or more races, 34.9% of Hispanic, 34.8% of AI/AN, and 31.8% of White children with ASD. Overall, children with intellectual disability had earlier median ages of ASD diagnosis (43 months) than those without intellectual disability (53 months).
Interpretation: For 2020, one in 36 children aged 8 years (approximately 4% of boys and 1% of girls) was estimated to have ASD. These estimates are higher than previous ADDM Network estimates during 2000–2018. For the first time among children aged 8 years, the prevalence of ASD was lower among White children than among other racial and ethnic groups, reversing the direction of racial and ethnic differences in ASD prevalence observed in the past. Black children with ASD were still more likely than White children with ASD to have a co-occurring intellectual disability.
Public Health Action: The continued increase among children identified with ASD, particularly among non-White children and girls, highlights the need for enhanced infrastructure to provide equitable diagnostic, treatment, and support services for all children with ASD. Similar to previous reporting periods, findings varied considerably across network sites, indicating the need for additional research to understand the nature of such differences and potentially apply successful identification strategies across states.
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cdc |
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La Cour des comptes formule 9 recommandations pour mieux financer la pedopsychiatrie - Sante Mentale |
22/03/2023 |
«La pédopsychiatrie pourrait être « mieux financée », selon ce rapport de la Cour des comptes à la Commission des affaires sociales le 21 mars qui formule 9 recommandations.
Dans un contexte de l'augmentation des besoins, l'analyse pointe une offre « mal adaptée » et des parcours « peu lisibles et en tension ». Si le ministère de la Santé affiche une « volonté claire » pour améliorer l'organisation de l'offre de soins, la gouvernance reste « peu opérationnelle ».»
[...]
«Les neuf recommandations
1. Dresser un état des lieux exhaustif de la situation épidémiologique des troubles psychiques chez les enfants et les adolescents en France, notamment en élargissant l’étude nationale lancée en 2022 aux adolescents et en exploitant davantage les bases de données médico-administratives. Cet état des lieux devrait faire l’objet d’une actualisation au moins tous les dix ans (ministère de la santé et de la prévention, Cnam, SPF).
2. Renforcer la formation initiale et continue des praticiens ayant vocation à remplir les missions de médecin traitant de l’enfant (médecins généralistes et pédiatres) en psychologie et psychiatrie infanto-juvénile, en particulier sur le plan du dépistage et de l’orientation (ministère de la santé et de la prévention, ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation).
3. Prendre appui sur les premiers constats des expérimentations des maisons de l’enfance et des familles pour les élargir aux adolescents, en lien avec les actuelles maisons des adolescents. Dans l’intervalle, continuer à renforcer, dans les territoires sous-dotés, les moyens des CMP-IJ pour leur mission d’accueil et d’évaluation, dans le prolongement des mesures adoptées fin 2022 (ministère de la santé et de la prévention, Cnam).
4. Actualiser la norme de taux d’équipement indicatif standard par territoire pertinent (couvrant l’offre publique et privée), qui devrait notamment inclure une équipe de liaison en pédiatrie ou lits de crise (lits-portes), des équipes mobiles et des lits d’hospitalisation 16 à 25 ans et ouvrir des capacités d’accueil en établissement médico-social en aval de l’hôpital (ministère de la santé et de la prévention).
5. Adopter des « Objectifs nationaux de santé mentale infanto-juvénile » associés à un calendrier précis et des indicateurs permettant une évaluation de la politique d’organisation des soins de pédopsychiatrie (ministère de la santé et de la prévention).
6. Positionner l’actuel délégué ministériel à la santé mentale et à la psychiatrie au niveau interministériel et le dénommer ainsi : « Délégué interministériel à la santé mentale, à la psychiatrie et à la pédopsychiatrie » afin d’identifier la pédopsychiatrie explicitement dans le champ de l’actuelle délégation santé mentale et de renforcer son positionnement interministériel (Première ministre, ministère de la santé et de la prévention).
7. Intégrer au projet territorial de santé mentale (PTSM) un volet pour la psychiatrie infanto-juvénile et prévoir dans les contrats territoriaux de santé mentale (CTSM) des objectifs chiffrés, un calendrier de mise en œuvre des actions prévues et des indicateurs d’évaluation périodique (ministère de la santé et de la prévention).
8. Mettre en œuvre une politique d’attractivité renforcée de la pédopsychiatrie en valorisant davantage les parcours hospitalo-universitaires et en soutenant la recherche française dans la discipline. À cet effet, il importera de doubler le nombre d’étudiants formés à la pédopsychiatrie et d’augmenter les recrutements de MCU-PH (ministère de la santé et de la prévention, ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, Cnam).
9. Renforcer l’intervention des psychologues et des IPA dans le parcours de soins pédopsychiatriques en complément des autres professionnels (ministère de la santé et de la prévention)
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santementale |
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Ancient Viruses Could Be Drivers Of Autism, New Research Suggests | IFLScience |
10/03/2023 |
«Material from prehistoric viruses that found its way into our genome could help explain the development of autism where there is no other specified cause.LAURA SIMMONSEditor and Staff WriterMar 10, 2023 3:38 PMSequences from viruses that infected our ancient primate ancestors are thought to make up 8 percent of the human genome.
Viral fossils that integrated into our genetic code millions of years ago could be responsible for some subtypes of autism, a new study has suggested. Experiments in mouse models revealed a possible role for these endogenous viral elements and suggest that this should be an avenue for further research.»
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«The human genome is littered with sequences derived from viruses that infected our ancient ancestors. Called endogenous retroviruses (ERVs), these genetic elements make up about 8 percent of our genome, and originated from the ancestors of modern retroviruses like HIV.
Most of the time, ERVs remain dormant, silenced by the body’s sophisticated regulatory machinery. There have been tentative claims that these sequences could be involved in some cases of sporadic amyotrophic lateral sclerosis (ALS); there is also some evidence to suggest that they may play a protective role during embryonic development. Overall, though, they remain largely mysterious relics of our genetic history.
A new study, from an international team led by researchers at Kobe University in Japan, has uncovered a possible role for ERVs in the development of autism.
The experiments were performed using a mouse model of idiopathic autism – that’s autism with no known genetic or environmental cause. Brain scans on two different but related strains of mice, called BTBR/J and BTBR/R, revealed structural differences in 33 brain regions. The most stark was in the corpus callosum, the bundle of nerves that connects the two hemispheres of the brain together.
Further investigations revealed that the BTBR/R mice had significantly higher levels of ERVs compared with non-autistic mice, and genetic analysis suggested that these ERVs had been activated. The authors suggest that this is down to a failure of the mechanisms that usually keep ERVs sitting quietly in the genome, and found that the activation led to increased copy number variants (CNVs) – repeated genetic sequences that vary in number between individuals – in the autistic mice. The study concluded that ERV activation during fetal development could increase the likelihood of autism.
The team also performed extensive behavioral tests on their two different groups of autistic mice. BTBR/R mice displayed less anxiety than the BTBR/J mice. They also performed almost as well as neurotypical mice in a maze test (similar to the one in the video below), showing they have a near-typical level of spatial learning ability. However, the BTBR/R mice also showed more repetitive behaviors and less willingness to interact socially with other mice, which the researchers refer to as the “core symptoms” of autism.
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iflscience |
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Trans youth health care and media: What to understand about how the debate is covered. |
09/03/2023 |
«Here are some things we know about gender-affirming health care: We know that the number of young patients being seen by gender clinics has increased, and that the gender balance of these young patients has changed, with more female-assigned youth seeking care.
(We don't see the same gender imbalance outside of clinics, where young people identify as trans in roughly equal numbers regardless of birth-assigned sex.) We also know that autism is more common in trans youth than in the broader population.»...
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slate |
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Le Comite des droits des personnes handicapees tient un debat general sur les personnes handicapees et les situations de risque et d'urgence humanitaire | OHCHR |
08/03/2023 |
«Le Comité des droits des personnes handicapées a tenu, hier et ce matin, un débat général sur les situations de risque et situations d'urgence humanitaire dans le cadre de ses travaux de rédaction d'une observation générale sur l'article 11 de la Convention relative aux droits des personnes handicapées, qui stipule que les Etats parties prennent toutes les mesures nécessaires pour assurer la protection et la sureté des personnes handicapées dans les situations de risque, y compris les conflits armés, les crises humanitaires et les catastrophes naturelles.Ce débat général vise à aider le Comité dans sa réflexion en vue de la rédaction de son observation générale à l'intention des Etats parties.
Mme Rosemary Kayess, en tant que présidente du groupe de travail sur l'article 11, a souligné, dans une déclaration liminaire, que la manière dont les Etats sont structurés en amont des situations de risque est capitale dans leur capacité à prendre en compte les personnes handicapées dans le cadre de leur réponse aux situations de risque.
Le débat sera l'occasion de préciser les obligations des Etats et le rôle de la société civile, et de partager les meilleures pratiques, a-t-elle fait valoir.»...
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ohchr |
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University of Iowa study links high IQ with suicidal ideation in kids with autism | KGAN |
08/03/2023 |
«A new University Of Iowa study has found a link between suicidal thoughts and twice exceptional youth.Twice exceptional youth are kids who have both exceptional ability and a disability.The new UI study narrows in on children who have both an autism diagnosis and high IQ.The study found autistic children with an IQ of 120 or higher are nearly six times more likely to have thoughts of suicide.Researchers tell Iowa's News Now it's unexpected, because usually a high IQ is associated with better outcomes and less suicidal ideation -- if you're neurotypical.But if you fall under the autism umbrella, the study's author says having a higher IQ can present problems other people on the spectrum may not experience.»...
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cbs2iowa |
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Comprendre l'intersection des symptomes des troubles de la personnalite schizoide et de l'autisme - Seneactu |
06/03/2023 |
«Les troubles de la personnalité schizoide et l'autisme sont des conditions complexes qui présentent des symptômes communs dans certaines situations, ce qui peut confondre les professionnels de la santé et conduire à une mauvaise orientation diagnostique et thérapeutique.
Cet article examine en profondeur l'intersection de ces deux pathologies et discute des symptômes qui s'entrecroisent ainsi que des enjeux et des conséquences possibles.»
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« Comprendre les enjeux et les conséquences
La reconnaissance et le diagnostic des troubles de la personnalité schizoïde et de l’autisme sont des enjeux majeurs pour les professionnels de la santé, car une mauvaise orientation diagnostique et thérapeutique peut avoir des conséquences négatives à long terme pour les individus touchés. Une prise en charge appropriée et bien équilibrée est cruciale pour aider les personnes atteintes à vivre une vie satisfaisante.
En outre, l’intersection des troubles de la personnalité schizoïde et de l’autisme soulève des questions importantes concernant le traitement et le soutien des personnes qui en sont affectées. Les professionnels de la santé doivent examiner les besoins spécifiques de chaque individu et fournir un soutien adapté à ses circonstances particulières.
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seneactu |
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Age-Related Brain Differences in Autistic Individuals - Neuroscience News |
04/03/2023 |
«Summary: Genes linked to inflammation, neurotransmission, and immunity act differently in the brains of those on the autism spectrum compared to neurotypical people. These differences begin during childhood and evolve throughout a person's lifespan.Source: UC DavisA new study led by UC Davis MIND Institute researchers confirms that brain development in people with autism differs from those with typical neurodevelopment.According to the study published in PNAS, these differences are linked to genes involved in inflammation, immunity response and neural transmissions.
They begin in childhood and evolve across the lifespan.About one in 44 children in the U.S. has autism. Autistic individuals may behave, communicate and learn in ways that are different from neurotypical people.
As they age, they often have challenges with social communication and interaction.The researchers aimed to understand how neurons in the brain communicate and the interaction between age and autism.
They studied the genetic differences in brain»...
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neurosciencenews |
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Through the eye of the beholder: People with autism may process illusory shapes differently | URMC Newsroom |
04/03/2023 |
«There is this picture - you may have seen it. It is black and white and has two silhouettes facing one another. Or maybe you see the black vase with a white background. But now, you likely see both.It is an example of a visual illusion that reminds us to consider what we did not see at first glance, what we may not be able to see, or what our experience has taught us to know - there is always more to the picture or maybe even a different image to consider altogether.
Researchers are finding the process in our brain that allows us to see these visual distinctions may not be happening the same way in the brains of children with autism spectrum disorder.
They may be seeing these illusions differently."How our brain puts together pieces of an object or visual scene is important in helping us interact with our environments," said Emily Knight, MD, PhD, assistant professor of Neuroscience and Pediatrics at the University of Rochester Medical Center, and first author on a study out today in the Journal of Neuroscience.
"When we view an object or picture, our brains use processes that consider our experience and contextual information to help anticipate sensory inputs, address ambiguity, and fill in the missing information.»...
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urmc.rochester |
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Going on Trial: Orphan drugs; CBD; bumetanide | Spectrum | Autism Research News |
28/02/2023 |
«New rare-disease orphan drugs:The U.S. Food and Drug Administration (FDA) granted orphan drug designation to oral ketamine for Rett syndrome this month, as well as psilocybin and the experimental drug blarcamesine, both for fragile X, in November.
This status, created by the Orphan Drug Act, aims to foster drug development for rare conditions that the pharmaceutical industry has "orphaned" because of a lack of financial incentive.To qualify as an orphan drug, a compound must target a condition that affects fewer than 200,000 people.
Once the compound qualifies, its maker benefits from tax credits for clinical trials and exemptions from certain FDA fees ...” discounts that make its development a bit less of a gamble The company testing NRTX-1001, an experimental cell therapy for focal epilepsy, confirmed at the beginning of February that it laid off a quarter of its staff, citing a tight funding environment.
Eight days later, the FDA cleared the company — San Francisco-based Neurona Therapeutics — to continue enrolling participants in its ongoing phase 1/2 clinical trial, based on promising data from its first two patients.
The FDA also gave Neurona the go-ahead to expand its trial to include people whose epilepsy originates in the dominant side of the mesial temporal lobe, in addition to the non-dominant side it was initially cleared to study.»
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«Drug samples:
The company testing NRTX-1001, an experimental cell therapy for focal epilepsy, confirmed at the beginning of February that it laid off a quarter of its staff, citing a tight funding environment. Eight days later, the FDA cleared the company — San Francisco-based Neurona Therapeutics — to continue enrolling participants in its ongoing phase 1/2 clinical trial, based on promising data from its first two patients. The FDA also gave Neurona the go-ahead to expand its trial to include people whose epilepsy originates in the dominant side of the mesial temporal lobe, in addition to the non-dominant side it was initially cleared to study.
An experimental Rett syndrome gene therapy is set to embark on a phase 1/2 trial this year. The therapy, called NGN-401 and developed by New York-based Neurogene, improved survival rates and phenotypes in animals modeling Rett syndrome.
In male mice modeling Rett syndrome, blocking the fat hormone leptin with a drug or genetic manipulation improves breathing and movement issues, supports healthy body weight, and prevents the usual degradation of overall health, according to an unpublished study posted to bioRxiv in February.
A cannabis-based fragile X treatment is in phase 3 trials, and an interim analysis presented last year hinted that it had improved social behavior and eased some fragile X traits. But independent experts have voiced concerns about whether it will be affordable and show enough benefit over the current standard of care for fragile X syndrome, Clinical Trials Arena reported in January.
People with epilepsy have begun receiving an experimental drug aimed at increasing their natural levels of the inhibitory neurotransmitter gamma-aminobutyric acid (GABA) as part of a randomized, double-blind, placebo-controlled phase 1 trial sponsored by New York-based Ovid Therapeutics.
The most common psychotropic medications prescribed to autistic people in Turkey are the atypical antipsychotics risperidone and aripiprazole, followed by the anticonvulsant drug valproic acid, according to a February study in International Clinical Psychopharmacology.
Fragile X model mice treated with the experimental antipsychotic drug pirenperone show increased expression of FMR1, the gene implicated in the condition. Researchers identified this drug as a candidate through a data-driven screening method using genetic samples from people with and without fragile X.
Of the 210 drugs the FDA approved between 2018 and 2021, 21 showed no significant benefit over a placebo in one or more of their primary outcomes in clinical trials, according to a study in JAMA Internal Medicine.
The blood pressure drug bumetanide continued to show no significant benefits for children and teenagers with autism, according to a January reanalysis of data from a phase 2 trial that published its initial results in 2021. Two subsequent phase 3 trials were terminated early in 2021 after the drug failed to show benefit over a placebo.
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spectrumnews |
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Going on Trial: Orphan drugs; CBD; bumetanide | Spectrum | Autism Research News |
28/02/2023 |
«New rare-disease orphan drugs:The U.S. Food and Drug Administration (FDA) granted orphan drug designation to oral ketamine for Rett syndrome this month, as well as psilocybin and the experimental drug blarcamesine, both for fragile X, in November.
This status, created by the Orphan Drug Act, aims to foster drug development for rare conditions that the pharmaceutical industry has "orphaned" because of a lack of financial incentive.To qualify as an orphan drug, a compound must target a condition that affects fewer than 200,000 people.
Once the compound qualifies, its maker benefits from tax credits for clinical trials and exemptions from certain FDA fees ...” discounts that make its development a bit less of a gamble The company testing NRTX-1001, an experimental cell therapy for focal epilepsy, confirmed at the beginning of February that it laid off a quarter of its staff, citing a tight funding environment.
Eight days later, the FDA cleared the company — San Francisco-based Neurona Therapeutics — to continue enrolling participants in its ongoing phase 1/2 clinical trial, based on promising data from its first two patients.
The FDA also gave Neurona the go-ahead to expand its trial to include people whose epilepsy originates in the dominant side of the mesial temporal lobe, in addition to the non-dominant side it was initially cleared to study.»
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«Drug samples:
The company testing NRTX-1001, an experimental cell therapy for focal epilepsy, confirmed at the beginning of February that it laid off a quarter of its staff, citing a tight funding environment. Eight days later, the FDA cleared the company — San Francisco-based Neurona Therapeutics — to continue enrolling participants in its ongoing phase 1/2 clinical trial, based on promising data from its first two patients. The FDA also gave Neurona the go-ahead to expand its trial to include people whose epilepsy originates in the dominant side of the mesial temporal lobe, in addition to the non-dominant side it was initially cleared to study.
An experimental Rett syndrome gene therapy is set to embark on a phase 1/2 trial this year. The therapy, called NGN-401 and developed by New York-based Neurogene, improved survival rates and phenotypes in animals modeling Rett syndrome.
In male mice modeling Rett syndrome, blocking the fat hormone leptin with a drug or genetic manipulation improves breathing and movement issues, supports healthy body weight, and prevents the usual degradation of overall health, according to an unpublished study posted to bioRxiv in February.
A cannabis-based fragile X treatment is in phase 3 trials, and an interim analysis presented last year hinted that it had improved social behavior and eased some fragile X traits. But independent experts have voiced concerns about whether it will be affordable and show enough benefit over the current standard of care for fragile X syndrome, Clinical Trials Arena reported in January.
People with epilepsy have begun receiving an experimental drug aimed at increasing their natural levels of the inhibitory neurotransmitter gamma-aminobutyric acid (GABA) as part of a randomized, double-blind, placebo-controlled phase 1 trial sponsored by New York-based Ovid Therapeutics.
The most common psychotropic medications prescribed to autistic people in Turkey are the atypical antipsychotics risperidone and aripiprazole, followed by the anticonvulsant drug valproic acid, according to a February study in International Clinical Psychopharmacology.
Fragile X model mice treated with the experimental antipsychotic drug pirenperone show increased expression of FMR1, the gene implicated in the condition. Researchers identified this drug as a candidate through a data-driven screening method using genetic samples from people with and without fragile X.
Of the 210 drugs the FDA approved between 2018 and 2021, 21 showed no significant benefit over a placebo in one or more of their primary outcomes in clinical trials, according to a study in JAMA Internal Medicine.
The blood pressure drug bumetanide continued to show no significant benefits for children and teenagers with autism, according to a January reanalysis of data from a phase 2 trial that published its initial results in 2021. Two subsequent phase 3 trials were terminated early in 2021 after the drug failed to show benefit over a placebo.
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spectrumnews |
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Une jeune pianiste aveugle [et autiste] laisse ''sans voix'' le jury d'un telecrochet britannique: ''Comment fait-elle?''| | Musique | |
17/02/2023 |
«Une jeune fille aveugle (13 ans) souffrant de troubles autistiques a créé la sensation lors du tournage de la nouvelle émission de télévision britannique "The Piano". Au milieu d'une gare très fréquentée, elle a joué sans complexe un morceau compliqué de Chopin au piano.
Le célèbre pianiste professionnel Lang Lang, présent parmi les jurys, est resté sans voix. D’ailleurs, à la fin de sa performance dans “Le piano”, on peut la voir mettre ses doigts dans ses oreilles.
Elle apprécie les applaudissements, mais ne supporte pas très bien le bruit.»
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«La jeune fille a appris à connaître les morceaux en posant ses mains sur celles de son professeur Daniel lorsqu’il jouait. Lucy apprécie la musique en bougeant tout son corps, surtout sa tête. Pendant les cours, Daniel l’aide parfois à garder la tête un peu plus calme, pour qu’elle reste concentrée sur ses doigts
D’ailleurs, à la fin de sa performance dans “Le piano”, on peut la voir mettre ses doigts dans ses oreilles. Elle apprécie les applaudissements, mais ne supporte pas très bien le bruit.
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7sur7 |
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Scientists 'switch off' autism using $3 epilepsy drug: study |
14/02/2023 |
«Scientists are reporting a breakthrough discovery: A $3-per-pill epilepsy drug may be used to "switch off" autism symptoms in mice, according to a new peer-reviewed study published Tuesday in Molecular Psychiatry journal.Autism spectrum disorder is a complex developmental condition that impacts how an estimated 5.4 million (2.2% of) adults ...” and one in 44 children ...” in the United States perceives and socializes with others.
It is often accompanied by abnormalities such as epilepsy or hyperactivity, according to Centers for Disease Control and Prevention data.A team of experts at Germany's Hector Institute for Translational Brain Research found that the medication lamotrigine ...” an anti-seizure drug first approved for use in the US in 1994 ...” was able to curb behavioral and social problems linked to the disorder.Now, their findings are being hyped as the closest thing yet to a potential cure for humans These proteins are critical for electrical conductivity and cell function as they allow sodium ions to travel through the cell membrane.
Nerve cells that overproduce these sodium channels can result in electrophysiological hyperactivation — a common symptom of autism.»
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«Researchers noted that the most “striking” reaction was the discovery that the MYT1L-deficient neurons produced extra sodium channels that are typically restricted to cells in the heart muscle.
These proteins are critical for electrical conductivity and cell function as they allow sodium ions to travel through the cell membrane. Nerve cells that overproduce these sodium channels can result in electrophysiological hyperactivation — a common symptom of autism.
“When MYT1L-deficient nerve cells were treated with lamotrigine, their electrophysiological activity returned to normal. In mice, the drug was even able to curb ASD-associated behaviors such as hyperactivity,” the statement continued.
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nypost |
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MYT1L haploinsufficiency in human neurons and mice causes autism-associated phenotypes that can be reversed by genetic and pharmacologic intervention | Molecular Psychiatry |
14/02/2023 |
«AbstractMYT1L is an autism spectrum disorder (ASD)-associated transcription factor that is expressed in virtually all neurons throughout life. How MYT1L mutations cause neurological phenotypes and whether they can be targeted remains enigmatic.
Here, we examine the effects of MYT1L deficiency in human neurons and mice. Mutant mice exhibit neurodevelopmental delays with thinner cortices, behavioural phenotypes, and gene expression changes that resemble those of ASD patients.
MYT1L target genes, including WNT and NOTCH, are activated upon MYT1L depletion and their chemical inhibition can rescue delayed neurogenesis in vitro. MYT1L deficiency also causes upregulation of the main cardiac sodium channel, SCN5A, and neuronal hyperactivity, which could be restored by shRNA-mediated knockdown of SCN5A or MYT1L overexpression in postmitotic neurons.
Acute application of the sodium channel blocker, lamotrigine, also rescued electrophysiological defects in vitro and behaviour phenotypes in vivo. Hence, MYT1L mutation causes both developmental and postmitotic neurological defects.
However, acute intervention can normalise resulting electrophysiological and behavioural phenotypes in adulthood.»...
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nature |
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A sense of purpose may have significant impact on teens' emotional well-being | Illinois |
14/02/2023 |
«Adolescents who feel a greater sense of purpose may be happier and more satisfied with life than peers who feel less purposeful, suggests a recent study of more than 200 teens.Studies with adults have suggested that a sense of purpose in life is an integral component of well-being that fuels hope and optimism and has a variety of positive effects on individuals' physical and mental health.However, less is known about the effects of purposefulness in adolescents, who, while characteristically hopeful, are in the throes of developing their identities, making choices that reflect who they are and aspire to be, according to the study.»
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« Published in the Journal of Happiness Studies, the project also examined how subclinical autistic traits that fell below the diagnostic threshold for autism – behavioral and cognitive patterns such as poor social skills and difficulty shifting one’s attention – related to these teens’ sense of purpose in life and their overall happiness.
Each day for 70 days, the participants – teens ages 14-19 – were asked to rate how purposeful they felt, how satisfied they were with their life and the levels of positive and negative emotions they were feeling.
All of those in the study were participants in GripTape, a nationwide nonprofit in the U.S. that strives to instill a sense of agency in youths by providing them with the resources to pursue a 10-week Learning Challenge project of their choosing.
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news.illinois |
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Daily Adolescent Purposefulness, Daily Subjective Well-Being, and Individual Differences in Autistic Traits | SpringerLink |
14/02/2023 |
«Abstract Despite being a valued resource for adolescent health and development, the field maintains an incomplete view of how youths' sense of purpose in life corresponds with their subjective well-being (SWB; i.e., greater life satisfaction and positive affect, lower negative affect). These blind spots are especially noticeable at the daily level, and the field further fails to consider how daily associations between purpose and SWB might vary across important individual differences.
This study addresses these gaps in the literature using a daily diary approach to track adolescents (N = 204; Mage = 16.42 years; 70.1% female) across approximately 70 days of enrollment in GripTape, a U.S.-based out-of-school time program that supports engagement with personally meaningful activities.
We found that on days teens felt more purposeful than usual, they tended to report greater SWB. Moreover, we failed to find evidence that subclinical autistic traits, an individual difference that corresponded with lower daily SWB ratings, moderated the observed daily benefits of feeling more purposeful than usual.
With one of the longest consecutive studies of youth well-being to date, our work shows that day-to-day fluctuations in purpose are a useful addition to the adolescent SWB landscape.
Following this necessary observational groundwork, future research may invest in creating and testing purpose opportunities for a more inclusive range of youth.»...
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link.springer |
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Handicap : un guide pour accompagner l'evolution de la PCH |
13/02/2023 |
«Le décret n° 2022-570 du 19 avril 2022 prévoit d'améliorer l'accès à la PCH pour les personnes ayant une altération de fonctions mentales, psychiques, cognitives ou un trouble neurodéveloppemental (TND) à partir du 1er janvier 2023. Il élargit à la fois les critères d'éligibilité générale à la PCH et d'éligibilité à la PCH aide humaine.
Il crée un nouveau domaine d'aide humaine, le « soutien à l'autonomie », qui va au-delà du soutien aux «Â actes essentiels de la vie courante » pour répondre aux besoins spécifiques d'assistance aux personnes présentant un handicap lié à des altérations de fonctions mentales.»...
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lagazettedescommunes |
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Impairment or difference? The case of Theory of Mind abilities and pragmatic competence in the Autism Spectrum | Applied Psycholinguistics | Cambridge Core |
10/02/2023 |
«AbstractPsycholinguistic research on pragmatics in the neurotypical population has increasingly framed pragmatic competence and related cognitive skills in terms of individual differences, co-constructed discourse, and meaning negotiation.
However, research on pragmatics in the Autism Spectrum has risen from a wide and biased view of autistic communication as fundamentally compromised and autistic pragmatic abilities as impaired.
Mostly due to the impactful theory of a deficit in Theory of Mind, early research on autistic communication presumed a unitary pragmatic impairment, only to find that several pragmatic abilities seem to be "preserved." However, the interpretation of these findings usually takes an ableist turn, as most studies subsequently suggest that surface-level performance should not be interpreted as competence, but rather as a result of "compensatory" strategies.
The raising number of contributions from autistic academics and participatory research enriched the field with new perspectives focusing on differences rather than impairments and drawing hypotheses on communication difficulties between neurotypes rather than within a specific neurotype.
However, such contributions are hardly ever cited in the most prominent works. In conclusion, the field would benefit from a higher level of citation of autistic-led research and from an epistemological perspective shift within the mostly neurotypical academic community.»...
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cambridge |
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Autism and Cardiometabolic Disease Often Go Hand in Hand | |
09/02/2023 |
«NEWS Daily NewsAutism and Cardiometabolic Disease Often Go Hand in HandWhat's driving the increased risk of diabetes, dyslipidemia, and CVD in autistic people...”especially children...”isn't clear-cut.byCaitlin E. CoxFEBRUARY 06, 2023People with autism are at increased risk for developing cardiometabolic disease, including diabetes, dyslipidemia, and CVD, a meta-analysis confirms.
The associations are particularly strong for children, suggesting a need to address risk factors at an early age.Autism, with a global prevalence of 23 per 1,000 people, "is associated with multiple medical, neurologic, and psychiatric comorbidities," particularly obesity, that "often exacerbate disparities in the quality of life and life expectancy" of affected individuals, Chathurika S. Dhanasekara, MD, PhD (Texas Tech University Health Sciences Center, Lubbock), and colleagues note in their paper, recently published in JAMA Pediatrics.Senior author Chanaka N. Kahathuduwa, MD, PhD (Texas Tech University Health Sciences Center), said this work was inspired by a prior meta-analysis they'd done on autism and obesity in children.
Their latest report contains data from 34 studies, said Kahathuduwa, but "the problem is we can only do observational studies...”it's very difficult to prove causality in associations like this."There are numerous possible drivers for the associations...”from lifestyle to genetics and shared origins...”that could explain the connection, but none have yet been pinned down.
"I wish I could give you an answer" on mechanism, he commented to TCTMD.»...
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tctmd |
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L'Arche: l'emprise de Jean Vanier confirmee par une enquete |
31/01/2023 |
«Une enquête indépendante commandée par L'Arche, publiée le 30 janvier 2023, confirme la large "emprise" qu'a pu exercer Jean Vanier, figure spirituelle catholique décédée en 2019 et accusée d'agressions sexuelles dans un rapport de 2020.31 janvier 2023 ... En février 2020, l'information avait provoqué une onde de choc dans le milieu catholique : l'Arche, une fédération d'associations fondée par Jean Vanier et qui accueille dans 38 pays des personnes ayant une déficience intellectuelle, avait dévoilé un rapport interne mené par un organisme indépendant (Lire : Révélations Jean Vanier : résidents de l'Arche sous le choc ). Ce dernier révélait que Jean Vanier avait eu avec six femmes adultes (et non handicapées), dont certaines vulnérables, "des relations sexuelles, généralement dans le cadre d'un accompagnement spirituel, et dont certaines ont gardé de profondes blessures"»...
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informations.handicap |
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Research Project Focuses on Promoting Dual-Language Development for Children with Autism in Bilingual Families : UMass Amherst |
31/01/2023 |
«A University of Massachusetts Amherst researcher has been awarded a National Institutes of Health (NIH) grant to study bilingualism in children with autism spectrum disorder (ASD) whose household speaks a language other than English."This is a group that often is excluded from existing research or intervention studies," says Megan Gross, assistant professor of communication disorders in the School of Public Health and Health Sciences.
"And I think there's still a lot of misinformation that can get out there to bilingual families about what language to speak at home with their child." To make it possible to include children who do not speak, Gross will use innovative eye-tracking technology to analyze their ability to comprehend bilingual spoken language.
A camera at the bottom of a laptop computer will track the child’s eye movement as a word or phrase in English and Spanish is played out loud.»
[...]
«Gross will examine the type of bilingual environment to which children with ASD, ages 4-6, are exposed, as well as the different factors that relate to their ability to speak or understand both Spanish and English. She will also consider the children’s social communication and social-cognitive skills, such as cognitive flexibility, as well as their ability to understand and communicate in two languages.
To make it possible to include children who do not speak, Gross will use innovative eye-tracking technology to analyze their ability to comprehend bilingual spoken language. A camera at the bottom of a laptop computer will track the child’s eye movement as a word or phrase in English and Spanish is played out loud.
“By following their eye movements over time, we can tell whether they’ve understood the word or phrase that they heard because they should look at the corresponding picture,” Gross says. “This is a group I’m especially interested in including in my study. Even if they are not speaking, we need a way to measure what they are understanding when people are speaking to them in Spanish and English. And what skills might they have that they aren’t able to show us through their spoken language?”
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umass |
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Anxiete des adolescents : « il est temps d'organiser une prevention adaptee » | Cerveau & Psycho |
26/01/2023 |
«Jean-Luc Martinot, vous venez de montrer que l'on peut évaluer scientifiquement le risque qu'un adolescent âgé de 14 ans développe plus tard des troubles anxieux. Mais tout adolescent est plus ou moins anxieux.
Alors, de quoi parle-t-on exactement ?Il s'agit d'«Â angoisse » - autrefois, on parlait de «Â névrose » -, une caractéristique commune à tous les troubles dits «Â anxieux », comme le trouble panique, le trouble d'anxiété sociale, le trouble anxieux généralisé, les phobies et les TOC. Environ un adolescent sur trois serait concerné, mais la plupart de ces maladies mentales se développent progressivement, de sorte que, en général, on ne peut poser de diagnostic psychiatrique qu'à la fin de l'adolescence ou au début de l'âge adulte, entre 18 et 25 ans.»
[...]
«
Dans notre pays, on dispose d’un programme de repérage précoce et d’intervention brève pour des addictions ou des « usages à risque », mais il concerne plutôt les individus de 25 ans et au-delà : c’est vraiment tard ! Je le dis à nouveau : avant 16 ans, le cerveau est dans une période de vulnérabilité, mais aussi de plasticité. Entre 18 et 25 ans, sa dynamique de transition vers l’âge adulte est en cours. Plus on attend, plus des symptômes psychopathologiques isolés risquent de s’inscrire durablement et d’évoluer vers des troubles mentaux cliniques. La recherche et l’évaluation d’interventions préventives adaptées seraient donc un moyen de soulager le système de soins psychiatrique, qui, malheureusement, est saturé. Or il y a déjà des outils de détection validés et quelques interventions contrôlées à l’étranger, qui présentent un bon rapport coût-benéfice : reste maintenant à organiser et évaluer, en France, la prévention.
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cerveauetpsycho |
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Evolution de la PCH : La CNSA publie un guide pour accompagner les MDPH| CNSA |
25/01/2023 |
«Le décret n° 2022-570 du 19 avril 2022 relatif à la prestation de compensation prévoit d'améliorer l'accès à la PCH pour les personnes ayant une altération de fonctions mentales, psychiques, cognitives ou un trouble neurodéveloppemental (TND) à partir du 1er janvier 2023. La CNSA publie un guide pour accompagner les équipes pluridisciplinaires des maisons départementales des personnes handicapées (MDPH) dans leur mise en oeuvre de cette évolution.L'amélioration de l'accès aux droits et à la compensation des personnes vivant avec une altération des fonctions mentales, psychiques, cognitives ou avec un TND a été identifiée comme une priorité forte lors de la Conférence nationale du handicap (CNH) du 11 février 2020.Le décret du 19 avril 2022 fait suite au rapport de synthèse pour un décret d'adaptation du référentiel d'accès à la PCH pour les personnes en situation de handicap du fait d'altérations des fonctions mentales, cognitives, psychiques (nouvelle fenêtre, PDF, 7.91 Mo), publié en mai 2021 par l'Union nationale de familles et amis de personnes malades et/ou handicapées psychiques (UNAFAM), Autisme France, HyperSupers TDAH et l'UNAPEI, aux propositions du rapport Leguay et à une expérimentation menée dans trois MDPH (Ardennes, Gironde, Vosges) entre octobre 2021 et mars 2022. Il vise à améliorer l'accès à la PCH pour les personnes ayant une altération de fonctions mentales, psychiques, cognitives ou avec un TND.»
[...]
« Documents à télécharger
Prestation de compensation du handicap. Mise en œuvre du décret n° 2022-570 du 19 avril 2022, articles 2 et 3 - accessible (PDF, 1.48 Mo)
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Source: http://www.cnsa.fr | Source Status
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cnsa |
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Evolution de la PCH : La CNSA publie un guide pour accompagner les MDPH| CNSA |
25/01/2023 |
«Le décret n° 2022-570 du 19 avril 2022 relatif à la prestation de compensation prévoit d'améliorer l'accès à la PCH pour les personnes ayant une altération de fonctions mentales, psychiques, cognitives ou un trouble neurodéveloppemental (TND) à partir du 1er janvier 2023. La CNSA publie un guide pour accompagner les équipes pluridisciplinaires des maisons départementales des personnes handicapées (MDPH) dans leur mise en oeuvre de cette évolution.L'amélioration de l'accès aux droits et à la compensation des personnes vivant avec une altération des fonctions mentales, psychiques, cognitives ou avec un TND a été identifiée comme une priorité forte lors de la Conférence nationale du handicap (CNH) du 11 février 2020.Le décret du 19 avril 2022 fait suite au rapport de synthèse pour un décret d'adaptation du référentiel d'accès à la PCH pour les personnes en situation de handicap du fait d'altérations des fonctions mentales, cognitives, psychiques (nouvelle fenêtre, PDF, 7.91 Mo), publié en mai 2021 par l'Union nationale de familles et amis de personnes malades et/ou handicapées psychiques (UNAFAM), Autisme France, HyperSupers TDAH et l'UNAPEI, aux propositions du rapport Leguay et à une expérimentation menée dans trois MDPH (Ardennes, Gironde, Vosges) entre octobre 2021 et mars 2022. Il vise à améliorer l'accès à la PCH pour les personnes ayant une altération de fonctions mentales, psychiques, cognitives ou avec un TND.»
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« Documents à télécharger
Prestation de compensation du handicap. Mise en œuvre du décret n° 2022-570 du 19 avril 2022, articles 2 et 3 - accessible (PDF, 1.48 Mo)
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Source: http://www.cnsa.fr | Source Status
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cnsa |
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Free autism questionnaire can help diagnose children, research says | |
21/01/2023 |
«WEST JORDAN ...” Veronica Bernard was worried for her son, Jacob, when he was 4 years old and hadn't yet said the word "mom." She knew he was smart ...” he knew colors and shapes and could point to things ...” but he had yet to put his thoughts into words.A pediatrician suggested that Jacob be tested for autism.
They got in to see a specialist after 2½ months of waiting, but Bernard said the testing took weeks."There were several appointments that were dragged on, and some of them I had to reschedule because he wouldn't cooperate or he didn't want to sit down," she said.
"For a parent, that's emotionally and mentally draining." Hanna said the new questionnaire might not be enough for parents to get the services their child may need.»
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« Is an official diagnosis necessary?
Hanna said the new questionnaire might not be enough for parents to get the services their child may need.
"The big question would be if a parent utilizes this tool, and it looks like the child may be on the spectrum, then what?" she said. "They need a formal diagnosis to access a lot of services."
Rivera had suspected her son was autistic long before his clinical diagnosis, but that diagnosis opened their family up to a world of benefits.
"Getting the diagnosis helped understand what was going on in his brain and how to help him and empathize … and then it helped because we were able to get into behavior therapy," Rivera said. "With behavior therapy, that came along with parent training, and parent training literally saved our family."
Bernard said a medical diagnosis is required for an autistic child to receive assistance through a Utah public school. But she also pointed to many resources parents and children can access without that.
"There's so much information on the internet. There are so many books now," Bernard said. "There are so many different parents advocating for so many different things if you just get on Instagram alone."
Bernard also urged other parents with autistic children to go with their "parental gut instinct" when it comes to dealing with teachers and doctors.
"Keep fighting," she said. "Keep fighting for your kids, because it's going to amount to something someday, and then in turn, they're going to learn how to fight too."
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ksl |
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The Autism Symptom Dimensions Questionnaire: Development and psychometric evaluation of a new, open-source measure of autism symptomatology - PubMed |
21/01/2023 |
«AbstractAim: To describe the development and initial psychometric evaluation of a new, freely available measure, the Autism Symptom Dimensions Questionnaire (ASDQ).Method: After development and revision of an initial 33-item version, informants completed a revised 39-item version of the ASDQ on 1467 children and adolescents (aged 2-17 years), including 104 with autism spectrum disorder (ASD). Results: The initial 33-item version of the ASDQ had good reliability and construct validity.
However, only four specific symptom factors were identified, potentially due to an insufficient number of items. Factor analyses of the expanded instrument identified a general ASD factor and nine specific symptom factors with good measurement invariance across demographic groups.
Scales showed good-to-excellent overall and conditional reliability. Exploratory analyses of predictive validity for ASD versus neurotypical and other developmental disability diagnoses indicated good accuracy for population and at-risk contexts.»
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Results: The initial 33-item version of the ASDQ had good reliability and construct validity. However, only four specific symptom factors were identified, potentially due to an insufficient number of items. Factor analyses of the expanded instrument identified a general ASD factor and nine specific symptom factors with good measurement invariance across demographic groups. Scales showed good-to-excellent overall and conditional reliability. Exploratory analyses of predictive validity for ASD versus neurotypical and other developmental disability diagnoses indicated good accuracy for population and at-risk contexts.
Interpretation: The ASDQ is a free and psychometrically sound informant report instrument with good reliability of measurement across a continuous range of scores and preliminary evidence of predictive validity. The measure may be a useful alternative to existing autism symptom measures but further studies with comparison of clinical diagnoses using criterion-standard instruments are needed.
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Téléchargements
Autism Symptom Dimensions Questionnaire (ASDQ) final 220105.docx
Autism Symptom Dimensions Questionnaire (ASDQ) final 220105.pdf
Source: https://osf.io | Source Status
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Source: http://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov | Source Status
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pubmed.ncbi.nlm.nih |
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Predire l'apparition de troubles anxieux grace a l'IA |
20/01/2023 |
«L'intelligence artificielle (IA), un allié de poids pour prévenir les troubles anxieux ? Plusieurs études ont mis en évidence le pouvoir prédictif de cette technique dans le cadre de troubles psychiques comme la dépression ou les addictions.
Mais aucune ne s'était penchée sur les troubles anxieux... C'est désormais chose faite. Des chercheurs du laboratoire « Trajectoires développementales et psychiatrie » (Inserm) et du Centre Borelli (CNRS) ont identifié, grâce à l'IA, des signes avant-coureurs, à l'adolescence, qui augmentent « significativement » le risque de développer des troubles anxieux à l'âge adulte.
Les résultats de l'étude ont été publiés dans la revue scientifique Molecular Psychiatry en décembre 2022.»
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«3 signes : neuroticisme, désespoir, symptômes émotionnels
Trois signes prédicteurs majeurs ont été mis en évidence. Primo, le neuroticisme, qui désigne une tendance persistante à ressentir des émotions négatives (peur, tristesse, gêne, colère, culpabilité, dégoût...), une mauvaise maîtrise des pulsions et une inadaptation face aux stress. Secundo, le désespoir, associé à un faible score de réponses aux questions évaluant l'optimisme et la confiance en soi. Enfin, les symptômes émotionnels recouvrent les réponses indiquant des symptômes tels que « des maux de tête et d'estomac », « beaucoup de soucis, souvent inquiet », « souvent malheureux, abattu ou larmoyant », « nerveux dans les nouvelles situations, perd facilement confiance », « a facilement peur ». D'autres signes avant-coureurs ont été hiérarchisés pour chaque individu, par exemple les liens familiaux, la consommation d'alcool, la détresse, l'âge, un accident, le degré d'autonomie... Cette découverte pourrait « permettre de détecter les personnes à risque plus tôt et de leur proposer une intervention adaptée et personnalisée, tout en limitant la progression de ces pathologies et leurs conséquences sur la vie quotidienne », se félicite Jean-Luc Martinot, directeur de recherche à l'Inserm et pédopsychiatre, co-auteur de l'étude.
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informations.handicap |
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ADHD found to be more predictive of poor mental health outcomes in adults |
17/01/2023 |
«Adults with high levels of attention-deficit hyperactivity disorder (ADHD) symptoms are more likely to experience anxiety and depression than adults with high levels of autistic traits, according to new research led by psychologists at the University of Bath in the UK.This study is the first to show that ADHD is more predictive of poor mental health outcomes in adults than other neurodevelopmental conditions, like autism.Until now, there has been a dearth of information on the effects of ADHD on poor mental health, with far more research focusing on the impact of autism on depression, anxiety and quality of life.
As a result, people with ADHD have often struggled to access the clinical care they need to cope with their symptoms.The authors of the study hope their findings will trigger new research into ADHD and ultimately improve the mental health outcomes for people with the condition.
ADHD is a neurodevelopmental condition characterized by inattention and/or hyperactivity and impulsivity. The condition is estimated to affect between 3% and 9% of the population»...
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news-medical |
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GI Conditions Can Worsen Autism Symptoms, And Vice Versa - Gastroenterology & Endoscopy News |
17/01/2023 |
«As pediatric gastroenterologist Kara Gross Margolis, MD, was beginning her research career, an early opportunity to work with colleagues in the field of psychiatry led her ultimately to subspecialize and develop expertise in brain-gut axis disorders.
That early work...”devising screening criteria to diagnose gastrointestinal conditions in patients with autism spectrum disorder...”has blossomed into a subspeciality in a pediatric community for which families seek her out.Remembering those early days, Dr.
Gross Margolis told Gastroenterology & Endoscopy News, "It was really at that point that I realized just how common gastrointestinal problems were in autism. And obviously, as a gastroenterologist, it really struck a chord with me of ˜how could this be related to autism?'" Diagnosing and treating gastrointestinal complaints in children with autism spectrum disorder can be difficult but are increasingly important as more research shows that GI conditions can worsen ASD symptoms.
Kara Gross Margolis, MD, who co-authored an overview of GI and ASD in Psychiatric Clinics of North America (2021;44[1]:69-81), walked us through different aspects that providers can incorporate into their office visits.»
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« Tips for Managing Patients With GI Issues and ASD
Diagnosing and treating gastrointestinal complaints in children with autism spectrum disorder can be difficult but are increasingly important as more research shows that GI conditions can worsen ASD symptoms. Kara Gross Margolis, MD, who co-authored an overview of GI and ASD in Psychiatric Clinics of North America (2021;44[1]:69-81), walked us through different aspects that providers can incorporate into their office visits.
Understand symptoms. Many children with ASD may not be able to explain the symptoms they are experiencing. They can be nonverbal or have poor sensory localization. However, as Dr. Gross Margolis said, new-onset challenging behaviors, hyperactivity, sleep issues and worsening of other ASD symptoms could be signals of GI problems. Dr. Gross Margolis advises a full GI evaluation, at the very least with a comprehensive history and physical, and in some cases considering endoscopy. Gastrointestinal problems can be missed when clinicians do not connect GI issues to behaviors such as withdrawal, anxiety, self-injury or aggression, she said.
Ask about diet. Some children with ASD may only eat extremely selectively or could be on exclusion diets to help manage symptoms. Food selectivity can be associated with GI issues, Dr. Gross Margolis said, and there are some indicators that lower food diversity in the diet can be related to changes in stool inconsistency and changes in the gut microbiota (Cell 2021;184[24]:5916-5931). “I think understanding how diet plays a role is going to be really important.”
Review medications. Medications need to be fine-tuned for this patient population because many drugs prescribed for ASD symptoms can have prominent GI side effects. “We often try to figure out if there’s a medication that’s causing a GI problem, and if there’s a substitute or if it’s more important to treat that psychiatric problem with that specific medication, and maybe go to a different type of gastrointestinal treatment.”
Don’t forget the supplements. Many of these patients are on a long list of supplements. Large doses or certain kinds can cause side effects. For example, individuals with ASD are often placed on probiotics and/or fish oil, she said, which can cause nausea, bloating and diarrhea.
Listen to parents. “Parents know their kids,” she said, noting that this is supported by data. One study found that parents were right about their child with ASD’s GI issue 90% of the time (Autism Res 2012;5[2]:101-108).
Be optimistic. Being hopeful can go a long way, especially to a family that is struggling with their child’s symptoms. Mention that research is ongoing, and new treatments and better understanding of symptom interplay are on the horizon.
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gastroendonews |
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Cohort-guided insights into gene-environment interactions in autism spectrum disorders | Nature Reviews Neurology |
17/01/2023 |
«Abstract Prospective birth cohorts offer unprecedented opportunities to investigate the pathogenesis of complex disorders such as autism, in which gene-environment interactions must be appreciated in a temporal context.
This Perspective article considers the history of autism research, including missteps that reflected an incomplete understanding of the epidemiology of autistic spectrum disorders, the effects of advocacy and philanthropy on the trajectory of scientific inquiry, and the current and future roles of prospective birth cohort research in illuminating the pathology of these and other complex disorders wherein exposures during gestation might not manifest until later in life.»
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« Figure 1 shows a timeline of seminal events in the history of biomedical research in autism.
Although initially characterized as psychosis74,75,76, from the 1970s onwards autism was reframed as a developmental disorder with a heritable component15,77,78,79,80,81. Various exposures were subsequently identified as contributing to the risk of autism spectrum disorder, the understanding of which continues to evolve5,16,17,19,20,25,82,83,84,85,86,87,88,89. Special projects initiated and supported by The National Alliance for Autism Research and Cure Autism Now include the Autism Tissue Program brain bank, the Autism Genetic Resource Exchange and the High-Risk Baby Siblings Consortium.
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nature |
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Brain wiring explains why autism hinders grasp of vocal emotion, says Stanford Medicine study | News Center | Stanford Medicine |
13/01/2023 |
«Children with autism often struggle to identify emotional cues in other people's voices because of differences in the wiring and function of a key social center in their brains, according to a new study from the Stanford School of Medicine.
“Children typically learn to map certain sounds in people’s voices onto particular emotions,” said the study’s co-lead author, Daniel Abrams, PhD, clinical associate professor of psychiatry and behavioral sciences at Stanford Medicine.»
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« The findings, published online Jan. 9 in Biological Psychiatry: Cognitive Neuroscience and Neuroimaging, offer an explanation for the neurological origin of a key social challenge in autism. They also provide clues as to the type of therapy that might help, according to the researchers.
“Children typically learn to map certain sounds in people’s voices onto particular emotions,” said the study’s co-lead author, Daniel Abrams, PhD, clinical associate professor of psychiatry and behavioral sciences at Stanford Medicine.
“If Mom or Dad is unhappy, a little kid will know that before understanding all the words,” Abrams said, noting that young children recognize slow, low-pitched speech as showing sadness. “But kids with autism have trouble mapping vocal features onto emotion. Before this study, we didn’t know why the brains of people with autism have a roadblock for identifying and recognizing these vocal cues.”
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med.stanford |
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Alerte ethique : decryptage de la nouvelle procedure de recueil |
12/01/2023 |
«Le décret du 3 octobre 2022 rappelle, après la loi, l'obligation pour les collectivités de plus de 10 000 habitants ou employant plus de 50Â agents d'établir une procédure de recueil des alertes éthiques.
Samuel Dyens, avocat associé au cabinet Goutal, Alibert et associés, le décrypte pour La Gazette.»...
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lagazettedescommunes |
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Alerte ethique : decryptage de la nouvelle procedure de recueil |
12/01/2023 |
«Le décret du 3 octobre 2022 rappelle, après la loi, l'obligation pour les collectivités de plus de 10 000 habitants ou employant plus de 50Â agents d'établir une procédure de recueil des alertes éthiques.
Samuel Dyens, avocat associé au cabinet Goutal, Alibert et associés, le décrypte pour La Gazette.»...
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lagazettedescommunes |
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Parent-rated anxiety in autistic adolescents and young adults: Concurrent links to autism traits and chronic sleep problems - ScienceDirect |
09/01/2023 |
«AbstractBackgroundAnxiety is prevalent among autistic individuals, but less is known about the different anxiety problems autistic adolescents and young adults experience and the main behavioral manifestations of their anxiety.
This study investigated these issues and the relation between the overall level of anxiety and a range of factors in autistic adolescents and young adults, including autism traits, challenging behaviors, adaptive behavior, sleep problems, and gastrointestinal issues.Method66 parents of autistic adolescents and young adults completed an interview and responded to questionnaires on their children's anxiety, autism traits, sensory processing, challenging behaviors, adaptive behavior, and medical issues.ResultsThe most frequently parent-endorsed moderate and severe anxiety problems were related to social situations, new situations, upcoming events, loud noises, and changes in routine.
In contrast, parents were least likely to endorse anxiety problems related to being separated from others, being noticed, or being late. Regarding anxiety-related behaviors, parents frequently endorsed avoidance, requiring constant reassurance, performing repetitive behaviors, shutting down, and overreacting to changes.
Individuals with more severe social cognition difficulties, restricted and repetitive behaviors (RRBs), and chronic sleep problems demonstrated elevated levels of anxiety. Chronic sleep problems emerged as the primary concurrent predictor of anxiety in autistic adolescents and young adults and mediated the association between RRBs and anxiety.»
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Conclusions Future anxiety treatment should consider targeting sleep problems simultaneously for autistic adolescents and young adults.
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sciencedirect |
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Development of stigma-related support for autistic adults: Insights from the autism community - Emeline Han, Katrina Scior, Eric Heath, Kana Umagami, Laura Crane, 2023 |
05/01/2023 |
«Abstract Many autistic adults experience public stigma and some internalise this stigma with negative effects on their mental health. While efforts to reduce public stigma are paramount, change can be slow, and interventions to prevent internalised stigma may also be needed.
Using a mixed methods online survey, we gathered the views of 144 autistic adults and parents/caregivers of autistic people in the United Kingdom on whether a stigma-related support programme for autistic adults is needed and, if so, what it should ...˜look' like.
Quantitative data (summarised descriptively) showed that most participants felt it was important for autistic adults to have support in managing stigma and revealed diverse preferences in terms of programme delivery, underscoring the need for flexibility.
Using reflexive thematic analysis, four main themes were identified from the qualitative data: (1) ...˜We need to change society not autistic people', (2) ...˜Stigma is difficult to manage alone', (3) ...˜Focus on positive, practical support', and (4) ...˜There is no one size fits all approach'. We discuss the important implications our findings have for how future interventions in this area are framed and delivered.»...
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journals.sagepub |
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Protection de l'enfance : de nouveaux outils pour harmoniser les pratiques |
05/01/2023 |
«En matière de protection de l'enfance, plusieurs nouveautés issues de la loi Taquet de février 2022 entrent en vigueur en ce début d'année 2023Â : l'approbation du référentiel de la HAS comme cadre de référence d'évaluation des informations préoccupantes, la possibilité pour les départements d'expérimenter avec l'Etat un comité départemental pour la protection de l'enfance ou encore le démarrage du GIP "France enfance protégée" réunissant le 119, l'Observatoire national de la protection de l'enfance, l'Agence française de l'adoption et les secrétariats des trois conseils nationaux de l'accès aux origines personnelles, de l'adoption et de la protection de l'enfance.
Tour d'horizon des différents textes réglementaires concernés.»...
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banquedesterritoires |
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La population des enfants suivis en protection de l’enfance au 31 décembre 2020 : les disparités départementales |
04/01/2023 |
«1 2. Les évolutions des taux de prise en charge départementaux : des disparités en augmentation L’évolution des taux de prise en charge des mineurs et jeunes majeurs protégés, toutes prestations et mesures confondues (milieu ouvert et accueil) montrent des écarts entre départements, qui non seulement perdurent, mais se creusent entre 2010 et 2020, aussi bien en ce qui concerne les mineurs protégés que l’accompagnement des jeunes majeurs.»
[...]
«
Des écarts de prise en charge des mineurs qui s’accentuent
Entre 2010 et 2020, toutes prestations et mesures confondues, les écarts se sont creusés entre départements. Ainsi, au 31 décembre 2020, le taux de prise en charge des mineurs (suivis en milieu ouvert ou accueillis) varie, selon les départements, de 11,7‰ (Yvelines) à 48,6‰ (Creuse),
avec une valeur médiane estimée à 26,1 ‰ ; au 31 décembre 2010, les variations allaient de 9,3 ‰ (Guyane) à 39,2 ‰ (Hautes-Pyrénées).
Au 31 décembre 2020, les départements des Yvelines, de Guyane, des Hauts-de-Seine, du Val-deMarne, de la Haute-Savoie, du Val-d’Oise et de l’Ain enregistrent les taux de prise en charge les plus faibles (moins de 15 ‰). À l’inverse, ces taux sont supérieurs à 30 ‰ dans 34 départements,la Creuse et la Nièvre ayant les taux les plus importants, respectivement 48,6 ‰ et 47,8 ‰.
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onpe.gouv |
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Decret n° 2022-1773 du 30 decembre 2022 relatif au tarif horaire minimal de l'aide a domicile mentionne au I de l'article L. 314-2-1 du code de l'action sociale et des familles pour l'annee 2023 - Legifrance |
31/12/2022 |
«Article 1I.
• Au titre de l'année 2023, le montant du concours mentionné au e) du 3° de l'article L. 14-10-5 du code de l'action sociale et des familles dans sa rédaction issue de l'article 44 de la loi du 23 décembre 2021 susvisée, dénommé Md, attribué à chaque département au titre des surcouts d'allocation personnalisée d'autonomie et de prestation de compensation du handicap liés à l'application du tarif horaire minimal mentionné au I de l'article L. 314-2-1 du même code, est calculé selon la formule suivante :Md2023 = Md2022+ [(Tmin - TdAPA) × NdAPA × (1 - RdAPA) ] + [ (Tmin - TdPCH) × NdPCH × (1 - RdPCH)]où :»
[...]
«- Md2022 est le montant du concours versé au département par la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie au titre de l'année 2022 déterminé en application du décret du 28 avril 2022 susvisé ;
• Tmin est la valeur, en vigueur au 1er janvier 2023, du tarif horaire minimal mentionné au premier alinéa ;
• TdAPA est égal à la moyenne, pondérée par le volume horaire des prestations rendues en 2022, des tarifs horaires en vigueur au 1er septembre 2022, fixés par le département, dans le cadre de l'attribution de l'allocation personnalisée d'autonomie, pour la couverture du coût de ces mêmes prestations rendues par les services mentionnés à l'article L. 313-1-3 du même code aux personnes bénéficiant du droit à ces allocations, lorsque ces tarifs sont inférieurs au tarif minimal mentionné au premier alinéa ;
• TdPCH est égal à la moyenne, pondérée par le volume horaire des prestations rendues en 2022, des tarifs horaires en vigueur au 1er septembre 2022, fixés par le département, dans le cadre de l'attribution de la prestation de compensation du handicap, pour la couverture du coût de ces mêmes prestations rendues par les services mentionnés à l'article L. 313-1-3 du même code aux personnes bénéficiant du droit à ces allocations, lorsque ces tarifs sont inférieurs au tarif minimal mentionné au premier alinéa ;
• NdAPA est égal au volume horaire total des prestations, rendues dans le département en 2022, dans le cadre de l'allocation personnalisées d'autonomie, pour lesquelles les tarifs horaires fixés par le département et applicables au 1er septembre 2022 sont inférieurs au tarif minimal mentionné au premier alinéa ;
• NdPCH est égal au volume horaire total des prestations, rendues dans le département en 2022, dans le cadre de la prestation de compensation du handicap, pour lesquelles les tarifs horaires fixés par le département et applicables au 1er septembre 2022 sont inférieurs au tarif minimal mentionné au premier alinéa ;
• RdAPA est le taux moyen, en 2022, de la participation financière des personnes, ayant recours aux services mentionnés à l'article L. 313-1-3 du même code, aux dépenses relevant des plans d'aide élaborés dans le cadre de l'attribution de l'allocation personnalisée d'autonomie ;
• RdPCH est le taux moyen, en 2022, de la participation financière des personnes, ayant recours aux services mentionnés à l'article L. 313-1-3 du même code, aux dépenses relevant des plans d'aide élaborés dans le cadre de la prestation de compensation du handicap.
II. - Chaque département communique à la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie le 30 juin 2023 au plus tard, par voie dématérialisée et selon des modalités fixées par cette caisse, les données mentionnées aux six derniers alinéas du I.
Sous réserve que le département lui ait communiqué les données mentionnées à l'alinéa précédent à la date du 30 juin 2023, la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie procède au calcul du concours définitif dû à chaque département et à sa notification au plus tard le 30 septembre 2023.
Les départements communiquent également à la caisse, à sa demande, toute information nécessaire à l'exercice de sa mission de versement du concours mentionné au présent article.
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legifrance.gouv |
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Un lien entre la perte auditive et les troubles du spectre autistique | Le Club |
22/12/2022 |
«MEF2C, un gène essentiel au développement du cerveau et à la régulation de la formation des circuits dans le cerveau, joue également un rôle important dans le développement de l'oreille interne.
Des mutations de MEF2C ont déjà été associées à des TSA. Les chercheurs ont constaté que les souris ne possédant qu'une seule copie du gène MEF2C présentaient une activité réduite du nerf auditif.
"Comprendre comment ce gène peut participer au développement de l'oreille et comment le développement de l'oreille interne affecte le développement du cerveau a d'énormes possibilités d'application", a déclaré Cowan.»
[...]
«Les résultats de cette étude pourraient être importants non seulement pour les patients déficients en MEF2C, mais aussi pour les personnes autistes ou malentendantes en général.
"Comprendre comment ce gène peut participer au développement de l'oreille et comment le développement de l'oreille interne affecte le développement du cerveau a d'énormes possibilités d'application", a déclaré Cowan.
Dans des études futures, les chercheurs souhaitent découvrir comment MEF2C provoque exactement les changements qui ont été identifiés dans cette étude. L'équipe de recherche espère également explorer ces résultats chez les patients présentant une déficience en MEF2C en utilisant des tests auditifs non invasifs.
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blogs.mediapart |
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A Link Between Hearing Loss and Autism Spectrum Disorder - Neuroscience News |
21/12/2022 |
«Summary: MEF2C, a gene critical for brain development and regulating circuit formation in the brain also plays a significant role in inner ear development. Mutations of MEF2C have previously been linked to ASD. Researchers found mice with only one copy of the MEF2C gene had reduced activity in the auditory nerve.Source: Medical University of South CarolinaA cross-disciplinary team of researchers in the College of Medicine at the Medical University of South Carolina (MUSC) has discovered hearing impairment in a preclinical model of autism spectrum disorder (ASD).More specifically, the researchers report in the Journal of Neuroscience that they observed mild hearing loss and defects in auditory nerve function.Closer examination of the nerve tissue revealed abnormal supportive cells called glia, aging-like degeneration and inflammation.
The findings from this study highlight the importance of considering sensory organs and their interactions with the brain in understanding ASD.»...
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neurosciencenews |
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Intense World Theory Of Autism Explained Simply |
13/12/2022 |
«Intense world theory of autism is supported by the fact that autistic brains produce 42 percent more information at rest.The brains of autistic children produce, on average, 42 percent more information than non-autistic children when in a resting state, a study has found (Velázquez & Galán, 2013).This may explain why children with autism tend to withdraw into their own inner world and become socially detached.»...
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spring.org |
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La decouverte pourrait conduire a des cibles therapeutiques pour traiter l'hyperphagie boulimique et l'obesite - Actualites Psychologie et psychiatrie |
13/12/2022 |
«Près de 3% des Américains souffrent de troubles de l'hyperphagie boulimique à un moment donné de leur vie, et parmi eux, plus de huit sur 10 ont survécu à des abus, à de la négligence ou à d'autres traumatismes pendant leur enfance.Maintenant, un scientifique de Virginia Tech a identifié comment un traumatisme précoce peut modifier le cerveau pour augmenter le risque de crises de boulimie plus tard dans la vie.Les recherches menées par le chercheur principal Sora Shin, professeur adjoint au Fralin Biomedical Research Institute du VTC, ont révélé comment une voie cérébrale qui fournit généralement des signaux pour arrêter de manger peut être altérée par un traumatisme précoce.»...
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actualite.housseniawriting |
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Trouble du spectre autistique : un mecanisme de compensation pourrait etre present dans certains neurones |
09/12/2022 |
«On parle de spectre, parce que l'autisme prend de nombreuses formes différentes...¦ Il s'agit d'un trouble neuro-développemental très précoce...¦ qui commence in utero et qui touche à la communication entre neurones.
C'est ce qu'on appelle les synapses. Pour faire passer une information ou au contraire le stopper, le neurone va sécréter des molécules par sa synapsne...¦. et la synapse suivante va capter ces neurotransmetteurs avec des récepteurs, et faire passer au neurone suivant.
Et ce que l'on sait, c'est que les TSA touchent certains neurones particuliers et un type de neurotransmetteurs particulier...¦ les neurones à glutamate...¦»...
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radiofrance |
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Trouble du spectre autistique : un mecanisme de compensation pourrait etre present dans certains neurones |
09/12/2022 |
«On parle de spectre, parce que l'autisme prend de nombreuses formes différentes...¦ Il s'agit d'un trouble neuro-développemental très précoce...¦ qui commence in utero et qui touche à la communication entre neurones.
C'est ce qu'on appelle les synapses. Pour faire passer une information ou au contraire le stopper, le neurone va sécréter des molécules par sa synapsne...¦. et la synapse suivante va capter ces neurotransmetteurs avec des récepteurs, et faire passer au neurone suivant.
Et ce que l'on sait, c'est que les TSA touchent certains neurones particuliers et un type de neurotransmetteurs particulier...¦ les neurones à glutamate...¦»...
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radiofrance |
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Tackling hypo and hyper sensory processing heterogeneity in autism: From clinical stratification to genetic pathways - Lefebvre - Autism Research - Wiley Online Library |
07/12/2022 |
«AbstractAs an integral part of autism spectrum symptoms, sensory processing issues including both hypo and hyper sensory sensitivities. These sensory specificities may result from an excitation/inhibition imbalance with a poorly understood of their level of convergence with genetic alterations in GABA-ergic and glutamatergic pathways.
In our study, we aimed to characterize the hypo/hyper-sensory profile among autistic individuals. We then explored its link with the burden of deleterious mutations in a subset of individuals with available whole-genome sequencing data.
To characterize the hypo/hyper-sensory profile, the differential Short Sensory Profile (dSSP) was defined as a normalized and centralized hypo/hypersensitivity ratio from the Short Sensory Profile (SSP). Including 1136 participants (533 autistic individuals, 210 first-degree relatives, and 267 controls) from two independent study samples (PARIS and LEAP), we observed a statistically significant dSSP mean difference between autistic individuals and controls, driven mostly by a high dSSP variability, with an intermediated profile represented by relatives.
Our genetic analysis tended to associate the dSSP and the hyposensitivity with mutations of the GABAergic pathway. The major limitation was the dSSP difficulty to discriminate subjects with a similar quantum of hypo- and hyper-sensory symptoms to those with no such symptoms, resulting both in a similar ratio score of 0. However, the dSSP could be a relevant clinical score, and combined with additional sensory descriptions, genetics and endophenotypic substrates, will improve the exploration of the underlying neurobiological mechanisms of sensory processing differences in autism spectrum.»...
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onlinelibrary.wiley |
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Autism related language preferences of English speaking individuals across the globe: A mixed methods investigation - Keating - Autism Research - Wiley Online Library |
07/12/2022 |
«AbstractOver the past two decades, there have been increasing discussions around which terms should be used to talk about autism. Whilst these discussions have largely revolved around the suitability of identity-first language and person-first language, more recently this debate has broadened to encompass other autism-related terminology (e.g., ...˜high-functioning'). To date, academic studies have not investigated the language preferences of autistic individuals outside of the United Kingdom or Australia, nor have they compared levels of endorsement across countries.
Hence, the current study adopted a mixed-methods approach, employing both quantitative and qualitative techniques, to explore the linguistic preferences of 654 English-speaking autistic adults across the globe.
Despite variation in levels of endorsement between countries, we found that the most popular terms were similar...”the terms ...˜Autism', ...˜Autistic person', ...˜Is autistic', ...˜Neurological/Brain Difference', ...˜Differences', ...˜Challenges', ...˜Difficulties', ...˜Neurotypical people', and ...˜Neurotypicals' were consistently favored across countries.
Despite relative consensus across groups, both our quantitative and qualitative data demonstrate that there is no universally accepted way to talk about autism. Our thematic analysis revealed the reasons underlying participants' preferences, generating six core themes, and illuminated an important guiding principle...”to respect personal preferences.
These findings have significant implications for informing practice, research and language policy worldwide.»...
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onlinelibrary.wiley |
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Neuromagnetic 40 Hz auditory steady-state response in the left auditory cortex is related to language comprehension in children with autism spectrum disorder - PubMed |
06/12/2022 |
«Abstract Language impairment is comorbid in most children with Autism Spectrum Disorder (ASD), but its neural mechanisms are still poorly understood. Some studies hypothesize that the atypical low-level sensory perception in the auditory cortex accounts for the abnormal language development in these children.
One of the potential non-invasive measures of such low-level perception can be the cortical gamma-band oscillations registered with magnetoencephalography (MEG), and 40 Hz Auditory Steady-State Response (40 Hz ASSR) is a reliable paradigm for eliciting auditory gamma response.
Although there is research in children with and without ASD using 40 Hz ASSR, nothing is known about the relationship between this auditory response in children with ASD and their language abilities measured directly in formal assessment.
In the present study, we used MEG and individual brain models to investigate 40 Hz ASSR in primary-school-aged children with and without ASD. It was also used to assess how the strength of the auditory response is related to language abilities of children with ASD, their non-verbal IQ, and social functioning.
A total of 40 children were included in the study. The results demonstrated that 40 Hz ASSR was reduced in the right auditory cortex in children with ASD when comparing them to typically developing controls.
Importantly, our study provides the first evidence of the association between 40 Hz ASSR in the language-dominant left auditory cortex and language comprehension in children with ASD. This link was domain-specific because the other brain-behavior correlations were non-significant.»...
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pubmed.ncbi.nlm.nih |
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Elemental Dynamics in Hair Accurately Predict Future Autism Spectrum Disorder Diagnosis: An International Multi-Center Study |
02/12/2022 |
«Abstract Autism spectrum disorder (ASD) is a neurodevelopmental condition diagnosed in approximately 2% of children. Reliance on the emergence of clinically observable behavioral patterns only delays the mean age of diagnosis to approximately 4 years.
However, neural pathways critical to language and social functions develop during infancy, and current diagnostic protocols miss the age when therapy would be most effective.
We developed non-invasive ASD biomarkers using mass spectrometry analyses of elemental metabolism in single hair strands, coupled with machine learning. We undertook a national prospective study in Japan, where hair samples were collected at 1 month and clinical diagnosis was undertaken at 4 years.
Next, we analyzed a national sample of Swedish twins and, in our third study, participants from a specialist ASD center in the US. In a blinded analysis, a predictive algorithm detected ASD risk as early as 1 month with 96.4% sensitivity, 75.4% specificity, and 81.4% accuracy (n = 486; 175 cases). These findings emphasize that the dynamics in elemental metabolism are systemically dysregulated in autism, and these signatures can be detected and leveraged in hair samples to predict the emergence of ASD as early as 1 month of age.»...
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mdpi |
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Elemental Dynamics in Hair Accurately Predict Future Autism Spectrum Disorder Diagnosis: An International Multi-Center Study |
02/12/2022 |
«Abstract Autism spectrum disorder (ASD) is a neurodevelopmental condition diagnosed in approximately 2% of children. Reliance on the emergence of clinically observable behavioral patterns only delays the mean age of diagnosis to approximately 4 years.
However, neural pathways critical to language and social functions develop during infancy, and current diagnostic protocols miss the age when therapy would be most effective.
We developed non-invasive ASD biomarkers using mass spectrometry analyses of elemental metabolism in single hair strands, coupled with machine learning. We undertook a national prospective study in Japan, where hair samples were collected at 1 month and clinical diagnosis was undertaken at 4 years.
Next, we analyzed a national sample of Swedish twins and, in our third study, participants from a specialist ASD center in the US. In a blinded analysis, a predictive algorithm detected ASD risk as early as 1 month with 96.4% sensitivity, 75.4% specificity, and 81.4% accuracy (n = 486; 175 cases). These findings emphasize that the dynamics in elemental metabolism are systemically dysregulated in autism, and these signatures can be detected and leveraged in hair samples to predict the emergence of ASD as early as 1 month of age.»...
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mdpi |
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Elemental Dynamics in Hair Accurately Predict Future Autism Spectrum Disorder Diagnosis: An International Multi-Center Study |
02/12/2022 |
«Abstract Autism spectrum disorder (ASD) is a neurodevelopmental condition diagnosed in approximately 2% of children. Reliance on the emergence of clinically observable behavioral patterns only delays the mean age of diagnosis to approximately 4 years.
However, neural pathways critical to language and social functions develop during infancy, and current diagnostic protocols miss the age when therapy would be most effective.
We developed non-invasive ASD biomarkers using mass spectrometry analyses of elemental metabolism in single hair strands, coupled with machine learning. We undertook a national prospective study in Japan, where hair samples were collected at 1 month and clinical diagnosis was undertaken at 4 years.
Next, we analyzed a national sample of Swedish twins and, in our third study, participants from a specialist ASD center in the US. In a blinded analysis, a predictive algorithm detected ASD risk as early as 1 month with 96.4% sensitivity, 75.4% specificity, and 81.4% accuracy (n = 486; 175 cases). These findings emphasize that the dynamics in elemental metabolism are systemically dysregulated in autism, and these signatures can be detected and leveraged in hair samples to predict the emergence of ASD as early as 1 month of age.»...
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mdpi |
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New approaches to clinical electroencephalography analysis in typically developing children and children with autism - ScienceDirect |
02/12/2022 |
«Abstract Clinical analysis of EEG is time-consuming and requires a high level of expertise. In this study, we developed a new approach for EEG analysis applying quantitative methods for assessing clinical indices of EEG for four age groups of children with severe autism spectrum disorder (ASD) and four age- and non-verbal IQ-matched groups of typically developing (TD) children.
The new approach showed higher sensitivity and ASD-TD differences than conventional quantitative EEG analysis. TD and ASD groups had similar dispersions of EEG power spectral density, coherence, and peak alpha frequency, but the groups differed in the index, frequency variability, and instantaneous prevailing frequency of sensorimotor rhythm (SMR). The ASD-TD difference in SMR index and instantaneous prevailing frequency disappeared by the age of ten years.
The ASD-TD differences in SMR frequency variability were most prominent in children younger than 4 and older than 10 years.»...
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sciencedirect |
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*** Relations between language, non-verbal cognition, and conceptualization in non- or minimally verbal individuals with ASD across the lifespan - Dominika Slusna, Andrea Rodriguez, Berta Salvado, Agustin Vicente, Wolfram Hinzen, 2021 |
30/11/2022 |
«Abstract Background & aimsIndividuals with non- or minimally verbal autism (nvASD) are primarily characterized by a severe speech production deficit, with speech limited to no or only a few words by school age.
Significant unclarity remains over variability in language profiles across the lifespan, the nature of the language impairment seen, and (dis-) associations between linguistic and nonverbal cognitive measures.»
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«Methods
To address these questions, we recruited both a school-age and an adult group with nvASD (total N = 49) and investigated relations between expressive and receptive language, and between these and nonverbal intelligence quotient (NVIQ) and sense-making capacities (the ComFor test).
Results
Results revealed limited variation across this sample in receptive language, which in turn predicted expressive language levels. Importantly, an upward trend in verbal mental age (VMA) across increasing chronological age was seen in the youngsters (only). A radical dissociation between NVIQ and both expressive and receptive language transpired as well, and a subset of individuals with normal NVIQ were comparable in terms of any other cognitive aspect. Sense-making reached symbolic levels in 62.2% of the sample and loaded on both verbal and nonverbal factors.
Conclusions
These patterns inform theories of nvASD by revealing an impairment that is not conceptualizable as one of expressive language only, sharply limits learning opportunities across the lifespan, and cannot be compensated for by nonverbal cognition.
Implications
These findings stress the need to seize developmental opportunities that may disappear when youngsters turn into adults, via therapies that specifically target language as a central cognitive system comprising both production and comprehension.
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journals.sagepub |
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Social Gene and Anti-Social Antibiotic Uncovered in Animal Study May Aid Autism Research |
29/11/2022 |
«The combined activities of an evolutionarily conserved enzyme and a regulatory protein control the expression of several genes that regulate the embryonic inception of sociability, claims an animal study published in the journal Science Advances on November 23, 2022. As part of this study, a team of scientists at the University of Utah screened 1,120 drugs and found that inhibiting the activity of Top2a (topoisomerase IIα) created lasting deficits in social behaviors in zebrafish, that normally develop a strong preference for fish their own age by three weeks of age.»
[...]
«“This study helps us understand at the molecular level why sociability is disrupted during the very earliest stages of life,” said Randall Peterson, PhD, the corresponding author of the study and dean of the University of Utah College of Pharmacy. “It also gives us an opportunity to explore potential treatments that could restore sociability in these animals and, perhaps in time, eventually in humans as well.”
The insights from mice and zebrafish studies suggest exposure to certain antibiotics called fluoroquinolones during embryonic development inhibits Top2a expression, leading to alterations in social behavior that are similar to those found in individuals with autism. The researchers also found inhibition of the Top2a-interacting regulatory protein (PRC2, polycomb repressive complex 2) rescued social deficits caused by exposure to the antibiotic. The study indicates, Top2a controls a large network of genes, known to increase the risk of autism. It also may serve as a link between genetic and environmental factors that contribute to the onset of social impairments, added Peterson.
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genengnews |
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GUIDE PRATIQUE -Association des Maires de France AGIR POUR L’INCLUSION DES PERSONNES AUTISTES |
28/11/2022 |
«GUIDE PRATIQUE -Association des Maires de France AGIR POUR L’INCLUSION DES PERSONNES AUTISTES Novembre 2022 1. Mieux comprendre l’autisme........................................................................................4 1. Qu’est-ce que l’autisme ?..............................................................................................................4 2. Chaque commune peut agir pour l’inclusion ................................................................................5 3. Les partenaires à mobiliser ..........................................................................................................6 2. Agir concrètement pour favoriser l’inclusion....................................................7 1. Comment agir dès le plus jeune âge ?...........................................................................................7 2. Inclure les enfants autistes à l’école et autour de l’école ..............................................................9 3. Avoir une politique globale en faveur des personnes en situation de handicap ...........................12 4. Favoriser l’accès aux soins et au bien-être des personnes autistes ............................................14 5. Comment soutenir l’emploi des adultes autistes ?......................................................................15 6. Aider l’accès à un logement des personnes autistes ...................................................................17 7. Adapter la mobilité et les espaces publics aux personnes autistes .............................................18 8. Pour un accès aux activités physiques et culturelles des personnes autistes ............................18 9. Accès aux droits et participation à la vie démocratique ..............................................................20 10. Aider les aidants ......................................................................................................................21 Glossaire ............................................................................................................................................22 Contacts des associations ..............................................................................................................22 Textes de référence..........................................................................................................................23 Remerciements..»...
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amf.asso |
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New evidence hints at mechanisms for ...˜fever effect' in autism | Spectrum | Autism Research News |
16/11/2022 |
«Raising body temperature seems to alleviate seizures and other traits associated with two autism-linked genetic mutations in mice, according to unpublished research presented Sunday and Monday at Neuroscience 2022 in San Diego, California.
The findings hint at a mechanism that could account for anecdotal reports that some autistic children have temporary improvements in sociability and other behaviors during or after a fever.
Although about 17 percent of autistic children showed this ...˜fever effect' in a 2017 study based on parent reports, far fewer did when the same team of researchers followed autistic children prospectively.»...
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spectrumnews |
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Sensitivity to interaural level and time differences in individuals with autism spectrum disorder | Scientific Reports |
11/11/2022 |
«Abstract Individuals with autism spectrum disorders (ASD) are reported to exhibit degraded performance in sound localization. This study investigated whether the sensitivity to the interaural level differences (ILDs) and interaural time differences (ITDs), major cues for horizontal sound localization, are affected in ASD. Thresholds for discriminating the ILD and ITD were measured for adults with ASD and age- and IQ-matched controls in a lateralization experiment.
Results show that the ASD group exhibited higher ILD and ITD thresholds than the control group. Moreover, there was a significant diversity of ITD sensitivity in the ASD group, and it contained a larger proportion of participants with poor ITD sensitivity than the control group.
The current study suggests that deficits in relatively low-level processes in the auditory pathway are implicated in degraded performance of sound localization in individuals with ASD. The results are consistent with the structural abnormalities and great variability in the morphology in the brainstem reported by neuroanatomical studies of ASD.»...
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nature |
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Eczema linked to increased symptom severity in children with autism spectrum disorder |
07/11/2022 |
«Autism spectrum disorder (ASD) is a developmental disorder that can cause a range of social, behavioral, and communication challenges. A recent study found that children with ASD who also have an atopic condition such as eczema are more likely to have worse symptoms.
The findings have been published in Translational Psychiatry. Eczema is a condition that causes the skin to become red, itchy, and inflamed. It is also known as atopic dermatitis.
Eczema is a chronic condition that can be difficult to manage. The exact cause of atopic eczema is unknown, but it is thought to be caused by a combination of genetic and environmental factors.
"There is an interesting overlap between eczema and neurodevelopmental conditions that warrants further investigation," said study author Adam Guastella, the Michael Crouch Chair in Child and Youth Mental Health at the University of Sydney.
"We have long known that children with neurodevelopmental conditions often have a higher rate of eczema and allergies. There has been limited research to show whether having eczema and atopic diseases is also linked to more severe symptoms of neurodevelopmental conditions.
Understanding this link better may provide leads into detection and intervention opportunities that can support both conditions.»
[...]
« Guastella and his colleagues found that children presenting with an atopic comorbidity tended to have more severe autism symptoms, as measured via the Autism Diagnostic Observation Schedule. The findings provide evidence “that there is an interesting relationship with skin conditions and autism symptoms that requires further evaluation,” he told PsyPost. “It seems that those children with eczema in particular also have more severe symptoms of neurodevelopmental delay. We need to understand why. It may lead to opportunities for earlier detection and supports to improve outcomes for both developmental processes.”
“Having an eczema (or atopic disease broadly) more than doubled a child’s chance of scoring on the severe end of autism symptoms and social difficulty symptoms, as rated by clinicians,” Guastella noted. “That was a big jump that warrants further investigation. While there has long been acknowledgement that kids with neurodevelopmental condition have a higher rate of skin conditions, this is one of the first to suggest a link with the severity of autism symptoms.”
The main limitation of the study is the cross-sectional nature of the data. The link between atopic conditions and autism severity could be “incidental,” Guastella said. “Research examining causal pathways are required.”
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psypost |
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Novel GRIA2 variant in a patient with atypical autism spectrum disorder and psychiatric symptoms: a case report | BMC Pediatrics | Full Text |
04/11/2022 |
«Abstract Background As sequencing technology has advanced in recent years, a series of synapse-related gene variants have been reported to be associated with autism spectrum disorders (ASDs). The α-amino-3-hydroxy-5-methyl-4-isoxazole propionic acid (AMPA) receptor is a subtype of the ionotropic glutamate receptor, whose number or composition changes can regulate the strength and plasticity of synapses.»
[...]
«Case presentation
Here, we report a de novo GRIA2 variant (NM_001083619.3: c.2308G > A, p.Ala770Thr) in a patient with obvious behavior regression and psychiatric symptoms. It encodes GluA2, which is the crucial subunit of the AMPA receptor, and the missense variation is predicted to result in instability of the protein structure.
Conclusions
The association between GRIA2 variants and onset of ASD symptoms is rare, and our study expands the spectrum of phenotypic variations. For patients with an unexplained etiology of ASD accompanied by psychiatric symptoms, genetic causes should be considered, and a complete genetic evaluation should be performed.
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bmcpediatr.biomedcentral |
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Enfant autiste tue a Marseille: une voisine de la famille temoigne |
01/11/2022 |
«Celle qui croisait régulièrement la mère de famille décrit une personnalité repliée sur elle-même. "On est tous choqués." Ce lundi, la mère d'un enfant de 11 ans a été mise en examen pour "meurtre sur mineur de moins de 15 ans". Le corps du jeune garçon, portant des des traces de coups de couteau, avait été retrouvé samedi sur les berges de l'Huveaune, dans le 11e arrondissement de Marseille, par son père et son oncle.
Dans le quartier où vivaient la mère et son enfant, atteint du trouble du spectre de l'autisme, la sidération règne. Une voisine de la famille, qui a tenu à garder l'anonymat, a accepté de se confier au micro de BFMTV.»
[...]
«Une femme "renfermée"
Cette dernière, qui croisait régulièrement la mère depuis douze ans, brosse le portrait d'une personnalité taciturne. "C'est quelqu'un de fermé. Elle n'est pas ouverte, ne parle pas aux gens, toujours toute seule. Elle est dans son monde", raconte-t-elle. "Elle est toujours tête baissée, ne vous regarde pas... On sent qu'elle a une bulle", renchéri-t-elle.
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bfmtv |
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Enfant autiste tue a Marseille: une voisine de la famille temoigne |
01/11/2022 |
«Celle qui croisait régulièrement la mère de famille décrit une personnalité repliée sur elle-même. "On est tous choqués." Ce lundi, la mère d'un enfant de 11 ans a été mise en examen pour "meurtre sur mineur de moins de 15 ans". Le corps du jeune garçon, portant des des traces de coups de couteau, avait été retrouvé samedi sur les berges de l'Huveaune, dans le 11e arrondissement de Marseille, par son père et son oncle.
Dans le quartier où vivaient la mère et son enfant, atteint du trouble du spectre de l'autisme, la sidération règne. Une voisine de la famille, qui a tenu à garder l'anonymat, a accepté de se confier au micro de BFMTV.»
[...]
«Une femme "renfermée"
Cette dernière, qui croisait régulièrement la mère depuis douze ans, brosse le portrait d'une personnalité taciturne. "C'est quelqu'un de fermé. Elle n'est pas ouverte, ne parle pas aux gens, toujours toute seule. Elle est dans son monde", raconte-t-elle. "Elle est toujours tête baissée, ne vous regarde pas... On sent qu'elle a une bulle", renchéri-t-elle.
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bfmtv |
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How Do You Measure Success in Autism Clinical Trials? |
31/10/2022 |
«How do you know if a treatment for autism is effective? That's a question that has no easy answer...”due in large part to the heterogeneous nature of autism spectrum disorder.
"There's so much variability in how these children present, what their needs are, what treatments might work, and how they change over time," says Shafali Spurling Jeste, MD, Chief of Neurology, Co-Director of the Neurological Institute and Las Madrinas Chair at Children's Hospital Los Angeles.
"So how do you know if a drug or treatment is working? It's not straightforward. We need more objective measures." Finding and validating those measures is the goal of the Autism Biomarkers Consortium for Clinical Trials (ABC-CT), one of the largest autism research projects in the country.
Children's Hospital Los Angeles is one of five centers participating in the National Institutes of Health-funded study, which is based at Yale University and also includes Boston Children's Hospital, Seattle Children's Hospital and Duke University.
Dr. Jeste is the Principal Investigator for the study at Children's Hospital Los Angeles and brought the project to CHLA from the University of California, Los Angeles, when she joined the hospital in 2021. She talks about the study, its early findings...”and her biggest mission right now.»
[...]
« Clinical trials in autism have often struggled. There’s so much variability in the patients, and every study is different in terms of what it’s measuring or how it’s defining change. This variability is particularly problematic in clinical trials, which are studies that are testing whether a treatment could be effective to improve outcomes in children with autism.
The challenge is that we may have a good therapeutic, but we can’t measure its success because we don’t have the right biomarker or patient selection tool, or we may be measuring the wrong endpoints. We need to develop a better infrastructure for clinical trial readiness, and that’s what we’re trying to create by gathering this large-scale data from across the country.
We’re studying children ages 6 to 11 with autism. They come to our center and undergo a huge battery of clinical assessments. To test biomarkers, we also use electroencephalography (EEG) to measure brain function, eye-tracking technology to measure visual attention, and automated recording techniques to assess behavior and speech.
We then repeat the same tests six weeks later and again at six months. We want to see if these biomarkers and clinical measures are stable or if they change over time, and if they help us identify subgroups within autism. We then compare those same measures in typically developing children. These measures will be used in future clinical trials. Importantly, we give families feedback on these assessments, and parents can use these reports to advocate for services.
The team is still analyzing data, but one pretty robust biomarker was in eye-tracking—specifically the time children spent looking at faces. We found that children with autism looked at faces less than typically developing children. This is consistent with what we’ve known from the literature and could be a useful biomarker to follow in treatments that target social attention.
In addition, EEG markers showed that the brain’s response to faces was slower in kids with autism, but we saw quite a bit of overlap with typically developing kids.
The idea is, maybe we could use that biomarker as a way to stratify patients. For example, children who are really slow to process faces might be more likely to respond to a certain treatment, and then we could track face processing as a response to that treatment.
Children who are taking psychotropic medications—for sleep issues, anxiety, behavior issues—are often excluded from autism clinical trials. In this study, we did not exclude children based on medication use, and we found that more than 40% of kids in the ABC-CT study are taking these medicines. Children taking certain medications seemed to have greater overall impairment.
We now can learn about these children and advocate to include them in trials. We need trials to represent those patients we actually take care of in the clinic.
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newswise |
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Enfant autiste retrouve mort a Marseille : la mere reconnait avoir tue son fils |
31/10/2022 |
«Le drame s'est déroulé dès le vendredi 28 octobre. Placée en garde à vue après la découverte du corps d'un garçon de 11 ans, samedi après-midi, dans un quartier du 11e arrondissement de Marseille, la mère de l'enfant a reconnu avoir tué son fils, autiste.
Le parquet a annoncé dans un communiqué de presse que la mère avait avoué avoir donné la mort à son enfant "à l'aide d'un couteau de cuisine", et ce dès vendredi. Â Â Placée en garde-à-vue samedi soir, cette femme de 39 ans a admis avoir d'abord "frappé son fils" dans son appartement vendredi, le jour où elle avait signalé sa "disparition", avant de l'emmener "dans le 'ravin'" (au bord de l'Huveaune, ndlr), où le corps sans vie a été retrouvé samedi par le père et l'oncle de l'enfant.
C'est "sur place" qu'elle l'a tué avec ce couteau, a précisé la procureure de la République de Marseille Les explications de la mère, qui a déclaré être "revenue peu de temps après pour se débarrasser d'affaires", recoupent les "éléments recueillis (...) tant à son domicile que le long des berges" ainsi que les images des caméras de vidéo surveillance, a ajouté le parquet.
Avant de découvrir le corps de l'enfant, samedi à la mi-journée, en bas d'une pente raide donnant sur l'eau, dans des herbes hautes et des broussailles, son père et son oncle avaient d'abord retrouvé sa veste, à 08h30 le matin, à une centaine de mètres de distance, également au bord de l'Huveaune, dans le quartier populaire de la Capelette.»
[...]
« Elle "n'arrivait plus à gérer la situation"
Les explications de la mère, qui a déclaré être "revenue peu de temps après pour se débarrasser d'affaires", recoupent les "éléments recueillis (...) tant à son domicile que le long des berges" ainsi que les images des caméras de vidéo surveillance, a ajouté le parquet. Avant de découvrir le corps de l'enfant, samedi à la mi-journée, en bas d'une pente raide donnant sur l'eau, dans des herbes hautes et des broussailles, son père et son oncle avaient d'abord retrouvé sa veste, à 08h30 le matin, à une centaine de mètres de distance, également au bord de l'Huveaune, dans le quartier populaire de la Capelette.
Samedi, le corps de l'enfant sans vie avait été retrouvé sur les bords du fleuve et portait quatre traces de plaies causées par une arme blanche, selon les informations recueillies par le service police-justice de TF1/LCI auprès d'une source proche de l'enquête.
Auprès des enquêteurs, la mère a évoqué "les crises" dont souffrait son fils de 11 ans, autiste, expliquant qu'"elle n’arrivait plus à gérer la situation" : "Ce jour-là", vendredi, elle a "estimé que cela ne finirait jamais", détaille la magistrate dans son communiqué. La garde à vue de la mère est prolongée et celle-ci sera présentée lundi à un juge d'instruction en vue "d’une ouverture d’information judiciaire du chef de meurtre sur mineur de 15 ans", a indiqué la procureure.
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tf1info |
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Enfant autiste retrouve mort a Marseille : la mere reconnait avoir tue son fils |
31/10/2022 |
«Le drame s'est déroulé dès le vendredi 28 octobre. Placée en garde à vue après la découverte du corps d'un garçon de 11 ans, samedi après-midi, dans un quartier du 11e arrondissement de Marseille, la mère de l'enfant a reconnu avoir tué son fils, autiste.
Le parquet a annoncé dans un communiqué de presse que la mère avait avoué avoir donné la mort à son enfant "à l'aide d'un couteau de cuisine", et ce dès vendredi. Â Â Placée en garde-à-vue samedi soir, cette femme de 39 ans a admis avoir d'abord "frappé son fils" dans son appartement vendredi, le jour où elle avait signalé sa "disparition", avant de l'emmener "dans le 'ravin'" (au bord de l'Huveaune, ndlr), où le corps sans vie a été retrouvé samedi par le père et l'oncle de l'enfant.
C'est "sur place" qu'elle l'a tué avec ce couteau, a précisé la procureure de la République de Marseille Les explications de la mère, qui a déclaré être "revenue peu de temps après pour se débarrasser d'affaires", recoupent les "éléments recueillis (...) tant à son domicile que le long des berges" ainsi que les images des caméras de vidéo surveillance, a ajouté le parquet.
Avant de découvrir le corps de l'enfant, samedi à la mi-journée, en bas d'une pente raide donnant sur l'eau, dans des herbes hautes et des broussailles, son père et son oncle avaient d'abord retrouvé sa veste, à 08h30 le matin, à une centaine de mètres de distance, également au bord de l'Huveaune, dans le quartier populaire de la Capelette.»
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« Elle "n'arrivait plus à gérer la situation"
Les explications de la mère, qui a déclaré être "revenue peu de temps après pour se débarrasser d'affaires", recoupent les "éléments recueillis (...) tant à son domicile que le long des berges" ainsi que les images des caméras de vidéo surveillance, a ajouté le parquet. Avant de découvrir le corps de l'enfant, samedi à la mi-journée, en bas d'une pente raide donnant sur l'eau, dans des herbes hautes et des broussailles, son père et son oncle avaient d'abord retrouvé sa veste, à 08h30 le matin, à une centaine de mètres de distance, également au bord de l'Huveaune, dans le quartier populaire de la Capelette.
Samedi, le corps de l'enfant sans vie avait été retrouvé sur les bords du fleuve et portait quatre traces de plaies causées par une arme blanche, selon les informations recueillies par le service police-justice de TF1/LCI auprès d'une source proche de l'enquête.
Auprès des enquêteurs, la mère a évoqué "les crises" dont souffrait son fils de 11 ans, autiste, expliquant qu'"elle n’arrivait plus à gérer la situation" : "Ce jour-là", vendredi, elle a "estimé que cela ne finirait jamais", détaille la magistrate dans son communiqué. La garde à vue de la mère est prolongée et celle-ci sera présentée lundi à un juge d'instruction en vue "d’une ouverture d’information judiciaire du chef de meurtre sur mineur de 15 ans", a indiqué la procureure.
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tf1info |
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How Do You Measure Success in Autism Clinical Trials? |
31/10/2022 |
«How do you know if a treatment for autism is effective? That's a question that has no easy answer...”due in large part to the heterogeneous nature of autism spectrum disorder.
"There's so much variability in how these children present, what their needs are, what treatments might work, and how they change over time," says Shafali Spurling Jeste, MD, Chief of Neurology, Co-Director of the Neurological Institute and Las Madrinas Chair at Children's Hospital Los Angeles.
"So how do you know if a drug or treatment is working? It's not straightforward. We need more objective measures." Finding and validating those measures is the goal of the Autism Biomarkers Consortium for Clinical Trials (ABC-CT), one of the largest autism research projects in the country.
Children's Hospital Los Angeles is one of five centers participating in the National Institutes of Health-funded study, which is based at Yale University and also includes Boston Children's Hospital, Seattle Children's Hospital and Duke University.
Dr. Jeste is the Principal Investigator for the study at Children's Hospital Los Angeles and brought the project to CHLA from the University of California, Los Angeles, when she joined the hospital in 2021. She talks about the study, its early findings...”and her biggest mission right now.»
[...]
« Clinical trials in autism have often struggled. There’s so much variability in the patients, and every study is different in terms of what it’s measuring or how it’s defining change. This variability is particularly problematic in clinical trials, which are studies that are testing whether a treatment could be effective to improve outcomes in children with autism.
The challenge is that we may have a good therapeutic, but we can’t measure its success because we don’t have the right biomarker or patient selection tool, or we may be measuring the wrong endpoints. We need to develop a better infrastructure for clinical trial readiness, and that’s what we’re trying to create by gathering this large-scale data from across the country.
We’re studying children ages 6 to 11 with autism. They come to our center and undergo a huge battery of clinical assessments. To test biomarkers, we also use electroencephalography (EEG) to measure brain function, eye-tracking technology to measure visual attention, and automated recording techniques to assess behavior and speech.
We then repeat the same tests six weeks later and again at six months. We want to see if these biomarkers and clinical measures are stable or if they change over time, and if they help us identify subgroups within autism. We then compare those same measures in typically developing children. These measures will be used in future clinical trials. Importantly, we give families feedback on these assessments, and parents can use these reports to advocate for services.
The team is still analyzing data, but one pretty robust biomarker was in eye-tracking—specifically the time children spent looking at faces. We found that children with autism looked at faces less than typically developing children. This is consistent with what we’ve known from the literature and could be a useful biomarker to follow in treatments that target social attention.
In addition, EEG markers showed that the brain’s response to faces was slower in kids with autism, but we saw quite a bit of overlap with typically developing kids.
The idea is, maybe we could use that biomarker as a way to stratify patients. For example, children who are really slow to process faces might be more likely to respond to a certain treatment, and then we could track face processing as a response to that treatment.
Children who are taking psychotropic medications—for sleep issues, anxiety, behavior issues—are often excluded from autism clinical trials. In this study, we did not exclude children based on medication use, and we found that more than 40% of kids in the ABC-CT study are taking these medicines. Children taking certain medications seemed to have greater overall impairment.
We now can learn about these children and advocate to include them in trials. We need trials to represent those patients we actually take care of in the clinic.
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newswise |
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Lags in genetic testing, variant reporting hinder autism research | Spectrum | Autism Research News |
28/10/2022 |
«Only about a quarter of autistic people undergo genetic testing ...” even though such testing can guide medical care and multiple organizations encourage it. The reasons why, an unpublished survey finds, include insurance issues, parental concerns about stigma, and health-care providers' own misconceptions about genetic testing, along with their fears of long waitlists.
Researchers presented the results in a poster Wednesday at the 2022 American Society of Human Genetics conference in Los Angeles, California. The team interviewed 15 health-care professionals who diagnose autism ...” most of whom are psychologists, without formal training in genetics ...” to identify the reasons why they would or wouldn't recommend genetic testing to their patients.»
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«Genetic testing can help families understand the diagnosis and plan interventions, and it also helps advance scientific knowledge. Wang and her colleagues plan to produce videos to educate health-care providers on the benefits of genetic testing.
Getting the results of genetic tests into shared databases is also vital so that researchers and clinicians can learn from them. But a new pilot study suggests that clinically ascertained autism-related variants are under-represented in publicly available resources, according to another poster, presented Wednesday by Maya Chopra, a researcher at Boston Children’s Hospital.
Chopra’s team drew on data in the National Brain Gene Registry, which aggregates clinically identified variants in people with autism and/or intellectual disability.
Test results from about 200 registrants contained 470 unique variants in 53 genes, Chopra’s team found. Of those, half — 235 — were missing from ClinVar, the most commonly used database, and 219 were missing from all the disease databases analyzed.
“The rest of these variants are not in the public space,” Chopra says. “They’re not contributing to the understanding of what these disease genes do, and they’re not being shared.”
That’s particularly unfortunate because the variants are rare, she adds. “The only way we’re going to understand these rare disorders is if we aggregate information, and we make that data available to researchers, to clinicians and even to families who need to better understand.”
The National Brain Gene Registry combines genetic variant information with the results from a detailed virtual neurobehavioral test and de-identified electronic health record data — all of which goes into a centralized registry for researchers to access.
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spectrumnews |
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Statistical and functional convergence of common and rare genetic influences on autism at chromosome 16p | Nature Genetics |
25/10/2022 |
«Abstract The canonical paradigm for converting genetic association to mechanism involves iteratively mapping individual associations to the proximal genes through which they act.
In contrast, in the present study we demonstrate the feasibility of extracting biological insights from a very large region of the genome and leverage this strategy to study the genetic influences on autism.
Using a new statistical approach, we identified the 33-Mb p-arm of chromosome 16 (16p) as harboring the greatest excess of autism's common polygenic influences. The region also includes the mechanistically cryptic and autism-associated 16p11.2 copy number variant.
Analysis of RNA-sequencing data revealed that both the common polygenic influences within 16p and the 16p11.2 deletion were associated with decreased average gene expression across 16p.
The transcriptional effects of the rare deletion and diffuse common variation were correlated at the level of individual genes and analysis of Hi-C data revealed patterns of chromatin contact that may explain this transcriptional convergence.
These results reflect a new approach for extracting biological insight from genetic association data and suggest convergence of common and rare genetic influences on autism at 16p.»
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«Results
S-pTDT identifies over-transmission of autism PGS at 16p
Individuals with autism inherit more common polygenic influences on autism from their parents than expected by chance (‘over-transmission’)12. Using pTDT, we observe mean over-transmission of autism PGS within European ancestry trios from three different autism trio cohorts: the Psychiatric Genomics Consortium (PGC)11 (n = 4,335 trios, 0.20 s.d. over-transmission, P = 1.5 × 10−37), the Simons Simplex Collection (SSC)29 (n = 1,851 trios, 0.19 s.d. over-transmission, P = 1.3 × 10−17) and Simons Foundation Powering Autism Research (SPARK)30 (n = 3,197 trios, 0.17 s.d. over-transmission, P = 6.4 × 10−21), all using a PGS generated from an external GWAS of the Danish iPSYCH consortium (19,870 individuals with autism and 39,078 controls; Supplementary Figs. 1 and 2). As biological insights from autism’s common variant influences have been limited, we aimed to leverage the statistical power of pTDT to identify regions of the genome with excess common variant relevance in autism. We therefore developed S-pTDT, which estimates transmission in parent–child trios of PGS constructed from small sets of SNPs (Fig. 1a). Similar to pTDT, S-pTDT’s within-family design prevents spurious association due to population stratification and many types of ascertainment bias12.
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nature |
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Study Explores Impact of Circadian Pathway, Insomnia Risk Genes on Sleep Disturbance in Autism |
25/10/2022 |
«A study of sleep disturbance in children with autism spectrum disorder (ASD) found that circadian pathway and insomnia risk genes may play a role in ASD liability, but have minimal impact on sleep disturbance.1 Because problems with sleep have been reported in 40% to 80% of children with ASD beginning in infancy and lasting throughout the lifespan, the researchers were curious about the role of copy number variants (CNVs) for genes linked to insomnia risk and circadian pathway, hypothesizing that ASD was linked to genomic variants disrupting pathways involved in insomnia and circadian rhythms.
Rackeb Tesfaye and colleagues also looked at sleep disturbances in this patient population. Tesfaye is a PhD researcher at McGill University, Montreal Neurological Institute, Azrieli Centre for Autism Research, Montreal, Canad “Our findings provide evidence for the contribution of circadian pathway dysfunction to ASD, but the mechanisms by which these genes increase ASD risk are unknown,” Tesfaye and colleagues wrote.
“Previous theories have put forth sleep disturbance as a causal factor for ASD risk and other psychopathologies… However, in this study, the limited effects of circadian genes on sleep duration and insomnia are unlikely to disrupt behavior and cognition enough to increase ASD risk.
Instead, we propose that circadian pathway genes increase ASD risk with minimal to no modulation of sleep duration and insomnia.” The researchers noted that further research in this area is needed in order to replicate their findings in similar and larger-scale studies.1 “Future studies investigating the combined effect of genomic variants and environmental factors on sleep measures, behavioral traits, and brain architecture are needed for a holistic understanding of the interplay between genes, sleep, and ASD,” they concluded.»
[...]
«Tesfaye et al identified 335 rare circadian genes and 616 rare insomnia risk genes. They noted that duplications and deletions with circadian genes were overrepresented in the ASD probands in comparison to siblings and unselected controls. In insomnia risk genes, only deletions—not duplications—were associated with ASD in both cohorts, with results remaining significant after the researchers adjusted for cognitive ability. CNVs with insomnia risk and circadian pathway genes were more strongly associated with ASD in comparison to CNVs with other genes, and circadian genes did not influence either insomnia traits or sleep duration in individuals with ASD.1
“Our findings provide evidence for the contribution of circadian pathway dysfunction to ASD, but the mechanisms by which these genes increase ASD risk are unknown,” Tesfaye and colleagues wrote. “Previous theories have put forth sleep disturbance as a causal factor for ASD risk and other psychopathologies… However, in this study, the limited effects of circadian genes on sleep duration and insomnia are unlikely to disrupt behavior and cognition enough to increase ASD risk. Instead, we propose that circadian pathway genes increase ASD risk with minimal to no modulation of sleep duration and insomnia.”
The researchers noted that further research in this area is needed in order to replicate their findings in similar and larger-scale studies.1 “Future studies investigating the combined effect of genomic variants and environmental factors on sleep measures, behavioral traits, and brain architecture are needed for a holistic understanding of the interplay between genes, sleep, and ASD,” they concluded.
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psychiatrictimes |
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Vitamin/mineral/micronutrient supplement for autism spectrum disorders: a research survey | BMC Pediatrics | Full Text |
20/10/2022 |
«Abstract Background Vitamin and mineral supplements are widely used by children and adults diagnosed with autism spectrum disorder (ASD). Several studies have reported benefits of such supplements in resolving nutritional deficiencies, treating various metabolic problems and improving symptoms and overall quality of life.
Methods This research survey collected evaluations from 161 people about the effectiveness of ANRC-Essentials Plus (ANRC-EP), a vitamin/mineral/micronutrient supplement designed for children and adults with autism.
Although this was an open-label survey, results were compared with a three-month randomized double-blind placebo-controlled study of an earlier version of the supplement. Evaluations included the Parent Global Impressions of Autism (PGIA) and the Overall Benefit/Adverse Effect scale of the National Survey on Treatment Effectiveness for Autism (NSTEA).»
[...]
«Results
The participants reported substantially higher Average PGIA Scores than the placebo group in a similar previous study, with an estimated effect size of 0.66. Based on the NSTEA questionnaire, 73% of participants rated the Overall Benefit as Moderate, Good, or Great, with scores that were substantially higher than the NSTEA study found for multi-vitamins, the average of 58 nutraceuticals, and the average of 28 psychiatric and seizure medications. The Overall Adverse Effect score was low (0.25/3.0), similar or slightly higher than other nutraceuticals, and much lower than the average of 28 psychiatric and seizure medications (0.9/3.0). Sub-analysis found that the Overall Benefit of ANRC-EP was not significantly affected by gender, age, autism severity, diet quality, self-limited diet, use of psychiatric or seizure medications, dosage, developmental history, intellectual disability, or seizures. This indicates that ANRC-EP may be beneficial for a wide range of children and adults with ASD.
A limitation of this study is the retrospective nature of the survey, and that participants who had good benefits were more likely to respond.
Conclusions
This study found that ANRC-EP had significant benefits for a wide range of symptoms, and low adverse effects.
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bmcpediatr.biomedcentral |
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This BYU study shows how parents can help their kids who have autism - Deseret News |
14/10/2022 |
«Parents of children with autism spectrum disorder are around their children enough to recognize, report and respond to behavioral issues, new research says, which can lead to treatment that increases the child's quality of life.
A recent study from BYU found that when parents of children with autism were trained by professionals to intervene at home ...” what BYU refers to as "parent-implemented interventions" ...” those children developed better language and behavioral skills that gave them a chance at a brighter future.
It also saves money. The Centers for Disease Control and Prevention says the medical expense annually for a child with autism spectrum disorder averages $4,110 to $6,200 more than for a child without.
That's before you factor in intensive behavioral interventions, a form of one-on-one instruction that can range from 20-40 hours a week depending on the child.»
[...]
« Early intervention
BYU’s study was led by Wai Man (Linda) Cheng, a doctoral student of the McKay School of Education. The study, which included work from a team of specialists, is a meta-analysis of 51 controlled trials around the globe, nine of them in non-English-speaking countries. It followed the implementation of at-home parental interventions, after intensive training was given to the parents of 2,895 children who were on average 51⁄2 years old.
With about 90 minutes of intervention training across roughly 13 sessions per trial, parents of children with autism spectrum disorder were trained to foster better behavior, communication, social interaction and daily living skills in their child. Parents interacted with children through a variety of methods, including didactic instruction, role play and direct coaching while the researchers tracked the child’s behavior.
Almost across the board, the study found that children with autism spectrum disorder benefit greatly from parental interventions implemented early in a child’s life. Timothy Smith, a professor of the Department of Counseling Psychology and Special Education, who was part of the BYU research team, said that regardless of the child’s background, family composition or the severity of their diagnosis, familial interventions had a resounding impact on a child’s behavior and communication skills across nearly all of the trials. The results were neutral for just 17%.
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deseret |
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CIH : un sous-prefet et un haut-fonctionnaire pour l'accessibilite |
07/10/2022 |
«A l'occasion du comité interministériel du handicap (CIH) du 6 octobre, la première Ministre, Elisabeth Borne, signe une circulaire pour « fixer les orientations et les moyens de la politique d'inclusion des personnes en situation de handicap ».»...
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lagazettedescommunes |
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Circulaire n° 6375/SG relative à la mise en oeuvre de la politique interministérielle pour l'inclusion des personnes handicapées. |
06/10/2022 |
«Circulaire n° 6375/SG relative à la mise en oeuvre de la politique interministérielle pour l'inclusion des personnes handicapées. n° 6375/SG Paris, le 6 octobre 2022 Mesdames et messieurs les ministres, Mesdames et messieurs les ministres délégués, Mesdames les secrétaires d'État, Monsieur le secrétaire d'État, Mesdames et messieurs les préfets Obiet: Mise en œuvre de la politique interministérielle pour l'inclusion des personnes handicapées PJ : 2 annexes Référence Date de signature Emetteur Objet Commande Action(s) à réaliser Echéance Contacts utiles Nombre de pages et annexes NOR : PRMX2228579C 06/10/2022 PRM - Première ministre Fixer les orientations et les moyens de la politique d'inclusion des personnes en situation de handicap.»
[...]
«
La présente circulaire rappelle l'objectif fixé par le Gouvernement de
rendre la société pleinement inclusive en intégrant la dimension du
handicap dans la mise en œuvre des politiques publiques, afin de
favoriser l'accessibilité universelle, l'accès aux droits, la lutte contre
les discriminations et la participation des personnes en situation de
handicap à la construction des solutions qui les concernent.
- Adresser au CNCPH les projets de normes législatives et
règlementaires pour avis et veiller à bien renseigner les évaluations
préalables associées à ces textes.
- Désigner un Haut fonctionnaire au handicap et à l'inclusion au sein
de chaque ministère et un sous-préfet référent handicap au sein de
chaque préfecture.
- Nommer un délégué interministériel à l'accessibilité.
- Produire dans chaque ministère des bilans de l'accessibilité des sites
internet publics et des bâtiments.
- Mettre en œuvre la charte d'accessibilité de la communication de
l'État.
Effet immédiat
Secrétariat général du comité interministériel du handicap (SGCIH),
service d'information du Gouvernement (SIG), direction de l'immobilier
de l'État (DIE), direction interministérielle du numérique (DINUM).
4 pages - 2 annexes (manifeste pour un État inclusif ; schéma
directeur sur l'accessibilité de la communication de l'État).
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legifrance.gouv |
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New Guidance From the American Academy of Pediatrics on Protecting Children From Sexual Abuse in Health Care Settings | Adolescent Medicine | JAMA | JAMA Network |
22/09/2022 |
«The American Academy of Pediatrics (AAP) recently released an updated policy statement focused on child sexual abuse in health care settings. Published in the AAP's journal Pediatrics, the statement aims to help parents, caregivers, and health care professionals prevent sexual abuse under the guise of medical care, as well as guide how medical professionals and institutions respond to young patients' abuse disclosures.»
[...]
«
What’s New
The statement supersedes the AAP ’s original policy, which was published in 2011 and reaffirmed in both 2015 and 2020. Research on preventing child sexual abuse has advanced substantially over the past decade, which was a main driver behind the updated edition, according to Antoinette Laskey, MD, MPH, MBA, the statement’s lead author and chair elect of the AAP’s Council on Child Abuse and Neglect.
The update provides additional prevention strategies and a robust look at common misconceptions about child sexual abuse. It offers concrete recommendations beyond basic background checks for pediatricians and other health care professionals who interact with patients aged 18 years or younger. It also addresses recent cases in health care settings, including that of Larry Nassar, the former physician for both Michigan State University and the USA Gymnastics team, who has been accused of abusing at least 265 girls in his care between 1992 and 2014.
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jamanetwork |
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Droits des enfants handicapes : Comment cet enseignant est devenu lanceur d'alerte |
22/09/2022 |
«HANDICAP - « Continuer à me taire, c'était être complice de l'entrave aux droits de ces enfants en situation de handicap. » Ces mots sont ceux d'Olivier Paolini, enseignant spécialisé dans un institut médico-éducatif (IME) à Narbonne.
Le 31 aout, un courrier de l'ONU adressé à l'Etat français alerte sur « des actes d'intimidation présumés » contre ce prof, qui a désormais le statut de lanceur d'alerte. Retour en arrière pour comprendre cette affaire.
Elle prend corps à l'IME « Les Hirondelles » à Narbonne (Aude). L'établissement, qui existe depuis 1959, accueille aujourd'hui 90 enfants en situation de handicap. Olivier Paolini y est chargé depuis 2009 de coordonner la scolarisation en « unité d'enseignement externalisée » (UEE), un dispositif qui permet la scolarisation de certains enfants à temps partiel dans une école ou un collège dit « ordinaire ». L'histoire se corse à l'aube de la rentrée scolaire 2020, lorsque l'enseignant organise l'emploi du temps de la quinzaine d'enfants concernés dans son IME. Selon un cahier des charges développé dans une circulaire datant de 2016, il est recommandé que les effectifs des UEE soient d'au moins six élèves -et maximum 8-, sur une durée minimale de douze heures de scolarisation hebdomadaire.»
[...]
«
Un ado de 16 ans cristallise le conflit
« C’est ce que j’ai essayé de mettre en place, raconte Olivier Paolini au HuffPost. Mais à partir de ce moment-là, ça a généré des frictions parce que ça demandait une certaine réorganisation dans l’établissement. » Le cas d’un adolescent de 16 ans cristallise le conflit.
Il est le seul à avoir un projet personnalisé de scolarisation (PPS), pourtant prévu par la loi, qui indique qu’il doit bénéficier de quatre demi-journées de cours par semaine, ce que l’enseignant essaye de mettre en place. Mais sa hiérarchie refuse. « Ça nous obligeait à retirer du temps de scolarisation à d’autres, justifie au HuffPost Jean-Marie Gorieu, le directeur général de l’association gestionnaire de l’IME. Or on préfère partager les moyens dont on dispose entre tous les enfants, quitte à ce qu’ils aient chacun un peu moins d’heures. »
Le directeur général affirme multiplier les demandes de moyens et de profs supplémentaires auprès de l’Éducation nationale, sans succès. « Avec actuellement trois enseignants dont une à mi-temps, pour les 90 enfants de l’IME, on est loin du but », souligne-t-il.
Le directeur ajoute : « Et puis, il n’était pas en capacité de faire plus d’heures », malgré ce qu’en dit le PPS de l’adolescent. Une version contredite par l’enseignant et la famille, qui décide alors de porter plainte contre l’IME. « Ça se passait vraiment bien pour lui en classe, il progressait très bien et il n’y avait aucune raison de stopper tout cela », souligne l’avocate de la famille, Sophie Janois.
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huffingtonpost |
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Droits des enfants handicapes : Comment cet enseignant est devenu lanceur d'alerte |
22/09/2022 |
«HANDICAP - « Continuer à me taire, c'était être complice de l'entrave aux droits de ces enfants en situation de handicap. » Ces mots sont ceux d'Olivier Paolini, enseignant spécialisé dans un institut médico-éducatif (IME) à Narbonne.
Le 31 aout, un courrier de l'ONU adressé à l'Etat français alerte sur « des actes d'intimidation présumés » contre ce prof, qui a désormais le statut de lanceur d'alerte. Retour en arrière pour comprendre cette affaire.
Elle prend corps à l'IME « Les Hirondelles » à Narbonne (Aude). L'établissement, qui existe depuis 1959, accueille aujourd'hui 90 enfants en situation de handicap. Olivier Paolini y est chargé depuis 2009 de coordonner la scolarisation en « unité d'enseignement externalisée » (UEE), un dispositif qui permet la scolarisation de certains enfants à temps partiel dans une école ou un collège dit « ordinaire ». L'histoire se corse à l'aube de la rentrée scolaire 2020, lorsque l'enseignant organise l'emploi du temps de la quinzaine d'enfants concernés dans son IME. Selon un cahier des charges développé dans une circulaire datant de 2016, il est recommandé que les effectifs des UEE soient d'au moins six élèves -et maximum 8-, sur une durée minimale de douze heures de scolarisation hebdomadaire.»
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Un ado de 16 ans cristallise le conflit
« C’est ce que j’ai essayé de mettre en place, raconte Olivier Paolini au HuffPost. Mais à partir de ce moment-là, ça a généré des frictions parce que ça demandait une certaine réorganisation dans l’établissement. » Le cas d’un adolescent de 16 ans cristallise le conflit.
Il est le seul à avoir un projet personnalisé de scolarisation (PPS), pourtant prévu par la loi, qui indique qu’il doit bénéficier de quatre demi-journées de cours par semaine, ce que l’enseignant essaye de mettre en place. Mais sa hiérarchie refuse. « Ça nous obligeait à retirer du temps de scolarisation à d’autres, justifie au HuffPost Jean-Marie Gorieu, le directeur général de l’association gestionnaire de l’IME. Or on préfère partager les moyens dont on dispose entre tous les enfants, quitte à ce qu’ils aient chacun un peu moins d’heures. »
Le directeur général affirme multiplier les demandes de moyens et de profs supplémentaires auprès de l’Éducation nationale, sans succès. « Avec actuellement trois enseignants dont une à mi-temps, pour les 90 enfants de l’IME, on est loin du but », souligne-t-il.
Le directeur ajoute : « Et puis, il n’était pas en capacité de faire plus d’heures », malgré ce qu’en dit le PPS de l’adolescent. Une version contredite par l’enseignant et la famille, qui décide alors de porter plainte contre l’IME. « Ça se passait vraiment bien pour lui en classe, il progressait très bien et il n’y avait aucune raison de stopper tout cela », souligne l’avocate de la famille, Sophie Janois.
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huffingtonpost |
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Droits des enfants handicapes : Comment cet enseignant est devenu lanceur d'alerte |
22/09/2022 |
«HANDICAP - « Continuer à me taire, c'était être complice de l'entrave aux droits de ces enfants en situation de handicap. » Ces mots sont ceux d'Olivier Paolini, enseignant spécialisé dans un institut médico-éducatif (IME) à Narbonne.
Le 31 aout, un courrier de l'ONU adressé à l'Etat français alerte sur « des actes d'intimidation présumés » contre ce prof, qui a désormais le statut de lanceur d'alerte. Retour en arrière pour comprendre cette affaire.
Elle prend corps à l'IME « Les Hirondelles » à Narbonne (Aude). L'établissement, qui existe depuis 1959, accueille aujourd'hui 90 enfants en situation de handicap. Olivier Paolini y est chargé depuis 2009 de coordonner la scolarisation en « unité d'enseignement externalisée » (UEE), un dispositif qui permet la scolarisation de certains enfants à temps partiel dans une école ou un collège dit « ordinaire ». L'histoire se corse à l'aube de la rentrée scolaire 2020, lorsque l'enseignant organise l'emploi du temps de la quinzaine d'enfants concernés dans son IME. Selon un cahier des charges développé dans une circulaire datant de 2016, il est recommandé que les effectifs des UEE soient d'au moins six élèves -et maximum 8-, sur une durée minimale de douze heures de scolarisation hebdomadaire.»
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Un ado de 16 ans cristallise le conflit
« C’est ce que j’ai essayé de mettre en place, raconte Olivier Paolini au HuffPost. Mais à partir de ce moment-là, ça a généré des frictions parce que ça demandait une certaine réorganisation dans l’établissement. » Le cas d’un adolescent de 16 ans cristallise le conflit.
Il est le seul à avoir un projet personnalisé de scolarisation (PPS), pourtant prévu par la loi, qui indique qu’il doit bénéficier de quatre demi-journées de cours par semaine, ce que l’enseignant essaye de mettre en place. Mais sa hiérarchie refuse. « Ça nous obligeait à retirer du temps de scolarisation à d’autres, justifie au HuffPost Jean-Marie Gorieu, le directeur général de l’association gestionnaire de l’IME. Or on préfère partager les moyens dont on dispose entre tous les enfants, quitte à ce qu’ils aient chacun un peu moins d’heures. »
Le directeur général affirme multiplier les demandes de moyens et de profs supplémentaires auprès de l’Éducation nationale, sans succès. « Avec actuellement trois enseignants dont une à mi-temps, pour les 90 enfants de l’IME, on est loin du but », souligne-t-il.
Le directeur ajoute : « Et puis, il n’était pas en capacité de faire plus d’heures », malgré ce qu’en dit le PPS de l’adolescent. Une version contredite par l’enseignant et la famille, qui décide alors de porter plainte contre l’IME. « Ça se passait vraiment bien pour lui en classe, il progressait très bien et il n’y avait aucune raison de stopper tout cela », souligne l’avocate de la famille, Sophie Janois.
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huffingtonpost |
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Auditory cortex may develop early in autism | Spectrum |
17/09/2022 |
«A well-studied brain response to sound, called the M100, appears earlier in life in autistic children than in their non-autistic peers, according to a new longitudinal study.
The finding suggests that the auditory cortex in children with autism matures unusually quickly, a growth pattern seen previously in other brain regions. "It's a demonstration that when we look for autism markers in the brain, they can be very age-specific," says lead investigator J. Christopher Edgar, associate professor of radiology at the Children's Hospital of Philadelphia in Pennsylvania.
For that reason, longitudinal studies such as this one ...” in which Edgar and his colleagues assessed children at up to three different ages ...” are essential, he adds. "If the two populations being studied have different rates of brain maturation, then the pattern of findings changes across time." “This shows that this pattern of unusually rapid maturation followed by lulls may be recapitulated at various stages of development and that it extends to measures of brain function as well as structure,” says Carissa Cascio, associate professor at Vanderbilt University in Nashville, Tennessee, who was not involved in the study.»
[...]
«Mounting evidence suggests that, compared with non-autistic children, autistic children undergo an early period of faster development followed by a period of slower development.
“This shows that this pattern of unusually rapid maturation followed by lulls may be recapitulated at various stages of development and that it extends to measures of brain function as well as structure,” says Carissa Cascio, associate professor at Vanderbilt University in Nashville, Tennessee, who was not involved in the study.
Edgar says he hopes this study will inspire other researchers to use smaller age ranges to obtain a more granular understanding of brain development in autistic and non-autistic children.
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spectrumnews |
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Pour une ecole plus inclusive, le college de Couzeix devient etablissement pilote d'un nouveau dispositif |
16/09/2022 |
«Le collège de Couzeix (Haute-Vienne) est l'un des quatre établissements pilotes pour tester le dispositif "DAR", dit "dispositif d'autorégulation". Un programme qui permet l'inclusion des élèves atteints du trouble du spectre de l'autisme en classe "ordinaire". Deux salles d'autorégulation sont mises en place au collège de Couzeix.
Elles permettent d'aider les enfants neuroatypiques de renforcer leurs apprentissages sociaux. Deux salles d'autorégulation sont mises en place au collège de Couzeix. Elles permettent d'aider les enfants neuroatypiques de renforcer leurs apprentissages sociaux.
© Radio France - Anais Martin-Cauvy L'école de la République doit être inclusive et c'est la volonté du collège Maurice Genevoix à Couzeix en Haute-Vienne depuis des années.
Désormais, l'équipe pédagogique teste un dispositif d'inclusion. Claire Compagnon, déléguée interministérielle à la stratégie nationale pour l'autisme et les troubles du neurodéveloppement y était en visite, ce jeudi 15 septembre.
Depuis la rentrée 2022, l'établissement teste le dispositif "DAR", pour "dispositif d'autorégulation", à destination des élèves atteints de troubles du spectre de l'autisme.
Si le DAR existe déjà pour les écoles primaires, il est encore en test au collège. Maurice Genevoix est le quatrième établissement pilote en France, mais le collège a voulu aller plus loin en incluant les autres neuro-atypies : TDAH (trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité), les troubles dys (troubles spécifiques du langage et des apprentissages). "C'est important de ne pas se limiter.
On retrouve ces enfants avec ces troubles dans tous les établissements, explique Corinne Ruffinoni, principale du collège, le dispositif qui est mis en place dans notre établissement permet aux autres enfants de bénéficier d'une éducation adaptée et donc d'apprendre dans de bonnes conditions".»
[...]
«La présence des éducatrices au collège permet aux enfants d'avoir sur place tout l'environnement nécessaire à l'apprentissage scolaire et social. Un dispositif qui fait la différence selon Nelly Sabatier, directrice de l'IEM : "Avoir tout au même endroit permet à l'enfant de réellement prendre sa place d'élève et nous nous contentons de l'accompagner dans ses apprentissages".
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francebleu |
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Quatre personnes jugees pour avoir harcele une lanceuse d'alerte |
09/09/2022 |
«Un dirigeant et trois salariés d'un centre d'accueil pour enfants handicapés ont été jugés jeudi pour avoir harcelé Céline Boussié, une lanceuse d'alerte qui avait dénoncé des mauvais traitements au sein de l'établissement situé dans le Gers.
Le procureur a requis contre le directeur adjoint de l'Institut médico-éducatif (IME) Moussaron six mois de prison avec sursis, des peines de deux mois de prison avec sursis contre deux employés et une amende avec sursis pour le quatrième prévenu.
En 2013, Céline Boussié, aide médico-psychologique de cet IME situé à Condom, dans le Gers, avait révélé publiquement des mauvais traitements infligés aux enfants résidant dans le centre.»
[...]
« « Je me sentais comme une serpillière »
Vendredi devant le tribunal correctionnel d’Auch, les larmes aux yeux, elle a dit avoir pensé au suicide quand elle a découvert l’existence d’une page sur le réseau social Facebook, baptisée « Vérité Moussaron ». Des documents personnels de Céline Boussié y étaient diffusés, ainsi que des messages injurieux.
Propos agressifs, agissements punitifs, favoritisme à ses dépens. A la barre du tribunal correctionnel d’Auch, Céline Boussié a détaillé comment elle a été harcelée moralement de 2013 à 2014, après avoir dénoncé des dysfonctionnements au sein de la structure.
« Je me sentais comme une serpillière. J’étais privée de vacances par ma direction, on m’a dit que si je continuais à la ramener, et à poser des questions, on allait me licencier », a affirmé cette femme de 45 ans. « Ce sont des propos inappropriés et Madame Boussié a fait face à un raid numérique. Les prévenus se sont servis de Facebook comme un défouloir », a estimé le procureur.
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20minutes |
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Quatre personnes jugees pour avoir harcele une lanceuse d'alerte |
09/09/2022 |
«Un dirigeant et trois salariés d'un centre d'accueil pour enfants handicapés ont été jugés jeudi pour avoir harcelé Céline Boussié, une lanceuse d'alerte qui avait dénoncé des mauvais traitements au sein de l'établissement situé dans le Gers.
Le procureur a requis contre le directeur adjoint de l'Institut médico-éducatif (IME) Moussaron six mois de prison avec sursis, des peines de deux mois de prison avec sursis contre deux employés et une amende avec sursis pour le quatrième prévenu.
En 2013, Céline Boussié, aide médico-psychologique de cet IME situé à Condom, dans le Gers, avait révélé publiquement des mauvais traitements infligés aux enfants résidant dans le centre.»
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« « Je me sentais comme une serpillière »
Vendredi devant le tribunal correctionnel d’Auch, les larmes aux yeux, elle a dit avoir pensé au suicide quand elle a découvert l’existence d’une page sur le réseau social Facebook, baptisée « Vérité Moussaron ». Des documents personnels de Céline Boussié y étaient diffusés, ainsi que des messages injurieux.
Propos agressifs, agissements punitifs, favoritisme à ses dépens. A la barre du tribunal correctionnel d’Auch, Céline Boussié a détaillé comment elle a été harcelée moralement de 2013 à 2014, après avoir dénoncé des dysfonctionnements au sein de la structure.
« Je me sentais comme une serpillière. J’étais privée de vacances par ma direction, on m’a dit que si je continuais à la ramener, et à poser des questions, on allait me licencier », a affirmé cette femme de 45 ans. « Ce sont des propos inappropriés et Madame Boussié a fait face à un raid numérique. Les prévenus se sont servis de Facebook comme un défouloir », a estimé le procureur.
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20minutes |
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Discriminations dans un IME: l'ONU saisit (encore) la France |
02/09/2022 |
«Un enseignant spécialisé dans la tourmente après avoir défendu le droit à l'éducation d'enfants handicapés dans un IME. L'ONU pointe les actes d'intimidation présumés que subit le lanceur d'alerte pour vouloir faire respecter ce droit fondamental.
Le droit à l'Education des enfants en situation de handicap en France, une nouvelle fois dans le viseur de l'ONU. Dans une lettre (en lien ci-dessous) adressée le 30 juin 2022 à l'Etat, via le ministère des Affaires étrangères chargé de diffuser les informations aux ministères concernés -c'est la procédure lorsqu'une organisation internationale s'adresse à notre pays-, trois rapporteurs spéciaux des Nations unies expriment leur « inquiétude » face aux « actes d'intimidations » perpétrés à l'encontre d'Olivier Paolini, professeur des écoles et coordonnateur pédagogique de l'unité d'enseignement de l'IME Les hirondelles de Narbonne (Aude) depuis trois ans.»
[...]
«
« Tout le monde est au courant de la gravité de la situation dans mon IME et dans la majorité des ESMS (établissements sociaux et médico-sociaux) de France », considère Olivier Paolini. Il dénonce la « collusion complice » entre les dirigeants des associations gestionnaires, les DSDEN (directions des services départementaux de l'Education nationale), l'ARS (Agence régionale de santé) et les MDPH (maisons départementales des personnes handicapées) qui, selon lui, « agissent de concert pour entretenir une filière et nourrir l'exclusion des personnes handicapées ». « J'ai choisi de lancer l'alerte et de parler car l'omerta doit cesser », conclut-il.
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informations.handicap |
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Discriminations dans un IME: l'ONU saisit (encore) la France |
02/09/2022 |
«Un enseignant spécialisé dans la tourmente après avoir défendu le droit à l'éducation d'enfants handicapés dans un IME. L'ONU pointe les actes d'intimidation présumés que subit le lanceur d'alerte pour vouloir faire respecter ce droit fondamental.
Le droit à l'Education des enfants en situation de handicap en France, une nouvelle fois dans le viseur de l'ONU. Dans une lettre (en lien ci-dessous) adressée le 30 juin 2022 à l'Etat, via le ministère des Affaires étrangères chargé de diffuser les informations aux ministères concernés -c'est la procédure lorsqu'une organisation internationale s'adresse à notre pays-, trois rapporteurs spéciaux des Nations unies expriment leur « inquiétude » face aux « actes d'intimidations » perpétrés à l'encontre d'Olivier Paolini, professeur des écoles et coordonnateur pédagogique de l'unité d'enseignement de l'IME Les hirondelles de Narbonne (Aude) depuis trois ans.»
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« Tout le monde est au courant de la gravité de la situation dans mon IME et dans la majorité des ESMS (établissements sociaux et médico-sociaux) de France », considère Olivier Paolini. Il dénonce la « collusion complice » entre les dirigeants des associations gestionnaires, les DSDEN (directions des services départementaux de l'Education nationale), l'ARS (Agence régionale de santé) et les MDPH (maisons départementales des personnes handicapées) qui, selon lui, « agissent de concert pour entretenir une filière et nourrir l'exclusion des personnes handicapées ». « J'ai choisi de lancer l'alerte et de parler car l'omerta doit cesser », conclut-il.
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informations.handicap |
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Effects of Parent-Implemented Interventions on Outcomes of Children with Autism: A Meta-Analysis | SpringerLink |
22/08/2022 |
«Abstract Children with autism spectrum disorder (ASD) have been shown to benefit from parent-implemented interventions (PIIs). This meta-analysis improved on prior reviews of PIIs by evaluating RCTs and multiple potential moderators, including indicators of research quality.
Fifty-one effect sizes averaged moderately strong overall benefits of PIIs (g=0.553), with studies having lower risk of research bias yielding lower estimates (g=0.47). Parent and observer ratings yielded similar averaged estimates for positive behavior/social skills (g=0.603), language/communication (g=0.545), maladaptive behavior (g=0.519), and to a lesser extent, adaptive behavior/life skills (g=0.239). No other study, intervention, or participant characteristic moderated outcomes.
PIIs with children with ASD tend to be effective across a variety of circumstances.»...
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link.springer |
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Les etudes SPARK decouvrent de nouveaux genes de l'autisme | A l'interieur de la medecine de precision |
20/08/2022 |
«Dans une série d'articles publiés dans Nature Genetics , les chercheurs ont utilisé les données de la cohorte SPARK (Simons Powering Autism Research), qui comprend près de 43 000 personnes atteintes d'autisme, pour trouver des influences génétiques parmi les personnes tout au long du spectre autistique.
L'équipe a trouvé de nouveaux «gènes à risque modéré» et a déterminé que certains gènes liés aux troubles du spectre autistique (TSA) influencent le comportement de tous les membres de la famille, y compris les parents et les frères et soeurs en développement.
"Nous avons maintenant identifié un groupe de gènes associés à l'autisme, qui peuvent inclure des variantes héréditaires, qui commencent à expliquer une partie différente du spectre de l'autisme", a déclaré l'auteur principal Pamela Feliciano, Ph.D., directrice scientifique de SPARK.»
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« Les chercheurs ont analysé 19 843 participants autistes, ainsi qu'un ou leurs deux parents biologiques, et ont découvert qu'environ 20 % des personnes autistes avaient des variantes génétiques de novo qui affectent la fonction du gène associé. Près de 70 % de cette contribution génétique peut être attribuée à des gènes connus de l'autisme ou des troubles neurodéveloppementaux. Cela signifie que bien que des gènes connus associés à l'autisme soient responsables de la majorité des variants de novo , il en reste d'autres à identifier.
Les chercheurs ont ensuite ajouté 22 764 personnes autistes et 236 000 personnes non autistes de la population générale. Dans cette méta-analyse, ils ont identifié 60 gènes de l'autisme dont la contribution à l'autisme est largement due à de rares variantes de perte de fonction héréditaire (LOF) transmises par des parents qui n'ont pas de différences cognitives ou d'autisme. Parmi ces gènes, cinq n'ont jamais été impliqués dans des conditions neurodéveloppementales.
"La majorité des parents qui ont transmis ces variantes génétiques dans notre étude n'ont pas de différences cognitives ou d'autisme, mais nous savons que ces gènes sont associés à l'autisme car nous constatons que ces variantes sont plus fréquemment héritées par les enfants autistes. Nous avons émis l'hypothèse que les personnes autistes qui ont ces variantes génétiques héréditaires ne sont pas aussi susceptibles d'avoir des convulsions et des différences cognitives que les personnes avec des variantes génétiques de novo . Jusqu'à présent, nos données soutiennent fortement cette hypothèse », a déclaré Feliciano.
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www-insideprecisionmedicine-com.translate |
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Les etudes SPARK decouvrent de nouveaux genes de l'autisme | A l'interieur de la medecine de precision |
20/08/2022 |
«Dans une série d'articles publiés dans Nature Genetics , les chercheurs ont utilisé les données de la cohorte SPARK (Simons Powering Autism Research), qui comprend près de 43 000 personnes atteintes d'autisme, pour trouver des influences génétiques parmi les personnes tout au long du spectre autistique.
L'équipe a trouvé de nouveaux «gènes à risque modéré» et a déterminé que certains gènes liés aux troubles du spectre autistique (TSA) influencent le comportement de tous les membres de la famille, y compris les parents et les frères et soeurs en développement.
"Nous avons maintenant identifié un groupe de gènes associés à l'autisme, qui peuvent inclure des variantes héréditaires, qui commencent à expliquer une partie différente du spectre de l'autisme", a déclaré l'auteur principal Pamela Feliciano, Ph.D., directrice scientifique de SPARK.»
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« Les chercheurs ont analysé 19 843 participants autistes, ainsi qu'un ou leurs deux parents biologiques, et ont découvert qu'environ 20 % des personnes autistes avaient des variantes génétiques de novo qui affectent la fonction du gène associé. Près de 70 % de cette contribution génétique peut être attribuée à des gènes connus de l'autisme ou des troubles neurodéveloppementaux. Cela signifie que bien que des gènes connus associés à l'autisme soient responsables de la majorité des variants de novo , il en reste d'autres à identifier.
Les chercheurs ont ensuite ajouté 22 764 personnes autistes et 236 000 personnes non autistes de la population générale. Dans cette méta-analyse, ils ont identifié 60 gènes de l'autisme dont la contribution à l'autisme est largement due à de rares variantes de perte de fonction héréditaire (LOF) transmises par des parents qui n'ont pas de différences cognitives ou d'autisme. Parmi ces gènes, cinq n'ont jamais été impliqués dans des conditions neurodéveloppementales.
"La majorité des parents qui ont transmis ces variantes génétiques dans notre étude n'ont pas de différences cognitives ou d'autisme, mais nous savons que ces gènes sont associés à l'autisme car nous constatons que ces variantes sont plus fréquemment héritées par les enfants autistes. Nous avons émis l'hypothèse que les personnes autistes qui ont ces variantes génétiques héréditaires ne sont pas aussi susceptibles d'avoir des convulsions et des différences cognitives que les personnes avec des variantes génétiques de novo . Jusqu'à présent, nos données soutiennent fortement cette hypothèse », a déclaré Feliciano.
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PCH Question n°727 - Assemblee nationale |
11/08/2022 |
«Question publiée au JO le : 09/08/2022 page : 3753 Texte de la question M. Jean-Jacques Gaultier attire l'attention de M. le ministre des solidarités, de l'autonomie et des personnes handicapées sur l'accès aux dispositifs de compensation du handicap aux personnes en situation de handicap psychique.
La reconnaissance du handicap psychique est inscrite dans la loi depuis 2005. Cependant, l'accès aux dispositifs de compensation et notamment aux aides humaines reste très difficile à obtenir et demande parfois plusieurs années.
Seulement 7 % des personnes concernées perçoivent la prestation de compensation du handicap. Il lui demande en conséquence que les dispositifs de compensation du handicap soient accessibles aux personnes en fonction de leurs besoins.»...
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questions.assemblee-nationale |
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PCH Question n°727 - Assemblee nationale |
11/08/2022 |
«Question publiée au JO le : 09/08/2022 page : 3753 Texte de la question M. Jean-Jacques Gaultier attire l'attention de M. le ministre des solidarités, de l'autonomie et des personnes handicapées sur l'accès aux dispositifs de compensation du handicap aux personnes en situation de handicap psychique.
La reconnaissance du handicap psychique est inscrite dans la loi depuis 2005. Cependant, l'accès aux dispositifs de compensation et notamment aux aides humaines reste très difficile à obtenir et demande parfois plusieurs années.
Seulement 7 % des personnes concernées perçoivent la prestation de compensation du handicap. Il lui demande en conséquence que les dispositifs de compensation du handicap soient accessibles aux personnes en fonction de leurs besoins.»...
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Une etude propose une nouvelle methode pour accelerer l'apprentissage et ameliorer les capacites des personnes autistes |
02/08/2022 |
«Une nouvelle étude de l'Université de Tel Aviv propose une nouvelle méthode d'apprentissage pour les personnes autistes qui pourrait accélérer le processus d'apprentissage et même améliorer considérablement les capacités en termes de perception visuelle.
Selon les chercheurs, l'amélioration de la capacité perceptive des personnes autistes est souvent un défi, qui nécessite généralement une formation longue et fastidieuse, ainsi que des défis d'apprentissage supplémentaires qui caractérisent l'autisme, comme la capacité de généraliser l'apprentissage à de nouvelles situations.
La nouvelle méthode proposée par les chercheurs repose sur l'utilisation de "flashs mémoires", qui consistent à exposer pendant quelques secondes une personne à une tâche déjà apprise.
Par rapport à la pratique pédagogique standard qui renforce la durée et la répétition de nouvelles compétences, la nouvelle méthode a réussi à améliorer à la fois les capacités de perception visuelle et la généralisation de l'apprentissage - c'est-à-dire exceller dans une tâche similaire dans des conditions qu'ils n'avaient pas apprises auparavant - pour personnes autistes.»...
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www-news--medical-net.translate |
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Une etude propose une nouvelle methode pour accelerer l'apprentissage et ameliorer les capacites des personnes autistes |
02/08/2022 |
«Une nouvelle étude de l'Université de Tel Aviv propose une nouvelle méthode d'apprentissage pour les personnes autistes qui pourrait accélérer le processus d'apprentissage et même améliorer considérablement les capacités en termes de perception visuelle.
Selon les chercheurs, l'amélioration de la capacité perceptive des personnes autistes est souvent un défi, qui nécessite généralement une formation longue et fastidieuse, ainsi que des défis d'apprentissage supplémentaires qui caractérisent l'autisme, comme la capacité de généraliser l'apprentissage à de nouvelles situations.
La nouvelle méthode proposée par les chercheurs repose sur l'utilisation de "flashs mémoires", qui consistent à exposer pendant quelques secondes une personne à une tâche déjà apprise.
Par rapport à la pratique pédagogique standard qui renforce la durée et la répétition de nouvelles compétences, la nouvelle méthode a réussi à améliorer à la fois les capacités de perception visuelle et la généralisation de l'apprentissage - c'est-à-dire exceller dans une tâche similaire dans des conditions qu'ils n'avaient pas apprises auparavant - pour personnes autistes.»...
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Indre : un collectif de parents d'enfants handicapes se bat pour obtenir plus d'aides |
01/08/2022 |
«Le collectif des parents d'enfants handicapés de l'Indre accuse la Maison départementale des personnes handicapées de ne pas octroyer aux familles les allocations nécessaires pour leur permettre de financer tous les soins.
La MDPH assure de son côté respecter un cadre légal strict. Le collectif des parents d'enfants handicapés de l'Indre demande des procédures et des aides plus adaptées à leurs besoins.
Le collectif des parents d'enfants handicapés de l'Indre demande des procédures et des aides plus adaptées à leurs besoins. © Radio France - Manon Derdevet Ils se mobilisent pour demander davantage d'aides pour accompagner leurs enfants en situation de handicap.
Des parents de l'Indre ont crée un collectif pour dénoncer le fonctionnement de la Maison Départementale pour les Personnes Handicapées (MDPH). Selon eux l'organisme chargé d'accompagner les personnes en situation de handicap et leurs familles octroie des financements largement inférieurs aux besoins des enfants.
Certaines familles affirment devoir renoncer à certains soins. La MDPH se défend et assure respecter la loi.»
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«Des soins annulés, faute de financement suffisant
Nathalie*, la mère d'un garçon autiste et avec des troubles neurologiques, dénonce une situation intenable. "Un enfant qui a besoin de soin en ergothérapie ou alors un psychologue, il faut un budget de 200 à 205 euros par mois aux familles et elles ne sont pas aidées financièrement par la MDPH alors que les compléments servent à ça, aider à palier aux frais obligatoires pour la santé des enfants pour leur évolution. Les familles sont dans des difficultés pas possibles", dénonce-t-elle. Le collectif dénonce aussi des démarches administratives très lourdes, et chronophages ainsi que des inégalités de traitements d'un départements à l'autre.
"Avec un enfant autiste, on me dit que je peux travailler en temps plein"
Certaines familles disent aussi avoir beaucoup de mal à obtenir la reconnaissance et les financements nécessaires pour s'occuper à plein temps de leur enfant handicapé ou polyhandicapé. "Avec un enfant autiste, on me dit que je peux travailler en temps plein. C'est le cas de plusieurs familles", assure Sandra*, une maman. Une autre membre raconte n'avoir reçu que quelques centaines d'euros d'aide pour financer le fauteuil roulant de son enfant polyhandicapé.
Des décisions "définies par des textes légaux" selon la MDPH
Lydie Lacou, la présidente de la Maisons départementales des personnes handicapées de l'Indre, entend les difficultés de ces familles mais elle assure que ces allocations et prestations dépendent d'un cadre légal strict. "La MDPH ne décide pas comme ça d'attribuer ou de ne pas attribuer, c'est quelque chose de très définit", explique-t-elle. La décision est prise par une commission spécifique "dont la composition est fixée par la loi. Il y a 23 membres dont 11 sont issus des associations représentatives de personnes en situation de handicap", rappelle Lydie Lacou.
"Les décisions sont définies par des textes légaux et réglementaires et ceci s'impose partout en France",
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francebleu |
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Affichages obligatoires : vous devez les actualiser ! | Editions Tissot |
01/07/2022 |
«La loi renforçant la protection des lanceurs d’alerte modifie vos obligations d’affichage à compter du 1er septembre 2022. Affichages obligatoires : quelles sont vos obligations ? Quelle que soit la taille de votre entreprise, certaines informations doivent impérativement être affichées ou diffusées sur votre lieu de travail.
Il s'agit notamment : de certaines coordonnées : inspection du travail, médecin du travail, etc. ; de règles de sécurité : modalités d'accès et de consultation du document unique d'évaluation des risques, interdiction de fumer par exemple ; ou encore de règles générales du droit du travail : par exemple les horaires collectifs de travail.
Attention Le Code du travail et le Code pénal prévoient des peines de 450 euros jusqu' à 10 000 euros (30 000 euros en cas de récidive) et 1 an d'emprisonnement en cas d'absence d'affichage.»...
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editions-tissot |
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Autisme : le Conseil d'Etat dit non a des asso de psy |
30/06/2022 |
«Pas de place pour la psychanalyse et autres méthodes non conformes au sein des plateformes autisme ? Le Conseil d'Etat a tranché le 13 juin 2022 (décision en lien ci-dessous). Il rejette les trois requêtes déposées par différents représentants des psychologues dans le cadre de leur intervention au sein des plateformes de repérage et d'intervention précoce dédiés aux enfants présentant un trouble du neurodéveloppement (plateformes de coordination et d'orientation PCO TND). Les « sages »* valident ainsi exclusivement les méthodes recommandées par la Haute autorité de santé (HAS).»
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«Le respect des bonnes pratiques
Ces « interventions structurées » visent à mobiliser les compétences cognitives, comportementales et émotionnelles de l'enfant pour soutenir son développement dans plusieurs domaines (interactions sociales, émotions, comportements adaptatifs, communication et langage). Elles s'appuient sur des thérapies cognitivo-comportementales, de la remédiation neuropsychologique et cognitive et de la psychoéducation. Une liste non exhaustive de programmes est inscrite en annexe, qui doit être « réactualisée périodiquement en fonction de l'évolution des connaissances scientifiques, des recommandations et des outils ».
« Dans un passé pas si lointain, les personnes autistes et leurs familles ont connu des interventions inadaptées, voire maltraitantes, aboutissant souvent à des pertes de chance, poursuit Claire Compagnon. En rejetant la demande d'annulation de l'arrêté du 10 mars 2021, le Conseil d'Etat vient renforcer cette exigence d'une politique publique sans aucune ambiguïté. » Elle entend « poursuivre (les) collaborations avec les représentants des psychologues », dont les familles et enfants ont « besoin », et qui, pour « beaucoup, sont aujourd'hui engagés dans ces coopérations avec les PCO-TND dans le respect des bonnes pratiques. »
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informations.handicap |
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Meet the company trying precision medicine for autism | Spectrum | Autism Research News |
29/06/2022 |
«Swiss biotech Stalicla hopes to bring precision medicine to autism. Experts praise efforts to identify autism subgroups, but evidence to support the company's claims has yet to be seen.»...
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spectrumnews |
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Scientists Detect Intriguing Differences in The Eyes of Children With Autism And ADHD |
26/06/2022 |
«When it comes to neurodevelopmental conditions like Attention Deficit Hyperactivity Disorder (ADHD) and Autism Spectrum Disorder (ASD), the earlier and more accurate the diagnosis the better - it means more time for treatment and symptom management, and often a diagnosis provides people with a far better understanding of themselves.
Skip advert However, ADHD and ASD - like many mental disorders - require criteria to be diagnosed, and exist on a nuanced spectrum. There's no one test that can identify what's going on.
New research suggests a potentially speedy, reliable alternative for detecting signs of these conditions: an eye test. Scientists have been able to use a test called an electroretinogram (ERG), which measures the electrical activity of the retina in response to light, to detect different patterns of activity in those with ADHD and ASD. "ASD and ADHD are the most common neurodevelopmental disorders diagnosed in childhood," says research optometrist Paul Constable, from Flinders University in Australia.
"But as they often share similar traits, making diagnoses for both conditions can be lengthy and complicated." "Our research aims to improve this. By exploring how signals in the retina react to light stimuli, we hope to develop more accurate and earlier diagnoses for different neurodevelopmental conditions."»...
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sciencealert |
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Artificial neural networks model face processing in autism | MIT News | Massachusetts Institute of Technology |
17/06/2022 |
«Many of us easily recognize emotions expressed in others' faces. A smile may mean happiness, while a frown may indicate anger. Autistic people often have a more difficult time with this task.
It's unclear why. But new research, published June 15 in The Journal of Neuroscience, sheds light on the inner workings of the brain to suggest an answer. And it does so using a tool that opens new pathways to modeling the computation in our heads: artificial intelligence.Researchers have primarily suggested two brain areas where the differences might lie.
A region on the side of the primate (including human) brain called the inferior temporal (IT) cortex contributes to facial recognition. Meanwhile, a deeper region called the amygdala receives input from the IT cortex and other sources and helps process emotions.Kohitij Kar, a research scientist in the lab of MIT Professor James DiCarlo, hoped to zero in on the answer.
(DiCarlo, the Peter de Florez Professor in the Department of Brain and Cognitive Sciences, is a member of the McGovern Institute for Brain Research and director of MIT's Quest for Intelligence.) Finally, Kar trained separate neural networks to match the judgments of neurotypical controls and autistic adults.
He looked at the strengths or “weights” of the connections between the final layers and the decision nodes. The weights in the network matching autistic adults, both the positive or “excitatory” and negative or “inhibitory” weights, were weaker than in the network matching neurotypical controls.
This suggests that sensory neural connections in autistic adults might be noisy or inefficient.»
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«Noisy networks
Finally, Kar trained separate neural networks to match the judgments of neurotypical controls and autistic adults. He looked at the strengths or “weights” of the connections between the final layers and the decision nodes. The weights in the network matching autistic adults, both the positive or “excitatory” and negative or “inhibitory” weights, were weaker than in the network matching neurotypical controls. This suggests that sensory neural connections in autistic adults might be noisy or inefficient.
To further test the noise hypothesis, which is popular in the field, Kar added various levels of fluctuation to the activity of the final layer in the network modeling autistic adults. Within a certain range, added noise greatly increased the similarity between its performance and that of the autistic adults. Adding noise to the control network did much less to improve its similarity to the control participants. This further suggest that sensory perception in autistic people may be the result of a so-called “noisy” brain.
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news.mit |
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Artificial neural networks model face processing in autism | MIT News | Massachusetts Institute of Technology |
17/06/2022 |
«Many of us easily recognize emotions expressed in others' faces. A smile may mean happiness, while a frown may indicate anger. Autistic people often have a more difficult time with this task.
It's unclear why. But new research, published June 15 in The Journal of Neuroscience, sheds light on the inner workings of the brain to suggest an answer. And it does so using a tool that opens new pathways to modeling the computation in our heads: artificial intelligence.Researchers have primarily suggested two brain areas where the differences might lie.
A region on the side of the primate (including human) brain called the inferior temporal (IT) cortex contributes to facial recognition. Meanwhile, a deeper region called the amygdala receives input from the IT cortex and other sources and helps process emotions.Kohitij Kar, a research scientist in the lab of MIT Professor James DiCarlo, hoped to zero in on the answer.
(DiCarlo, the Peter de Florez Professor in the Department of Brain and Cognitive Sciences, is a member of the McGovern Institute for Brain Research and director of MIT's Quest for Intelligence.) Finally, Kar trained separate neural networks to match the judgments of neurotypical controls and autistic adults.
He looked at the strengths or “weights” of the connections between the final layers and the decision nodes. The weights in the network matching autistic adults, both the positive or “excitatory” and negative or “inhibitory” weights, were weaker than in the network matching neurotypical controls.
This suggests that sensory neural connections in autistic adults might be noisy or inefficient.»
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«Noisy networks
Finally, Kar trained separate neural networks to match the judgments of neurotypical controls and autistic adults. He looked at the strengths or “weights” of the connections between the final layers and the decision nodes. The weights in the network matching autistic adults, both the positive or “excitatory” and negative or “inhibitory” weights, were weaker than in the network matching neurotypical controls. This suggests that sensory neural connections in autistic adults might be noisy or inefficient.
To further test the noise hypothesis, which is popular in the field, Kar added various levels of fluctuation to the activity of the final layer in the network modeling autistic adults. Within a certain range, added noise greatly increased the similarity between its performance and that of the autistic adults. Adding noise to the control network did much less to improve its similarity to the control participants. This further suggest that sensory perception in autistic people may be the result of a so-called “noisy” brain.
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news.mit |
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Jouer de la batterie, le remede contre l'autisme ! |
11/06/2022 |
«De précédentes recherches ont démontré le rôle positif que l'apprentissage de la batterie peut jouer dans l'amélioration des résultats comportementaux des enfants et des adolescents présentant des difficultés émotionnelles et comportementales.
Cependant, à ce jour, aucune de ces études n'a exploré comment ces changements comportementaux se traduisent au niveau neuronal", ont indiqué des chercheurs du Kings College London (Royaume-Uni). Pour déterminer l'impact de la pratique de la batterie sur le comportement et les fonctions cérébrales de jeunes autistes, les scientifiques ont décidé de réaliser une étude parue dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS) le 31 mai.
Pour mener à bien leurs travaux, les auteurs ont recruté 36 adolescents autistes n'ayant jamais joué de cet instrument auparavant. Ces derniers ont été divisés en deux groupes.»
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«Des changements neuronaux et comportementaux grâce à la pratique d’un instrument à percussion
D’après les recherches, l'amélioration des performances à la batterie était associée à une réduction significative de l'hyperactivité et l'inattention chez les adolescents autistes. Selon l’équipe, les résultats de l'IRM ont démontré une connectivité fonctionnelle accrue dans les zones du cerveau responsables du contrôle inhibiteur, du suivi des résultats de l'action et de l'autorégulation. Les analyses ont révélé une connectivité fonctionnelle accrue dans le gyrus frontal inférieur droit et le cortex préfrontal dorsolatéral droit.
"Il est maintenant clair que les activités, comme la pratique de la batterie, sont particulièrement pertinentes dans le contexte des troubles du spectre autistique", a déclaré Marie-Stephanie Cahart, auteure de l’étude, dans un communiqué. La chercheuse a souligné que la percussion met l'accent sur la synchronisation, la coordination œil-main et la nécessité de surveiller et de corriger continuellement les erreurs, ce qui renforce les capacités d'attention, d'inhibition et de réflexion qui sont essentielles aux "résultats sociaux et au bien-être physique et mental".
"Les activités de percussion sont également agréables et accessibles à tous, quels que soient l'origine ethnique, l'âge et les antécédents musicaux. Plus important encore, elles offrent un moyen non verbal de s'exprimer, ce qui les rend particulièrement adaptées au contexte des troubles du spectre autistique", a-t-elle ajouté.
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pourquoidocteur |
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Genetic correlates of phenotypic heterogeneity in autism | Nature Genetics |
03/06/2022 |
«Abstract The substantial phenotypic heterogeneity in autism limits our understanding of its genetic etiology. To address this gap, here we investigated genetic differences between autistic individuals (nmax=12,893) based on core and associated features of autism, co-occurring developmental disabilities and sex.
We conducted a comprehensive factor analysis of core autism features in autistic individuals and identified six factors. Common genetic variants were associated with the core factors, but de novo variants were not.
We found that higher autism polygenic scores (PGS) were associated with lower likelihood of co-occurring developmental disabilities in autistic individuals. Furthermore, in autistic individuals without co-occurring intellectual disability (ID), autism PGS are overinherited by autistic females compared to males.
Finally, we observed higher SNP heritability for autistic males and for autistic individuals without ID. Deeper phenotypic characterization will be critical in determining how the complex underlying genetics shape cognition, behavior and co-occurring conditions in autism.»...
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nature |
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Changes in brain's visual areas in infancy may precede autism diagnosis | National Institutes of Health (NIH) |
26/05/2022 |
«Infants who were diagnosed with autism spectrum disorder (ASD) at 24 months old had differences in the visual processing areas of the brain that were apparent at 6 months old, according to a study funded by the National Institutes of Health.
The researchers theorized that disruption in visual processing could interfere with how infants see the world around them, changing how they interact with and learn from caregivers and their environment.
These early changes could affect further brain development and play a role in ASD symptoms. The study was conducted by Jessica Girault, Ph.D., of the University of North Carolina School of Medicine, Chapel Hill, and colleagues.
It appears in the American Journal of Psychiatry.»...
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nih |
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Decret n° 2022-570 du 19 avril 2022 relatif a la prestation de compensation mentionnee a l'article D. 245-9 du code de l'action sociale et des familles - Legifrance |
19/05/2022 |
«Article 1 L'article D. 245-9 du code de l'action sociale et des familles est ainsi modifié :1° Au premier alinéa, après les mots : « vision centrale », sont insérés les mots : « après correction » ;2° La dernière phrase du deuxième alinéa est supprimée ;3° L'article est complété comme par trois alinéas ainsi rédigés :« Les personnes cumulant une déficience auditive et une déficience visuelle, sont réputées remplir les conditions qui permettent l'attribution et le maintien de l'élément de la prestation lié à un besoin d'aide humaine d'un montant forfaitaire déterminé sur la base d'un temps d'aide conformément au tableau suivant, auquel est appliqué le tarif fixé par arrêté du ministre chargé des personnes handicapées.« « Définition : Gérer son stress, y compris pour faire face à des situations impliquant de la nouveauté ou de l'imprévu.
Gérer les habiletés sociales. Maîtriser ses émotions et ses pulsions, son agressivité verbale ou physique dans ses relations avec autrui, selon les circonstances et dans le respect des convenances.
Entretenir et maîtriser les relations avec autrui selon les circonstances et dans le respect des convenances, comme maîtriser ses émotions et ses pulsions, maîtriser son agressivité verbale et physique, agir de manière indépendante dans les relations sociales, et agir selon les règles et conventions sociales.»
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« « Le temps quotidien d'aide humaine nécessaire pour la mise en œuvre de cette activité est évalué dans le cadre de l'appréciation des besoins au titre des sections 2 et 3 du présent chapitre.
« Définition : Gérer son stress, y compris pour faire face à des situations impliquant de la nouveauté ou de l'imprévu. Gérer les habiletés sociales. Maîtriser ses émotions et ses pulsions, son agressivité verbale ou physique dans ses relations avec autrui, selon les circonstances et dans le respect des convenances. Entretenir et maîtriser les relations avec autrui selon les circonstances et dans le respect des convenances, comme maîtriser ses émotions et ses pulsions, maîtriser son agressivité verbale et physique, agir de manière indépendante dans les relations sociales, et agir selon les règles et conventions sociales.
« Inclusion : Comportement provoqué ou induit par une altération de fonction, un traitement ou une pathologie, une situation inhabituelle, y compris un comportement de repli sur soi ou d'inhibition.
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legifrance.gouv |
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Fever doesn't ease challenging traits in most autistic children | Spectrum | Autism Research News |
18/05/2022 |
«Most autistic children, like their non-autistic peers, become less social, less communicative and more irritable when they have a fever, according to a new unpublished study.
Researchers presented the findings 12 May at the 2022 International Society for Autism Research annual meeting. (Links to abstracts may work only for registered conference attendees.) Although sick children are often tired and grumpy, anecdotal reports have suggested that fever eases behavioral difficulties in some autistic children.
As much as 17 percent of autistic children become calmer and more social when they have a fever, according to one 2017 study. But that study may have been biased toward finding improved behaviors, says Catherine Lord, distinguished professor of psychiatry and education at the University of California, Los Angeles, who led that study as well as the new one.
Participating parents knew the researchers were investigating behavioral changes during fever and may have been more inclined to perceive and report effects, she says. In the new study, Lord and her colleagues designed an app to collect data ...” in a less biased fashion ...” from 141 autistic and 103 non-autistic children between the ages of 2 and 7.»...
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spectrumnews |
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Melatonin as a complementary and prophylactic agent against COVID19 in high...risk populations: A narrative review of recent findings from clinical and preclinical studies - Hosseini - Fundamental & Clinical Pharmacology - Wiley Online Library |
13/05/2022 |
«Abstract The coronavirus disease 2019 (COVID-19) pandemic has been going on around the world for more than a year and has cost a lot, as well as affected the quality of life of many.
The psychological stress like delirium and sleep disturbances caused by the COVID-19 has affected many people in direct or indirect way by the disease. Insomnia and sleep deprivation have a negative effect on the immune system as well as disorders of the hormonal system, including the production and secretion of melatonin, known as the sleep hormone.
Melatonin is a known anti-inflammatory and antioxidant agent in addition to its role in regulating circadian rhythms. In this review, we investigated the relationship between the effect of psychological stress caused by COVID-19 on patients, their families, health care workers, and occupations as well as how melatonin might act as a prophylactic agent with sedative effects and sleep enhancement potential.
Search terms "melatonin" and "COVID-19" were manually searched on PubMed or other electronic database and relevant articles were included. Based on the review of scholarly articles, it can be inferred that melatonin, as an endogenous hormone controlling and regulating sleep and wakefulness in various researches, has a good potential due to its antioxidant and anti-inflammatory with minimal side effects.
These beneficial effects highlight the impact of melatonin as an adjuvant and a potential alternative for the better management of SARS-CoV-2 infection in high-risk populations.»...
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onlinelibrary.wiley |
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Rente familiale et soupcons de maltraitances : « Grand Lieu », le centre d'accueil pour handicapes qui interesse la justice |
13/05/2022 |
«Des membres de la famille de l'ancien ministre et président de région centriste Hervé Morin, bénéficient depuis vingt ans des loyers élevés versés par ce centre d'accueil pour adultes handicapés fonctionnant sur financements publics.
Une enquête préliminaire a été ouverte à la suite du signalement d'une lanceuse d'alerte. Avec ses 1 580 habitants, son église et ses comices agricoles, Epaignes (Eure), entre Pont-Audemer et Lisieux, est un village tranquille, typique de la Normandie rurale.
Il est surtout connu pour son ancien maire, l’actuel président de région et ancien ministre centriste Hervé Morin, qui géra cette commune, dans laquelle il est né, durant vingt ans.»
[...]
« Lorsqu’elle est embauchée, en 2019, en tant que responsable financière de l’association du Grand Lieu, Christine Baudry, qui a déjà une longue carrière dans les milieux associatifs, pense trouver les « valeurs humanistes » rappelées dans l’objet social de la structure. A la place, elle va découvrir un organisme au fonctionnement bancal et clanique.
Lire aussi « Lanceur d’alerte », décryptage d’un terme en vogue
« J’ai été un cheveu sur la soupe », raconte aujourd’hui cette lanceuse d’alerte qui a, depuis, quitté le foyer du Grand Lieu, et a effectué, le 8 mars, avec son avocat Me Jérôme Karsenti, un signalement au parquet des multiples dysfonctionnements observés.
Loyers « astronomiques »
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lemonde |
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Inflammation may reshape brain regions tied to autism |
06/05/2022 |
«Inflammation may inflate or thin out brain regions tied to autism and schizophrenia, researchers report in a new study. The findings add nuance to the long-held hypothesis that immune activation elevates the risk for neurodevelopmental conditions.
Autism, for example, is associated with prenatal exposure to infection, previous studies show. Taking a different approach, the new work focuses on how a genetic predisposition to inflammation affects brain development in the general population, says John Williams, research fellow at the University of Birmingham in the United Kingdom, who conducted the work with lead researcher Rachel Upthegrove, professor of psychiatry and youth mental health at the university.»
[...]
«By pinpointing where inflammation leaves its mark in the brain, the findings serve as a guidepost for future studies of people with neuropsychiatric conditions, he says. “We think that it points to something that’s fairly transdiagnostic.”
For their analyses, the team drew on brain imaging and genetic data from 10,828 women and 9,860 men in the general population who participated in the UK Biobank. They explored how 1,436 possible structural changes in the brain track with having single-nucleotide variants previously shown to increase circulating levels of five inflammatory molecules — interleukin 1 (IL-1), IL-2, IL-6, C-reactive protein and brain-derived neurotrophic factor.
Three variants thought to boost IL-6 were associated with 33 structural changes, most notably increased volume in the middle temporal gyrus and fusiform gyrus, and decreased cortical thickness in the superior frontal gyrus — all brain areas implicated in autism. Variants associated with other inflammatory molecules did not track with brain changes, the researchers found.
The results jibe with those from a 2021 study suggesting that prenatal exposure to a range of inflammatory molecules, including IL-6, corresponds with brain connectivity differences in adulthood in people with major depression or psychosis, as well as in some controls.
“There is a precedent for finding brain differences that are perhaps overlapping with what one sees in certain neuropsychiatric disorders,” says Mady Hornig, associate professor of epidemiology at Columbia University, who led the 2021 work but was not involved in the new study. But the researchers need to validate the effects of genetic variants on IL-6 signaling in the brain in future work, she says.
Williams and his team used a technique called mendelian randomization that approximates a series of randomized controlled trials by sorting participants into various comparison groups: those with a given inflammation-boosting variant and controls. Because genetic traits are randomly assigned across the population at conception, the method controls for a range of confounds, such as environmental factors, that may influence inflammation.
“I think this study took a really creative approach in using this mendelian randomization strategy to try and generate a kind of quasi-causal test in humans” of how shifts in immune function can affect the brain, says Armin Raznahan, chief of the section on developmental neurogenomics at the U.S. National Institute of Mental Health, who was not involved in the study.
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spectrumnews |
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Décret no 2022-688 du 25 avril 2022 portant modification du conseil de la vie sociale et autres formes de participation |
27/04/2022 |
«1 Décret no 2022-688 du 25 avril 2022 portant modification du conseil de la vie sociale et autres formes de participation NOR : SSAA2211949D Publics concernés : gestionnaires d’établissements et services sociaux et médico-sociaux, personnes âgées, personnes en situation de handicap, personnes en difficultés sociales, personnes sous mesures éducatives.
Objet : modification de la composition, du fonctionnement et des compétences du conseil de la vie sociale.»...
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legifrance.gouv |
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Compensation du handicap : un decret touche le fonds - Faire Face - Toute l'actualite du handicap |
27/04/2022 |
«Après l'intervention du fonds départemental de compensation, le reste à charge des personnes handicapées ayant acheté une aide technique ou engagé d'autres dépenses de compensation ne peut, légalement, dépasser 10 % de leurs ressources personnelles.
Un décret du 25 avril précise que les revenus à prendre en compte doivent inclure celles du conjoint. Ce sera l'ultime héritage du premier quinquennat Macron pour les personnes en situation de handicap.
Le décret précisant les règles de fonctionnement des fonds départementaux de compensation est paru au Journal officiel mardi 26 avril. Cette mesure met fin à dix-sept ans d'attente...¦ mais ne va pas assez loin pour rendre effectif un droit pourtant garanti par la loi de février 2005.»...
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faire-face |
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STALICLA acheve avec succes les essais de Phase 1b du premier medicament de precision pour les troubles du spectre de l'autisme |
08/04/2022 |
«STALICLA, une société suisse de biotechnologie au stade clinique, à la pointe du développement de médicaments basés sur les sciences omiques pour les patients atteints de troubles du neuro-développement (TND), a annoncé aujourd'hui la finalisation très réussie des essais de Phase 1b pour son principal candidat médicament, le STP1. Ces données cliniques ouvrent la voie à une première application de la plateforme de découverte de la médecine de précision de STALICLA pour les troubles du spectre de l'autisme.
L'objectif de cette étude de Phase 1b, en double aveugle, contrôlée par placebo, était d'évaluer l'innocuité, la tolérabilité et la pharmacocinétique d'un traitement oral de deux semaines avec le STP1 dans un sous-groupe de patients atteints de TSA. Outre le fait de présenter de bons profils d'innocuité et de tolérabilité, et un engagement de la cible en fonction de la dose, le traitement avec le STP1 a déclenché des signaux positifs dans les marqueurs cliniques de la fonction neurologique et comportementale, notamment une amélioration de la vitesse de traitement et une cognition cristallisée composite.»...
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lelezard |
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'We're more alike than we might think': New study suggests autistic and non-autistic people share more in common -- ScienceDaily |
01/04/2022 |
«Findings published in advance of World Autism Day (Saturday 2 April) reveal there are fundamental similarities between autistic and non-autistic people in mental processing.
The brain processes information using two systems: System 1 for quicker intuitive judgements, and System 2 for slower rational thinking. These systems are thought to work differently in autistic people, underlying the difficulties they may experience in everyday life and the workplace.
Yet, a landmark study from the universities of Bath, Cardiff, Manchester, and King's College London reports that these fundamental psychological systems are not impaired in autistic people as once thought.
In the largest study of its kind, which involved over 1000 people, the researchers tested the link between autism and 'quick' intuitive and 'slow' rational thinking.»...
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sciencedaily |
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Des cabinets de conseils en situations de handicaps ? |
31/03/2022 |
«Des cabinets de conseils en situations de handicaps ? Handicap, les Communautés 360°, les travaux "d'accompagnements" par le cabinet de conseil ont été qualifiés par la Direction Interministérielle de la Transformation Publique (DITP) comme témoignant d'une « compréhension limitée du sujet », d'une « absence de rigueur sur le fond comme sur la forme » et d'une « valeur ajoutée quasi-nulle (...)».»...
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blogs.mediapart |
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Five-year NHS autism research strategy for England |
26/03/2022 |
«Five-year NHS autism research strategy for England Five-year NHS autism research strategy for England Contents Introduction............................................................................................................... 2 Policy context..................................................................................................... 3 Information systems........................................................................................... 4 Research evidence ............................................................................................ 4 Why a research strategy is needed.................................................................... 5 The aims of this strategy.................................................................................... 5 Evidence-based healthcare ...................................................................................... 7 Evidence-based practice.................................................................................... 7 Evidence-informed practice ............................................................................... 9 Evidence-based health policy .......................................................................... 11 General principles................................................................................................... 14 1. Make a future together................................................................................. 14 2. Embrace complexity..................................................................................... 14 Strategic action to be taken .................................................................................... 15 1. Build an evidence culture in NHS autism services ................................ 15 2. Appropriate funding for autism research in England ............................. 16 3. Answering relevant research questions ................................................ 17 4. Raising the quality of research.............................................................. 17 5. Using evidence in national autism health policy.................................... 18»...
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england.nhs |
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Clock gene mutation found to contribute to the development of autism -- ScienceDaily |
25/03/2022 |
«Published in Molecular Psychiatry, a team of scientists from the University of Minnesota Medical School, University of Texas Health San Antonio, and the Biomedical Research Institute (BRI) of the Foundation for Research and Technology Hellas (FORTH) in Greece found that the disruption of a circadian clock gene may be involved in the development of autism spectrum disorder.»...
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sciencedaily |
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Au soutien des sportifs en situation de handicap |
21/03/2022 |
«L'association Cap & Handi a tenu son assemblée générale au Blanc en présence d'Alice Métais, athlète handisport. L'association Cap & Handi est officiellement née le 13 février 2020 au Blanc, avec 10 adhérents au départ, elle en réunit 30 fin 2021, plus 13 généreux donateurs.
Elle a pour objet d'apporter une aide financière aux sportifs handisports d'Indre et d'Indre-et-Loire (dons, mécénats, recettes générées par les actions de l'association) et d'aider dans les volets administratifs et financiers quant aux aides pour les sportifs de haut niveau.
La gendarmerie nouveau partenaire de l'association Le président, François Aujean, a présenté le rapport d'activité 2021 : rencontre avec les élus, Marc Fleuret, président du conseil départemental, Gilles Lherpinière, maire du Blanc, Nathalie Corbeau et Gérard Blondeau, conseillers départementaux, et avec le bureau de l'OMS (Organisation mondiale de la santé), « nous sommes devenus membres associés », précise-t-il.
Les membres partenaires sont le Comso PGN (Commandement du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale), à qui a été présentée l'association, « le général et commandant Nicoud a répondu favorablement à notre demande de soutien aux sportifs handicapés, et notre interlocuteur est le capitaine Mazilli », ajoute le président.»...
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lanouvellerepublique |
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Highly accurate tool for the detection of autism as early as 12 months of age |
12/03/2022 |
«Professor Josephine Barbara Undertaking Testing. Credit: La Trobe University Researchers have found an early screening tool for autism developed by La Trobe University, Australia, researchers...”and already used in Australia and 10 other countries...”is the world's most effective, and detects children 3+ years earlier than traditional testing.
Published in JAMA Network Open, the five-year study of over 13,500 Victorian children found the SACS-R to be extremely accurate in identifying very young children on the autism spectrum.
Of the infants and toddlers aged 12 to 24 months flagged by the tool, 83% were later diagnosed with autism. When used alongside a SACS-Preschool check, 96% of children on the autism spectrum were identified by their 3.5 year health check.»...
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medicalxpress |
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LOI n° 2022-299 du 2 mars 2022 visant a combattre le harcelement scolaire (1) - Legifrance |
03/03/2022 |
«LOI n° 2022-299 du 2 mars 2022 visant à combattre le harcèlement scolaire (1) NOR : MENX2133450L ELI : Le rapport évalue les conditions d'une amélioration des remboursements assurés par les régimes d'assurance maladie au titre de ces prestations.»
[...]
« Article 7
Le Gouvernement remet au Parlement, dans un délai d'un an à compter de la promulgation de la présente loi, un rapport relatif à la couverture des frais de consultation et de soins engagés par les victimes et par les auteurs de faits de harcèlement mentionnés à l'article 222-33-2-3 du code pénal auprès de psychologues et de psychiatres. Le rapport évalue les conditions d'une amélioration des remboursements assurés par les régimes d'assurance maladie au titre de ces prestations.
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Source: http://www.legifrance.gouv.fr | Source Status
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legifrance.gouv |
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LOI n° 2022-296 du 2 mars 2022 visant a democratiser le sport en France (1) - Legifrance |
03/03/2022 |
«Article 1 I.-L'article L. 311-1 du code de l'action sociale et des familles est ainsi modifié : 1° Au 6°, après le mot : « culturel, », sont insérés les mots : « à la pratique d'activités physiques et sportives et d'activités physiques adaptées, au sens de l'article L. 1172-1 du code de la santé publique, » ; 2° Après le même 6°, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Les actions mentionnées au 6° du présent article comprennent l'information des personnes accueillies ou prises en charge par les établissements et services médico-sociaux quant à l'offre d'activités physiques et sportives et d'activités physiques adaptées, au sens de l'article L. 1172-1 du code de la santé publique, assurées en leur sein, à proximité de ces établissements et services ou à proximité du lieu de résidence de ces personnes.
» ; 3° Au début du huitième alinéa, les mots : « Ces missions » sont remplacés par les mots : « Les missions mentionnées aux 1° à 6° du présent article ». II.-La section 2 du chapitre Ier du titre Ier du livre III du code de l'action sociale et des familles est complétée par un article L. 311-12 ainsi rédigé : « Art.
L. 311-12.-Chaque établissement social et médico-social désigne parmi ses personnels un référent pour l'activité physique et sportive. Les modalités de sa désignation et de sa formation continue ainsi que ses missions sont définies par décret.
» III.-Le deuxième alinéa de l'article L. 313-11 du code de l'action sociale et des familles est complété par une phrase ainsi rédigée : « Les objectifs mentionnés au présent alinéa tiennent compte des missions de l'action sociale et médico-sociale mentionnées au 6° de l'article L. 311-1. »»...
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legifrance.gouv |
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Cracking autism's sleep conundrum | Spectrum | Autism Research News |
26/02/2022 |
«About 15 years ago, Ashura Buckley made an observation that intrigued her. She was monitoring the overnight brain activity of children with autism or developmental delay using electroencephalography (EEG) and noticed that their brain wave patterns were strikingly different from those of their neurotypical peers.
Specifically, in their recordings, the patterns that mark different stages of sleep were often much harder to spot, says Buckley, a pediatric neurologist and sleep medicine specialist at the U.S. National Institute of Mental Health in Bethesda, Maryland.
So much so that Buckley and her colleagues could sometimes guess who had a neurodevelopmental condition just by looking at the EEG. "It seemed to me that there was an enormous amount of information just in that observation," she says.»
[...]
« One area in which the biology of autism and sleep problems coalesce is the regulation of sleep-wake cycles. The circadian clock governs sleep and other daily processes via the coordinated expression of ‘clock’ genes, and it is a major organizing system: “It’s basically involved in all aspects of brain function,” says Jonathan Lipton, assistant professor of neurology at Harvard University.
This 24-hour biological timer is also intimately connected to pathways involved in neurodevelopmental conditions, he says.
Alterations in several autism-linked genes affect the circadian clock. For example, mice carrying mutations in either TSC1 or TSC2 — genes that underlie the autism-linked condition tuberous sclerosis — have atypical circadian rhythms, such as shortened day-night cycles, Lipton and his colleagues have found. Levels of BMAL1, a protein that is a core component of the clock, are also unusually high in the mice.
Conceptual illustration of clock with coloful EEG waves and brain in the background.
Genetically modifying the mice to produce less BMAL1 normalizes their day-night cycles, Lipton and his colleagues reported. So modulating the clock may provide a way to improve sleep among people with the condition, and it might ease some other autism traits, too, he says.
Processes involved in regulating sleep may also be altered in mice carrying a mutation in SHANK3, a top autism candidate gene. Usually, the need to sleep increases the longer an animal stays awake, but mice missing the gene have trouble falling asleep, even when they are sleep deprived, according to Lucia Peixoto, assistant professor of biomedical sciences at Washington State University Spokane.
What’s more, sleep deprivation exacerbates the gene-expression differences seen in the brains of SHANK3 versus wildtype mice, Peixoto’s team has found. Many of the differentially expressed genes are tied to the circadian clock.
Peixoto and her colleagues are now investigating how SHANK3 — which encodes a protein that helps support synapses — can affect the expression of sleep-related genes. Previous research has also linked synapse function to sleep: Slumber plays a critical role in synaptic plasticity, the process by which neurons alter the strength of their connections in response to new information. And sleep loss can disturb the plasticity that underlies learning, memory and critical periods of brain development in infancy.
“Having sleep problems from early on can have a profound, long-lasting effect on how experience shapes the brain,” Peixoto says, noting that among prairie voles, sleep disruption early in life also leads to altered social behaviors, according to one 2019 paper. She says she suspects that sleep loss might contribute to autism by altering brain development
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spectrumnews |
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Handicap : une formation a un meilleur accueil au cinema |
25/02/2022 |
«Mardi 22 février, le cinéma studio République du Blanc a accueilli vingt bénévoles pour une formation à l'accueil des personnes avec des besoins spécifiques, dont celles en situation de handicap.
Cette formation était donnée par Juliette Monnier, coordinatrice, et Amar Nafa, délégué général de l'association nationale Ciné-ma différence. Les bénévoles ont été sensibilisés à l'accueil des personnes en situation de handicap, leur famille ou leus accompagnants.
Cette équipe s'engage pour une saison de séances afin que chacun se sente à l'aise au cinéma. Ces séances auront lieu un samedi par mois, au cinéma du Blanc. Un partenariat se forme ainsi entre trois structures pour le bon fonctionnement de ce dispositif : Cinéma studio République, Affiche la couleur et la mairie du Blanc.
Ces derniers ont établi une convention avec l'association nationale Ciné-ma différence. La première séance aura lieu samedi 5 mars, avec le film King.»...
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lanouvellerepublique |
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Many who have died by suicide may have had undiagnosed autism- study - The Jerusalem Post |
25/02/2022 |
«Troubling research by a team from Nottingham University finds a high percentage of people who died by suicide may have had an undiagnosed case of autism. Study authors urge for earlier diagnosis and custom support for suicide prevention.
This is the first ever research to investigate the relationship between suicide in the United Kingdom and autism, a lifelong developmental condition. Researchers analyzed a total of 372 coroner's reports inspecting people who took their own life.
The team also conducted interviews with family members of the deceased. The findings were published on February 15, 2022, in the British Journal of Psychiatry. The researchers found that 10% of those who died by suicide had evidence of elevated autistic traits, indicating likely undiagnosed autism.
This is 11 times higher than the rate of autism in the UK.»...
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jpost |
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Cancerologie : A Toulouse, une filiere de soins unique dediee aux personnes en situation de handicap - Actusoins actualite infirmiere |
25/02/2022 |
«Retenue dans le cadre d'un appel à projet de l'Inca, une équipe de l'IUCT Oncopole de Toulouse, a mis en place une filière sur-mesure pour soigner les personnes en situation de handicap.
Elle pourrait bientôt se déployer au niveau national. © Oncopole de Toulouse / DR. Accompagner une femme en fauteuil roulant pour une mammographie, rassurer un patient autiste avant une biopsie, prévoir la venue d'un interprète en langage des signes pour assister une personne sourde...¦ Tels sont les objectifs de ce parcours de soins « handicap et cancer », qui a vu le jour en février 2021 suite à un appel à projets de l'institut national du cancer (INCA) à l'IUCT Oncopole de Toulouse.
« Nous avons tous vécu en tant que soignants, des prises en charge compliquées avec ces malades », pointe Béatrice Lucas cadre de santé et porteuse du projet à l'Oncopole. Souvent nous ne découvrons d'ailleurs leur handicap qu'à la dernière minute, or leurs besoins face à des situations de stress exacerbé, nécessitent une prise en charge adaptée.
C'est pourquoi, nous avons mis en place cette filière de soins en collaboration avec l'association ASEI (agir, soigner, éduquer, insérer). »»...
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actusoins |
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Communication alternative : 6 poles pour tester ces outils |
19/02/2022 |
«Six pôles de référence en communication alternative et améliorée verront le jour en France en 2022. Objectif ? Permettre aux personnes avec des troubles de la communication de tester ces outils.
Un appel à projets est lancé jusqu'au 15 avril 2022. 18 février 2022 ... En 2022, six pôles de référence de prêt de matériel de communication alternative et améliorée (CAA), dotés de 100 000 euros afin d'accompagner les personnes au choix et à l'appropriation d'un matériel de CAA, doivent voir le jour.
Le Comité interministériel du handicap du 3 février 2022 a rappelé cet engagement. Quelques jours plus tard, la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA) lance un appel à projets pour cette expérimentation.»...
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informations.handicap |
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Top autism candidate gene tied to newly identified syndrome | Spectrum | Autism Research News |
19/02/2022 |
«People with mutations in the PAX5 gene have a distinct neurodevelopmental syndrome characterized by a range of traits, including developmental delay, intellectual disability, seizures and autism, according to a new study of 16 children and young adults.
Until now, genetic testing did not give people with PAX5 mutations clear answers about their development, says lead investigator Daryl Scott, associate professor of molecular and human genetics at Baylor College of Medicine in Houston, Texas.
But "whenever we are able to identify a molecular cause, it informs our medical decision-making and makes us better able to help these children get the medical care that they need." Mutations in PAX5 were linked to autism in a large sequencing study in 2014, and scientists' confidence in this link rose to 90 percent after another sequencing study in 2019. The new work, which appeared in January in Human Mutation, is the first to characterize the clinical traits of people with mutations in the gene.
PAX5 encodes a transcription factor important for embryonic brain development. Most mice missing both copies of the gene in all their cells die at birth, show severe undergrowth and have brain structure alterations; mice missing one copy in all of their cells just have minor brain structure changes, according to a 1994 study.
And mice missing the gene only in inhibitory neurons, a later study revealed, have enlarged fluid-filled spaces in their brains, a physical characteristic that is associated with neurodevelopmental conditions.»
[...]
«
Two participants have sensorineural hearing loss, but overall, few have atypical traits beyond developmental delay, autism or intellectual disability. This result matches those seen in mice missing one copy of PAX5, Rudolph says.
This lack is important to note because many doctors do not think of ordering genetic testing for people who just have one or more of these neurodevelopmental conditions and no other medical problems, Scott says. “We can find genes for kids who appear to have non-syndromic neurodevelopmental problems.”
Scott and his team do not have funding to follow up on this work, but plan to publish more information once they have collected data on additional people. As clinicians, they expect to continue connecting with individuals who have PAX5 mutations, he says. “As soon as one of these papers is published, people start to call.”
Cite this article: »...
Source: http://www.spectrumnews.org | Source Status
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spectrumnews |
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Lire et ecrire quand on a un TSA et qu'on ne parle pas : sur quoi s'appuyer ? | Craif - Centre de Ressources Autisme Ile-de-France |
14/02/2022 |
«Webinaire organisé par le CRAIF ouvert à tous les publics animé par Albane Plateau, orthophoniste et Lynn Dew, proche aidante et directrice éditoriale d'Happy CAA. Questions visées par cette conférence Cela sert-il à quelque chose d'apprendre à lire, quand on a un TSA et qu'on ne parle pas ou très peu ? Une personne avec un TSA qui ne parle pas, ou très peu, peut-elle apprendre à lire ? La lecture et l'écriture se développent-elles de la même façon ? A l'issue de ce webinaire, vous aurez des éléments pour répondre à ces questions et des pistes pour aller plus loin.»
[...]
«Introduction
Définition de la littératie
Développement de la littératie chez la personne ordinaire
Interactions entre le langage oral et le langage écrit
Rôle de la CAA dans le développement de la littératie
Communiquer autrement
Symboles pour représenter le langage
Aides techniques au développement de la lecture
Aides techniques au développement de l’écriture
Socle pédagogique pour la personne avec un TSA qui ne parle pas
Principes
Lecture partagée et TSA
Écriture à structure répétitive
Regard rapide sur les autres points essentiels
Inscriptions via : »...
Source: http://www.craif.org | Source Status
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craif |
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LOI n° 2022-140 du 7 fevrier 2022 relative a la protection des enfants (1) - Legifrance |
08/02/2022 |
«Article 23 I.
• Le titre Ier du livre Ier du code de l'action sociale et des familles est complété par un chapitre IX ainsi rédigé : « Chapitre IX « Maltraitance « Art. L. 119-1.
• La maltraitance au sens du présent code vise toute personne en situation de vulnérabilité lorsqu'un geste, une parole, une action ou un défaut d'action compromet ou porte atteinte à son développement, à ses droits, à ses besoins fondamentaux ou à sa santé et que cette atteinte intervient dans une relation de confiance, de dépendance, de soin ou d'accompagnement.
Les situations de maltraitance peuvent être ponctuelles ou durables, intentionnelles ou non. Leur origine peut être individuelle, collective ou institutionnelle. Les violences et les négligences peuvent revêtir des formes multiples et associées au sein de ces situations.
» II.
• Au e du 2° de l'article L. 1431-2 du code de la santé publique, après le mot : « maltraitance », sont insérés les mots : « au sens de l'article L. 119-1 du code de l'action sociale et des familles ».»...
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legifrance.gouv |
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Reperer les troubles du neuro-developpement: un livret dedie |
01/02/2022 |
«Repérer les troubles du neuro-développement: un livret dédié Le 1er guide de repérage précoce des écarts de développement inhabituels de l'enfant de 0 à 3 ans voit le jour.
En 28 pages, il permet aux pros de la petite enfance et aux parents de ne pas perdre de temps dans les 1000 premiers jours. A télécharger! pdf livret :
Source: http://informations.handicap.fr | Source Status
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informations.handicap |
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FDA cites hair-based autism diagnostic aid as ...˜breakthrough' | Spectrum | Autism Research News |
19/01/2022 |
«The U.S. Food and Drug Administration (FDA) has granted ...˜breakthrough device' designation to a hair-based test designed to aid autism diagnosis. The acknowledgment shifts the test into a fast lane through the agency's regulatory review process.
The test, called StrandDx, analyzes the levels of chemicals in a strand of a child's hair to capture a snapshot of her ...˜exposome' ...” some of her cumulative environmental exposures and how she regulates certain essential nutrients.
The measures suggest how a person's physiology responds to her environment, which can predict her chances of having autism, says Manish Arora, Edith J. Baerwald Professor and vice chairman of environmental medicine and public health at the Icahn School of Medicine at Mount Sinai in New York City and co-founder of New York-based Linus Biotechnology, which is developing the test.»...
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spectrumnews |
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Observations finales concernant le rapport initial de la France* CRPD/C/FRA/CO/1 - G2126973.pdf |
12/01/2022 |
«»
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I. Introduction
1. Le Comité a examiné le rapport initial de la France1 à ses 539e, 540e et 541e séances,
tenues en ligne les 18, 20 et 23 août 20212. Il a adopté les observations finales ci-après à sa
549e séance, tenue en ligne le 7 septembre 2021.
2. Le Comité accueille avec satisfaction le rapport initial de la France, qui a été établi
conformément aux directives concernant l’établissement des rapports, et remercie l’État
partie des réponses écrites3 apportées à la liste de points4.
3. Le Comité remercie l’État partie d’avoir accepté que l’examen de son rapport initial
se déroule entièrement en ligne, compte tenu des circonstances exceptionnelles dues à la
pandémie de maladie à coronavirus (COVID-19). Il se félicite du dialogue sincère et
fructueux qu’il a eu avec la délégation, à la composition diversifiée et multisectorielle et dans
laquelle les ministères compétents étaient représentés. Il se félicite également de la
participation du Défenseur des droits, en sa qualité de mécanisme indépendant de suivi au
titre de l’article 33 (par. 2) de la Convention, et de la Commission nationale consultative des
droits de l’homme, en sa qualité d’institution nationale des droits de l’homme de l’État partie.
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documents-dds-ny.un |
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Oxytocin in a developing fish brain determines later social behavior |
29/12/2021 |
«Whenever we decide to throw a party, invite in-laws to dinner or embark on a cruise, we are driven by the most basic component of social behavior: The desire to hang out with other humans.
Considering that the drive to form groups with members of one's own species has been conserved throughout evolution, it's evident that social behavior is governed by genes, at least to some degree.
But our parents and teachers help us hone our social graces, so teasing apart the effects of nature and nurture on this behavior is hard, if not impossible. By studying zebrafish, Weizmann Institute of Science researchers, in collaboration with scientists in Portugal, have managed to solve part of the riddle of how social behavior is hardwired into the developing brain.»
[...]
« At about four weeks of age, the centimeter-long juvenile fish, just out of the larval stage, begin to socialize. Though not as exquisitely synchronized as the schools of moonfish in "Finding Nemo," they do exhibit a strong tendency to swim together as a group, termed a shoal. Much like humans, they have an incentive to seek company; in their case, the group provides them with advantages in searching for food, overcoming currents, avoiding predators and finding mates. The shoaling behavior of zebrafish requires sophisticated processing of visual and social cues, very similar to that which takes place in the brains of socializing humans. In particular, the zebrafish must be able to identify other fish as belonging to their own, "friendly"—as opposed to different or, worse yet, predatory—species.
To learn how the social behavior of zebrafish develops, the researchers decided to focus on the hormone oxytocin, one of the most important neurochemicals known to enhance social interactions, including bonding. Postdoctoral fellow Dr. Ana Rita Nunes and doctoral student Michael Gliksberg created a system for exploring the effects of oxytocin on the developing brains of zebrafish larvae. They produced transgenic larvae whose oxytocin-making neurons harbored a bacterial gene encoding fatal sensitivity to antibiotics. The researchers could then eliminate these neurons from the brains of the larvae at different stages of their development by adding antibiotics to the water, and they later observed the zebrafish behavior as they became adults.
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medicalxpress |
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Arrete du 22 decembre 2021 modifiant l'arrete du 28 novembre 2019 relatif a l'experimentation pour un parcours de soins coordonne des enfants et adolescents proteges - Legifrance |
22/12/2021 |
«Article 1 Le cahier des charges modifié susvisé de l'expérimentation pour un parcours de soins coordonné des enfants et adolescents protégés annexé au présent arrêté remplace le cahier des charges annexé à l'arrêté du 28 novembre 2019. Article 2 Le directeur de la sécurité sociale et la directrice générale de la cohésion sociale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié, ainsi que ses annexes, au Journal officiel de la République française.
ReplierAnnexe Article ANNEXE I CAHIER DES CHARGES RELATIF A L'EXPERIMENTATION Parcours de soins coordonné des enfants et adolescents protégés : Projet d'expérimentation dans le cadre de l'article 51 de la FLSS 2018 Projet national porté par la DGCS et le docteur Nathalie Vabres (CHU de Nantes) Objet et finalité du projet d'expérimentation / enjeu de l'expérimentation 1. Eléments de diagnostic»...
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legifrance.gouv |
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Researchers develop compound for autism treatment | Bengaluru News - Times of India |
25/11/2021 |
«Bengaluru: A group of researchers from Jawaharlal Nehru Centre for Advanced Scientific Research (JNCASR) in Bengaluru has developed a compound called 6BIO that can provide a better method to treat Autism Spectrum Disorder (ASD). The team has already determined the potency of the compound in a preclinical mice model.
It says this is the first compound that has been proved in preclinical evaluation to have the potential for improving efficiency of daily activities like learning and recollecting new tasks in patients with ASD/intellectual disability (ID).The research ...” carried out by Vijaya Verma, MJ Vijay Kumar, Kavita Sharma, Sridhar Rajaram, Ravi Muddashetty, Ravi Manjithaya, Thomas Behnisch and James P Clement from JNCASR ...” has been published in Experimental Brain Research.»
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«
"Previous studies have attributed disruption in optimal brain development, mainly neuronal connections, during the early stage of development (babies/childhood) as one of the causes of ASD/ID. Due to altered brain development, information processing becomes aberrant and understanding simple tasks becomes exceptionally challenging for patients with ASD/ID," the researchers said.Pointing out that current therapeutics to treat ASD aim to alleviate symptoms such as epileptic seizures or sleep issues but not to treat the multiple problems of ASD/ID, they said a major challenge in finding better therapeutics is the potency of the drug to help patients perform daily activities with efficiency close to that of a healthy person. Achieving this is particularly difficult after a certain age, especially from the mid-childhood stages, they said, adding that ASD patients still struggle to perform everyday activities without assistance from others as they are unable to learn and recollect new tasks. "Data from the current study indicates that 6BIO ...” synthesised in JNCASR ...” can help such children learn and recall, be social, and alleviate other symptoms such as seizures or sleep issues. Thus, 6BIO, can be a better therapeutics option to treat ASD," they said. Using electrophysiology, which helps understand how neurons communicate, and behaviour experiments, which indicate the overall brain function, the team has shown that 6BIO can restore the information processing in the preclinical mouse model. Therefore, the compound, they said, had a strong potential for therapeutics to treat ASD/ID. ...˜Restored neural functions after mid-childhood too'All the behaviour and electrophysiology work was performed in Dr James Clement's lab at JNCASR, the authors said, adding that another novelty of this study was that 6BIO restored the neural functions not only when administered during development (1-2 years) and childhood stages (3-6 years) but also after mid-childhood (7-11 years) when most of the brain regions are considered to have formed properly.
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timesofindia.indiatimes |
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Pass sanitaire : la liste des contre-indications medicales s'elargit - Faire Face - Toute l'actualite du handicap |
07/11/2021 |
«Le Gouvernement vient de reconnaitre une nouvelle catégorie de contre-indications médicales à la vaccination anti-Covid-19. Elle concerne les patients atteints de maladies rares pour lesquels les experts de ces pathologies déconseillent le vaccin.
C'est le cas notamment de la fibrodysplasie ossifiante progressive. Un récent décret vient d’élargir la – très courte – liste initiale qui avait été instituée le 7 août.»
[...]
«Une nouvelle catégorie de contre-indications
Un récent décret vient d’élargir la – très courte – liste initiale qui avait été instituée le 7 août.
« Une recommandation établie par un centre de référence maladies rares (CRMR) ou un centre de compétence maladies rares (CCMR) après concertation médicale pluridisciplinaire (avis collégial) de ne pas initier la vaccination contre la Covid-19 » permet désormais également d’obtenir un certificat faisant office de pass sanitaire.
Cette nouvelle catégorie de contre-indications ne pointe donc pas nommément la Fop ou une autre maladie mais renvoie à l’appréciation par les experts de ces pathologies rares.
!3_________
Quelles sont les contre-indications médicales reconnues aux vaccins anti-Covid-19 ?
Le décret du 7 août modifié par le décret du 29 août dresse une liste de contre-indications ouvrant droit à un certificat médical faisant office de pass sanitaire :
– allergie à un des composants du vaccin ;
– réaction anaphylactique au moins de grade 2 à une première injection d’un vaccin contre le Covid ;
– personnes ayant déjà présenté des épisodes de syndrome de fuite capillaire (contre-indication commune au vaccin Vaxzevria et au vaccin Janssen) ;
– syndrome inflammatoire multi-systémique pédiatrique (Pims) post-Covid-19 ;
– une recommandation établie après concertation médicale pluridisciplinaire de ne pas effectuer la seconde dose de vaccin suite à la survenue d’un effet indésirable d’intensité sévère ou grave (myocardite, syndrome de Guillain-Barré…).
Il précise aussi deux contre-indications temporaires :
– traitement par anticorps monoclonaux anti-SARS-CoV-2 ;
– myocardites ou péricardites d’étiologie non liée à une infection par SARS-CoV-2 survenues antérieurement à la vaccination et toujours évolutives.
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faire-face |
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Complex PTSD in young people in care - ACAMH |
03/11/2021 |
«In March 2021 we joined CAMHS around the Campfire, the online journal club run by ACAMH with the Mental Elf, to discuss Rachel's recent paper on complex posttraumatic stress disorder (PTSD) in young people in care.1 Briefly, this paper presented results of a longitudinal study exploring the role of key cognitive predictors of both ...˜standard' PTSD and complex PTSD symptoms.
The sample included 120 10-18 year-olds living in care in England. The study found that our current models of PTSD were applicable to young people in care. Maladaptive cognitions (e.g., "I can't trust anyone" or "the world isn't safe"), cognitive coping (e.g., avoiding thinking about what happened), and memory qualities (e.g., memories being muddled or confused) were all associated with PTSD symptoms and complex features.
Maladaptive cognitions were particularly important. This suggests that targeting these mechanisms in intervention would be useful for young people with complex PTSD symptoms.
In this article we reflect on some of the important points raised in the Campfire discussion about this research.»
[...]
«Are PTSD and complex PTSD different?
PTSD is a trauma-specific mental health difficulty. A young person who has experienced trauma (whether that might be called maltreatment, complex trauma, developmental trauma, or any other trauma exposure) is at risk of developing PTSD. According to the World Health Organisation’s diagnostic classification system (ICD-11), PTSD includes three symptom clusters: re-experiencing the trauma, avoiding reminders of the trauma and hyper-arousal. Young people with PTSD commonly also have other mental health problems, such as depression or anxiety. We know that rates of PTSD are very high in care-experienced young people. Complex PTSD is a new diagnosis in the ICD-11, but has not been included in the American Psychiatric Association’s diagnostic classification system (DSM-5). Crucially, to meet criteria for complex PTSD, the young person must have PTSD as well as additional complex features of difficulties with: relationships, emotion dysregulation and negative self-concept (e.g., “I’m not worth anything”).
Rachel’s work indicates that the same processes that drive PTSD, also drive complex PTSD. This suggests we may not need to develop completely new treatments for complex PTSD. We already have interventions that target these processes – called trauma-focused cognitive behaviour therapies (tf-CBT), the NICE-recommended first-line treatment for PTSD.2 There is growing research supporting this by showing that tf-CBT is an effective treatment for those with complex presentations.3 It’s possible that young people with complex presentations may benefit from more sessions to allow a more in-depth focus on certain aspects of treatment.
Getting young people in care the right treatment
It’s important that young people in care get the right treatment to address their needs. We know that even our best evidenced treatments do not work 100% of the time for 100% of young people, but they should be the starting point to giving young people the best chance at overcoming their mental health difficulty.
As with any treatment, it is also important that the young person receives appropriate psychoeducation, not just about PTSD, but also about the treatment. People with PTSD often want to avoid thinking about what they have been through, which means they might struggle to engage in earlier sessions or not turn up to some sessions. In the psychoeducation component of tf-CBT it is important that avoidance is openly discussed. Similarly, it can be useful for practitioners to reflect on whether they may inadvertently encourage avoidance by delaying starting parts of treatment that are harder, such as memory work.
We also acknowledge the barriers that often exist in services that might mean practitioners find it difficult to deliver tf-CBT. It might be that they are not able to provide the required 12-20 sessions, or that they do not have training and supervision available to them. But there also seems to be a pervasive belief that tf-CBT is not appropriate for young people exposed to complex trauma, like abuse. This belief is not supported by the evidence or the most recent NICE review for PTSD, and is also challenged by mechanism research. Understanding how we can address service-level and individual-level barriers remains an important area of research, so practitioners and services can be encouraged and supported to deliver evidence-based treatments, such as tf-CBT.
Listening to young people in care
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acamh |
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DEPENDANCE : Decouverte d'un autre circuit de recompense | sante log |
09/10/2021 |
«Comprendre le système de récompense est la clé de la compréhension et du traitement des dépendances et de nombreux troubles psychiatriques (Visuel Adobe Stock 306974165) Chercher et trouver « les voies de la récompense », dans le cerveau, peut paraitre un peu expérimental.
Cependant, c'est bien la clé de la compréhension et du traitement des dépendances et de nombreux troubles psychiatriques. Ces neuroscientifiques du du Bruchas Lab de l'Université de Washington « plongent » comme ils l'écrivent « au plus profond de l'enfer de notre cerveau et des circuits qui nous font nous sentir bien ». Leurs travaux menés chez la souris et publiés dans la revue Nature Neuroscience, font avancer la science sur nos voies de récompense.»
[...]
« Les neurones GABAergiques de l'aire tegmentale ventrale, une nouvelle voie de la récompense ?
Le rôle clé des les neurones VTA GABA : La découverte est faite chez des souris mâles et femelles, chez qui les neurones VTA GABA à longues projections sont impliqués dans un comportement de récompense et de renforcement. Leur projection GABAergique inhibe les interneurones cholinergiques, acteurs clés de l'apprentissage lié à la récompense. Le Dr. Michael Bruchas, professeur d'anesthésiologie et de médecine de la douleur, qui dirige le Bruchas Lab commente ces résultats :
« Ce que nous avons trouvé, ce sont des cellules GABAergiques uniques qui se projettent largement vers le noyau accumbens, mais dont seule une partie des projections contribuent au renforcement de la récompense ».
Cette meilleure compréhension du rôle clé de ces neurones GABAergiques de la VTA, et de l'ensemble des circuits neuronaux associés et des neuromodulateurs spécifiques libérés pendant le processus de récompense sont la clé pour mieux traiter un grand nombre de troubles neuropsychiatriques tels que la dépression et la toxicomanie. La recherche avance...
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santelog |
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Children with autism benefit from blood pressure medication, researchers say | NL Times |
05/10/2021 |
«An existing medicine for high blood pressure also helps children with autism to better process stimuli, Amsterdam UMC concluded in a study. The drug involved is bumetanide.
According to the university hospital, this drug has a beneficial effect on the brains of children who have difficulty processing information. Their stimulus balance isn't optimal; the brain is over- or under-stimulated.
"The researchers showed that bumetanide can influence the stimulus balance by reducing the chlorine concentration in the brain cells," according to Amsterdam UMC. The researchers also developed an algorithm to predict which children this medicine will work for and which not.
They do this with the help of a brain video (EEG). "Just prescribing something for children with autism symptoms must be a thing of the past. We found a method in which we can see quite precisely for which child this drug will work," said child psychiatrist Hilgo Bruining.
He pointed out that bumetanide has no severe side effects like antipsychotics or Ritalin. The study involved 92 children aged 7-15 years with autism. The study was published in the medical journal Biological Psychiatry CNNI.»...
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nltimes |
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Bordeaux : un chercheur du CNRS invente un « super IRM » pour comprendre le cablage de notre cerveau |
02/10/2021 |
«Michel Thiebaut de Schotten, directeur de recherche au CNRS et à l'Institut des maladies neurodégénératives, vient de créer le Functionnectome, utilisé notamment par l'Université de Harvard L'effervescent cerveau du chercheur bordelais bouillonne pour mieux comprendre le nôtre.
Michel Thiebaut de Schotten, directeur de recherche au CNRS et à l'Institut des maladies neurodégénératives de Bordeaux, vient d'inventer une sorte de « super IRM » pour mieux décoder le câblage de notre cerveau.
Une révolution qui ouvre la porte à d'infinies recherches scientifiques et qui permettra une pratique médicale personnalisée. Le bleu indique les zones communes au plus grand de personnes, les jaunes et rouge, celles étant plus spécifiques selon les individus.»
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«Jusqu’à présent l’unique technique permettant de voir fonctionner le cerveau était l’IRM fonctionnelle. Ses images montrent les zones du cerveau activées lorsque le sujet effectue telle ou telle tâche. Le Functionnectome bordelais permet, lui, à partir de l’IRM fonctionnelle classique, de voir les câbles reliant ces zones et quels sont ceux permettant l’activation des différentes zones. “On peut également mesurer les interactions entre zones et « câbles » lorsqu’une tâche est réalisée » explique Michel Thiebaut de Schotten. Les scientifiques ont donc mis au point une méthode permettant de mettre à jour la relation entre les circuits cérébraux et les fonctions. Ces résultats ont été publiés dans la revue Nature Communications Biology. Mis en service à la mi-septembre, cette méthode révolutionnaire est déjà utilisée notamment par l’université de Harvard.
Après un AVC
Le courant scientifique spécialisé dans l’étude des zones cérébrales indépendamment les unes des autres ne comprenait pas, par exemple, pourquoi un patient opéré après un AVC et dont les zones cérébrales étaient intactes, ne recouvraient pas ses capacités. Michel Thiebaut de Schotten a choisi d’explorer les « câbles » qui auraient pu être coupés, déconnectés. Il plonge alors dans ces liens et, avec des auteurs britanniques, publie « L’Atlas des connexions cérébrales ». « Nous voulions comprendre l’association entre les neurones grâce à leurs connexions » explique le chercheur. Sachant que le cerveau contient environ 100 milliards de neurones et que chaque neurone comprend mille connexions, le champ d’étude n’est pas près de se tarir. « Pour schématiser, dit le chercheur passionnant à écouter, nous pensons que le cerveau n’est pas seulement un montage électrique en série mais plutôt un chant en chœur qui permet à l’être humain de penser. »
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sudouest |
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Serious childhood infections may increase autism risk, study finds |
17/09/2021 |
«Sept. 17 (UPI) -- Serious infections in infancy appear to increase the risk for autism spectrum disorder in male children, a study published by the journal Scientific Advances found.
The infections that sickened these children included the flu, severe skin infections, fungal infections of the lungs, bacterial food poisoning, whooping cough and hand, foot and mouth disease, they said.
Of the more than 3.6 million children included in the analysis, nearly 23,000 were diagnosed with autism spectrum disorder -- roughly 4,400 females and 18,200 males -- the data showed.»
[...]
«
Among the male children diagnosed with autism spectrum disorder between age 18 months and 4 years, there was a higher prevalence of severe infections that required hospitalization, the researchers said.
RELATED Children with autism have unique collection of healthy gut bacteria
While the study does not prove the illnesses cause autism, the researchers said their findings support previous studies showing severe infections, and their effects on the immune systems of children, increases risk for neurological conditions.
Many of these infections cited are preventable with vaccination, according to the researchers.
"Our results strongly suggest that parents should vaccinate their children to avoid serious infections that could increase the probability of autism, and perhaps even other psychiatric disorders," study co-author Alcino J. Silva told UPI in an email.
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upi |
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UC: Pilot study of diet/exercise in young adu | EurekAlert! |
17/09/2021 |
«Adhering to a diet and exercise program to manage health can be a challenge for anyone. But maintaining a healthy weight may present unique challenges for young adults with inherent barriers such as cognitive impairment.
A pilot study at the University of Cincinnati found that young adults with autism spectrum disorder (ASD) and intellectual disabilities (ID) were able to lose or maintain their weight with a system of education and support in place.»...
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eurekalert |
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Autistic campaigners to protest over study that sparked 'eugenics' fears - Disability News Service |
17/09/2021 |
«A utistic campaigners are to protest outside a University of Cambridge autism research centre over a £3 million study they fear could be used to find a cure for autism, or even to attempt to eradicate it altogether through pre-natal screening.
Their campaigning efforts have already persuaded the researchers to pause work on the project, which was aiming to collect DNA samples from 10,000 autistic people across the UK. The Spectrum 10K project would be the largest study of autism in the UK, and the researchers behind it say they want to examine how biological and environmental factors impact on the wellbeing of autistic people.
They say the project will "not look for a cure for autism and does not aim to eradicate autism". But campaigners say there are "enormous" concerns about the research and are warning autistic people not to take part.
The study is led by researchers at the Autism Research Centre (ARC) at the University of Cambridge, the Wellcome Sanger Institute, based near Cambridge, and the University of California Los Angeles (UCLA). But last month's high-profile launch, which included endorsements from celebrities such as autistic naturalist and television presenter Chris Packham, led to a significant backlash and sparked a new autistic-led campaign, Boycott Spectrum 10K.»...
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disabilitynewsservice |
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Pour l'Onu, la France bafoue les droits des personnes handicapees |
16/09/2021 |
«En 2010, la France ratifiait la convention relative aux droits des personnes handicapées. Onze ans plus tard, le Comité des droits des personnes handicapées des Nations Unies pointe les lacunes de l'Etat français qui n'a pas intégré l'approche du handicap fondée sur les droits de l'Homme.
Y compris concernant l'AAH. Le Gouvernement se retrouve de plus en plus isolé. L'Onu vient, elle aussi, de se prononcer en faveur de la déconjugalisation de l'allocation adulte handicapé (AAH). Un nom de plus - et pas n'importe lequel - sur la déjà longue liste des partisans de la suppression de la prise en compte des ressources du conjoint pour le calcul de cette allocation.
Le Comité des droits des personnes handicapées (CDPH) des Nations Unies recommande en effet au gouvernement français de « réformer le règlement de l'AAH afin de séparer le revenu des personnes handicapées de celui de leur conjoint ». Un pavé dans la mare de la secrétaire d'Etat chargée des personnes handicapées qui y est farouchement opposée.
Pour Sophie Cluzel, il faut continuer à prendre en compte les ressources du conjoint pour calculer l'AAH.»
[...]
«18 pages de « sujets de préoccupation »
Cette divergence de vues est loin d’être la seule, concernant la mise en œuvre de la Convention relative aux droits des personnes handicapées. Fin août, le CDPH avait auditionné la délégation française, emmenée par Sophie Cluzel. Ses observations finales, rendues publiques le 14 septembre et dans lesquelles figure la préconisation sur l’AAH, contiennent certes quelques points positifs.
Comme la reconnaissance, il y a deux ans, du droit de vote à toutes les personnes handicapées. Ou bien l’instauration de sanctions, en 2019, en cas de non-respect des obligations de mise en accessibilité numérique. Mais la liste des « sujets de préoccupation » est bien plus fournie. Ils occupent 18 des 20 pages du rapport !
« Mettre fin à l’institutionnalisation »
L’un des plus spectaculaires concerne les établissements. Plus de 150 000 adultes et 20 000 à 30 000 enfants handicapés y résident. Sur le fondement de l’article 19 de la convention qui consacre le droit à vivre de manière indépendante, le CDPH préconise en effet de « mettre fin à l’institutionnalisation ». Y compris dans l’habitat inclusif et dans l’habitat partagé. Or, le Gouvernement souhaite, lui, développer ces « foyers de petites taille » comme les appelle le comité.
« Progresser vers l’éradication » des Ésat et des Ulis
La désinstitutionnalisation doit également concerner les établissements et services d’aide par le travail (Ésat). Le CDPH appelle en effet à leur « éradication ». La divergence est, là aussi, profonde avec le Gouvernement, qui vient d’élaborer un plan d’amélioration des droits de leurs usagers.
« Les classes spéciales séparées dans des écoles ordinaires », les Ulis, sont aussi dans le viseur du comité. « Ce contexte d’éducation ségréguée (…) perpétue la stigmatisation et l’exclusion. »
»...
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faire-face |
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Pour l'Onu, la France bafoue les droits des personnes handicapees |
16/09/2021 |
«En 2010, la France ratifiait la convention relative aux droits des personnes handicapées. Onze ans plus tard, le Comité des droits des personnes handicapées des Nations Unies pointe les lacunes de l'Etat français qui n'a pas intégré l'approche du handicap fondée sur les droits de l'Homme.
Y compris concernant l'AAH. Le Gouvernement se retrouve de plus en plus isolé. L'Onu vient, elle aussi, de se prononcer en faveur de la déconjugalisation de l'allocation adulte handicapé (AAH). Un nom de plus - et pas n'importe lequel - sur la déjà longue liste des partisans de la suppression de la prise en compte des ressources du conjoint pour le calcul de cette allocation.
Le Comité des droits des personnes handicapées (CDPH) des Nations Unies recommande en effet au gouvernement français de « réformer le règlement de l'AAH afin de séparer le revenu des personnes handicapées de celui de leur conjoint ». Un pavé dans la mare de la secrétaire d'Etat chargée des personnes handicapées qui y est farouchement opposée.
Pour Sophie Cluzel, il faut continuer à prendre en compte les ressources du conjoint pour calculer l'AAH.»
[...]
«18 pages de « sujets de préoccupation »
Cette divergence de vues est loin d’être la seule, concernant la mise en œuvre de la Convention relative aux droits des personnes handicapées. Fin août, le CDPH avait auditionné la délégation française, emmenée par Sophie Cluzel. Ses observations finales, rendues publiques le 14 septembre et dans lesquelles figure la préconisation sur l’AAH, contiennent certes quelques points positifs.
Comme la reconnaissance, il y a deux ans, du droit de vote à toutes les personnes handicapées. Ou bien l’instauration de sanctions, en 2019, en cas de non-respect des obligations de mise en accessibilité numérique. Mais la liste des « sujets de préoccupation » est bien plus fournie. Ils occupent 18 des 20 pages du rapport !
« Mettre fin à l’institutionnalisation »
L’un des plus spectaculaires concerne les établissements. Plus de 150 000 adultes et 20 000 à 30 000 enfants handicapés y résident. Sur le fondement de l’article 19 de la convention qui consacre le droit à vivre de manière indépendante, le CDPH préconise en effet de « mettre fin à l’institutionnalisation ». Y compris dans l’habitat inclusif et dans l’habitat partagé. Or, le Gouvernement souhaite, lui, développer ces « foyers de petites taille » comme les appelle le comité.
« Progresser vers l’éradication » des Ésat et des Ulis
La désinstitutionnalisation doit également concerner les établissements et services d’aide par le travail (Ésat). Le CDPH appelle en effet à leur « éradication ». La divergence est, là aussi, profonde avec le Gouvernement, qui vient d’élaborer un plan d’amélioration des droits de leurs usagers.
« Les classes spéciales séparées dans des écoles ordinaires », les Ulis, sont aussi dans le viseur du comité. « Ce contexte d’éducation ségréguée (…) perpétue la stigmatisation et l’exclusion. »
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faire-face |
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Pour l'Onu, la France bafoue les droits des personnes handicapees |
16/09/2021 |
«En 2010, la France ratifiait la convention relative aux droits des personnes handicapées. Onze ans plus tard, le Comité des droits des personnes handicapées des Nations Unies pointe les lacunes de l'Etat français qui n'a pas intégré l'approche du handicap fondée sur les droits de l'Homme.
Y compris concernant l'AAH. Le Gouvernement se retrouve de plus en plus isolé. L'Onu vient, elle aussi, de se prononcer en faveur de la déconjugalisation de l'allocation adulte handicapé (AAH). Un nom de plus - et pas n'importe lequel - sur la déjà longue liste des partisans de la suppression de la prise en compte des ressources du conjoint pour le calcul de cette allocation.
Le Comité des droits des personnes handicapées (CDPH) des Nations Unies recommande en effet au gouvernement français de « réformer le règlement de l'AAH afin de séparer le revenu des personnes handicapées de celui de leur conjoint ». Un pavé dans la mare de la secrétaire d'Etat chargée des personnes handicapées qui y est farouchement opposée.
Pour Sophie Cluzel, il faut continuer à prendre en compte les ressources du conjoint pour calculer l'AAH.»
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«18 pages de « sujets de préoccupation »
Cette divergence de vues est loin d’être la seule, concernant la mise en œuvre de la Convention relative aux droits des personnes handicapées. Fin août, le CDPH avait auditionné la délégation française, emmenée par Sophie Cluzel. Ses observations finales, rendues publiques le 14 septembre et dans lesquelles figure la préconisation sur l’AAH, contiennent certes quelques points positifs.
Comme la reconnaissance, il y a deux ans, du droit de vote à toutes les personnes handicapées. Ou bien l’instauration de sanctions, en 2019, en cas de non-respect des obligations de mise en accessibilité numérique. Mais la liste des « sujets de préoccupation » est bien plus fournie. Ils occupent 18 des 20 pages du rapport !
« Mettre fin à l’institutionnalisation »
L’un des plus spectaculaires concerne les établissements. Plus de 150 000 adultes et 20 000 à 30 000 enfants handicapés y résident. Sur le fondement de l’article 19 de la convention qui consacre le droit à vivre de manière indépendante, le CDPH préconise en effet de « mettre fin à l’institutionnalisation ». Y compris dans l’habitat inclusif et dans l’habitat partagé. Or, le Gouvernement souhaite, lui, développer ces « foyers de petites taille » comme les appelle le comité.
« Progresser vers l’éradication » des Ésat et des Ulis
La désinstitutionnalisation doit également concerner les établissements et services d’aide par le travail (Ésat). Le CDPH appelle en effet à leur « éradication ». La divergence est, là aussi, profonde avec le Gouvernement, qui vient d’élaborer un plan d’amélioration des droits de leurs usagers.
« Les classes spéciales séparées dans des écoles ordinaires », les Ulis, sont aussi dans le viseur du comité. « Ce contexte d’éducation ségréguée (…) perpétue la stigmatisation et l’exclusion. »
»...
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faire-face |
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Pour l'Onu, la France bafoue les droits des personnes handicapees |
16/09/2021 |
«En 2010, la France ratifiait la convention relative aux droits des personnes handicapées. Onze ans plus tard, le Comité des droits des personnes handicapées des Nations Unies pointe les lacunes de l'Etat français qui n'a pas intégré l'approche du handicap fondée sur les droits de l'Homme.
Y compris concernant l'AAH. Le Gouvernement se retrouve de plus en plus isolé. L'Onu vient, elle aussi, de se prononcer en faveur de la déconjugalisation de l'allocation adulte handicapé (AAH). Un nom de plus - et pas n'importe lequel - sur la déjà longue liste des partisans de la suppression de la prise en compte des ressources du conjoint pour le calcul de cette allocation.
Le Comité des droits des personnes handicapées (CDPH) des Nations Unies recommande en effet au gouvernement français de « réformer le règlement de l'AAH afin de séparer le revenu des personnes handicapées de celui de leur conjoint ». Un pavé dans la mare de la secrétaire d'Etat chargée des personnes handicapées qui y est farouchement opposée.
Pour Sophie Cluzel, il faut continuer à prendre en compte les ressources du conjoint pour calculer l'AAH.»
[...]
«18 pages de « sujets de préoccupation »
Cette divergence de vues est loin d’être la seule, concernant la mise en œuvre de la Convention relative aux droits des personnes handicapées. Fin août, le CDPH avait auditionné la délégation française, emmenée par Sophie Cluzel. Ses observations finales, rendues publiques le 14 septembre et dans lesquelles figure la préconisation sur l’AAH, contiennent certes quelques points positifs.
Comme la reconnaissance, il y a deux ans, du droit de vote à toutes les personnes handicapées. Ou bien l’instauration de sanctions, en 2019, en cas de non-respect des obligations de mise en accessibilité numérique. Mais la liste des « sujets de préoccupation » est bien plus fournie. Ils occupent 18 des 20 pages du rapport !
« Mettre fin à l’institutionnalisation »
L’un des plus spectaculaires concerne les établissements. Plus de 150 000 adultes et 20 000 à 30 000 enfants handicapés y résident. Sur le fondement de l’article 19 de la convention qui consacre le droit à vivre de manière indépendante, le CDPH préconise en effet de « mettre fin à l’institutionnalisation ». Y compris dans l’habitat inclusif et dans l’habitat partagé. Or, le Gouvernement souhaite, lui, développer ces « foyers de petites taille » comme les appelle le comité.
« Progresser vers l’éradication » des Ésat et des Ulis
La désinstitutionnalisation doit également concerner les établissements et services d’aide par le travail (Ésat). Le CDPH appelle en effet à leur « éradication ». La divergence est, là aussi, profonde avec le Gouvernement, qui vient d’élaborer un plan d’amélioration des droits de leurs usagers.
« Les classes spéciales séparées dans des écoles ordinaires », les Ulis, sont aussi dans le viseur du comité. « Ce contexte d’éducation ségréguée (…) perpétue la stigmatisation et l’exclusion. »
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Pour l'Onu, la France bafoue les droits des personnes handicapees |
16/09/2021 |
«En 2010, la France ratifiait la convention relative aux droits des personnes handicapées. Onze ans plus tard, le Comité des droits des personnes handicapées des Nations Unies pointe les lacunes de l'Etat français qui n'a pas intégré l'approche du handicap fondée sur les droits de l'Homme.
Y compris concernant l'AAH. Le Gouvernement se retrouve de plus en plus isolé. L'Onu vient, elle aussi, de se prononcer en faveur de la déconjugalisation de l'allocation adulte handicapé (AAH). Un nom de plus - et pas n'importe lequel - sur la déjà longue liste des partisans de la suppression de la prise en compte des ressources du conjoint pour le calcul de cette allocation.
Le Comité des droits des personnes handicapées (CDPH) des Nations Unies recommande en effet au gouvernement français de « réformer le règlement de l'AAH afin de séparer le revenu des personnes handicapées de celui de leur conjoint ». Un pavé dans la mare de la secrétaire d'Etat chargée des personnes handicapées qui y est farouchement opposée.
Pour Sophie Cluzel, il faut continuer à prendre en compte les ressources du conjoint pour calculer l'AAH.»
[...]
«18 pages de « sujets de préoccupation »
Cette divergence de vues est loin d’être la seule, concernant la mise en œuvre de la Convention relative aux droits des personnes handicapées. Fin août, le CDPH avait auditionné la délégation française, emmenée par Sophie Cluzel. Ses observations finales, rendues publiques le 14 septembre et dans lesquelles figure la préconisation sur l’AAH, contiennent certes quelques points positifs.
Comme la reconnaissance, il y a deux ans, du droit de vote à toutes les personnes handicapées. Ou bien l’instauration de sanctions, en 2019, en cas de non-respect des obligations de mise en accessibilité numérique. Mais la liste des « sujets de préoccupation » est bien plus fournie. Ils occupent 18 des 20 pages du rapport !
« Mettre fin à l’institutionnalisation »
L’un des plus spectaculaires concerne les établissements. Plus de 150 000 adultes et 20 000 à 30 000 enfants handicapés y résident. Sur le fondement de l’article 19 de la convention qui consacre le droit à vivre de manière indépendante, le CDPH préconise en effet de « mettre fin à l’institutionnalisation ». Y compris dans l’habitat inclusif et dans l’habitat partagé. Or, le Gouvernement souhaite, lui, développer ces « foyers de petites taille » comme les appelle le comité.
« Progresser vers l’éradication » des Ésat et des Ulis
La désinstitutionnalisation doit également concerner les établissements et services d’aide par le travail (Ésat). Le CDPH appelle en effet à leur « éradication ». La divergence est, là aussi, profonde avec le Gouvernement, qui vient d’élaborer un plan d’amélioration des droits de leurs usagers.
« Les classes spéciales séparées dans des écoles ordinaires », les Ulis, sont aussi dans le viseur du comité. « Ce contexte d’éducation ségréguée (…) perpétue la stigmatisation et l’exclusion. »
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«En 2010, la France ratifiait la convention relative aux droits des personnes handicapées. Onze ans plus tard, le Comité des droits des personnes handicapées des Nations Unies pointe les lacunes de l'Etat français qui n'a pas intégré l'approche du handicap fondée sur les droits de l'Homme.
Y compris concernant l'AAH. Le Gouvernement se retrouve de plus en plus isolé. L'Onu vient, elle aussi, de se prononcer en faveur de la déconjugalisation de l'allocation adulte handicapé (AAH). Un nom de plus - et pas n'importe lequel - sur la déjà longue liste des partisans de la suppression de la prise en compte des ressources du conjoint pour le calcul de cette allocation.
Le Comité des droits des personnes handicapées (CDPH) des Nations Unies recommande en effet au gouvernement français de « réformer le règlement de l'AAH afin de séparer le revenu des personnes handicapées de celui de leur conjoint ». Un pavé dans la mare de la secrétaire d'Etat chargée des personnes handicapées qui y est farouchement opposée.
Pour Sophie Cluzel, il faut continuer à prendre en compte les ressources du conjoint pour calculer l'AAH.»
[...]
«18 pages de « sujets de préoccupation »
Cette divergence de vues est loin d’être la seule, concernant la mise en œuvre de la Convention relative aux droits des personnes handicapées. Fin août, le CDPH avait auditionné la délégation française, emmenée par Sophie Cluzel. Ses observations finales, rendues publiques le 14 septembre et dans lesquelles figure la préconisation sur l’AAH, contiennent certes quelques points positifs.
Comme la reconnaissance, il y a deux ans, du droit de vote à toutes les personnes handicapées. Ou bien l’instauration de sanctions, en 2019, en cas de non-respect des obligations de mise en accessibilité numérique. Mais la liste des « sujets de préoccupation » est bien plus fournie. Ils occupent 18 des 20 pages du rapport !
« Mettre fin à l’institutionnalisation »
L’un des plus spectaculaires concerne les établissements. Plus de 150 000 adultes et 20 000 à 30 000 enfants handicapés y résident. Sur le fondement de l’article 19 de la convention qui consacre le droit à vivre de manière indépendante, le CDPH préconise en effet de « mettre fin à l’institutionnalisation ». Y compris dans l’habitat inclusif et dans l’habitat partagé. Or, le Gouvernement souhaite, lui, développer ces « foyers de petites taille » comme les appelle le comité.
« Progresser vers l’éradication » des Ésat et des Ulis
La désinstitutionnalisation doit également concerner les établissements et services d’aide par le travail (Ésat). Le CDPH appelle en effet à leur « éradication ». La divergence est, là aussi, profonde avec le Gouvernement, qui vient d’élaborer un plan d’amélioration des droits de leurs usagers.
« Les classes spéciales séparées dans des écoles ordinaires », les Ulis, sont aussi dans le viseur du comité. « Ce contexte d’éducation ségréguée (…) perpétue la stigmatisation et l’exclusion. »
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«En 2010, la France ratifiait la convention relative aux droits des personnes handicapées. Onze ans plus tard, le Comité des droits des personnes handicapées des Nations Unies pointe les lacunes de l'Etat français qui n'a pas intégré l'approche du handicap fondée sur les droits de l'Homme.
Y compris concernant l'AAH. Le Gouvernement se retrouve de plus en plus isolé. L'Onu vient, elle aussi, de se prononcer en faveur de la déconjugalisation de l'allocation adulte handicapé (AAH). Un nom de plus - et pas n'importe lequel - sur la déjà longue liste des partisans de la suppression de la prise en compte des ressources du conjoint pour le calcul de cette allocation.
Le Comité des droits des personnes handicapées (CDPH) des Nations Unies recommande en effet au gouvernement français de « réformer le règlement de l'AAH afin de séparer le revenu des personnes handicapées de celui de leur conjoint ». Un pavé dans la mare de la secrétaire d'Etat chargée des personnes handicapées qui y est farouchement opposée.
Pour Sophie Cluzel, il faut continuer à prendre en compte les ressources du conjoint pour calculer l'AAH.»
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«18 pages de « sujets de préoccupation »
Cette divergence de vues est loin d’être la seule, concernant la mise en œuvre de la Convention relative aux droits des personnes handicapées. Fin août, le CDPH avait auditionné la délégation française, emmenée par Sophie Cluzel. Ses observations finales, rendues publiques le 14 septembre et dans lesquelles figure la préconisation sur l’AAH, contiennent certes quelques points positifs.
Comme la reconnaissance, il y a deux ans, du droit de vote à toutes les personnes handicapées. Ou bien l’instauration de sanctions, en 2019, en cas de non-respect des obligations de mise en accessibilité numérique. Mais la liste des « sujets de préoccupation » est bien plus fournie. Ils occupent 18 des 20 pages du rapport !
« Mettre fin à l’institutionnalisation »
L’un des plus spectaculaires concerne les établissements. Plus de 150 000 adultes et 20 000 à 30 000 enfants handicapés y résident. Sur le fondement de l’article 19 de la convention qui consacre le droit à vivre de manière indépendante, le CDPH préconise en effet de « mettre fin à l’institutionnalisation ». Y compris dans l’habitat inclusif et dans l’habitat partagé. Or, le Gouvernement souhaite, lui, développer ces « foyers de petites taille » comme les appelle le comité.
« Progresser vers l’éradication » des Ésat et des Ulis
La désinstitutionnalisation doit également concerner les établissements et services d’aide par le travail (Ésat). Le CDPH appelle en effet à leur « éradication ». La divergence est, là aussi, profonde avec le Gouvernement, qui vient d’élaborer un plan d’amélioration des droits de leurs usagers.
« Les classes spéciales séparées dans des écoles ordinaires », les Ulis, sont aussi dans le viseur du comité. « Ce contexte d’éducation ségréguée (…) perpétue la stigmatisation et l’exclusion. »
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«En 2010, la France ratifiait la convention relative aux droits des personnes handicapées. Onze ans plus tard, le Comité des droits des personnes handicapées des Nations Unies pointe les lacunes de l'Etat français qui n'a pas intégré l'approche du handicap fondée sur les droits de l'Homme.
Y compris concernant l'AAH. Le Gouvernement se retrouve de plus en plus isolé. L'Onu vient, elle aussi, de se prononcer en faveur de la déconjugalisation de l'allocation adulte handicapé (AAH). Un nom de plus - et pas n'importe lequel - sur la déjà longue liste des partisans de la suppression de la prise en compte des ressources du conjoint pour le calcul de cette allocation.
Le Comité des droits des personnes handicapées (CDPH) des Nations Unies recommande en effet au gouvernement français de « réformer le règlement de l'AAH afin de séparer le revenu des personnes handicapées de celui de leur conjoint ». Un pavé dans la mare de la secrétaire d'Etat chargée des personnes handicapées qui y est farouchement opposée.
Pour Sophie Cluzel, il faut continuer à prendre en compte les ressources du conjoint pour calculer l'AAH.»
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«18 pages de « sujets de préoccupation »
Cette divergence de vues est loin d’être la seule, concernant la mise en œuvre de la Convention relative aux droits des personnes handicapées. Fin août, le CDPH avait auditionné la délégation française, emmenée par Sophie Cluzel. Ses observations finales, rendues publiques le 14 septembre et dans lesquelles figure la préconisation sur l’AAH, contiennent certes quelques points positifs.
Comme la reconnaissance, il y a deux ans, du droit de vote à toutes les personnes handicapées. Ou bien l’instauration de sanctions, en 2019, en cas de non-respect des obligations de mise en accessibilité numérique. Mais la liste des « sujets de préoccupation » est bien plus fournie. Ils occupent 18 des 20 pages du rapport !
« Mettre fin à l’institutionnalisation »
L’un des plus spectaculaires concerne les établissements. Plus de 150 000 adultes et 20 000 à 30 000 enfants handicapés y résident. Sur le fondement de l’article 19 de la convention qui consacre le droit à vivre de manière indépendante, le CDPH préconise en effet de « mettre fin à l’institutionnalisation ». Y compris dans l’habitat inclusif et dans l’habitat partagé. Or, le Gouvernement souhaite, lui, développer ces « foyers de petites taille » comme les appelle le comité.
« Progresser vers l’éradication » des Ésat et des Ulis
La désinstitutionnalisation doit également concerner les établissements et services d’aide par le travail (Ésat). Le CDPH appelle en effet à leur « éradication ». La divergence est, là aussi, profonde avec le Gouvernement, qui vient d’élaborer un plan d’amélioration des droits de leurs usagers.
« Les classes spéciales séparées dans des écoles ordinaires », les Ulis, sont aussi dans le viseur du comité. « Ce contexte d’éducation ségréguée (…) perpétue la stigmatisation et l’exclusion. »
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«En 2010, la France ratifiait la convention relative aux droits des personnes handicapées. Onze ans plus tard, le Comité des droits des personnes handicapées des Nations Unies pointe les lacunes de l'Etat français qui n'a pas intégré l'approche du handicap fondée sur les droits de l'Homme.
Y compris concernant l'AAH. Le Gouvernement se retrouve de plus en plus isolé. L'Onu vient, elle aussi, de se prononcer en faveur de la déconjugalisation de l'allocation adulte handicapé (AAH). Un nom de plus - et pas n'importe lequel - sur la déjà longue liste des partisans de la suppression de la prise en compte des ressources du conjoint pour le calcul de cette allocation.
Le Comité des droits des personnes handicapées (CDPH) des Nations Unies recommande en effet au gouvernement français de « réformer le règlement de l'AAH afin de séparer le revenu des personnes handicapées de celui de leur conjoint ». Un pavé dans la mare de la secrétaire d'Etat chargée des personnes handicapées qui y est farouchement opposée.
Pour Sophie Cluzel, il faut continuer à prendre en compte les ressources du conjoint pour calculer l'AAH.»
[...]
«18 pages de « sujets de préoccupation »
Cette divergence de vues est loin d’être la seule, concernant la mise en œuvre de la Convention relative aux droits des personnes handicapées. Fin août, le CDPH avait auditionné la délégation française, emmenée par Sophie Cluzel. Ses observations finales, rendues publiques le 14 septembre et dans lesquelles figure la préconisation sur l’AAH, contiennent certes quelques points positifs.
Comme la reconnaissance, il y a deux ans, du droit de vote à toutes les personnes handicapées. Ou bien l’instauration de sanctions, en 2019, en cas de non-respect des obligations de mise en accessibilité numérique. Mais la liste des « sujets de préoccupation » est bien plus fournie. Ils occupent 18 des 20 pages du rapport !
« Mettre fin à l’institutionnalisation »
L’un des plus spectaculaires concerne les établissements. Plus de 150 000 adultes et 20 000 à 30 000 enfants handicapés y résident. Sur le fondement de l’article 19 de la convention qui consacre le droit à vivre de manière indépendante, le CDPH préconise en effet de « mettre fin à l’institutionnalisation ». Y compris dans l’habitat inclusif et dans l’habitat partagé. Or, le Gouvernement souhaite, lui, développer ces « foyers de petites taille » comme les appelle le comité.
« Progresser vers l’éradication » des Ésat et des Ulis
La désinstitutionnalisation doit également concerner les établissements et services d’aide par le travail (Ésat). Le CDPH appelle en effet à leur « éradication ». La divergence est, là aussi, profonde avec le Gouvernement, qui vient d’élaborer un plan d’amélioration des droits de leurs usagers.
« Les classes spéciales séparées dans des écoles ordinaires », les Ulis, sont aussi dans le viseur du comité. « Ce contexte d’éducation ségréguée (…) perpétue la stigmatisation et l’exclusion. »
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Pour l'Onu, la France bafoue les droits des personnes handicapees |
16/09/2021 |
«En 2010, la France ratifiait la convention relative aux droits des personnes handicapées. Onze ans plus tard, le Comité des droits des personnes handicapées des Nations Unies pointe les lacunes de l'Etat français qui n'a pas intégré l'approche du handicap fondée sur les droits de l'Homme.
Y compris concernant l'AAH. Le Gouvernement se retrouve de plus en plus isolé. L'Onu vient, elle aussi, de se prononcer en faveur de la déconjugalisation de l'allocation adulte handicapé (AAH). Un nom de plus - et pas n'importe lequel - sur la déjà longue liste des partisans de la suppression de la prise en compte des ressources du conjoint pour le calcul de cette allocation.
Le Comité des droits des personnes handicapées (CDPH) des Nations Unies recommande en effet au gouvernement français de « réformer le règlement de l'AAH afin de séparer le revenu des personnes handicapées de celui de leur conjoint ». Un pavé dans la mare de la secrétaire d'Etat chargée des personnes handicapées qui y est farouchement opposée.
Pour Sophie Cluzel, il faut continuer à prendre en compte les ressources du conjoint pour calculer l'AAH.»
[...]
«18 pages de « sujets de préoccupation »
Cette divergence de vues est loin d’être la seule, concernant la mise en œuvre de la Convention relative aux droits des personnes handicapées. Fin août, le CDPH avait auditionné la délégation française, emmenée par Sophie Cluzel. Ses observations finales, rendues publiques le 14 septembre et dans lesquelles figure la préconisation sur l’AAH, contiennent certes quelques points positifs.
Comme la reconnaissance, il y a deux ans, du droit de vote à toutes les personnes handicapées. Ou bien l’instauration de sanctions, en 2019, en cas de non-respect des obligations de mise en accessibilité numérique. Mais la liste des « sujets de préoccupation » est bien plus fournie. Ils occupent 18 des 20 pages du rapport !
« Mettre fin à l’institutionnalisation »
L’un des plus spectaculaires concerne les établissements. Plus de 150 000 adultes et 20 000 à 30 000 enfants handicapés y résident. Sur le fondement de l’article 19 de la convention qui consacre le droit à vivre de manière indépendante, le CDPH préconise en effet de « mettre fin à l’institutionnalisation ». Y compris dans l’habitat inclusif et dans l’habitat partagé. Or, le Gouvernement souhaite, lui, développer ces « foyers de petites taille » comme les appelle le comité.
« Progresser vers l’éradication » des Ésat et des Ulis
La désinstitutionnalisation doit également concerner les établissements et services d’aide par le travail (Ésat). Le CDPH appelle en effet à leur « éradication ». La divergence est, là aussi, profonde avec le Gouvernement, qui vient d’élaborer un plan d’amélioration des droits de leurs usagers.
« Les classes spéciales séparées dans des écoles ordinaires », les Ulis, sont aussi dans le viseur du comité. « Ce contexte d’éducation ségréguée (…) perpétue la stigmatisation et l’exclusion. »
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faire-face |
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Tutelle : qui donne le consentement pour les soins? |
13/09/2021 |
«Tutelle, curatelle...¦ qui donne le consentement pour les soins médicaux d'un majeur protégé ? C'est à cette question que répondent deux nouvelles fiches conseil mises en ligne en 2021 (en lien ci-dessous) par HandiConnect.fr.
Porté par l'association Co Actis santé, ce site-ressource aide les professionnels de santé dans leur pratique quotidienne auprès de patients en situation de handicap. L'article 459 du Code civil indique que le droit commun s'applique aussi dans le domaine de la santé pour une personne majeure protégée.
Son consentement, même sous tutelle, doit donc être systématiquement recherché par le professionnel de santé, si elle est « apte à exprimer sa volonté et à participer à la décision ». Ce qui sous-entend que le patient est aussi en droit de refuser des soins de manière autonome.
Une information adaptée à ses facultés de discernement doit, pour ce faire, lui être donnée. Mais encore faut-il que le praticien soit au courant des particularités des régimes juridiques de ses patients… Des infos concrètes Ces deux nouvelles fiches (en lien ci-dessous) entendent ainsi les « guider dans la recherche du consentement nécessaire avant la réalisation de tout acte auprès de leurs patients protégés ». Elles détaillent les différentes mesures de protection juridique (c'est-à-dire, par ordre croissant de protection : sauvegarde de justice, habilitation familiale, curatelle ou tutelle) et comment s'appuyer sur l'accompagnant (proche-aidant, aidant professionnel ou personne de confiance) pour obtenir le consentement du majeur s'il a des difficultés ou ne peut pas s'exprimer.
Différents formulaires, notamment à destination du tuteur ou du curateur pour donner l'autorisation d'opérer, sont également mis à disposition.»
[...]
«La recherche du consentement
L'article 459 du Code civil indique que le droit commun s'applique aussi dans le domaine de la santé pour une personne majeure protégée. Son consentement, même sous tutelle, doit donc être systématiquement recherché par le professionnel de santé, si elle est « apte à exprimer sa volonté et à participer à la décision ». Ce qui sous-entend que le patient est aussi en droit de refuser des soins de manière autonome. Une information adaptée à ses facultés de discernement doit, pour ce faire, lui être donnée. Mais encore faut-il que le praticien soit au courant des particularités des régimes juridiques de ses patients…
Des infos concrètes
Ces deux nouvelles fiches (en lien ci-dessous) entendent ainsi les « guider dans la recherche du consentement nécessaire avant la réalisation de tout acte auprès de leurs patients protégés ». Elles détaillent les différentes mesures de protection juridique (c'est-à-dire, par ordre croissant de protection : sauvegarde de justice, habilitation familiale, curatelle ou tutelle) et comment s'appuyer sur l'accompagnant (proche-aidant, aidant professionnel ou personne de confiance) pour obtenir le consentement du majeur s'il a des difficultés ou ne peut pas s'exprimer. Différents formulaires, notamment à destination du tuteur ou du curateur pour donner l'autorisation d'opérer, sont également mis à disposition.
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informations.handicap |
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Tutelle : qui donne le consentement pour les soins? |
13/09/2021 |
«Tutelle, curatelle...¦ qui donne le consentement pour les soins médicaux d'un majeur protégé ? C'est à cette question que répondent deux nouvelles fiches conseil mises en ligne en 2021 (en lien ci-dessous) par HandiConnect.fr.
Porté par l'association Co Actis santé, ce site-ressource aide les professionnels de santé dans leur pratique quotidienne auprès de patients en situation de handicap. L'article 459 du Code civil indique que le droit commun s'applique aussi dans le domaine de la santé pour une personne majeure protégée.
Son consentement, même sous tutelle, doit donc être systématiquement recherché par le professionnel de santé, si elle est « apte à exprimer sa volonté et à participer à la décision ». Ce qui sous-entend que le patient est aussi en droit de refuser des soins de manière autonome.
Une information adaptée à ses facultés de discernement doit, pour ce faire, lui être donnée. Mais encore faut-il que le praticien soit au courant des particularités des régimes juridiques de ses patients… Des infos concrètes Ces deux nouvelles fiches (en lien ci-dessous) entendent ainsi les « guider dans la recherche du consentement nécessaire avant la réalisation de tout acte auprès de leurs patients protégés ». Elles détaillent les différentes mesures de protection juridique (c'est-à-dire, par ordre croissant de protection : sauvegarde de justice, habilitation familiale, curatelle ou tutelle) et comment s'appuyer sur l'accompagnant (proche-aidant, aidant professionnel ou personne de confiance) pour obtenir le consentement du majeur s'il a des difficultés ou ne peut pas s'exprimer.
Différents formulaires, notamment à destination du tuteur ou du curateur pour donner l'autorisation d'opérer, sont également mis à disposition.»
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«La recherche du consentement
L'article 459 du Code civil indique que le droit commun s'applique aussi dans le domaine de la santé pour une personne majeure protégée. Son consentement, même sous tutelle, doit donc être systématiquement recherché par le professionnel de santé, si elle est « apte à exprimer sa volonté et à participer à la décision ». Ce qui sous-entend que le patient est aussi en droit de refuser des soins de manière autonome. Une information adaptée à ses facultés de discernement doit, pour ce faire, lui être donnée. Mais encore faut-il que le praticien soit au courant des particularités des régimes juridiques de ses patients…
Des infos concrètes
Ces deux nouvelles fiches (en lien ci-dessous) entendent ainsi les « guider dans la recherche du consentement nécessaire avant la réalisation de tout acte auprès de leurs patients protégés ». Elles détaillent les différentes mesures de protection juridique (c'est-à-dire, par ordre croissant de protection : sauvegarde de justice, habilitation familiale, curatelle ou tutelle) et comment s'appuyer sur l'accompagnant (proche-aidant, aidant professionnel ou personne de confiance) pour obtenir le consentement du majeur s'il a des difficultés ou ne peut pas s'exprimer. Différents formulaires, notamment à destination du tuteur ou du curateur pour donner l'autorisation d'opérer, sont également mis à disposition.
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informations.handicap |
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Machine learning to analyze single-case graphs: A comparison to visual inspection - Lanovaz - - Journal of Applied Behavior Analysis - Wiley Online Library |
10/09/2021 |
«Abstract Behavior analysts commonly use visual inspection to analyze single-case graphs, but studies on its reliability have produced mixed results. To examine this issue, we compared the Type I error rate and power of visual inspection with a novel approach...”machine learning.
Five expert visual raters analyzed 1,024 simulated AB graphs, which differed on number of points per phase, autocorrelation, trend, variability, and effect size. The ratings were compared to those obtained by the conservative dual-criteria method and two models derived from machine learning.
On average, visual raters agreed with each other on only 75% of graphs. In contrast, both models derived from machine learning showed the best balance between Type I error rate and power while producing more consistent results across different graph characteristics.
The results suggest that machine learning may support researchers and practitioners in making fewer errors when analyzing single-case graphs, but replications remain necessary.»...
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onlinelibrary.wiley |
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Violences sexuelles : le medico-social handicap doit agir! |
06/09/2021 |
«Contraceptions imposées, stérilisations non consenties, absence de suivi gynécologique, freins au droit à une vie amoureuse, à celui d'être parent. Mais aussi violences sexuelles ou gynécologiques, menaces, comportements outrageants, emprise psychologique...¦ Dans une circulaire du 5 juillet (N° DGCS2021147), mise en ligne le 31 aout 2021 (en lien ci-dessous), et signée par Sophie Cluzel, secrétaire d'Etat au Handicap, le gouvernement adresse une longue piqure de rappel.
Pas moins de sept pages, à « tous » les professionnels et directions des établissements médico-sociaux relevant du champ du handicap -elle ne concerne pas les personnes âgées en Ehpad- !»
[...]
«Enfin, cette circulaire accorde une large place à la lutte contre les violences, sexuelles ou pas, qui peuvent aussi se manifester par des comportements outrageants, par exemple montrer des revues ou des films à caractère pornographique sans le consentement du résident. Comment l'établissement est-il tenu de réagir lorsqu'une personne en est victime ? La procédure doit être facilement portée à la connaissance de cette dernière, en l'aiguillant vers les démarches judiciaires éventuelles, via des documents « accessibles » (en FALC, pictogrammes, braille…), affichés dans l'établissement (à la bonne hauteur pour les enfants).
Le texte appelle par ailleurs à une « vigilance toute particulière concernant les recrutements des professionnels en ayant recours à la consultation du fichier judiciaire automatisé des auteurs d'infractions sexuelles et violentes (FIJAIS) ». « Si elle embauche un violeur, la direction n'est jamais mise en cause », déplore Marie Ratabel. C'est pourtant aux directions « d'assurer le suivi des signalements » et de prendre toutes les mesures vis-à-vis de l'auteur de violences (pro, famille, résident…) », précise la circulaire faisant écho au code pénal qui stipule que « face à de tels agissements, les professionnels de la structure et l'équipe dirigeante sont dans l'obligation d'alerter et de signaler les violences sexuelles », au risque d'écoper de 45 000 euros d'amende et de trois ans de prison. Ce texte va permettre de « rappeler les établissements à leurs devoirs et les mettre face à leurs responsabilités, y compris pénales », conclut Marie Rabatel qui déplore que cette impunité institutionnelle continue de faire de nombreuses victimes aujourd'hui en France.
»...
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informations.handicap |
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Drummer jokes got it wrong: Why drummers are smarter, healthier, and live longer lives | |
30/08/2021 |
«Despite having never been in a band or actually showing any real aptitude for playing the drums, I've always in some small way identified as a drummer. I got my first drum set when I was 16, with heavy metal dreams and a touch of teenage angst.
Thirty years on, I have a digital kit, and I take lessons periodically. I may not be able to play (well), but I still love the drums. So I was saddened by the passing of Rolling Stones drummer Charlie Watts.
Watts played with the world's biggest rock band for a staggering 58 years and was happily married for 57 until his death at 80; beyond his musical talent, Watts was remarkable for being impervious to the rock-n-roll debauchery that defined his bandmates.
He met celebrity with indifference. "Playing the drums," he said, "was all I was interested in. The rest made me cringe."»
[...]
« Researchers at multiple UK universities found that rock drumming for one hour per week improves how children with additional educational needs; their study specifically focused on children with autism, and suggested that drumming for an hour a week helped them perform better in school, particularly by helping them improve their dexterity, rhythm, and timing.
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salon |
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Study compares expressive and receptive language abilities of Russian children with ASD |
29/08/2021 |
«Researchers from the HSE Centre for Language and Brain and their Russian and American colleagues have become the first to compare expressive and receptive language abilities of Russian children with Autism Spectrum Disorder (ASD) at different linguistic levels.
Their work helped them refute the hypothesis that children with ASD understand spoken language less well than they produce it. The study was published in Research in Developmental Disabilities.»...
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news-medical |
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HCDH | La France n'a pas encore integre l'approche du handicap fondee sur les droits de l'homme, regrette le Comite des droits des personnes handicapees |
23/08/2021 |
«Les mesures prises par la France ne traduisent pas le modèle du handicap basé sur les droits de l'homme qui est défendu par la Convention relative aux droits des personnes handicapées.
D'autres stratégies françaises liées au handicap, telle que la feuille de route de 2018 pour la santé mentale et la psychiatrie, se réfèrent encore au modèle médical du handicap, alors qu'il est reconnu comme étant discriminatoire, a regretté un membre du Comité des droits des personnes handicapées lors de l'examen du rapport initial de la France, qui se tenait depuis la semaine dernière et a pris fin cet après-midi.
Cet expert - M. Jonas Ruskus, qui faisait office de rapporteur du Comité pour l'examen du rapport de la France - s'est dit déçu par les niveaux de discrimination structurelle à l'encontre des personnes en situation de handicap en France et a jugé très préoccupant que la France n'ait pas pour objectif de mettre fin à l'institutionnalisation de personnes handicapées, y compris d'enfants.
Egalement très préoccupants sont les dispositifs d'hospitalisation et de traitement sous contrainte basés sur la pathologisation du comportement, a-t-il ajouté. Il a espéré que la France passerait au modèle du handicap basé sur les droits de l'homme.
Pendant le débat avec la délégation française - qui était conduite par Mme Sophie Cluzel, Secrétaire d'Etat chargée des personnes handicapées auprès du Premier Ministre - les experts du Comité ont aussi soulevé la question du transfert en Belgique, à des fins de traitement, d'enfants et d'adultes atteints du syndrome de Down.
A cet égard, Mme Cluzel a indiqué que le Gouvernement créerait des solutions d'accueil pour stopper les départs non consentis de Français en situation de handicap vers la Belgique, intolérables pour un pays comme la France.»...
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ohchr |
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Pourquoi l'odeur des bebes peut accroitre l'agressivite chez les femmes mais la diminuer chez les hommes | Results In Brief | CORDIS | European Commission |
13/08/2021 |
«Tous les mammifères terrestres utilisent des molécules en suspension pour communiquer, par le biais de sécrétions comme l'odeur corporelle. Ces odeurs contiennent d'importantes informations sur le comportement, la santé, le statut de reproduction, et bien d'autres.
Le projet SocioSmell, financé par l'UE, entendait examiner ce phénomène chez les humains. «Pour différentes raisons, ce comportement est largement négligé chez les humains», explique Noam Sobel, coordinateur du projet.
«Nous, les humains, nous n'abordons pas les étrangers en les reniflant. Cela ne fait pas partie d'un comportement approprié.» L'objectif du projet SocioSmell consistait à lever le voile sur le rôle joué par la signalisation sociochimique dans le comportement humain, la santé et la maladie, et à comprendre les molécules et les mécanismes cérébraux impliqué Il a émis l’hypothèse que la signalisation sociochimique pourrait être altérée lors d’un dysfonctionnement du comportement social.
Dans une expérience ultérieure, des adultes normalement développés et des adultes atteints d’un trouble du spectre autistique (TSA) ont été exposés à «l’odeur de la peur», dans ce cas, l’odeur corporelle recueillie auprès de parachutistes.»
[...]
«Dans un premier résultat, Noam Sobel et son équipe de l’Institut Weizmann des sciences ont constaté que les humains sentent subrepticement leur main après une poignée de main échangée avec un étranger. «Les humains se frottent et se touchent tout le temps le visage. Il est presque impossible d’arrêter de le faire», ajoute Noam Sobel. «Cela montre que nous échangeons constamment ce type d’informations.»
Il a émis l’hypothèse que la signalisation sociochimique pourrait être altérée lors d’un dysfonctionnement du comportement social. Dans une expérience ultérieure, des adultes normalement développés et des adultes atteints d’un trouble du spectre autistique (TSA) ont été exposés à «l’odeur de la peur», dans ce cas, l’odeur corporelle recueillie auprès de parachutistes.
«La réaction typique est une augmentation de la stimulation autosomique — la peur est contagieuse», explique Noam Sobel. «Mais nous avons constaté une réponse physiologique et psychologique très différente chez les adultes atteints de TSA.» La recherche avance qu’une partie du dysfonctionnement social vécue par les adultes atteints de TSA pourrait être causée par des changements dans la manière dont les signaux sociochimiques sont reçus ou traités dans le cerveau.
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cordis.europa |
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Allocation journaliere presence parentale: pas assez connue! |
30/07/2021 |
«L'Allocation journalière de présence parentale (AJPP) est-elle suffisamment connue et réclamée par ceux qui peuvent y prétendre ? Non, répond le député du Nord, Paul Christophe (Agir ensemble). Il a mené son enquête, rendant ses conclusions le 21 juillet 2021. L'AJPP, c'est quoi ? Rappelons que certains parents d'enfant de moins de 20 ans en situation de handicap, malade ou victime d'un accident d'une particulière gravité, rendant indispensables une présence soutenue et des soins contraignants, peuvent prendre un Congé de présence parentale (CPP) de trois ans pour s'en occuper et ainsi être indemnisés par l'AJPP (pour tout savoir en détail, consulter la page service-public.fr en lien ci-dessous) Trop peu sollicitée En attendant, Paul Christophe rend ses conclusions.
L'AJPP reste méconnue puisque seules 10 000 familles la sollicitent chaque année. Même si ce nombre est en constante progression (+ 6 % en 2019), cela ne suffit pas. Son rapport observe que « l'information serait très inégale selon les départements ou les établissements hospitaliers, nuisant ainsi, considérablement, à son effectivité ». Selon lui, il « reste beaucoup à faire en la matière » car « les personnes censées renseigner les familles, en l'occurrence des assistants sociaux, ne sont pas toujours au courant de son existence » ! Près de la moitié des familles déclarent s'être informées essentiellement par elles-mêmes, sans doute via Internet (notamment le site de la Caf).»
[...]
«L'AJPP s'élève actuellement à 52 euros par jour pour une personne seule et 44 euros pour celles en couple. Mais cette allocation est actuellement limitée à 310 jours, ce qui signifie que ceux qui auraient besoin de prendre ce congé à temps plein pourraient avoir épuisé leurs droits au bout de 14 mois. En novembre 2020, l'Assemblée a voté à l'unanimité une proposition de loi qui prévoit de doubler sa durée pour la faire passer de 310 à 620 jours sur une période de trois ans (article complet en lien ci-dessous). Mais elle doit encore être votée par le Sénat, qui tarde à l'inscrire à l'ordre du jour. Pour faire bouger les lignes, une pétition a été lancée ( Trop peu sollicitée
En attendant, Paul Christophe rend ses conclusions. L'AJPP reste méconnue puisque seules 10 000 familles la sollicitent chaque année. Même si ce nombre est en constante progression (+ 6 % en 2019), cela ne suffit pas. Son rapport observe que « l'information serait très inégale selon les départements ou les établissements hospitaliers, nuisant ainsi, considérablement, à son effectivité ». Selon lui, il « reste beaucoup à faire en la matière » car « les personnes censées renseigner les familles, en l'occurrence des assistants sociaux, ne sont pas toujours au courant de son existence » ! Près de la moitié des familles déclarent s'être informées essentiellement par elles-mêmes, sans doute via Internet (notamment le site de la Caf).
Des propositions concrètes
Le député fait donc plusieurs propositions pour en faciliter l'attribution et permettre aux foyers concernés de « maintenir leur activité professionnelle afin de préserver leur niveau de vie ». Il propose de renforcer la démarche proactive des acteurs, notamment via les assistants sociaux des hôpitaux, pour « contacter et accompagner directement les familles dont un enfant (…) serait hospitalisé ou diagnostiqué ». Il encourage également la promotion de ce dispositif par les organismes en charge de son versement (CAF et MSA) via, par exemple, une brochure dédiée, mise à disposition dans les salles d'attente.
Des délais trop longs
En cause, par ailleurs, les délais de traitement des dossiers. La loi octroie trois mois pour apporter une réponse, alors qu'il s'agit de situations d'une « grande gravité ». Dans les faits, ces délais sont en général raccourcis -20 jours en moyenne selon la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF)- mais restent « trop longs pour certaines familles précaires, souvent monoparentales », explique le rapport. Selon un sondage réalisé par le collectif Grandir sans cancer auprès de 277 familles, seules 17 % déclarent avoir perçu l'AJPP dans un délai d'un mois, 61 % d'un à trois mois et 22 % de trois mois.
Une déclaration « d'un autre âge »
Enfin, l'objectif est également de simplifier les démarches. En effet, pour le moment, une attestation doit être remplie chaque mois soit par le demandeur de l'AJPP (en cas de chômage), soit par l'employeur pour les salariés et adressée à sa caisse de référence… par courrier ! Une procédure « d'un autre âge », selon Adrien Taquet, secrétaire d'Etat en charge de l'Enfance. Selon la CNAF, les délais de traitement de l'AJPP sont souvent dus au retard de transmission de cette attestation. Le rapport réclame donc, en « priorité », la « dématérialisation et l'automatisation de la transmission mensuelle des données ». Pour les salariés, l'utilisation du Dispositif de ressources mutualisées (DRM), qui contient un ensemble d'informations relatives aux salaires, pourrait permettre de récupérer ces données à la source et accélérer le versement de l'AJPP. En novembre 2020, Adrien Taquet affirmait que cette évolution devait intervenir « dans les tout prochains mois ». Sept mois plus tard, elle n'est toujours pas effective.
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Source: http://informations.handicap.fr | Source Status
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informations.handicap |
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** Early life exposure to antibiotics could alter brain development |
15/07/2021 |
«Antibiotic exposure early in life could alter human brain development in areas responsible for cognitive and emotional functions, according to a Rutgers researcher. The laboratory study, published in the journal iScience, suggests that penicillin changes the microbiome - the trillions of beneficial microorganisms that live in and on our bodies - as well as gene expression, which allows cells to respond to its changing environment, in key areas of the developing brain.
The findings suggest reducing widespread antibiotic use or using alternatives when possible to prevent neurodevelopment problems.»
[...]
«Penicillin and related medicines (like ampicillin and amoxicillin) are the most widely used antibiotics in children worldwide. In the United States, the average child receives nearly three courses of antibiotics before the age of 2. Similar or greater exposure rates occur in many other countries. "Our previous work has shown that exposing young animals to antibiotics changes their metabolism and immunity. The third important development in early life involves the brain. This study is preliminary but shows a correlation between altering the microbiome and changes in the brain that should be further explored," said lead author Martin Blaser, director of the Center for Advanced Biotechnology and Medicine at Rutgers.
The study compared mice that were exposed to low-dose penicillin in utero or immediately after birth to those that were not exposed. They found that mice given penicillin experienced substantial changes in their intestinal microbiota and had altered gene expression in the frontal cortex and amygdala, two key areas in the brain responsible for the development of memory as well as fear and stress responses.
A growing body of evidence links phenomena in the intestinal tract with signaling to the brain, a field of study known as the "gut-brain-axis." If this pathway is disturbed, it can lead to permanent altering of the brain's structure and function and possibly lead to neuropsychiatric or neurodegenerative disorders in later childhood or adulthood.
Early life is a critical period for neurodevelopment. In recent decades, there has been a rise in the incidence of childhood neurodevelopmental disorders, including autism spectrum disorder, attention deficit/hyperactivity disorder and learning disabilities. Although increased awareness and diagnosis are likely contributing factors, disruptions in cerebral gene expression early in development also could be responsible."
Martin Blaser, Director of the Center for Advanced Biotechnology and Medicine at Rutgers
Future studies are needed to determine whether antibiotics directly effect brain development or if molecules from the microbiome that travel to the brain disturb gene activity and cause cognitive deficits.
The study was conducted along with Zhan Gao at Rutgers and Blaser's former graduate student Anjelique Schulfer, as well as Angelina Volkova, Kelly Ruggles and Stephen Ginsberg at New York University, who all played important roles in this joint Rutgers–New York University project.
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news-medical |
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** Early life exposure to antibiotics could alter brain development |
15/07/2021 |
«Antibiotic exposure early in life could alter human brain development in areas responsible for cognitive and emotional functions, according to a Rutgers researcher. The laboratory study, published in the journal iScience, suggests that penicillin changes the microbiome - the trillions of beneficial microorganisms that live in and on our bodies - as well as gene expression, which allows cells to respond to its changing environment, in key areas of the developing brain.
The findings suggest reducing widespread antibiotic use or using alternatives when possible to prevent neurodevelopment problems.»
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«Penicillin and related medicines (like ampicillin and amoxicillin) are the most widely used antibiotics in children worldwide. In the United States, the average child receives nearly three courses of antibiotics before the age of 2. Similar or greater exposure rates occur in many other countries. "Our previous work has shown that exposing young animals to antibiotics changes their metabolism and immunity. The third important development in early life involves the brain. This study is preliminary but shows a correlation between altering the microbiome and changes in the brain that should be further explored," said lead author Martin Blaser, director of the Center for Advanced Biotechnology and Medicine at Rutgers.
The study compared mice that were exposed to low-dose penicillin in utero or immediately after birth to those that were not exposed. They found that mice given penicillin experienced substantial changes in their intestinal microbiota and had altered gene expression in the frontal cortex and amygdala, two key areas in the brain responsible for the development of memory as well as fear and stress responses.
A growing body of evidence links phenomena in the intestinal tract with signaling to the brain, a field of study known as the "gut-brain-axis." If this pathway is disturbed, it can lead to permanent altering of the brain's structure and function and possibly lead to neuropsychiatric or neurodegenerative disorders in later childhood or adulthood.
Early life is a critical period for neurodevelopment. In recent decades, there has been a rise in the incidence of childhood neurodevelopmental disorders, including autism spectrum disorder, attention deficit/hyperactivity disorder and learning disabilities. Although increased awareness and diagnosis are likely contributing factors, disruptions in cerebral gene expression early in development also could be responsible."
Martin Blaser, Director of the Center for Advanced Biotechnology and Medicine at Rutgers
Future studies are needed to determine whether antibiotics directly effect brain development or if molecules from the microbiome that travel to the brain disturb gene activity and cause cognitive deficits.
The study was conducted along with Zhan Gao at Rutgers and Blaser's former graduate student Anjelique Schulfer, as well as Angelina Volkova, Kelly Ruggles and Stephen Ginsberg at New York University, who all played important roles in this joint Rutgers–New York University project.
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news-medical |
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L'AEEH et son complement ne revetent pas de caractere indemnitaire - Contrat et obligations | Dalloz Actualite |
16/06/2021 |
«L'AEEH et son complément ne revêtent pas de caractère indemnitaire SOCIAL CIVIL | Contrat et obligations | Famille - Personne Par un arrêt du 2 juin 2021, la première chambre civile de la Cour de cassation rallie la position de sa deuxième chambre civile et confirme ainsi que l'allocation d'éducation de l'enfant handicapé (AEEH) et son complément ne revêtent pas de caractère indemnitaire.»...
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dalloz-actualite |
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TDAH : un nouveau medicament autorise aux Etats-Unis |
01/06/2021 |
«La Food and Drug Administration, organisme réglementaire des Etats-Unis, a autorisé la viloxazine, molécule commercialisée sous le nom de Qelbree, comme médicament non psychostimulant à action prolongée destiné aux jeunes de 6 à 17 ans.
Cette annonce est la bienvenue, puisque aucune nouvelle molécule pour le trouble du déficit de l'attention avec hyperactivité (TDAH) n'avait été mise en marché depuis 10 ans.
« C'est positif d'avoir un médicament additionnel, car il y a toujours des jeunes qui ne répondent pas bien aux autres traitements », dit Evangelia Lila Amirali, médecin spécialisée en psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent au CHU Sainte-Justine.
Le fait que ce nouveau médicament soit, pour l'heure, uniquement autorisé aux Etats-Unis ne l'inquiète pas. « Beaucoup de médicaments, pas seulement pour le TDAH, sont approuvés aux Etats-Unis avant de l'être ici, étant donné que le processus d'approbation est différent », mentionne la Dre Amirali.»...
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lactualite |
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AUTISME : le ministere de la sante sonne le glas de l'approche psychanalytique des troubles du spectre autistique (TSA) - Blog ACCENS |
13/05/2021 |
«AU JO du 4 avril 2021 a été publié l'arrêté du 10 mars 2021 relatif à la définition de l'expertise spécifique des psychologues mentionnée à l'article R. 2135-2 du Code de la santé publique (CSP). Ce texte détermine limitativement les techniques et méthodes reconnues scientifiquement, excluant l'approche psychanalytique.
. L'article 62 de la loi n° 2018-1203 du 22 décembre 2018 de financement de la sécurité sociale pour 2019 a créé un article L. 2135-1 du CSP relatif à la réalisation d'un parcours de bilan et d'une intervention précoce pour les troubles du neuro-développement ; ses modalités ont ensuite été définies par les nouveaux articles R. 2135-1 à R. 2135-4 du même code.»
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«I. – Description du nouveau dispositif
L’arrêté signalé décrit le détail du nouveau dispositif : la réalisation du parcours de bilan et d’intervention précoce peut inclure des prestations de psychologue qui propose un programme individualisé d’intervention fonctionnelle sur la base de l’évaluation initiale. Ce psychologue doit alors :
réaliser une évaluation fonctionnelle spécifique et personnalisée du fonctionnement adaptatif de l’enfant dans ses milieux de vie notamment en famille, à la crèche, et à l’école
prendre en compte la demande et l’expertise de la famille ;
établir les objectifs et les modalités de l’intervention ;
mettre en œuvre l’intervention proposée ;
évaluer les bénéfices de l’intervention au regard des objectifs et des modalités proposés.
Pour pouvoir réaliser ces interventions, le psychologue doit justifier de :
sa connaissance de cadres théoriques, méthodologiques et psychométriques de référence, tels que définis en annexe de l’arrêté ;
sa capacité à les intégrer dans une démarche d’intervention tenant compte de l’enfant dans ses différents milieux de vie.
Ne peut réaliser ces interventions, financées par l’assurance maladie, que le professionnel qui intervient :
en relation avec un établissement ou service social ou médico-social (ESSMS) spécialement désigné par le directeur général de l’agence régionale de santé (ARS) et désignée, dans la règlementation, par l’appellation « plateforme de coordination et d’orientation » ;
sous réserve d’avoir conclu une convention spécifique avec cette structure ;
et à condition que son intervention ait été prescrite par un médecin.
Ne peuvent être désignés comme plateformes de coordination et d’orientation que :
des ESSMS pour enfants et adolescents en situation de handicap,
des centres d’action médico-sociale précoce (CAMSP) ;
des ESSMS expérimentaux (on songe évidemment aux centres de ressources autisme ou CRA).
Pour pouvoir être admis à signer la convention, le psychologue doit avoir communiqué à la plateforme de coordination et d’orientation les preuves de sa compétence technique, la plateforme devant les contrôler :
ses diplômes,
ses attestations de formation,
son curriculum vitae détaillé.
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accens-avocats |
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Dreets National |
23/04/2021 |
«Les Directions régionales de l'économie, de l'emploi, du travail et des solidarités (DREETS) sont votre interlocuteur unique, au niveau régional, pour toute question concernant : la politique du travail et l'inspection du travail ; le contrôle du bon fonctionnement des marchés et des relations commerciales et la protection des consommateurs ; le développement des filières et l'accompagnement des entreprises, les mutations économiques, la compétitivité et la sauvegarde des entreprises ; la politique de l'emploi (accès et retour dans l'emploi, développement de l'emploi et des compétences, formation professionnelle) ; les politiques de cohésion sociale (protection des personnes vulnérables, lutte contre les exclusions, hébergement) ; les actions sociales et économiques de la politique de la ville (dans certains régions, cette mission est exercée par le Secrétariat général pour les affaires régionales ...” SGAR) ; le contrôle et l'inspection des établissements et services sociaux ; la formation et la certification des professions sociales et de santé non médicales ; l'insertion sociale et professionnelle.»
[...]
«En Île-de-France, la direction est une Direction régionale et interdépartementale de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités (DRIEETS), comprenant quatre unités départementales à Paris et dans les départements 92, 93 et 94, née du rapprochement des DDCS et des unités départementales des DIRECCTE sur ces territoires.
En Outre-mer, les directions sont des Directions de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités (DEETS) qui exercent les missions confiées en métropole aux DREETS, aux DDETS et aux DDETS-PP.
L’inspection du travail conserve son système actuel d’organisation et sa ligne hiérarchique propre. Pour ces missions, la DREETS est placée sous l’autorité de la Direction générale du Travail. Elle pilote le système d’inspection du travail au plan régional et départemental.
Les DREETS pilotent animent et coordonnent les politiques publiques relevant de leurs missions et mises en œuvre notamment dans les Directions départementales de l’emploi, du travail et des solidarités (DDETS) et les Directions départementales de l’emploi, du travail et des solidarités et de la protection des populations (DDETS-PP).
Les DDETS et DDETS-PP sont compétentes en matière de travail, d’entreprises, d’emploi, et de cohésion sociale. La DDETS-PP se distingue par des compétences supplémentaires en matière de consommation, de concurrence, de répression des fraudes, de métrologie, de sécurité alimentaire, d’environnement, de santé et de bien-être animal.
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dreets.gouv |
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Is Autism Linked to Language Processing Disorders? - Autism Parenting Magazine |
22/04/2021 |
«If your child is diagnosed with autism and has language processing difficulties, these may be one of the first symptoms you want to address with treatment or interventions.
You quickly realize just how frustrated your child is, with meltdowns as a testament to unexpressed emotions. Is Autism Linked to Language Processing Disorders? We can only try to understand how frustrating it must be for an autistic child struggling with expressive language: "Please be patient with my limited vocabulary.
It's hard for me to tell you what I need when I don't know the words to describe my feelings. I may be hungry, frustrated, frightened or confused but right now those words are beyond my ability to express.
Be alert for body language, withdrawal, agitation or other signs that something is wrong." ...” Ellen Notbohm, author of international bestseller Ten Things Every Child With Autism Wishes You Knew.»
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«According to researcher Diane Williams, your child with autism is likely to have difficulty processing language, even if they are verbal and high functioning. Studies suggest noticeable differences in the way people with autism process language compared to neurotypical individuals.
ASD vs LPD: unsettling similarities
When looking for information to help your child process language in a way that facilitates better social communication, you may find the similarities between autism and a language processing disorder a bit unsettling.
You may read about children who were diagnosed with autism because their language processing deficits were mistakenly attributed to an autism spectrum disorder (ASD). On the other hand, children who display borderline autism symptoms may be (mistakenly) diagnosed with a language disorder or auditory processing disorder as their symptoms appear too mild to fit the criteria for ASD.
A diagnosis of ASD or a language processing disorder should only be made by a professional. This is crucial as the symptoms of language disorders can mimic those of ASD or attention deficit hyperactivity disorder (ADHD).
In this article I’ll discuss what language processing disorders (LPD) are and I’ll explore the link between LPD and autism. Language processing disorders are often classified and associated with auditory processing disorders, in this regard the similarities and distinction between the two will be investigated. Lastly some suggestions to address language processing difficulties in children with autism will be discussed.
What is a language processing disorder?
To get an idea of what people with a language processing disorder may experience, the example of arriving in a foreign country is often used. You may undertake an introductory course in the local language, you may have enough vocabulary to get by—but join a party of locals, conversing fast with a few colloquial expressions thrown in, and you can imagine yourself wide-eyed and only capable of producing a: “Huh?”
Alternatively, language practitioners say that frustrating feeling of not being able to name a word, even though it’s on the tip of your tongue is a constant reality for those struggling with the processing of language.
A language processing disorder is characterized by a difficulty in receiving, recognizing, and understanding language. This kind of language disorder could also involve deficits in language expression. A person with a language processing disorder may therefore have trouble processing receptive language (what others say) but it may also affect how that person expresses him or herself (expressive language).
People with a language processing disorders (LPD) have no difficulties with hearing, intellect, or even certain aspects of language; their deficits lie in the processing of language, in other words the impairment is related to how their brain processes or interprets language.
If you suspect language processing difficulties to be the cause of your child’s social communication challenges, look out for behaviors like:
Limited vocabulary and difficulty acquiring new words
Frustrated in expressing him or herself, emotions or ideas
Use of many fillers like “uh” as he/she struggles to find the right words
He or she may be able to draw or point to an object but struggle to name it
The definition of LPD is important, especially when it comes to distinguishing the disorder from auditory processing disorders—the terms are sometimes used interchangeably when they are in fact distinct conditions.
Auditory processing disorders (APD)
Auditory processing disorder—sometimes referred to as central auditory processing disorder—can be attributed to deficits experienced when an individual processes audible signals; however such difficulties should not arise because of intellectual or hearing impairments. Children with auditory processing disorders may hear well, but their brains do not interpret or process sound or words appropriately.
Children with central auditory processing disorder may have deficits relating to the processing of specific auditory stimulus, for example in a class with a lot of background noise their auditory processing deficits may render it impossible to distinguish noise from speech.
Only an audiologist can diagnose APD and parents should consult with one if they suspect their child may have deficits in processing auditory input. Your child may show anxiety when he/she has to listen when there is background noise (parents often see this as “hearing difficulty” in noisy environments), he/she may have difficulty following verbal directions, or you observe how most of his/her auditory deficits disappear when a room quiets down.
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Difference between LPD and APD
In a young child it can be complex to distinguish an auditory processing disorder from a language processing disorder. Adding to the confusion is the fact that a child could have both disorders. When attempting to distinguish between the two conditions, it is important to recognize that some components of language processing are not dependent on auditory signals.
In this regard, examples like the processing of non verbal language, processing of written language, and the manner in which those with severe hearing loss process language should be noted. LPDs and APDs can be diagnosed together or independently but, as both disorders involve deficits in processing, language processing disorders are often classified as a type of auditory processing disorder.
Language processing disorders are not only associated with central auditory processing disorders; language disorders are also frequently linked to autism.
Autism and language processing disorders
A study (Marco et al., 2011) reviewing the atypical sensory based features of autism, suggests atypical brain activity in processing auditory stimuli for those on the spectrum. The study brought up some interesting points concerning autistic behaviors and how this may relate to auditory processing. The author’s example of a child with autism covering his/her ears to bening sounds like the vacuum cleaner, introduces the authors’ question of whether such unusual behavior may be a cause of atypical auditory processing.
This again points to the importance of seeking professional diagnosis by an expert who takes all factors and your child’s history into consideration—in the above example the child covering his/her ears to the sound of the vacuum cleaner could have a sensory processing disorder, autism or an auditory processing disorder (or even all three).
While you may require a developmental-behavioral pediatrician, audiologist and speech-language pathologist to correctly diagnose your child’s language processing disorder, an important factor to remember is that autism spectrum disorders have core deficits that go beyond language processing difficulties.
Autism’s core symptoms include deficits in social interaction in addition to restricted and repetitive patterns of behavior. While ASD’s core criteria includes social communication deficits which could include language disorders; a child with a language processing disorder will not meet the restricted and repetitive behavior necessary for an autism diagnosis.
Addressing processing deficits in autistic children
To help autistic children receive, express and process language more appropriately, their unique way of thinking should be kept in mind. For example, some (not all) children on the spectrum are visually inclined, and may process language concepts better if presented visually. For these autistic children auditory teaching may not be appropriate and a visual approach may facilitate learning and acquiring language skills (Evans & Tissot, 2003).
To develop language more efficiently in a child with autism, preconceived ideas like establishing eye contact to indicate interest should be abandoned. Instead parents can attempt to incorporate their autistic child’s strengths and special interests to motivate better language use.
A speech-language pathologist is in the best position to take cognitive atypicalities into consideration when addressing language deficits in an autistic child. At home, parents can work on language development by creating functional language learning opportunities.
In conclusion
While language processing difficulties are almost always present for people with autism, these difficulties are not exclusive to an autism spectrum disorder. Language processing disorders and auditory processing disorders can exist together or independently—parents who observe any sort of language disorder should not hesitate to have their child diagnosed by a professional.
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autismparentingmagazine |
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Video - Cognitive Behavioral Therapy for Autism Spectrum Disorders: A Systematic Review | American Academy of Pediatrics |
22/04/2021 |
«CONTEXT: In several studies, authors have reported on cognitive behavioral therapy (CBT) for children and adolescents with autism spectrum disorders (ASDs), but inconsistent treatment effectiveness was revealed from these studies.
OBJECTIVE: To evaluate the effectiveness of CBT on the symptoms of ASD and social-emotional problems in children or adolescents with ASD by using a meta-analytic approach.»
[...]
« DATA SOURCES: Data sources included PubMed, Embase, and the Cochrane Library.
STUDY SELECTION: We selected randomized controlled trials (RCTs) in which authors reported effectiveness of CBT on the symptoms of ASD and social-emotional problems in children or adolescents with ASD from database inception to May 2019.
DATA EXTRACTION: For each study, 2 authors extracted data on the first author’s surname, publication year, country, sample size, mean age, CBT target, intervention, outcome measurement, follow-up duration, and investigated outcomes.
RESULTS: Forty-five RCTs and 6 quasi RCTs of 2485 children and adolescents with ASDs were selected for the final meta-analysis. There was no significant difference between CBT and control for symptoms related to ASD based on self-reported outcomes (standard mean difference: −0.09; 95% confidence interval: −0.42 to 0.24; P = .593), whereas CBT significantly improved the symptoms related to ASD based on informant-reported outcomes, clinician-rated outcomes, and task-based outcomes. Moreover, the pooled standard mean differences indicated that CBT has no significant effect on symptoms of social-emotional problems based on self-reported outcomes.
LIMITATIONS: The quality of included studies was low to modest, significant heterogeneity among the included studies for all investigated outcomes was detected, and publication bias was inevitable.
CONCLUSIONS: These findings indicate that CBT may significantly improve the symptoms of ASD and social-emotional problems in children or adolescents with ASD.
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pediatrics.aappublications |
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The pediatric psychopharmacology of autism spectrum disorder: A systematic review - Part I: The past and the present - PubMed |
16/04/2021 |
«Abstract Autism Spectrum Disorder (ASD) is a severe and lifelong neurodevelopmental disorder, with high social costs and a dramatic burden on the quality of life of patients and family members.
Despite its high prevalence, reaching 1/54 children and 1/45 adults in the United States, no pharmacological treatment is still directed to core symptoms of ASD, encompassing social and communication deficits, repetitive behaviors, restricted interests, and abnormal sensory processing.
The purpose of this review is to provide an overview of the state-of-the-art of psychopharmacological therapy available today for ASD in children and adolescents, in order to foster best practices and to organize new strategies for future research.
To date, atypical antipsychotics such as risperidone and aripiprazole represent the first line of intervention for hyperactivity, impulsivity, agitation, temper outbursts or aggression towards self or others.
Tricyclic antidepressants are less prescribed because uncertain efficacy and important side effects. SSRIs, especially fluoxetine and sertraline, may be effective in treating repetitive behaviors (anxiety and obsessive-compulsive symptoms) and irritability/agitation, while mirtazapine is more helpful with sleep problems.
Low doses of buspirone have shown some efficacy on restrictive and repetitive behaviors in combination with behavioral interventions. Stimulants, and to a lesser extent atomoxetine, are effective in reducing hyperactivity, inattention and impulsivity also in comorbid ASD-ADHD, although with somewhat lower efficacy and greater incidence of side effects compared to idiopathic ADHD. Clonidine and guanfacine display some efficacy on hyperactivity and stereotypic behaviors.
For several other drugs, case reports and open-label studies suggest possible efficacy, but no randomized controlled trial has yet been performed. Research in the pediatric psychopharmacology of ASD is still faced with at least two major hurdles: (a) Great interindividual variability in clinical response and side effect sensitivity is observed in the ASD population.
This low level of predictability would benefit from symptom-specific treatment algorithms and from biomarkers to support drug choice; (b) To this date, no psychoactive drug appears to directly ameliorate core autism symptoms, although some indirect improvement has been reported with several drugs, once the comorbid target symptom is abated.»...
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pubmed.ncbi.nlm.nih |
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Commission sur les violences sexuelles et l'inceste - Ministere des Solidarites et de la Sante |
09/04/2021 |
«Présidents ...¢ Edouard DURAND Juge des enfants de Bobigny ; membre du Haut conseil à l'égalité ; a participé à l'élaboration du premier plan contre les violences faites aux enfants de la ministre Laurence Rossignol.
• Contact : edouard.durand@sg.social.gouv.fr / ed.durand@wanadoo.fr ...¢ Nathalie MATHIEU Directrice Générale de l'association Docteurs Bru, ancienne responsable du dispositif d'accueil au service ASE Seine Saint Denis, ancienne directrice d'établissements médico-sociaux.
Auteur d'une thèse sur la jurisprudence de la CEDH concernant les enfants. Auteur d'ouvrages méthodologiques sur les écrits du travail social.
• Contact : nathalie.mathieu@sg.social.gouv.fr / n.mathieu@associationdocteursbru.fr / .»
[...]
« Membres de la commission
• Marie-Françoise BELLEE-van-THONG
Administratrice territoriale
Ancienne DEF du département des Hauts-de-Seine
Représentante de l’Andass au Conseil national de protection de l’enfance
• Ernestine RONAI
- Responsable du premier Observatoire départemental des violences envers les femmes en Seine-Saint-Denis. Elle a été Coordinatrice nationale de la lutte contre les violences envers les femmes au sein de la MIPROF jusqu’en décembre 2016.
• Fabienne QUIRIAU
- Directrice générale de la CNAPE - La fédération des associations de protection de l’enfant
• Marie RABATEL
- Experte au groupe de travail « Handicap » au Grenelle des Violences Conjugales, experte à la MIPROF, chez Handiconnect, et à la HAS. Présidente de l’Association Francophone de Femmes Autistes.
• Caroline REY-SALMON
- Pédiatre des Hôpitaux, médecin légiste, coordonnatrice des urgences médico-judiciaires de l’Hôtel-Dieu à Paris (AP-HP). Elle a fondé en 2003 la section des mineurs.
• Caroline MIGNOT
- Pédiatre, ex-praticienne attachée à l’hôpital Necker-Enfants malades, Paris, et à l’hôpital Ambroise-Paré, Boulogne-Billancourt ; membre du conseil d’administration de l’Afirem.
• Muriel SALMONA
- Psychiatre, fondatrice de l’association Mémoire traumatique et victimologie
• Guillaume BRONSARD
- Psychiatre de l’enfant et de l’adolescent, CHRU de Brest.
• Karen SADLIER
- Psychologue clinicienne spécialiste des violences au sein du couple exerçant en libéral, ancienne directrice du centre de psychotraumatisme de l’institut de victimologie de Paris, ancienne secrétaire générale de la Société européenne du stress et trauma. Elle a été auditionnée par la commission Flament Calmette, et consultante à l’Observatoire de la violence envers les femmes 93.
• Linda TROMELEUE
- Psychologue clinicienne, Thérapeute familiale spécialisée dans la prise en charge des victimes de violences intra et extra familiales
• Jean-Paul MUGNIER
- Thérapeute familial et de couples, directeur de l’Institut d’Études Systémiques à Paris. Auteur de nombreux essais et romans parmi lesquels « Les stratégies de l’indifférence », « La promesse des enfants meurtris », ou encore « Le silence des enfants ».
• Alice DEBAUCHE
- Maîtresse de conférence en sociologie à l’université de Strasbourg ; chercheuse associée à l’INED ; a travaillé sur enquête Virage. Sa thèse intitulée « Viols et rapports de genre » a été obtenue à l’IEP de Paris. Elle travaille depuis plus de 15 ans sur les violences sexuelles.
• Dorothée DUSSY
- Anthropologue au CNRS et directrice de recherches ; auteure de l’ouvrage Le Berceau des dominations ; a conduit un travail sur les auteurs de violences sexuelles sur mineurs.
• Anne-Claude AMBROISE-RENDU
- Professeure d’histoire contemporaine, université de Versailles St-Quentin-en-Yvelines, membre du Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines (CHCSC) ; spécialiste de l’histoire de la justice et du crime ; a travaillé sur l’histoire de la pédophilie du 19ème au 21ème siècle.
• Patrick POIRRET
- Magistrat, premier avocat général près la cour de cassation, ancien inspecteur général de la justice, ancien procureur général près la cour d’appel de Nancy.
• Nicolas BONNAL
- Magistrat, ancien premier vice-président du tribunal de grande instance de Bobigny, ancien président de chambre à la cour d’appel de Paris, doyen de la chambre criminelle de la cour de cassation.
• Marie-Bénédicte MAIZY
- Magistrate, ancienne secrétaire générale de l’inspection générale de la justice, présidente du tribunal judiciaire de Melun.
• Carine DURRIEU DIEBOLT
- Avocate, Barreau de Paris. Spécialisée dans la défense des victimes au pénal. Avocate de Victimes de viol ou agression sexuelle ou violence physique.
• Véronique BÉCHU
- Directrice d’un office central pour la répression des violences aux personnes (OCRVP), qui lutte contre l’exploitation sexuelle des mineurs en ligne ; Capitaine de la Police-Direction Centrale pour la Répression des violences aux personnes, Cheffe du Groupe central des Mineurs victimes.
• Jean-Michel BRETON
- Gendarmerie Nationale Comsop GN Fort de Rosny
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solidarites-sante.gouv |
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Kids with autism can really benefit from exercise |
09/04/2021 |
«Being active is good for most everyone, and new studies now show it can help kids with autism manage common behavioral issues. "Exercise goes beyond health-related benefits and increased levels of fitness for those with autism," said David Geslak, a pioneer in using exercise to help kids with autism.
"Research shows that exercise can increase focus, improve academic performance, reduce stereotypical behaviors and build confidence." Another recent study from Oregon State University found that targeted exercise programs should take place between ages 9 and 13, to help kids maintain physical activity.
That's when kids show the biggest decline in active time, according to the American College of Sports Medicine (ACSM).»
[...]
«A study in the April issue of the Medicine & Science in Sports & Exercise journal reported that 10 minutes of low-intensity exercise reduced verbal repetition of phases or words and hand-flapping, two common behaviors associated with autism.
Another recent study from Oregon State University found that targeted exercise programs should take place between ages 9 and 13, to help kids maintain physical activity. That's when kids show the biggest decline in active time, according to the American College of Sports Medicine (ACSM).
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medicalxpress |
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Lutte contre les discriminations : le gouvernement lance une consultation citoyenne sur internet |
08/04/2021 |
«Le gouvernement donne le coup d'envoi ce jeudi d'une grande consultation citoyenne sur internet. L'idée est de connaitre les mesures préconisées par les Français afin de lutter contre les discriminations.
Les conclusions seront restituées fin juin. Pendant que le projet de loi contre les séparatismes poursuit son parcours au Sénat, l’exécutif ne veut rien lâcher sur le volet "égalité des chances". Emmanuel Macron l’avait amorcé lors de son discours aux Mureaux le 2 octobre 2020, puis confirmé en décembre dernier lors de son interview au média Brut, quelques semaines après l’affaire Zecler, ce producteur de musique, noir, tabassé par des policiers.»
[...]
« Le gouvernement lance donc ce jeudi une consultation citoyenne sur internet : un site (consultation-discriminations.gouv.fr) ouvert afin de sonder les Français sur les mesures qu’ils préconisent pour lutter contre les discriminations.
Dans le prolongement de la plateforme anti-discriminations
Handicap, accès au logement, difficultés à l’embauche, cette consultation de deux mois s’inscrit dans le prolongement dans la première plateforme anti-discriminations lancée en février, promettant une écoute et un accompagnement des personnes s'estimant discriminées. Elle avait été sollicitée plus de 10.000 fois notamment au travers du numéro vert, le 3928. "Côté pile, cela veut dire que l’outil fonctionne, côté face, que c’est un vrai problème qui touche tout le monde", analyse un conseiller de la ministre Élisabeth Moreno.
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franceinter |
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Listening Difficulties in Children with Autism Spectrum Diso... : The Hearing Journal |
06/04/2021 |
«Even when presenting with normal pure-tone hearing sensitivity, many individuals with autism spectrum disorder (ASD) experience listening and communication issues likely stemming from abnormal auditory processing of speech sounds.1 Listening deficits are also evident in parent/teacher observations, self-report, and behavioral test measures of auditory processing.2,3 Given the deleterious impact of these auditory deficits on understanding and communication in everyday situations, like noisy school classrooms, hearing health care professionals have the unique opportunity to document these deficits and to recommend strategies to mitigate the effects.
This article provides a brief overview of the measurable behavioral, observed, and self-reported deficits in individuals with ASD; discusses the need for a streamlined protocol for assessing listening difficulties in this population; and summarizes the evidence-based interventions available to address these listening deficits.»...
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journals.lww |
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FDA OKs first new ADHD drug in over a decade for children |
05/04/2021 |
«U.S. regulators have approved the first new drug in over a decade for children with ADHD, which causes inattention, hyperactivity and impulsivity. The Food and Drug Administration late Friday OK'd Qelbree (KELL'-bree) for treating attention deficit hyperactivity disorder in children ages 6 to 17. It comes as a capsule that's taken daily.
Unlike nearly all other ADHD medicines, Qelbree is not a stimulant or a controlled substance, making it harder to abuse than older drugs. That's been a problem with earlier ADHD treatments like Ritalin, nearly all of which contain the stimulants amphetamine or methylphenidate.»
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«Qelbree, developed by Supernus Pharmaceuticals of Rockville, Maryland, carries a warning of potential for suicidal thoughts and behavior, which occurred in fewer than 1% of volunteers in studies of the drug.
Supernus wouldn’t disclose the drug’s list price, but it’s sure to be higher than the many cheap generic ADHD pills.
ADHD affects about 6 million American children and adolescents. For many, problems include trouble paying attention and completing tasks, fidgeting and impulsiveness.
Experts say the drug may appeal to parents who don’t want to give their child stimulants.
It also could be an option for kids who have substance abuse problems, dislike the side effects of stimulants or need additional therapy, said Dr. David W. Goodman, director of Suburban Psychiatric Associates near Baltimore and an assistant professor of psychiatry at Johns Hopkins School of Medicine.
Goodman said most ADHD patients taking medication currently are prescribed long-acting stimulants, which are harder to to abuse to get a high than the original, fast-acting versions.
In a key late-stage study funded by Supernus, 477 children ages 6 to 11 took the drug for six weeks. Inattention and hyperactivity symptoms were reduced by about 50% compared to the placebo group. Qelbree, also known as viloxazine, helped reduce symptoms in some study volunteers within a week. Common side effects include sleepiness, lethargy, decreased appetite and headache.
Supernus is in late-stage testing for adults with ADHD. That’s a much smaller group than children, but that market is growing because few adults currently take ADHD medicines.
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apnews |
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Autisme Mon Enfant ma bataille2 - Le Monde en face France 5 - YouTube |
30/03/2021 |
«Lien sur la vidéo FR Autisme Mon Enfant ma bataille2 - Le Monde en face France 5»...
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youtube |
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Pronostiquer l'autisme des la naissance grace a l'intelligence artificielle : une etude menee a Limoges - Limoges (87000) |
26/03/2021 |
«Une équipe composée de médecins et chercheurs du CHU et de l'université de Limoges, mais aussi de Paris et Marseille (*), a publié des travaux qui permettraient d'identifier, dès la naissance, les enfants susceptibles d'être porteurs d'un trouble du spectre autistique.
Evaluer le risque d'autisme dès la naissance, grâce à l'intelligence artificielle, afin d'enclencher une prise en charge la plus précoce possible, c'est l'objectif de l'étude baptisée AUT ANT, publiée le 25 mars dans la revue Scientific Reports.
Trois ans de recueil de données Le projet de recherche a été mené à partir des données de bébés nés à l'hôpital de la mère et de l'enfant (HME), au CHU de Limoges et diagnostiqués ensuite autistes par le Centre expert autisme du Limousin.
Il a porté sur le recueil des données du suivi, depuis le début de la grossesse jusqu'à la naissance, de 65 enfants avec troubles du spectre autistique (TSA). Des données qui ont été comparées à celles de 240 autres naissances sans diagnostic d'autisme dans la même maternité. 120 critères analysés.»
[...]
«
Une première étape
Les résultats de cette étude ont pour l’instant besoin d’être confortés : « Il s’agit d’un pronostic, non d’un diagnostic et sa fiabilité nécessite d’être consolidée par des estimations sur des centaines de bébés », indique un communiqué de presse du CHU.
La prochaine étape sera celle d’un élargissement à d’autres maternités françaises et étrangères. « Pour nourrir l’intelligence artificielle et obtenir un algorithme solide, il faudrait recruter jusqu’à 600 enfants autistes et trois fois plus d’enfants “témoins” », indique Hugues Caly.
Après ce travail rétrospectif, l’objectif serait de faire une étude prospective en suivant les femmes depuis le début de leur grossesse. Le docteur Lemonnier imagine l’échelle de la Nouvelle-Aquitaine où 15.000 femmes accouchent chaque année dans une maternité de niveau 3 (avec des soins intensifs de néonatalogie).
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lepopulaire |
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Pronostiquer l'autisme des la naissance grace a l'intelligence artificielle : une etude menee a Limoges - Limoges (87000) |
26/03/2021 |
«Une équipe composée de médecins et chercheurs du CHU et de l'université de Limoges, mais aussi de Paris et Marseille (*), a publié des travaux qui permettraient d'identifier, dès la naissance, les enfants susceptibles d'être porteurs d'un trouble du spectre autistique.
Evaluer le risque d'autisme dès la naissance, grâce à l'intelligence artificielle, afin d'enclencher une prise en charge la plus précoce possible, c'est l'objectif de l'étude baptisée AUT ANT, publiée le 25 mars dans la revue Scientific Reports.
Trois ans de recueil de données Le projet de recherche a été mené à partir des données de bébés nés à l'hôpital de la mère et de l'enfant (HME), au CHU de Limoges et diagnostiqués ensuite autistes par le Centre expert autisme du Limousin.
Il a porté sur le recueil des données du suivi, depuis le début de la grossesse jusqu'à la naissance, de 65 enfants avec troubles du spectre autistique (TSA). Des données qui ont été comparées à celles de 240 autres naissances sans diagnostic d'autisme dans la même maternité. 120 critères analysés.»
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Une première étape
Les résultats de cette étude ont pour l’instant besoin d’être confortés : « Il s’agit d’un pronostic, non d’un diagnostic et sa fiabilité nécessite d’être consolidée par des estimations sur des centaines de bébés », indique un communiqué de presse du CHU.
La prochaine étape sera celle d’un élargissement à d’autres maternités françaises et étrangères. « Pour nourrir l’intelligence artificielle et obtenir un algorithme solide, il faudrait recruter jusqu’à 600 enfants autistes et trois fois plus d’enfants “témoins” », indique Hugues Caly.
Après ce travail rétrospectif, l’objectif serait de faire une étude prospective en suivant les femmes depuis le début de leur grossesse. Le docteur Lemonnier imagine l’échelle de la Nouvelle-Aquitaine où 15.000 femmes accouchent chaque année dans une maternité de niveau 3 (avec des soins intensifs de néonatalogie).
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lepopulaire |
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Machine learning analysis of pregnancy data enables early identification of a subpopulation of newborns with ASD | Scientific Reports |
26/03/2021 |
«Scientific Reports volume 11, Article number: 6877 (2021) Cite this article 9 Altmetric Metrics details Abstract To identify newborns at risk of developing ASD and to detect ASD biomarkers early after birth, we compared retrospectively ultrasound and biological measurements of babies diagnosed later with ASD or neurotypical (NT) that are collected routinely during pregnancy and birth.
We used a supervised machine learning algorithm with a cross-validation technique to classify NT and ASD babies and performed various statistical tests. With a minimization of the false positive rate, 96% of NT and 41% of ASD babies were identified with a positive predictive value of 77%. We identified the following biomarkers related to ASD: sex, maternal familial history of auto-immune diseases, maternal immunization to CMV, IgG CMV level, timing of fetal rotation on head, femur length in the 3rd trimester, white blood cell count in the 3rd trimester, fetal heart rate during labor, newborn feeding and temperature difference between birth and one day after.
Furthermore, statistical models revealed that a subpopulation of 38% of babies at risk of ASD had significantly larger fetal head circumference than age-matched NT ones, suggesting an in utero origin of the reported bigger brains of toddlers with ASD. Our results suggest that pregnancy follow-up measurements might provide an early prognosis of ASD enabling pre-symptomatic behavioral interventions to attenuate efficiently ASD developmental sequels.»...
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nature |
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Adultes autistes severes : la vie en unites plutot qu'en HP ? |
26/03/2021 |
«Un constat sans appel La Délégation interministérielle à la stratégie nationale pour l'autisme et les TND ne nie pas ce constat. Son bilan est sans appel, comme une triste liste à la Prévert.
Selon elle, les dispositifs d'accompagnement sont « mis en échec », parfois « maltraitants », avec de nombreuses « ruptures de parcours », des « prises en charge inadaptées », un « défaut d'accès aux droits », des « évictions suite à des violences sur le personnel », des « équipes insuffisamment formées aux spécificités de l'autisme et à l'accompagnement des troubles graves du comportement dans les établissements médico-sociaux et sanitaires », tandis que le « fréquent défaut d'accès aux soins somatiques » est un « facteur aggravant des troubles du comportement ». « Ces troubles ont été fabriqués par incompétence dans le sanitaire ou le médico-social, sans aucun outil de communication ni d'aménagement du temps et de l'espace et une absence d'activités structurées », complète Danièle Langloys, présidente d'Autisme France.
Cette carence de prise en charge engendre, selon elle, « des comportements-problèmes » et, pour les régler, ces « patients » sont « bourrés de médicaments ». Claire Compagnon, à la tête de la délégation, admet à son tour que « ces traitements peuvent parfois renforcer les troubles et n'ont pas l'effet apaisant espéré ». Il y a alors souvent de la violence, envers soi-même ou les autres...¦ En effet.»
[...]
«Ces unités de toute petite taille doivent accueillir six résidents maximum (3x2 ou 2x3) avec l'objectif de leur offrir, en milieu urbain, un « lieu de vie pérenne » et « digne ». Il s'appuiera sur les établissements médico-sociaux et le secteur sanitaire, notamment psychiatrique. 4,4 personnes (éducateurs, aides, médecins…) en équivalent temps plein sont prévues pour assurer l'accompagnement 365 jours par an et 24h sur 24. Cet écosystème doit permettre de gérer les crises éventuelles et d'assurer la continuité des prises en charge lors des hospitalisations et prévoit des temps d'échange avec les familles… Presque du un pour un, même si Autisme France précise que ces adultes ont souvent besoin d'un encadrement de deux pour un, « avec des professionnels techniquement très formés et supervisés ». Selon l'association, il faut, pour ces « très grands handicapés, des activités strictement adaptées à leurs particularités individuelles : besoin de marcher, d'être dehors ou dans l'eau ». « Il leur faut surtout du bien-être et de la dignité », insiste sa présidente.
Le groupe de travail dédié a identifié 200 à 240 personnes susceptibles d'intégrer ces unités, soit une quarantaine au total sur tout le territoire. Encore faut-il les moyens dédiés, estimés par Autisme France à 160 000 euros par an pour une « place ». Les premiers projets devraient être déployés dès 2021, avec des ouvertures en 2022 ou 2023, sans qu'un calendrier précis ne soit arrêté. Un espoir pour ces humains « fracassés » ?
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informations.handicap |
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Adultes autistes severes : la vie en unites plutot qu'en HP ? |
26/03/2021 |
«Un constat sans appel La Délégation interministérielle à la stratégie nationale pour l'autisme et les TND ne nie pas ce constat. Son bilan est sans appel, comme une triste liste à la Prévert.
Selon elle, les dispositifs d'accompagnement sont « mis en échec », parfois « maltraitants », avec de nombreuses « ruptures de parcours », des « prises en charge inadaptées », un « défaut d'accès aux droits », des « évictions suite à des violences sur le personnel », des « équipes insuffisamment formées aux spécificités de l'autisme et à l'accompagnement des troubles graves du comportement dans les établissements médico-sociaux et sanitaires », tandis que le « fréquent défaut d'accès aux soins somatiques » est un « facteur aggravant des troubles du comportement ». « Ces troubles ont été fabriqués par incompétence dans le sanitaire ou le médico-social, sans aucun outil de communication ni d'aménagement du temps et de l'espace et une absence d'activités structurées », complète Danièle Langloys, présidente d'Autisme France.
Cette carence de prise en charge engendre, selon elle, « des comportements-problèmes » et, pour les régler, ces « patients » sont « bourrés de médicaments ». Claire Compagnon, à la tête de la délégation, admet à son tour que « ces traitements peuvent parfois renforcer les troubles et n'ont pas l'effet apaisant espéré ». Il y a alors souvent de la violence, envers soi-même ou les autres...¦ En effet.»
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«Ces unités de toute petite taille doivent accueillir six résidents maximum (3x2 ou 2x3) avec l'objectif de leur offrir, en milieu urbain, un « lieu de vie pérenne » et « digne ». Il s'appuiera sur les établissements médico-sociaux et le secteur sanitaire, notamment psychiatrique. 4,4 personnes (éducateurs, aides, médecins…) en équivalent temps plein sont prévues pour assurer l'accompagnement 365 jours par an et 24h sur 24. Cet écosystème doit permettre de gérer les crises éventuelles et d'assurer la continuité des prises en charge lors des hospitalisations et prévoit des temps d'échange avec les familles… Presque du un pour un, même si Autisme France précise que ces adultes ont souvent besoin d'un encadrement de deux pour un, « avec des professionnels techniquement très formés et supervisés ». Selon l'association, il faut, pour ces « très grands handicapés, des activités strictement adaptées à leurs particularités individuelles : besoin de marcher, d'être dehors ou dans l'eau ». « Il leur faut surtout du bien-être et de la dignité », insiste sa présidente.
Le groupe de travail dédié a identifié 200 à 240 personnes susceptibles d'intégrer ces unités, soit une quarantaine au total sur tout le territoire. Encore faut-il les moyens dédiés, estimés par Autisme France à 160 000 euros par an pour une « place ». Les premiers projets devraient être déployés dès 2021, avec des ouvertures en 2022 ou 2023, sans qu'un calendrier précis ne soit arrêté. Un espoir pour ces humains « fracassés » ?
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informations.handicap |
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Les assistants au parcours et au projet de vie - Gazette Sante Social |
25/03/2021 |
«L'assistant au parcours et au projet de vie est un nouveau métier offrant un accompagnement aux personnes en situation de handicap. Une fonction toujours en expérimentation mais qui fait ses preuves sur le terrain.
Email Email «J'aide les personnes en situation de handicap ainsi que leur famille dans l'expression de leur projet de vie afin de favoriser leur émergence par rapport aux souhaits exprimés...¯», explique Carlotta Onali, facilitatrice de parcours de vie au sein de la plateforme «...¯ressources...¯» de l'association Trisomie 21 Alpes-Maritimes.
Les assistants au parcours et au projet de vie (APPV) exercent trois missions principales...…: faciliter la fluidité du parcours de la personne dans le cadre d'un accès au droit et aux dispositifs de droit commun, éviter les ruptures de parcours, et enfin stimuler l'accompagnement en réseau en donnant sa place aux personnes et aux familles afin qu'elles ne subissent pas le parcours.»...
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Les assistants au parcours et au projet de vie - Gazette Sante Social |
25/03/2021 |
«L'assistant au parcours et au projet de vie est un nouveau métier offrant un accompagnement aux personnes en situation de handicap. Une fonction toujours en expérimentation mais qui fait ses preuves sur le terrain.
Email Email «J'aide les personnes en situation de handicap ainsi que leur famille dans l'expression de leur projet de vie afin de favoriser leur émergence par rapport aux souhaits exprimés...¯», explique Carlotta Onali, facilitatrice de parcours de vie au sein de la plateforme «...¯ressources...¯» de l'association Trisomie 21 Alpes-Maritimes.
Les assistants au parcours et au projet de vie (APPV) exercent trois missions principales...…: faciliter la fluidité du parcours de la personne dans le cadre d'un accès au droit et aux dispositifs de droit commun, éviter les ruptures de parcours, et enfin stimuler l'accompagnement en réseau en donnant sa place aux personnes et aux familles afin qu'elles ne subissent pas le parcours.»...
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La Caf finance enfin le repit et l'accompagnement des parents d'enfants handicapes |
23/03/2021 |
«La Caf finance enfin le répit et l'accompagnement des parents d'enfants handicapés Franck Seuret il y a 6 heures Autonomie Laisser un commentaire Besoin d'être accompagné dans vos démarches de reconnaissance du handicap de votre enfant ? Ou de répit, en attendant de trouver une solution pérenne ? La Caf peut désormais financer des heures d'intervention de professionnels à domicile, sans notification de la MDPH. C'est un dispositif des Caisses d'allocations familiales (Caf) méconnu des parents d'enfants handicapés.
Et pour cause ! Jusqu'à début mars, ils ne pouvaient prétendre aux services d'aide et d'accompagnement à domicile (Saad) qu'elles financent. Mais désormais, ils sont éligibles à ce « soutien temporaire destiné aux familles traversant une période difficile ».»
[...]
«Quand en bénéficier ?
La Caisse nationale, la Cnaf, distingue deux cas de figure pour les parents :
– lors de la phase de reconnaissance du handicap : certains peuvent avoir besoin d’être accompagnés dans leurs démarches médicales (diagnostic…), administratives (MDPH…) et pour l’inclusion de leur enfant (entrée à l’école, recherche de structures adaptées, accompagnement dans les apprentissages…) ;
– pour faire face à l’épuisement : confier leur enfant à un professionnel venant à la maison leur permettra de souffler. Ce temps de répit, durant lequel ils seront en mesure de s’absenter du domicile, peut représenter jusqu’à 50 % de l’intervention du service d’aide.
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faire-face |
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La Caf finance enfin le repit et l'accompagnement des parents d'enfants handicapes |
23/03/2021 |
«La Caf finance enfin le répit et l'accompagnement des parents d'enfants handicapés Franck Seuret il y a 6 heures Autonomie Laisser un commentaire Besoin d'être accompagné dans vos démarches de reconnaissance du handicap de votre enfant ? Ou de répit, en attendant de trouver une solution pérenne ? La Caf peut désormais financer des heures d'intervention de professionnels à domicile, sans notification de la MDPH. C'est un dispositif des Caisses d'allocations familiales (Caf) méconnu des parents d'enfants handicapés.
Et pour cause ! Jusqu'à début mars, ils ne pouvaient prétendre aux services d'aide et d'accompagnement à domicile (Saad) qu'elles financent. Mais désormais, ils sont éligibles à ce « soutien temporaire destiné aux familles traversant une période difficile ».»
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«Quand en bénéficier ?
La Caisse nationale, la Cnaf, distingue deux cas de figure pour les parents :
– lors de la phase de reconnaissance du handicap : certains peuvent avoir besoin d’être accompagnés dans leurs démarches médicales (diagnostic…), administratives (MDPH…) et pour l’inclusion de leur enfant (entrée à l’école, recherche de structures adaptées, accompagnement dans les apprentissages…) ;
– pour faire face à l’épuisement : confier leur enfant à un professionnel venant à la maison leur permettra de souffler. Ce temps de répit, durant lequel ils seront en mesure de s’absenter du domicile, peut représenter jusqu’à 50 % de l’intervention du service d’aide.
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La Caf finance enfin le repit et l'accompagnement des parents d'enfants handicapes |
23/03/2021 |
«La Caf finance enfin le répit et l'accompagnement des parents d'enfants handicapés Franck Seuret il y a 6 heures Autonomie Laisser un commentaire Besoin d'être accompagné dans vos démarches de reconnaissance du handicap de votre enfant ? Ou de répit, en attendant de trouver une solution pérenne ? La Caf peut désormais financer des heures d'intervention de professionnels à domicile, sans notification de la MDPH. C'est un dispositif des Caisses d'allocations familiales (Caf) méconnu des parents d'enfants handicapés.
Et pour cause ! Jusqu'à début mars, ils ne pouvaient prétendre aux services d'aide et d'accompagnement à domicile (Saad) qu'elles financent. Mais désormais, ils sont éligibles à ce « soutien temporaire destiné aux familles traversant une période difficile ».»
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«Quand en bénéficier ?
La Caisse nationale, la Cnaf, distingue deux cas de figure pour les parents :
– lors de la phase de reconnaissance du handicap : certains peuvent avoir besoin d’être accompagnés dans leurs démarches médicales (diagnostic…), administratives (MDPH…) et pour l’inclusion de leur enfant (entrée à l’école, recherche de structures adaptées, accompagnement dans les apprentissages…) ;
– pour faire face à l’épuisement : confier leur enfant à un professionnel venant à la maison leur permettra de souffler. Ce temps de répit, durant lequel ils seront en mesure de s’absenter du domicile, peut représenter jusqu’à 50 % de l’intervention du service d’aide.
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faire-face |
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La Caf finance enfin le repit et l'accompagnement des parents d'enfants handicapes |
23/03/2021 |
«La Caf finance enfin le répit et l'accompagnement des parents d'enfants handicapés Franck Seuret il y a 6 heures Autonomie Laisser un commentaire Besoin d'être accompagné dans vos démarches de reconnaissance du handicap de votre enfant ? Ou de répit, en attendant de trouver une solution pérenne ? La Caf peut désormais financer des heures d'intervention de professionnels à domicile, sans notification de la MDPH. C'est un dispositif des Caisses d'allocations familiales (Caf) méconnu des parents d'enfants handicapés.
Et pour cause ! Jusqu'à début mars, ils ne pouvaient prétendre aux services d'aide et d'accompagnement à domicile (Saad) qu'elles financent. Mais désormais, ils sont éligibles à ce « soutien temporaire destiné aux familles traversant une période difficile ».»
[...]
«Quand en bénéficier ?
La Caisse nationale, la Cnaf, distingue deux cas de figure pour les parents :
– lors de la phase de reconnaissance du handicap : certains peuvent avoir besoin d’être accompagnés dans leurs démarches médicales (diagnostic…), administratives (MDPH…) et pour l’inclusion de leur enfant (entrée à l’école, recherche de structures adaptées, accompagnement dans les apprentissages…) ;
– pour faire face à l’épuisement : confier leur enfant à un professionnel venant à la maison leur permettra de souffler. Ce temps de répit, durant lequel ils seront en mesure de s’absenter du domicile, peut représenter jusqu’à 50 % de l’intervention du service d’aide.
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faire-face |
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Adolescents with autism may engage neural control systems differently, study finds: Researchers used brain scans to measure proactive and reactive executive control -- ScienceDaily |
13/03/2021 |
«A new study by UC Davis MIND Institute researchers suggests that executive control differences in autism spectrum disorder (ASD) may be the result of a unique approach, rather than an impairment.
Executive control difficulties are common in individuals with autism and are associated with challenges completing tasks and managing time. The study, published in Biological Psychiatry: Cognitive Neuroscience and Neuroimaging, sought to tease out whether these difficulties represent a disruption in proactive executive control (engaged and maintained before a cognitively demanding event) or in reactive executive control (engaged as the event occurs). Using functional magnetic resonance imaging (fMRI), the researchers took brain scans of 141 adolescents and young adults ages 12-22 (64 with autism, 77 neurotypical controls) enrolled in the Cognitive Control in Autism Study.
During the scan, the participants completed a task that required them to adapt their behavior. They were shown a green or red cue, followed by a white arrow (probe) pointing left or right.
In half of the trials participants saw a green cue asking them to push a button that matched the direction of the arrow, and in the other half they saw a red cue that asked to push a button that didn't match.
Trial order was randomized across the experiment. "Our brains are seemingly hardwired to be able to respond to a probe with a matching action more easily than doing the opposite," said Andrew Gordon, a postdoctoral scholar in the Department of Psychiatry and Behavioral Sciences and the lead author on the paper.
Participants with autism show a unique approach»...
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sciencedaily |
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Synchronization of brain hemispheres changes what we hear |
08/02/2021 |
«Most of the time, our brain receives different input from each of our ears, but we nevertheless perceive speech as unified sounds. This process takes place through synchronization of the areas of the brain involved with the help of gamma waves, neurolinguists at the University of Zurich have now discovered.
Their findings may lead to new treatment approaches for tinnitus. In addition, input from the right ear reaches the left brain hemisphere first, while input from the left ear reaches the right brain hemisphere first.
The two hemispheres perform different tasks during speech processing: The left side is responsible for distinguishing phonemes and syllables, whereas the right side recognizes the speech prosody and rhythm.
Although each hemisphere receives the information at a different time and processes different features of speech, the brain integrates what it hears into a unified speech sound.»
[...]
«How come we don't hear everything twice? After all, our ears sit on opposite sides of our head and most sounds do not reach both our ears at exactly the same time. "While this helps us determine which direction sounds are coming from, it also means that our brain has to combine the information from both ears. Otherwise, we would hear an echo," explains Basil Preisig of the Department of Psychology at the University of Zurich.
In addition, input from the right ear reaches the left brain hemisphere first, while input from the left ear reaches the right brain hemisphere first. The two hemispheres perform different tasks during speech processing: The left side is responsible for distinguishing phonemes and syllables, whereas the right side recognizes the speech prosody and rhythm. Although each hemisphere receives the information at a different time and processes different features of speech, the brain integrates what it hears into a unified speech sound.
Brain waves establish connection
The exact mechanism behind this integration process was not known until now. In earlier studies, however, Preisig had found indications that measurable oscillations elicited by the brain—known as gamma waves—played a role. Now he has managed to demonstrate that the process of integrating what we hear is directly linked to synchronization by gamma waves. Neurolinguists from UZH worked on the project alongside researchers from the Netherlands and France.
Processing ambiguous information
The study, which took place at the Donders Center for Cognitive Neuroimaging in Nijmegen, the Netherlands, involved 28 healthy subjects who had to repeatedly solve a listening task: An ambiguous syllable (a speech sound between ga and da) was played in their right ear while a click containing a fragment of the syllables da or ga was played unnoticed in the left ear. Depending on what was played in their left ear, the participants heard either ga or da and then had to report what sound they had heard. During the process, the researchers were tracking activity in both hemispheres of the brain using functional magnetic resonance imaging (fMRI).
Electric stimulation impairs synchronization
During the experiments, the researchers disrupted the natural activity pattern of gamma waves by stimulating both hemispheres of the brain with electrodes attached to the head. This manipulation affected participants' ability to correctly identify the syllable they heard. The fMRI analysis showed that there were also changes in the activity of the neural connections between the right and the left brain hemispheres: The strength of the connection changed depending on whether the rhythm of the gamma waves was influenced by electric stimulation in the two brain hemispheres synchronously or asynchronously. This disruption also impaired the integration process. Thus, synchronization of the gamma waves seems to serve to balance the different inputs from the two hemispheres of the brain, providing a unified auditory impression.
Possible therapy for tinnitus
"Our results suggest that gamma wave-mediated synchronization between different brain areas is a fundamental mechanism for neural integration," says Preisig. "Moreover, this research shows for the first time, using human hearing as an example, that the connection between the two hemispheres of the brain can be successfully modulated by electric stimulation," adds Alexis Hervais-Adelman, head of neurolinguistics at the UZH Department of Psychology, who was also involved in the study.
These findings could thus also find clinical application in the near future. "Previous studies show that disturbances in the connection between the two hemispheres of the brain are associated with auditory phantom perceptions such as tinnitus and auditory verbal hallucinations," Preisig adds. "Thus, electric brain stimulation may present a promising avenue for the development of therapeutic interventions.
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medicalxpress |
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Virtual reality and naturalistic developmental behavioral interventions for children with autism spectrum disorder. | Physician's Weekly |
08/02/2021 |
«Naturalistic Developmental Behavioral Interventions (NDBI) have been evaluated as the most promising interventions for children with autism spectrum disorder. In recent years, a growing body of literature suggests that technological advancements such as Virtual Reality (VR) are promising intervention tools.
However, to the best of our knowledge no studies have combined evidence-based practice with such tools. This article aims to review the current literature combining NDBI and VR, and provide suggestions on merging NDBI-approaches with VR. This article is divided into two parts, where we first conduct a review mapping the research applying NDBI-approaches in VR. In the second part we argue how to apply the common features of NDBI into VR-technology.
Our findings show that no VR-studies explicitly rely on NDBI-approaches, but some utilize elements in their interventions that are considered to be common features to NDBI. As the results show, to date, no VR-based studies have utilized NDBI in their intervention.
We therefore, in the second part of this article, suggests ways to merge VR and NDBI and introduce the term Virtual Naturalistic Developmental Behavioral Interventions (VNDBI). VNDBI is an innovative way of implementing NDBI which will contribute in making interventions more accessible in central as well as remote locations, while reducing unwanted variation between service sites.
VNDBI will advance the possibilities of individually tailoring and widen the area of interventions. In addition, VNDBI can provide the field with new knowledge on effective components enhancing the accuracy in the intervention packages and thus move forward the research field and clinical practice.»...
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physiciansweekly |
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Songbird system may provide new treatment options for children with autism |
04/02/2021 |
«Inactivating a gene in young songbirds that are closely linked with autism spectrum disorder (ASD) prevents the birds from forming memories necessary to accurately reproduce their fathers' songs, a new study led by UT Southwestern shows.
The findings, published online today in Science Advances, may help explain the deficits in speech and language that often accompany ASD and could eventually lead to new treatments specifically targeting this aspect of the disorder.
Study leader Todd Roberts, Ph.D., associate professor of neuroscience and a member of the Peter O'Donnell Jr. Brain Institute at UT Southwestern, explains that the vocalizations that comprise a central part of human communication are relatively unique among the animal world - not just for their complexity, but in the way they're passed down from caregivers to offspring.»
[...]
«Songbirds such as zebra finches also learn complex vocalizations from caregivers (songs are passed on to male offspring typically from their fathers).
Much like humans, these animals have intricate brain circuitry devoted to this task, found in a region of the brain in the birds often referred to as the high vocal center, or HVC.
Because of the parallels between language learning in humans and song learning in the birds, Roberts says, songbirds are often used as a scientific model for understanding speech development in people, including conditions in which vocal communication is changed.
In their research, Roberts and his colleagues used zebra finches to study the role of a gene called FoxP1, one of the genes most correlated with ASD. Mutations of this gene cause a specific subtype of autism-linked with severe language impairment and intellectual disability.
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news-medical |
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Inceste, viol : « En France, en 2021, les medecins et les psy ne sont pas formes » - Elle |
18/01/2021 |
«Alors que la parole se libère enfin, le corps médical n'a toujours pas les bons outils pour venir en aide aux victimes... Par Sarah Lévy Muriel Salmona ne décolère pas. Quand on évoque avec elle la prise en charge des victimes de violences sexuelles, la psychiatre spécialisée en traumatologie et victimologie voit rouge.
« Vous vous rendez compte ? Actuellement, on peut encore recevoir quelqu'un qui se scarifie, a fait des tentatives de suicides et lui faire la morale sans lui demander ce qui lui est arrivé », tempête-t-elle.
Depuis la sortie du livre « La Familia Grande », dans lequel Camille Kouchner accuse Olivier Duhamel d'avoir abusé de son frère jumeau, les victimes d'inceste se sont emparé des réseaux sociaux pour témoigner de ce qui leur est arrivé. Mais parmi elles, combien ont reçu les soins, l'écoute et l'aide de professionnels formés aux violences sexuelles ? « Pour plus de 70% des victimes de viols, le premier recours est le médecin ou le psy mais ils ne sont pas formés ! » s'indigne la présidente de l'association mémoire traumatique et victimologie.
« J'ai plein de patientes dont le parcours de soin a été horrible. Les jeunes sont très souvent diagnostiqués psychotiques ou schizophrènes quand leur mémoire traumatique se réveille.
Certains se retrouvent sous contention dans une chambre d'isolement. C'est terriblement maltraitant ! » s'inquiète-t-elle.»...
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elle |
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Handicap : quels sports autorises a partir du 16 janvier? |
16/01/2021 |
«Durcissement du couvre-feu de 18h à 6h qui, dès le samedi 16 janvier, s'étend à toute la Métropole et la Corse. De nouvelles règles sont édictées qui s'appliquent également à la pratique sportive.
Les personnes handicapées restent "prioritaires". 16 janvier 2021 ...¢ Par Handicap.fr / E. Dal'Secco Thèmes : Commentaires0 Réagissez à cet article Illustration article Si la pratique dans les équipements sportifs couverts est suspendue à compter du 16 janvier 2021 pour les mineurs dans le cadre de l'école, des centres aérés ou des loisirs sportifs, la pratique des adultes comme des enfants restera possible dans l'espace public et dans les équipements sportifs de plein air.»
[...]
«Pour les publics prioritaires
Comme c'était déjà le cas auparavant, certains publics jugés prioritaires peuvent néanmoins bénéficier de dérogations. Il s'agit des : sportifs professionnels, sportifs de haut niveau et autres sportifs inscrits dans le Parcours de performance fédéral, personnes en formation universitaire ou professionnelle, personnes détenant une prescription médicale APA et personnes en situation de handicap reconnu par la MDPH ainsi que l'encadrement nécessaire à leur pratique. Ils conservent l'accès à l'ensemble des équipements sportifs (plein air et couverts). Pour ces publics, l'ouverture des vestiaires collectifs est autorisée, dans les conditions fixées par les protocoles sanitaires. Toutefois, seuls les sportifs professionnels, les sportifs de haut niveau, les publics en formation professionnelle ainsi que l'encadrement nécessaire à leur pratique, seront autorisés à déroger au couvre-feu dans le cadre de leurs déplacements et de l'accès aux équipements sportifs.
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informations.handicap |
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A Genetics-First Approach to Dissecting the Heterogeneity of Autism: Phenotypic Comparison of Autism Risk Copy Number Variants | American Journal of Psychiatry |
02/01/2021 |
«Abstract Objective: Certain copy number variants (CNVs) greatly increase the risk of autism. The authors conducted a genetics-first study to investigate whether heterogeneity in the clinical presentation of autism is underpinned by specific genotype-phenotype relationships.
Methods: This international study included 547 individuals (mean age, 12.3 years [SD=4.2], 54% male) who were ascertained on the basis of having a genetic diagnosis of a rare CNV associated with high risk of autism (82 16p11.2 deletion carriers, 50 16p11.2 duplication carriers, 370 22q11.2 deletion carriers, and 45 22q11.2 duplication carriers), as well as 2,027 individuals (mean age, 9.1 years [SD=4.9], 86% male) with autism of heterogeneous etiology.
Assessments included the Autism Diagnostic Interview-Revised and IQ testing.»
[...]
«Results:
The four genetic variant groups differed in autism symptom severity, autism subdomain profile, and IQ profile. However, substantial variability was observed in phenotypic outcome in individual genetic variant groups (74%–97% of the variance, depending on the trait), whereas variability between groups was low (1%–21%, depending on the trait). CNV carriers who met autism criteria were compared with individuals with heterogeneous autism, and a range of profile differences were identified. When clinical cutoff scores were applied, 54% of individuals with one of the four CNVs who did not meet full autism diagnostic criteria had elevated levels of autistic traits.
Conclusions:
Many CNV carriers do not meet full diagnostic criteria for autism but nevertheless meet clinical cutoffs for autistic traits. Although profile differences between variants were observed, there is considerable variability in clinical symptoms in the same variant.
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ajp.psychiatryonline |
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Arrete du 18 decembre 2020 portant nomination au cabinet de la secretaire d'Etat aupres du Premier ministre, chargee des personnes handicapees - Legifrance |
24/12/2020 |
«Arrêté du 18 décembre 2020 portant nomination au cabinet de la secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargée des personnes handicapées NOR : PRMX2036148A JORF n°0311 du 24 décembre 2020 Texte n° 88 Extrait du Journal officiel électronique authentifié PDF - 176,6 Ko Version initiale La secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargée des personnes handicapées, Vu le décret n° 2017-1063 du 18 mai 2017 modifié relatif aux cabinets ministériels ; Vu le décret n° 2017-1098 du 14 juin 2017 relatif aux collaborateurs du Président de la République et des membres du Gouvernement ; Vu le décret du 3 juillet 2020 portant nomination du Premier ministre ; Vu le décret du 6 juillet 2020 relatif à la composition du Gouvernement, Arrête : Article 1 Mme Véronique BILLAUD est nommée, à compter du 1er décembre 2020, conseillère transformation médico-sociale au cabinet de la secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargée des personnes handicapées.»...
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legifrance.gouv |
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Maroc - Handicap: le CNDH veut rompre avec le systeme de curatelle | H24info |
19/12/2020 |
«Le Conseil national des droits de l'Homme (CNDH) souhaite rompre avec le système de curatelle et mettre en place un système d'assistance au profit des personnes en situation de handicap, a souligné sa présidente, Mme Amina Bouayach, lors d'une conférence jeudi à distance.
Lors de cette rencontre organisée par le Conseil autour du thème « les personnes en situation de handicap et la portée de la personnalité juridique », Mme Bouayach a fait savoir que le CNDH aspire à élaborer un programme ambitieux pour rompre avec le système de curatelle et mettre en place un système d'assistance dédié aux personnes en situation de handicap, indique un communiqué du Conseil.
Elle a également indiqué que cette conférence offre au CNDH et au mécanisme national de protection des droits des personnes en situation de handicap un préambule pour présenter des recommandations visant à garantir la personnalité juridique des personnes en situation de handicap et se veut également une plateforme et un espace pour discuter des problématiques liées à la non-application de la pleine jouissance de la capacité juridique, que se soit sur le plan législatif national, comparatif ou encore normatif international.»
[...]
«Mme Bouayach a, à cet effet, mis l’accent sur les interventions et les observations d’un parterre de pays concernant l’article 12 de la Convention internationale relative aux droits des personnes handicapées qui a trait à la reconnaissance de la personnalité juridique, ajoutant qu' »au vu des rapports des différents États parties que le Comité des droits des personnes handicapées a examinés, il a été constaté l’existence d’un malentendu général en ce qui concerne la portée exacte des obligations des États parties au titre de l’article 12 de la Convention ».
Elle a expliqué que les rapports des États parties reflètent une confusion entre les notions de capacité mentale et juridique, précisant que le Comité concerné par les droits des personnes handicapées avait souligné dans ses observations finales concernant l’article 12, que les États parties doivent réexaminer les lois relatives à la tutelle et entreprendre des mesures pour mettre en place des politiques à même de remplacer le système de « curatelle » dans la prise de décision par le système d' »assistance qui prend en compte l’autonomie et l’indépendance des personnes en situation de handicap ».
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h24info |
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Question de majorite -AAH |
18/12/2020 |
«Le Parlement de Belgique a adopté à l'unanimité une loi qui rétablit l'égalité réelle entre les jeunes hommes et femmes : ceux qui sont handicapés ne devenaient majeurs, en fait, qu'à compter de 21 ans, âge auquel ils entraient dans le système allocataire conçu pour les adultes.
Ils ne pouvaient également pas, avant 21 ans, accéder à l'aide sociale sans que les revenus de leurs parents soient pris en compte, gênant ou empêchant tout projet de vie en autonomie.
C'est la Cour Constitutionnelle belge qui, le 9 juillet 2020, a sanctionné la loi de 1987 qui établissait ce report de trois ans de la majorité légale réelle des jeunes handicapés.
Elle s'est prononcée à la demande d'un tribunal provincial lui-même saisi par un jeune homme auquel l'administration compétente avait été refusé l'accès aux prestations adultes.
Nos jeunes voisins belges peuvent donc, avec effet rétroactif au 1er aout 2020, accéder dès l'âge de 18 ans à l'équivalent de notre Allocation Adulte Handicapé (AAH).»
[...]
«Parce qu’en France, l’âge de la majorité légale des jeunes handicapés est établi à 20 ans depuis la loi du 30 juin 1975 créant cette AAH. Jusqu’à cet âge, ce sont les parents ou tuteurs légaux qui peuvent demander et percevoir l’Allocation d’Éducation de l’Enfant Handicapé (AEEH) qu’ils emploient à leur convenance. Pourquoi 20 ans ? Parce qu’il correspond à l’âge limite du droit des parents à percevoir des prestations familiales, tant que les éventuels revenus de leurs enfants en âge de travailler ne dépassent pas 55% du SMIC. Au moment de la création de l’AAH, l’âge de la majorité avait été abaissé de 21 à 18 ans par la volonté du Président de la République Valéry Giscard d’Estaing. L’âge limite de scolarité obligatoire était alors fixé à 16 ans, autorisant les adolescents à travailler (hors apprentissage) comme les adultes. Et depuis la rentrée 2020, ceux qui ont entre 16 et 18 ans ont l’obligation de se former. Pourtant, depuis 1975 les âges réels de majorité ne coïncident pas en France selon que les jeunes soient valides ou handicapés, et pour ces derniers qu’ils travaillent ou pas. Plus de 45 ans après la loi fondatrice des droits des personnes handicapées, il reste une frontière à franchir dans l’égalité : qui la fera sauter auprès de notre Conseil Constitutionnel ?
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yanous |
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La gestion departementale et les absences des AESH |
17/12/2020 |
«La gestion départementale et les absences des AESH La gestion des AESH est rectorale mais presque toujours le Recteur de l'académie délègue cette gestion aux Inspecteurs d'académie (DASEN). C'est donc l'Inspecteur d'académie du département qui a en charge l'affectation des AESH après que la CDAPH a notifié leur attribution auprès d'un ou de plusieurs élèves.
Et c'est donc à l'Inspecteur d'Académie et à ses services que l'on doit s'adresser pour toute question en rapport avec l'affectation des AESH. Mais si l'on n'obtient pas satisfaction on peut faire appel à d'éventuels recours Dans chaque département, l’Inspecteur d’académie désigne un responsable chargé de coordonner le dispositif d’accompagnement des élèves en situation de handicap, en application de la circulaire n° 2017-084 du 3 mai 2017.»
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«Un coordonnateur départemental organise et coordonne le travail des AESH
Dans chaque département, l’Inspecteur d’académie désigne un responsable chargé de coordonner le dispositif d’accompagnement des élèves en situation de handicap, en application de la circulaire n° 2017-084 du 3 mai 2017.
Ce coordonnateur est chargé de l’organisation et de la planification des emplois du temps des AESH. Il assure la liaison entre les différents partenaires. Il est l’interlocuteur privilégié des directeurs d’école, des chefs d’établissement et des personnels chargés de l’aide humaine.
Un certain nombre de problèmes (choix de l’AESH, horaires d’intervention auprès de l’élève, etc.) peuvent être traités au niveau de la coordination départementale, comme dans cet exemple de règlement d’un cas d’incompétence de l’AESH. Mais les principales difficultés que rencontrent les familles sont liées à l’absence des AESH.
Le coordonnateur départemental est placé sous la responsabilité de l’IEN-ASH. On trouve généralement ses coordonnées sur le site de l’IEN-ASH du département ou on peut la demander à ses services (voir aussi : liste des adresses).
Les PIAL
Dans certains secteurs, les AESH ont une organisation locale en PIAL (Pôle Inclusif d’Accompagnement Localisé). Si c’est le cas, s’adresser au pilote du PIAL (qui est souvent le Principal du collège du Secteur). Ce dispositif prend de plus en plus d’importance.
Les problèmes liés à l’absence des AESH
Les textes officiels rappellent que la présence de l’AESH n’est pas une condition de la scolarisation. L’élève devrait donc être accueilli en classe même en l’absence de l’AESH, à moins qu’une disposition autre n’ait été prévue dans le PPS de l’enfant.
Les textes reconnaissent toutefois la nécessité de prendre en compte l’existence de cas particuliers et de circonstances exceptionnelles. Il peut éventuellement y avoir accord amiable avec des parents conscients de la difficulté pour l’enseignant de s’occuper de l’enfant sans l’aide de l’AESH. Ou alors, l’école peut demander à l’IEN de la circonscription de prendre une décision en urgence, conformément à la circulaire 2006-126 du 17 août 2006 (§ 2-4-3).
Mais en aucun cas l’école ne peut décider seule de refuser un enfant.
On distinguera deux situations :
Les absences de l’AESH qui a été affecté auprès de l’enfant
Il est écrit que le responsable départemental assure le suivi du dispositif. C’est dire qu’il doit répondre aux situations difficiles qui se produisent en cas d’absence de l’AESH. Malheureusement, ses moyens sont limités. Il est rare que le coordonnateur dispose d’un potentiel suffisant de remplaçants !
Alors, que faire ?
En cas d’absence de l’AESH, les parents et le directeur de l’école interrogeront d’abord ce coordonnateur départemental et le pilote du PIAL, si l’école est dans un PIAL, pour savoir ce qu’il en est et pour demander un remplaçant. Ils peuvent mettre une copie de leur courrier ou de leur mail à l’Inspecteur d’Académie et au Recteur.
Mais s’ils ne se passe rien, ils se retrouveront dans la même situation que les parents qui sont toujours en attente de l’affectation d’un AESH.
La non affectation d’un AESH malgré la notification de la MDPH
C’est l’un des dysfonctionnement habituels de le rentrée scolaire : tous les ans les parents et les enseignants sont nombreux à se plaindre de l’absence des ARSH à la rentrée scolaire, malgré les notifications de la CDAPH, tandis que de leur côté des AESH restent dans l’attente d’une affectation. Le difficultés se résorbent dans les jours qui suivent. Et on notera tout de même, pour être juste, que la majorité des 90 000 AESH sont en poste le jour de la rentrée !
Mais il y a aussi les cas où aucun AESH n’est affecté parce que les effectifs de l’Inspecteur d’académie sont épuisés ou encore, dans quelques départements, à Paris par exemple, parce que des postes d’AESH ne sont pas pourvus par manque de candidats. Quelles sont alors les voies de recours pour les familles ?
Dans tous les cas, joindre le coordonnateur départemental des AESH et éventuellement le pilote du PIAL
A défaut de pouvoir régler rapidement le problème, les services de l’Inspection académique qui gèrent les AESH, et notamment le responsable départemental du dispositif devraient être en mesure de renseigner la famille sur le délai d’attente pour l’envoi d’un AESH.
Demander ses coordonnées à la cellule départementale d’écoute des familles 0 805 805 110
Les n° d’appel du Ministère
Le Ministère a mis en place une cellule nationale et des cellules départementales d’écoute des familles qui rencontrent des difficultés quant à la scolarisation de leurs enfants en situation de handicap
un serveur interactif : 0 805 805 110
Faire appel au Recteur
Puisque l’Inspecteur d’Académie (DASEN) ne fournit pas d’AESH, on peut faire appel au Recteur, qui est son supérieur hiérarchique, au moins pour l’informer de la situation. Le Recteur gère les moyens au niveau de l’académie. Ecrire au Recteur, avec copie à l’Inspecteur d’Académie (DASERN) et à l’IEN-ASH conseiller technique du Recteur, dont on trouvera les coordonnées sur conseillers des recteurs
Il peut être utile d’être appuyé par une association.
Le défenseur des enfants
L’intervention du Défenseur des Droits, et en l’occurrence du Défenseur des enfants, s’avère souvent être la procédure la plus efficace. Et la plus rapide.
Des familles qui ont fait appel à la Défenseure des enfants ont obtenu qu’une AESH soit envoyée rapidement dans l’école. La défenseure avait été contactée par mél, sur son site.
Pour la procédure, voir : le défenseur des enfants
Le tribunal administratif
Le tribunal administratif est compétent pour les questions d’orientation (on pourra faire appel à lui, par exemple, quand la décision d’orientation prononcée par la MDPH n’est pas appliquée par l’Education nationale). Le recours doit être formulé dans un délai de deux mois à compter de la date de réception de la notification
Voir l’exemple d’une décision d tribunal administratif de Pau condamnant l’Etat pour non affectation d’un AESH
Une nouvelle jurisprudence vient confirmer que l’on peut saisir le tribunal administratif d’un référé-liberté (audience en 48 heures) pour un élève handicapé dès l’âge de 3 ans, lorsqu’il n’a pas son AESH malgré une notification de la MDPH.
(Tribunal administratif de Nice – Ordonnance du 15 novembre 2019)
Compléments
Les textes officiels sont :
La circulaire n° 2017-084 du 3 mai 2017 – 7.le pilotage
La circulaire 2016-117 du 8 août 2016 – 2.3. L’aide humaine
La circulaire 2019-090 du 5 juin 2019 – Cadre de gestion des personnels exerçant des missions d’accompagnement d’élèves en situation de handicap (AESH)
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ecole-et-handicap |
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Rennes : leur lampe contre la dyslexie va recevoir un prix de medecine |
16/12/2020 |
«Deux physiciens de l'université de Rennes-1 vont recevoir un prix de l'Académie de médecine ce mardi 15 décembre. Albert Le Floch et Guy Ropars ont créé un système qui permet de lutter contre la dyslexie.
Albert Le Floch et Guy Ropars vont recevoir le prix de l'Académie de médecine pour leur découverte. Albert Le Floch et Guy Ropars vont recevoir le prix de l'Académie de médecine pour leur découverte.
Deux chercheurs bretons de l'Université de Rennes-1 vont recevoir un prestigieux prix ce mardi 15 décembre. Albert Le Floch et Guy Ropars, physiciens à l'université de Rennes-1 à Rennes (Ille-et-Vilaine) vont être récompensés par l'Académie de médecine pour leurs recherches sur la dyslexie.
Une pathologie qui toucherait entre 500 et 700 millions de personnes à travers le monde selon les études relayés par la fédération des "Dys". Ce trouble cognitif handicape la lecture.»
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«La lumière pulsée comme solution
Après quinze années de travaux, Albert Le Floch et Guy Ropars ont mis au point une lampe et des lunettes qui permettent de corriger ce trouble. Ils misent sur la lumière pulsée. "C'est un peu comme dans les postes de télévision. L'écran s'éclaire dans un temps très court, puis il se rallume, puis s’éteint de nouveau, de façon alternative. On arrive à effacer tout ce qui est en trop. Dans le cas de la dyslexie, l'enfant lit sur un tableau non effacé. Notre lampe vient effacer ce qui est en trop sur le tableau et l'enfant arrive à lire comme quelqu'un qui n'a pas de problème," explique Albert Le Floch.
Selon les deux chercheurs, la dyslexie pourrait s'expliquer par une malformation des tâches de Maxwell que l'on peut observer dans le fond de nos yeux. Chez les personnes dyslexiques, celles-ci seraient identiques alors qu'elles ne doivent pas se ressembler. L'absence d’œil dominant rendrait le cerveau incapable de faire un choix lors de la lecture des lettres.
Les deux chercheurs bretons ont reçu des centaines d'enfants dans leur laboratoire pour effectuer les tests de leurs appareils. "Notre plus belle récompense était le sourire des enfants à la sortie des essais." A partir du travail d'Albert Le Floch et Guy Ropars, une start-up a commencé à développer une lampe qui pourrait voir le jour "sous peu de temps" précise Romuald Guegan, de la société Lili Light for Life.
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francebleu |
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Vitamin D the clue to more autism spectrum disorder in boys | India Education,Education News India,Education News | India Education Diary |
12/12/2020 |
«A deficiency in vitamin D on the mother's side could explain why autism spectrum disorder (ASD) is three times more common in boys, say researchers from The University of Queensland.
In their latest study, Professor Darryl Eyles and Dr Asad Ali from UQ's Queensland Brain Institute found vitamin D deficiency during pregnancy caused an increase in testosterone in the developing brain of male rats.
“In addition to its role in calcium absorption, vitamin D is crucial to many developmental processes.»
[...]
«“The biological cause of autism spectrum disorder is unknown but we have shown that one of the many risk factors—low vitamin D in mothers—causes an increase in testosterone in the brain of the male foetuses, as well as the maternal blood and amniotic fluid,” Professor Eyles said.
“In addition to its role in calcium absorption, vitamin D is crucial to many developmental processes.
“Our research also showed that in vitamin D-deficient male foetuses, an enzyme which breaks down testosterone was silenced and could be contributing to the presence of high testosterone levels.”
Professor Eyles’ previous research has shown that vitamin D plays a critical role in brain development and that giving vitamin D supplements to mice during pregnancy completely prevented ASD-like traits in their offspring.
Co-author Dr Ali said that excessive exposure of the developing brain to sex hormones like testosterone was thought to be an underlying cause of ASD, but the reasons remained unclear.
“Vitamin D is involved in pathways controlling many sex hormones,” Dr Ali said.
“When the rat mothers were fed a low vitamin D diet, it caused male foetal brains to have high levels of exposure to testosterone.”
Professor Eyles said the study was the first to show that a known risk factor for ASD alters testosterone in both the foetal brain and the mother’s blood — one possible contributor to why ASD is more prevalent in males.
“We have only studied one risk factor for ASD — vitamin D deficiency during development — our next step is to look at other possible risk factors, such as maternal stress and hypoxia – lack of oxygen – and see if they have the same effect,” he said.
This research is published in Molecular Autism (DOI:10.1186/s13229-020-00399-2).
It is a collaboration with The University of Western Australia’s Dr Andrew Whitehouse and funded by the National Health and Medical Research Council Australia and Queensland Centre for Mental Health Research.
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indiaeducationdiary |
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Eleves handicapes : pour avoir le droit a l'ecole a domicile, il faudra lever le doigt - Faire Face |
11/12/2020 |
«Le projet de loi confortant le respect des principes de la République prévoit de soumettre à autorisation le droit d'assurer l'école à la maison. Une pilule dure à avaler pour ces parents d'enfants handicapés qui n'ont d'autre choix que d'assurer l'instruction à domicile.
Car leur fille ou leur fils s'est retrouvé exclu de l'école, faute d'accompagnement, de place en Ulis ou d'orientation adaptée. Gwénaëlle Journet se fait du souci pour la rentrée prochaine.
Pourtant, depuis qu'elle a décidé de faire l'école à la maison à son fils handicapé, il y quatre ans, tout se passe bien. Le jeune garçon de dix ans est atteint du syndrome de Joubert.
Cette maladie génétique affecte ses capacités cognitives et motrices. « Nathan progresse à son rythme », se félicite sa maman. Mais ce qui l'inquiète, c'est l'article 21 du projet de loi confortant le respect des principes de la République.
Il va rendre plus difficile la possibilité d'enseigner à domicile.»
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«Aujourd’hui, un simple courrier d’information
Jusqu’à présent, c’est un droit. « L’instruction obligatoire peut être donnée soit dans les établissements ou écoles publics ou privés, soit dans les familles », stipule l’article L131-2 du code de l’éducation. Les rentrées précédentes, Gwénaëlle Journet n’avait donc qu’à envoyer un courrier d’information à sa mairie et à la direction académique.
Demain, une demande d’autorisation
Mais si le texte passe en l’état, il lui faudra obtenir l’accord de l’Éducation nationale. Le gouvernement souhaite en effet réécrire article L131-2 dans ces termes : « L’instruction obligatoire est donnée dans les établissements ou écoles publics ou privés. Elle peut également, par dérogation, être dispensée dans la famille sur autorisation. »
« Autrement dit, si vous voulez vous soustraire au principe de la scolarisation, vous devrez obtenir l’autorisation des autorités académiques », a explicité Jean Castex, dans Le Monde. Un véritable changement de régime.
« Une démarche administrative de plus ! »
Nathan avance à son rythme, à domicile.
Certes, le projet de loi liste les motifs ouvrant droit à cette dérogation. Y figure, entre autres, « l’état de santé de l’enfant ou son handicap ». « Dans le meilleur des cas, ce sera juste une démarche administrative de plus ! » pointe Gwénaëlle Journet. Avec le risque, cependant, de longs délais de traitement.
« Mais cela pourrait se transformer en obstacle », s’inquiète-t-elle. Sur quels critères l’Éducation nationale accordera-t-elle l’autorisation ? Pourra-t-elle considérer que l’enfant serait mieux en Ulis ou en IME ?
« Nous avons dû chercher des alternatives à l’école. »
Les trois premières années de maternelle, Nathan était inscrit à l’école de son quartier. Avec une notification de 25 heures d’accompagnement par un AESH… dont il n’a jamais réellement bénéficié. « Sa scolarisation en classe étant un échec, nous avons dû chercher des alternatives à l’école », rappelle sa mère.
L’Ulis ? « Pas adapté car Nathan a besoin d’un suivi individuel ». L’IME ? « Trop loin et pas conforme à nos souhaits. » Restait l’école à la maison. « Conseillée par l’inspectrice d’académie ! »
Une double pleine et une humiliation
« Comment le gouvernement va-t-il expliquer à des parents d’élèves handicapés n’ayant d’autre choix que l’instruction en famille qu’ils doivent demander une autorisation ?, interroge Marion Aubry, vice-présidente de Toupi, une association pour l’inclusion des personnes atteintes de handicap cognitif. C’est une humiliation. »
« Il y a un côté double peine pour ces mères et ces pères, approuve Bénédicte Kail, conseillère nationale éducation d’APF France handicap. L’école ne veut plus de leur enfant. Ou il a été orienté en IME mais il n’y a pas de place… Et pourtant, ils vont devoir solliciter une dérogation pour faire l’école à la maison. C’est violent ! »
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faire-face |
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Ecole a la maison : pas d'interdiction en cas de handicap |
10/12/2020 |
«Le gouvernement a décidé d'assouplir l'interdiction de la scolarité à domicile, point clé du projet de loi contre le séparatisme. Des dérogations seront notamment accordées pour les enfants handicapés, malades ou encore les sportifs de haut niveau.
10 décembre 2020 ...¢ Par L'AFP pour Handicap.fr Thèmes : Commentaires0 Réagissez à cet article Illustration article Le gouvernement va "encadrer" plus strictement la scolarité à domicile dans le projet de loi sur le séparatisme mais va étendre les exceptions possibles au principe de l'instruction à l'école, a-t-on appris, le 8 décembre 2020, de l'entourage du ministre de l'Education nationale, Jean-Michel Blanquer.
En détaillant ce projet de loi, qui est présenté le 9 décembre en Conseil des ministres, le président Emmanuel Macron avait annoncé en octobre la fin de l'instruction à domicile, à quelques rares exceptions notamment médicales.
Face au tollé et au risque d'inconstitutionnalité, l'exécutif a décidé d'assouplir la mesure...»
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«Dérogations en cas de handicap
Le gouvernement souhaite "passer à un système encadré, avec des demandes d'autorisation auprès du rectorat", a-t-on précisé dans l'entourage de M. Blanquer qui veut en finir avec un système "très libéral" où, "sur simple déclaration, une famille peut informer sa mairie et l'Education nationale" de son souhait de scolariser ses enfants à la maison. "Le principe sera celui de la scolarisation à l'école avec des dérogations pour la santé, le sport, le handicap, les gens du voyage, les sportifs de haut niveau et un critère plus général qui sera fondé sur un projet pédagogique pour l'enfant", a ajouté cette source. "Les services du rectorat prendront en considération la demande des parents, le projet formé par les parents et l'ensemble des critères qui leur permettront d'accorder ou non cette autorisation", ajoute-t-on de même source.
L'instruction à la maison multipliée par 10
Sur le volet de l'instruction en famille, "nous sommes confrontés à une forte progression des effectifs, qui a justifié une réflexion sur de la régulation de ce secteur. Nous sommes aujourd'hui à 62 000 enfants inscrits à l'instruction en famille, c'est une multiplication par deux par rapport à l'année 2016", dit-on au ministère. "Nous ne pouvons pas laisser ce chiffre croître d'année en année sans être en capacité d'apprécier de manière plus précise les motivations et les situations individuelles", se défend le ministère. Ce dernier se veut clair : "L'objectif affiché est de pouvoir réduire le nombre d'enfants instruits en famille, le gouvernement n'entend pas se cacher derrière son petit doigt". Selon lui, "les convictions politiques, religieuses ou philosophiques des familles ne pourront pas venir justifier le choix d'inscrire l'enfant en instruction à domicile puisque le but est de privilégier l'intérêt de l'enfant et non pas la seule volonté propre des parents".
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informations.handicap |
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Tribunal de Brest : un professeur de guitare reconnu coupable d'avoir agresse sexuellement son eleve autiste - Brest - Le Telegramme |
09/12/2020 |
«Ce mardi, un retraité a été condamné à douze mois d'emprisonnement avec sursis par le tribunal de Brest. Il a été reconnu coupable d'agression sexuelle sur une jeune fille âgée de 15 ans.
Tribunal de Brest : un professeur de guitare reconnu coupable d'avoir agressé sexuellement son élève autiste (Photo d'illustration Le Télégramme) Ce mardi, un retraité a été condamné à 12 mois d'emprisonnement avec sursis par le tribunal de Brest.
Il a été reconnu coupable d'agression sexuelle sur une jeune fille âgée de 15 ans. L'homme de 61 ans donnait des cours de guitare, dans un village de la région de Brest. Le 6 mai 2017, une élève de 15 ans et demi, souffrant de troubles autistiques, se plaint à sa grand-mère.
Son professeur de guitare l'aurait embrassée et aurait caressé son entrejambe. « J'ai failli pleurer », confie-t-elle ensuite à sa mère, qui décide de porter plainte. La jeune fille, même si elle n'est pas « sexualisée », sait reconnaitre ce qui est bien ou mal.»...
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letelegramme |
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Abus sexuels presumes dans un I.M.E de Voiron en Isere : l'avocat general demande de rouvrir l'enquete |
09/12/2020 |
«Neuf familles ont fait un recours devant la cour d'Appel de Grenoble. Il était examiné, ce mardi matin, l'avocat général a requis un complément d'enquête, alors qu'au mois d'avril, le juge d'instruction avait prononcé un non-lieu.
Ces adolescents autistes auraient subi des abus sexuels en 2014-2015 L'affaire d'abus sexuels présumés sur des enfants et adolescents autistes dans un IME de Voiron n'est pas encore terminée.
Les familles ont l'espoir que la justice rouvre l'enquête. C'est ce que l'avocat général a requis devant la cour d'Appel de Grenoble. Elle avait été saisie par les parents des victimes présumées après le classement sans suite de leurs plaintes par la justice, en avril.»
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«La cour d'appel rendra sa décision le 28 janvier
Neuf familles avaient porté plainte en 2015. Leurs dix enfants autistes affirmaient avoir subi des abus sexuels fin 2014, début 2015. Trois éducateurs étaient désignés par les enfants. En avril dernier, la justice avait rendu un non-lieu général, en raison d'un manque de preuves et en raison de la fragilité de la parole des enfants et adolescents.
"Cela nous a fait du bien d'entendre les plaidoiries., on se sent entendus", raconte Céline à la sortie de l'audience à huis-clos. "C'était difficile. L'agresseur de mon fils était là. Le revoir, pour moi, cela a été ... dérangeant". Cette maman d'un adolescent de 15 ans au moment des faits poursuit : "Il fallait que je sois là pour soutenir mon enfant et les autres". Ce qu'elle attend de cette procédure ? "Qu'on fasse une vraie enquête pour trouver réellement ce qui s'est passé, parce qu'ils ont été agressés."
L'impression d'avoir été entendues pour les familles
"Nous sortons d'une audience durant laquelle la justice a été extrêmement attentive", dit maître Céline Astolfe qui intervenait pour la Fondation pour l'Enfance. "Il faut aussi dire que le parquet général a suivi les demandes des parties civiles en étant favorable à un supplément d'information. Ce qui nous semble être une excellente nouvelle pour cette famille qui est depuis des années à attendre que des investigations complémentaires soit faites, et que la justice aille vraiment au bout de cette affaire dans laquelle des enfants ont été victimes dans cet institut médico-éducatif".
Maître Myriam Guedj-Benayoun, qui représente l'association "Innocence en danger" réclame "l'audition de tous les enfants par des professionnels psychiatres ou psychologues du handicap et de l'autisme, la confrontation avec les éducateurs incriminés et, surtout, surtout, que le juge d'instruction interroge deux des trois éducateurs. Il n'en avait interrogé qu'un seul".
Deux éducateurs n'ont pas été entendus par la justice. Pourquoi ?
Selon Maître Astolfe : "On ne l'explique pas. Justement ! On a l'impression que, peut-être, l'enquête a été faite rapidement. La question qui se posait, c'était de savoir si le juge pouvait entendre les deux éducateurs puisque un seul a été entendu. Donc, nous avons sollicité, officiellement, l'interrogatoire de ces deux éducateurs"
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francebleu |
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'' Le secret de la Victoire '' - OrangeDay #Violences #femmes #Sport / 10 Decembre 2020 | Billets | Autres | Billetto ...” France |
07/12/2020 |
«Evénement en ligne 10 Déc 2020 20:30 - 22:30 Association AFFA et Mémoire traumatique et Victimologie Billets Gratuit Obtenir des billets Allez avec des amis Dans le cadre des #16jours #orangeDay #Violences #filles #femmes, #OrangeTheWorld, initié par ONU Femmes, l'association AFFA et l'association Mémoire Traumatique et Victimologie vous invite à une table ronde en visio-conférence avec des sportives internationales : Abitbol Sarah, Larcade Audrey, Plaza Mélissa et Marie Rabatel, avec une experte du psychotraumatisme, la Dre Muriel Salmona et les interventions de Roxana Maracineanu Ministre déléguée attachée au sport et Adrien Taquet Secrétaire d'Etat de l'Enfance et des familles.
Une soirée inédite basée sur des témoignages de femmes victimes en tant qu'enfant ou adolescente, de harcèlement, discriminations, violences sexuelles... Elles parleront de l'apport et des valeurs du sport pour faire face aux conséquences psychotraumatiques.
Leur plus grande victoire secrète de leur vie grâce à leur mental d'acier ! La plus haute marche du podium n'est pas celle que l'on croit ...»...
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billetto |
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Réponse Question n°24249 - Assemblee nationale |
07/12/2020 |
«Texte de la question Mme Valérie Rabault interroge M. le ministre de l'éducation nationale et de la jeunesse sur les prescriptions des commissions des droits et de l'autonomie des personnes handicapées (CDAPH) pour la scolarisation des élèves en situation de handicap.
Elle souhaiterait qu'il lui communique, par département, les données suivantes telles qu'elles ont été arrêtées le jour de la rentrée scolaire 2019, d'une part, au titre de l'aide humaine individuelle et d'autre part, au titre de l'aide humaine mutualisée : le nombre de prescriptions reçues ; le nombre d'élèves bénéficiant de l'aide prescrite ; le nombre d'élèves en attente d'un accompagnement et le taux de couverture de ces prescriptions en %.»
[...]
« Texte de la réponse
Permettre à l'École de la République d'être pleinement inclusive est une ambition forte du Gouvernement qui a fait du handicap une priorité du quinquennat. Conformément à l'article L. 111-1 du code de l'éducation, le service public de l'éducation veille à l'inclusion scolaire de tous les enfants, sans aucune distinction. La loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019 pour une « école de la confiance » consacre le chapitre IV à l'école inclusive et transforme en profondeur l'accompagnement des élèves en situation de handicap. Dès la rentrée 2019, plusieurs mesures ont d'ores et déjà été mises en place :
• le recrutement des AESH par contrat à durée déterminée de trois ans, renouvelable une fois avant transformation en contrat à durée indéterminée ;
• la mise en place d'une formation de 60 heures obligatoire dès la première année du contrat pour tous ces accompagnants et l'ouverture des plans de formation académiques et départementaux à ces personnels ;
• la pleine reconnaissance des accompagnants comme professionnels à part entière au sein des équipes éducatives. Ainsi, les AESH participent aux équipes de suivi de la scolarisation (ESS) et un entretien est rendu obligatoire avec la famille et l'enseignant de l'élève en début d'année scolaire ;
• la désignation dans chaque département d'un ou de plusieurs AESH « référents » chargés de fournir un appui à d'autres AESH dans l'exercice de leurs missions. Ces mesures sont des étapes importantes vers la déprécarisation du métier et la stabilité des contrats. Enfin, la loi précitée entérine également la création des pôles inclusifs d'accompagnement localisés (PIAL). Cette nouvelle forme d'organisation a pour objectif de coordonner les moyens d'accompagnement humain au sein des écoles et établissements scolaires de l'enseignement public et de l'enseignement privé sous contrat. Ces dispositifs sont conçus de manière à mieux prendre en compte les besoins éducatifs particuliers de l'élève en situation de handicap en vue du développement de son autonomie. Le PIAL offre une souplesse organisationnelle aux écoles et aux établissements scolaires leur permettant de déterminer comment mettre en œuvre cet accompagnement humain en fonction des besoins des élèves, suite à la prescription de la MDPH. Les données actualisées, à la date du 31 mai 2020, au niveau national, sont les suivantes :
• le nombre de prescriptions reçues au titre de l'aide individuelle s'élève à 91 147, et le nombre d'élèves accompagnés est de 85 291, le taux de couverture est donc de 93,6 % ;
• le nombre de prescriptions reçues au titre de l'aide mutualisée est de 140 097 et le nombre d'élèves accompagnés est de 129 325, soit un taux de couverture de 92,3 %. Le détail par département s'établit comme suit :
Départements
Aide individuelle
Aide mutualisée
Élèves avec prescription
Élèves accompagnés
Élèves en attente
Taux de couverture
Élèves avec prescription
Élèves accompagnés
Élèves en attente
Taux de couvertur
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questions.assemblee-nationale |
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Infant hearing test might be sound predictor of autism | Spectrum | Autism Research News |
04/12/2020 |
«Babies who are later diagnosed with autism have a slightly slower brain response to sound on a newborn hearing test than non-autistic babies do, according to a new study. The findings suggest that the screen, called the auditory brainstem response (ABR) test, could one day help clinicians identify autism in infants, says study investigator Oren Miron, research associate in biomedical informatics at Harvard University.
The ABR test is already used to screen nearly all babies born in a U.S. hospital for hearing impairments. Infants in a neonatal intensive care unit who were later diagnosed with autism showed delayed brain responses to sound on this test at around 10 days old, according to a 2012 study.
And autistic children aged 2 to 6 years can also show ABR delays, a 2017 study suggests. But those analyses both exposed participants to higher-intensity sounds than are typically used in routine screening.
The new work investigated whether the results from conventional ABR screenings can foretell autism, too. "There's a brain test that's done on every newborn to detect hearing impairment, and it's already been shown it's abnormal in children with autism," Miron says.
"Once we develop this marker further, it could help us modify those 4 million hearing tests that are done each year so they'll also test for autism." “It is important that we have more support for auditory problems in [autism], and this paper supports that these are detectable at birth,” he says.
“The sooner kids are diagnosed with [autism], the sooner interventions and therapies can start.”»
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«The study supports the notion that hearing impairments are a cardinal sign of autism, says Randy Kulesza, professor and director of anatomy at Lake Erie College of Osteopathic Medicine in Erie, Pennsylvania, who was not involved in the study.
“It is important that we have more support for auditory problems in [autism], and this paper supports that these are detectable at birth,” he says. “The sooner kids are diagnosed with [autism], the sooner interventions and therapies can start.”
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spectrumnews |
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AJPP - L'Assemblee nationale ameliore l'aide aux parents d'enfants gravement malades - Le Parisien |
26/11/2020 |
«Unanime, l'Assemblée nationale a adopté la proposition de loi présentée par Paul Christophe (Nord) du groupe Agir ensemble, pour permettre aux parents d'enfants souffrant d'une pathologie grave de bénéficier d'un dispositif amélioré pour rester plus longtemps à leurs côtés.
Le dispositif actuel prévoit 310 jours de congé de présence parentale (CPP) et d'allocation journalière de présence parentale (AJPP), dans la limite d'une durée de trois ans.
Ce droit à 310 jours de CPP et d'AJPP peut être renouvelé en cas de rechute ou de récidive de la maladie, après la période de trois ans. Pour répondre à certaines situations, en particulier les familles dont les enfants sont atteints d'un cancer, ce texte ouvre la possibilité, sous certaines conditions, de renouveler le versement de l'allocation pour un maximum de 310 jours et pour trois ans, sans attendre le terme de la première période de trois ans.»...
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leparisien |
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Sondage MDPH - Survio |
25/11/2020 |
«Sondage MDPH Sondage MDPH Ce sondage s'adresse à tous les aidants-familiaux d'enfant et d'adulte en situation de handicap. Son objectif est de faire le point sur les prises en charge des différents départements sur la PCH ( aide humaine et aides techniques) et sur l'AAEH et ses compléments pour encore une fois défendre nos droits.
De nombreuses inégalités dont le gouvernement a largement conscience persistent pour le dénoncer, nous avons besoin d' un état des lieux le plus précis possible. Dans ce but, le Collectif Handi-Actif vous remercie de bien vouloir partager au plus grand nombre le lien du sondage; Selon votre situation vous n'aurez pas à répondre à toutes les questions.
Le sondage vous prendra entre 3 et 10 minutes. 10 min au plus qui bénéficieront à tous ! Pensez à prendre avec vous une notification MDPH pour les différentes aides dont vous avez pu bénéficier.
UN GRAND MERCI POUR VOTRE PARTICIPATION ET VOTRE PARTAGE»...
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survio |
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Prolonged Auditory Brainstem Response in Universal Hearing Screening of Newborns with Autism Spectrum Disorder - Miron - - Autism Research - Wiley Online Library |
24/11/2020 |
«Abstract Previous studies report prolonged auditory brainstem response (ABR) in children and adults with autism spectrum disorder (ASD). Despite its promise as a biomarker, it is unclear whether healthy newborns who later develop ASD also show ABR abnormalities.
In the current study, we extracted ABR data on 139,154 newborns from their Universal Newborn Hearing Screening, including 321 newborns who were later diagnosed with ASD. We found that the ASD newborns had significant prolongations of their ABR phase and V...negative latency compared with the non...ASD newborns.
Newborns in the ASD group also exhibited greater variance in their latencies compared to previous studies in older ASD samples, likely due in part to the low intensity of the ABR stimulus.
These findings suggest that newborns display neurophysiological variation associated with ASD at birth. Future studies with higher...intensity stimulus ABRs may allow more accurate predictions of ASD risk, which could augment the universal ABR test that currently screens millions of newborns worldwide.»...
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Handicap : comment les directions juridiques s'impliquent-elles dans l'inclusion des futurs talents |
23/11/2020 |
«A l'occasion de la semaine européenne du handicap, l'association Droit comme un H ! a organisé, en partenariat avec le Cercle Montesquieu, l'AFJE et Atorus Executive Interim Management, un webinaire sur l'inclusion des jeunes talents en situation de handicap au sein des directions juridiques, afin de mener une réflexion sur la façon de faciliter leur accès aux professions du droit.»...
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affiches-parisiennes |
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Vidéo - Semaine pour l'emploi : le handicap entre discours et realite - YouTube |
22/11/2020 |
«A en croire les discours officiels, l'inclusion des personnes handicapées est une réalité. Ce que vivent les personnes concernées est pourtant fort différent. Plongée dans les tabous et non-dits de l'univers du handicap.»...
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En France, «l'avis des jeunes n'est pas entendu» - Liberation |
22/11/2020 |
«Dans son rapport annuel sur les droits de l'enfant, la Défenseuse des droits, Claire Hédon, plaide pour une meilleure prise en compte de la parole des mineurs. En France, «l'avis des jeunes n'est pas entendu» Ne pas prendre en compte la parole de l'enfant est considéré comme une première forme de violence.
Or sa parole «est étrangement absente», constate la Défenseuse des droits, Claire Hédon, dans un rapport rendu public ce vendredi à l'occasion de la Journée internationale des droits de l'enfant.
Pourtant, l'article 12 de la Convention internationale des droits de l'enfant garantit à chacun le droit d'exprimer librement son opinion le concernant. Qu'est-ce qui bloque alors ? Le rapport pointe d'abord le problème de formation et de sensibilisation des adultes sur cette question.
Conséquence, ces derniers «manquent de considération à l'égard de l'enfant et de ses opinions». Les enfants restent en effet trop souvent considérés comme des petits êtres fragiles, manquant de connaissances et de maturité pour se forger leur propre opinion et oser l'exprimer.»
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«A l’école, orientations subies et sanctions arbitraires
Les 2 200 jeunes consultés témoignent d’un «manque de considération de leur personne, de leur avis et de leurs rêves par les adultes qui les entourent». A l’école, certains expliquent ne pas avoir eu leur mot à dire quant à leur orientation. Les enfants de milieux défavorisés ont même «plus de risques de subir une orientation imposée», majoritairement en lycée professionnel pour les adolescents sans logement par exemple. En cause notamment, le manque d’information et «l’assignation par laquelle l’école circonscrit ses enfants du fait de leur milieu d’origine, à des orientations moins ambitieuses». Claire Hédon demande donc à ce que les enfants soient entendus et «respectés dans leurs souhaits».
La Défenseuse des droits a par ailleurs été saisie de situations pendant lesquelles des élèves ont été exclus des temps périscolaires, de la cantine ou même d’un établissement privé sous contrat, «sans même avoir été entendus». Claire Hédon invite les établissements scolaires et les autorités chargées de tutelle de «s’assurer que l’enfant soit en mesure d’exprimer les faits qui lui sont reprochés avant toute décision de sanction à son encontre». La base donc.
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liberation |
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Instruction en famille: «Certains enfants ne sont pas adaptes au systeme scolaire, ne les stigmatisons pas!» |
21/11/2020 |
«Nicolas Bouzou est économiste et essayiste. Il vient notamment de publier en septembre dernier L'amour augmenté, Nos enfants et nos amours au XXIe siècle (éditions de l'Observatoire.) De nombreux parents s'inquiètent à juste titre d'une disposition du projet de loi contre le séparatisme.
Celle qui prévoit que, dès la rentrée 2021, l'instruction à l'école sera obligatoire dès 3 ans, l'instruction à la maison étant limitée aux enfants souffrants de problèmes de santé. A vrai dire, on voit mal le lien qui existe entre les deux sujets.»
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Certains enfants supportent mal les groupes, le regard des autres, l’organisation scolaire tout simplement
Certains enfants ne sont simplement pas adaptés au système scolaire et il serait dramatique de les stigmatiser. L’Éducation Nationale est une organisation gigantesque et fortement centralisée. Cela se comprend dans la mesure où la promesse égalitariste française consiste à fournir à tous les enfants la même instruction. Simplement, certains enfants supportent mal les groupes, le regard des autres, l’organisation scolaire tout simplement. La phobie scolaire, cela existe.
Est-ce trop demander que laisser en place l’échappatoire qui permet de s’instruire à la maison quelques temps? Doit-on aussi rappeler que, selon l’UNICEF, 700 000 élèves souffrent de harcèlement scolaire dans notre pays? 12% des élèves de primaires! Parfois, le retour en famille, qui concerne surtout les plus jeunes élèves, constitue la solution. Le Gouvernement évoque une «socialisation» nécessaire des enfants.
À lire aussi : Faut-il interdire l’école à la maison pour tous à cause des dérives de quelques familles?
Il me semble pourtant que les familles savent aussi bien que l’État dans quelle mesure les enfants ont besoin d’être «socialisés». En outre, l’instruction en famille ne signifie pas l’enfermement dans la famille. On peut voyager, découvrir le monde, faire du sport ou de la musique, se créer des amitiés ailleurs que dans le strict cadre scolaire. On comprend mal qu’un président libéral accepte des arguments à ce point étatistes dignes de la gauche du début des années 1980.
Un président libéral pourrait aussi comprendre que la concurrence permet l’émergence des nouvelles pratiques pédagogiques, dont la diffusion peut s’avérer positive pour la société toute entière. C’est la raison pour laquelle les établissements scolaires hors contrat sont si importants. Le Gouvernement a entièrement raison de faciliter la fermeture de ceux qui se placeraient au service de l’Islam radical comme il a raison de vouloir mieux contrôler l’éducation en famille.
Que les programmes et les examens soient nationaux ne pose pas de souci de principe. Que l’organisation scolaire le soit en est un
Mais, en matière éducative, la France gagnerait à libérer plutôt qu’à restreindre. C’est ce qu’ont fait les États-Unis avec les chartered school ou les britanniques avec les free school (ces écoles gratuites, fondées par des enseignants ou des parents d’élève, qui disposent d’une grande liberté pédagogique). Les économistes savent qu’un marché monopolistique augmente les coûts, diminue les quantités et la qualité des services rendus. À l’inverse, la concurrence régule les coûts, accroît les quantités et la qualité. L’école n’échappe pas à ce modèle.
Que les programmes et les examens soient nationaux ne pose pas de souci de principe. Que l’organisation scolaire le soit en est un. Toutes les études montrent que notre système scolaire est aussi égalitaire en paroles qu’il est inégalitaire en réalité, que le niveau en français, en mathématiques et en langue diminue dangereusement. Il ne s’agit pas de jeter la pierre à l’Éducation Nationale, mais de souligner que laisser émerger des formats un peu alternatifs ne peut pas faire de mal.
À lire aussi : Ces parents qui veulent continuer l’école à la maison
Le sujet de la liberté scolaire est épidermique en France. Outre que la stratégie gouvernementale est, sur le fond, critiquable, elle manque terriblement de sens politique. Pourquoi se mettre les familles à dos alors que notre pays souffre déjà de multiples traumatismes? Pourquoi établir un lien implicite entre une instruction à la maison et un radicalisme religieux qui mène au terrorisme?
Par difficulté à attaquer l’Islam radical avec précision et efficacité, on pénalise un grand nombre de familles qui ne demandent qu’à offrir le meilleur à leurs enfants. Le Gouvernement doit corriger sa piètre
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lefigaro |
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Autisme info service : pas a la hauteur des enjeux ? |
21/11/2020 |
«Nous n'avons pas de baguette magique », répond l'une des intervenantes d'Autisme info service (AIS) à des parents. Plus de 18 mois après son lancement en mars 2019 (article en lien ci-dessous), à grand renfort de communication et une centaine d'article dans les medias, quel bilan tirer de cette plateforme téléphonique ? La magie n'a peut-être pas opéré pour tous et son mode de fonctionnement soulève de vraies interrogations sur sa capacité à répondre aux attentes, souvent urgentes et complexes, des familles touchées par l'autisme.
58 % des questions concernent en effet le diagnostic, l'éducation ou l'accompagnement ; des appels « majoritairement problématiques et d'une durée supérieure à 15 minutes », selon AIS. Si, au total, 82 488 requêtes ont été traitées, des parents regrettent de ne pas avoir eu les réponses escomptées.
Mais, pour proposer des solutions, encore faut-il qu'elles existent...»
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«Un peu d'histoire…
AIS a été créée par Florent Chapel, ex-membre du Collectif autisme, avec l'acteur Samuel Le Bihan, lui-même papa d'une fillette autiste (article en lien ci-dessous). « Historiquement, dans le champ de l'autisme, les associations ont joué un rôle important pour renseigner les familles mais ce n'était ni suffisant ni garant d'une présence sur l'ensemble du territoire », explique Claire Compagnon, déléguée interministérielle (DIA) chargée de la mise en œuvre de la Stratégie nationale autisme au sein des troubles du neuro-développement. C'est ainsi qu'est née AIS, soutenue par la DIA et le secrétariat d'Etat au Handicap, avec des subventions de la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA) de l'ordre de 20 % et de la région Ile-de-France (80 000 euros). Son budget annuel s'élève à 500 000 euros (soit 1,2 million sur 2 ans et demi). En dépit d'apparences « institutionnelles », cette initiative définie comme le « premier dispositif national » qui répond à « une mission d'intérêt général » est bel et bien soutenue principalement par des fonds privés.
Des associations de l'autisme à la marge ?
Si quelques entités y sont associées (SOS Solidarités, Unapei, Croix-Rouge, Autistes sans frontières, Agir et vivre l'autisme…), on peut s'étonner que les associations référentes n'y figurent pas. Sésame autisme, elle, n'est impliquée que via la présence d'un de ses membres, à titre personnel, dans le conseil d'administration, qui « a ainsi tout loisir d'avoir accès aux infos utiles », précise Florent Chapel. Quant à Autisme France, interrogée par Handicap.fr, elle n'a pas souhaité s'exprimer à ce sujet, mentionnant seulement qu'elle en avait été « exclue », ce que réfute aujourd'hui Florent Chapel. Même s'il consent ne pas avoir mené d'action proactive dans ce sens, et s'être montré « méfiant » au départ, il assure que les « mains restent tendues » vers tous les acteurs de l'autisme, espérant que « ces associations rejoindront, un jour, le comité inter-associatif ». AIS dit d'ailleurs avoir collaboré avec Autisme France durant le confinement. « Cette plateforme aurait dû être gouvernementale puisque c'est un sujet sérieux de santé publique qui ne supporte pas l'à-peu-près. Toutes ces associations, nationales et de terrain, auraient dû être parties prenantes pour plus d'efficacité. Cela nous aurait aussi permis d'apprendre à travailler tous ensemble », déplore Olivia Cattan, présidente de SOS autisme. Dans un milieu explosif, toujours prompt à dégainer, voilà le décor planté…
Un testing surprenant
Le 26 octobre 2020, France 2 organisait un débat en présence de Claire Compagnon offrant une vision pour le moins « idyllique » de la prise en charge de l'autisme en France ; elle s'est, notamment, appuyée sur cette plateforme d'écoute comme vitrine de la réussite de la Stratégie autisme. Des familles en colère ont alors contacté SOS autisme en envoyant des enregistrements de leur appel à la plateforme ; certains sont éloquents… « C'est bien la première fois qu'on a des retours négatifs », s'étonne Florent Chapel, se disant « super transparent » et « droit dans ses bottes ». « Quand vous aidez 60 000 personnes, il y a forcément des mécontents », ajoute-t-il. Mais, selon lui, « 95 % des messages reçus sont des remerciements », avant d'ajouter : « nous sommes la seule initiative totalement professionnelle ». Et pourtant…
Lors d'une conversation, une répondante qui n'a pas le droit de communiquer le nom de médecins puisque cette profession est réglementée en donne tout de même à l'oral. La réponse type qu'AIS fait à ses usagers reconnaît pourtant que « les codes de déontologie médicaux prévoient l'interdiction de toute forme de publicité ». Une « maladresse qu'il convient de corriger », selon Florent Chapel. AIS confirme cependant renvoyer certaines familles vers un membre de son comité scientifique, le Dr Saravane pour ne pas le nommer, mais qui est « à la retraite et bénévole », ou encore vers un médecin du Centre de ressources autisme Ile-de-France (CRAIF). Ensuite, à plusieurs reprises, les répondantes admettent que les hôpitaux sont surchargés et les médecins surbookés, et qu'il y a « deux ans d'attente », adressant « ceux qui en ont les moyens vers des thérapeutes en libéral » qui facturent des consultations jusqu'à 400 euros. Elles recommandent également d'aller chercher l'info sur Google ou Doctolib et renvoient vers l'annuaire national ou celui du CRAIF (le TAMIS). Laissant leurs interlocuteurs pour le moins démunis…
Des domaines inexplorés
Pour ce qui est de l'inclusion scolaire, « à part indiquer les noms des unités localisées pour l'inclusion scolaire (Ulis) de maternelle, aucune aide ne peut être apportée sur le manque et la non formation des accompagnants d'élèves en situation de handicap (AESH) ou sur l'inclusion scolaire des collégiens et lycéens », regrette SOS autisme. Concernant l'inclusion professionnelle, l'écoutante explique « qu'il n'y a rien »... AIS consent qu'elle a « des difficultés à identifier des dispositifs en matière d'emploi, avec seulement deux validés et neuf en attente (hors Ile-de-France). Un projet de partenariat avec Pôle emploi est néanmoins à l'étude, qui permettra de proposer un accueil adapté, pour le moment seulement en Ile-de-France. Même zone blanche pour les activités sportives et culturelles avec seulement 19 références validées et 41 en attente « que doit transmettre la DIA ». Florent Chapel constate qu'il y a non seulement très peu d'initiatives dans ce domaine mais, qu'en plus, « malgré de nombreuses relances », elles rechignent à renvoyer les infos réclamées pour alimenter la propre base de données de la plateforme.
Un annuaire à compléter
AIS dispose en effet de son propre annuaire de ressources, qui compte, à ce jour, 827 références, et 1 359 en cours de vérification. « Jamais Google, lui, ne vérifie les diplômes des professionnels ou leur adhésion aux recommandations de la Haute autorité de santé (HAS) », insiste Claire Compagnon. Si cette dernière assure que, « plus que le volume, c'est la qualité des contacts qui crée la valeur de cet annuaire », une présidente d'association, qui souhaite rester anonyme -ils sont nombreux à avoir un avis mais, alors que les langues se délient, les visages préfèrent rester couverts- prévient de son côté que cet outil est « non pertinent ». « Les plus mauvais se font aussi répertorier et les bons professionnels sont rares et n'ont pas besoin de pub... Et une plateforme de non-professionnels ne peut pas juger qui est bon ou pas. »
Les limites du système
« AIS a réussi à se hisser parmi les premières sources d'informations sur l'autisme en France », assure la DIA. Au total, quatre répondantes décrochent le téléphone, qui ne sont pas des professionnelles de l'autisme mais des mamans. « Etre maman ne suffit pas. Savoir écouter, c'est un vrai métier », s'inquiète Olivia Cattan. Florent Chapel assure qu'elles sont « parfaitement polyvalentes ». « Cette écoute bienveillante, on la revendique, prévient-il, car certains ont vraiment besoin d'une épaule mais, à côté de cela, on ne bricole pas. Chaque appel fait l'objet d'un récapitulatif avec des données », même s'il admet qu'on ne « peut pas non plus passer trois jours sur chaque dossier ». Or un président d'association explique que « dans l'autisme, il n'y a pas de solution miracle. Pour aider une famille en détresse, il faut faire jouer son réseau, contacter les services publics et les professionnels, monter une équipe de médiation, mettre de l'huile dans les rouages ». Selon lui, ces recherches exigent des « analyses fines » qu'AIS n'est pas en mesure de mettre en oeuvre. Cette plateforme n'est en effet ouverte que 22 heures par semaine : du lundi au vendredi de 9 à 13h, par téléphone, avec une plage supplémentaire les mardis de 18 à 20h (fermée en août et entre Noël et le Jour de l'an), en plus des demandes par courriel. « Partout en France, nous tentons de mettre en lumière les solutions qui existent et fonctionnent », assure Marion Lavergne-Chadefaux, déléguée générale d'AIS. Certaines réponses sont néanmoins aveu d'impuissance…
Des améliorations à venir
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Le Defenseur des droits alerte: ces enfants prives de parole |
21/11/2020 |
«« A l'heure où les discours sur l'enfant semblent très en vogue, la parole de l'enfant est étrangement absente », interpelle Claire Hédon, qui déplore que « trente ans après l'adoption de la Convention par les Nations unies, la culture des droits de l'enfant peine à s'installer durablement ». A l'occasion de la Journée internationale pour les droits de l'enfant le 20 novembre 2020, en présence de son adjoint, Eric Delamar, tout juste nommé Défenseur des enfants (article en lien ci-dessous), la Défenseure des droits (DDD) a rendu public son rapport intitulé « Prendre en compte la parole de l'enfant : un droit pour l'enfant, un devoir pour l'adulte ».»
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«Priorité aux vulnérables
Quel constat ? Que ce soit en famille, à l'école, dans le cadre de procédures judiciaires, dans les lieux de placement, de nombreux enfants ne sont pas en mesure de faire entendre leur voix et ne sont pas consultés sur des décisions qui, pourtant, les concernent. C'est ce que révèlent les nombreuses saisines reçues par l'institution ou encore les témoignages collectés en 2019 lors de la première consultation nationale où 2 200 enfants âgés de 4 à 17 ans s'étaient exprimés. Ce nouveau rapport s'attache particulièrement à ceux jugés « vulnérables », mentionnant les enfants les plus jeunes, malades, pris en charge par la protection de l'enfance, en détention, vivant en squats ou encore en situation de vulnérabilité économique ou de handicap. La parole de ces derniers est rarement sollicitée…
Pas associé aux décisions
« Le handicap d'un enfant est souvent utilisé comme un prétexte pour ne pas l'associer aux projets qui le concernent, conduisant à des prises de décision unilatérales qui l'affectent durablement dans sa confiance et son estime de soi », complète Claire Hédon. La DDD constate régulièrement ce défaut de prise en compte lors des procédures devant les MDPH (Maisons départementales des personnes handicapées), qu'il s'agisse d'identifier les besoins de l'enfant ou de lui apporter une réponse. L'article L.146-8 du Code de l'action sociale et des familles prévoit pourtant que, « dès lors qu'il est capable de discernement, l'enfant handicapé lui-même est entendu par l'équipe pluridisciplinaire ».
Formes d'expression multiples
Dans le cadre d'une enquête « Tous pareils mais… », menée en 2019 par APF France Handicap, de nombreuses familles confirment que leurs enfants souffrent de ne pas être consultés sur la nature des soins ou la fréquence et le moment des séances de rééducation qui les privent souvent de temps collectifs ou de certaines activités. Or il semble manifeste que « plus ils sont informés mieux ils acceptent un quotidien rythmé par ce type de contraintes », explique le rapport du DDD. Ces enfants regrettent par ailleurs de ne pas disposer d'informations suffisantes sur leur handicap, ni de lieux et d'outils permettant l'expression de leur opinion. Pour ceux qui peinent à oraliser, il existe pourtant des méthodes de communication adaptées tels que le classeur texte, les pictogrammes, les tableaux de choix… Or ces ajustements ne sont pas toujours mis en place.
Les saisines reçues témoignent par ailleurs des difficultés de familles sourdes ou malentendantes à communiquer avec les services de la protection de l'enfance, faute de personnels formés. A défaut d'interprète en langue des signes, ces services chargés d'évaluer les besoins d'un enfant porteur d'un handicap auditif se tournent le plus souvent vers un autre membre de la famille pour assurer la traduction, avec le risque d'entraver la parole de l'enfant.
17 recommandations
Face à ces multiples constats, pour que la parole de l'enfant ne soit pas seulement « décorative », le Défenseur des droits émet 17 recommandations. Quelques exemples ? Le développement des
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La prise en compte de la parole de l'enfant : une meilleure protection pour l'enfant | Defenseur des Droits |
20/11/2020 |
«A l'occasion de la journée internationale des droits de l'enfant, célébrée chaque 20 novembre, la Défenseure des droits, Claire Hédon et le Défenseur des enfants, son adjoint, Eric Delemar rendent public leur rapport annuel consacré aux droits de l'enfant en France.
Intitulé « Prendre en compte la parole de l'enfant : un droit pour l'enfant, un devoir pour l'adulte », il porte sur le droit consacré à l'article 12 de la Convention internationale des droits de l'enfant (CIDE) : le droit pour tout enfant d'exprimer librement son opinion sur toute question le concernant.
Les enfants consultés par le Défenseur des droits, en 2019 lors de la consultation nationale « J'ai des droits, entends-moi ! » témoignaient, pour la plupart, n'avoir aucune connaissance de leurs droits et n'avoir jamais eu l'occasion d'exprimer leurs opinions sur des questions qui ont pourtant une incidence directe sur leur vie.
Pourtant, ce droit s'applique à tous les enfants dans leurs lieux de vie ou dans les services qui leurs sont proposés et dans toutes les circonstances : dans leur famille, dans le cadre d'une décision de justice, d'un parcours de soins, à l'école ou encore dans la vie de la cité. La parole de l'enfant doit être prise en compte de manière individuelle afin de recueillir son opinion dans les procédures qui le concernent, mais aussi de manière collective.
C'est ainsi que l'enfant ou l'adolescent prendra conscience qu'il est sujet de droits mais également acteur de sa vie, et que la société se doit de respecter et de rendre effectifs ses droits.»
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«L’absence de prise en compte de la parole des enfants, en particulier des plus vulnérables, induit une réponse inadaptée ou tardive, et risque d’accroitre son mal-être et son sentiment de ne pas être écouté, cru ou soutenu.
Au manque d’information et de sensibilisation de la société et des professionnels œuvrant dans le champ de l’enfance et de la jeunesse s’ajoute un manque de considération à l’égard de l’enfant et de ses opinions. L’enfant est souvent vu comme un être vulnérable, un individu en devenir, incapable d’user de sa raison pour se forger ses propres opinions et qui ne dispose pas d’assez de connaissances pour intervenir dans les décisions qui le concernent. Pourtant les neurosciences et les recherches en psychologie ont démontré comment l’enfant peut participer d’une façon efficace et utile, aussi bien pour lui que pour la société.
Le présent rapport, qui vise à examiner les conditions dans lesquelles les enfants sont aujourd’hui en mesure de s’exprimer et d’être entendus individuellement et collectivement, présente 17 recommandations. La Défenseure des droits recommande notamment que :
les établissements scolaires veillent à ce que, dans tout processus d’orientation scolaire, les enfants soient entendus et pris en considération dans les souhaits qu’ils expriment ;
soit organisée une consultation des enfants en amont des projets et propositions de loi ayant une incidence directe sur leur vie quotidienne ;
l’audition de l’enfant, qui demande lui-même à être entendu dans le cadre d’une procédure le concernant directement soit de droit, sans qu’il ne soit plus fait référence à sa capacité de discernement ;
les structures accueillant ou prenant en charge les enfants se dotent d’outils d’évaluation de leur dispositif de participation des enfants et du recueil de leur parole;
les professionnels intervenant auprès des enfants bénéficient d’une formation initiale et continue sur les droits de l’enfant en général, sur le droit à la participation en particulier, l’écoute active et les stades de développement de l’enfant.
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MDPH : droits prolonges jusqu'au 16 fevrier 2021, sauf si... |
20/11/2020 |
«En mars 2020, à l'entrée du premier confinement, le gouvernement annonçait que certains droits, par exemple l'Allocation adulte handicapé (AAH), l'Allocation d'éducation de l'enfant handicapé (AEEH), la Prestation de compensation du handicap (PCH) ou la Carte mobilité inclusion (CMI), qui arrivaient à échéance entre le 12 mars et le 31 juillet 2020, seraient prorogés de six mois, avec le maintien automatique du versement de ces aides (article en lien ci-dessous).»
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«A un détail près…
Deuxième confinement et nouvelle annonce de Sophie Cluzel. Le 10 novembre 2020, la secrétaire d'Etat au Handicap réitère le renouvellement tacite des droits et prestations en cours, jusqu'au 16 février 2021 inclus, date jusqu'à laquelle l'état d'urgence sanitaire est pour le moment prorogé. A une différence près… « Sauf si la CDAPH (Commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées) a pris une décision nouvelle lors de cette période de reconfinement. » Rappelons que, contrairement au mois de mars, les MDPH (Maisons départementales des personnes handicapées) restent ouvertes, même si les modalités d'accueil, d'instruction et d'attribution des droits peuvent être adaptées selon la situation sanitaire de chaque territoire (article en lien ci-dessous).
Des instructions dégradées ?
Et c'est là que le bât risque de blesser, alerte Malika Boubékeur, conseillère nationale MDPH d'APF France handicap : « Les modalités de fonctionnement de ces CDAPH 'simplifiées' risquent d'entraîner des ruptures et/ou reculs de droits. » Selon elle, si la MDPH décide quand même de traiter un renouvellement durant cette période, elle le fera dans des « conditions dégradées » : réunion restreinte, en visio ou en semi présentiel, avec une représentation associative réduite. Elle redoute, « et c'est avéré », précise-t-elle, que les « informations données aux représentants associatifs soient incomplètes ou que les auditions des personnes ne soient pas ou peu permises et organisées ».
Déjà lors du 1er confinement
Ces craintes se basent sur les remontées terrain depuis mars 2020 car, malgré un premier confinement plus sévère, des CDAPH avaient continué à se réunir pour instruire certains droits qui arrivaient à échéance. Des allocataires ont ainsi vu, malheureusement, leurs droits supprimés, par exemple des AAH ou des compléments d'AEEH, ou renouvelés à la baisse, sans tenir compte du délai de prorogation automatique fixé par le gouvernement. « Nous avons reçu plusieurs dossiers de ce type, poursuit Malika Boubékeur. Les personnes ont engagé des recours lorsqu'elles avaient des accompagnements adaptés mais quid de celles qui étaient isolées ? Depuis plusieurs semaines, ce sont exactement ces mêmes inquiétudes que nous remontent les représentants associatifs en CDAPH. »
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SEEPH 2020 - Coup de jeune pour les centres de readaptation professionnelle et de pre-orientation |
18/11/2020 |
«Travailler la matière, accroitre ses aptitudes techniques... L'un des axes de l'atelier Amis du CRP Jean-Pierre Timbaud qui accueille des jeunes en situation de handicap de 16 à 26 ans.
© CRP JP Timbaud SEEPH 2020 - Coup de jeune pour les centres de réadaptation professionnelle et de pré-orientation Corinne Manoury il y a 1 jour Emploi, Formation Laisser un commentaire Aucun texte officiel n'encadrait jusque-là le fonctionnement des centres de réadaptation professionnelle et de pré-orientation (CRP-CPO). Un manque qu'est venu combler, cet automne, un décret qui les ouvre notamment à de nouveaux publics.
Comme les jeunes à partir de 16 ans, qu'accueillaient déjà quelques dispositifs innovants de ces établissements.»
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«Le dispositif, qui existe depuis trois ans, s’appuie sur une équipe pluridisciplinaire. Avec l’assistante sociale, les jeunes travaillent notamment les liens sociaux. Avec la psychologue, ils élaborent un projet. Le conseiller en insertion professionnelle leur permet de valider les pistes dégagées. Tandis que le formateur, l’éducateur technique et l’ergothérapeute les accompagnent dans les savoirs de base, l’acquisition de nouvelles compétences et les aménagements.
Formations individualisées et séquentielles
Le tout, dans un souci d’adaptation permanente. À l’instar de ce que propose Ladapt Ain-Savoie avec sa Perspectives jeunes. Un dispositif qui accompagne également 12 jeunes sur une durée maximale de huit mois. « La clé, c’est une formation individualisée avec une grande souplesse dans les possibilités d’entrée et de sortie pour répondre à la diversité des handicaps », note Jean-Pierre Dhedin, son directeur. Il se félicite justement que l’accompagnement séquentiel soit « écrit noir sur blanc » dans le décret du 2 octobre dernier sur les missions des CRP-CPO (voir encadré ci-dessous).
Ainsi, les stages en entreprises peuvent être positionnés au moment le plus opportun. Et suspendus en fonction des circonstances, comme en cas de confinement par exemple. Autre point important pour Jean-Pierre Dhedin, la rencontre entre le jeune et l’équipe, qui dans Perspectives jeunes, est également pluridisciplinaire.
Information et partenariats à développer
Fatma Zengli, elle, note que le décret devrait permettre d’aller plus facilement dispenser de l’information dans les classes Ulis ou Segpa. Et de nouer des partenariats avec des IME, IMPro. « Les jeunes arrivent souvent après une rupture dans leur parcours, en ayant fini leur scolarité en échec.» Or, si les CRP restent à son sens méconnus, « ils ont une expertise à apporter ».
Nouveaux noms, nouveaux publics et nouvelles missions
Avec le décret du 2 octobre 2020, les CRP-CPO deviennent des établissements et services de réadaptation professionnelle (ESRP) et des établissements et services de pré-orientation (ESPO). Une nouvelle appellation qui met l’accent sur des actions de proximité.
Les durées et rythmes d’intervention évoluent avec ce décret. Ainsi la pré-orientation qui dure d’ordinaire douze semaines en continu pourra désormais s’étaler sur 24 mois et aller jusqu’à la mise en œuvre du projet professionnel. Temps partiel, temps complet, accompagnement séquentiel seront aussi possibles en réadaptation.
Parmi les nouvelles missions des ESPO et ESRP figurent l’évaluation pour le compte des MDPH mais aussi d’employeurs privés ou publics pour des salariés en risque d’inaptitude. Tout comme l’information des personnes et des professionnels.
Enfin, les personnes accompagnées peuvent l’être dès 16 ans, quel que soit le handicap et qu’elles soient ou non demandeurs d’emploi. ESPO et ESRP pourront aussi intervenir auprès des travailleurs d’Ésat et d’entreprises adaptées ainsi que d’alternants. Et pour certaines prestations, il ne sera pas nécessaire d’avoir la reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé.
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Semaine pour l'emploi : le handicap entre discours et realite - YouTube |
17/11/2020 |
«Semaine pour l'emploi : le handicap entre discours et réalité»...
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Semaine pour l'emploi : le handicap entre discours et realite - YouTube |
17/11/2020 |
«Semaine pour l'emploi : le handicap entre discours et réalité»...
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L'utilisation d'antibiotiques avant l'age de 2 ans presente des risques d'allergies, d'asthme, de TDAH et d'obesite, selon une etude - News 24 |
16/11/2020 |
«Une nouvelle recherche a averti que les bébés et les tout-petits qui reçoivent des antibiotiques sont plus susceptibles de développer des problèmes de santé infantiles, tels que l'asthme, l'eczéma, le rhume des foins, les allergies alimentaires et la maladie coeliaque.
Une étude publiée dimanche dans la revue Mayo Clinic Proceedings indique que les problèmes de santé infantiles sont plus fréquents chez les enfants qui ont reçu une ou plusieurs doses d'antibiotiques avant l'âge de deux ans.»
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«La recherche, qui a analysé les données de plus de 14 500 enfants qui font partie du projet d’épidémiologie de Rochester, a révélé que les enfants exposés à plusieurs antibiotiques étaient plus susceptibles de développer des combinaisons de conditions médicales.
Une exposition précoce aux antibiotiques était associée à un risque accru d’asthme infantile, de rhinite allergique, de dermatite atopique, de maladie cœliaque, de surpoids, d’obésité et de trouble d’hyperactivité avec déficit de l’attention.
Les chercheurs ont souligné que les conditions de santé infantiles variaient selon le sexe et l’âge de l’enfant, ainsi que le type de médicament, la posologie et le nombre de doses administrées.
L’étude a révélé que chez les enfants qui recevaient un ou deux antibiotiques avant l’âge de deux ans, seules les filles couraient un risque considérablement plus élevé de développer de l’asthme et de la maladie cœliaque par rapport à celles non exposées aux antibiotiques.
En revanche, la réception de plus de deux prescriptions d’antibiotiques était liée à de multiples problèmes de santé chez les deux sexes, en plus du TDAH et de la maladie cœliaque chez les filles et de l’obésité chez les garçons.
Cependant, l’exposition aux antibiotiques n’a pas toujours été associée à une augmentation des conditions de santé infantiles. Les chercheurs affirment que la pénicilline était associée à un risque réduit d’autisme chez les filles.
L’auteur principal de l’étude, le professeur Nathan LeBrasseur, a affirmé que la recherche ne démontrait pas de causalité, mais a estimé que «Ces résultats offrent l’opportunité de cibler les recherches futures afin de déterminer des approches plus fiables et plus sûres en ce qui concerne le moment, le dosage et les types d’antibiotiques pour les enfants de ce groupe d’âge.»
Les chercheurs ont répété la nécessité de poursuivre les recherches pour corroborer leurs résultats.
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Un test auditif pour depister l'autisme des la naissance |
16/11/2020 |
«Encore considéré à tort comme une maladie mentale, l'autisme est en réalité un trouble précoce du développement du cerveau touchant notamment la formation des connexions neuronales.
Caractérisé par des altérations qualitatives des interactions sociales, des problèmes de communication et par des troubles du comportement, le trouble du spectre autistique (TSA) est souvent couplé à des troubles auditifs, qui peuvent exacerber les problèmes des communications et interférer avec les capacités linguistiques.
L'évaluation précoce de ces troubles auditifs est donc un facteur déterminant dans la prise en charge de l'autisme.»
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«Détecter les indicateurs précoces de l'autisme
Cette découverte des chercheurs de l'université de Miami et de la faculté de médecine de Harvard pourrait aider à détecter les indicateurs précoces de l'autisme, et ce dès la naissance. Dans la revue Autisme Research, ils expliquent qu’il est possible de dépister les TSA grâce à l’étude des réponses au test auditif standard administré aux nouveaux nés à la maternité pour détecter une éventuelle perte auditive. Ces tests fonctionnent en mesurant la réponse auditive du tronc cérébral (ABR), qui évalue la manière dont l'oreille interne et le cerveau d'un bébé réagissent aux sons.
"Nous n'en sommes pas encore au point où nous disons aux cliniciens d'utiliser les tests ABR comme un déterminant de l'autisme chez les bébés, nuance Elizabeth Simpson, professeure associée au département de psychologie du College of Arts and Sciences et co-autrice de l’étude. Mais nous disons que cette étude présente une direction prometteuse dans la façon dont le test ABR peut être utilisé comme une méthode de détection précise de l'autisme à la naissance."
Pour les auteurs, il s’agit avant tout d’un "outil supplémentaire" de dépistage qui pourrait "clarifier les indices de diagnostic" en cas de suspicion de TSA chez les enfants plus âgés.
Des réponses cérébrales plus lentes
Pour estimer la pertinence du dépistage de l’autisme grâce aux tests ABR, les chercheurs ont analysé près de 140 000 enregistrements auditifs réalisés auprès de nouveaux nés de Floride. Habituellement effectués dans les maternités des hôpitaux, ces tests permettent d'enregistrer sur ordinateur l'activité du nerf auditif des bébés qui sont exposés aux sons transmis par des électrodes placées sur leur cuir chevelu. Le son du test est très léger et peut être effectué pendant le sommeil des bébés.
Ils ont ensuite comparé ces données avec les enregistrements du ministère de l'éducation de Floride indiquant que les enfants souffraient de troubles du développement.
Ils ont ainsi découvert que les nouveaux nés qui ont été diagnostiqués plus tard comme étant autistes avaient eu des réponses cérébrales plus lentes aux sons pendant leurs tests ABR. "Nous avons trouvé 321 enfants qui avaient passé le test ABR lorsqu'ils étaient nouveau-nés et qui ont ensuite été diagnostiqués autistes à l'âge préscolaire", précise la Pr Simpson.
Désormais, les chercheurs espèrent pouvoir affiner les résultats des tests ABR pour que les médecins puissent les utiliser non seulement pour mieux comprendre l'audition d'un nouveau-né et le risque d'autisme, mais aussi d'autres problèmes de développement potentiels comme les troubles de l’oralité, du langage, ainsi que le syndrome de mort subite du nourrisson.
"Nous savons que les troubles du spectre autistique sont liés à la façon dont les enfants traitent les sons, donc même si l'audition de l'enfant est normale, elle peut être traitée différemment, ajoute la Pr Simpson. Avec une meilleure compréhension de la façon dont le test ABR peut être utilisé pour identifier les bébés à risque, nous pouvons repérer les enfants qui pourraient être à risque."
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pourquoidocteur |
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Belgique - Le ''prix de l'amour'' pour les personnes handicapees disparaitra en 2021 - RTL Info |
16/11/2020 |
«Le "prix de l'amour" dont les personnes handicapées doivent s'acquitter pour leur choix de vie sera supprimé dès l'an prochain, a indiqué vendredi la ministre de l'Intégration sociale, Karine Lalieux, dans son exposé d'orientation politique devant la commission des Affaires sociales de la Chambre.
Depuis sa création en 1987, le montant de l'allocation de remplacement de revenus à laquelle ont droit les personnes handicapées est réduit en fonction des revenus de leur conjoint ou cohabitant, ce qu'on appelle communément le "prix de l'amour". La personne qui choisit de vivre en couple est donc pénalisée car elle risque de voir son allocation diminuer voire disparaitre.
Cette restriction sera abrogée à partir du 1er janvier prochain. Le cout de la mesure est estimé à 31 millions d'euros. Dans le même esprit, le conseil des ministres a approuvé vendredi l'avant-projet de loi qui fait passer de 21 ans à 18 ans l'âge à partir duquel une personne handicapée peut bénéficier d'une allocation de remplacement.
L'adaptation du critère d'âge, exigée par un arrêt de la Cour constitutionnelle du 9 juillet dernier, aura un effet rétroactif au 1er aout 2020 dès l'entrée en vigueur de cette loi.»...
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Belgique - Allocations pour personnes handicapees des 18 ans : la mesure a un effet retroactif a partir du 1er aout |
14/11/2020 |
«Les personnes handicapées qui pourront bénéficier de l'allocation de remplacement de revenus et de l'allocation d'intégration dès l'âge de 18 ans, au lieu de 21 ans, sont celles qui ont fêté leurs 18 ans depuis le 1er aout dernier, ressort-il vendredi d'une décision du conseil des ministres.
Newsletter info Recevez chaque matin l'essentiel de l'actualité. L'adaptation du critère d'âge, exigée par un arrêt de la Cour constitutionnelle du 9 juillet dernier, aura un effet rétroactif au 1er aout 2020 dès l'entrée en vigueur de cette loi dont l'avant-projet a été approuvé ce vendredi, selon la ministre Karin Lalieux, en charge des Personnes handicapées.»...
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Hearing test may detect autism in newborns |
13/11/2020 |
«For years, researchers have known through numerous studies that hearing and other sensory systems of adults and children who have autism differ from children or adults without autism.
Now, University of Miami and Harvard Medical School researchers who explored responses to the standard hearing test administered to millions of newborns around the world, are closing in on a way to detect early indicators of autism--perhaps as early as at birth.»
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«Published in the journal Autism Research, the findings could inform additional research and pave the way for evaluations that can better identify newborns with elevated autism risk by using standard hearing tests. The researchers note that such tests are already regularly and widely used to screen newborns for hearing loss. The tests work by measuring auditory brainstem response (ABR), which gauges how well a baby's inner ear and brain respond to sound.
"We're not at the point just yet where we're telling clinicians to use ABR testing as a determinant for autism in babies," said study co-author Elizabeth Simpson, an associate professor in the College of Arts and Sciences' Department of Psychology, whose research focuses on understanding infant social cognitive development. "But we are saying that this study presents a promising direction in how ABR testing can be used as a method for precise autism detection at birth."
"The importance for diagnosing autism early during infant and child development, when interventions can have the most impact, cannot be overstated," said the study's lead author Oren Miron, a research associate in the Department of Biomedical Informatics at Harvard Medical School. "Any additional tool that could clarify diagnostic clues would be invaluable in that regard."
For the study, researchers analyzed large datasets of Florida infants who were screened for hearing impairments with ABR tests. Usually conducted in hospital maternity wards, the tests make computer recordings of the auditory nerve activity of babies who are exposed to sounds transmitted by electrodes placed on their scalps. The test sound is very mild and can be performed while the infants sleep.
The research team analyzed nearly 140,000 auditory recordings from babies born in Florida and matched the data with records from the Florida Department of Education indicating children with developmental disabilities. Ultimately, they found that newborns who were later diagnosed with autism had slower brain responses to sounds during their ABR tests.
"Within the dataset we used from the Department of Education records of children who had autism, we saw how many we could match up from the ABR test screenings," Simpson said. "We located 321 children who had ABR test screenings taken when they were newborns and who were later diagnosed with autism by preschool age."
With additional investigation, researchers hope to add additional layers to the ABR screenings so that doctors can use them not only to better understand a newborn's hearing and risk for autism, but potentially other developmental problems--like speech, language impairment, and Sudden Infant Death Syndrome--that could arise later.
"We know autism spectrum disorder is connected to how children process sound, so even if the child's hearing is normal, it can still be processed differently," Simpson added. "With better understanding of how ABR testing can be used to identify at-risk babies, we can flag children who might be at risk."
In addition to Simpson and Miron, the interdisciplinary team of researchers on the study, "Prolonged Auditory Brainstem Response in Universal Hearing Screening of Newborns with Autism Spectrum Disorder," include Kun-Hsing Yu and Isaac Kohane from Harvard's Department of Biomedical Informatics; Rafael Delgado, Christine Delgado, Anibal Gutierrez, and Guangyu Zeng, from the University of Miami; and Jillian N. Gerstenberger from MEDNAX, Inc., Pediatrix Medical Group.
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La Defenseure des droits a forme son equipe avec la nomination de ses adjoints et du Delegue general a la mediation avec les services publics | Defenseur des Droits |
13/11/2020 |
«Les trois adjoints de la Défenseure des droits, Claire Hédon, ont été nommés par le Premier ministre, sur proposition de la Défenseure des droits. Monsieur Eric DELEMAR est nommé Défenseur des enfants, adjoint en charge de la défense et de la promotion des droits de l'enfant.
Travaillant directement au contact de mineurs vulnérables depuis de nombreuses années en sa qualité d'éducateur spécialisé, puis de chef de services éducatifs, il est depuis 2010 directeur au centre de l'enfance Henri Fréville de Chantepie, en Ille-et-Vilaine.
Monsieur DELEMAR est également membre de la commission protection de l'enfance du Groupe national des établissements publics sociaux et médico-sociaux (GEPSo). Madame Pauline CABY est nommée adjointe en charge du respect de la déontologie par les professionnels de la sécurité. Professionnelle de la Justice, elle fut successivement substitut du procureur près le tribunal de grande instance d'Auxerre, d'Evry puis de Paris.
Elle est ensuite nommée vice-procureure près le tribunal de grande instance de Paris, puis avocate générale référendaire à la Cour de cassation. Madame George PAU-LANGEVIN, adjointe en charge de la lutte contre les discriminations et de la promotion de l'égalité. Avocate de formation, députée de Paris, Madame PAU-LANGEVIN a occupé les fonctions de ministre déléguée à la Réussite éducative de 2012 à 2014 et de ministre des Outre-Mer de 2014 à 2016. Madame PAU-LANGEVIN a également présidé le Mouvement contre le racisme et l'amitié entre les peuples (MRAP) et a piloté plusieurs travaux relatifs à la lutte contre les discriminations, notamment un rapport législatif sur les discriminations liées à l'origine Les adjoints sont les vice-présidents des trois collèges qui assistent la Défenseure des droits.
Le collège « Défense et promotion des droits de l'enfant » est compétent pour tout ce qui concerne l'intérêt des enfants. Le collège « Déontologie de la sécurité » aborde les règles de bonne conduite des représentants de l'ordre, qu'ils soient publics ou privés.
Le collège « Lutte contre les discriminations et promotion de l'égalité » travaille sur la défense des personnes discriminées et l'accès aux droits pour toutes et tous. Par ailleurs, Monsieur Daniel AGACINSKI a été nommé Délégué général à la médiation avec les services publics par la Défenseure des droits.
Après avoir été conseiller de la ministre déléguée chargée des personnes handicapées et de la lutte contre l'exclusion de 2012 à 2013, puis conseiller du ministre de l'Education nationale de 2013 à 2014, il rejoint France stratégie.
Au sein du département « société et politiques sociales », il a notamment rédigé le rapport « Médiation accomplie ? Discours et pratiques de la médiation entre citoyens et administrations ».»...
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defenseurdesdroits |
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Etude sur l'accès aux services consacrés à l'autisme (ACCESS-EU) |
11/11/2020 |
«Etude sur l'accès aux services consacrés à l'autisme (ACCESS-EU) Equipe de recherche : Dr Joyce Man, Dr Rosie Holt, Dr Amber Ruigrok, Dr Carrie Allison, Dr James Cusack, Aurélie Baranger, Kathryn Gibbs et Professeur Simon Baron-Cohen E-mail : autismpolicyresearch@medschl.cam.ac.uk Quel est l'objet de l'étude ? Cette étude a pour objet de comparer, de manière globale, l'accès à un ensemble de services pour les personnes autistes et les accompagnants de leurs familles, ainsi que leurs expériences de ces services.
Ces services incluent (à titre non limitatif) les services de santé, de santé mentale, d'aide sociale et les services d'enseignement, d'emploi et thérapeutiques. L'enquête concerne, en majorité, les expériences d'accès à des services généraux au cours des deux dernières années.
Au vu des circonstances actuelles, nous avons intégré des questions sur les services relatifs au COVID-19 à la fin de l'enquête. Il existe deux versions de l'enquête : une pour les personnes autistes adultes âgées de 16 ans au moins, et une pour les accompagnants des familles des personnes autistes.
Si vous êtes une personne autiste qui accompagne, par ailleurs, une autre personne autiste, vous pouvez remplir une version de l'enquête vous concernant, et l'autre au nom de la personne autiste dont vous vous occupez.»
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«Nous souhaitons savoir/connaître :
1. Si des services locaux pour les personnes autistes et leurs accompagnants existent
2. La qualité de ces services
3. S’il existe des différences importantes d’accès aux services et de qualité de ces derniers entre les pays
Les résultats de la recherche serviront à élaborer des recommandations à l’attention des décideurs et à améliorer l’accessibilité des services pour les personnes autistes partout dans le monde.
Qui peut participer ?
A) Les personnes autistes âgées de plus de 16 ans.
B) Leurs accompagnants au sein de leurs familles (âgés de plus de 16 ans).
L'enquête s’adresse aux personnes (ou à leurs accompagnants au sein de la famille) dont l’autisme a été formellement diagnostiqué, auto-diagnostiqué et/ou dans l’attente d’un service de diagnostic de l’autisme.
La participation à l’enquête est volontaire et vous pouvez y mettre un terme à tout moment.
Qu’implique la participation à l’enquête ?
Il faut compter environ 20 minutes pour répondre à l’enquête en ligne. Vos réponses seront anonymes.
L'enquête est disponible en anglais mais elle sera traduite dans plusieurs langues européennes et notamment en français, espagnol, italien et allemand. Vous pouvez décider d’attendre que l'enquête soit traduite dans votre langue pour y répondre.
Qu’adviendra-t-il des résultats du projet de recherche ?
Les données anonymes collectées seront analysées, et les résultats feront l’objet de rapports et d’articles universitaires publiés dans des revues à comité de lecture. Ils seront également présentés lors de conférences, et ils serviront à développer la formation. Les résultats sont présentés sous la forme de groupe de personnes. Si des données à caractère personnel sont présentées (par exemple : citations issues des zones de texte libre), aucune information permettant d’identifier la personne ne sera utilisée. Si vous décidez de mettre un terme à votre participation à tout moment alors que vous avez commencé à répondre à l’enquête, nous ne serons pas en mesure de supprimer vos données.
Qui aura accès à mes données ?
Les informations recueillies dans le cadre de l'enquête sont anonymes, nous ne demandons aucun nom, aucune date et aucune coordonnée de contact. Les adresses de courrier électronique collectées ne permettront pas de faire un lien avec les réponses à l’enquête et seront exclusivement utilisées pour contacter les personnes intéressées par les traductions de l’enquête. Les adresses de courrier électronique collectées seront effacées à la fin de l’étude. Nous assurerons la sécurité de vos données en les stockant sur les ordinateurs de l’université auxquels seuls les chercheurs ont accès. Toutes les données collectées seront conservées et analysées dans le respect des dispositions du RGPD et de la loi relative à la liberté d’information (Freedom of Information Act) du Royaume-Uni. Les données anonymes pourront être communiquées à des tiers sur demande suite à la publication dans des revues à comité de lecture. Des informations générales relatives à l’utilisation des données à caractère personnel par l’Université sont disponibles à l’adresse suivante :
Qui organise et finance la recherche ?
La recherche est menée par l’Université de Cambridge et elle est financée par l’organisation à but non-lucratif Autism Research Trust, ainsi que par l’entreprise commune Initiative en matière de médicaments innovants 2 sous le numéro de convention de subvention 777394. L’entreprise commune est soutenue par le programme Horizon 2020 de recherche et d’innovation de l’Union européenne, ainsi que par l’ EFPIA, AUTISM SPEAKS, Autistica et SFARI. Nous remercions également l’Autism Research Trust pour son soutien complémentaire.
Évaluation éthique de l'étude
L’étude a été évaluée par le Comité d’éthique en matière de recherche psychologique de l’Université de Cambridge (Psychology Research Ethics Committee of the University of Cambridge).
Personne à contacter pour obtenir plus d’informations
Si vous souhaitez obtenir de plus amples informations ou poser des questions, veuillez contacter le Dr. Joyce Man à l’adresse suivante : autismpolicyresearch@medschl.cam.ac.uk
Si vous souhaitez obtenir des conseils médicaux concernant l’épidémie de COVID-19, veuillez consulter le site officiel du gouvernement de votre pays et celui de l’Organisation mondiale de la santé Source: https://www.who.int | Source Status
Fiche d’information et de contentement ACCESS-EU LECTURE FACILE
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Source: http://cambridge.eu.qualtrics.com | Source Status
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cambridge.eu.qualtrics |
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Enfants handicapes : clash sur l'AEEH |
10/11/2020 |
«Les associations de personnes handicapées s'opposent au projet du gouvernement de transférer l'AEEH dans la 5e branche autonomie. Elles réclament une concertation sur le rapprochement de cette allocation et de la prestation de compensation du handicap.
Un enjeu important pour les quelque 300 000 ménages bénéficiaires, dont 24 % vivent sous le seuil de pauvreté. L'Allocation d'éducation de l'enfant handicapé (AEEH) devrait changer de maison.
Jusqu'à présent, c'est la Caisse d'allocations familiales qui finance et paie cette prestation. L'an prochain, cela devrait être la future 5e branche dédiée à l'autonomie.»
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«Le gouvernement a en effet intégré cette mesure de transfert dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Une mauvaise idée pour les associations de personnes handicapées.
L’AEEH de base, une prestation familiale
« Cette allocation est une prestation familiale correspondant à une situation de famille », argumente le Collectif handicaps. Au même titre que les allocations pour les familles nombreuses ou les parents isolés, l’AEEH de base constitue un soutien aux familles d’enfants handicapés. Elle est attribuée sans autre conditions que le handicap. « Son maintien au sein des prestations familiales serait cohérent », poursuit-il.
Les compléments, une prestation de compensation
Et les compléments à l’AEEH de base ? Leur attribution dépend des dépenses engagées (pour des soins, des aides techniques…). Mais aussi des besoins en aide humaine de l’enfant. Ils financent donc la compensation du handicap.
Lire aussi
Publi-information /JIB : l’autonomie chez soi, plus que jamais essentielle !
« Eux pourraient être transférés dans la branche autonomie pour créer une véritable prestation de compensation enfants », estime le collectif.
« Nous partageons la nécessité d’engager une véritable concertation sur le rapprochement de l’AEEH et de la prestation de compensation du handicap (PCH) », précisent les associations. Elles demandent donc au gouvernement de revenir sur son projet.
L’AEEH & ses compléments : du temps et de l’argent pour votre enfant
Le magazine Faire Face vient de publier un guide complet sur l’AEEH. Avec de nombreux conseils pratiques, une foire aux questions, des avis d’experts…
Une pétition nationale
« Le transfert de l’AEEH et des compléments dans la 5e branche ne peut pas être décidé avant que les travaux attendus sur la compensation du handicap de l’enfant ne soient menés à bien », insiste APF France handicap.
Elle a lancé une pétition sur change.org, avec Dyspraxie France Dys, Ensemble Face au Handicap, la Fnaseph, HyperSupers TDAH France et l’Unaf. Vous savez ce qui vous reste à faire si vous voulez vous opposer au déménagement…
L’AEEH ne protège pas de la pauvreté
Les 292 000 ménages titulaires de l’AEEH sont davantage exposés à la pauvreté. C’est le principal enseignement de l’étude que la Drees vient de rendre publique. Ils ont un niveau de vie mensuel de 1 567 €. Soit 272 € de moins que les autres foyers ayant des enfants de moins de 20 ans. Et presque un quart (24 %) vivent sous le seuil de pauvreté (contre 17 %).
Ce qui s’explique, entre autres, par le fait que 30 % des bénéficiaires de l’AEEH – contre 23 % – sont des familles monoparentales. Neuf fois sur dix, des mères et leurs enfants.
« Cette plus grande fragilité économique est en lien avec la situation moins favorable des parents d’enfants handicapés sur le marché du travail », souligne l’étude. 51 % des parents seuls ne travaillent pas (contre 29 %). Et au sein des couples ayant au moins un enfant handicapé, les deux parents travaillent dans 53 % des cas (contre 70 %).
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faire-face |
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Scandale de la depakine : l'Agence du medicament a son tour mise en examen pour « homicides involontaires » | Les Echos |
09/11/2020 |
«L'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de Santé (ANSM) est, à son tour, mise en examen dans le scandale de la dépakine. Trois mois après Sanofi , l'agence a annoncé ce lundi avoir été mise en examen pour « blessures et homicides involontaires par négligence » dans l'affaire de la commercialisation de cet anti-épileptique connu pour ses effets néfastes sur les foetus.
L'ANSM affirme prendre « toute la mesure de la souffrance des victimes et oeuvre depuis plusieurs années afin de limiter l'exposition au valproate des femmes en âge d'avoir des enfants ». Elle « répondra à toute interrogation de la justice afin d'apporter sa pleine et entière contribution à la manifestation de la vérité ». L'enquête avait été ouverte en 2016 auprès du tribunal judiciaire de Paris, suite à une procédure à l'initiative de l'Association d'aide aux parents d'enfants souffrant du syndrome de l'anti-convulsivant (Apesac), représentant 4.000 personnes dont la moitié des enfants malades, et qui s'appuyait sur 14 cas de mères ayant reçu de la Dépakine lors de leur grossesse.»...
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lesechos |
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Abnormal auditory mismatch fields are associated with communication impairment in both verbal and minimally verbal/nonverbal children who have autism spectrum disorder - PubMed |
07/11/2020 |
«Abnormal auditory discrimination neural processes, indexed by mismatch fields (MMFs) recorded by magnetoencephalography (MEG), have been reported in verbal children with ASD. Association with clinical measures indicates that delayed MMF components are associated with poorer language and communication performance.
At present, little is known about neural correlates of language and communication skills in extremely language impaired (minimally-verbal/non-verbal) children who have ASD: ASD-MVNV. It is hypothesized that MMF delays observed in language-impaired but nonetheless verbal children with ASD will be exacerbated in ASD-MVNV. The present study investigated this hypothesis, examining MMF responses bilaterally during an auditory oddball paradigm with vowel stimuli in ASD-MVNV, in a verbal ASD cohort without cognitive impairment and in typically developing (TD) children.
The verbal ASD cohort without cognitive impairment was split into those demonstrating considerable language impairment (CELF core language index 85; "ASD-V"). Eighty-four participants (8-12 years) were included in final analysis: ASD-MVNV: n = 9, 9.67 ± 1.41 years, ASD: n = 48, (ASD-V: n = 27, 10.55 ± 1.21 years, ASD-LI: n = 21, 10.67 ± 1.20 years) and TD: n = 27, 10.14 ± 1.38 years.
Delayed MMF latencies were found bilaterally in ASD-MVNV compared to verbal ASD (both ASD-V and ASD-LI) and TD children. Delayed MMF responses were associated with diminished language and communication skills.
Furthermore, whereas the TD children showed leftward lateralization of MMF amplitude, ASD-MVNV and verbal ASD (ASD-V and ASD-LI) showed abnormal rightward lateralization. Findings suggest delayed auditory discrimination processes and abnormal rightward laterality as objective markers of language/communication skills in both verbal and MVNV children who have ASD. Autism Res 2019, 12: 1225-1235. © 2019 International Society for Autism Research, Wiley Periodicals, Inc.
LAY SUMMARY: Brain imaging showed abnormal auditory discrimination processes in minimally-verbal/non-verbal children (MVNV) who have autism spectrum disorder (ASD). Delays in auditory discrimination were associated with impaired language and communication skills.
Findings suggest these auditory neural measures may be objective markers of language and communication skills in both verbal and, previously-understudied, MVNV children who have ASD.»...
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pubmed.ncbi.nlm.nih |
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Bumetanide attenuates the severity of ASD symptomatology in Tuberous Sclerosis of Bourneville: an open study by Van Andel et al. - Le Blog de Ben-Ari |
03/11/2020 |
«In this trial, the authors report that a 3 months open administration of the NKCC1 chloride importer antagonist Bumetanide (0.5-1mg, twice daily) attenuated Autism Spectrum Disorders (ASD) symptomatology in 11 out of 13 patients (8-21 years old). Bumetanide attenuated Irritable Behavior (ABC-I), Social interactions (SRS) and hyperactivity (ABC- hyperactivity subscale), increased the patients' estimation of quality of life, but did not alter seizure frequency.
These results are an additional confirmation of the efficacy of Bumetanide to attenuate ASD. Indeed, in two double-blind phase 2 randomized trials by the company Neurochlore, which used identical conditions and dosage, Lemonnier, Ben-Ari and colleagues reported that bumetanide attenuates ASD symptomatology in over 120 children (Lemonnier et al., 2012 and 2017). These observations have been validated also by several independent trials (Du et al., 2015; Zhang et al., 2020). These results led to the approval by the European Medical Association (EMA) and the FDA of a final phase 3 trial presently being performed by the French pharmaceutic company Servier in partnership with Neurochlore.»
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« Astonishingly, this open trial stands in contrast with the recent report of the same group where Bumetanide failed to attenuate ASD symptomatology in adolescents with ASD, although the authors stressed that some symptoms might be attenuated in a subset of children (Sprengers et al., 2020). There are however indications that this failure is due to the trial conditions with a very high level of placebo levels. Whatever the exact explanation, all these results strongly suggest Bumetanide as a promising treatment of ASD symptoms with the same underlying mechanism, namely a reduction of the intracellular neuronal levels of chloride leading to a restoration of GABAergic inhibition that is impacted in ASD. As suggested elsewhere, this shift of GABA polarity is a signature of many developmental and neurodegenerative disorders, which paves the way to treating them with a similar conceptual approach (Ben-Ari 2008; 2015; 2017).
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en.leblogdebenari |
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Reconfinement : le sport autorise en cas de handicap |
02/11/2020 |
«Tous reconfinés, finie la pratique sportive dans les clubs ! Sauf pour certains publics jugés prioritaires, dont font partie les personnes handicapées. La ministre des Sports appelle les maires à rouvrir les portes des établissements concernés.
2 novembre 2020 ...¢ Par Handicap.fr / E. Dal'Secco Thèmes : Commentaires0 Réagissez à cet article Handicap.fr est gratuit, aidez-nous à le rester. Soutenez-nous !Tous privés de sport en club ou en salle jusqu'au 1er décembre 2020 ? Pas vraiment.
Certains peuvent bénéficier d'une dérogation et c'est notamment le cas des personnes en situation de handicap ou pratiquant sur prescription médicale.»
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« Des ERP maintenus ouverts
C'est ce que fait savoir Roxana Maracineanu, ministre des Sports, qui explique que malgré la « crise sanitaire d'une extrême gravité (…) la pratique sportive est essentielle pour le bien-être physique et moral des adultes comme des enfants ». Ainsi, elle « pourra continuer à être exercée dans certaines conditions ». Si tous les établissements recevant du public (ERP) couverts (de type X) ou de plein air (de type PA) du territoire sont fermés, les publics prioritaires (liste ci-dessous) peuvent y accéder munis d'une attestation (modèle en ligne sur www.sports.gouv.fr ). La ministre « en appelle aux élus des collectivités, aux maires pour qu'ils leur permettent l'accès à ces équipements dès lors que les protocoles sanitaires renforcés et que la limitation des interactions seront garantis ».
Quels publics prioritaires ?
Les scolaires et les accueils périscolaires
Les étudiants STAPS
Les personnes en formation continue ou professionnelle
Les sportifs professionnels et toutes les populations accréditées dans le cadre des activités sportives à caractère professionnel
Les sportifs de haut niveau et espoirs
Les personnes pratiquant sur prescription médicale
Les personnes en situation de handicap
Suite à ces annonces, la Fédération française handisport (FFH) promet d'apporter un complément d'informations spécifiques en ce début de semaine.
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informations.handicap |
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Précisions relatives à la publication du nouveau décret de confinement |
31/10/2020 |
«Rappelons que le principe clairement édicté est que tout citoyen doit rester à domicile sauf dérogations. Dans ce cadre des questions ont été soulevées concernant la définition des sportifs de haut niveau, du sport des mineurs, du handicap et du sport sur ordonnance c'est à dire les publics protégés et prioritaires.
Concernant les sportifs de haut niveau en pôles, sport études ou en enseignement à distance le ministère mène des arbitrages que nous connaitrons la semaine prochaine en concertation avec les directeurs techniques nationaux.
Concernant la pratique du golf par les mineurs, il est clair que les activités des écoles de golf doivent être suspendues, seul le golf pratiqué dans un cadre scolaire et périscolaire peut l'être dans les respects des protocoles édictés.
Concernant le sport sur prescription médicale, le Décret n°2020-1310 du 29 octobre 2020 prévoit la possibilité de pratiquer le sport sur prescription médicale. De manière générale, le sport sur ordonnance est encadré et soumis à des protocoles stricts.
Tous les détails sur le site : https://sport-ordonnance.fr/ Nous avons obtenu des réponses précises aux questions soumises. Il s’avère que :»
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«La ffgolf et les membres de sa commission médiale ont interrogé dès la parution de ce texte les autorités de santé et les pouvoirs publics sur la portée de ce dernier.
Nous avons obtenu des réponses précises aux questions soumises. Il s’avère que :
• Le sport sur ordonnance ne s’adresse qu’aux patients présentant des maladies chroniques et donc en ALD (= affections de longue durée : diabète, obésité, suite de cancer, …).
- Ce type de pratique ne peut s’effectuer qu’avec un encadrement formé (APA), c’est ce qu’on qualifie d’Activité Physique Adaptée. Donc sauf avec des APA ou des pro de golf formés c’est impossible.
- Tout médecin peut faire une prescription de Sport Santé, mais pas à n’importe quel patient (ils doivent être en ALD = prise en charge à 100% des frais médicaux).
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ffgolf |
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Attestations de deplacement / L'actu du Ministere / Actualites - Ministere de l'Interieur |
29/10/2020 |
«Attestations de déplacement Attestations de déplacement 29 octobre 2020 Face à une situation sanitaire qui continue de se dégrader, des restrictions de déplacement entrent en vigueur sur le territoire métropolitain.
A compter de 0h00, dans la nuit du jeudi 29 octobre au vendredi 30 octobre, les déplacements non-essentiels ne sont plus autorisés. Le non-respect de ces mesures entraine : Première sanction : une amende de 135 euros, majorée à 375 euros (en cas de non-paiement ou de non-contestation dans le délai indiqué sur l'avis de contravention) En cas de récidive dans les 15 jours : une amende de 200 euros, majorée à 450 euros (en cas de non-paiement ou de non-contestation dans le délai indiqué sur l'avis de contravention) Après 3 infractions en 30 jours : une amende de 3750 euros passible de 6 mois d'emprisonnement.
Toutes les informations sur le site du Gouvernement. external link Télécharger les attestations Attestation de déplacement dérogatoire numérique L'attestation de déplacement dérogatoire est téléchargeable au format numérique.
Une fois renseignée, le générateur créé un fichier pdf avec vos informations ainsi que le motif de votre déplacement. Version numérique Télécharger l'attestation de déplacement au format numérique Attestation de déplacement dérogatoire Elle est téléchargeable ci-dessous, au format .pdf, ou peut être rédigée sur papier libre.
Pour une meilleure accessibilité, l'attestation de déplacement dérogatoire est désormais disponible en format .txt, .docx et en langue anglaise. Une version FALC est également disponible.
drapeau-fr Télécharger l'attestation de déplacement dérogatoire au format PDF Télécharger l'attestation de déplacement dérogatoire au format DOCX Télécharger l'attestation de déplacement dérogatoire au format TXT Télécharger l'attestation de déplacement dérogatoire au format FALC drapeau-uk Télécharger la version anglaise de l'attestation de déplacement dérogatoire au format DOCX Justificatif de déplacement professionnel Il est téléchargeable ci-dessous, au format .pdf.
Pour une meilleure accessibilité, le justificatif de déplacement professionnel est désormais disponible en format .txt et .docx. drapeau-fr Télécharger le justificatif de déplacement professionnel au format PDF Télécharger le justificatif de déplacement professionnel au format DOCX Télécharger le justificatif de déplacement professionnel au format TXT Justificatif de déplacement scolaire Le justificatif de déplacement scolaire est disponible en format .pdf, .txt et .docx.
drapeau-fr Télécharger le justificatif de déplacement scolaire au format PDF Télécharger le justificatif de déplacement scolaire au format DOCX Télécharger le justificatif de déplacement scolaire au format TXT < retour»...
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mobile.interieur.gouv |
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Prevention des violences et sensibilisation des enfants sur les temps periscolaires et extra-scolaires : appel a projets ...¢ |
28/10/2020 |
«"La politique de prévention des violences doit nécessairement impliquer les enfants en les sensibilisant sur le sujet, et s'appuyer sur une mobilisation des professionnels concernés dans leurs différents lieux de vie" : école, temps périscolaires et extrascolaires, centres de loisirs, clubs de sports... C'est pourquoi le plan de lutte contre les violences faites aux enfants prévoit d'investir le temps périscolaire et extrascolaire pour mener des actions de prévention.
Dans ce cadre, la Direction générale de la cohésion sociale (DGCS) du ministère des Solidarités et de la Santé et la Direction de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative du ministère de l'Education nationale, de la Jeunesse et des Sports (DJEPVA), lancent un appel à projets, en partenariat avec l'Association des maires de France, pour la labellisation d'actions et d'outils permettant de sensibiliser aux droits de l'enfant et aux différentes problématiques liées à la violence.
Cet appel s'adresse aux personnes morales à but non lucratif : associations, fondations, établissements publics, etc.»...
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macommune |
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Carcassonne. Ouvrir le depistage du cancer au handicap mental |
27/10/2020 |
«J'en parlerai, dans la semaine, devant l'assemblée nationale." Les mots de Mireille Robert incarnent la portée nationale que le directeur de l'Afdaim 11, Jean-Marie Gorieu, et le médecin en charge du Centre régional de coordination de dépistage du cancer en Occitanie, Antoine Khreiche, souhaitaient donner à la présente convention par l'apposition d'une griffe parlementaire au bas de la page.
"Octobre rose" ne laissera pas que des feuilles mortes, celles en cause sont porteuses d’espoirs, celui d’une lutte efficiente contre le cancer, et d’inclusion, celle des personnes en situation de handicap.
Ce n’est pas la première fois que la députée et le médecin travaillent ensemble pour combattre la maladie. La première évoque "les café-cancer", lieu d’échange et de prévention, ou encore les campagnes chez les femmes isolées dans la ruralité ou les quartiers défavorisés.»
[...]
«Les trois signataires poursuivent donc cette démarche d’accès aux soins pour tous dans une temporalité et un accompagnement adapté à chacun. Cette convention doit en effet permettre la mise en place de "formations du personnel soignant et d’un travail de sensibilisation des médecins traitants de l’association", permettant le dépistage du cancer du sein chez les femmes atteintes de handicap mental. "Le dépistage précoce est primordial pour lutter contre le cancer et la France doit faire de nombreux efforts dans ce domaine", rappelle le médecin.
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Replay T'en fais pas, j'suis la - Changer de vie pour son fils autiste - France 2 |
27/10/2020 |
«Replay T'en fais pas, j'suis là Changer de vie pour son fils autiste (après la pub)»...
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Replay T'en fais pas, j'suis la - Changer de vie pour son fils autiste - France 2 |
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«Replay T'en fais pas, j'suis là Changer de vie pour son fils autiste (après la pub)»...
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Replay T'en fais pas, j'suis la - Changer de vie pour son fils autiste - France 2 |
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«Replay T'en fais pas, j'suis là Changer de vie pour son fils autiste (après la pub)»...
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Replay T'en fais pas, j'suis la - Changer de vie pour son fils autiste - France 2 |
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«Replay T'en fais pas, j'suis là Changer de vie pour son fils autiste (après la pub)»...
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Replay T'en fais pas, j'suis la - Changer de vie pour son fils autiste - France 2 |
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«Replay T'en fais pas, j'suis là Changer de vie pour son fils autiste (après la pub)»...
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Elle cree un elevage pour l'avenir de ses enfants |
24/10/2020 |
«A Lathus-Saint-Rémy, Angélique crée un élevage de chèvres, afin de transmettre un métier à ses deux fils, porteurs d'autisme. Une trentaine de chèvres, une salle de traite, une fromagerie et un réseau de vente de fromages bio en circuit court: à Lathus-Saint-Rémy, un nouvel élevage est en train de voir le jour, dans une ferme à l'arrêt depuis dix ans.
Un projet d'installation singulier car il n'est pas seulement agricole: Angélique Lenglet du Boisgueheneuc l'a conçu en effet, avant tout, pour assurer l'avenir de ses deux plus jeunes fils, Gabriel et Raphaël, 10 ans, porteurs d'autisme.»
[...]
«La vie de cette famille a été bouleversée en 2011, lorsque le diagnostic est tombé pour les jumeaux. « J'ai arrêté mon activité professionnelle pour m'occuper d'eux », explique leur maman, qui s'est battue pour leur procurer les meilleures prises en charge et obtenir leur scolarité en « milieu ordinaire ». Gabriel et Raphaël sont aujourd'hui en CM2. « Cela se passe bien. On espère qu'ils pourront passer en 6 sans AVS. Je fais tout pour qu'ils n'aient pas moins de chances que les autres, pour qu'ils soient autonomes. »
« Il y a du boulot
mais ça ne
nous fait
pas peur »
Comme tous les parents touchés par le handicap d'un enfant, Angélique et Daniel s'inquiètent pour les années à venir. « On n'est pas éternels; on a besoin d'un projet à long terme pour leur assurer un avenir ».
L'idée de démarrer une petite activité agricole, que Gabriel et Raphaël pourraient reprendre et poursuivre à l'âge adulte, s'est imposée il y a plusieurs années. « L'équithérapie avait été très efficace, Raphaël est très attiré par l'agriculture et les animaux, Gabriel aussi. »
Il y a un an, Angélique s'est donc inscrite au CFPPA d'Aurillac, spécialisé dans la production de fromage au lait cru. Elle a obtenu en juin le Brevet professionnel de responsable d'entreprise agricole.
Il y a deux mois, la famille s'est installée à Lathus-Saint-Rémy, ayant trouvé une ferme comprenant maison, bâtiments d'élevage, fromagerie et 12 ha de champs, pas trop loin du Blanc où travaille Daniel. La crise du Covid-19 a retardé de nombreuses démarches, comme l'achat des chèvres. « On espère démarrer en janvier. On part de rien. Il y a du boulot mais ça ne nous fait pas peur. On se donne cinq ans pour arriver à la vitesse de croisière. Mon mari conserve son emploi: le premier but de la ferme n'est pas d'en vivre mais d'avoir un projet et un lieu de vie à transmettre aux garçons dans dix ans. Ils iront aussi loin qu'ils peuvent dans leurs études, jusqu'en MFR ou au lycée agricole si c'est possible. » Angélique envisage aussi d'accueillir d'autres personnes souffrant de handicaps qui pourraient bénéficier d'un séjour dans ce cadre rural.
Le projet de la famille a reçu plusieurs soutiens: « Nous avons eu l'aide de la SAFER pour l'achat de la ferme, le propriétaire est content qu'un élevage revienne. Nous avons eu un prêt d'honneur de la Région avec Initiative Vienne. Ça m'a fait chaud au coeur... J'étais tellement stressée lorsque je suis passée devant le jury! »
Parmi ses démarches Angélique a aussi ouvert une cagnotte solidaire en ligne (1), avec l'espoir de collecter 5.000€ auprès de donateurs: « Cette somme correspond à l'achat des chevrettes, cela diminuerait d'autant l'emprunt bancaire. Pour remettre aux normes la fromagerie par exemple, nous prévoyons 30.000€. Les gens qui participent auront des contreparties, nous sommes dans l'idée d'une ferme ouverte. »
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m.centre-presse |
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Elle cree un elevage pour l'avenir de ses enfants |
24/10/2020 |
«A Lathus-Saint-Rémy, Angélique crée un élevage de chèvres, afin de transmettre un métier à ses deux fils, porteurs d'autisme. Une trentaine de chèvres, une salle de traite, une fromagerie et un réseau de vente de fromages bio en circuit court: à Lathus-Saint-Rémy, un nouvel élevage est en train de voir le jour, dans une ferme à l'arrêt depuis dix ans.
Un projet d'installation singulier car il n'est pas seulement agricole: Angélique Lenglet du Boisgueheneuc l'a conçu en effet, avant tout, pour assurer l'avenir de ses deux plus jeunes fils, Gabriel et Raphaël, 10 ans, porteurs d'autisme.»
[...]
«La vie de cette famille a été bouleversée en 2011, lorsque le diagnostic est tombé pour les jumeaux. « J'ai arrêté mon activité professionnelle pour m'occuper d'eux », explique leur maman, qui s'est battue pour leur procurer les meilleures prises en charge et obtenir leur scolarité en « milieu ordinaire ». Gabriel et Raphaël sont aujourd'hui en CM2. « Cela se passe bien. On espère qu'ils pourront passer en 6 sans AVS. Je fais tout pour qu'ils n'aient pas moins de chances que les autres, pour qu'ils soient autonomes. »
« Il y a du boulot
mais ça ne
nous fait
pas peur »
Comme tous les parents touchés par le handicap d'un enfant, Angélique et Daniel s'inquiètent pour les années à venir. « On n'est pas éternels; on a besoin d'un projet à long terme pour leur assurer un avenir ».
L'idée de démarrer une petite activité agricole, que Gabriel et Raphaël pourraient reprendre et poursuivre à l'âge adulte, s'est imposée il y a plusieurs années. « L'équithérapie avait été très efficace, Raphaël est très attiré par l'agriculture et les animaux, Gabriel aussi. »
Il y a un an, Angélique s'est donc inscrite au CFPPA d'Aurillac, spécialisé dans la production de fromage au lait cru. Elle a obtenu en juin le Brevet professionnel de responsable d'entreprise agricole.
Il y a deux mois, la famille s'est installée à Lathus-Saint-Rémy, ayant trouvé une ferme comprenant maison, bâtiments d'élevage, fromagerie et 12 ha de champs, pas trop loin du Blanc où travaille Daniel. La crise du Covid-19 a retardé de nombreuses démarches, comme l'achat des chèvres. « On espère démarrer en janvier. On part de rien. Il y a du boulot mais ça ne nous fait pas peur. On se donne cinq ans pour arriver à la vitesse de croisière. Mon mari conserve son emploi: le premier but de la ferme n'est pas d'en vivre mais d'avoir un projet et un lieu de vie à transmettre aux garçons dans dix ans. Ils iront aussi loin qu'ils peuvent dans leurs études, jusqu'en MFR ou au lycée agricole si c'est possible. » Angélique envisage aussi d'accueillir d'autres personnes souffrant de handicaps qui pourraient bénéficier d'un séjour dans ce cadre rural.
Le projet de la famille a reçu plusieurs soutiens: « Nous avons eu l'aide de la SAFER pour l'achat de la ferme, le propriétaire est content qu'un élevage revienne. Nous avons eu un prêt d'honneur de la Région avec Initiative Vienne. Ça m'a fait chaud au coeur... J'étais tellement stressée lorsque je suis passée devant le jury! »
Parmi ses démarches Angélique a aussi ouvert une cagnotte solidaire en ligne (1), avec l'espoir de collecter 5.000€ auprès de donateurs: « Cette somme correspond à l'achat des chevrettes, cela diminuerait d'autant l'emprunt bancaire. Pour remettre aux normes la fromagerie par exemple, nous prévoyons 30.000€. Les gens qui participent auront des contreparties, nous sommes dans l'idée d'une ferme ouverte. »
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m.centre-presse |
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Prejudice moral et handicap, l'equilibre du subjectif et de l'objectif |
23/10/2020 |
«Par Handilex. « Tout fait quelconque de l'homme, qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer » selon la formule célèbre de l'ancien article 1382, devenu désormais l'article 1240 du Code civil.
Elle pose les fondements des mécanismes de la responsabilité civile. Pour être mise en oeuvre, trois éléments sont donc nécessaires : un fait générateur, un dommage et un lien de causalité entre les deux.
C'est ici que peut intervenir le préjudice moral. D'ores et déjà, une distinction est à faire : celle entre le dommage et le préjudice. Le dommage, c'est la conséquence, brute et objective, d'un fait générateur pour reprendre la formule de l'article 1240 : se casser une jambe par exemple.
La notion de préjudice recouvre, quant à elle, le dommage juridiquement réparable : souffrances endurées, déficit fonctionnel temporaire ou permanent...¦ Pour faire simple, le préjudice est la conséquence juridique du dommage dans la vie de la personne atteinte.»
[...]
«Quand le dommage a une incidence économique, financière ou matérielle, l’existence d’un préjudice dit « patrimonial » ne présente en principe pas de difficulté particulière : Il « suffit » de chiffrer la perte directement évaluable en argent. Mais l’exercice se corse quand les préjudices touchent à la personne elle-même : retentissement psychologique, souffrance physique, atteinte à l’honneur, voire dans les cas les plus graves le deuil d’un proche, etc. Ceux-ci sont désignés, dans le langage courant, sous l’appellation générale de « préjudice moral ».
Préjudice moral, la quête incessante de l’objectivité
Par raccourci, par facilité ou par absence d’information, la notion de préjudice moral est trop souvent utilisée abusivement parce qu’elle recouvre une réalité délicate à définir objectivement. Or, depuis plus de vingt ans et grâce à la généralisation, notamment, de la nomenclature Dintilhac dont il a été fait plusieurs fois mention dans ces articles, le monde juridique s’attache justement à réduire le champ de la notion trop vague et trop floue de préjudice moral au profit de classifications plus justes, plus précises et permettant de mieux prendre en considération et de manière objective, la réalité des préjudices subis par la victime : ainsi le retentissement psychologique d’une blessure pourra être pris en compte au titre des souffrances endurées, l’atteinte à l’image de soi au titre du déficit fonctionnel ou du préjudice esthétique. On préférera invoquer le préjudice d’anxiété face au risque permanent de déclaration de certaines maladies professionnelles très invalidantes, comme les pathologies liées à l’amiante. De la même manière pour les victimes indirectes, le préjudice moral des proches entretenant un lien affectif réel avec une personne décédée relève d’un poste de préjudice précis, celui du préjudice d’affection.
Cette volonté et ce travail de précision, de classification et d’objectivation du préjudice moral ne touche pas que le droit de la réparation ou le monde du handicap. Ainsi par exemple, en droit du commerce, les atteintes portées à l’image ou la réputation d’une société par un concurrent sont précisées et détaillées au titre des actes de concurrence déloyale dans le Code de commerce et ne relèvent plus de la seule notion de préjudice moral.
Aujourd’hui, invoquer le seul préjudice moral, sans autre précision ou sans se référer à l’une des typologies de préjudices établies et éprouvées par la jurisprudence, c’est prendre un risque majeur de rejet de sa demande d’indemnisation. D’abord parce que nous pouvons, tous au quotidien, considérer parfois comme subir des préjudices moraux qui n’en sont pas au sens juridique : la seule atteinte à l’orgueil n’est pas prise en compte par les juges. Le simple fait d’avoir eu peur ou de se sentir exclu, non plus. Et heureusement ! Un monde où chacun pourrait obtenir judiciairement réparation parce qu’il s’est senti blessé dans ses sentiments serait invivable et terrible.
Ensuite, parce qu’il ne suffit pas d’invoquer le préjudice, il faut encore en démontrer l’existence et l’étendue en se fondant sur des éléments objectifs permettant à un tiers de l’apprécier et de l’évaluer. Et c’est là qu’est toute la difficulté. Comment établir objectivement un préjudice qui est par essence subjectif ? Pour faire un parallèle un peu osé, en matière de droit du travail, insulter ses collègues, son salarié ou son employeur peut être constitutif d’une faute grave. Mais selon la sphère professionnelle et selon la personne, un même mot (pas nécessaire un gros mot) peut-être constitutif ou non d’une insulte selon l’usage et le milieu concerné : en général le langage n’est pas le même à l’usine ou au siège d’une même société.
Le préjudice moral n’est pas un sésame permettant d’ouvrir les portes de la justice. Au contraire. Pour être invoqué, manié et réparé efficacement, il y a d’abord un travail de fourmi pour déterminer avec rigueur et précision le fait générateur du préjudice, la perte ou la lésion qui en résulte, c’est à dire le dommage, le lien de causalité exact entre les deux en se fondant sur des éléments objectifs et non sur les seuls sentiments de la victime, pour enfin déterminer s’il existe un préjudice réparable ou non et, éventuellement, en évaluer sa réparation.
Préjudice moral et discrimination
S’il est un domaine où la notion de préjudice moral est souvent invoquée par les victimes, c’est celui de la discrimination. On sait par exemple que le taux de chômage des personnes en situation de handicap est le double de celui de la population « valide ». Malheureusement, trop nombreux sont les récits que nous entendons où telle personne en situation de handicap de notre connaissance s’est vu refuser un poste ou un entretien d’embauche. Parfois il s’agit aussi de l’entrée dans un restaurant ou de l’accès aux transports en commun. Ces injustices du quotidien engendrent pour la personne un « préjudice moral » au sens commun du terme, dont il devient important pour elle, certaines fois crucial, de demander et d’obtenir la réparation.
Comme on l’a déjà vu plus haut, une grande prudence est de mise dans l’utilisation de la notion de préjudice moral. Avant même de considérer juridiquement l’existence du préjudice, il est nécessaire de déterminer si les trois conditions de mise en œuvre de la responsabilité sont réunies (fait générateur, dommage et lien de causalité) et qu’il est possible de les démontrer. Le fait générateur serait la discrimination elle-même, telle que prévue et réprimée par l’article 225-1 du Code pénal : « Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques sur le fondement de leur origine, de leur sexe, de leur situation de famille, de leur grossesse, de leur apparence physique, de la particulière vulnérabilité résultant de leur situation économique, apparente ou connue de son auteur, de leur patronyme, de leur lieu de résidence, de leur état de santé, de leur perte d’autonomie, de leur handicap… ». Mais encore faut-il le prouver et l’établir ! Et rien n’est moins évident dans la pratique. Montrer la corrélation entre handicap et refus d’embauche peut s’avérer extrêmement ardu. On voit très rarement écrit explicitement que la seule cause du refus est le handicap du candidat. Comment alors démontrer que la personne évincée était meilleure, plus compétente, plus adaptée ou avait plus d’expérience que le candidat finalement choisi à sa place ? Et l’employeur n’a-t-il pas aussi le droit de préférer, sans qu’il soit question de handicap, un candidat plutôt qu’un autre ?
Encore une fois, il est nécessaire de se focaliser d’abord et avant tout sur les éléments objectifs permettant de démontrer l’existence d’une discrimination. Au travail, par exemple, le non-respect des normes d’accessibilité, le refus d’adapter le poste de travail ou les conditions de travail sans que celles-ci n’impactent le fonctionnement de l’entreprise, les modifications unilatérales du contrat de travail rendant impossible ou bien plus difficile l’exécution de sa mission… Ce n’est qu’une fois ce travail réalisé que l’on pourra évoquer les conséquences de la discrimination, le préjudice moral ou non, pour la personne qui en a été la victime.
Le sentiment d’injustice est une chose terrible en soi et révoltante. Lutter contre et rétablir les équilibres sont les fondements même de notre État de droit même s’il est toujours perfectible, dans ses principes comme dans son application. Pour cela, la sanction des infractions, qu’il s’agisse de discriminations ou non, comme la réparation du préjudice, moral ou non, doit reposer sur des éléments objectifs, démontrables, appréciables par un tiers, le juge. Et toujours une grande prudence comme une grande rigueur sont de mises. Il ne peut vraiment en être autrement, sauf à vouloir imposer une dictature judiciaire des sentiments.
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handirect |
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Dossier - Feuille de route MDPH 2022 - Secretariat d'Etat aupres du Premier ministre charge des Personnes handicapees |
23/10/2020 |
«La création d'un accès au droit de qualité, simple, rapide et équitable Depuis 2017, le Gouvernement s'est engagé dans une politique volontariste d'amélioration du quotidien de tous les citoyens dont les personnes en situation de handicap et leurs proches.
Engagée par Sophie Cluzel, secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre en charge des personnes handicapées, une pluralité d'actions a ainsi été déployée avec notamment comme ambition majeure l'amélioration et la simplification de l'accès aux droits de façon équitable dans tous les départements.
Dans le cadre de la Conférence nationale du handicap du 11 février 2020, un accord de méthode inédit entre l'Etat et l'Assemblée des départements de France a été signé, selon une méthode de concertation et de coconstruction, pour optimiser de façon significative, sous deux ans, le pilotage et le fonctionnement des maisons départementales des personnes handicapées (MDPH). Co-portée dans sa vision d'ensemble et son déploiement par l'Etat et l'Assemblée des départements de France, la feuille de route MDPH 2022, structurée autour de cinq grands axes de transformation, fait de la maitrise des délais de traitement des droits et de l'accélération de l'attribution des droits à vie [1], deux enjeux majeurs.
Simplifier durablement le quotidien des personnes et réduire les disparités territoriales sont au centre de cette transformation des méthodes et des pratiques afin de permettre à chaque usager d'obtenir un accès aux droits de qualité, simple, rapide et équitable.
Pour retrouver le baromètre CNSA des maisons départementales des personnes handicapées CLIQUEZ ICI pdf Télécharger le dossier - Feuille de route MDPH 2022 Téléchargement (5.3 Mo) docx Télécharger le dossier - Feuille de route MDPH 2022 Téléchargement (34 ko) [1] Instaurés depuis 2019 pour les personnes dont le handicap est irréversible que ce soit pour l'allocation adulte handicapé (AAH), la reconnaissance de qualité de travailleur handicapé (RQTH), la carte mobilité inclusion (CMI) et l'allocation d'éducation d'enfant handicapé (AEEH) jusqu'aux 20 ans de son bénéficiaire.»...
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handicap.gouv |
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Bonus ''inclusion handicap'' : nouvelles modalites d'application pour les etablissements d'accueil du jeune enfant |
22/10/2020 |
«Le "bonus inclusion handicap", auparavant régi par la circulaire n°2018-002 du 21 novembre 2018, est une aide financière complémentaire attribuée aux crèches, haltes-garderies et établissements multi-accueil qui accueillent au moins un enfant bénéficiaire de l'allocation d'éducation enfant handicapé. A noter : cette aide avait été instaurée pour aider les structures d'accueil du jeune enfant à faire face aux couts que représentent les formations des professionnels et l'acquisition de matériels spécifiques.
La circulaire n°2020-011 du 15 octobre 2020 annule et remplace les instructions prévues par l'ancien texte Il s’applique à toutes les places de la structure. Son montant est croissant avec le pourcentage d’enfants porteurs de handicap inscrits dans la structure et est plafonné à 1 300 euros par place et par an.»
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«Désormais, le bonus “inclusion handicap” s’applique dès le premier enfant porteur de handicap inscrit dans la structure.
Il s’applique à toutes les places de la structure. Son montant est croissant avec le pourcentage d’enfants porteurs de handicap inscrits dans la structure et est plafonné à 1 300 euros par place et par an.
Les enfants porteurs de handicap entrant dans le calcul du bonus “inclusion handicap” répondent à l’un des critères suivants :
l’enfant est bénéficiaire de l’allocation d’éducation de l’enfant handicapé (Aeeh) ;
l’enfant est inscrit dans un parcours bilan/intervention précoce, après une orientation par les plateformes départementales de coordination et d’orientation ;
l’enfant est pris en charge régulièrement par un Centre d’Action MédicoSociale Précoce (Camsp) ;
l’enfant est orienté par la Mdph vers une prise en charge en service d’éducation spéciale et de soins à domicile (SESSAD) ou en service d’accompagnement familial et d’éducation précoce (SAFEP) ;
l’enfant nécessite, sur diagnostic d’un centre hospitalier ou d’un médecin de Pmi, “une prise en charge globale thérapeutique, éducative ou rééducative compte tenu d’un développement inhabituel des acquisitions psychomotrices ou du diagnostic d’une pathologie ou d’une atteinte sensitive ou motrice grave”
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juriacm-jpa |
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New model of human brain 'conversations' could inform research on brain disease, cognition |
21/10/2020 |
«The model offers a new tool for exploring individual differences in brain networks, which is critical to classifications of brain disorders and disease, as well as for understanding human behavior and cognitive abilities.
The model highlights different brain structures ...” cells, groups of cells or specific regions ...” and the ongoing, overlapping series of "conversations" between those structures, which are tracked on a more precise time scale than has been previously afforded by other approaches.
"The model gives us a new perspective on the brain that adds clarity to what we already know about how the brain functions," said Richard Betzel, senior author of a new study in Nature Neuroscience.
Betzel is a professor in the IU Bloomington College of Arts and Sciences' Department of Psychological and Brain Sciences. "It highlights new organizational features that we hope to use down the road as diagnostic tools or as biomarkers for certain disorders." Because the new model vividly depicts individual differences in brain networks ...” the idiosyncratic signature or fingerprint that distinguishes one person's brain networks from another ...” the researchers believe it could be useful for classifying brain disorders and disease.»...
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scienceblog |
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La Cour des comptes severe sur l'action sociale de la branche Famille |
12/10/2020 |
«Le rapport annuel de la Cour des comptes sur l'application des lois de financement de la sécurité sociale se penche entre autres sur l'action sociale de la branche Famille.
Les dépenses ont connu une forte hausse mais "ne servent pas suffisamment l'accroissement des capacités d'accueil des jeunes enfants" et corrigent mal les inégalités territoriales, constate la Cour.
Cnaf DR La Cour des comptes publie son rapport annuel sur l'application des lois de financement de la sécurité sociale. Portant sur la LFSS 2020, adoptée le 24 décembre 2019, le rapport revêt un aspect un peu surréaliste lorsqu'il commente la trajectoire de retour à l'équilibre des comptes entre 2010 et 2019, totalement annihilée en 2020 par la crise sanitaire.
Et cela malgré les efforts évidents pour ne pas paraitre trop en décalage sur l'actualité. Au-delà de la question de l''équilibre des comptes, le rapport de la Cour n'en contient cependant pas moins de nombreuses informations intéressantes.»
[...]
« Fnas : des dépenses en hausse rapide…
C'est notamment le cas de la partie consacrée à l'action sociale de la branche Famille. Avec un budget de 5,86 milliards d'euros en 2019, le fonds national d'action sociale (Fnas) de la Cnaf joue un rôle important dans les territoires, à travers le financement des établissements d'accueil du jeune enfant (Eaje), d'accueils de loisirs, de centres sociaux, de foyers de jeunes travailleurs, de lieux de soutien à la parentalité...
La Cour des comptes constate que les dépenses d'action sociale de la branche Famille ont connu une forte hausse. Elles sont en effet passées de 4,65 milliards en 2012 à 5,76 milliards en 2018, soit une progression de près de 24%, nettement supérieure à celle du PIB (+15,8%). Ces dépenses d'action sociale progressent aussi alors que celles des prestations stagnent : pour une base 100 en 2012, les dépenses du Fnas sont à l'indice 123,9 en 2018, contre 99,5 pour les dépenses de prestations (sous l'effet de diverses réformes).
Cette progression concerne notamment les deux grands postes de dépenses : l'accueil des enfants de 0 à 6 ans (3,65 milliards, 60% des dépenses et +27% depuis 2013) et le temps libre des enfants et de la famille (1,35 milliard, 22% des dépenses et +22,6% depuis 2013, dont +33% pour les activités périscolaires). Dans le même temps, le rapport constate que "la Cnaf a poursuivi le mouvement de centralisation de la gestion, laquelle reste perfectible".
En effet, les dépenses d'action sociale sont déterminées par la Cnaf, la marge de manœuvre des CAF restant très limitée. Les fonds d'action sociale engagés de manière libre par les conseils d'administration des CAF ne représentent plus que 14% du total en 2018, contre 60% en 1995... Pour autant, la Cour estime que la gouvernance locale est "à mieux encadrer", pointant notamment les commissions trop nombreuses ou la nécessité d'accélérer la sortie de gestion d'équipements ou de services (les CAF gérant encore en direct 279 services – essentiellement des centres sociaux – à la fin de 2018).
...mais des créations de places qui ne suivent pas et des inégalités territoriales persistantes
Sur le fond, la Cour des comptes relève, après bien d'autres rapports (voir par exemple notre article ci-dessous du 17 juillet 2020) que les dépenses d'action sociale de la branche Famille "ne servent pas suffisamment l'accroissement des capacités d'accueil des jeunes enfants". Lors de la COG 2013-2017, seules 62.500 places de crèches ont été effectivement créées, sur un objectif de 100.000. De même, la hausse des dépenses consacrées au financement de la prestation de service unique (PSU, près de 2,5 milliards et +27% depuis 2012), "n'a eu qu'un effet limité sur la capacité d'accueil. En outre, comme l'a déjà signalé la Cour, les établissements d'accueil de jeunes enfants financés par la PSU constituent la solution de garde qui est à la fois la plus coûteuse en frais de fonctionnement et la plus subventionnée par l'argent public".
Un autre point faible relevé par la Cour réside dans la faible correction des inégalités territoriales durant la COG 2013-2017, alors qu'il s'agissait pourtant d'un objectif prioritaire. Même en tenant compte des différences dans les coûts du foncier et des loyers, il est difficile en effet d'expliquer les écarts entre des départements comme l'Aisne ou la Mayenne (dépense par enfant de 354 et 388 euros) et des départements comme Paris (2.808 euros) ou les Hauts-de-Seine (1.624 euros)
Les dépenses en faveur de l'accueil des jeunes enfants sont donc "à mieux orienter". Ceci passe notamment par une "rénovation" des outils d'intervention (comme le contrat enfance jeunesse), une meilleure évaluation des besoins des familles selon les territoires, mais aussi une meilleure régulation de l'offre d'accueil de jeunes enfants.
Enfin, la Cour des comptes propose de "réexaminer" l'implication de la branche famille dans le champ scolaire, les dépenses à ce titre étant passées de 272 à 530 millions entre 2012 et 2018. Certains des objectifs des contrats locaux d'accompagnement scolaire (Clas), financés par les CAF à hauteur de près de 31 millions en 2018, pourraient ainsi être revus.
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banquedesterritoires |
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La Cour des comptes severe sur l'action sociale de la branche Famille |
12/10/2020 |
«Le rapport annuel de la Cour des comptes sur l'application des lois de financement de la sécurité sociale se penche entre autres sur l'action sociale de la branche Famille.
Les dépenses ont connu une forte hausse mais "ne servent pas suffisamment l'accroissement des capacités d'accueil des jeunes enfants" et corrigent mal les inégalités territoriales, constate la Cour.
Cnaf DR La Cour des comptes publie son rapport annuel sur l'application des lois de financement de la sécurité sociale. Portant sur la LFSS 2020, adoptée le 24 décembre 2019, le rapport revêt un aspect un peu surréaliste lorsqu'il commente la trajectoire de retour à l'équilibre des comptes entre 2010 et 2019, totalement annihilée en 2020 par la crise sanitaire.
Et cela malgré les efforts évidents pour ne pas paraitre trop en décalage sur l'actualité. Au-delà de la question de l''équilibre des comptes, le rapport de la Cour n'en contient cependant pas moins de nombreuses informations intéressantes.»
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« Fnas : des dépenses en hausse rapide…
C'est notamment le cas de la partie consacrée à l'action sociale de la branche Famille. Avec un budget de 5,86 milliards d'euros en 2019, le fonds national d'action sociale (Fnas) de la Cnaf joue un rôle important dans les territoires, à travers le financement des établissements d'accueil du jeune enfant (Eaje), d'accueils de loisirs, de centres sociaux, de foyers de jeunes travailleurs, de lieux de soutien à la parentalité...
La Cour des comptes constate que les dépenses d'action sociale de la branche Famille ont connu une forte hausse. Elles sont en effet passées de 4,65 milliards en 2012 à 5,76 milliards en 2018, soit une progression de près de 24%, nettement supérieure à celle du PIB (+15,8%). Ces dépenses d'action sociale progressent aussi alors que celles des prestations stagnent : pour une base 100 en 2012, les dépenses du Fnas sont à l'indice 123,9 en 2018, contre 99,5 pour les dépenses de prestations (sous l'effet de diverses réformes).
Cette progression concerne notamment les deux grands postes de dépenses : l'accueil des enfants de 0 à 6 ans (3,65 milliards, 60% des dépenses et +27% depuis 2013) et le temps libre des enfants et de la famille (1,35 milliard, 22% des dépenses et +22,6% depuis 2013, dont +33% pour les activités périscolaires). Dans le même temps, le rapport constate que "la Cnaf a poursuivi le mouvement de centralisation de la gestion, laquelle reste perfectible".
En effet, les dépenses d'action sociale sont déterminées par la Cnaf, la marge de manœuvre des CAF restant très limitée. Les fonds d'action sociale engagés de manière libre par les conseils d'administration des CAF ne représentent plus que 14% du total en 2018, contre 60% en 1995... Pour autant, la Cour estime que la gouvernance locale est "à mieux encadrer", pointant notamment les commissions trop nombreuses ou la nécessité d'accélérer la sortie de gestion d'équipements ou de services (les CAF gérant encore en direct 279 services – essentiellement des centres sociaux – à la fin de 2018).
...mais des créations de places qui ne suivent pas et des inégalités territoriales persistantes
Sur le fond, la Cour des comptes relève, après bien d'autres rapports (voir par exemple notre article ci-dessous du 17 juillet 2020) que les dépenses d'action sociale de la branche Famille "ne servent pas suffisamment l'accroissement des capacités d'accueil des jeunes enfants". Lors de la COG 2013-2017, seules 62.500 places de crèches ont été effectivement créées, sur un objectif de 100.000. De même, la hausse des dépenses consacrées au financement de la prestation de service unique (PSU, près de 2,5 milliards et +27% depuis 2012), "n'a eu qu'un effet limité sur la capacité d'accueil. En outre, comme l'a déjà signalé la Cour, les établissements d'accueil de jeunes enfants financés par la PSU constituent la solution de garde qui est à la fois la plus coûteuse en frais de fonctionnement et la plus subventionnée par l'argent public".
Un autre point faible relevé par la Cour réside dans la faible correction des inégalités territoriales durant la COG 2013-2017, alors qu'il s'agissait pourtant d'un objectif prioritaire. Même en tenant compte des différences dans les coûts du foncier et des loyers, il est difficile en effet d'expliquer les écarts entre des départements comme l'Aisne ou la Mayenne (dépense par enfant de 354 et 388 euros) et des départements comme Paris (2.808 euros) ou les Hauts-de-Seine (1.624 euros)
Les dépenses en faveur de l'accueil des jeunes enfants sont donc "à mieux orienter". Ceci passe notamment par une "rénovation" des outils d'intervention (comme le contrat enfance jeunesse), une meilleure évaluation des besoins des familles selon les territoires, mais aussi une meilleure régulation de l'offre d'accueil de jeunes enfants.
Enfin, la Cour des comptes propose de "réexaminer" l'implication de la branche famille dans le champ scolaire, les dépenses à ce titre étant passées de 272 à 530 millions entre 2012 et 2018. Certains des objectifs des contrats locaux d'accompagnement scolaire (Clas), financés par les CAF à hauteur de près de 31 millions en 2018, pourraient ainsi être revus.
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banquedesterritoires |
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La Cour des comptes severe sur l'action sociale de la branche Famille |
12/10/2020 |
«Le rapport annuel de la Cour des comptes sur l'application des lois de financement de la sécurité sociale se penche entre autres sur l'action sociale de la branche Famille.
Les dépenses ont connu une forte hausse mais "ne servent pas suffisamment l'accroissement des capacités d'accueil des jeunes enfants" et corrigent mal les inégalités territoriales, constate la Cour.
Cnaf DR La Cour des comptes publie son rapport annuel sur l'application des lois de financement de la sécurité sociale. Portant sur la LFSS 2020, adoptée le 24 décembre 2019, le rapport revêt un aspect un peu surréaliste lorsqu'il commente la trajectoire de retour à l'équilibre des comptes entre 2010 et 2019, totalement annihilée en 2020 par la crise sanitaire.
Et cela malgré les efforts évidents pour ne pas paraitre trop en décalage sur l'actualité. Au-delà de la question de l''équilibre des comptes, le rapport de la Cour n'en contient cependant pas moins de nombreuses informations intéressantes.»
[...]
« Fnas : des dépenses en hausse rapide…
C'est notamment le cas de la partie consacrée à l'action sociale de la branche Famille. Avec un budget de 5,86 milliards d'euros en 2019, le fonds national d'action sociale (Fnas) de la Cnaf joue un rôle important dans les territoires, à travers le financement des établissements d'accueil du jeune enfant (Eaje), d'accueils de loisirs, de centres sociaux, de foyers de jeunes travailleurs, de lieux de soutien à la parentalité...
La Cour des comptes constate que les dépenses d'action sociale de la branche Famille ont connu une forte hausse. Elles sont en effet passées de 4,65 milliards en 2012 à 5,76 milliards en 2018, soit une progression de près de 24%, nettement supérieure à celle du PIB (+15,8%). Ces dépenses d'action sociale progressent aussi alors que celles des prestations stagnent : pour une base 100 en 2012, les dépenses du Fnas sont à l'indice 123,9 en 2018, contre 99,5 pour les dépenses de prestations (sous l'effet de diverses réformes).
Cette progression concerne notamment les deux grands postes de dépenses : l'accueil des enfants de 0 à 6 ans (3,65 milliards, 60% des dépenses et +27% depuis 2013) et le temps libre des enfants et de la famille (1,35 milliard, 22% des dépenses et +22,6% depuis 2013, dont +33% pour les activités périscolaires). Dans le même temps, le rapport constate que "la Cnaf a poursuivi le mouvement de centralisation de la gestion, laquelle reste perfectible".
En effet, les dépenses d'action sociale sont déterminées par la Cnaf, la marge de manœuvre des CAF restant très limitée. Les fonds d'action sociale engagés de manière libre par les conseils d'administration des CAF ne représentent plus que 14% du total en 2018, contre 60% en 1995... Pour autant, la Cour estime que la gouvernance locale est "à mieux encadrer", pointant notamment les commissions trop nombreuses ou la nécessité d'accélérer la sortie de gestion d'équipements ou de services (les CAF gérant encore en direct 279 services – essentiellement des centres sociaux – à la fin de 2018).
...mais des créations de places qui ne suivent pas et des inégalités territoriales persistantes
Sur le fond, la Cour des comptes relève, après bien d'autres rapports (voir par exemple notre article ci-dessous du 17 juillet 2020) que les dépenses d'action sociale de la branche Famille "ne servent pas suffisamment l'accroissement des capacités d'accueil des jeunes enfants". Lors de la COG 2013-2017, seules 62.500 places de crèches ont été effectivement créées, sur un objectif de 100.000. De même, la hausse des dépenses consacrées au financement de la prestation de service unique (PSU, près de 2,5 milliards et +27% depuis 2012), "n'a eu qu'un effet limité sur la capacité d'accueil. En outre, comme l'a déjà signalé la Cour, les établissements d'accueil de jeunes enfants financés par la PSU constituent la solution de garde qui est à la fois la plus coûteuse en frais de fonctionnement et la plus subventionnée par l'argent public".
Un autre point faible relevé par la Cour réside dans la faible correction des inégalités territoriales durant la COG 2013-2017, alors qu'il s'agissait pourtant d'un objectif prioritaire. Même en tenant compte des différences dans les coûts du foncier et des loyers, il est difficile en effet d'expliquer les écarts entre des départements comme l'Aisne ou la Mayenne (dépense par enfant de 354 et 388 euros) et des départements comme Paris (2.808 euros) ou les Hauts-de-Seine (1.624 euros)
Les dépenses en faveur de l'accueil des jeunes enfants sont donc "à mieux orienter". Ceci passe notamment par une "rénovation" des outils d'intervention (comme le contrat enfance jeunesse), une meilleure évaluation des besoins des familles selon les territoires, mais aussi une meilleure régulation de l'offre d'accueil de jeunes enfants.
Enfin, la Cour des comptes propose de "réexaminer" l'implication de la branche famille dans le champ scolaire, les dépenses à ce titre étant passées de 272 à 530 millions entre 2012 et 2018. Certains des objectifs des contrats locaux d'accompagnement scolaire (Clas), financés par les CAF à hauteur de près de 31 millions en 2018, pourraient ainsi être revus.
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Quand eclate la bulle des sombres secrets |
12/10/2020 |
«C'est un déferlement de communication d'Etat sur l'autisme qui s'est abattu sur la France ces derniers jours. Officiellement pour fêter le deuxième anniversaire du quatrième Plan autisme.
Tous les leviers de propagande ont été mis en branle, depuis les tweets triomphaux de Macron jusqu'au bombardement de la presse par un déluge de communiqués. PUBLICITE Ads by Teads La plupart des médias ont reproduit les communiqués, changé au plus quelques mots, puis sont passés à autre chose.»
[...]
«En coulisses toutefois, le système gouvernemental de l’autisme vacille au bord de l’abîme. Sophie Cluzel, selon mes sources, est en panique. Macron en personne a sommé les députés de la majorité de faire bloc autour d’elle.
Le cabinet de la ministre verrouille Wikipédia au mépris des règles de l’encyclopédie en ligne, tentant de censurer les contributeurs autistes, de transformer sa page en éloge-fleuve. Ce même cabinet ministériel téléphone aux journalistes pour leur dire que votre serviteur est "délirant", "en pleine dégringolade", "dépressif", bref un cas psychiatrique à éliminer – les connaisseurs des régimes de naguère apprécieront.
Il va sans dire qu’un simple deuxième anniversaire d’un quatrième plan autisme, qui plus est sans date clairement définie, ne justifie pas en soi tout ce matraquage médiatique. L’objectif en est autre : noyer les révélations qui se multiplient sur les turpitudes de la gestion étatique de l’autisme.
Ces derniers jours, entre autres, éclate ainsi le scandale Chronimed. Contrairement à ce que l’on a pu lire, ce scandale ne porte pas tant sur les dérives individuelles de quelques charlatans, mais plutôt sur la présence, durant des années, des figures de proue de pratiques dans le meilleur des cas fort douteuses dans l’entourage immédiat de C. Compagnon, la Madame Autisme non-élue du gouvernement, plaque tournante de la distribution des prébendes et des subventions.
Celle-ci, au demeurant, interrogée, n’a pu fournir que des explications confuses et invérifiables.
Quoi qu’il en soit, alors que de façon prouvable elle était au courant, à nul moment elle n’a condamné les figures majeures de pratiques, qui, appliquées à des animaux plutôt qu’à des enfants autistes, auraient suscité un tollé général, ni ne les a écartées du Comité national d’autisme ou de ses largesses, contrairement aux voix critiques qui durent endurer son courroux jupitérien.
Au-delà de Chronimed, c’est tout un système fondé sur l’arbitraire, le culte du secret et le népotisme qui arrive à bout de souffle. Un système où une poignée de bureaucrates choisissait arbitrairement les représentants des associations, y compris contre la volonté explicite de ces dernières.
Citait comme soutiens à ses projets pharaoniques des associations qui les condamnaient. Écartait les personnes gênantes des instances, alors même que, légalement, elles continuent d’en faire partie. Désignait à un très haut poste, comme responsable de l’homologation des formations, le patron… d’une entreprise de formation. Et ami d’une amie proche.
Un réseau où le degré de copinage entre les insiders des couloirs ministériels est devenu tel que même les adversaires au charlatanisme n’osent prendre publiquement la parole, afin de ne pas mettre leur tête en cause. Où les instances non-élues, juges et parties, inventent mille indicateurs fantaisistes pour claironner des victoires à la Matamore.
Et où, sans surprise, les familles et les personnes autistes sont, comme ci-devant, les dindons de la farce.
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ladepeche |
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Quand eclate la bulle des sombres secrets |
11/10/2020 |
«C'est un déferlement de communication d'Etat sur l'autisme qui s'est abattu sur la France ces derniers jours. Officiellement pour fêter le deuxième anniversaire du quatrième Plan autisme.
Tous les leviers de propagande ont été mis en branle, depuis les tweets triomphaux de Macron jusqu'au bombardement de la presse par un déluge de communiqués. PUBLICITE Ads by Teads La plupart des médias ont reproduit les communiqués, changé au plus quelques mots, puis sont passés à autre chose.»
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«En coulisses toutefois, le système gouvernemental de l’autisme vacille au bord de l’abîme. Sophie Cluzel, selon mes sources, est en panique. Macron en personne a sommé les députés de la majorité de faire bloc autour d’elle.
Le cabinet de la ministre verrouille Wikipédia au mépris des règles de l’encyclopédie en ligne, tentant de censurer les contributeurs autistes, de transformer sa page en éloge-fleuve. Ce même cabinet ministériel téléphone aux journalistes pour leur dire que votre serviteur est "délirant", "en pleine dégringolade", "dépressif", bref un cas psychiatrique à éliminer – les connaisseurs des régimes de naguère apprécieront.
Il va sans dire qu’un simple deuxième anniversaire d’un quatrième plan autisme, qui plus est sans date clairement définie, ne justifie pas en soi tout ce matraquage médiatique. L’objectif en est autre : noyer les révélations qui se multiplient sur les turpitudes de la gestion étatique de l’autisme.
Ces derniers jours, entre autres, éclate ainsi le scandale Chronimed. Contrairement à ce que l’on a pu lire, ce scandale ne porte pas tant sur les dérives individuelles de quelques charlatans, mais plutôt sur la présence, durant des années, des figures de proue de pratiques dans le meilleur des cas fort douteuses dans l’entourage immédiat de C. Compagnon, la Madame Autisme non-élue du gouvernement, plaque tournante de la distribution des prébendes et des subventions.
Celle-ci, au demeurant, interrogée, n’a pu fournir que des explications confuses et invérifiables.
Quoi qu’il en soit, alors que de façon prouvable elle était au courant, à nul moment elle n’a condamné les figures majeures de pratiques, qui, appliquées à des animaux plutôt qu’à des enfants autistes, auraient suscité un tollé général, ni ne les a écartées du Comité national d’autisme ou de ses largesses, contrairement aux voix critiques qui durent endurer son courroux jupitérien.
Au-delà de Chronimed, c’est tout un système fondé sur l’arbitraire, le culte du secret et le népotisme qui arrive à bout de souffle. Un système où une poignée de bureaucrates choisissait arbitrairement les représentants des associations, y compris contre la volonté explicite de ces dernières.
Citait comme soutiens à ses projets pharaoniques des associations qui les condamnaient. Écartait les personnes gênantes des instances, alors même que, légalement, elles continuent d’en faire partie. Désignait à un très haut poste, comme responsable de l’homologation des formations, le patron… d’une entreprise de formation. Et ami d’une amie proche.
Un réseau où le degré de copinage entre les insiders des couloirs ministériels est devenu tel que même les adversaires au charlatanisme n’osent prendre publiquement la parole, afin de ne pas mettre leur tête en cause. Où les instances non-élues, juges et parties, inventent mille indicateurs fantaisistes pour claironner des victoires à la Matamore.
Et où, sans surprise, les familles et les personnes autistes sont, comme ci-devant, les dindons de la farce.
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ladepeche |
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Droits des personnes handicapees : Quid de la Convention de l'ONU |
10/10/2020 |
«Pourquoi la Convention Internationale des Nations Unies relative aux Droits des Personnes Handicapées n'est-elle pas appliquée au pays des droits de l'Homme ? Par Stéphane FORGERON. Outil juridique de promotion des droits humains, la Convention Internationale de l'ONU relative aux Droits des Personnes Handicapées (CIDPH) a été adoptée le 13 décembre 2006 par l'Assemblée Générale des Nations Unies, puis ratifiée par le Parlement français le 18 février 2010. Cette Convention est censée constituer une avancée majeure pour près de 12 millions de citoyens vivant avec un handicap.»
[...]
«Exercer réellement les droits de tous les citoyens
Cette Convention a pour finalité de ” promouvoir, protéger et assurer ” la dignité, l’égalité devant la loi, les droits humains et les libertés fondamentales, ainsi que la participation active à la vie politique, économique, sociale et culturelle des personnes handicapées. À travers cette Convention, les droits reconnus aux personnes handicapées ne représentent pas des droits supplémentaires ; ce sont des dispositions leur permettant d’exercer réellement les droits de tous les citoyens (ex. accessibilité, éducation, emploi, logement, santé).
Or, ratifier un texte international n’est pas suffisant pour rétablir l’égalité des droits d’une population particulièrement défavorisée : encore faut-il mettre en œuvre les engagements pris par le Parlement inscrits dans cette Convention ? Au pays des droits de l’Homme, les gouvernements successifs depuis 2010 refusent d’appliquer la CIDPH, considérant que la Loi de 2005 va au-delà de cette Convention.
Quant aux administrations, et en premier lieu la Direction Générale de la Cohésion Sociale, elles font preuve d’une arrogance sans limite, affirmant dans des groupes de travail européens que ” la France confirme la conformité de son droit interne avec les dispositions de la Convention ONU pour les droits des personnes handicapées : avec la promulgation le 11 février 2005 de la loi pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes en situation de handicap, et la publication de près d’une centaine de textes règlementaires d’application, la France a été l’un des premiers pays membre de l’Organisation des Nations Unies à assurer une place à part entière aux personnes en situation de handicap dans la vie de la cité. Au moment de la ratification par la France de la convention des Nations Unies sur les droits des personnes handicapées, la plupart des dispositions souhaitées par l’ONU étaient déjà en application en droit français.[1] ”
Les rares associations travaillant sur la mise en œuvre de cette Convention ne décolèrent pas face à un tel mensonge du pouvoir administratif. Pour autant, l’essentiel est ailleurs pour le pays des droits de l’Homme : il a une image à défendre même si celle-ci est grandement tronquée. Montrer au reste du monde que la France fait mieux que les autres pays est une priorité nationale. Tout en violant les principes de la CIDPH dans son droit interne, la France ne peut pas perdre la face !
Un rapport accablant des Nations Unies sur le respect des droits des personnes handicapées en France
Le rapport des services des Nations Unies sur le non-respect de la CIDPH[2] par la France est pourtant accablant, dénonçant sans langue de bois la politique publique de discrimination systémique du pays des droits de l’Homme, à la lumière des normes et règles internationales relatives aux droits humains. L’absence d’égalité des droits entre les Français vivant avec un handicap et le reste de la population ressort à chaque rubrique de ce rapport, tellement la situation est préoccupante.
La France ayant ratifié cette Convention, elle aurait dû à minima initier un processus d’harmonisation pour adapter toute sa législation nationale aux obligations de la Convention, afin de garantir pleinement la participation des personnes handicapées et des associations censées les défendre. Or, sans stratégie en matière de sensibilisation et d’information sur le contenu de la Convention et ses enjeux auprès du grand public et des personnes handicapées, il ne faut pas s’attendre à des miracles ! Cette situation arrange beaucoup d’acteurs institutionnels, même si les déclarations officielles laissent penser le contraire.
Que faire lorsque les lois ou une Convention votées par le Parlement ne sont pas appliquées ? Pour l’État et sa technostructure, la CIDPH est avant tout une déclaration de bonnes intentions, et pour ses hauts fonctionnaires la loi de 2005 respecte les droits de l’Homme, la CIDPH n’apportant aucune avancée.
Des décalages importants dans les textes
Pourtant, des décalages très importants dans les textes, les modèles (médical versus social du handicap), les politiques et les pratiques sont à relever, et l’esprit de la Convention n’a pas été compris par la représentation nationale au moment des débats parlementaires pour sa ratification.
Tout étudiant en droit apprend que les traités et conventions internationales sont supérieurs en droit à une loi (Art. 55 de la Constitution), la doctrine étant constante pour ce qui est de leur effectivité : la hiérarchie des normes les place au-dessus des lois. Ainsi, une stipulation de la CIDPH devrait être d’effet direct en droit interne, c’est-à-dire applicable par le juge dans les litiges qui lui sont soumis. Le rapport Blatman[3] précise toutefois ” dès lors qu’elle est suffisamment précise et inconditionnelle “.
Qu’entend-on par stipulation suffisamment précise et inconditionnelle ? Si, par exemple, une stipulation d’une convention est jugée trop générale, elle n’a pas d’effet direct et requiert des dispositions complémentaires (ex. décret d’application rédigé par les administrations) en droit interne. D’après Michel BLATMAN, conseiller honoraire à la Cour de cassation, ” pour qu’une disposition conventionnelle soit reconnue d’effet direct, elle doit satisfaire certains critères : être suffisamment précise et inconditionnelle, avoir pour objet de garantir des droits au profit des particuliers et ne pas nécessiter de mesures complémentaires de l’État pour produire des effets à l’égard des particuliers “.
Cependant, le Conseil constitutionnel a une fâcheuse habitude de ” botter en touche ” : cette juridiction décline depuis fort longtemps sa compétence pour apprécier la conformité d’une loi aux stipulations d’un traité ou d’une convention internationale. Son argumentaire est constant en l’espèce : la juridiction suprême de la République française se limite à un contrôle de constitutionnalité et non de conventionalité. Du reste, pour cette juridiction, toute disposition en faveur de la population handicapée implique ” la mise en œuvre d’une politique de solidarité nationale[4] ”
Pas de réelle contrainte ni sanction
Aussi, les stipulations de la CIDPH n’ont pas d’effet direct (ou force de loi) en droit français, dès lors que les dispositions ne sont pas jugées suffisamment détaillées ou précises par le pouvoir administratif. En conséquence, l’exécutif peut bloquer l’application de toute Convention pendant des décennies bien qu’adoptée par la représentation nationale. La CIDPH est entrée dans notre droit national, sans réelle contrainte ni sanction si l’État ne transpose pas en droit interne les dispositions de la Convention.
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handirect |
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Qui sont ces parents qui font l'ecole a la maison et qui ne veulent pas que ca s'arrete ? |
10/10/2020 |
«Qui sont ces parents qui font l'école à la maison et qui ne veulent pas que ça s'arrête ? Par Paul GRATIAN En France, environ 50 000 enfants ont classe à leur domicile et non à l'école.
Cette possibilité est remise en cause par le gouvernement dans son projet de loi contre le séparatisme. Les motivations des parents ayant opté pour l'Instruction en famille (IEF) sont très diverses.
De l’instruction hors de l’école, on a souvent l’image du couple de voyageurs parti faire un tour du monde avec ses enfants. Mais les motivations des milliers de parents qui ont recours à l’IEF (Instruction en famille) chaque année sont bien plus diverses.»
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«« Ma fille est autiste et je n’ai malheureusement pas eu d’autre choix »
Lorsqu’Emmanuel Macron a annoncé la fin de l’instruction à domicile, Julie (qui a choisi elle aussi de garder l’anonymat) était à table avec son mari. « Cette mesure, on la craignait, on la redoutait. Elle nous a révoltés. J’ai vu mon mari pleurer pour la première fois de ma vie », nous confie-t-elle.
Pour sa fille aujourd’hui âgée de 10 ans, l’instruction à domicile a commencé il y a cinq ans. Julie pensait d’abord inscrire à l’école sa fille, diagnostiquée autiste à l’âge de 2 ans. « La directrice, qui allait être sa maîtresse, nous a d’abord dit qu’il n’y avait pas de problème. Et puis, deux jours après, elle nous a affirmé qu’elle ne l’accueillerait que deux heures par semaine. « Ce n’est pas la SPA ici », a-t-elle affirmé. Une phrase extrêmement violente qui s’ajoute à toutes les discriminations auxquels on doit faire face », n’a pas oublié cette mère. Le cartable reste depuis dans le placard.
La famille a bien tenté de contacter d’autres écoles, mais toutes ont expliqué qu’elles n’étaient ni équipées ni adaptées. « Alors, nous avons dû avoir recours au CNED, explique Julie. On n’avait pas le choix, il fallait protéger notre enfant contre toute maltraitance possible. »
La mère a abandonné son travail pour s’occuper de sa fille. « C’est du sport, c’est beaucoup de travail, mais ça se passe bien. Ma fille, aujourd’hui en CM1, est heureuse, épanouie, elle réussit bien. »
Alors, hors de question de la faire retourner dans une école « où on ne la veut pas ». Le projet de loi contre les séparatismes précise bien que l’instruction à domicile sera possible pour « impératif de santé ». Mais Julie redoute que sa fille n’entre pas dans les critères, l’autisme n’étant pas une maladie.
« Stigmatiser les enfants et les familles ayant recours à l’IEF sous couvert de radicalisation est ridicule. Il y a bien des enfants radicalisés dans les écoles et on ne ferme pas les écoles pour autant, si ? », s’interroge-t-elle.
Si la fin de l’instruction à domicile était confirmée, la famille envisage carrément de tirer un trait sur sa vie en France et de quitter le pays pour s’installer en Suède, à contrecœur.
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ouest-france |
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Julian Assange, de Wikileaks, est Asperger et souffre de depression | Le Club de Mediapart |
10/10/2020 |
«Le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, souffre du syndrome d'Asperger et de dépression, d'après une présentation au tribunal Par Bill Goodwin, Computer Weekly Publié : 23 Sep 2020 Julian Assange a été diagnostiqué avec le syndrome d'Asperger, une dépression sévère et d'autres problèmes de santé mentale qui le mettent en danger de suicide, a-t-on appris au tribunal lors de son audience d'extradition.
Assange court un grand risque de se suicider s'il est extradé vers les Etats-Unis, ont déclaré des experts médicaux lors de l'audience à l'Old Bailey. La santé mentale d'Assange et le risque de suicide sont l'un des principaux facteurs qui détermineront si le fondateur de WikiLeaks peut être extradé vers les Etats-Unis.»
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«Dans deux affaires qui ont fait jurisprudence, le Royaume-Uni a refusé l'extradition de Gary McKinnon en 2012 et de Lauri Love en 2018 pour répondre à des accusations de piratage informatique aux États-Unis au motif qu'ils étaient atteints du syndrome d'Asperger et de dépression - des conditions qui les exposaient à un risque de suicide.
Ces deux derniers jours, des experts médicaux ont déclaré aux juges de l'Old Bailey qu'Assange souffrait de dépression et d'autisme, et qu'il serait donc exposé à un risque élevé de suicide si le tribunal ordonnait son extradition vers une prison américaine.
Assange a été inculpé de 17 chefs d'accusation en vertu de la loi américaine sur l'espionnage et d'un chef d'accusation en vertu de la loi américaine sur la fraude et les abus informatiques, après avoir reçu des centaines de milliers de documents gouvernementaux ayant fait l'objet d'une fuite de la part de l'ancien soldat américain Chelsea Manning.
Le fondateur de WikiLeaks fait face à d'autres allégations selon lesquelles il aurait conspiré avec des pirates informatiques pour les encourager à obtenir des documents secrets du gouvernement américain.
Le syndrome d'Asperger
Lors de son témoignage mercredi, Quinton Deeley, psychiatre consultant du NHS, a déclaré avoir diagnostiqué le syndrome d'Asperger chez Assange .
Deeley a diagnostiqué cette condition après avoir observé Assange passer un test de deux heures en janvier 2020 et six heures d'entretiens téléphoniques avec Assange en juillet 2020.
Il a déclaré qu'Assange était une personne intelligente, avec une capacité de pensée analytique et de compréhension des systèmes, mais qu'il avait des difficultés à comprendre les autres personnes.
"Avec de la réflexion, il peut se résoudre à comprendre ce que les autres pensent et ressentent, mais dans son expérience quotidienne, il est peu conscient", a-t-il déclaré au tribunal.
Le psychiatre a déclaré à la cour que le syndrome d'Asperger d'Assange signifiait qu'il ruminait de manière obsessionnelle et que, compte tenu de ses antécédents de dépression, il courrait un risque élevé de suicide s'il devait être extradé vers une prison américaine.
Julian Assange court un grand risque de se suicider s'il est extradé vers une prison américaine, a entendu le tribunal
"C'est un résultat qu'il craint, un résultat qu'il redoute. Il a toujours dit qu'il trouverait cette épreuve insupportable", a déclaré M. Deeley.
"La réalité de la situation est que les gens qui sont déterminés à se suicider vont se suicider", a-t-il déclaré au tribunal.
James Lewis QC pour l'accusation a demandé à Deeley s'il savait qu'Assange était l'hôte d'une émission de télévision en 2012, et s'est engagé dans un "échange conversationnel" au Club Frontline pour les journalistes en 2010.
Lorsqu'une vidéo du discours d'Assange au Frontline Club a été diffusée au tribunal, Deeley a déclaré qu'Assange avait présenté un "monologue impressionnant" sur un sujet dont il est expert, mais qu'il trouvait l'interaction spontanée plus difficile.
Assange avait montré des signes d'autisme dans son enfance, a déclaré Deeley, notamment une préférence pour le jeu solitaire, et à l'adolescence, il a développé des amitiés avec un petit nombre de personnes "geeky" qui partageaient son intérêt pour l'informatique.
Le psychiatre a interrogé un ami australien d'Assange, qui lui a dit qu'Assange se comportait souvent de manière inhabituelle. Il était normal pour lui d'aller dans les cafés et de déplacer les chaises, d'aller derrière le bar pour changer la musique en quelque chose qu'il aimait ou de prendre une photo sur le mur pour la regarder.
Il ne pouvait pas supporter les bavardages, parler de football ou du temps qu'il faisait. Il parlait par-dessus les gens, les interrompait et les coupait, non pas parce qu'il était arrogant, mais parce qu'il avait une idée et qu'il voulait l'exprimer.
Deeley a déclaré qu'il semblait y avoir des antécédents de troubles du spectre autistique dans la famille d'Assange. Sa mère s'est identifiée comme étant "autiste" et sa grand-mère s'est isolée dans sa chambre pour apprendre le latin.
Hallucinations auditives
Michael Kopelman, responsable de neuropsychiatrie au King's College de Londres, a déclaré qu'Assange souffrait d'autisme, de crises de dépression et avait eu des hallucinations auditives.
"Pour un psychiatre, le risque de suicide en cas d'extradition est très élevé", a déclaré M. Kopelman à la cour.
Lors de son témoignage du mardi 22 septembre, M. Kopelman a déclaré qu'Assange avait rédigé un testament et s'était confessé à un prêtre catholique, qui lui a donné l'absolution.
Le tribunal a appris qu'Assange avait été trouvé en possession d'une grande quantité de paracétamol et avait été accusé de possession d'une lame de rasoir dans sa cellule à la prison de Belmarsh, dans le sud-est de Londres.
À une autre occasion, Assange a déclaré avoir eu une "expérience de mort imminente".
Possibilité de simulation ?
Lewis a demandé à Kopelman s'il avait déjà remarqué des prisonniers qui faisaient des simagrées ou qui exagéraient leurs symptômes.
M. Kopelman a dit : "Je suis très conscient, en tant que personne qui a traité de nombreuses situations, de la possibilité de simulation, et j'en étais conscient dans ce cas."
L'avocat de l'accusation a demandé à M. Kopelman pourquoi il n'avait pas mentionné dans son rapport qu'Assange avait lu le British Medical Journal. Il a également déclaré que Kopelman n'avait pas inclus dans son rapport médical des éléments consignés dans les notes d'Assange, notamment des exemples où Assange semblait détendu et avait nié s'être infligée des blessures.
Kopelman a dit qu'il essayait d'écrire un résumé pour la cour, et que son rapport était plus complet que celui des autres experts médicaux de l'affaire. "J'ai inclus des choses qu'il dit être positives sur sa santé mentale et des choses qui sont négatives. Je n'ai pas tout inclus", a-t-il déclaré.
Le procès se poursuit.
Commentaire : Que Julian Assange soit autiste Asperger n'est pas vraiment étonnant. Il en a toutes les qualités. Le diagnostic présenté au tribunal est plus sérieux que ceux posthumes d'Einstein, Perceval, Mozart ou autres. En ce qui me concerne, je soutiens Julian Assange, pour toutes les informations importantes qu'il a contribué à faire connaître, qu'il soit Asperger ou non.
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blogs.mediapart |
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Décret no 2020-1216 du 2 octobre 2020 relatif aux missions et aux conditions d'organisation et de fonctionnement des établissements et services de préorientation et de réadaptation professionnelle pour les personnes handicapées |
04/10/2020 |
«Décret no 2020-1216 du 2 octobre 2020 relatif aux missions et aux conditions d'organisation et de fonctionnement des établissements et services de préorientation et de réadaptation professionnelle pour les personnes handicapées NOR : SSAA1925963D Publics concernés: personnes handicapées ou personnes en risque d'inaptitude à leur poste ou à leurs fonctions, maisons départementales des personnes handicapées, établissements et services médico-sociaux accompagnant ces publics.
Objet: missions et conditions d'organisation et de fonctionnement des établissements et services médico- sociaux de préorientation et de réadaptation professionnelle pour les personnes handicapées.
Entrée en vigueur: le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication. Notice: le texte précise les missions et les prestations assurées par les établissements et services médico- sociaux de préorientation et de réadaptation professionnelle, dans une logique de parcours individualisé s'appuyant notamment sur différents organismes de formation et d'insertion auxquels elles mettent à disposition leur expertise.»
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«« Art. D. 312-161-25. – Les établissements et les services de préorientation ont pour vocation, dans le cadre d’un accompagnement médico-psycho-social et professionnel, la réalisation des missions visées à l’arti-cle D. 312-161-26. « Ils accompagnent les travailleurs, quel que soit leur statut et leur profession, ou les personnes en recherche d’emploi, à partir de l’âge de seize ans et quel que soit leur handicap, et reconnus handicapés ou en cours de reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé ou en risque d’inaptitude à leur poste ou leurs fonctions et qui ont un besoin d’accompagnement médico-psycho-social et professionnel: « a) Soit sur décision de la commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées mentionnée à l’article L. 241-5 lorsque l’orientation professionnelle présente des difficultés particulières pour lesquelles l’équipe pluridisciplinaire mentionnée à l’article L. 146-8 n’a pu proposer une solution en réponse aux besoins de la personne; « b) Soit sur demande, selon des modalités précisées par arrêté du ministre chargé des personnes handicapées, d’une maison départementale des personnes handicapées ou de toute personne morale ou physique. « Art. D. 312-161-26. – I. – Les établissements et les services de préorientation contribuent à l’orientation professionnelle des personnes handicapées, en organisant et en mettant en œuvre tout ou partie des prestations correspondant aux missions suivantes: « 1o Informer les personnes handicapées ou les professionnels sur les prestations de préorientation et de réadaptation professionnelle; « 2o Informer et sensibiliser les organismes de formation sur les spécificités de la formation des personnes handicapées; « 3o Réaliser des évaluations préliminaires médico-psycho-sociales ou à caractère professionnel de courte durée, sur demande d’une maison départementale des personnes handicapées ou sur demande, selon des modalités précisées par arrêté du ministre chargé des personnes handicapées, de toute personne morale ou physique, y compris un employeur public ou privé, afin de déterminer si la personne handicapée peut bénéficier de prestations de préorientation professionnelle; « 4o Procéder sur demande d’un employeur public ou privé à des évaluations professionnelles concernant des agents publics ou des salariés exposés à un risque d’inaptitude à leur poste ou à leurs fonctions, selon des modalités précisées par arrêté du ministre chargé des personnes handicapées; « 5o Apporter leur concours aux équipes pluridisciplinaires mentionnées à l’article L. 146-8 qui en font la demande, notamment dans le cadre de conventions passées avec les maisons départementales des personnes handicapées de leur territoire d’implantation et des territoires limitrophes, dont le modèle est fixé par arrêté du ministre chargé des personnes handicapées;
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mcusercontent |
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Allocation journaliere du proche aidant |
02/10/2020 |
«L'allocation journalière du proche aidant (AJPA) est dès à présent versée aux personnes assistant un proche en perte d'autonomie ou en situation de handicap, qui bénéficient notamment du congé de proche aidant.
Depuis la loi d'adaptation de la société au vieillissement (ASV) datant de 2017, le congé de proche aidant existe et permet de venir en aide à un membre de son entourage en perte d'autonomie.
Aucune rémunération n'étant perçue pendant ce congé, peu de personnes en ont fait la demande. Le gouvernement a donc instauré l'allocation journalière du proche aidant (AJPA), une aide destinée à soutenir financièrement les aidants.»
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«Une indemnisation grâce à l’AJPA
L’AJPA est entrée en vigueur le 1er octobre 2020 avec la publication d’un décret précisant ses modalités. Il a pour objectif de limiter la perte financière qu’implique la prise d’un congé de proche aidant et d'inciter les millions de Français qui accompagnent au quotidien des proches à le demander.
Comment bénéficier de cette allocation ?
Pour bénéficier de l’AJPA, les conditions sont similaires à celles du congé de proche aidant précédemment mentionnées. En plus des salariés, elle est accessible pour les demandeurs d’emploi indemnisés. La durée est elle aussi limitée dans le temps et s’élève à 66 jours au total, avec une restriction de 22 jours par mois.
Le versement de l’allocation journalière du proche aidant est réalisé par la CAF ou la MSA (Mutualité sociale agricole) après une demande en ligne ou par le biais d’un formulaire papier. Un document émanant de la Maison départementale des personnes handicapés (Mdph) ou du Conseil départemental attestant un taux d’incapacité de la personne aidée au moins égal à 80 % ou un GIR entre 1 et 3 est requis pour compléter le dossier. Tous les mois, l’organisme vous fera parvenir une attestation à remplir et à retourner pour maintenir le versement de l’aide.
Les bénéficiaires de l’AJPA sont également éligibles à l'assurance vieillesse du parent au foyer (AVPF), un soutien financier supplémentaire pour les aidants.
Quel est le montant de l’allocation journalière du proche aidant ?
Le montant de l’AJPA se base sur celui de l’allocation journalière de présence parentale (AJPP) et ne dépend pas des revenus de l’aidant. Ainsi, les personnes vivant en couple peuvent percevoir 44,83 euros par jour et les personnes isolées 52,08 euros.
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demarchesadministratives |
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Decret n° 2020-1208 du 1er octobre 2020 relatif a l'allocation journaliere du proche aidant et l'allocation journaliere de presence parentale - Legifrance |
02/10/2020 |
«Il est créé un chapitre VIII bis au titre VI du livre I du code de la sécurité sociale (partie réglementaire) ainsi rédigé : « Chapitre VIII bis « Allocation journalière du proche aidant « Art.
D. 168-11.
• Pour bénéficier de l'allocation journalière du proche aidant, les personnes mentionnées à l'article L. 168-8 adressent leur demande au moyen d'un formulaire homologué en vigueur à leur organisme débiteur des prestations familiales lorsqu'elles ou un membre de leur foyer sont allocataires.
Dans les autres situations, les personnes susmentionnées adressent ce formulaire à l'organisme débiteur des prestations familiales déterminé en application des dispositions de l'article R. 514-1. « La demande d'allocation est accompagnée des pièces prévues aux 3° et 4° de l'article D. 3142-8 du code du travail.
« Pour les personnes mentionnées aux articles L. 7221-1 et L. 7311-3 du code du travail, au 1° et au dernier alinéa de l'article L. 611-1 du présent code et à l'article L. 722-9 du code rural et de la pêche maritime, la demande d'allocation est complétée par une déclaration attestant la suspension ou la réduction de l'activité professionnelle.
Pour chacun des mois de demande de versement de l'allocation, elles adressent à l'organisme débiteur des prestations familiales une déclaration attestant le nombre de journées ou de demi-journées d'interruption d'activité prises au cours du mois considéré.»...
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legifrance.gouv |
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Decret n° 2020-1208 du 1er octobre 2020 relatif a l'allocation journaliere du proche aidant et l'allocation journaliere de presence parentale - Legifrance |
02/10/2020 |
«Il est créé un chapitre VIII bis au titre VI du livre I du code de la sécurité sociale (partie réglementaire) ainsi rédigé : « Chapitre VIII bis « Allocation journalière du proche aidant « Art.
D. 168-11.
• Pour bénéficier de l'allocation journalière du proche aidant, les personnes mentionnées à l'article L. 168-8 adressent leur demande au moyen d'un formulaire homologué en vigueur à leur organisme débiteur des prestations familiales lorsqu'elles ou un membre de leur foyer sont allocataires.
Dans les autres situations, les personnes susmentionnées adressent ce formulaire à l'organisme débiteur des prestations familiales déterminé en application des dispositions de l'article R. 514-1. « La demande d'allocation est accompagnée des pièces prévues aux 3° et 4° de l'article D. 3142-8 du code du travail.
« Pour les personnes mentionnées aux articles L. 7221-1 et L. 7311-3 du code du travail, au 1° et au dernier alinéa de l'article L. 611-1 du présent code et à l'article L. 722-9 du code rural et de la pêche maritime, la demande d'allocation est complétée par une déclaration attestant la suspension ou la réduction de l'activité professionnelle.
Pour chacun des mois de demande de versement de l'allocation, elles adressent à l'organisme débiteur des prestations familiales une déclaration attestant le nombre de journées ou de demi-journées d'interruption d'activité prises au cours du mois considéré.»...
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legifrance.gouv |
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Vidéo Immersion a l'INJS, l'ecole des jeunes sourds - Sept a huit | TF1 |
27/09/2020 |
«Immersion à l'INJS, l'école des jeunes sourds L'Institut national des jeunes sourds de Paris est la première école destinée à l'enseignement des»...
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tf1 |
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Brain signal imbalance tracks with sex and with camouflaging autism traits | Spectrum | Autism Research News |
19/09/2020 |
«Autistic men show a greater imbalance between excitatory and inhibitory signaling in the medial prefrontal cortex than autistic women do, a new study has found1. The sex difference in this brain area, which is involved in social behavior and cognition, could help explain why autistic women seem to camouflage their autism more often than autistic men do, researchers say.
The work builds on the signaling imbalance theory of autism, which proposes that autism is the result of too much excitation or too little inhibition in the brain. Researchers have been hard pressed to directly measure this imbalance, also known as the E:I ratio.
Some studies have relied on patch clamps, devices that measure electrical activity cell by cell in brain slices or in sedated animals and that are too invasive to be used in people2. Other studies have inferred the E:I ratio from neural activity patterns in brain scans, relying on a measure called the 1/f slope, which gauges how ...˜noisy' or random a signal is3. A related measure called the Hurst exponent (H) informs the new results.
The larger H is, the less noisy the brain signals and the more typical the balance between inhibition and excitation. In 2010, members of the same research team reported that H was significantly lower in the brains of autistic men than in neurotypical men4. For the new study, they wanted to find out if the same holds true for women.
They used brain scans from the earlier study, collected using a technique called functional magnetic resonance imaging (fMRI). "We thought that perhaps a metric like H could help give us that window into E:I mechanisms," says co-lead researcher Michael Lombardo, senior researcher of neurodevelopmental disorders at the Istituto Italiano di Tecnologia in Genoa, Italy.
"It was a good opportunity to test that question with imaging data, but we had to do a lot of groundwork to get to that point." Measuring imbalance: That groundwork began with computational models, which Lombardo's team used to predict how changes to the E:I ratio would affect 1/f slope and H in fMRI measurements.
The models predicted that as excitation increases, brain signals get noisier, the 1/f slope flattens and the value of H drops.»...
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spectrumnews |
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Response to Placebo in Fragile X Syndrome Clinical Trials: An Initial Analysis - PubMed |
18/09/2020 |
«Abstract Fragile X syndrome (FXS) is the leading cause of inherited intellectual disability and autism spectrum disorder. Individuals with FXS often present with a wide range of cognitive deficits and problem behaviors.
Educational, behavioral and pharmacological interventions are used to manage these and other complex issues affecting individuals with FXS. Despite the success of preclinical models and early-phase drug clinical studies in FXS, large-scale randomized-controlled trials have failed to meet primary endpoints.
Currently, no targeted or disease-modifying treatments for FXS have received regulatory approval. Here, we examined the placebo response in FXS clinical trials conducted between 2006 and 2018. Specifically, we performed a meta-analysis of placebo-treated groups in eight double-blind, randomized controlled trials.
Placebo groups demonstrated significant improvements on caregiver-rated efficacy endpoints, which were greater in adolescents and adults than in children. Among the latter measures, the Visual Analog Scale scores displayed the greatest improvements, whereas the positive effects on the Vineland-II Adaptive Behavior Composite and the Aberrant Behavior Checklist-Community/fragile X version were statistically significant in both children and adolescents/adults.
Although the Clinical Global Impression scale Improvement appears to have exhibited a substantial placebo effect in multiple clinical trials in FXS, limited data availability for meta-analysis, prevented us from drawing conclusions.
No placebo-related improvements were observed in performance-rated measures. These findings raise substantial concerns about placebo effects in outcome measures commonly used in the randomized-controlled trials in FXS and suggest several potential improvements in the study design and implementation of such trials.
Considering the small number of trials available for this study, larger and more detailed follow up meta-analyses are needed. Meanwhile, efforts to improve the measurement properties of endpoints and rater training in drug trials in FXS should be prioritized.»...
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pubmed.ncbi.nlm.nih |
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Reduced Language Lateralization in Autism and the Broader Autism Phenotype as Assessed with Robust Individual...Subjects Analyses - Jouravlev - - Autism Research - Wiley Online Library |
18/09/2020 |
«Abstract One of the few replicated functional brain differences between individuals with autism spectrum disorders (ASD) and neurotypical (NT) controls is reduced language lateralization.
However, most prior reports relied on comparisons of group...level activation maps or functional markers that had not been validated at the individual...subject level, and/or used tasks that do not isolate language processing from other cognitive processes, complicating interpretation.
Furthermore, few prior studies have examined functional responses in other brain networks, as needed to determine the spatial selectivity of the effect. Using functional magnetic resonance imaging (fMRI), we compared language lateralization between 28 adult ASD participants and carefully pairwise...matched controls, with the language regions defined individually using a well...validated language "localizer" task.
Across two language comprehension paradigms, ASD participants showed less lateralized responses due to stronger right hemisphere activity. Furthermore, this effect did not stem from a ubiquitous reduction in lateralization of function across the brain: ASD participants did not differ from controls in the lateralization of two other large...scale networks...”the Theory of Mind network and the Multiple Demand network.
Finally, in an exploratory study, we tested whether reduced language lateralization may also be present in NT individuals with high autism...like traits. Indeed, autistic trait load in a large set of NT participants (n = 189) was associated with less lateralized language responses.
These results suggest that reduced language lateralization is robustly associated with autism and, to some extent, with autism...like traits in the general population, and this lateralization reduction appears to be restricted to the language system.»...
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onlinelibrary.wiley |
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Habilitation CNIA - GNCRA |
04/09/2020 |
«Habilitation CNIA Le GNCRA est l'opérateur désigné par l'Etat pour délivrer des habilitations concernant le Certificat National d'Intervention en Autisme (CNIA), par un décret en date du 17 aout 2020 En lien avec la Délégation interministérielle à la stratégie nationale pour l'autisme au sein des TND (DIA) et la Direction générale de la cohésion sociale (DGCS), l'appel à candidatures est lancé le vendredi 28 aout 2020, sur le site internet du GNCRA Le décret n°2020-1064 du 17 aout 2020 relatif au certificat national d’intervention en autisme L’arrêté du 17 aout 2020 relatif aux référentiels de compétence, de formation et d’évaluation des certificats nationaux d’intervention en autisme de premier et second degré Pour toute question, nous vous invitons à contacter Valentine Hénon à l’adresse cnia@gncra.fr 📥 Dépôt des demandes d’habilitation Les dossiers sont à envoyer de façon dématérialisée par mail à l’adresse cnia@gncra.fr, au plus le 30 octobre 2020 à 16h00.»
[...]
«Vous pouvez consulter les documents suivants :
Le décret n°2020-1064 du 17 aout 2020 relatif au certificat national d’intervention en autisme
L’arrêté du 17 aout 2020 relatif aux référentiels de compétence, de formation et d’évaluation des certificats nationaux d’intervention en autisme de premier et second degré
Pour toute question, nous vous invitons à contacter Valentine Hénon à l’adresse cnia@gncra.fr
📥 Dépôt des demandes d’habilitation
Les dossiers sont à envoyer de façon dématérialisée par mail à l’adresse cnia@gncra.fr, au plus le 30 octobre 2020 à 16h00.
Ils doivent être composés d’une partie administrative (identification du candidat, catalogue de formation, règlement intérieur…) et d’une partie projet (description du projet, moyens associés, modalités de mise en œuvre…).
Télécharger l’avis
Télécharger le cahier des charges
Foire aux questions
Vous pouvez poser toutes vos questions du 28 août 2020 au 23 octobre 2020 à l’adresse suivante : cnia@gncra.fr.
Les réponses seront prochainement mises en ligne sur le site sous forme de FAQ qui sera régulièrement mise à jour.
Calendrier du CNIA
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Le CNIA, c’est quoi ?
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gncra |
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Video - Rentree scolaire : la France mauvaise eleve du handicap |
01/09/2020 |
«Depuis sept ans, il y a une amélioration : 385 000 enfants en situation de handicap iront à l'école mardi 1er septembre, c'est 6% de plus par rapport à 2019 et 18% de plus par rapport à 2013. Mais les associations et les chercheurs en conviennent : plus un enfant a besoin d'aide extérieure, plus il aura de difficultés à être scolarisé. Rares sont les enfants polyhandicapés à intégrer une école.
Pour ceux qui présentent des troubles verbaux comme les autistes, c’est compliqué là aussi. Pour les enfants présentant un handicap invisible comme la dyslexie, l’accès à l’école est plus aisé, mais c’est l’accessibilité aux cours qui reste inadaptée en France.»
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«Pas d'exclusion en Italie
Pour ceux qui présentent des troubles verbaux comme les autistes, c’est compliqué là aussi. Pour les enfants présentant un handicap invisible comme la dyslexie, l’accès à l’école est plus aisé, mais c’est l’accessibilité aux cours qui reste inadaptée en France.
Un pays européen est plus avancé que les autres. En Italie, tous les enfants sont scolarisés car il n’existe pas d’écoles spécialisées. Les écoles de Belgique accueille 7 000 enfants handicapés français.
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francetvinfo |
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ALSH L'accueil des enfants ''extraordinaires'' - Corbigny (58800) |
01/09/2020 |
«Les actions famille du Centre social et culturel du Pays corbigeois ont mis en lumière les besoins des parents autour de l'accompagnement de leur enfant en situation de handicap.
En particulier : sentiment d'isolement, difficulté à prendre ou à faire prendre en charge leur enfant en situation de handicap, besoin d'être rassurés quant à la prise en charge en collectivité, besoin de répit, souhait d'inclusion et d'accueil en milieu ordinaire et non spécialisé.»
[...]
«
Pour répondre en partie à ces besoins, le secteur familles a mis en place, en septembre 2019, un forum autour des enfants extraordinaires. Il a mobilisé une cinquantaine de parents et de professionnels.
Pour poursuivre la dynamique, la référente familles et le coordinateur enfance jeunesse ont réfléchi ensemble à l'amélioration de l'accueil du centre de loisirs afin de permettre l'intégration des enfants avec des particularités.
Ces informations permettent aux animateurs de mieux accueillir et accompagner l'enfant durant la journée de façon individualisée. Elles rassurent les parents sur la prise en charge de leur enfant durant les vacances. En effet, les animateurs échangent tous les soirs sur le déroulé de la journée et la référente familles contacte la famille afin de faire un bilan sur la qualité d'accueil de l'enfant durant les vacances.
Environnement humain
Cet été, le centre social a donc proposé aux parents de remplir un document de synthèse où ils présentent leur enfant avec son environnement humain : les professionnels impliqués (ergothérapeute, médecin, psychologue). Les intérêts, les particularités, les besoins, les limites, les forces et les qualités de l'enfant sont recensés, comme les comportements que l'enfant peut avoir et les réponses apportées par les parents.
Pour cette rentrée 2020, l'expérimentation sera élargie à l'accueil périscolaire.
Disponible. Le document "Je présente mon enfant" est disponible à l'accueil du centre social.
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lejdc |
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TRIBUNE. ''L'obligation de former les 16-18 ans : un droit historique pour notre jeunesse, un devoir pour tous'' |
31/08/2020 |
«Voici la tribune de Sylvie Charrière, de Christine Cloarec, de Fiona Lazaar et de plus d'une centaines de députés sur la formation des 16-18 ans : L'obligation de formation des jeunes âgés de 16 à 18 ans : un droit historique pour notre jeunesse, un devoir pour "tous" "Si la confiance dans la jeunesse revient, c'est la confiance dans le pays qui sera de nouveau confortée", a déclaré Jean Castex, le Premier ministre.
La réussite de notre jeunesse, c'est assurer un avenir à notre pays. L'accompagner, l'aider et la soutenir est notre responsabilité à tous. La crise sanitaire que nous traversons ne fait qu'accentuer et mettre en lumière les difficultés au quotidien de nos jeunes : se nourrir, se loger, se déplacer, se former ne sont que quelques exemples des épreuves qu'ils ont à surmonter au quotidien.»
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«Former notre jeunesse, c'est lui donner les clefs de sa réussite future. De très nombreuses études montrent que la qualification, la compétence, les savoir-être sont essentiels pour s'insérer durablement sur le marché du travail.
Aujourd'hui, un quart de notre jeunesse est au chômage, plus inquiétant encore, près de 40% des jeunes de moins de 25 ans dans les quartiers prioritaires restent sur le bord du chemin. La majorité s'est saisie de ce sujet de société dès 2019 et a voté la mesure historique de l'obligation de formation jusqu'à 18 ans dans le cadre de la loi pour l'école de la confiance. Cela signifie que, dès cette rentrée, tous les jeunes âgés de 16 à 18 ans devront être accompagnés vers une formation qualifiante. C'est une mesure profondément sociale, pour lutter contre les inégalités de destin.
Former notre jeunesse, c'est lui donner les clefs de sa réussite future
Compte tenu de la crise sanitaire que nous connaissons, où le nombre de jeunes en situation de décrochage va certainement augmenter, la mise en place de cette mesure dès la rentrée tombe à point nommé. En effet, combien de jeunes supplémentaires quitteront le système scolaire après en avoir été éloignés pendant 7 mois? C'est un défi immense, qui nous oblige tous.
Nous ne voulons pas de génération sacrifiée, l'heure du raccrochage a sonné!
Les financements déployés dans le cadre du plan jeunes, du plan de relance, du plan d'investissement dans les compétences et de la stratégie de prévention et de lutte contre la pauvreté doivent venir soutenir tous les acteurs nécessaires à la réussite de cette mesure. Du repérage du jeune à l'insertion, de nombreux acteurs locaux devront travailler ensemble pour construire un parcours d'avenir qualifiant sur-mesure pour tous ces jeunes.
Nous parlementaires, sommes convaincus que cette mesure est une véritable réponse au fléau du décrochage des jeunes, amplifié par la crise de la Covid-19. Nous nous assurerons, partout sur nos territoires, qu'elle sera mise en œuvre dès la rentrée scolaire. Il en va de la réussite de notre jeunesse, de l'avenir de notre pays!
Sylvie Charrière, députée, Présidente du comité national d'orientation et d'évaluation des cités éducatives
Christine Cloarec, députée, Vice-présidente de l'Union nationale des mission locale
Fiona Lazaar, députée, présidente du Conseil national de lutte contre la pauvreté et l'exclusion
Et les députés :
Damien Adam, Stéphanie Atger, Laetitia Avia, Sophie Beaudouin-Hubière, Aurore Bergé, Christophe Blanchet, Yves Blein, Pascal Bois, Bertrand Bouyx, Pascale Boyer, Anne Brugnera, Danièle Brulebois, Stéphane Buchou, Carole Bureau-Bonard, Pierre Cabaré, Céline Calvez, Lionel Causse, Danièle Cazarian, Samantha Cazebonne, Jean-René Cazeneuve, Anthony Cellier, Philippe Chalumeau, Fanette Charvier, Jean-Charles Colas-Roy, Fabienne Colboc, Bérangère Couillard, François Cormier-Bouligeon, Olivier Damaisin, Dominique Da Silva, Célia De Lavergne, François De Rugy, Marc Delatte, Nicolas Demoulin, Frédéric Descrozaille, Jacqueline Dubois, Christelle Dubos, Coralie Dubost, Nicole Dubré-Chirat, Françoise Dumas, Stella Dupont, Catherine Fabre, Jean-Marie Fiévet, Pascale Fontenel-Personne, Jean-Luc Fugit, Camille Gaillard-Minier, Anne Genetet, Guillaume Gouffier-Cha, Fabien Gouttefarde, Yannick Haury, Véronique Hammerer, Christine Hennion, Danièle Hérin, Caroline Janvier, Catherine Kamowski, Stéphanie Kerbarh, Fadila Khattabi, Anissa Khedher, Rodrigue Kokouendo, Mustapha Laabid, Amélia Lakrafi, Gaël Le Bohec, Sandrine Le Feur, Martine Leguille-Balloy, Marion Lenne, Monique Limon, Didier Martin, Laurence Maillard-Mehaignerie, Denis Masseglia, Sereine Mauborgne, Graziella Melchior, Ludovic Mendes, Marjolaine Meynier-Millefert, Monica Michel, Jean-Michel Mis, Sandrine Morch, Naïma Moutchou, Valérie Oppelt, Catherine Osson, Zivka Park, Charlotte Parmentier Lecoq, Pierre Person, Hervé Pellois, Michèle Peyron, Damien Pichereau, Claire Pitollat, Béatrice Piron, Eric Pouillat, Natalia Pouzyreff, Florence Provendier, Pierre-Alain Raphan, Isabelle Rauch, Rémy Rebeyrotte, Cécile Rilhac, Véronique Riotton, Stéphanie Rist, Mireille Robert, Laurianne Rossi, Nathalie Sarles, Bertrand Sorre, Bruno Studer, Sira Sylla, Marie Tamarelle-Verhaeghe, Liliana Tanguy, Stéphane Testé, Valérie Thomas, Huguette Tiegna, Elisabeth Toutut-Picard, Nicole Trisse, Laurence Vanceunebrock, Pierre Venteau, Marie-Christine Verdier-Jouclas, Patrick Vignal, Hélène Zannier, Souad Zitouni et Jean-Marc Zulesi
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lejdd |
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Vitamin D supplementation during pregnancy: an overview : Current Opinion in Obstetrics and Gynecology |
31/08/2020 |
«Abstract Purpose of review Examine recent evidence of randomized controlled trials and meta-analyses regarding the effect of maternal vitamin D status and supplementation over obstetrical and offspring outcomes.
Recent findings Maternal serum 25-hydroxyvitamin [25(OH)D] progressively declines during pregnancy because of fetal physiological demands and adjustments. Vitamin D supplementation during pregnancy in women with low vitamin D status may improve fetal growth and reduce the risks for small-for-gestational-age, preeclampsia, preterm birth, and gestational diabetes.
Mothers with sufficient vitamin D levels have offsprings with less enamel defects and less attention deficit and hyperactive disorders and autism. All pregnant women should be supplemented with 600 IU/day of vitamin D3. We discuss evidence indicating that higher vitamin D doses (1000-4000 IU/day) may be convenient to achieve better maternal and infant outcomes.
Low maternal vitamin D status during pregnancy may be associated in infants with a higher risk for lower bone mineral content, enamel defects and attention deficit hyperactive disorder.
Summary Recent evidence from vitamin D intervention studies and meta-analyses of a large number of studies support vitamin D supplementation during pregnancy to improve maternal, fetal and, immediate and later offspring health.»...
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journals.lww |
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Rentree scolaire : les Hauts-de-Seine juges exemplaires dans l'accueil des eleves handicapes - Le Parisien |
30/08/2020 |
«« J'aimerais que vous soyez contagieux ! » Masque semi-transparent sur le visage, Jean-Michel Blanquer a choisi l'humour pour rendre hommage au travail effectué par les institutions, les associations et les équipes éducatives dans un domaine ô combien sensible : l'école inclusive dans le département.
Ou comment permettre aux enfants handicapés d'accéder à l'enseignement. En visite au centre administratif de Nanterre, ce vendredi après-midi, le ministre de l'Education nationale et Sophie Cluzel, secrétaire d'Etat chargée des handicapés, ont présenté les Hauts-de-Seine comme un département pilote dans ce domaine.»
[...]
«
En visite au centre administratif de Nanterre, ce vendredi après-midi, le ministre de l'Education nationale et Sophie Cluzel, secrétaire d'Etat chargée des handicapés, ont présenté les Hauts-de-Seine comme un département pilote dans ce domaine.
« On compte aujourd'hui 7 721 enfants atteints d'un handicap et 5 721 d'entre eux sont scolarisés dans les écoles, les collèges ou les lycées du département », indique Dominique Fis, la directrice académique.
Parmi les nouveautés, la mise en place en juillet dernier d'un comité départemental de suivi de l'école inclusive, en partenariat avec l'ARS (agence régionale de santé) et les acteurs de ce domaine, à commencer par les familles, ainsi que la généralisation des pôles inclusifs d'accompagnement localisés (Pial). Ces structures doivent favoriser la coordination des ressources au plus près des élèves en situation de handicap, comme les aides humaines, pédagogiques, éducatives et, à terme, thérapeutiques.
Une nouvelle formation d'accompagnant
La rentrée 2020 est surtout marquée par l'ouverture de deux unités d'enseignement en école maternelle (UEM), à Malakoff et Gennevilliers. Il s'agit de classes destinées à sept enfants « atteints du spectre de l'autisme » intégrées à une école classique.
« Nous avons aussi intensifié la formation, a rappelé la rectrice de l'académie de Versailles Charline Avenel. En 2019, nous avons consacré 5 000 jours à celle des enseignants à l'accueil des enfants atteints d'un handicap. »
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leparisien |
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Le Bulletin officiel de l'education nationale | Ministere de l'Education Nationale de la Jeunesse et des Sports |
27/08/2020 |
«Ecole inclusive Accompagnement pédagogique à domicile à l'hôpital ou à l'Ecole Circulaire du 3-8-2020 (NOR : MENE2020703C) La circulaire n° 98-151 du 17 juillet 1998 est abrogée.
Les objectifs de l'Apadhe L'Apadhe a pour objectifs principaux de : garantir à l'enfant ou l'adolescent empêché pour raison de santé la poursuite de sa scolarité, dans son lieu de vie, à domicile, à l'école ou en établissement de santé ; limiter les ruptures dans les parcours de scolarisation des élèves ; optimiser les liens entre la famille, l'élève, les professionnels de l'école et les acteurs du soin ; permettre à l'élève de bénéficier d'adaptations pédagogiques adaptées à ses besoins, hors Pap ; maintenir et faciliter le lien social de l'enfant avec sa classe, élèves comme adultes ; anticiper un retour de l'élève en classe dans les meilleures conditions au regard de ses besoins ; permettre un accompagnement pédagogique renforcé si nécessaire après son retour en classe en cas de reprise progressive.»...
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education.gouv |
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Le Bulletin officiel de l'education nationale | Ministere de l'Education Nationale de la Jeunesse et des Sports |
27/08/2020 |
«Ecole inclusive Accompagnement pédagogique à domicile à l'hôpital ou à l'Ecole Circulaire du 3-8-2020 (NOR : MENE2020703C) La circulaire n° 98-151 du 17 juillet 1998 est abrogée.
Les objectifs de l'Apadhe L'Apadhe a pour objectifs principaux de : garantir à l'enfant ou l'adolescent empêché pour raison de santé la poursuite de sa scolarité, dans son lieu de vie, à domicile, à l'école ou en établissement de santé ; limiter les ruptures dans les parcours de scolarisation des élèves ; optimiser les liens entre la famille, l'élève, les professionnels de l'école et les acteurs du soin ; permettre à l'élève de bénéficier d'adaptations pédagogiques adaptées à ses besoins, hors Pap ; maintenir et faciliter le lien social de l'enfant avec sa classe, élèves comme adultes ; anticiper un retour de l'élève en classe dans les meilleures conditions au regard de ses besoins ; permettre un accompagnement pédagogique renforcé si nécessaire après son retour en classe en cas de reprise progressive.»...
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education.gouv |
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Rentree eleves handicapes : les mesures 2020 en detail |
27/08/2020 |
«Un numéro vert d'écoute Depuis le 1er juillet 2020, un numéro vert unique - 0 805 805 110 ou le 0 800 730 123 (accessible aux personnes malentendantes) - permet de joindre, grâce à un serveur interactif et selon les attentes, soit la cellule départementale, soit la cellule nationale Aide handicap Ecole.
Deux missions : informer les familles sur les dispositifs existants et sur le fonctionnement du service public de l'Ecole inclusive et leur répondre sur le dossier de leur enfant avec un objectif affiché de réponse dans les 24 heures suivant l'appel.
Pour les 3 premières semaines d'aout, 252 appels ont été traités.»
[...]
« Une commission dans chaque département
Dans chaque département, est mise en place une commission spécifique chargée de proposer une solution de scolarisation à chaque élève (les DSDEN). Elle réunit les acteurs de la scolarisation et leurs partenaires autour de plusieurs enjeux :
repérer en amont de la rentrée, les élèves qui pourraient être sans affectation, qu'ils relèvent d'écoles et établissements scolaires, publics et privés, ou d'établissements médico-sociaux ;
proposer à sa famille une solution de scolarisation partenariale.
Simplification des droits
Le gouvernement entend poursuivre et simplifier l'accès aux droits. Ainsi, les orientations scolaires et les prestations associées arrivant à échéance d'ici au 31 août (hors changement d'orientation), et pour lesquelles les Maisons départementales des personnes handicapées (MDPH) n'ont pas pris de décision avant le 31 juillet, sont reconduites automatiquement et ce pour toute l'année scolaire. De même, les droits arrivés à échéance pendant la crise sanitaire, entre le 12 mars et le 31 juillet 2020, seront prorogés. Les nouvelles demandes et les affectations pour changement d'orientation sans discontinuité seront priorisés par les MDPH et partenaires de l'Education nationale. Ces mesures s'ajoutent à l'ouverture des droits par cycle scolaire ou l'attribution de l'allocation d'éducation de l'enfant handicapé (AEEH) jusqu'aux 20 ans de l'élève si le handicap supérieur à 80% est définitif.
Maintien en accès libre des adaptations pédagogiques
Durant la période du confinement, l'Education nationale a mis à disposition des familles de nombreuses ressources pédagogiques :
La page spécifique pour les élèves à besoins éducatifs particuliers mise en ligne sur EDUSCOL et actualisée régulièrement ( La plateforme CAP école inclusive ouverte à tous et offrant de nombreuses fiches pédagogiques, des films, des podcasts et des liens pour aider à adapter la pédagogie pour les élèves à besoins éducatifs particuliers ( Source: https://www.reseau-canope.fr | Source Status ).
Un livret de parcours inclusif (LPI)
Le livret de parcours inclusif dématérialisé (LPI), application élaborée conjointement avec la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA), permet aux enseignants de sélectionner ou créer des adaptations pédagogiques qu'ils mettront ensuite en œuvre dans la classe. Une expérimentation est programmée sur sept départements.
Entretiens d'accueil des familles
Lors de la première rentrée dans l'école ou l'établissement, chaque famille sera reçue à titre individuel par le directeur d'école ou le chef d'établissement ainsi que par le professeur et l'AESH (accompagnant d'élève en situation de handicap).
Des Ulis créées
Pour cette rentrée scolaire, 104 500 élèves sont attendus dans les 9 571 dispositifs (Ulis unités localisées pour l'inclusion scolaire) (5093 Ulis école et 4 478 Ulis 2nd degré). 350 nouvelles (Ulis) créées en 2020 : 85 en école, 205 en collège et 60 au lycée.
Plus de 8000 AESH
Face à l'augmentation des attentes, 4 000 nouveaux recrutements d'équivalents temps plein d'AESH ont été décidés pour la rentrée 2020, ce qui porte à 8 000 le total des créations d'emplois d'accompagnants au 1er septembre. L'arrêté du 29 juillet 2020 crée le statut de référent AESH, qui seront chargés d'apporter un soutien aux AESH exerçant au sein d'un même département, avec une rétribution de 600 € par an. Un pool de 10 à 15 référents par département est prévu.
Les pôles inclusifs d'accompagnement localisé (Pial)
« La mise en œuvre d'une éducation inclusive ne peut que résulter d'une action collective dans laquelle tous les membres de la communauté éducative s'impliquent, explique le communiqué du secrétariat d'Etat au Handicap. Chaque Pial (pôles inclusifs d'accompagnement localisé) va pouvoir ainsi dégager des axes de progrès dans une dynamique fédératrice ». A terme, pour la rentrée 2021, tout le territoire sera organisé en Pial, ce qui implique de planifier l'extension du taux de couverture du territoire dès cette rentrée scolaire en maintenant l'objectif de deux tiers pour la rentrée 2020.
Scolarisation des enfants autistes
Plus de 1 800 élèves sont désormais scolarisés dans les dispositifs dédiés, soit +45 % par rapport à 2019, avec un doublement des élèves concernés en élémentaire. En 2020 :
225 nouvelles unités d'enseignement externalisés (UE et UEE)
180 nouvelles unités d'enseignement en maternelle autisme (UEMA) crées et 45 unités d'enseignement en élémentaire autisme (UEEA) qui ouvriront d'ici 2022
73 nouvelles classes ou nouveaux dispositifs, dont 42 en maternelle et 31 en élémentaire. 9 sont des nouveaux dispositifs appelés « d'autorégulation ».
Cette impulsion porte le total des créations à 127 classes en 2 ans pour atteindre 247 unités dédiées aux élèves TSA.
La stratégie autisme a permis également le déploiement d'un réseau de professeurs ressources « troubles du spectre de l'autisme », qui ont pour mission de conseiller et d'accompagner les professeurs qui les sollicitent. 51 ont été recrutés et formés à la rentrée 2019 et 50 pour une prise de poste en 2020. Par ailleurs, dès septembre 2020, chaque département bénéficie d'un enseignant ressources TSA.
Des dispositifs d'appui mobiles
66 équipes départementales d'appui médico-social aux écoles et aux établissements scolaires ont été déployées à titre expérimental depuis la rentrée 2019. Avec une dotation nationale de 10 millions d'euros pour la rentrée, l'objectif est d'assurer la mise en fonctionnement d'une équipe mobile dans chaque département à partir de la rentrée 2020.
Développement de l'offre Sessad
En 2020, 2 450 Sessad (service d'éducation spécialisée et de soins à domicile) sont répartis sur tout le territoire, soit 654 services créés depuis janvier 2018 (+36 %). Pour renforcer l'accompagnement médico-social des élèves en situation de handicap dans les murs de l'école, les nouvelles solutions priorisées à la rentrée 2020 s'appuient notamment sur l'accélération du déploiement des Sessad. Pour cela, des moyens nouveaux ont été délégués aux Agences régionales de santé, y compris pour permettre le renforcement des accompagnements des adolescents autistes et TND dans le second degré et l'enseignement professionnel (collèges, lycées, CFA).
Scolarisation à distance
Les dispositifs de scolarisation à distance ont attesté de leur intérêt au quotidien ; lorsqu'il n'est pas toujours possible d'aller à l'école, c'est l'enseignant qui vient à l'élève. Il s'agira donc pour cette rentrée de confirmer cette pratique. Le maintien d'un accès libre aux supports pédagogiques est également garanti.
Rayonner sur les territoires de proximité
Dans un état d'esprit d'analyse partagée et coconstruction, les Comités départementaux de suivi de l'école inclusive (réunissant Académies, ARS, élus et associations locales) poursuivent leurs missions, notamment par la réalisation des cartographies des moyens et la coordination des réponses.
Côté budget
L'instruction du 2 juin 2020 relative aux orientations de l'exercice 2020 pour la campagne budgétaire des ESMS (PA/PH) prévoit :
le renforcement et le déploiement des équipes mobiles (10 M€)
le soutien de la constitution des communautés territoriales dans chaque département (10 M€)
le développement des solutions d'accompagnement mobilisées par les communautés en lien avec l'école inclusive (réponse Sessad notamment)
l'amplification de l'installation d'unités d'enseignements, d'équipe mobile et de dispositifs d'autorégulation au titre de la stratégie autisme au sein des TND
(8,1 M €)
Souplesse administrative
Le gouvernement promet :
d'améliorer la formation initiale à l'école inclusive par la publication de l'arrêté relative au cahier des charges d'ici fin 2020
de développer des actions de formation continue en académie, notamment pour les AESH, en prenant appui sur la plateforme Cap Ecole Inclusive enrichie notamment par des ressources pour le second degré
de poursuivre le dialogue social avec les AESH avec la tenue du prochain comité national de suivi à l'automne
de promouvoir le projet de décret sur les aménagements d'examens.
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Source: http://informations.handicap.fr | Source Status
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informations.handicap |
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Rentree 2020 : du nouveau pour les eleves handicapes? |
26/08/2020 |
«Une conférence traduite en LSF (langue des signes française) et sous-titrée, faut-il le souligner. Le ministre de l'Education nationale, Jean-Michel Blanquer, s'est exprimé devant la presse le 26 aout 2020. Une rentrée placée sous le signe de la Covid, maintenue le 1er septembre.
« Une année totalement particulière mais qui ne doit pas être caractérisée que par une réponse à la crise », selon lui. Il maintient le protocole sanitaire défini en juillet (en ligne sur le site du ministère) qui « n'a pas vocation à varier même si des ajustements sont possibles en cours d'année ». Il réitère le port du masque obligatoire pour tous collégiens et lycéens et pour les adultes présents au sein des établissements.
Un volant de masques est prévu pour les élèves qui n'auraient pas les moyens de s'équiper.»
[...]
«Grand service de l'école inclusive
Après cette mise au point sanitaire, son propos a également porté sur les élèves en situation de handicap, en présence de Sophie Cluzel, secrétaire d'Etat au Handicap. 385 000 d'entre eux sont attendus en 2020, soit + 6,6 % par rapport à 2019. 104 500 élèves sont par ailleurs accueillis dans les 9 571 dispositifs Ulis (5 093 Ulis école et 4 478 Ulis 2d degré). Avec la création du grand service public de l'École inclusive, la rentrée 2019 a engagé de premières étapes importantes pour l'amélioration de la scolarisation des enfants handicapés, qui sont 84 000 de plus depuis 2017 à avoir franchi les portes de l'école. « Cette ambition a été réaffirmée comme incontournable par le président de la République lors de la Conférence nationale du handicap du 11 février 2020 », rappelle le ministre, qui va déployer des « moyens supplémentaires ».
Appui aux familles
Alors quoi de neuf en 2020 ? « Une rentrée sous le signe de l'appui aux familles », promet Jean-Michel Blanquer. Depuis le 1er juillet 2020, le 0 805 805 110, numéro national vert et gratuit, permet de joindre, grâce à un serveur interactif et selon le besoin, soit la cellule départementale, soit la cellule nationale Aide handicap École. Des cellules d'écoute et de réponse ont ainsi été réactivées dans chaque inspection académique.
Par ailleurs, les DSDEN (directions départementales), en fin d'année scolaire et avant la rentrée de septembre, ont mis en place une commission d'affectation spécifique pour chaque enfant ou adolescent en situation de handicap sans solution de scolarisation.
Deux entretiens d'accueil sont également proposés en amont, l'un avec les directeurs d'école ou les chefs d'établissement lors de la première rentrée, l'autre avec le professeur et l'AESH (accompagnant d'élève en situation de handicap). Sophie Cluzel entend ainsi « s'appuyer sur le parent expert, afin de débloquer un problème majeur, la méfiance ». Elle entend ainsi valoriser la « capacité du parent à expliquer comment fonctionne son enfant ».
Depuis le début du confinement, les inspections académiques et les rectorats ont également mis à disposition des familles des adaptations pédagogiques en libre accès. Une page spécifique pour les élèves à besoins éducatifs particuliers a été mise en ligne sur Éduscol (eduscol.education.fr/pid38943/ecole-inclusive.html).
Les Pial en force
Cette rentrée prévoit également le déploiement des pôles inclusifs d'accompagnement localisé (Pial), une nouvelle forme d'organisation du travail des AESH qui, selon le ministère, « doit permettre de mieux répartir et de coordonner leurs interventions en fonction des besoins et des emplois du temps des élèves concernés ». Il s'opère par un regroupement d'écoles et/ou d'établissements. En 2020, deux tiers des établissements sont organisés en Pial avant une extension à l'ensemble du territoire en 2021. Un cahier des charges Pial renforcés doit prochainement être réalisé.
Coopération avec le secteur médico-social
Le gouvernement veut, par ailleurs, renforcer la coopération entre l'Education nationale et le secteur médico-social au sein des écoles, via, notamment, la création de 225 nouvelles unités d'enseignement externalisées (UE et UEE). 180 nouvelles unités d'enseignement en maternelle autisme (UEMA) sont également créées tandis que 45 unités d'enseignement en élémentaire autisme (UEEA) ouvriront d'ici 2022. Sophie Cluzel mentionne par ailleurs l'ouverture de nouvelles unités pour le polyhandicap inscrites dans l'école ordinaire. 50 nouvelles unités localisées pour l'inclusion scolaire (Ulis) ouvriront par ailleurs dans les écoles et établissements scolaires (85 à l'école, 205 au collège et 60 Ulis en lycée). « L'école s'est ouverte, et le ministre de l'Education nationale est celui de tous les élèves, y compris ceux qui sont dans les établissements médico-sociaux », précise-t-elle ; ils sont ainsi de « plus en plus nombreux à franchir les portes de l'école ordinaire ». C'est l'enjeu des dispositifs permettant à ces professionnels de la rééducation d'intervenir au sein de l'école, avec une « culture conjointe » entre toutes les parties. « Ce partage d'informations s'est accéléré lors de cette crise sanitaire », selon Sophie Cluzel, avec notamment l'ouverture de Cap École Inclusive, une plateforme numérique d'adaptation ouverte à tous (famille, médico-social, enseignants...) www.reseau-canope.fr/cap-ecole-inclusive ).
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informations.handicap |
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JORF n°0200 du 15 aout 2020 - Version initiale - Legifrance |
15/08/2020 |
«Décret n° 2020-1037 du 14 aout 2020 relatif aux attributions de la secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargée des personnes handicapées NOR : PRMX2019276D ELI : JORF n°0200 du 15 aout 2020 Texte n° 2 Version initiale Le Président de la République, Sur le rapport du Premier ministre, Vu le décret n° 2009-1367 du 6 novembre 2009 modifié portant création du comité interministériel du handicap ; Vu le décret du 3 juillet 2020 portant nomination du Premier ministre ; Vu les décrets des 6 et 26 juillet relatifs à la composition du gouvernement, Décrète :»
[...]
« Article 1
Par délégation du Premier ministre, Mme Sophie CLUZEL, secrétaire d'État chargée des personnes handicapées, prépare, anime et coordonne les politiques conduites par l'Etat en direction des personnes handicapées, en faveur de leur autonomie et de leur pleine participation à la vie sociale, et en soutien de leurs proches aidants.
Elle prépare et suit les travaux de la conférence nationale du handicap et du comité interministériel du handicap.
Elle coordonne les actions menées en faveur de l'accessibilité des biens et des services aux personnes handicapées, quel que soit leur handicap, dans tous les domaines de la vie en société.
En lien avec le ministre de l'Europe et des affaires étrangères, elle est chargée du suivi de la mise en œuvre de la convention relative aux droits des personnes handicapées.
Article 2
Pour l'exercice de ses attributions, la secrétaire d'État chargée des personnes handicapées a autorité, par délégation du Premier ministre, sur le secrétariat général du comité interministériel du handicap, sur la délégation interministérielle à l'autisme, et, conjointement avec le ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et des sports, le ministre du travail, de l'emploi et de l'insertion, pour l'exercice par cette dernière de ses compétences en matière d'insertion, et le ministre des solidarités et de la santé sur la direction générale de la cohésion sociale.
Pour l'exercice de ses attributions, la secrétaire d'État chargée des personnes handicapées dispose, au nom du Premier ministre, de la délégation ministérielle à l'accessibilité, de la direction de la sécurité sociale, de la direction générale de la santé, de la direction générale de l'offre de soins, de la délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle, de la direction générale du travail, de la direction générale des collectivités locales, de la direction de l'habitat, de l'urbanisme et des paysages, de la direction générale de l'enseignement scolaire, de la direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques, de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques, ainsi que du secrétariat général des ministères chargés des affaires sociales, notamment sa délégation à l'information et à la communication.
Les corps d'inspection et de contrôle et les missions ministérielles d'audit sont mis à sa disposition en tant que de besoin pour toute étude ou mission entrant dans sa compétence.
Les autres départements ministériels ainsi que les organismes qui leur sont rattachés lui assurent, en tant que de besoin, le concours de leurs services.
Article 3
Dans la limite des attributions qui lui sont déléguées, la secrétaire d'État chargée des personnes handicapées reçoit délégation du Premier ministre pour signer, en son nom, tous actes, arrêtés et décisions.
Elle contresigne les décrets relevant de ses attributions.
Article 4
Le Premier ministre, le ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et des sports, la ministre du travail, de l'emploi et de l'insertion, le ministre des solidarités et de la santé et la secrétaire d'État auprès du Premier ministre, chargée des personnes handicapées, sont responsables, chacun en ce qui le concerne, de l'application du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
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beta.legifrance.gouv |
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Creches : les benefices de l'inclusion des le plus jeune age |
14/08/2020 |
«Crèches : les bénéfices de l'inclusion dès le plus jeune âge L'inclusion en milieu ordinaire dès le plus jeune âge, bénéfique pour les enfants handicapés... et les autres. Ce sont les conclusions d'un projet de recherche initié par la Firah, afin de favoriser les crèches inclusives sur le territoire français.
Julien, Elodie, Alexia, Adam... Au sein de la crèche Jourdan, certains enfants sont en situation de handicap, d'autres non. Ensemble, ils jouent, s'entraident, apprennent à vivre ensemble, sans porter attention à leurs éventuelles différences.»
[...]
« La définition de l'inclusion ? Pour faciliter cet accueil accessible à tous, elle fait appel à la plateforme expérimentale Crescendo, spécialiste de l'accompagnement « petite enfance et handicap », lancée en 2017, à Paris. Deux ans plus tard, le projet de recherche appliquée So'In (pour soutien à l'inclusion des jeunes enfants en situation de handicap ou présentant des difficultés développementales), financé par la Fondation internationale de la recherche appliquée sur le handicap (Firah), évalue les apports de ce type d'unité mobile de soutien à l'inclusion des enfants handicapés et de leurs familles. L'objectif : renforcer ces dispositifs dans les territoires.
Crainte et manque de moyens
Pendant près de trois ans, des chercheurs de l'université de Toulouse et les membres de l'association Crescendo mènent des entretiens auprès des familles et des professionnels de la petite enfance pour identifier les pratiques favorisant l'accueil de tous les enfants quel que soit leur stade de développement. Leitmotiv : « En France, les familles ayant un enfant handicapé ont de nombreuses difficultés pour accéder aux structures d'accueil de la petite enfance, ceci est notamment dû aux craintes des professionnels de la petite enfance face au handicap et à l'insuffisance de moyens matériels, humains et techniques », explique la Firah.
Un guide pratique et un film
Les résultats de cette recherche sont éloquents : l'inclusion en milieu ordinaire est bénéfique aussi bien pour les enfants en situation de handicap que pour les autres, mais aussi pour les professionnels. Les atouts majeurs de ces crèches novatrices ? Favoriser la socialisation et l'autonomie des enfants. De cette expérience de terrain, découlent un rapport scientifique de recherche mais aussi un guide pratique (en lien ci-dessous) et un film (vidéo ci-contre) à destination des familles et des professionnels qui souhaiteraient mettre en place une plateforme, telle que Crescendo, d'aide à l'inclusion des plus jeunes.
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informations.handicap |
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Arrêté du 11 août 2020 portant nomination au cabinet de la secrétaire d'État auprès du Premier ministre, chargée des personnes handicapées |
14/08/2020 |
«Arrêté du 11 aout 2020 portant nomination au cabinet de la secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargée des personnes handicapées NOR : PRMX2021455A JORF n°0199 du 14 aout 2020 Texte n° 38 Version initiale La secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargée des personnes handicapées, Vu le décret n° 2017-1063 du 18 mai 2017 modifié relatif aux cabinets ministériels ; Vu le décret n° 2017-1098 du 14 juin 2017 relatif aux collaborateurs du Président de la République et des membres du Gouvernement ; Vu le décret du 3 juillet 2020 portant nomination du Premier ministre ; Vu le décret du 6 juillet 2020 relatif à la composition du Gouvernement, Arrête :»
[...]
«Article 1
Sont nommés au cabinet de la secrétaire d'État auprès du Premier ministre, chargée des personnes handicapées :
Mme Marine DARNAULT, directrice de cabinet, à compter du 1er août 2020 ;
Mme Aurore COLLET, cheffe de cabinet et conseillère simplification accès aux droits, à compter du 27 juillet 2020 ;
M. Benjamin LUCIANI, conseiller accessibilité universelle et innovations, en charge du suivi de l'exécution des réformes, à compter du 27 juillet 2020 ;
Mme Lucie LONCLE DUDA, conseillère en charge des relations avec le Parlement et les élus locaux, à compter du 5 août 2020 ;
Mme Nathalie MERCIER, conseillère spéciale, à compter du 6 août 2020 ;
Mme Cécile COURAULT conseillère budgétaire et branche autonomie, à compter du 7 août 2020.
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beta.legifrance.gouv |
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Arrêté du 11 août 2020 portant nomination au cabinet de la secrétaire d'État auprès du Premier ministre, chargée des personnes handicapées |
14/08/2020 |
«Arrêté du 11 aout 2020 portant nomination au cabinet de la secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargée des personnes handicapées NOR : PRMX2021455A JORF n°0199 du 14 aout 2020 Texte n° 38 Version initiale La secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargée des personnes handicapées, Vu le décret n° 2017-1063 du 18 mai 2017 modifié relatif aux cabinets ministériels ; Vu le décret n° 2017-1098 du 14 juin 2017 relatif aux collaborateurs du Président de la République et des membres du Gouvernement ; Vu le décret du 3 juillet 2020 portant nomination du Premier ministre ; Vu le décret du 6 juillet 2020 relatif à la composition du Gouvernement, Arrête :»
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«Article 1
Sont nommés au cabinet de la secrétaire d'État auprès du Premier ministre, chargée des personnes handicapées :
Mme Marine DARNAULT, directrice de cabinet, à compter du 1er août 2020 ;
Mme Aurore COLLET, cheffe de cabinet et conseillère simplification accès aux droits, à compter du 27 juillet 2020 ;
M. Benjamin LUCIANI, conseiller accessibilité universelle et innovations, en charge du suivi de l'exécution des réformes, à compter du 27 juillet 2020 ;
Mme Lucie LONCLE DUDA, conseillère en charge des relations avec le Parlement et les élus locaux, à compter du 5 août 2020 ;
Mme Nathalie MERCIER, conseillère spéciale, à compter du 6 août 2020 ;
Mme Cécile COURAULT conseillère budgétaire et branche autonomie, à compter du 7 août 2020.
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beta.legifrance.gouv |
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Périsco - Question n°31826 - Assemblee nationale |
13/08/2020 |
«Question N° 31826 de M. Jean-Marie Fiévet (La République en Marche - Deux-Sèvres ) Question écrite Ministère interrogé > Personnes handicapées Ministère attributaire > Personnes handicapées Rubrique > personnes handicapées Titre > L'accueil des enfants en situation de handica Question publiée au JO le : 11/08/2020 page : 5387 Texte de la question M. Jean-Marie Fiévet alerte Mme la secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargée des personnes handicapées, sur l'accueil des enfants en situation de handicap.
Il est toujours difficile pour les parents d'enfants atteints de handicap de trouver la structure adéquate qui accepte de recevoir l'enfant dans le cadre d'un accueil périscolaire.
Cette difficulté est souvent liée à des difficultés à comprendre les besoins et la nécessaire adaptabilité du personnel. Il est toutefois nécessaire de prévoir l'intégration d'un animateur référent qui soit en mesure de répondre à ces situations.
Dès lors, il demande si les collectivités prévoient systématiquement le recrutement d'un référent handicap pour permettre l'accueil des enfants handicapés et répondre aux besoins spécifiques des familles dans le besoin.»...
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questions.assemblee-nationale |
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Cette invention traite les caries des jeunes autistes tout en douceur |
06/08/2020 |
«Soutenu par la Fondation APICIL et la Mutuelle Intégrance, un nouvel outil numérique nommé "E-Dent*" permet de mieux dépister les caries chez les jeunes autistes, et ainsi de mieux les soigner.
Les troubles du spectre autistique (TSA) empêchent souvent les personnes atteintes d'exprimer leur douleur et de localiser le mal, faute d'une capacité de communication classique.
Se rendre chez le dentiste peut aussi s'avérer très compliqué pour les parents de l'enfant autiste, et ce d'autant plus s'il souffre aussi d'une déficience intellectuelle.»
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«Morsures, coups, tirage de cheveux
“La douleur ressentie chez les enfants et jeunes adultes présentant des troubles du spectre autistique ne peut être exprimée verbalement en raison de troubles graves de la communication. Bien souvent, ils ne parviennent pas à localiser et à indiquer l’endroit douloureux, ce qui se traduit par différents troubles du comportement tels que des morsures, des coups, du tirage de cheveux sur eux-mêmes ou sur autrui", explique l’association Autisme & Familles.
Pour solutionner ces problèmes, E-Dent constitue “un système de dépistage reposant sur de la télémédecine, et permettra de maintenir des jeunes âgés de 6 à 20 ans dans leur cadre habituel de vie et ainsi de pouvoir pratiquer un dépistage précoce plus aisément, avant même que la carie ne soit visible, évitant alors des douleurs. Pour ces jeunes, leurs parents et les équipes soignantes, cela représente un gain important de qualité de vie, en évitant la survenue de troubles du comportement", poursuit la Fondation APICIL.
La caméra utilisée par E-Dent révèle les problèmes bucco-dentaires grâce à la fluorescence. Reliée à un logiciel spécifique, elle dévoile la présence de caries par un simple signal rouge. Ce mode fait abstraction des autres tissus environnants qui s’affichent en noir et blanc, l’attention se focalisant sur la lésion carieuse. Les images obtenues sont ensuite traitées par un logiciel qui réalise un bilan complet sur la santé bucco-dentaire des jeunes autistes.
Avant d’utiliser le dispositif, les infirmières, en binôme avec un éducateur spécialisé, ont mis en place des ateliers pour l’apprentissage des gestes médicaux : ouvrir la bouche, accepter l’introduction d’un objet type crayon, abaisser la langue… Le tout afin d’arriver progressivement à la caméra (dont la forme est proche d’un gros crayon).
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pourquoidocteur |
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La gendarmerie cree une mission handicap |
06/08/2020 |
«Le lieutenant-colonel Grégoire Charle est arrivé au groupement de gendarmerie de Loir-et-Cher en aout 2018. Officier adjoint au commandement jusqu'alors, il a quitté ses fonctions ce mois d'aout.
Il est désormais en charge de la mission accompagnement du handicap. Une toute nouvelle mission qui fait partie des seize projets portés par le directeur des personnels militaires de la gendarmerie nationale.
Le sujet tient à coeur au lieutenant-colonel Charle, actuel président de l'Adapei 41 et père d'un enfant autiste. Il sera épaulé par un sous-officier, blessé dans le cadre de ses fonctions, et qui a déjà notamment encadré du handisport.
Deux profils complémentaires pour mener à bien cette mission, l'un ayant un parcours d'aidant familial, l'autre de blessé.»
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«Concilier vies privée et professionnelle Le premier objectif est d’améliorer le soutien aux gendarmes, aux familles, aidants familiaux d’un proche handicapé. Sur les cent mille gendarmes en exercice en France, le lieutenant-colonel Charle indique qu’« environ deux mille foyers sont touchés par le handicap », que ce soit parce qu’ils ont un enfant ou un ascendant concerné. L’officier précise que des choses existent déjà mais qu’il « reste des zones d’ombre ». « Il faut bien comprendre les attentes des personnels gérés et les difficultés dans leur carrière. » La mission va donc notamment se pencher sur les problématiques de mobilité, de mutation, de conciliation entre la vie professionnelle et la vie privée. « Quand on a un enfant qui a un handicap assez lourd qui ne lui permet pas d’accéder au milieu ordinaire dans sa scolarité, en France, trouver une place dans un milieu spécialisé c’est complexe et ça se marie très mal avec une mobilité tous les trois à cinq ans, illustre l’officier par son expérience. Et ça, ce sont des freins à la progression professionnelle. » Concrètement, il aimerait par exemple pouvoir faire évoluer les préavis de mutation. Actuellement, les personnels sont prévenus entre janvier et mars de leur prochaine affectation, pour une prise de poste en août. Il souhaiterait que ce préavis soit d’un an, afin de permettre aux familles de s’organiser.
Le second axe de cette mission concerne les gendarmes qui souffrent eux-mêmes de handicap, suite à des blessures. Même s’il existe déjà au sein de la gendarmerie une cellule d’accompagnement des blessés, il est question d’améliorer cet accompagnement, notamment pour tout ce qui concerne les aménagements de poste.
Dans l’avenir, le lieutenant-colonel Charle souhaite aussi faire évoluer l’accueil du public handicapé dans les brigades de gendarmerie. Si des aménagements ont été faits pour les personnes en situation de handicap moteur, il reste encore beaucoup à faire pour celles souffrant de handicaps psychiques, intellectuels ou sensoriels.
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lanouvellerepublique |
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Popular screen may mistake intellectual disability for autism | Spectrum | Autism Research News |
01/08/2020 |
«A common autism screening tool misses more than 70 percent of autistic toddlers but flags more than 80 percent of non-autistic toddlers who have intellectual disability, a new study of children in Norway reports1. The study adds to a mounting body of evidence that the tool, the Modified Checklist for Autism in Toddlers (M-CHAT), is not sufficient on its own to identify signs of autism.
“Basically, we find that screening at 18 months identifies kids with pretty severe delays,” he says, such as a low intelligence quotient (IQ), poor communication skills and prominent autism traits.
Conversely, autistic children who fall closer to the typical range of abilities are significantly less likely to be identified by the M-CHAT at 18 months of age.»
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« Along with previous research in Norway, the results also help clarify which children the M-CHAT flags and which ones it misses, says lead author Roald Øien, professor of special education at UiT – the Arctic University of Norway in Tromsø.
“Basically, we find that screening at 18 months identifies kids with pretty severe delays,” he says, such as a low intelligence quotient (IQ), poor communication skills and prominent autism traits. Conversely, autistic children who fall closer to the typical range of abilities are significantly less likely to be identified by the M-CHAT at 18 months of age.
Although the M-CHAT misses a majority of autistic children at 18 months, it is useful that the test picks out most children with intellectual disability, says Catherine Lord, professor of psychiatry at the University of California, Los Angeles, who was not involved in the study.
“It isn’t that you shouldn’t do the M-CHAT, it’s just that you can’t quit there,” she says.
Measurement issues:
Øien’s team analyzed M-CHAT results, health records and parent survey data from the Norwegian Mother, Father and Child Cohort Study, which follows 114,552 children born from 1999 to 20082. They focused on a subset of 834 children who had undergone detailed clinical assessments for autism and whose records included complete data for six M-CHAT questions that previous research has shown to accurately predict autism3. The sample includes 539 children who showed signs of autism, according to parent surveys, and 295 who did not and served as controls; 163 of the children ultimately received an autism diagnosis.
Only about 30 percent of the autistic children had screened positive for the condition at 18 months old, according to their scores on the six M-CHAT questions. The autistic children who screened negative tend to have average IQs, whereas those who screened positive tend to have IQs indicative of intellectual disability, the study shows.
Additionally, autistic children who scored low on measures of functional communication and high on a scale of autism trait severity were more likely to screen positive than those who fell within the typical range for these measures. This work was published in May in the Journal of Autism and Developmental Disorders.
The results underscore the idea that screening instruments should be used with caution and a healthy dose of clinical judgment, Øien says, although screening is helpful because it teaches caregivers and educators about some of the earliest features of autism.
“Even if you screen negative at 18 months, that doesn’t necessarily mean there is no [autism] diagnosis later,” he says. “It is important that those who screen positive often get other diagnoses.”
Improving identification:
This study shows that it is difficult to use this six-question section of the M-CHAT to identify autistic children who don’t have intellectual disability or communication issues, experts say.
But rather than discard the M-CHAT entirely, researchers should refine it to maximize its validity, says So Hyun “Sophy” Kim, assistant professor of psychology in clinical psychiatry at Weill Cornell Medicine in New York City, who was not involved in the study.
Because autism traits can unfold over time in different ways for different children, screening at multiple ages could help improve the tool’s accuracy, she says.
Another possible way to improve the M-CHAT’s accuracy would be to better educate parents and pediatricians about the condition’s early signs before they use the tool, Lord says.
To follow up on this work, Øien’s team plans to identify which characteristics are shared by toddlers who go on to receive an autism diagnosis, after controlling for intellectual disability and communication issues.
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spectrumnews |
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Maltraitance sur handicapes : le licenciement d'une lanceuse d'alerte reconnu sans cause reelle et serieuse dans le Gers |
25/07/2020 |
«En 2013, l'affaire avait fait grand bruit. Dans un courrier adressé à l'ARS (Agence Régionale de Santé) le 30 mai de cette année là, le syndicat CGT dénonce des cas de maltraitance dans un institut hébergeant des enfants et des jeunes adultes lourdement handicapés.
Des photos, et même une vidéo sortent dans la presse. Des enfants sont enfermés dans des box vitrés dépourvus de poignée intérieure. Des jeunes font leur toilette devant tout le monde ou leurs besoins sur un sceau en présence d'autres handicapés.
Derrière ces dénonciations, il y a une salariée : Céline Boussié, en conflit avec sa direction. Employée comme aide médico-psychologique, elle a craqué, elle est en arrêt maladie.
Elle raconte tout.»
[...]
«L’IME (Institut Médico Educatif) Moussaron situé à Condom dans le Gers, aujourd’hui rebaptisé Terre d’envol, accueillait des enfants de 3 à 20 ans lourdement handicapés intellectuellement et physiquement. L’ARS, après enquête, avait de fait relevé des manquements graves dans l’accueil de ces enfants et jeunes adultes. L'autorité de santé évoquant notamment un non-respect de la dignité, de l’intimité et du bien-être physique et psychologique s’apparentant à de la maltraitance institutionnelle.
La lanceuse d'alerte gagne en appel
Licenciée en 2014 pour inaptitude, Celine Boussié avait déposé un recours auprès du tribunal des prud’hommes, mais l’affaire n’avait été examinée qu’en 2019 et la lanceuse d'alerte avait alors été déboutée de sa demande sur ce point-là.
Cette fois, la cour d’appel d’Agen reconnaît que le licenciement n’avait pas de causes réelles et sérieuses, car l’employeur aurait manqué à ses obligations de sécurité. Un manquement qui a participé à la dégradation de l’état de santé de la salariée. La cour rappelle dans son arrêt daté du 21 juillet 2020 que Céline Boussié a été "le témoin privilégié du mode de fonctionnement de l’IME". L’institut n’avait pas mis en place de protocoles pour aider les salariés à faire face à des situations difficiles.
La cour condamne notamment la société Terre d’Envol à payer à Céline Boussié une indemnité de 7 500 euros pour violation de l’obligation de sécurité et de protection de la santé de la salariée et une indemnité de 25 000 euros pour licenciement sans cause réelle et sérieuse.
Contacté par France 3 Occitanie, Céline Boussié ne cache pas son émotion.
Honnêtement je ne m'y attendais pas, jusqu'à maintenant aucun salarié de Moussaron n'avait été reconnu dans ses droits. C'est une immense surprise et je pense aussi aux enfants et aux familles pour qui on s'est battu.
Céline Boussié
"A titre personnel, dit elle, j'ai passé des années compliquées mais le fait qu'une cour d'appel reconnaisse la faute de mon employeur (...) je me suis dit la courbe s'est inversée du bon coté. C'est aussi une victoire politique. C'est une lueur d'espoir pour d'autres professionnels, quand on croit à ce que l'on fait ça paye."
En 2017, Céline Boussié poursuivie par son employeur pour diffamation avait été relaxée par le tribunal correctionnel de Toulouse.
En janvier 2020, 7 anciens dirigeants de l'IME Moussaron ont été mis en examen pour harcèlement moral. L'enquête se poursuit.
Voir le reportage réalisé en 2013.
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france3-regions.francetvinfo |
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Maltraitance sur handicapes : le licenciement d'une lanceuse d'alerte reconnu sans cause reelle et serieuse dans le Gers |
25/07/2020 |
«En 2013, l'affaire avait fait grand bruit. Dans un courrier adressé à l'ARS (Agence Régionale de Santé) le 30 mai de cette année là, le syndicat CGT dénonce des cas de maltraitance dans un institut hébergeant des enfants et des jeunes adultes lourdement handicapés.
Des photos, et même une vidéo sortent dans la presse. Des enfants sont enfermés dans des box vitrés dépourvus de poignée intérieure. Des jeunes font leur toilette devant tout le monde ou leurs besoins sur un sceau en présence d'autres handicapés.
Derrière ces dénonciations, il y a une salariée : Céline Boussié, en conflit avec sa direction. Employée comme aide médico-psychologique, elle a craqué, elle est en arrêt maladie.
Elle raconte tout.»
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«L’IME (Institut Médico Educatif) Moussaron situé à Condom dans le Gers, aujourd’hui rebaptisé Terre d’envol, accueillait des enfants de 3 à 20 ans lourdement handicapés intellectuellement et physiquement. L’ARS, après enquête, avait de fait relevé des manquements graves dans l’accueil de ces enfants et jeunes adultes. L'autorité de santé évoquant notamment un non-respect de la dignité, de l’intimité et du bien-être physique et psychologique s’apparentant à de la maltraitance institutionnelle.
La lanceuse d'alerte gagne en appel
Licenciée en 2014 pour inaptitude, Celine Boussié avait déposé un recours auprès du tribunal des prud’hommes, mais l’affaire n’avait été examinée qu’en 2019 et la lanceuse d'alerte avait alors été déboutée de sa demande sur ce point-là.
Cette fois, la cour d’appel d’Agen reconnaît que le licenciement n’avait pas de causes réelles et sérieuses, car l’employeur aurait manqué à ses obligations de sécurité. Un manquement qui a participé à la dégradation de l’état de santé de la salariée. La cour rappelle dans son arrêt daté du 21 juillet 2020 que Céline Boussié a été "le témoin privilégié du mode de fonctionnement de l’IME". L’institut n’avait pas mis en place de protocoles pour aider les salariés à faire face à des situations difficiles.
La cour condamne notamment la société Terre d’Envol à payer à Céline Boussié une indemnité de 7 500 euros pour violation de l’obligation de sécurité et de protection de la santé de la salariée et une indemnité de 25 000 euros pour licenciement sans cause réelle et sérieuse.
Contacté par France 3 Occitanie, Céline Boussié ne cache pas son émotion.
Honnêtement je ne m'y attendais pas, jusqu'à maintenant aucun salarié de Moussaron n'avait été reconnu dans ses droits. C'est une immense surprise et je pense aussi aux enfants et aux familles pour qui on s'est battu.
Céline Boussié
"A titre personnel, dit elle, j'ai passé des années compliquées mais le fait qu'une cour d'appel reconnaisse la faute de mon employeur (...) je me suis dit la courbe s'est inversée du bon coté. C'est aussi une victoire politique. C'est une lueur d'espoir pour d'autres professionnels, quand on croit à ce que l'on fait ça paye."
En 2017, Céline Boussié poursuivie par son employeur pour diffamation avait été relaxée par le tribunal correctionnel de Toulouse.
En janvier 2020, 7 anciens dirigeants de l'IME Moussaron ont été mis en examen pour harcèlement moral. L'enquête se poursuit.
Voir le reportage réalisé en 2013.
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Maltraitance sur handicapes : le licenciement d'une lanceuse d'alerte reconnu sans cause reelle et serieuse dans le Gers |
25/07/2020 |
«En 2013, l'affaire avait fait grand bruit. Dans un courrier adressé à l'ARS (Agence Régionale de Santé) le 30 mai de cette année là, le syndicat CGT dénonce des cas de maltraitance dans un institut hébergeant des enfants et des jeunes adultes lourdement handicapés.
Des photos, et même une vidéo sortent dans la presse. Des enfants sont enfermés dans des box vitrés dépourvus de poignée intérieure. Des jeunes font leur toilette devant tout le monde ou leurs besoins sur un sceau en présence d'autres handicapés.
Derrière ces dénonciations, il y a une salariée : Céline Boussié, en conflit avec sa direction. Employée comme aide médico-psychologique, elle a craqué, elle est en arrêt maladie.
Elle raconte tout.»
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«L’IME (Institut Médico Educatif) Moussaron situé à Condom dans le Gers, aujourd’hui rebaptisé Terre d’envol, accueillait des enfants de 3 à 20 ans lourdement handicapés intellectuellement et physiquement. L’ARS, après enquête, avait de fait relevé des manquements graves dans l’accueil de ces enfants et jeunes adultes. L'autorité de santé évoquant notamment un non-respect de la dignité, de l’intimité et du bien-être physique et psychologique s’apparentant à de la maltraitance institutionnelle.
La lanceuse d'alerte gagne en appel
Licenciée en 2014 pour inaptitude, Celine Boussié avait déposé un recours auprès du tribunal des prud’hommes, mais l’affaire n’avait été examinée qu’en 2019 et la lanceuse d'alerte avait alors été déboutée de sa demande sur ce point-là.
Cette fois, la cour d’appel d’Agen reconnaît que le licenciement n’avait pas de causes réelles et sérieuses, car l’employeur aurait manqué à ses obligations de sécurité. Un manquement qui a participé à la dégradation de l’état de santé de la salariée. La cour rappelle dans son arrêt daté du 21 juillet 2020 que Céline Boussié a été "le témoin privilégié du mode de fonctionnement de l’IME". L’institut n’avait pas mis en place de protocoles pour aider les salariés à faire face à des situations difficiles.
La cour condamne notamment la société Terre d’Envol à payer à Céline Boussié une indemnité de 7 500 euros pour violation de l’obligation de sécurité et de protection de la santé de la salariée et une indemnité de 25 000 euros pour licenciement sans cause réelle et sérieuse.
Contacté par France 3 Occitanie, Céline Boussié ne cache pas son émotion.
Honnêtement je ne m'y attendais pas, jusqu'à maintenant aucun salarié de Moussaron n'avait été reconnu dans ses droits. C'est une immense surprise et je pense aussi aux enfants et aux familles pour qui on s'est battu.
Céline Boussié
"A titre personnel, dit elle, j'ai passé des années compliquées mais le fait qu'une cour d'appel reconnaisse la faute de mon employeur (...) je me suis dit la courbe s'est inversée du bon coté. C'est aussi une victoire politique. C'est une lueur d'espoir pour d'autres professionnels, quand on croit à ce que l'on fait ça paye."
En 2017, Céline Boussié poursuivie par son employeur pour diffamation avait été relaxée par le tribunal correctionnel de Toulouse.
En janvier 2020, 7 anciens dirigeants de l'IME Moussaron ont été mis en examen pour harcèlement moral. L'enquête se poursuit.
Voir le reportage réalisé en 2013.
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Celine Boussie : Un jugement historique rendu par la Cour d'Appel d'Agen. | Facebook |
23/07/2020 |
«Céline Boussié : Un jugement historique rendu par la Cour d'Appel d'Agen. Comité de Soutien à Céline Boussié·Jeudi 23 juillet 2020·Temps de lecture estimé : 2 minutes Public Contrairement au jugement de première instance du conseil des prud'hommes d'Auch du 18 avril 2019, la Cour d'appel d'Agen a déclaré que le licenciement de Madame Céline Boussié, défendu par Maitre Alma Basic, avocate à la Cour d'appel de Paris, était sans cause réelle et sérieuse.»
[...]
«Le juge reconnaît que l'inaptitude est causée par les manquements de son employeur à son obligation de sécurité et de protection de la santé de la salariée, directement à l'origine de la dégradation de l'état de santé physique et psychique.
Le juge a relevé que les manquements étaient notamment constitués par l'entreprise de dénigrement à la suite de la dénonciation des multiples dysfonctionnements constatés, et, les injures proférées.
L’arrêt a confirmé l’atteinte à l’honneur à la réputation.
Il a également été reconnu que l’IME de Moussaron a bien violé l’atteinte à la formation de Madame Céline Boussié.
Nous saluons ici le travail de qualité effectué par Maître Alma Basic, avocate de Céline Boussié, de l’Union fédérale de l’Action Sociale et de la Fédération Santé et Action Sociale CGT.
Nous saluons la décision historique rendue par la Cour d’appel d’Agen qui, pour la première fois en 25 ans, réintègre une, un professionnel-le- de l’IME de Moussaron dans ses droits.
Pour le Comité de Soutien à Céline Boussié.
Sylvie Bataille.
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facebook |
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Enfant handicape prive de rentree : temoignez ! |
23/07/2020 |
«Une affectation en IME par manque de place à l'école, pas d'AESH ou seulement pour quelques heures, aucune solution de scolarisation, proposition de scolarisation mais dans un niveau inadapté...¦ Voici les difficultés majeures auxquels sont confrontés les parents d'enfants en situation de handicap en vue de la prochaine rentrée.
Après une année affectée par une crise sans précédent, à quoi risque de ressembler le mois de septembre 2020 ? Alors que le confinement a aggravé les conditions de vie des familles, engendrant fatigue, isolement, lassitude, leur parcours du combattant pourrait bien perdurer...»...
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informations.handicap |
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Droits des personnes handicapees : la France ne respecte pas ses engagements internationaux |
22/07/2020 |
«Dans un récent rapport, le Défenseur des droits dresse le bilan de la mise en oeuvre de la Convention internationale relative aux droits des personnes handicapés. Il pointe des avancées et beaucoup de retards, voire des reculs.
C'était il y a dix ans tout juste. En mars 2010, la Convention des Nations unies relative aux droits des personnes handicapées (CIDPH) entrait en vigueur dans le droit national.
En ratifiant ce texte, la France s'engageait à prendre toutes les mesures appropriées pour mettre en oeuvre, de manière effective, les droits reconnus par la Convention. L'a-t-elle fait ?»
[...]
«
Mesures contre les violences conjugales
Le Défenseur des droits se félicite également que la situation particulière des femmes en situation de handicap soit enfin prise en compte dans les plans de lutte contre les violences. Le Grenelle des violences conjugales a ainsi débouché, en novembre 2019, sur différentes mesures spécifiques. Une nécessité car les femmes en situation de handicap sont davantage exposées que les autres.
Femmes handicapées, femmes » invisibles »
Mais il regrette que cette avancée reste isolée. « Les femmes handicapées sont un angle mort des politiques publiques ». Qu’il s’agisse d’emploi, de santé, d’éducation ou bien encore de protection sociale. « Plus encore que les hommes handicapés, elles restent invisibles dans de nombreuses sphères de la société. »
Différence de traitement selon l’âge de survenue du handicap
Parmi les autres lacunes, il souligne « la différence de traitement entre les personnes selon l’âge auquel survient le handicap, avant ou après 60 ans ». Les droits sont effet différents (ex. : prestation de compensation du handicap pour les uns ; allocation personnalisée d’autonomie pour les autres). Ce qui compromet le respect des principes d’autonomie individuelle, d’indépendance et de non-discrimination prônés par la Convention.
Une dépendance financière aggravée
Le Défenseur des droits critique également la dépendance financière des personnes handicapées à l’égard de leur conjoint. En cause : la prise en compte des ressources de ce dernier pour le calcul de l’allocation adulte handicapé (AAH). Et la réforme de l’AAH, mise en œuvre par le gouvernement en 2018, « aggrave » cette situation.
Le rapport met aussi en évidence « les insuffisances des allocations accordées aux parents d’enfants handicapés ».
La France bientôt devant un comité de l’Onu
« La France n’a pas encore pleinement pris en considération le changement de modèle qu’induit la Convention », conclut le Défenseur des droits. Le Comité des droits des personnes handicapées des Nations unies doit prochainement statuer sur le cas français. Initialement prévu pour septembre 2020, l’examen a été reporté sine die (*) en raison de la crise sanitaire. La France ne perd rien pour attendre.
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faire-face |
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Segur de la Sante : ce qui va changer pour les patients - Le Parisien |
22/07/2020 |
«Le ministre de la Santé, Olivier Véran, a tranché parmi les recommandations présentées ce mardi 21 juillet par Nicole Notat, au terme de 50 jours d'animation des débats du Ségur de la Santé. Il en a retenu 33. Beaucoup de bonnes intentions, la volonté d'aller « plus vite, plus loin, plus fort », mais peu de détails présentés.
On a déjà parlé des mesures salariales, validées par un accord avec les syndicats le 13 juillet, représentant un effort de 8,2 milliards d'euros par an. Côté investissements, l'Etat reprend un tiers de la dette (13 milliards d'euros) des hôpitaux et une enveloppe de 6 milliards d'euros permettra notamment la rénovation d'un quart des places dans les maisons de retraite.
Parmi toutes ces mesures, en voici sept qui devraient changer la vie des patients, au-delà de l'amélioration de la qualité des soins.»
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«Un SAS dans chaque département. Plate-forme numérique, le futur Service d'accès aux soins (SAS) devra répondre à toutes sollicitations, par téléphone ou Internet : recherche d'informations, de rendez-vous chez un médecin de ville, signalement d'une urgence grave. Créés en partenariat par les Samu et médecins de ville, ces SAS ouvriront dans chaque département à partir de la fin 2020.
Un engagement envers le handicap. Parce que deux tiers des personnes en situation de handicap n'ont pas de médecin traitant, que leur recours aux soins gynécologiques est de 17 points inférieur à la moyenne nationale… Olivier Véran veut un « engagement de prise en charge » mobilisant des experts et créant un parcours dédié.
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leparisien |
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Les personnes handicapees sont plus souvent victimes de violences physiques, sexuelles et verbales - Ministere des Solidarites et de la Sante |
22/07/2020 |
«Entre 2011 et 2018, les personnes identifiées comme handicapées dans l'enquête Cadre de vie et sécurité déclarent plus souvent que le reste de la population avoir été victimes de violences physiques, sexuelles et verbales au cours des deux années précédant leur interrogation.
7,3 % ont subi des violences physiques et/ou sexuelles, autant ont été exposées à des menaces, et 15,4 % à des injures. L'écart entre les personnes handicapées et le reste de la population est plus important parmi les femmes que parmi les hommes.
Les personnes handicapées font également plus souvent état de violences ayant causé des dommages physiques ou psychologiques importants. Les victimes en situation de handicap sont deux fois plus souvent agressées chez elles ou à proximité de leur domicile et connaissent plus fréquemment leur agresseur.
Un quart des victimes handicapées se sont déplacées au commissariat ou à la gendarmerie après avoir subi une atteinte contre un cinquième des personnes non handicapées, et deux tiers d'entre elles ont porté plainte.
D'après les données enregistrées par les forces de sécurité, près de la moitié des personnes en situation de handicap qui portent plainte le font pour des faits de violence physique ou sexuelle.
Enfin, le sentiment d'insécurité dans le quartier ou au domicile est plus fortement ressenti par les personnes handicapées, qu'elles aient ou non subi une infraction. Référence : Eva Baradji (DREES), Olivier Filatriau (Service statistique ministériel de la sécurité intérieure, SSMSI), 2020, « Les personnes handicapées sont plus souvent victimes de violences physiques, sexuelles et verbales », Etudes et Résultats, n°1156, Drees, juillet.»...
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drees.solidarites-sante.gouv |
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Jean Castex annonce une ''conference nationale du handicap'' - L'Express |
16/07/2020 |
«Le Premier minsitre redoute notamment que les personnes handicapées soient "fortement affectées par la crise économique". Le Premier ministre Jean Castex a annoncé l'organisation d'une "conférence nationale du handicap", sans en préciser la date, redoutant que les personnes handicapées soient "fortement affectées par la crise économique", lors de sa déclaration de politique générale ce jeudi au Sénat.»
[...]
«"Nous ne retrouverons pas l'unité sans une attention accrue aux plus vulnérables d'entre nous. Ils ont été davantage touchés par la crise sanitaire" et "ils seront également, avec les jeunes, les plus fortement affectés par la crise économique, à commencer par les personnes en situation d'handicap", a déclaré Jean Castex devant les sénateurs. "Nous réunirons une conférence nationale du handicap consacrée à ces sujets", a-t-il ajouté.
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lexpress |
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New Research Provides Hope for Millions with Auditory Processing Disorder Through The Listening Program from Advanced Brain Technologies |
15/07/2020 |
«Published online on June 15, 2020 in The International Journal of Listening, the article titled Changes in Auditory Processing After Completing The Listening Program Training is authored by Tracey Butler, Jane Schueler, and Jay R. Lucker, Professor of Communication Sciences at Howard University.
Auditory Processing Disorder (APD) is a condition that impacts the brain's ability to filter and interpret sounds. Generally, individuals with auditory processing issues have normal hearing, but have a hard time receiving, organizing, and processing, and using auditory information.
This contributes to difficulties with communication, learning, attention, and social engagement.»
[...]
«Several populations show a high prevalence of auditory processing disorder including an estimated 2.5 million children in the U.S.,15% of military veterans, older adults, and individuals with autism, brain injuries, ADHD, and Fragile X Syndrome.
According to the research abstract professionals may recommend listening therapies for people identified with auditory processing problems. A concern arises whether the therapies have evidence supporting changes that occur after completing such training. The authors looked at a large sample of people over a wide age range who completed The Listening Program training. Using each individual as his/her own control, the study was undertaken. Files of people ranging in age from 5-year to 50-year old for people who had completed TLP training were evaluated. Assessment was completed via results of the SCAN test of auditory processing both before and after completing training. Analyses of changes on the SCAN were computed via paired samples t-tests. Measures found significant improvements with large effect size improvements. Findings support a conclusion that one should expect improvements in auditory processing abilities in people completing TLP training.
“This groundbreaking study on The Listening Program offers hope and a proven therapy for the millions of children and adults suffering from auditory processing disorder.” stated Alex Doman, founder of Advanced Brain Technologies.
The Listening Program involves listening to acoustically modified music for as little as 15 minutes daily through specialized headphones which provide simultaneous bone conduction stimulation and air conduction music listening training. TLP is used in clinics, hospitals, schools, in the military, VA and in-home for children and adults who can benefit from neuroscience based music for brain training to support executive function, auditory processing, communication, social & emotional function, motor coordination, stress resilience, creativity and more.
This study supports the application of The Listening Program method for children and adults with auditory processing deficits and deepens the body of research that validates TLP as evidence-based practice.
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prweb |
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Remaniement : B. Bourguignon, nouvelle ministre du handicap? |
06/07/2020 |
«Le gouvernement Castex sonne-t-il la fin du secrétariat d'Etat au Handicap ? Alors que Brigitte Bourguignon, présidente de la commission des affaires sociales, vient d'être nommée ministre en charge de l'autonomie les paris sont lancés... Dernière minute du 26 juillet 2020 Le gouvernement de Jean Castex est enfin au complet après la nomination de onze secrétaires d'Etat, dont six nouvelles personnalités, annoncée dimanche 26 juillet 2020 par l'Elysée.
Reconduite comme secrétaire d'Etat chargée des Personnes handicapées, toujours rattachée au Premier ministre, Sophie Cluzel, 59 ans, continuera à mettre en oeuvre les principales mesures annoncées en février à l'issue de la Conférence nationale du handicap (article en lien ci-dessous).»
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«Pas l'ombre d'un ministre du Handicap ?
« Ministre de l'autonomie donc du handicap ? », s'interroge un internaute. « Le secrétariat d'Etat aux Personnes en situation de handicap restera-t-il rattaché au Premier ministre ou au ministère de la Santé ou de l'égalité des chances ? Avec Sophie Cluzel ? Et quid de la réforme Pénicaud... sans Muriel Pénicaud ? », renchérit Michaël Couybes, rédacteur en chef du magazine Etre. « Les personnes handicapées ne figurent dans aucun ministère ? Un secrétaire d'Etat sera-t-il nommé ? Merci de nous éclairer et de nous répondre ! », demande, à son tour, le Collectif handicaps qui regroupe 48 associations, rejoint par Christophe Roth, délégué national à l'égalité des chances et à la santé au travail au sein du syndicat CFE-CGC et premier vice-président du Fiphfp (fonds dédié à l'emploi des personnes handicapées dans la fonction publique). « Je m'interdis à commenter la politique, toutefois j'observe qu'environ 12 millions de français (sur 66 millions) sont touchés par un handicap. Pas l'annonce d'un ministre ou délégué en charge des personnes handicapées. En même temps il s'agit d'une priorité du quinquennat ! », raille-t-il. Plusieurs internautes les somment de faire preuve de patience : « Les noms des nouveaux secrétaires d'Etat seront annoncés dans la semaine ». Même si c'est le cas, « la nomination d'un ministre délégué en lieu et place d'un secrétaire d'Etat aurait été un signal fort, rétorque le Collectif handicaps. Sans compter que le décalage des nominations introduit un sentiment de non priorité, mal vécu par les personnes handicapées. »
Couper le cordon avec le médical
« Le handicap va encore dépendre de la santé, parie un internaute, désabusé. Alors une bonne fois pour toutes, le handicap n'a rien à voir avec la santé. On parle égalité des droits et émancipation, pas médical. » En 2017, nombre d'associations, de personnes handicapées et d'acteurs du secteur s'étaient félicités de la nomination d'une secrétaire d'Etat rattachée au Premier ministre, et non plus au ministère de la Santé, soulignant la dimension transversale de ce sujet. Selon eux, si cette prédiction venait à se réaliser, elle constituerait un véritable « recul » pour les droits des personnes handicapées. « Le ministère de l'autonomie ne doit pas effacer le secrétariat d'état chargé des personnes handicapées. Les deux doivent être évidemment, complémentaires », exhorte l'un d'eux. « Vraiment j'attends un gouvernement qui donnera au handicap une véritable place... C'est si compliqué ? », questionne une autre.
Pour faire écho à la 5e branche de la Sécu ?
De son côté, le Conseil national consultatif des personnes handicapées (CNCPH) salue la création de ce ministère délégué à l'autonomie « pour impulser une politique cohérente avec le projet de 5e branche de la protection sociale prenant en compte les besoins en autonomie des personnes dites handicapées ». Pour autant, « même si cela reste un objectif à terme, il est encore trop tôt pour renoncer à un ministère dédié aux handicaps chargé d'animer la politique interministérielle engagée depuis plusieurs années par les gouvernements successifs et depuis 2017 par Sophie Cluzel », ajoute-t-il. Pour rappel, le principe de la création d'une « cinquième branche » dédiée au risque de perte d'autonomie a été acté dans un projet de loi en cours d'examen au Parlement (article en lien ci-dessous). Le gouvernement a annoncé une concertation sur ce sujet, dont les conclusions doivent lui être rendues mi-septembre.
Pour l'heure, Sophie Cluzel et Brigitte Bourguignon n'ont pas encore réagi à cette annonce. Pour rappel, cette dernière, députée LREM de la sixième circonscription du Pas-de-Calais, est également présidente de la commission des affaires sociales depuis 2017. Affaire à suivre...
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informations.handicap |
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Depakine - L'Etat aussi responsable - Actualite - UFC-Que Choisir |
04/07/2020 |
«Alors que le procès Mediator touche à sa fin devant le tribunal de Paris, un autre scandale sanitaire vient de connaitre une étape judiciaire cruciale : celui de la Dépakine, du nom d'un antiépileptique de Sanofi qui a provoqué malformations et autisme chez des enfants dont la mère était sous traitement pendant la grossesse (1). Saisi du cas de trois familles, le tribunal administratif de Montreuil (Seine-Saint-Denis) a considéré, dans sa décision rendue jeudi dernier, que l'Etat était en partie responsable des séquelles d'enfants nés entre 1981 et 2008. Il devra donc les indemniser.»
[...]
«L’Inspection générale des affaires sanitaires (Igas) avait déjà pointé sa défaillance. En l’occurrence, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) n’a pas suffisamment informé les patientes des risques pour l’enfant à naître, alors que les effets indésirables de la molécule étaient établis. Elle aurait dû intervenir pour modifier substantiellement la notice, notamment en 2004, date de mise à jour de l’autorisation de mise sur le marché (AMM). Il aura fallu attendre 2006 pour que la notice déconseille le médicament en cas de grossesse, et 2010 pour voir cités expressément les effets malformatifs de la molécule. Ils sont pourtant connus depuis le milieu des années 80.
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quechoisir |
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Handicap : le subterfuge de la tarification a l'acte |
29/06/2020 |
«Depuis quelques années à présent, l'accompagnement des personnes en situation de handicap voit surgir un nouveau signifiant corolaire : "l'inclusion". Il s'agit ainsi d'accompagner la personne en difficulté vers un processus "d'interaction spontanée dans l'espace social" [Lin Grimaud, Handicap : l'inclusion comme performance, Empan 2012/3 (n° 87), pages 55 à 62] tandis qu'une pareille démarche constitue une performance en soit tant les obstacles peuvent être légion.
D'aucuns sont déjà passés à l'étape suivante, tel Charles Gardou, et proposent plutôt d'envisager une "démarche inclusive" plutôt qu'une « inclusion » alors ce que dernier signifiant, dont l'antonymie est "exclusion", laisserait sous-entendre que "l'inclusion" serait au bon vouloir d'un club supposé valide et acceptant de bon gré de ne pas exclure les personnes en situation de handicap.»...
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marianne |
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Troubles de l'autisme et du neuro-developpement : quels parcours pour les personnes concernees et leurs familles ? | Ipsos |
26/06/2020 |
«Troubles de l'autisme et du neuro-développement : quels parcours pour les personnes concernées et leurs familles ? 12000 personnes et familles concernées par l'autisme, les troubles DYS , les déficiences intellectuelles, les troubles du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) ont fait état de leur parcours de vie dans une étude conduite par la Délégation interministérielle et réalisée par Ipsos.
Cette étude qui sera renouvelée chaque année jusqu'en 2022, vise à mesurer l'efficacité concrète de la stratégie nationale dans le quotidien des personnes. Ce premier volet procure ainsi des données indispensables à la conduite de cette politique de santé publique mais aussi une photographie de référence qui vaudra pour comparaison avec les enquêtes suivantes.»
[...]
«De toutes les régions, de toutes les catégories sociales et typologies de territoires, sans lien systématique avec une association (pour 60% des répondants), présentant un seul ou plusieurs troubles du neuro-développement (62% et 38%), les personnes et familles concernées par l’autisme et les troubles du neuro-développement se sont massivement mobilisées pour faire entendre leur voix.
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ipsos |
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Narbonne. Il vole les chaises d'un restaurant pour regarder les mouettes |
26/06/2020 |
«Le prévenu a commis des faits de vols en récidive. Même s’il trouve des motivations originales à son geste, celui-ci écopera de 15 mois de prison ferme. Said, la quarantaine, apparait dans le box, escorté par des agents pénitentiaires.
Son t-shirt gris à manches courtes est trop grand pour lui. Yeux tirés, visage fermé, il ne parait pas réellement présent dans la salle d'audience. Le président du tribunal, Antonio Fulleda, le reconnait immédiatement : "Ce n'est pas la première fois que l'on se voit ici", assure-t-il.
Le second constat des magistrats relève de la nature "poétique" du prévenu. Lorsque les enquêteurs lui demandent pourquoi il a volé les tables et chaises d'un restaurant narbonnais pour les installer à proximité des Halles, il annonce : "Je les ai posées à mon point préféré à Narbonne, je vois les mouettes, je regarde le lever du soleil, et j'écoute de la musique.
A l'ouverture des Halles, je voulais aller boire un coca, manger des tielles et des olives". Des désirs épicuriens, mais réalisés via des méthodes illégales.»...
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ladepeche |
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Essonne. Un educateur condamne a 15 mois avec sursis pour avoir violente des enfants vulnerables |
26/06/2020 |
«Un éducateur spécialisé âgé de 43 ans a comparu devant le tribunal correctionnel d'Evry-Courcouronnes (Essonne) pour des faits de violences sur des mineurs de moins de 15 ans et d'agressions sexuelles, rapporte Le Parisien.
A l'Institut médico-éducatif (IME) Henri-Dunant de Morsang-sur-Orge (Essonne), où il a travaillé de mars à juin 2019, il s'en serait pris à deux enfants vulnérables. Le premier, atteint d'autisme, a affirmé que l'éducateur le frappait.
Des propos confirmés par le témoignage d'un autre garçon, âgé de douze ans, qui rentrait souvent chez lui avec des hématomes sur les bras et le torse, relate le quotidien La défense a demandé la relaxe de son client pour les deux affaires.
Elle a même qualifié de rumeurs certains faits qui lui sont reprochés, ajoute Le Parisien.»
[...]
«Quinze mois de prison avec sursis
La défense a demandé la relaxe de son client pour les deux affaires. Elle a même qualifié de rumeurs certains faits qui lui sont reprochés, ajoute Le Parisien.
Le parquet a requis trente mois de prison dont douze fermes. Le quadragénaire a finalement été relaxé pour les trois accusations d’agressions sexuelles, et pour les accusations de violences à l’IME de Morsang. Il a en revanche été condamné à quinze mois de prison avec sursis pour les autres agressions et l’interdiction de travailler avec des mineurs. Une peine assortie d’une obligation de soins, détaille le quotidien régional. Il devra verser 300 € de dommages et intérêts aux familles des deux enfants de 11 ans violentés à Saint-Chéron.
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ouest-france |
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Formation proches aidants autour de la sensorialite - CRA LIMOUSIN |
20/06/2020 |
«Dans le cadre de la mesure 58 de la Stratégie Nationale pour l'Autisme au sein des TND et du dispositif de la formation des proches aidants des personnes autistes, le CRA Limousin vous propose une formation sur la thématique de la sensorialité. Cette formation est gratuite, elle aura lieu sur les 3 départements: Corrèze, Creuse et Haute-Vienne.
Elle dure 3 jours et s'adresse aux proches aidants des personnes autistes. Le nombre de places est limité à 18 personnes. Les inscriptions sont obligatoires auprès du CRA Limousin secreteriat.cralimousin@chu-limoges.fr et 058984 Retrouvez les dates et toutes les informations sur cette formation en cliquant ici»...
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cralimousin |
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Vidéo -Mettre en place un outil de communication - Deux minutes pour mieux vivre l'autisme |
17/06/2020 |
«Mettre en place un outil de communication Un outil de communication est souvent indispensable pour permettre aux enfants d'exprimer leurs besoins, leurs envies, et pour faciliter la compréhension de leur entourage.
Découvrons plus en détail à quoi il peut ressembler.»...
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deux-minutes-pour |
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Tribunal de Blois : le jeune autiste avait ete filme dans un sac-poubelle |
09/06/2020 |
«Quatre salariées de l’IME de Naveil ont comparu lundi 8 juin 2020 sous l’accusation de violences commises sur un garçon autiste de 12 ans. La justice les a relaxées. Tribunal correctionnel de Blois C'est le sentiment d'une épreuve collective qui dominait, hier soir, à l'issue d'une comparution immédiate bien différente de ce qui constitue le lot quotidien de la justice ordinaire.
Une épreuve tout d'abord pour les parents d'un jeune garçon autiste qui a été l'espace d'un bref instant le « jouet » de professionnelles pourtant expérimentées et dévouées.
Une épreuve aussi pour ces quatre femmes d'une trentaine d'années qui se sont retrouvées à la barre du tribunal accusées de « violence sur personne vulnérable et diffusion d'images relatant une atteinte à l'intégrité » après une garde à vue de 48 heures.
Et une épreuve, enfin, pour l'IME de Naveil en qui les parents avaient placé leur confiance et qui a suspendu trois de ses salariées en attendant la réponse judiciaire. Assis dans un sac-poubelle remonté jusqu'aux aisselles C'est le directeur de l'institut qui, la semaine dernière, a informé les parents de ce qui s'était passé. Il venait de découvrir le contenu d'une vidéo qui a été diffusée lors du procès.
On y voit leur fils âgé de 12 ans assis dans un sac-poubelle remonté jusqu'aux aisselles. Derrière lui, une éducatrice tient un tuyau d'aspirateur et aspire l'air contenu dans le sac.»
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«Durant cette poignée de secondes, on entend rire les éducatrices. L’une d’elles commente : « Ça ne lui fait rien, j’ai du mal à lui faire serrer les cuisses. » L’enfant regarde autour de lui, semble mal à l’aise, agite un bras, puis gémit. Cette pratique appelée vacuum challenge est un défi en vogue sur Internet. Elle a été dénoncée pour ses risques potentiels.
Lors de cette comparution immédiate, ces éducatrices et une infirmière de cet institut où l’enfant séjourne depuis cinq ans, ont expliqué qu’elles testaient entre elles ce fameux challenge quand le jeune garçon est entré dans la pièce. Intrigué, il serait entré de lui-même dans le sac. « L’effet est surprenant, mais pas douloureux, raconte une éducatrice, nous n’avons pas réfléchi, dès qu’il a montré qu’il n’aimait pas ça, on l’a laissé sortir. »
La scène a été filmée et partagée sur Facebook
La présidente Maggy Deligeon demande pourquoi la scène a été filmée et partagée au sein d’un groupe de collègues via Facebook. « C’est un groupe professionnel au sein duquel on s’envoie des liens, des photos, des vidéos pour échanger sur nos pratiques. » « Feriez-vous la même chose à vos enfants ? » poursuit la présidente. « Non, répondent les prévenues qui n’ont pas avancé une quelconque vertu thérapeutique pour se justifier, nous avons commis une bêtise professionnelle. »
Mon fils n’a pu entrer de lui-même dans ce sac alors que l’aspirateur fonctionnait, il a une forte aversion pour la contention et est hypersensible au bruit.
Le père de la victime
Le père de l’enfant demande la parole : « Mon fils n’a pu entrer de lui-même dans ce sac alors que l’aspirateur fonctionnait, il a une forte aversion pour la contention et est hypersensible au bruit. » Une quatrième éducatrice est poursuivie pour avoir filmé une autre séquence où l’on voit l’enfant assis sur un siège. La jeune femme le fait tourner comme sur un manège en imitant la voix d’un forain. « Ça l’a fait rire, les sensations semblaient lui plaire. »
Le procureur Frédéric Chevallier, devançant les critiques de la défense concernant le fait que le père de l’enfant est officier supérieur dans la gendarmerie et président d’une association œuvrant en faveur des personnes handicapées, a nié avoir voulu faire un exemple. « Votre comportement est choquant, vous avez confondu votre rôle de protectrices en vous servant de cet enfant vulnérable comme d’un objet. » Le ministère public a requis de quatre à six mois de prison avec sursis probatoire (comportant une interdiction d’exercer) pour trois des prévenues, mais s’en est rapporté pour celle qui a fait tourner l’enfant sur le fauteuil.
"Cette pratique peut être dangereuse et même mortelle."
L’avocat des parents, Me Stéphane Rapin, s’est déclaré consterné : « Vous qualifiez ces faits de bêtise alors que le choc émotionnel causé à cet enfant hypersensible constitue une violence. Vous l’avez pris pour un jouet et vous avez filmé pour rire de lui. Quant à ce vacuum challenge, cette pratique peut être dangereuse et même mortelle. »
Son confrère, Me Christophe Auffredou, a pris la parole pour l’association qui emploie les éducatrices. « Vous n’avez pas eu un comportement professionnel. Vous avez fait mal à cette association et terni son image. »
Tour à tour, Me Damien Vinet, Me Samantha Moravy et Me Emmanuelle Fossier ont plaidé la relaxe en faveur des trois éducatrices. « Elles ont passé la Fête des mères dans une cellule du commissariat. Jamais elles n’ont eu l’intention de faire du mal ou d’humilier. Il s’agissait d’un jeu, choquant certes ; mais pas dangereux, le sac était au niveau des aisselles, elles ont peut-être commis une faute professionnelle, mais pas une infraction. »
Me Sarah Lévêque a elle aussi plaidé la relaxe : « Qui n’a jamais fait tourner son enfant sur un fauteuil pour le voir rire ? Moi-même je l’ai fait et il a adoré ». Elle a reproché au parquet d’avoir fait subir une longue garde à vue pour reconnaître au final la difficulté de requérir une peine à son encontre.
"Juridiquement, les infractions reprochées ne sont pas constituées"
Après une demi-heure de délibéré, le tribunal a relaxé les quatre salariées de l’IME de Naveil. « Votre comportement n’est pas qualifiable professionnellement, a déclaré la présidente Maggy Deligeon, mais, juridiquement, les infractions reprochées ne sont pas constituées. » Les parents de l’enfant ont été déboutés de leurs demandes. Le parquet va faire appel de cette décision. Les trois salariées suspendues depuis le dépôt de plainte sont convoquées, le 16 juin, par leur employeur.
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lanouvellerepublique |
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New Genes for Childhood Apraxia of Speech Highlight Complexi... : Neurology Today |
04/06/2020 |
«Researchers discover 10 novel genes for childhood apraxia of speech that demonstrate it is a sporadic monogenic disorder arising from a de novo mutation, and is extremely genetically heterogenous.
Advertisement The discovery of 10 new genes for childhood apraxia of speech (CAS) implicate broad and complex developmental pathways in this disorder, according to a new study published online on April 28 in Neurology.»
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«The study combined whole genome-wide sequencing and microarray data with highly detailed phenotyping, allowing the researchers to conclude that CAS is most commonly a sporadic monogenic disorder arising from a de novo mutation, and is extremely genetically heterogenous.
“These findings form a gateway into this disorder,” said Dianne Newbury, PhD, of Oxford Brookes University in Oxford, UK, who was not involved in the study. “I think there is a lot of power in this approach to begin to identify causal relationships” between gene variants and phenotype.
CAS is characterized by three core features, explained study author Angela Morgan, PhD, professor of speech pathology at the University of Melbourne, Australia, where she leads the Speech and Language group at the Murdoch Children's Research Institute.
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journals.lww |
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Livrets inclusion | Dev'Ergo |
03/06/2020 |
«En période de crise sanitaire Ces livrets ont été initié par Marie Lagarde et Romain Genet, ergothérapeutes et créateurs de Dev'Ergo. Ils ont rapidement été soutenu par d'autres professionnels, associations et/ou parents.
En tant qu'ergothérapeutes spécialisés en pédiatrie nous avons à coeur de rendre accessible l'école aux enfants en situation de handicap.La loi du 11 février 2005 a imposé le droit fondamental à l’éducation pour tous les enfants, quel que soit leur handicap.
Le contexte sanitaire ne doit pas être un obstacle à ce droit fondamental. C’est pourquoi nous avons créé ces livrets, ils doivent permettre à l’ensemble des enfants scolarisés d’accéder à la compréhension et à l’application des gestes barrières.»
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«Vous trouverez dans cette partie le livret complet avec les gestes barrières en FALC (facile à lire et à comprendre). De plus différents outils et affiches sont proposés pour aider l'enfant à adopter les gestes barrières.
Livret pour faciliter l'acquisition des gestes barrières : outils & stratégies pour les jeunes enfants (FALC)
college et lycee.png
Vous trouverez dans cette partie le livret adapté aux adolescents (FALC).
Livret à destination des collèges et lycées : les gestes barrières
CAA.png
Vous trouverez dans ce livret les gestes barrières expliqués aux enfants utilisant la communication alternative et augmentative (MAKATON, Pictogrammes, LSF, Tableau de langage assisté, Pictogrammes basse vision)
Livret CAA
déficience_visuelle.jpg
Vous trouverez ici le livret pour les enfants qui présentent une déficience visuelle. Nous avons décidé de proposer 4 adaptations mais le document original peut être envoyé par mail pour des personnalisations.
Livret déficience visuelle
sensoriel.jpg
Vous trouverez dans ce livret des solutions aux problématiques sensorielles provoquées par la réalisation des gestes barrières.
Problématiques sensorielles et gestes barrières
jeux récré.jpg
Vous recherchez des idées d'activités/de jeux à proposer à la récréation de vos élèves qui permettent de respecter les gestes barrières : c'est par ici !
Des jeux pour la récré : dans le respect des gestes barrières
7 familles.JPG
Le jeu des 7 familles proposé par Valérie Robert pour renforcer l'acquistion des gestes barrières
Bonus : 7 familles
quizz
Un quizz proposé par Valérie Robert pour renforcer l’acquisition du lavage des mains
Bonus : Quizz et lavage des mains
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devergoform.wixsite |
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Camouflaging: psychopathological meanings and clinical relevance in autism spectrum conditions |
31/05/2020 |
«Camouflaging: psychopathological meanings and clinical relevance in autism spectrum conditions Accepted Manuscript: Authors' CopyDOI: 10.1017/S1092852920001467This peer-reviewed article has been accepted for publication but not yet copyedited or typeset, and so may be subject to change during the production process.
The article may be cited using its Liliana Dell’Osso, Primo Lorenzi et Barbara Carpita DOI:
Source: http://www.cambridge.org | Source Status
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cambridge |
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Schizophrenia: when the thalamus misleads the ear |
31/05/2020 |
«There is an extremely high probability that individuals with 22q11.2 micro deletion syndrome...”a rare genetic disorder...”will develop schizophrenia together with one of its most common symptoms, auditory hallucinations.
Scientists at the University of Geneva (UNIGE) and the Synapsy National Centre of Competence in Research (NCCR) have been studying this category of patients. They have succeeded in linking the onset of this hallucinatory phenomenon with the abnormal development of certain substructures of a region deep in the brain called the thalamus.
These thalamic nuclei have been identified using a combination of functional and structural magnetic resonance imaging. They are involved in processing memory and hearing among other things.
The authors suggest that there might be an explanation for these auditory hallucinations that is almost "mechanical": the immaturity of the axon connections that bind the thalamic nuclei to the cortex areas responsible for hearing.
The results, published in the journal Biological Psychiatry: Cognitive Neuroscience and Neuroimaging, pave the way for a new understanding of the pathophysiology and treatment of schizophrenia.»...
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medicalxpress |
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Handicap de communication : comment financer une aide? |
31/05/2020 |
«Quels droits en cas d'impossibilité de s'exprimer à l'oral ? Demander une évaluation de ses besoins, rédiger un bilan, déposer un dossier auprès de la Mdph... Zoom sur les 3 étapes à effectuer pour bénéficier d'une aide technique à la communication.
« Je ne peux pas communiquer oralement et mon handicap est reconnu. Quels sont mes droits ? » Focus sur les trois étapes à réaliser pour bénéficier d'une aide technique à la communication... Parce que communiquer est un droit universel !.»...
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aides-techniques.handicap |
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Zynerba Pharmaceuticals Inc shares surge on ''compelling'' results from Autism Spectrum Disorder (ASD) clinical trial |
28/05/2020 |
«Autism Spectrum Disorder (ASD) affects communication and behavior in around 1 million children and adolescent patients aged between five and 17 in the USA. In the study named BRIGHT, Zygel was given to 37 patients aged between 3 and 17 with moderate-to-severe symptoms of ASD as an add-on therapy to their standard of care using a variety of efficacy assessments.
"We are very encouraged by the compelling top-line results of the BRIGHT trial and we expect to meet with the FDA to discuss the clinical pathway for developing Zygel for the treatment of behavioral symptoms of ASD in the second half of this year," Armando Anido, Zynerba's chairman and CEO said in a statement.
"I am very impressed with the improvements my patients made over the 14-week treatment period while receiving Zygel; the reduction in irritability, communication deficits, and repetitive movements were especially noteworthy since some of these are core autistic behaviors," added Helen Heussler, the principal investigator in the BRIGHT trial.
"The magnitude of effect on autistic behaviors in this trial is significant, including hyperactivity and stereotypy, which are among the most difficult behaviors to improve with therapeutic intervention.
The results of this study strongly suggest the potential of this drug as an important treatment for ASD and I look forward to participating in future clinical studies with Zygel.»...
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proactiveinvestors |
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Parents' experiences of accessing respite care for children with Autism Spectrum Disorder (ASD) at the acute and primary care interface: a systematic review | BMC Pediatrics | Full Text |
22/05/2020 |
«Abstract Background Population prevalence estimates by the World Health Organisation suggest that 1 in 160 children worldwide has an Autism Spectrum Disorder (ASD). Accessing respite care services for children with an ASD can often be a daunting and exhaustive process, with parents sometimes forced to access acute hospital services as an initial point of contact for respite care or in a crisis situation.
To gain an in-depth understanding of accessing respite care for children with an ASD, from the perspectives of parents, a systematic review of the evidence on parent's experiences and views of respite care for children with an ASD at the acute and primary interface was undertaken.
Methods Pubmed, Embase, CINAHL and PsycINFO were systematically searched. Studies identified as relevant based on predetermined eligibility criteria were selected for inclusion.
The search strategy also targeted unpublished studies and grey literature. Qualitative data and qualitative components of mixed method studies that represented the experiences of parents accessing respite care for children with an ASD were eligible for inclusion.
A meta-aggregative approach was used during data synthesis.»
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«Conclusion
In the absence of appropriate services and defined pathways to support services such as respite care, overwhelmed parents and community providers of mental health resources may not be in a position to meet the specific needs of children with an ASD and their families which may be contributing to a direct increase in hospitalizations. This systematic review identified a number of barriers to respite care, of which the findings can be used to inform future service development and further research. Knowledge of parental experiences in caring for a child with an ASD is vital in addressing the need and type of respite care required for children with an ASD
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bmcpediatr.biomedcentral |
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Parent perspectives of what helps and hinders their child on the autism spectrum to manage their anxiety - Clark - - Clinical Psychologist - Wiley Online Library |
22/05/2020 |
«Abstract Objectives Although anxiety is recognised as one of the most common co...occurring conditions to affect school...aged children with an autism spectrum disorder, little research has explored the strategies that children on the autism spectrum use to manage their own anxiety.
Methods Seventy...two parents of children on the spectrum aged 5 to 17years identified things that supported their child to manage their anxiety (enablers) and things that hindered their child's management of anxiety (barriers) across the home, school, and community.
Using content analysis, parents' open...ended responses were coded into a series of subcategories for each setting. Results At home, "routine, modifications, and adaptations" was the most frequently reported enabler while "social, communication, and personal challenges" was the most frequently reported barrier to managing anxiety.
"Supports and strategies (at school/in the community)" was the most commonly identified enabler that supported children to manage their anxiety in both the school and community environments.
"Overstimulation, unpredictability, and demands (at school/in the community)" was the most commonly identified barrier hindering children's management of anxiety in both the school and community settings.
Conclusions Given the wide range of barriers and enablers identified, working with children and families to identify the barriers and enablers for each child in managing their anxiety may be a useful process during therapy.
Targeting interventions to align with the identified barriers and enablers may assist children on the autism spectrum to develop strategies for the management of their own anxiety across settings.»...
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aps.onlinelibrary.wiley |
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A systematic review of the effectiveness and efficacy of clinician-led psychological interventions for parents of children with ASD - ScienceDirect |
22/05/2020 |
«Abstract In families with a child with an Autistic Spectrum Disorder (ASD) much is known about the usefulness of parent training interventions focusing on children's behaviour, social or linguistic development.
In contrast clinician led parent targeted interventions focusing on positive parental outcomes such as mental health and psychological well-being are often over-looked. This review systematically considered outcomes in relation to parent-targeted clinician led interventions to support parents' mental health and well-being.
The Preferred Reporting Items for Systematic Reviews and Meta-Analyses guidelines were followed. Selected articles focused on parent-targeted interventions with a therapeutic and psychoeducational approach delivered directly to one or both parent carers of a child with ASD. Of the 1756 articles screened eight studies were included with 307 participants.
Parent focused interventions based on Mindfulness, Cognitive Behaviour Therapy, Acceptance and Commitment Therapy, and Non-Directive Counselling approaches were identified.
Participating in clinician-led group interventions introducing stress management strategies, biofeedback, mindfulness, acceptance, and problem-solving skills had a positive effect on parents' mental health and well-being.
Participating in groups with a parent focused therapy and psychoeducation component improves parents' well-being and quality of life and su ggests a fruitful avenue for future clinical practice and research that may ultimately broadly benefit all family members.»...
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sciencedirect |
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Toward a Definition of the Linguistic Profile of Children With Autism Spectrum Disorder - PubMed |
22/05/2020 |
«Abstract The current investigation assessed linguistic and narrative abilities in a cohort of children with Autism Spectrum Disorder (ASD). The linguistic assessment was performed with both traditional tests and a multilevel procedure for discourse analysis.
The results showed difficulties at different stages of message planning, organization, and microlinguistic processing (i.e., lexical selection and grammatical processing). Their macrolinguistic impairments were likely related to more general difficulties in the prelinguistic conceptual phase of message planning and mental model generation.
Such weaknesses included a difficulty in the non-verbal conceptualization of the story and the generation of an internal representation of the addressee's mental model.»...
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pubmed.ncbi.nlm.nih |
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Assessment of Aggressive Behaviour in a Patient with Autism Spectrum Disorder Requiring General Anesthesia. - PubMed - NCBI |
19/05/2020 |
«Abstract in French Objectif: Estimer l'utilité d'une anesthésie générale dans l'évaluation du comportement agressif associé au trouble du spectre de l'autisme (TSA). Méthodes: Nous décrivons le cas d'un adolescent masculin présentant un comportement violent avec un diagnostic précédent de TSA, et révisons la littérature médicale traitant de l'évaluation de l'agressivité dans le contexte du TSA. Résultats: Un jeune homme de 16 ans ayant un diagnostic précédent de TSA, qui était non verbal, a été hospitalité dans une unité d'hospitalisation psychiatrique alors qu'il présentait un problème de comportement violent.
Le patient n'avait pas reçu de soins médicaux ou dentaires réguliers depuis plusieurs années en raison de l'agitation et de l'agressivité qu'il manifestait quand on tentait de l'examiner physiquement.
L'anesthésie générale était nécessaire pour évaluer les affections médicales qui pouvaient contribuer à ces changements de comportement. Quand il fut sous anesthésie générale, il a été physiquement examiné par plusieurs services de consultation, il a reçu une imagerie cérébrale et des échantillons de laboratoire ont été prélevés.
Conclusions: Le comportement agressif est un problème commun chez les patients souffrant du TSA. Quand le comportement d'un patient empêche l'examen et les investigations, l'anesthésie générale peut être bénéfique pour faciliter le processus d'évaluation.
Ce cas illustre l'importance d'une approche multidisciplinaire dans l'évaluation et la prise en charge d'un patient minimalement verbal qui présente des changements de comportement.
A la connaissance des auteurs, ceci représente la première étude de cas publiée d'un patient souffrant du TSA nécessitant une anesthésie générale pour évaluer un comportement agressif.»...
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ncbi.nlm.nih |
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Appel a projets : Grand Prix de l'Innovation pour la sante de l'enfant 2020 |
17/05/2020 |
«Ne manquez pas la 2e édition du Grand Prix de l'Innovation pour la Santé de l'Enfant. Les candidatures sont ouvertes jusqu'au 15 juillet 2020 minuit. La Fondation Saint-Pierre qui oeuvre dans le domaine de la santé infantile, organise cette année encore le Grand Prix de l'Innovation pour la Santé de l'Enfant.
Cet appel national à projet récompensera trois projets d'innovation technologique susceptibles d'améliorer chez l'enfant une autonomie altérée par la maladie ou un handicap et par là même de le projeter positivement dans la possibilité d'une vie.»
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«Qui peut candidater ?
Ce concours national est destiné aux startups, laboratoires de recherche, associations et étudiants* qui se mobilisent, créent et inventent le monde de demain. Ce grand prix est une opportunité unique de s’introduire sur un marché, actuellement peu investi mais porteur, celui de la santé de l’enfant.
*catégorie Idée uniquement
Prix et dotations :
Le prix Talent : récompense une innovation déjà introduite sur le marché ou en phase de déploiement. Il s’agit d’un produit nouveau, d’une nouvelle technique, de nouveaux services à la santé ou de nouvelles méthodes ou procédés de pratiques médicales. Sont incluses les innovations développées pour l’adulte qui cherchent à s’appliquer à l’enfant.
Dotation : 70 000 euros sur deux ans.
Le prix Espoir : récompense un projet au stade de développement : maquettes ou prototypes porteurs d’innovation, non encore introduits sur le marché, ni mis en œuvre.
Dotation : 25 000 euros sur deux ans.
Le prix Idée : récompense un projet au stade de concept nécessitant le développement de maquettes et prototypes.
Dotation : 5 000 euros
Startups, laboratoires de recherche, médecins, associations, étudiants, n’attendez plus et déposez votre projet ! Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 15 juillet 2020
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lanouvellerepublique |
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Diagnosis of Autism Spectrum Disorder Using Central-Moment Features From Low- and High-Order Dynamic Resting-State Functional Connectivity Networks. - PubMed - NCBI |
16/05/2020 |
«Abstract The sliding-window-based dynamic functional connectivity networks (D-FCNs) derived from resting-state functional magnetic resonance imaging (rs-fMRI) are effective methods for diagnosing various neurological diseases, including autism spectrum disorder (ASD). However, traditional D-FCNs are low-order networks based on pairwise correlation between brain regions, thus overlooking high-level interactions across multiple regions of interest (ROIs). Moreover, D-FCNs suffer from the temporal mismatching issue, i.e., subnetworks in the same temporal window do not have temporal correspondence across different subjects.
To address the above problems, we first construct a novel high-order D-FCNs based on the principle of "correlation's correlation" to further explore the higher level and more complex interaction relationships among multiple ROIs.
Furthermore, we propose to use a central-moment method to extract temporal-invariance properties contained in either low- or high-order D-FCNs. Finally, we design and train an ensemble classifier by fusing the features extracted from conventional FCN, low-order D-FCNs, and high-order D-FCNs for the diagnosis of ASD and normal control subjects.
Our method achieved the best ASD classification accuracy (83%), and our results revealed the features extracted from different networks fingerprinting the autistic brain at different connectional levels.»...
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ncbi.nlm.nih |
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Diagnosis of Autism Spectrum Disorder Using Central-Moment Features From Low- and High-Order Dynamic Resting-State Functional Connectivity Networks. - PubMed - NCBI |
16/05/2020 |
«Abstract The sliding-window-based dynamic functional connectivity networks (D-FCNs) derived from resting-state functional magnetic resonance imaging (rs-fMRI) are effective methods for diagnosing various neurological diseases, including autism spectrum disorder (ASD). However, traditional D-FCNs are low-order networks based on pairwise correlation between brain regions, thus overlooking high-level interactions across multiple regions of interest (ROIs). Moreover, D-FCNs suffer from the temporal mismatching issue, i.e., subnetworks in the same temporal window do not have temporal correspondence across different subjects.
To address the above problems, we first construct a novel high-order D-FCNs based on the principle of "correlation's correlation" to further explore the higher level and more complex interaction relationships among multiple ROIs.
Furthermore, we propose to use a central-moment method to extract temporal-invariance properties contained in either low- or high-order D-FCNs. Finally, we design and train an ensemble classifier by fusing the features extracted from conventional FCN, low-order D-FCNs, and high-order D-FCNs for the diagnosis of ASD and normal control subjects.
Our method achieved the best ASD classification accuracy (83%), and our results revealed the features extracted from different networks fingerprinting the autistic brain at different connectional levels.»...
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ncbi.nlm.nih |
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Deconfinement : des mesures specifiques en cas de handicap |
15/05/2020 |
«Quatre jours après le début du déconfinement, de nouvelles dispositions sont annoncées par le secrétariat d'Etat au Handicap, avec, selon lui « comme priorité de répondre de la manière la plus adaptée et la plus complète possible aux besoins d'accompagnement des personnes en situation de handicap et de leurs proches aidants » mais aussi « d'éviter l'épuisement comme les pertes de chance ». 150 millions d'euros seront mobilisés et délégués aux Agences régionales de santé (ARS) pour « personnaliser au plus près les solutions d'accompagnement et de répit ». Dérogations aux sorties, visites en établissements, retour à l'école...¦ Les déplacements à plus de 100 km sont autorisés pour le répit ou l'accompagnement des personnes handicapées, sous réserve de remplir la déclaration de déplacement et de cocher la mention correspondante.
Cela va permettre de soulager les aidants, ainsi que de faciliter par exemple la reprise des soins ou des consultations nécessaires qui sont situés loin de chez les personnes concernées.
Les parents dont les proches sont en Belgique pourront également aller leur rendre visite.»
[...]
«Dérogations aux sorties et aux masques
Les déplacements à plus de 100 km sont autorisés pour le répit ou l'accompagnement des personnes handicapées, sous réserve de remplir la déclaration de déplacement et de cocher la mention correspondante. Cela va permettre de soulager les aidants, ainsi que de faciliter par exemple la reprise des soins ou des consultations nécessaires qui sont situés loin de chez les personnes concernées. Les parents dont les proches sont en Belgique pourront également aller leur rendre visite.
La dérogation au port du masque est possible, dans les cas où celui-ci est obligatoire, comme par exemple dans les transports, pour les personnes dont le handicap le rend difficilement supportable. Il sera néanmoins nécessaire pour les personnes de se munir d'un certificat médical justifiant de cette impossibilité. La personne handicapée sera également tenue de prendre toutes les précautions sanitaires possibles (port si possible d'une visière, respect des distances physiques).
»...
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informations.handicap |
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Only 3% individuals diagnosed with autism receive recommended clinical genetic tests |
14/05/2020 |
«A study analyzing data from the Rhode Island Consortium for Autism Research and Treatment (RI-CART) found that only 3% of individuals diagnosed with autism spectrum disorder reported having fully received clinical genetic tests recommended by medical professional societies.
The results bring to light a dissonance between professional recommendations and clinical practice, the researchers behind the study say.»...
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news-medical |
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Explaining language: A behavioral critique of Skinner's analysis of verbal behavior. |
13/05/2020 |
«ABSTRACT In Verbal Behavior (1957), Skinner attempted to offer a functional account of human language and made a point of contrasting his approach with the more traditional accounts available at the time.
Rather than focus on the structure or mechanics of language (formal aspects of language), Skinner attempted to identify the conditions that gave rise to those behaviors. Although Skinner's analysis of verbal behavior has been influential, particularly in treating language deficits for individuals with autism, there are conceptual problems with the way he defined and categorized verbal behavior.
In this paper we argue that Skinner's analysis is in fact largely based on formal aspects (rather than functional) and that this has both created confusion and limited the utility of the analysis.
Specifically, we argue that Skinner's formal account makes it difficult to distinguish verbal from nonverbal behavior and to distinguish the various types of verbal responses from one another.
We then summarize and respond to some of the contemporary defenses and criticisms of Skinner's analysis of verbal behavior. Finally, we argue that although Skinner's analysis has had some practical utility, the conceptual benefits are questionable.
SCIENTIFIC ABSTRACT Skinner (1957) offered a behavioral account of language in his book Verbal Behavior. Compared to more traditional, structural accounts of language at the time, Skinner's analysis attempted to identify the variables that control and maintain verbal behavior.
This behavioral account of language has proven useful, especially in the area of treating language deficits for individuals with autism. However, there exist conceptual problems with Skinner's analysis.
The definition of verbal behavior and subsequent taxonomy of verbal operants (or units) is based largely on formal properties. We suggest that these formal elements of Skinner's analysis result in arbitrary distinctions that emphasize the form of behavior or stimuli.
This is problematic, at a conceptual level, as distinguishing between verbal and nonverbal behavior and distinguishing between the different verbal operants necessitates not only a functional account of stimuli but identification of the source and form of stimuli.
In this paper, we examine some of the contemporary defenses and criticisms of Skinner's analysis. Lastly, we conclude that although Skinner's analysis of language has had practical utility, the conceptual benefits are limited.»...
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psycnet.apa |
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Effects of an 8-Week Judo Program on Behaviors in Children with Autism Spectrum Disorder: A Mixed-Methods Approach. - PubMed - NCBI |
13/05/2020 |
«Abstract Prior studies suggest that a combination of physical activity and mind-body exercises, often seen in martial arts, may attenuate negative behaviors in youth with Autism Spectrum Disorder (ASD). Therefore, the aim of this study was to examine the effects of an 8-week judo program on behavioral factors in children with ASD, using a mixed-methods approach.
A total of 25 children (ages 8-17), diagnosed with ASD, participated in an 8-week judo program (1×week). Parents of participants were given the Aberrant Behavior Checklist (ABC) to compare the severity of ASD-related behavior at baseline and at the end of the program.
A subset of parents (n=9) participated in semi-structured interviews that focused on their child's behaviors during the judo program. Non-parametric paired t-tests were conducted to compare differences in the ABC scores from at baseline and at the end of the program.
Interviews were coded independently by two trained researchers and categorized into behavioral themes. Participants attended an average of 7.04±1.06 classes (out of 8 sessions). There were no significant changes in ABC scores, however, parent interviews revealed that 78% of parents observed improvements in both social skills and self-esteem as a result of the judo program.
Despite no significant differences in ABC scores pre and post-judo, data from parent interviews indicate improvements in self-esteem and social skills. Future studies should further examine the effects of judo in a larger sample of youth with ASD, and include control conditions (e.g.
no-exercise group) for comparison purposes.»...
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ncbi.nlm.nih |
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Urinary Essential Elements of Young Children with Autism Spectrum Disorder and their Mothers. - PubMed - NCBI |
10/05/2020 |
«Abstract Background: Even though the cause of autism spectrum disorders (ASD) remains unknown, the current understanding points towards complex interactions between environmental and genetic factors.
One important environmental factor to consider is intake of toxic and essential elements, and their role in metabolism. Essential elements have received considerably less attention in the literature than the presence of toxins in urine.
Method: The purpose of this investigation is to comprehensively assess the association between urinary element compositions of 28 mothers who had young children with ASD and 29 mothers who had young typically developing (TD) children, and in a subset of their children (21 with ASD and 26 TD). Results: The results show that there are significant differences between the ASD and TD children cohorts' concentrations for four specific elements (sulfur, phosphorous, molybdenum, and tin). Utilizing multivariate statistical techniques (Fisher's discriminant analysis and support vector machines), it was possible to distinguish the ASD from the TD children groups with an 81% accuracy after cross-validation utilizing the four significantly different elements.
However, among the mother cohorts assessed, there were no significant differences between those that had children with ASD and those with TD children. There was a significant correlation of levels of phosphorus and sulfur in the children with ASD (r = 0.63, p = 3.0E-3) and in the TD children (r = 0.47, p = 0.02). Conclusions: Notable differences were observed between the elemental concentration in urine of children with ASD and their TD peers.
Analyzing cellular pathways related to these elements are promising areas of future research.»...
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ncbi.nlm.nih |
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How musical experience affects tone perception efficiency by musicians of tonal and non-tonal speakers? - PubMed - NCBI |
10/05/2020 |
«Abstract PURPOSE: To investigate if, regardless of language background (tonal or non-tonal), musicians may show stronger CP than non-musicians; To examine if native speakers of English (English or non-tonal musicians henceforth) or Mandarin Chinese (Mandarin or tonal musicians henceforth) can better accommodate multiple functions of the same acoustic cue and if musicians' sensitivity to pitch of lexical tones comes at the cost of slower processing.
METHOD: English and Mandarin Musicians and non-musicians performed a categorical identification and a discrimination task on rising and falling continua of fundamental frequency on two vowels with 9 duration values.
RESULTS: Non-tonal musicians exhibited significantly stronger categorical perception of pitch contour than non-tonal non-musicians. However, tonal musicians did not consistently perceive the two types of pitch directions more categorically than tonal non-musicians.
Both tonal and non-tonal musicians also benefited more from increasing stimulus duration in processing pitch changes than non-musicians and they generally require less time for pitch processing.
Musicians were also more sensitive to intrinsic F0 in pitch perception and differences of pitch types.»
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«CONCLUSION:
The effect of musical training strengthens categorical perception more consistently in non-tonal speakers than tonal speakers. Overall, musicians benefit more from increased stimulus duration, due perhaps to their greater sensitivity to temporal information, thus allowing them to be better at forming a more robust auditory representation and matching sounds to internalized memory templates. Musicians also attended more to acoustic details such as intrinsic F0 and pitch types in pitch processing, and yet, overall, their categorization of pitch was not compromised by traces of these acoustic details from their auditory short-term working memory. These findings may lead to a better understanding of pitch perception deficits in special populations, particularly among individuals diagnosed with autism spectrum disorder (ASD).
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ncbi.nlm.nih |
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A 74 ans, Fernand Derrien est confine avec sa fille autiste a La Ferte-Mace |
10/05/2020 |
«A 74 ans, Fernand Derrien est confiné avec sa fille autiste à La Ferté-Macé Depuis 20 ans, Fernand Derrien s'occupe seul de sa fille, autiste profonde à La Ferté-Macé (Orne). Etonnamment, le confinement est une période qu'ils vivent plutôt bien.
Publié le 10 Mai 20 à 10:30 Une grande A 74 ans, Fernand Derrien est confiné avec sa fille autiste à La Ferté-Macé Depuis 20 ans, Fernand Derrien s'occupe seul de sa fille, autiste profonde à La Ferté-Macé (Orne). Etonnamment, le confinement est une période qu'ils Originaire d’Ernée en Mayenne, Fernand Derrien s’est installé à La Ferté-Macé (Orne) avec sa famille en 1972.»
[...]
« Un beau jour, quand elle a eu ses 17 ans, on nous a dit qu’on ne pouvait plus la garder
Après avoir tenté en vain de trouver une autre structure, le couple décide alors de garder leur fille chez eux. « Ma femme s’en est occupée à temps complet, raconte Fernand. Seulement, quand mon épouse est décédée d’une leucémie le 1er avril 2000, j’ai fait un choix de vie : alors que j’étais encore en activité et qu’il n’y avait pas de dispositif d’accompagnement pour s’occuper de notre fille, j’ai décidé de la garder à la maison.
Quand j’étais en déplacement, c’est un couple d’amis retraités qui venait s’en occuper
Complicité
Et depuis qu’il a pris à son tour sa retraite en 2005, Fernand Derrien est à 100 % aux côtés de sa fille qui perçoit une allocation d’adulte handicapée.
« Je l’aide dans tous les gestes de la vie quotidienne, pour s’habiller. Elle a besoin d’une présence permanente ». Si elle ne parle pas, Florence sait se faire comprendre auprès de son père : « elle vient vers moi, me prend par la main et me montre ce qu’elle veut ».
C’est une véritable complicité qui existe aujourd’hui entre Fernand et Florence. « Nous faisons beaucoup d’activités ensemble. Elle adore aller faire les magasins, marcher autour du plan d’eau. Mais, elle ne peut pas sortir seule car elle n’a pas conscience des dangers. Comme je suis vice-président de la JFB depuis plus de 40 ans, elle m’accompagne le dimanche pour assister aux matches de football. Nous allons aussi aux sports d’hiver, parfois au bord de la mer, à Granville ».
Chaque année, Fernand s’accorde une dizaine de jours pour souffler durant lesquels l’UNA prend le relais auprès de Florence.
« Un rythme qui lui convient »
Après sept semaines de confinement, Fernand Derrien estime plutôt bien vivre cette période inédite
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actu |
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Sleep difficulties in the first year of life linked to altered brain development in infants who later develop autism | UW News |
08/05/2020 |
«Infants spend most of their first year of life asleep. Those hours are prime time for brain development, when neural connections form and sensory memories are encoded. But when sleep is disrupted, as occurs more often among children with autism, brain development may be affected, too.
New research led by the University of Washington finds that sleep problems in a baby's first 12 months may not only precede an autism diagnosis, but also may be associated with altered growth trajectory in a key part of the brain, the hippocampus.
In a study published May 7 in the American Journal of Psychiatry, researchers report that in a sample of more than 400 6- to 12-month-old infants, those who were later diagnosed with autism were more likely to have had difficulty falling asleep.
This sleep difficulty was associated with altered growth trajectories in the hippocampus. "The hippocampus is critical for learning and memory, and changes in the size of the hippocampus have been associated with poor sleep in adults and older children.
However, this is the first study we are aware of to find an association in infants as young as 6 months of age," said lead author Kate MacDuffie, a postdoctoral researcher at the UW Autism Center.
As many as 80% of children with autism spectrum disorder have sleep problems, said Annette Estes, director of the UW Autism Center and senior author on the study. But much of the existing research, on infants with siblings who have autism, as well as the interventions designed to improve outcomes for children with autism, focus on behavior and cognition.
With sleep such a critical need for children ...” and their parents ...” the researchers involved in the multicenter Infant Brain Imaging Study Network, or IBIS Network, believed there was more to be examined.»...
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washington |
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Covid-19 et medico-social : La CNSA lance un appel a projets |
07/05/2020 |
«Alors que le secteur médico-social est fortement touché par la pandémie de Covid-19, on a pu constater que de nombreuses initiatives ont émergé sur le territoire pour répondre aux besoins des personnes âgées et des personnes en situation de handicap.
C'est pour cela que la CNSA - Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie - lance un appel à projets autour du thème "Covid-19 et médico-social".»...
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handirect |
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Autisme TSA : Interview du Pr MOTTRON ! Reflexions sur le cliche ''l'autisme est heterogene''. - YouTube |
07/05/2020 |
«Autisme TSA : Interview du Pr MOTTRON ! Réflexions sur le cliché ''l'autisme est hétérogène''.»...
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youtube |
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Biological marker for autism in babies could lead to earlier therapy and better development | Genetic Literacy Project |
06/05/2020 |
«A small study by researchers at Stanford University School of Medicine has identified a biological marker in the cerebrospinal fluid (CSF) of human infants that may predict the future development of autism spectrum disorder (ASD). The study, which exploited a "one-of-a-kind" archive of biomaterials, showed that the hormone vasopressin was present at much lower levels in the CSF of 0-3-month-old babies who were later diagnosed with ASD than it was in CSF samples from infants who weren't subsequently diagnosed with ASD.»...
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geneticliteracyproject |
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Arrete du 8 fevrier 2020 portant nomination des membres du Conseil national consultatif des personnes handicapees | Legifrance |
06/05/2020 |
«JORF n°0111 du 6 mai 2020 texte n° 53 Arrêté du 8 février 2020 portant nomination des membres du Conseil national consultatif des personnes handicapées NOR: PRMS2001599A ELI: Non disponible Par arrêté de la secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargée des personnes handicapées, en date du 8 février 2020, sont nommés au titre de l'article D. 146-1 du code de l'action sociale et des familles membres du Conseil national consultatif des personnes handicapées :.»
[...]
«
1° Collège des représentants des associations de personnes en situation de handicap ou leurs familles composé au plus de 65 membres
Advocacy France :
Titulaire : M. Philippe GUÉRARD.
Suppléante : Mme Nicole PASPATIS.
Alliance maladies rares :
Titulaire : Mme Michèle AUZIAS.
Suppléant : M. Paul GIMENES.
APF France handicap :
Titulaire : M. Alain ROCHON.
Suppléante : Mme Pascale RIBES.
Association des parents d'elèves de l'enseignement libre (APEL) :
Titulaire : M. Paul VITART.
Suppléante : Mme Sabrina de LUCA.
Association des personnes de petite taille (APPT) :
Titulaire : Mme Violette VIANNAY.
Suppléant : M. Anthony AUBE.
Association française contre les myopathies (AFM Téléthon) :
Titulaire : M. Jean-François MALATERRE.
Suppléante : Mme Anne-Claude LE VOYER.
Association nationale de défense des malades, invalides et handicapés (AMI) :
Titulaire : Mme Patricia BACI.
Suppléant : M. Rémi WAGNER.
Association nationale des parents d'enfants aveugles (ANPEA) :
Titulaire : Mme Caroline CHABAUD.
Suppléant : M. Laurent GOUAUX.
Association nationale pour l'intégration des personnes handicapées moteurs (ANPIHM) :
Titulaire : Mme Ludivine POIVRE.
Suppléant : M. Pierre SACHET.
Association nationale pour la prise en compte du handicap dans les politiques publiques et privées (APHPP) :
Titulaire : M. Matthieu ANNEREAU.
Suppléante : Mme Véronique RACINEUX.
Association nationale pour la promotion et le développement de la langue française parlée complétée (ALPC) :
Titulaire : M. Michel FRANCOIS.
Suppléante : Mme Bénédicte ANDRE.
Association nationale pour les personnes sourdaveugles (ANPSA) :
Titulaire : M. Jean BOUISSOU.
Suppléante : Mme Sophie NOEL.
Association nationale spina bifida et handicaps associés (ASBH) :
Titulaire : M. François HAFFNER.
Suppléante : Mme Evelyne JULIEN.
Association pour adultes et jeunes handicapés - Fédération APAJH :
Titulaire : M. Jean-Louis GARCIA.
Suppléante : Mme Claire MAGIMEL.
Autisme France :
Titulaire : Mme Danièle LANGLOYS.
Suppléant : M. Jean VINÇOT.
Autisme sans frontières :
Titulaire : Mme Isabelle ROLLAND.
Suppléante : Mme Marie-Hélène AUDIER.
BUCODES SurdiFrance :
Titulaire : M. Yann GRISET.
Suppléante : Mme Valérie CAILLAUD.
Ciné-ma différence :
Titulaire : M. Amar NAFA.
Suppléante : Mme Catherine MORHANGE.
Collectif T'Cap :
Titulaire : Mme Dominique LE BERRE.
Suppléant : M. Olivier RABALLAND.
Confédération française pour la promotion sociale des aveugles et amblyopes (CFPSAA) :
Titulaire : M. Edouard FERRERO.
Suppléante : Mme Bernadette PILLOY.
Conseil français des personnes handicapées pour les questions européennes (CFHE) :
Titulaire : M. Farbod KHANSARI.
Suppléante : Mme Roselyne TOUROUDE.
Créative Handicap :
Titulaire : Mme Sylvie SANCHEZ.
Suppléant : M. Didier ROULÉ.
Droit au savoir :
Titulaire : M. Eric VERNIN.
Suppléante : Mme Marie-Pierre TOUBHANS.
Droit Pluriel :
Titulaire : Mme Anne-Sarah KERTUDO.
Suppléant : M. Sébastien COUROU.
Fédération des associations nationales de parents d'enfants déficients auditifs (Fédération ANPEDA) :
Titulaire : M. Didier VOÏTA.
Suppléante : Mme Odile DUFOUR.
Fédération étudiante pour une dynamique « Etudes et emploi avec un handicap » (FEDEEH) :
Titulaire : Mme Manon TAOCHY.
Suppléant : M. Fabien GAULUÉ.
Fédération ANAPEDYS (Association nationale d'associations d'adultes et de parents d'enfants dys) :
Titulaire : Mme Carole GOMARD.
Suppléante : Mme Sylvie LEPETIT.
Fédération des associations de personnes handicapées par des épilepsies sévères (EFAPPE) :
Titulaire : Mme Marie-Christine POULAIN.
Suppléant : M. Bernard THOMAS.
Fédération des conseils de parents d'élèves des écoles publiques (FCPE) :
Titulaire : Mme Karine AULIER.
Suppléante : Mme Christelle CARRON.
Fédération des malades et handicapés (FMH) :
Titulaire : M. Yvonnick PICQUE.
Suppléante : Mme Béatrice BAUDOUIN.
Fédération des parents d'élèves de l'enseignement public (PEEP) :
Titulaire : Mme Elise LE GALL.
Suppléant : M. Laurent ZAMECZKOWSKI.
Fédération française des associations d'infirmes moteurs cérébraux (FFAIMC) :
Titulaire : M. Mamady KABA.
Suppléant : M. Pierre-Yves LAVALLADE.
Fédération française des DYS (FFDys) :
Titulaire : Mme Nathalie GROH.
Suppléant : M. Nicolas BONNET.
Fédération française du sport adapté (FFSA) :
Titulaire : M. Jean-Claude WACH.
Suppléante : Mme Catherine FAYOLLET.
Fédération française handisport (FFH) :
Titulaire : Mme Mai-Anh NGO.
Suppléant : M. Gaël RIVIERE.
Fédération française SESAME autisme :
Titulaire : Mme Christine MEIGNIEN.
Suppléant : M. François LEBEAU.
Fédération nationale France AVC :
Titulaire : M. Francis LEMOINE.
Suppléante : Mme Isabelle FLORENTIN.
Fédération nationale des aphasiques de France (FNAF) :
Titulaire : M. Jean-Dominique JOURNET.
Suppléant : M. André REYSSIER.
Fédération nationale des associations au service des elèves présentant une situation de handicap (FNASEPH) :
Titulaire : M. Nicolas EGLIN.
Suppléante : Mme Maria GARCIA.
Fédération nationale des associations d'usagers en psychiatrie (FNAPSY) :
Titulaire : Mme Claude FINKELSTEIN.
Suppléant : M. François BOUCHON.
Fédération nationale des sourds de France (FNSF) :
Titulaire : Mme Ronit LAQUERRIERE-LEVEN.
Suppléant : M. Gérard GUILLOT.
Femmes pour le dire, femmes pour agir (FDFA) :
Titulaire : M. Olivier MANCERON.
Suppléante : Mme Chantal RIALIN.
FNATH Association des accidentés de la vie :
Titulaire : M. Karim Philippe FELISSI.
Suppléante : Mme Sophie CRABETTE.
France Acouphènes :
Titulaire : Mme Roselyne NICOLAS.
Suppléant : M. Jacques FOENKINOS.
Groupe polyhandicap France (GPF) :
Titulaire : Mme Marie-Christine TEZENAS du MONTCEL.
Suppléant : M. Jean-Yves QUILLIEN.
Groupement français des personnes handicapées (GFPH) :
Titulaire : Mme Jocelyne NOUVET-GIRE.
Suppléant : M. Vincent ASSANTE.
Groupement national de coopération handicaps rares (GNCHR) :
Titulaire : M. Pierre GALLIX.
Suppléante : Mme Dominique SPRIET.
Groupement pour l'insertion des personnes handicapées physiques (GIHP) :
Titulaire : Mme Jocelyne ROCHE.
Suppléant : M. Stéphane LENOIR.
H'UP entrepreneurs :
Titulaire : Mme Pauline ARNAUD-BLANCHARD.
Suppléant : M. Patrick ABOAF.
Handi Voice :
Titulaire : M. Arthur AUMOITE.
Suppléante : Mme Karen BUTTIN.
Handidactique :
Titulaire : M. Pascal JACOB.
Suppléante : Mme Noémie NAULEAU.
HyperSupers TDAH France :
Titulaire : Mme Diane CABOUAT.
Suppléant : M. François BERGE.
Ligue française contre la sclérose en plaques (LFSEP) :
Titulaire : M. Florian DEYGAS.
Suppléante : Mme Anne-Alexandrine BRIAND.
Nous aussi, Association française des personnes handicapées intellectuelles :
Titulaire : M. Lahcen ER RAJAOUI.
Suppléante : Mme Dolores PESSAROSSI.
TouPI :
Titulaire : Mme Danièle THÉLÉUS.
Suppléante : Mme Marion AUBRY.
Trisomie 21 France :
Titulaire : Mme Cécile DUPAS.
Suppléant : M. Emmanuel GUICHARDAZ.
UNANIMES (Union des associations nationales pour l'inclusion des malentendants et des sourds) :
Titulaire : M. Cédric LORANT.
Suppléante : Mme Claire DUPUY.
Union nationale des associations de familles de traumatisés crâniens et de cérébro-lésés (UNAFTC) :
Titulaire : M. Émeric GUILLERMOU.
Suppléante : Mme Marie-Christine CAZALS.
Union nationale des associations de parents, de personnes handicapées mentales et de leurs amis (UNAPEI) :
Titulaire : M. Luc GATEAU.
Suppléant : M. Bruno LEMAIRE.
Union nationale des associations familiales (UNAF) :
Titulaire : Mme Chantal BRUNO.
Suppléant : M. Christophe BONNIAU.
Union nationale familles et amis de personnes malades et/ou handicapées psychiques (UNAFAM) :
Titulaire : Mme Marie-Jeanne RICHARD.
Suppléant : M. Stéphane LOPEZ.
Vaincre la mucoviscidose :
Titulaire : M. Thierry NOUVEL.
Suppléante : Mme Séverine DUSSERRE.
2° Collège des représentants des associations ou organismes représentant les professionnels qui interviennent dans le champ du handicap composé au plus de 35 membres
ADMR :
Titulaire : Mme Lise AUMONT.
Suppléant : M. Jérôme PERRIN.
Association des instituts thérapeutiques, éducatifs et pédagogiques et de leurs réseaux (AIRe) :
Titulaire : M. François DELACOURT.
Suppléant : M. Anthony COULON.
Association nationale des directeurs et cadres d'Esat (ANDICAT) :
Titulaire : M. Gérard ZRIBI.
Suppléante : Mme Laura PLAZANET.
Association nationale des équipes contribuant à l'action médico-sociale précoce (ANECAMSP) :
Titulaire : Mme Geneviève LAURENT.
Suppléant : M. Marcel HARTMANN.
Accompagner la réalisation des projets d'études de jeunes élèves et étudiants handicapés (ARPEJEH) :
Titulaire : Mme Servane CHAUVEL.
Suppléant : M. Nicolas RIVIER.
Comité d'étude, d'éducation et de soins auprès des personnes polyhandicapées (CESAP) :
Titulaire : M. André SCHILTE.
Suppléante : Mme Lydia THOUVENEL.
Club handicaps & compétences :
Titulaire : M. François SEILLE.
Suppléante : Mme Christine HAMOT.
Clubhouse France :
Titulaire : Mme Elsa ABECASSIS.
Suppléant : M. Olivier LEFÈVRE.
CNAPE La fédération des associations de protection de l'enfant :
Titulaire : M. Bruno PIASTRELLI.
Suppléante : Mme Pauline de la LOSA.
Coactis Santé :
Titulaire : Mme Odile ANTOINE.
Suppléante : Mme Pauline D'ORGEVAL.
Croix-Rouge française :
Titulaire : Mme Cyrielle CLAVERIE.
Suppléant : M. Thomas BOUQUET.
Etablissement public national Antoine Koenigswarter (EPNAK) :
Titulaire : M. Emmanuel RONOT.
Suppléante : Mme Gisèle LECLAIRE.
Etre :
Titulaire : M. Emmanuel PERRET.
Suppléante : Mme Dominique BELLION.
Fédération des associations, groupements et établissements pour la réadaptation des personnes en situation de handicap (FAGERH) :
Titulaire : M. Bernard LAFERRIÈRE.
Suppléante : Mme Isabelle MÉRIAN.
Fédération nationale Grandir ensemble :
Titulaire : M. Laurent THOMAS.
Suppléante : Mme Haude LE BIGOT.
Fédération des établissements hospitaliers et d'aide à la personne (FEHAP) :
Titulaire : Mme Brigitte FOCH.
Suppléant : M. Laurent PERAZZO.
Fédération des particuliers employeurs de France (FEPEM) :
Titulaire : Mme Marie-Béatrice LEVAUX.
Suppléant : M. Pierre-Olivier RUCHENSTAIN.
Fédération générale des PEP (FGPEP) :
Titulaire : Mme Dominique GILLOT.
Suppléant : M. Dominique QUINCHON.
Fédération hospitalière de France (FHF) :
Titulaire : Mme Pascale MOCAER.
Suppléant : M. Hervé PIGALE.
Fédération nationale pour l'insertion des personnes sourdes et des personnes aveugles en France (FISAF) :
Titulaire : M. Christian BRELINSKI.
Suppléante : Mme Florence DELORIÈRE.
Fondation OVE :
Titulaire : M. Christian BERTHUY.
Suppléante : Mme Ségolène FRANDON.
Groupement des associations partenaires d'action sociale (GAPAS) :
Titulaire : M. François BERNARD.
Suppléante : Mme Géraldine LOMBART.
Groupe national des établissements et services publics sociaux et médico-sociaux (GEPSo) :
Titulaire : M. Daniel COGUIC.
Suppléante : Mme Melynda AUBRUN-DORBEAUX.
Groupe de réflexion et réseau pour l'accueil temporaire des personnes en situation de handicap (GRATH) :
Titulaire : M. Carl LAZZARELLI.
Suppléante : Mme Isabelle MAUMY.
Groupe SOS :
Titulaire : Mme Alexandra BARRIER.
Suppléant : M. Médéric ESCORBIAC.
Groupe UGECAM :
Titulaire : Mme Anne MOUTEL-SEILLER.
Suppléant : M. Ghislain PROMONET.
Handivillage 33 :
Titulaire : Mme Odette TRUPIN.
Suppléant : M. Alain LÉVÈNÈS.
LADAPT :
Titulaire : M. Michel REBILLON.
Suppléante : Mme Amélie MAYOT.
NEXEM :
Titulaire : M. Patrick ENOT.
Suppléante : Mme Laurence MAZÉ.
Santé Mentale France :
Titulaire : M. Thierry BRUN.
Suppléante : Mme Valérie PAPARELLE.
Union nationale de l'aide, des soins et des services aux domiciles (UNA) :
Titulaire : Mme Christiane MARTEL.
Suppléant : M. Vincent VINCENTELLI.
Union nationale des entreprises adaptées (UNEA) :
Titulaire : M. Sébastien CITERNE.
Suppléante : Mme Pamela BRYANT.
Union nationale interfédérale des œuvres et organismes privés sanitaires et sociaux (UNIOPSS) :
Titulaire : M. Etienne PETITMENGIN.
Suppléante : Mme Gwénaëlle SEBILO.
Vivre :
Titulaire : M Jean-François HAVRENG.
Suppléante : Mme Danièle JUNQUA.
3° Collège des représentants des organisations syndicales de salariés interprofessionnelles représentatives au plan national et des organisations professionnelles nationales d'employeurs composé au plus de 11 membres
Confédération française démocratique du travail (CFDT) :
Titulaire : Mme Christine BIZEUL.
Suppléant : M. Olivier LECLERCQ.
Confédération française de l'encadrement CGC (CFE-CGC) :
Titulaire : Mme Mireille DISPOT.
Suppléant : M. Christophe ROTH.
Confédération française des travailleurs chrétiens (CFTC) :
Titulaire : M. François COSKER.
Suppléante : Mme Marylène VERSTRAETE.
Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) :
Titulaire : Mme Alexia AMAUDRY.
Suppléant : M. Philippe CHOGNARD.
Confédération générale du travail (CGT) :
Titulaire : Mme Maud DENIS.
Suppléant : M. Bruno PICARD.
Confédération générale du travail Force ouvrière (FO) :
Titulaire : Mme Anne BALTAZAR.
Suppléant : M. Yvonnick LAVOLÉE.
Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA) :
Titulaire : Mme Anne MERCIER-BEULIN.
Fédération syndicale unitaire (FSU) :
Titulaire : Mme Agnès DUGUET.
Suppléant : M. Jérôme MOTARD.
Union nationale des syndicats autonomes (UNSA) :
Titulaire : Mme Martine VIGNAU.
Suppléant : M. Gilles LAURENT.
Union des entreprises de proximité (U2P) :
Titulaire : M. Michel DUMON.
Suppléante : Mme Rachel BOUVARD.
4° Collège des organismes institutionnels et des établissements publics intervenant dans le champ du handicap et agissant dans les domaines de la prévention, l'emploi, la protection sociale et la recherche composé au plus de 25 membres
Fédération des centres régionaux d'études d'actions et d'informations en faveur des personnes en situation de vulnérabilité (ANCREAI) :
Titulaire : M. Alain LAURENT.
Suppléante : Mme Françoise JAN.
Association pour la gestion du fonds pour l'insertion professionnelle des personnes handicapées (AGEFIPH) :
Titulaire : M. Didier EYSSARTIER.
Suppléante : Mme Véronique BUSTREEL.
AUDIENS :
Titulaire : M. Pascal PARSAT.
Suppléante : Mme Isabelle THIRION.
Caisse centrale de mutualité sociale agricole (CCMSA) :
Titulaire : M. Eric VAN DAELE.
Suppléante : Mme Maryse AÏO.
Caisse nationale d'assurance maladie (CNAM) :
Titulaire : Mme Garménick LEBLANC.
Suppléante : Mme Annie FOUARD.
Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA) :
Titulaire : M. Rémi MANGIN.
Caisse nationale des allocations familiales (CNAF) :
Titulaire : Mme Isabelle GOUDIER.
Suppléant : M. Jean-Pierre MAZEL.
Centre national de la recherche scientifique (CNRS) :
Titulaire : M. Hugues de la GIRAUDIERE.
Suppléante : Mme Corinne QUILGARS.
Comète France :
Titulaire : M. Michel BUSNEL.
Suppléante : Mme Anna PICARD.
Conférence des directeurs des écoles françaises d'ingénieurs (CDEFI) :
Titulaire : M. Jean-Marie RONCIN.
Suppléante : Mme Isabelle SCHÖNINGER.
Conférence des grandes écoles (CGE) :
Titulaire : M. Xavier QUERNIN.
Suppléante : Mme Elise GREVET.
Conseil national handicap (CNH) :
Titulaire : M. Paul JOLY.
Suppléante : Mme Armelle PRIVAT.
Conférence des présidents d'université (CPU) :
Titulaire : Mme Christine GANGLOFF-ZIEGLER.
Conseil national handicap et emploi des organismes de placement spécialisés (CHEOPS) :
Titulaire : Mme Valérie LANNEAU.
Suppléant : M. Camille MONIN.
Conseil de la protection sociale des travailleurs indépendants (CPSTI) :
Titulaire : M. Frank DELVAU.
Suppléante : Mme Elisabeth LEMAURE.
Ecole des hautes études en santé publique (EHESP) :
Titulaire : Mme Marie CUENOT.
Suppléant : M. Hervé HEINRY.
Ecole doctorale de l'Institut polytechnique de Paris :
Titulaire : M. Clément LE LUDEC.
Fédération nationale de la Mutualité française (FNMF) :
Titulaire : M. Kévin ROBERT.
Suppléante : Mme Emilie DUCHANGE.
Fonds pour l'insertion des personnes handicapées dans la fonction publique (FIPHFP) :
Titulaire : M. Marc DESJARDINS.
Suppléante : Mme Caroline MAUVIGNIER.
Institut de recherches interdisciplinaires en sciences sociales (IRISSO) :
Titulaire : M. Pierre-Yves BAUDOT.
Suppléante : Mme Dominique MÉDA.
Institut national supérieur de formation et de recherche pour l'éducation des jeunes handicapés et les enseignements adaptés (INSHEA) :
Titulaire : M. Jacques MIKULOVIC.
Suppléante : Mme Murielle MAUGUIN.
Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) :
Titulaire : M. Charles PERSOZ.
Suppléante : Mme Sylvie LEDOUX.
Pôle emploi :
Titulaire : M. Jean BASSÈRES.
Suppléante : Mme Nicole BRÉJOU.
Union nationale des centres communaux d'action sociale (UNCCAS) :
Titulaire : Mme Joëlle MARTINAUX.
5° Collège des personnes qualifiées composé de 24 membres
M. Jérémy ARNAULT.
M. Philippe AUBERT.
M. Gilles BARBIER.
M. Guillaume BENHAMOU.
Mme Annick BOUQUET.
M. Ralph BUCHTER.
Mme Bernadette CELESTE.
M. Matthieu CHATELIN.
Mme Marie-Pierre De BANTEL.
Mme Charlotte DECOOL.
M. Julien DELAMORTE.
M. Matthew DWYER.
Mme Dina FOURNERET.
Mme Karine GROS.
M. Marcel JAEGER.
Mme Soraya KOMPANY.
M. Gérard LEFRANC.
M. Vincent LOCHMANN.
M. Fernando PINTO DA SILVA.
M. Nicolas PLANTY.
Mme Carine RADIAN.
Mme Alice RATIER.
M. Jean-François RAVAUD.
M. Jean-Luc SIMON.
6° Collège des représentants des territoires, des organismes consultatifs nationaux et des assemblées parlementaires composé de 6 membres
Assemblée des départements de France (ADF) :
Titulaire : Mme Marie-Pierre MARTIN.
Suppléant : M. Christophe SERRE.
Association des maires de France (AMF) :
Titulaire : Mme Virginie LANLO.
Association des régions de France (ARF) :
Titulaire : M. Pierre DENIZIOT.
Suppléante : Mme Fanny PIDOUX.
Assemblée nationale :
Mme Caroline JANVIER.
Sénat :
M. Philippe MOUILLER.
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legifrance.gouv |
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Decret n° 2020-515 du 4 mai 2020 relatif au comite departemental de suivi de l'ecole inclusive | Legifrance |
06/05/2020 |
«Objet : création du comité départemental de suivi de l'école inclusive. Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication. Notice : le décret transforme le groupe technique de suivi de la scolarisation des enfants, des adolescents ou des jeunes adultes handicapés en un comité départemental de suivi de l'école inclusive.
Il précise la composition de ce comité ainsi que ses missions. Références : le décret et les dispositions du code de l'action sociale et des familles qu'il modifie, dans leur rédaction issue de cette modification, peuvent être consultés sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr). Le Premier ministre, Sur le rapport du ministre de l'éducation nationale et de la jeunesse et de la secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargée des personnes handicapées, Vu le code de l'action sociale et des familles ; Vu le code de l'éducation, notamment son article L. 351-1 ; Vu le code de la santé publique, notamment son article L. 1432-1 ; Vu l'avis du Conseil national d'évaluation des normes du 16 janvier 2020 ; Vu l'avis du Conseil national consultatif des personnes handicapées du 18 janvier 2020, Décrète :.»
[...]
«
Article 1
Le code de l'action sociale et des familles est modifié comme suit :
1° L'article D. 312-10-13 est remplacé par les dispositions suivantes :
« Art. D. 312-10-13. - Dans chaque département, la collectivité de Corse et les collectivités territoriales de Guyane et Martinique, le directeur général de l'agence régionale de santé et le recteur de l'académie organisent un comité départemental de suivi de l'école inclusive chargé du suivi, de la coordination et de l'amélioration des parcours de scolarisation et de formation des enfants, des adolescents ou des jeunes adultes en situation de handicap, dans le respect des principes de l'école inclusive et de la coopération mentionnée au VII de l'article L. 312-1. » ;
2° Après l'article D. 312-10-13, sont insérés trois articles ainsi rédigés :
« Art. D. 312-10-13-1. - Le comité départemental de suivi de l'école inclusive est composé :
« a) Du directeur général de l'agence régionale de santé ou de son représentant ;
« b) Du directeur académique des services de l'éducation nationale ou de son représentant ;
« c) De l'autorité académique en charge de l'enseignement agricole ou de son représentant ;
« d) Du directeur de la maison départementale des personnes handicapées ou de son représentant ;
« e) Du président du conseil départemental ou de son représentant ;
« f) Du président du conseil régional ou de son représentant ;
« g) D'un représentant des communes et établissements publics de coopération intercommunale siégeant à la formation spécialisée pour les questions relatives aux personnes handicapées du conseil départemental de la citoyenneté et de l'autonomie ;
« h) D'un représentant des associations de parents d'enfants en situation de handicap désigné parmi les membres du premier collège de la formation spécialisée pour les questions relatives aux personnes handicapées du conseil départemental de la citoyenneté et de l'autonomie mentionné au 1° de l'article D. 149-4 ;
« i) D'un représentant des organismes gestionnaires désigné parmi les organismes membres du troisième collège de la formation spécialisée pour les questions relatives aux personnes handicapées du conseil départemental de la citoyenneté et de l'autonomie mentionné au 3° de l'article D. 149-4.
« Le comité départemental de suivi de l'école inclusive est présidé conjointement par le directeur général de l'agence régionale de santé et le directeur académique des services de l'éducation nationale.
« Les présidents peuvent convier toute autre personne ou organisation concernée par le parcours de scolarisation et de formation des enfants, des adolescents ou des jeunes adultes en situation de handicap.
« Le directeur général de l'agence régionale de santé et le recteur de l'académie peuvent décider de définir le périmètre et la composition du comité à une échelle interdépartementale.
« Art. D. 312-10-13-2. - Le comité départemental de suivi de l'école inclusive établit un état des lieux des moyens consacrés à l'école inclusive et à l'accompagnement médico-social des élèves en situation de handicap par les différentes autorités compétentes, ainsi qu'un bilan annuel des résultats qualitatifs et quantitatifs au regard des objectifs et des moyens.
« A partir des données collectées et de l'état des lieux mentionné précédemment, il examine, en vue de leur coordination et d'un maillage territorial cohérent, les programmations et les déploiements nécessaires pour l'accueil, la formation et l'accompagnement des élèves en situation de handicap.
« Le comité départemental de suivi de l'école inclusive encourage le développement des actions de formation croisée en matière d'école inclusive et de coopération. Il en dresse le bilan.
« Art. D. 312-10-13-3. - Un rapport des travaux menés par le comité départemental de suivi de l'école inclusive est adressé annuellement au conseil départemental de l'éducation nationale, à la commission de coordination des politiques publiques dans le domaine des prises en charge et des accompagnements médico-sociaux et à la formation spécialisée pour les questions relatives aux personnes handicapées du conseil départemental de la citoyenneté et de l'autonomie. Ce rapport est annexé au rapport biennal du conseil départemental de la citoyenneté et de l'autonomie sur la mise en œuvre des politiques de l'autonomie dans le département mentionné à l'article L. 149-1. »
Article 2
A l'annexe 2-12 de la partie réglementaire du même code, au paragraphe « pilotage local » de la section 1 « Principes, prérequis et dispositions relatives aux conditions partenariales du fonctionnement en dispositif intégré ITEP », les mots : « groupe technique départemental » sont remplacés par les mots : « comité départemental de suivi de l'école inclusive ».
Article 3
Le ministre de l'éducation nationale et de la jeunesse et la secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargée des personnes handicapées, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 4 mai 2020.
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legifrance.gouv |
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How Learning an Instrument Helps People With Disabilities |
30/04/2020 |
«I used to beg my mother for piano lessons. Many of my sisters danced and I wanted to understand the feeling of grace that I assumed they felt on stage. I never did feel the grace of dancing on stage, though not from a lack of recitals.
I had difficulty remembering dance routines and I did not like sitting still through practice. I wanted to dance after all. It seemed I, a young child with ADHD, would never feel graceful.
Or so I had thought. Learning a musical instrument opened doors I had never imagined; it calmed me and gave me the encouragement I needed to pursue new opportunities.»
[...]
«Music offers a form of solace we can all appreciate. However, the calamity of music is not always appealing. But for neurodivergent people, the chaos of using both hands, reading sheet upon sheet of a different language and skipping from one end of the instrument to the other can be the best part of music.
Playing an instrument is a stimulating, hands-on activity. It requires a person to listen and be patient. Those with disabilities, especially those with ADHD and autism, often have trouble sitting still and listening to directions. But instruments offer physical stimulation and the reward of learning a song. This can appeal to a desire for gratification for a person with disabilities.
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studybreaks |
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COVID-19 : la CNSA lance une enquete sur l'organisation de la continuite des accompagnements dans les ESMS pour personnes handicapees | CNSA |
30/04/2020 |
«Alors que se prépare le déconfinement, les personnes handicapées et leurs aidants sont directement concernés par la crise sanitaire et le confinement. La CNSA lance aujourd'hui une enquête auprès des établissements et services médico-sociaux (ESMS) pour analyser l...˜organisation de la continuité de l'accompagnement et les coopérations mises en place dans les territoires.
Les établissements et services médico-sociaux ont jusqu'au mercredi 6 mai pour répondre à l'enquête. Celle-ci a notamment pour objectif de mieux comprendre comment les ESMS ont adapté leurs modalités d'accompagnement et se sont organisés avec les autres acteurs du territoire pour poursuivre celui-ci dans les meilleures conditions.
Cette enquête, dont le nombre de questions est volontairement limité, est structurée en quatre parties : la première porte sur l'identification des établissements et services et sur leurs principales caractéristiques (région, département, autorisation, public accompagné...) ; la seconde porte sur l'adaptation des modalités d'accompagnement pendant la crise ; la troisième porte sur l'évolution de l'activité et sur les ressources humaines ; la dernière concerne l'accès à l'information, les liens avec les autorités territoriales et la mise en place de coopérations dans les territoires pour apporter la réponse la plus complète possible aux besoins des personnes dans ce contexte.
L'enquête a été élaborée par la CNSA et partagée avec les agences régionales de santé (ARS), l'Association nationale des directeurs d'action sociale et de santé des départements et métropoles (ANDASS) et les principales fédérations du secteur du handicap pour coordonner et limiter les sollicitations.
Lien pour accéder à l'enquête en ligne Vous pouvez prendre connaissance des questions et des aides pour y répondre en ligne en téléchargeant le document joint. En cas de difficultés pour répondre à l'enquête, vous pouvez joindre l'équipe de la CNSA en écrivant à l'adresse suivante : questionnaire-esms-covid@cnsa.fr»...
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cnsa |
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Hair trace element concentrations in autism spectrum disorder (ASD) and attention deficit/hyperactivity disorder (ADHD) - ScienceDirect |
30/04/2020 |
«Abstract Background The existing data demonstrate that alteration of trace element and mineral status in children with neurodevelopmental disorders including ASD and ADHD. However, comparative analysis of the specific patterns of trace element and mineral metabolism in children with ASD and ADHD was not performed.
Therefore, the primary objective of the present study was to assess hair trace element and mineral levels in boys with ADHD, ASD, as well as ADHD with ASD. Methods Boys with ADHD (n=52), ASD (n=53), both ADHD and ASD (n=52), as well as neurotypical controls (n=52) were examined.
Hair analysis was performed using inductively-coupled plasma mass-spectrometry. Results The obtained data demonstrate that hair Co, Mg, Mn, and V levels were significantly reduced in children with ADHD and ASD, and especially in boys with ADHD+ASD. Hair Zn was found to be reduced by 20% (p=0.009) only in children with ADHD+ASD as compared to healthy controls.
Factor analysis demonstrated that ASD was associated with significant alteration of hair Co, Fe, Mg, Mn, and V levels, whereas impaired hair Mg, Mn, and Zn content was also significantly associated with ADHD. In regression models hair Zn and Mg were negatively associated with severity of neurodevelopmental disorders.
The revealed similarity of trace element and mineral disturbances in ASD and ADHD may be indicative of certain similar pathogenetic features. Conclusion The obtained data support the hypothesis that trace elements and minerals, namely Mg, Mn, and Zn, may play a significant role in development of both ADHD and ASD. Improvement of Mg, Mn, and Zn status in children with ASD and ADHD may be considered as a nutritional strategy for improvement of neurodevelopmental disturbances, although clinical trials and experimental studies are highly required to support this hypothesis.»...
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sciencedirect |
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Haute Autorite de Sante - Proposition de classification fonctionnelle de solutions numeriques selon leur finalite d'usage |
22/04/2020 |
«Clôture de la consultation le 30 juin 2020 Consultation publique - Mis en ligne le 22 avr. 2020 Contexte Les solutions « numériques » s'implantent progressivement dans le système de santé. Et la crise sanitaire actuelle accélère encore cette implantation.
Elles renvoient à un champ vaste et diversifié et leurs fonctionnalités sont donc extrêmement diverses et complémentaires. Certaines sont destinées à être utilisées par des usagers/patients, d'autres sont réservées aux professionnels de santé ou d'autres enfin aux structures de santé ou à l'organisation du système de santé. Certaines sont des dispositifs médicaux, d'autres non.
Certaines sont évaluées, certifiées, normées, d'autres non, etc...¦.»
[...]
«Objet de la consultation publique
Compte tenu de cette extrême diversité des solutions numériques existantes et à venir, et pour faciliter les échanges entre les divers acteurs, la HAS propose une grille de classification des solutions numériques selon :
leur finalité d’usage,
la capacité de la solution numérique à prendre en compte les paramètres de l’usager/du patient (conduisant à une personnalisation de la réponse)
et l’autonomie fonctionnelle de la solution numérique.
Quatre niveaux croissants (de A à D) en personnalisation patient/usager et autonomie de la solution numérique sont proposés.
Ce projet de classification des solutions numériques en santé pourra également contribuer à la réflexion sur ce qui doit être, ou ne pas être, évalué. En effet, l’évaluation systématique de toutes les solutions numériques n’est ni envisageable, ni pertinente. La HAS proposait, dans son rapport d’analyse prospective de 2019, de construire une matrice d’évaluation adaptée au numérique construite par fonctionnalité. La Classification fonctionnelle, qui n’est pas une telle matrice, répond toutefois à un premier élément de clarification.
La HAS souhaite recueillir votre avis et vos suggestions éventuelles sur cette proposition de grille de classification fonctionnelle des solutions numériques.
Objectifs de la consultation
Au travers de cette consultation publique, la HAS souhaite :
Recueillir l’expression des avis sur le projet de classification ;
Apprécier la lisibilité et l’exhaustivité des catégories proposées.
À qui s’adresse la consultation publique ?
Tous les acteurs impliqués dans le développement ou l’utilisation de solutions numériques sont invités à donner leur avis : associations agréées ou non de patients et d’usagers du système de santé, collèges nationaux professionnels et sociétés savantes, institutions et agences publiques, syndicats, industriels, développeurs, chercheurs …
Jusqu’à quelle date pouvez-vous participer ?
La consultation publique est prévue entre 22 avril et le 30 juin 2020. La période de consultation pourra être allongée selon l’évolution du contexte actuel.
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has-sante |
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Roche culls key phase 3 drug trials, including a cancer med and an autism 'breakthrough' therapy |
22/04/2020 |
«As the first tranche of quarterly results starts coming through for Big Pharma, questions are naturally arising about the new threats from COVID-19, but Swiss major Roche is also sticking to the old playbook, quietly dumping trials of pipeline drugs.
In its financials this morning, Roche saw strong growth of 7% at constant exchange rates and kept its guidance for the year, despite what will be significant headwinds in 2020. But it also had a big first-quarter clear-out, something of a tradition for pharmas, which includes two major late-stage experimental efforts, several meds in midstage testing and also a failed phase 2.»
[...]
«The first of the phase 3 drugs to be “removed,” according to its latest update, is its FDA breakthrough-tagged autism hopeful balovaptan (RG7314).
The drug aimed to treat autism by modulating the activity of vasopressin, a hormone that first emerged as a possible drug target in the disorder a few years ago. It blocks the activity of the V1a vasopressin receptor subtype and was given the FDA label back in 2018.
Vasopressin is a neuropeptide that helps neurons in the brain communicate with each other and seems to play a role in social bonding. In the case of autism, higher levels in the blood correlate with better social functioning in individuals.
A similar approach has been tried with oxytocin, another neuropeptide that was shown to enhance social functioning in a small study in children with autism reported in 2017 but has also failed other clinical trials. As with vasopressin, higher levels of oxytocin seem to be linked to higher functioning, so the team is selecting children with lower levels of the neuropeptide in additional studies.
Roche’s approach was rather different, speculating that blocking the activity of the hormone at one receptor will help improve social functioning and avoid potential side effects of increasing vasopressin across the board, which some scientists believe could lead to increased aggression.
In a study in adult males with autism a few years back, balovaptan had showed a trend toward activity on social functioning scores but failed to reach statistical significance, though it was able to achieve a significant improvement on an adaptive behavior rating scale at higher doses.
Roche gave few details on the fate of the drug, except to say that a study is adults with autism was stopped in the first quarter “after a pre-planned futility analysis.”
The pharma industry has had a tough time trying to develop an effective treatment for autism, with a string of product failures in recent years; Novartis, Roche and Seaside Therapeutics are among those with defunct programs.
Roche has also “removed” idasanutlin (RG7388), an investigational MDM2 inhibitor, which was being tested for relapsed or refractory acute myeloid leukemia in phase 3. In its slides from the company’s financials, it marked a big red "X" next to the highly expected results from Mirros, a 440-patient trial of idasanutlin with chemo in relapsed/refractory patients.
According to a recent analysis from EvaluateVantage, “key to success could be idasanutlin's use in combination with Venclexta.” As of March, the trial was “Active, not recruiting,” according to ClinicalTrials.gov.
A phase 2 test of the med for a rare form of blood cancer called polycythemia vera was also cut.
Further culled was a test for nemolizumab, a first-in-class investigational monoclonal antibody that blocks signaling of IL-31, which was being tested for pruritus (itching) in dialysis patients. It is a Galderma drug (and originally penned with Roche buyout Chugai) and is also being tested in atopic dermatitis.
Roche added that a phase 2 trial of its Prothena-partnered Parkinson’s hopeful prasinezumab, an anti-αSynuclein, “did not meet its primary objective, but shows signals of efficacy.” Roche is now “evaluating the data to determine next steps,” it said; part two of the trial is still ongoing.
The pharma also removed phase 2 drug basmisanil, a highly selective inverse agonist/negative allosteric modulator of α₅ subunit-containing GABAA receptors, which was working on the treatment of cognitive impairment associated with Down syndrome.
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fiercebiotech |
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Handicap : une nouvelle vie a inventer en confinement |
18/04/2020 |
«Au foyer l'Odyssée, 28 adultes handicapés vivent en confinement depuis début mars. Le personnel se dévoue pour bloquer le virus et apaiser les angoisses. Comment se déroule le confinement des adultes en situation de handicap qui vivent dans le foyer l'Odyssée ? Emmanuelle Raja, directrice du site des PEP86 à Montmorillon : « Bien, et nous en sommes agréablement surpris.
Nous avions des craintes. Nous pensions avoir des réactions plus difficiles, de l'angoisse. L'équipe fait un travail remarquable. Le plus dur pour les résidents est de ne pas voir les familles.
Mais ils savent que nous non plus on ne peut pas voir nos proches»
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«Nous avons installé des tablettes avec WhatsApp et Skype, pour communiquer, ça se passe bien. On a même découvert que deux de nos adultes avaient appris à écrire et qu’ils savaient envoyer des messages.
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lanouvellerepublique |
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How to define verbal ability in autistic children | Spectrum | Autism Research News |
14/04/2020 |
«Many children with autism have difficulties with language, such as confusing pronouns or repeating words and sounds. Even those who know as many words as their typical peers often have challenges with intonation and prosody.
In his research, Stephen Camarata, professor of hearing and speech sciences at Vanderbilt University in Nashville, Tennessee, has long focused on therapies to improve speech skills in autistic children.
But when he turned his attention to the 25 percent or more of autistic children who speak rarely, if at all, he says he was surprised to discover a lack of clear guidance on the treatment or characterization of these children.»
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«Earlier this year, Camarata and his colleagues reported that only 31 studies published from 1960 to 2018 looked at methods to improve speech in minimally verbal children with autism1. The methods used to measure skills varied from one study to the next: Some used parent reports, whereas others relied on a range of behavioral and language assessments. Definitions of ‘minimally verbal’ also varied widely, with one study specifying fewer than 20 intelligible words and another fewer than 5 spontaneous words per day.
Earlier this month, Camarata and his colleagues reported that studies of education programs for parents of minimally verbal autistic children are also sparse, and reflect a variety of educational methods rather than a standardized approach2.
Camarata spoke to Spectrum about the impact these inconsistent methods and definitions have on research and treatment of autism.
Spectrum: Why did you investigate how researchers define verbal ability in autistic children?
Stephen Camarata: Even since the very beginning, in the early 1940s, one of the main subgroups of autism has been ‘nonverbal/low verbal.’ There have been a couple of position papers from the [nonprofit advocacy group] National Alliance for Autism Research, and at least for the past 10 or 15 years they have highlighted minimally verbal children with autism as a high priority.
Based on that background, we expected there would be pretty extensive literature and protocols to identify these children, how you measure their language production, how you measure progress, things like that. But that was not the case.
S: What was the focus of your review?
SC: We narrowed the topic to: ‘I have a child with autism that I want to treat and improve their speaking ability and their pronunciation. How do I do that? What does the literature say?’ Nonverbal would be defined as people with no words, minimally verbal would be from 1 to 50 words, and low verbal would be children who are significantly below normative levels on speech and language tests but have more than 50 words.
There are only 31 articles published in the past 50 years that give us information, which is a shock. And they all used different measures and definitions.
S: Do those differences make it difficult to know what interventions work best?
SC: Exactly. You walk away from this with a sense that you don’t have that many solid recommendations on what to do. We’re not quite at square one, but we’re really at an initial phase.
Let’s say a colleague in England has a patient who’s on the autism spectrum. They want to know if our findings apply to that patient or that family, and they only would know that if we all had similar measures.
S: What would you suggest as a way forward?
SC: The field of speech pathology has a pretty well-worked-out system for measuring different levels of speech, and so adapting those to the unique problems of autism would be a good way forward. At this point we don’t know exactly whether one speech measure or another is better, because that work hasn’t been done yet. But at the very least we can say, “Hey, these basic descriptors have to be in the studies and in the cases.”
My own goal is to do some speech-intervention studies for this population. I really see it as very important to families. One of the main things people ask us clinicians is, “Is my child going to talk? How can I help them talk?” I want to be able to answer that based on the literature. Children with autism tend to talk less anyway, even when they can speak. When they do talk and you can’t understand them, you can think of it as nature’s double whammy: The process of supporting communication becomes even more difficult.
S: Can therapies improve speech skills in autistic children?
SC: We can always teach everybody; I want to give a message of hope. No matter where a child falls on the spectrum, and no matter how verbal they are or not, we can always support development and learning.
When there’s a knowledge void, things like facilitated communication and rapid prompting fill that void. The data is really clear that those treatments aren’t evidence based and can actually do harm. When we don’t have resources available, the knowledge void gets filled with information that’s not evidence based and can lead to non-evidence-based treatments. That’s something I worry about a lot.
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spectrumnews |
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Video - Autisme non-oralisant, colloque 8 avril 2020 : la question institutionnelle - YouTube |
13/04/2020 |
«Mélodie Bourger, Secrétaire générale de CLE Autistes présente son expérience institutionnelle et décrit la construction de ce qu'on appelle troubles du comportement, déficience intellectuelle et la production d'une trajectoire développementale différente, à profil égal.
Elle décrit également le role des facteurs psychosociaux et les parcours sociaux qui font du handicap dit "sévère" une construction de l'institution. Mélodie Bourger souligne également que c'est parce qu'on ne considère pas ces résidents comme des personnes, que leur expression s'en trouve affectée.
L'institution est un lieu d'abus, de maltraitances et de restriction des libertés.»...
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youtube |
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Using MRI to Diagnose Autism Spectrum Disorder |
07/04/2020 |
«Magnetic Resonance Imaging (MRI) has been used to detect instances of neurological disorders in patients across hundreds of studies since the first images were produced by the method in the early 1970s.
Many patients and medical scientists have benefited from its use since these early days of MRI, with ever-more detailed images being produced as the method has been refined, leading to increased understanding of numerous conditions that affect the brain.
Individuals on the autism spectrum have particularly benefited from the early and detailed detection and analysis that MRI has provided since its invention, and the information gleaned by clinical studies.
Medical use of the machinery and technique has provided invaluable insight into the processes that lead to these conditions.»
[...]
«Summary
In conclusion, the study carried out in 2017 provides positive proof of concept that MRI scans can potentially aid earlier diagnosis of infants with ASD.
However, studies including more data would be needed to see if these physiological changes are present in all children with autistic spectrum disorder. Also, a high degree of accuracy in tests is necessary to prevent under- or over-diagnosis of ASD in children.
More studies in this area are ongoing currently and the use of MRI scans to provide a diagnostic tool for early detection of ASD before the onset of symptoms could prove invaluable for clinical science and the proper care and treatment of autistic people throughout their lives.
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news-medical |
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The possible use of precision tinted lenses to improve social cognition in children with autism spectrum disorders - ScienceDirect |
06/04/2020 |
«Abstract A masked randomised control design compared the effectiveness of precision ophthalmic tints in improving the recognition of emotion in Autism Spectrum Disorders (ASD). Fourteen children aged 10-14 with ASD and 14 control children matched on verbal and non-verbal IQ, wore spectacles with coloured lenses to complete two tasks that involved the observation of coloured video sequences in which social interactions were depicted.
On one occasion (randomly first or second) the coloured lenses provided light of a colour that the child had one month previously selected as optimal for the clarity of text.
On the other occasion the lenses differed in CIE UCS chromaticity by 0.077. Performance in the ASD group was superior in both social interaction tasks with the lenses that provided the optimal colour of light.»...
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sciencedirect |
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New treatment for childhood anxiety works by changing parent behavior |
04/04/2020 |
«A study in the Journal of the American Academy of Child and Adolescent Psychiatry (JAACAP), published by Elsevier, reports that an entirely parent-based treatment, SPACE (Supportive Parenting for Anxious Childhood Emotions), is as efficacious as individual cognitive-behavioral therapy (CBT) for the treatment of childhood and adolescent anxiety disorders.
Anxiety disorders, including social phobia, separation anxiety, generalized anxiety, are the most common mental health problems in childhood, causing significant distress to the child and family.
With up to one-third of youth experiencing a clinically impairing anxiety disorder by the time they reach adulthood, such disorders lead to impairment in personal, social and academic functioning.
When not treated successfully, anxiety disorders in childhood can cause long term impairment and an increased risk of additional physical and mental health problems.»
[...]
«Anxious children look to their parents for help in coping with their anxiety and avoiding the things that make them feel afraid. Parents of anxious children typically become entangled in their child's symptoms through a process known as family accommodation. For example, a child who is chronically worried may rely on a parent for constant reassurance, or a child with separation anxiety may require a parent to stay at home with them or sleep next to them at night.
For children with social phobia, parents often speak in place of the child or avoid having guests over to the home. Research indicates that family accommodation can contribute to maintaining the child's anxiety symptoms over time.
For both treatments, approximately 60 percent of children no longer met diagnostic criteria for any anxiety disorder following treatment, based on assessments conducted by independent evaluators who were unaware of which treatment children received. An even greater proportion (87.5 percent for SPACE and 75.5 percent for CBT) showed significant improvement in their symptoms. Anxiety symptom questionnaires completed by children and by their parents also showed equivalent improvement for SPACE and CBT. Parents and children rated both treatments as highly satisfactory.
»...
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sciencedaily |
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« Ai-je le droit de sortir plus souvent de chez moi car je suis handicape ? » |
03/04/2020 |
«« En raison de mon handicap, j'ai beaucoup de mal à supporter le confinement. Ai-je le droit de sortir plus qu'une heure et d'aller plus loin que le kilomètre autorisé normalement ? » Le message sur l'assouplissement des conditions de sortie pour certaines personnes handicapées a évolué tout au long du jeudi 2 avril.
Voilà ce qu'il faut retenir pour être en règle. Qui peut bénéficier de l'assouplissement des règles de sortie ? Cet assouplissement vise « toutes les personnes handicapées qui rencontrent une aggravation de leurs troubles du fait du confinement », a clarifié Claire Compagnon, la déléguée interministérielle à l'autisme et aux troubles du neuro-développement lors d'un Facebook live.
Cela concerne donc principalement certaines personnes atteintes de troubles du spectre de l'autisme, de troubles psychiques, de déficiences intellectuelles et de déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité. En clair, une personne ayant un handicap moteur sans troubles associés aggravés par le confinement ne rentre pas dans ce champ.»
[...]
«En quoi consiste cet assouplissement ?
« Les sorties des personnes autistes, soit seules soit accompagnées, en voiture ou non, ne sont pas limitées à 1 heure. Ni contraintes à 1 km du domicile. Ni régulées dans leur fréquence et leur objet », indique le secrétariat d’État chargé des personnes handicapées, dans son communiqué. Vous pouvez donc aller dans la forêt la plus proche. Faire le tour du périphérique en voiture. Ou bien encore arpenter la grande rue du village. Seul ou accompagné par un proche.
Cela vaut-il aussi pour les établissements ?
Oui, un salarié pourra accompagner les résidents ayant un besoin impérieux de sortir, a précisé Sophie Cluzel lors du Facebook live. Un par un.
Faut-il une attestation spéciale ?
Non, contrairement à ce qu’avait indiqué Emmanuel Macron, il n’y pas d’attestation spécialement faite pour les personnes handicapées. Il faut par contre sortir avec l’habituelle attestation de déplacement dérogatoire ou sa version facile à lire ou à comprendre. Cochez la case déplacements brefs, dans la limite d’une heure quotidienne…
Comment justifier de mon handicap ?
Sortez avec :
une notification de droits de la MDPH,
une carte d’invalidité,
une reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé,
ou bien encore d’un certificat médical justifiant le besoin de sortir.
»...
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faire-face |
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VIDEO INA - 1977, des parents desempares face au handicap mental de leur enfant - Archives video et radio |
02/04/2020 |
«Le 2 avril, c'est la journée mondiale de sensibilisation à l'autisme. Ce handicap aux manifestations très variés, pouvant prendre des formes lourdes ou légères, toucherait 1 personne sur 150. En 1977, des parents témoignaient des difficultés d'élever une enfant handicapée mentale, alors même que son handicap n'avait pas été diagnostiqué précisément, ce dernier pouvant être de l'autisme ou tout autre pathologie mentale.»...
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ina |
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Une journee mondiale de l'autisme placee sous le signe de la mobilisation dans le cadre de la crise sanitaire - Secretariat d'Etat aupres du Premier ministre charge des Personnes handicapees |
02/04/2020 |
«Ce collectif de travail que nous avons créé depuis 2 ans avec les personnes, leurs familles, les associations, les services sanitaires et médico-sociaux, les professionnels, les collectivités territoriales nous a permis de formaliser très rapidement en cette période de crise non seulement des orientations pour garantir la continuité de service d'accompagnement et de soins, notamment pour les personnes maintenues à domicile, mais aussi des dispositifs de soutien et d'information spécifiques aux personnes et à leur famille (cf infra). Par ailleurs, suite à l'annonce ce matin du Président de la République, les conditions de sortie pour les personnes en situation de handicap et leur accompagnant sont désormais assouplies pour notamment accompagner les personnes en grande difficulté au regard de leurs troubles du spectre de l'autisme, déficience intellectuelle, déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité, troubles psychiques.
Cet assouplissement doit s'accompagner d'un strict respect des gestes barrière impératifs pour la sécurité sanitaire de tous. ...¢ Pour les personnes en situation de handicap domiciliées chez elles, leurs parents ou leurs proches : leurs sorties, soit seules soit accompagnées, en voiture ou non, ne sont pas limitées à 1H, ni contraintes à 1Km du domicile -pour permettre notamment d'aller dans un lieu de dépaysement-, ni régulées dans leur fréquence et leur objet, dès lors que la personne ou son accompagnant justifie aux forces de l'ordre d'un document attestant de la situation particulière de handicap.
...¢ S'agissant des déplacements d'un tiers professionnel ou non pour la prise en charge de personnes en situation de handicap : ce déplacement entre dans le cadre des déplacements pour assistance à personnes vulnérables, sans condition de durée ou de distance.»
[...]
«Attention : cette mesure ne fait pas l’objet d’une attestation dédiée, mais consigne est donnée aux préfets et aux forces de l’ordre d’une prise en compte spécifique. Il faut donc toujours pour autant remplir et avoir l’attestation habituelle dérogatoire de déplacement.
»...
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handicap.gouv |
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Confinement : les regles vont etre assouplies pour les personnes autistes |
02/04/2020 |
«Emmanuel Macron a adressé un message vidéo aux personnes autistes. Un formulaire d'attestation adapté spécialement pour eux leur permettra de "sortir un peu plus souvent". Emmanuel Macron a annoncé jeudi un aménagement des règles de confinement pour les personnes autistes, en les autorisant à sortir "un peu plus souvent" pour se rendre sur les lieux habituellement fréquentés, "porteurs de repères rassurants". A l'occasion de la Journée mondiale de sensibilisation à l'autisme, le chef de l'Etat a adressé un message vidéo aux personnes souffrant de troubles du spectre autistique et à leurs accompagnants, qui connaissent une période "difficile" avec la crise du coronavirus.»...
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sudouest |
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Journee mondiale de sensibilisation a l'autisme, Temoignages Singapour | |
01/04/2020 |
«La journée mondiale de sensibilisation à l'autisme est célébrée chaque année le 2 avril depuis 2007. Lepetitjournal.com vous propose de découvrir le parcours de trois mamans courage basées à Singapour, Clothilde Mary Voisin, Stéphanie Reverchon et Gaelle Berclaz, à travers leurs témoignages croisés.
Cette journée mondiale est l'occasion de sensibiliser la société à la problématique humaine, quotidienne, rencontrée par ces familles d'enfants autistes. La couleur bleue est celle choisie en ce jour pour contribuer au changement des mentalités et favoriser l'inclusion des personnes atteintes de troubles du spectre autistique dans la société. L'objectif est d'attirer l'attention sur les enjeux liés à la transition vers l'âge adulte des personnes atteintes d'autisme, telles que la participation à la culture, l'autodétermination, la prise de décisions communautaires, l'accès à l'éducation post-secondaire et à l'emploi et la vie de manière indépendante.»
[...]
«Quelles sont vos réussites? De quoi êtes vous particulièrement fière? Quelles sont vos difficultés ?
Clothilde: Je suis fière de mes filles parce que peu importe l’investissement c’est toujours gagnant. Ce sont des bosseuses. Elles évoluent en permanence, le bilan annuel nous le prouve quand le pédopsychiatre nous dit: " Cette année, vous avez encore bien bossé ! ". Ce qui est important sur le handicap lui-même c’est qu’il faut stimuler la flexibilité, tout un art entre les routines et les imprévus. Le parent d’enfant avec autisme est un marathonien armé de brouette de patience ! Mes filles me surprennent tous les jours, car elles repoussent sans cesse leurs limites.
J’ai peur de l’adolescence sans filtre, c’est compliqué, c’est un challenge. J’ai peur qu’on ne soit jamais traitées comme des personnes normales, tant mes filles que moi. Mais d’un autre côté, grâce à elles, j’ai pu rencontrer des gens formidables et avoir des amis à toute épreuve !
Stéphanie: Je suis très fière de la transformation de mon fils, il est beau, gentil, il va vers les autres il est indépendant il est capable de tout et ça c’est ma plus belle réussite ! Je n’ai plus peur pour sa vie d’adulte. Je suis fière de moi, de l’équipe que je forme avec mon fils.
J’ai peur du harcèlement de la mise à l’écart, de l’adolescence. J’ai peur qu’il se rende compte de sa différence, en même temps que les autres s’en rendront compte.
Gaelle: Je suis férocement fière de ma fille, mais ça, malgré un petit coup de main de notre part, c’est elle toute seule qui l’accomplit, donc ça me semble un peu incongru de le voir comme une de mes réussites. Avec les années, ce qui me rend la plus fière, c’est les changements qu’on a fait dans notre dynamique familiale, et l’équilibre qu’on y a trouvé. On a profondément changé notre manière de gérer notre quotidien, et notre chez-nous est devenu un bol de sérénité, et nous a permis d’affronter des tempêtes dont la famille d’avant ne se serait peut-être pas relevée. On a appris à vraiment se parler, communiquer efficacement au sein de la famille et ça a été un atout majeur pour affronter l'adolescence. Elle ne nous fait plus peur, on commence même à se dire que finalement elle se passe somme toute relativement bien.
Je crois que le plus dur, c’est l’isolement de ma fille. Pour moi, introvertie jusqu’au bout des ongles, c’est une libération de l’assumer, et de ne me mettre que des attentes réalistes pour moi. Ma fille par contre, c’est une jeune fille super extravertie, et elle a beaucoup souffert ces dernières années avec les difficultés de santé qu’elle a eu. Elle est un tel patchwork de trucs différents, de co-conditions, qu’elle se sent seule. Peu de gens - que ce soit les autres jeunes ou les adultes sensés l’accompagner - comprennent vraiment sa vie et les compromis qu’elle doit faire au jour le jour. Plus déstabilisant encore pour elle parfois, c’est l’incompréhension à laquelle elle se heurte quand elle explique qu’elle s’aime et s’accepte comme elle est et ne changerait rien. Comment être fière de qui on est, s’aimer, quand beaucoup de gens voient la différence et le handicap, soit comme quelque chose à cacher, soit comme la pire des calamités ?
autisme
@Shutterstock
Comment vivez-vous la situation actuelle du coronavirus?
Stéphanie: Je ne me sens pas particulièrement impactée, tant que nous ne sommes pas confinés.
Clothilde: Le changement dans les routines (qui est LA difficulté dans l’autisme) couplé à l’incertitude et à l’ambiance générale, font que c’est très compliqué. Je suis choquée du discours en France disant que les enfants autistes ne seraient pas prioritaires, s’il y avait un choix à faire dans les soins apportés aux patients atteints du COVID 19. C’est en période de crise que l’on se rend compte si notre société est évoluée ou pas. Ce coronavirus révèle bien des failles de notre société.
Gaelle: Dans notre vie de tous les jours ici, ça n’a pas encore chamboulé trop de choses. Mais ma fille, étant personne à risque de part ses soucis de santé, souffre à devoir rester cloitrée à la maison plus que d’habitude, et de ne plus pouvoir sortir en ville avec ses amies. C’est par contre beaucoup d’anxiété en arrière-plan pour les proches en Europe, et ailleurs. Ma fille et moi-même devons choisir prudemment la quantité d’information à laquelle on s’expose. C’est un coup de projecteur à la fois sur le meilleur et le pire de l’humanité, ça fait beaucoup cogiter. Un des trucs qui est parfois un peu dur à avaler, c’est toutes ces adaptations - comme la continuité éducative à la maison - qui semblent mises en place étonnamment facilement pour le coronavirus, alors que ces aménagements étaient trop complexes à mettre en place, quand ce n’était que la personne handicapée du bureau ou de la classe qui en avait besoin.
Qu’attendez vous de cette journée mondiale de l’autisme?
Stéphanie: Que les gens comprennent ce qu’est l’autisme, qu’ils n’en aient plus peur. Il s’agit d’une différence neurologique. J’aimerais que les gens se rendent compte des petits gestes qu’ils peuvent faire au quotidien en faveur des personnes autistes, ne serait ce que de ne plus utiliser les sèche-mains électriques dans les endroits publics. Il y a plein de gens autour de nous avec des troubles neuro-sensoriels, à qui cela fait mal d’entendre ce bruit de machine soufflante. Utilisez le papier s’il y en a ou laissez sécher à l’air libre vos mains!
Gaelle: L’utopiste en moi espère qu’un jour elle ne sera plus nécessaire, parce qu’on aura réellement suffisamment progressé dans l’acceptation et l’inclusion des différences dans la société. En attendant je dois avouer que c’est une journée très violente pour moi, parce que c’est la foire aux idées reçues, aux stéréotypes qui persistent, et un coup de projecteur sur toutes les injustices, les préjugés et tout le chemin qu’il reste à parcourir, en particulier dans le monde francophone… J’ai tendance à me couper du monde le temps qu’elle passe.
Clothilde: On entend souvent dire que les enfants autistes sont des « Rain Man », avec de nombreux exemples de génies bizarres : Einstein, Graham Bell, Bill Gates… Non, les autistes ne sont pas débiles, mais ne sont pas tous des génies non plus. Je voudrais que les mentalités évoluent.
Et pour finir ! Que l’école du XXIeme siècle puisse passer dans un système d’inclusion et en finir avec ce système d’intégration.
»...
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lepetitjournal |
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[Communique de Presse] Covid-19 : Saisie du Conseil d'Etat pour un droit egal a la vie et a la liberte - Collectif pour la Liberte d'Expression des Autistes |
01/04/2020 |
«Le Collectif pour la Liberté d'Expression des Autistes et Validity Foundation sont alarmés des conséquences de la décision du gouvernement concernant le confinement des résidents des établissements médico-sociaux qui accueillent les personnes handicapées.
Face à une violation massive des droits fondamentaux, notamment le droit à la liberté, à la protection des détentions arbitraires, à la vie et à la dignité, notre collectif, avec le soutien des experts de l'ONG Validity Foundation, a déposé une requête devant le Conseil d'Etat le 28 mars.
Le gouvernement produira ses observations avant le 1e avril. Le 14 mars 2020, la Secrétaire d'Etat auprès du Premier Ministre chargée des Personnes Handicapées, Mme Sophie Cluzel, annonce par voie de communiqué de presse la mise en place de mesures de confinement pour les personnes handicapées institutionnalisées.
Cette décision, sans aucune référence juridique ni base légale apparente, ordonne le verrouillage des institutions médico-sociales. Souvent confinées dans des chambres, privées de tous contacts avec leurs proches et de tout moyen de communication alternatif tels que ceux déployés dans les institutions pénitentiaires, les personnes handicapées se retrouvent dans une situation de grande détresse psychique et danger physique, livrées à toute sorte d'abus potentiel, dans des institutions opaques qui échappent à tout contrôle indépendant.»
[...]
«Des mesures arbitraires, illégales et indignes
Nous ne pouvons que constater les manquements graves au droit français et aux conventions internationales, notamment la Convention relative aux droits des personnes handicapées (CRDPH) et la Convention Européenne des Droits de l’Homme (CEDH) du gouvernement à travers cette décision.
Les personnes institutionnalisées, privées de leur liberté et souvent de leur capacité juridique, sont enfermées de façon arbitraire dans des établissements médico-sociaux du seul fait de leur handicap. Elle se trouvent à présent privées de leur droit à la vie, à la dignité et à l’accès aux soins.
La crise sanitaire actuelle aggrave la situation de ces personnes, et la décision de la Secrétaire d’État ne fait qu’accentuer les inégalités et le traitement discriminatoire réservé à ces personnes, soumises à un traitement encore plus défavorable que celles qui se trouvent dans les établissements pénitentiaires.
Nous avons décidé, en qualité d’association militant pour les droits des personnes en situation de handicap, de saisir le Conseil d’État, afin d’obtenir la mise en place de mesures d’urgence indispensables pour assurer la liberté, l’égalité et la non-discrimination des personnes handicapées en institutions spécialisées.
Dans un souci de transparence et de prévention des abus à l’encontre de personnes handicapées privées de leur liberté et qui se trouvent davantage restreintes dans des établissements médico-sociaux, il est primordial de mettre en place un mécanisme de contrôle indépendant et de permettre à des tiers d’accéder à ces institutions, conformément à la jurisprudence de la Cour Européenne des Droits de l’Homme.
La situation de crise sanitaire ne saurait justifier un accroissement de la violation des droits des personnes handicapées en France. Celles-ci doivent bénéficier des mêmes protections et jouir des mêmes droits que toute autre personne se trouvant sur le territoire de la République. La protection de la société et la limitation de la propagation du virus COVID-19 ne peuvent avoir pour effet de condamner à une peine de mort tacite les personnes institutionnalisées en les privant d’accès aux soins et en les contraignant d’être confinées avec des personnes déjà infectées.
Les effets morbides de la décision du gouvernement se font déjà sentir. La presse régionale a déjà relayé plusieurs cas de contamination massive ayant entraîné plus de 200 décès dans les EPHAD. La crainte que les institutions accueillant des personnes handicapées se transforment en mouroirs est réelle.
Des témoignages inquiétants
Nous recevons de nombreux témoignages alarmants sur la situation des personnes confinées. De graves cas d’automutilations, des enfants en larmes criant « maman, papa » pour avoir un contact avec leurs parents, d’autres clamant « ne me touchez pas, laissez-moi mourir », de nombreuses personnes handicapées ne s’alimentant plus.
La crise Covid-19 ne fait qu’exacerber la situation déjà désastreuse des personnes handicapées. Le personnel de renfort dans les établissements médicosociaux ne dispose pas toujours des compétences relatives au handicap ce qui conduit à la mise en danger des personnes concernées.
Nous demandons par conséquent, la mise en place de dispositifs d’aménagement raisonnable et d’autorisations de sortie dérogatoires. La crise sanitaire actuelle est, plus que jamais, le moment de s’interroger sur le modèle de dépendance des personnes handicapées entretenu par le système français, devenu obsolète. Nous demandons également la reconnaissance de ces institutions comme des lieux de privation de liberté conformément à l’interprétation du Comité de l’ONU de la CDPH dans l’Observation générale N°1 et par la suite, leur fermeture.
En temps ordinaire, ce modèle institue et justifie la privation arbitraire de liberté. En période d’urgence sanitaire, les institutions médicosociales deviennent un piège épidémiologique, un lieu de violation massive des droits humains, soustraits à tout contrôle indépendant.
»...
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cle-autistes |
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Arrete du 25 mars 2020 completant l'arrete du 23 mars 2020 prescrivant les mesures d'organisation et de fonctionnement du systeme de sante necessaires pour faire face a l'epidemie de covid-19 dans le cadre de l'etat d'urgence sanitaire | Legifrance |
28/03/2020 |
«Le ministre des solidarités et de la santé, Vu la directive (UE) 2015/1535 du Parlement européen et du Conseil du 9 septembre 2015 prévoyant une procédure d'information dans le domaine des réglementations techniques et des règles relatives aux services de la société de l'information, et notamment la notification n° 2020/163/F ; Vu le code de la santé publique, notamment son article L. 3131-16 ; Vu le code de la sécurité sociale, notamment ses articles L. 162-1-7 et 162-14-1 et 162-9 ; Vu la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 d'urgence pour faire face à l'épidémie de covid-19, notamment son article 4 ; Vu l'arrêté du 23 mars 2020 prescrivant les mesures d'organisation et de fonctionnement du système de santé nécessaires pour faire face à l'épidémie de covid-19 dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire ; Vu la convention nationale des orthophonistes signée le 31 octobre 1996 et ses 16 avenants ; Vu la liste des actes et prestations modifiée adoptée par la décision de l'Union nationale des caisses d'assurance maladie du 11 mars 2005 ; Considérant que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré, le 30 janvier 2020, que l'émergence d'un nouveau coronavirus (covid-19) constitue une urgence de santé publique de portée internationale ; Considérant le caractère pathogène et contagieux du virus covid-19 ; Considérant que pour faire face à l'épidémie de covid-19 il est nécessaire de pouvoir mobiliser l'ensemble des médecins disponibles ; qu'à cette fin, il y a lieu d'autoriser les médecins de prévention et de contrôle à délivrer des soins curatifs lorsqu'ils sont réquisitionnés pour les besoins de la lutte contre l'épidémie ; Considérant que la télésanté permet à la fois d'assurer une prise en charge médicale et soignante à domicile pour les patients présentant les symptômes de l'infection ou reconnus atteints du covid-19 et de protéger les professionnels de santé de l'infection ainsi que les patients qu'ils prennent en charge ; qu'il y a lieu de prendre les dispositions nécessaires pour permettre son développement...»
[...]
«
Article 1 En savoir plus sur cet article...
L'arrêté du 23 mars 2020 susvisé est ainsi modifié :
1° Le VI de l'article 8 devient le VII et il est rétabli un VI ainsi rédigé :
« VI. - A l'exclusion des bilans initiaux et des renouvellements de bilan, les actes d'orthophonie mentionnés en annexe du présent article peuvent être réalisés à distance par télésoin. La pertinence du recours au télésoin est déterminée par l'orthophoniste. Ces actes de télésoin sont réalisés par vidéotransmission. Ils sont conditionnés à la réalisation préalable, en présence du patient, d'un premier soin par l'orthophoniste. Pour les mineurs de 18 ans, la présence d'un des parents majeurs ou d'un majeur autorisé est nécessaire. Pour les patients présentant une perte d'autonomie, la présence d'un aidant est requise.
« Par dérogation aux articles L. 162-1-7, L. 162-14-1 et L. 162-9 du code de la sécurité sociale, les orthophonistes libéraux ou les autres structures mentionnées à l'article L. 162-1-7 du même code sont autorisés à facturer à l'assurance maladie les actes réalisés à distance par télésoin relevant du présent article VI. »
2° Après le chapitre 4, il est inséré un chapitre 4 bis ainsi rédigé :
« Chapitre 4 bis
« Mesures concernant les professionnels de santé
« Art. 8-1. - Les médecins mentionnés à l'article R. 4127-99 et à l'article R. 4127-100 du code de la santé publique peuvent délivrer des soins curatifs nonobstant les restrictions prévues par ces dispositions lorsqu'ils exercent dans le cadre d'une réquisition prononcée pour faire face à la crise sanitaire. »
»...
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legifrance.gouv |
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Avec France tv, faites classe a la maison | France Televisions |
22/03/2020 |
«Avec France tv, faites classe à la maison Pour mieux accompagner les enfants (et leurs parents) au quotidien, dans la poursuite des apprentissages scolaires à la maison, France tv renforce son offre en ouvrant plus que jamais ses antennes à l'éducation.
Aperçu du programme (scolaire). La Maison Lumni avec Alex Goude La Maison Lumni avec Alex Goude ©Nathalie Guyon / FTV La Maison Lumni France tv diffuse, à partir du 23 mars, La Maison Lumni, une émission quotidienne de 52 minutes dédiée aux élèves de 8 à 12 ans, réalisée en lien avec le ministère de l'Education nationale.
La Maison Lumni sera proposée sur plusieurs antennes linéaires et numériques : à 10h sur France 2, 15h45 sur France 4 et à 11h sur France 5 et, à tout moment de la journée, en replay sur Lumni.fr et la plateforme vidéo france.tv.
Entouré d'experts - enseignants, blogueurs, YouTubeurs, personnalités de la société civile...
•, Alex Goude reprendra les notions essentielles des programmes scolaires de la maternelle au collège, mais aussi informera et divertira.»...
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francetelevisions |
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Haute Autorite de Sante - SLENYTO |
20/03/2020 |
«NEUROLOGIE - Nouveau médicament Avis sur les Médicaments - Mis en ligne le 22 nov. 2019 Nature de la demande Inscription Intérêt clinique important dans le traitement de l'insomnie chez les enfants et adolescents de 2 à 18 ans présentant un trouble du spectre de l'autisme et/ou un syndrome de Smith-Magenis, lorsque les mesures d'hygiène du sommeil ont été insuffisantes et progrès thérapeutique mineur dans la stratégie thérapeutique.
SLENYTO a l'AMM dans le traitement de l'insomnie chez les enfants et les adolescents de 2 à 18 ans, présentant un trouble du spectre de l'autisme (TSA) et/ou un syndrome de Smith-Magenis, lorsque les mesures d'hygiène du sommeil ont été insuffisantes.
La supériorité de la mélatonine LP a été démontrée par rapport au placebo sur l'amélioration du temps de sommeil total à 13 semaines avec une quantité d'effet modérée :+32 minutes chez des patients ayant un temps de sommeil total de 7h30 environ.»...
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has-sante |
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Les independants contraints de garder leurs enfants peuvent obtenir un arret de travail indemnise |
19/03/2020 |
«Le téléservice declare.ameli.fr de l'Assurance Maladie permet aux travailleurs indépendants et aux auto-entrepreneurs de déclarer un maintien à domicile pour eux-mêmes et/ou pour leurs salariés.
Ce dispositif concerne les parents d'enfants de moins de 16 ans ou en situation de handicap sans limite d'âge. Comme les salariés, les travailleurs indépendants peuvent demander un arrêt maladie pour s'occuper de leurs enfants pendant l'épidémie de coronavirus.
Le dispositif des arrêts de travail indemnisés concerne les parents d'enfants de moins de 16 ans scolarisés, ainsi que les parents d'enfants en situation de handicap sans limite d'âge.
Les indépendants peuvent aussi faire cette demande s'ils sont eux-mêmes malades. Dans tous les cas, il faut remplir un formulaire sur le site declare.ameli.fr.»...
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leparticulier.lefigaro |
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Covid-19 : Quelques Mesures Interessant La Famille, Les Mineurs Et Les Personnes Vulnerables |
19/03/2020 |
«Outre l'exception des déplacements pour motif familial impérieux, pour l'assistance des personnes vulnérables ou pour la garde d'enfants, d'autres mesures ont été prises afin de protéger au mieux la famille, les mineurs et les personnes vulnérables.
Parmi l'ensemble de ces mesures, on peut relever :
• Arrêts de travail simplifiés pour les salariés contraints de garder leurs enfants.
•Garde alternée.»
[...]
«
-Arrêts de travail pour les parents séparés.
-Protection judiciaire de la jeunesse.
-Confinement et femmes victimes de violences conjugales.
-Personnes en situation de handicap. – Sophie Cluzel, secrétaire d’État auprès du Premier ministre chargée des personnes handicapées, a décidé d’un maintien préférentiel au domicile et de l’organisation sans délai de la continuité de l’accompagnement des personnes handicapées, vivant au domicile de leurs proches aidants (enfants et adultes), domiciliées dans une structure d’hébergement médico-sociale, habitant un domicile personnel ou un habitat partagé. Pour les enfants et adultes accueillis en externats, les établissements et services médico-sociaux ont organisé un service minimum d’appui aux familles. Une attention particulière est prêtée à l’accompagnement des situations complexes ne pouvant être maintenues au domicile, dont en particulier celui des enfants confiés à l’Aide sociale à l’enfance. Pour apporter une réponse à ces situations complexes, les internats enfants et adultes à temps complet sont maintenus en fonctionnement. Les parents qui sont amenés à garder leur enfant handicapé à domicile, du fait de la fermeture de la structure médico-sociale d’accueil, bénéficieront d’une prise en charge par la Sécurité Sociale des indemnités journalières (-Mariage et funérailles.
»...
Source: http://www.actualitesdudroit.fr | Source Status
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actualitesdudroit |
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Covid-19 : Quelques Mesures Interessant La Famille, Les Mineurs Et Les Personnes Vulnerables |
19/03/2020 |
«Outre l'exception des déplacements pour motif familial impérieux, pour l'assistance des personnes vulnérables ou pour la garde d'enfants, d'autres mesures ont été prises afin de protéger au mieux la famille, les mineurs et les personnes vulnérables.
Parmi l'ensemble de ces mesures, on peut relever :
• Arrêts de travail simplifiés pour les salariés contraints de garder leurs enfants.
•Garde alternée.»
[...]
«
-Arrêts de travail pour les parents séparés.
-Protection judiciaire de la jeunesse.
-Confinement et femmes victimes de violences conjugales.
-Personnes en situation de handicap. – Sophie Cluzel, secrétaire d’État auprès du Premier ministre chargée des personnes handicapées, a décidé d’un maintien préférentiel au domicile et de l’organisation sans délai de la continuité de l’accompagnement des personnes handicapées, vivant au domicile de leurs proches aidants (enfants et adultes), domiciliées dans une structure d’hébergement médico-sociale, habitant un domicile personnel ou un habitat partagé. Pour les enfants et adultes accueillis en externats, les établissements et services médico-sociaux ont organisé un service minimum d’appui aux familles. Une attention particulière est prêtée à l’accompagnement des situations complexes ne pouvant être maintenues au domicile, dont en particulier celui des enfants confiés à l’Aide sociale à l’enfance. Pour apporter une réponse à ces situations complexes, les internats enfants et adultes à temps complet sont maintenus en fonctionnement. Les parents qui sont amenés à garder leur enfant handicapé à domicile, du fait de la fermeture de la structure médico-sociale d’accueil, bénéficieront d’une prise en charge par la Sécurité Sociale des indemnités journalières (-Mariage et funérailles.
»...
Source: http://www.actualitesdudroit.fr | Source Status
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actualitesdudroit |
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Coronavirus Covid-19 / Consignes et recommandations applicables a l'accompagnement des enfants et adultes en situation de handicap - Federation Hospitaliere de France (FHF) |
16/03/2020 |
«Le Ministère des Solidarités et de la Santé a diffusé dimanche 15 mars des consignes et recommandations applicables à l'accompagnement des adultes et enfants en situation de handicap, accompagnées d'une foire aux questions.
Ces recommandations rappellent tout d'abord que le principe général de précaution, au regard de l'intensité de la circulation du virus sur le territoire national, est de favoriser le maintien à leur domicile des personnes en situation de handicap exposées particulièrement à des complications de santé. Au regard des besoins d'accompagnement médico-sociaux nécessaires à la préservation de l'état de santé global des personnes en situation de handicap, il est précisé que le principe de précaution visant le maintien au domicile s'accompagne du principe lié d'une continuité de l'accompagnement médico-social.
Il est demandé aux agences régionales de santé (ARS) et aux départements de veiller scrupuleusement, en lien avec les organismes gestionnaires (OG), à l'application conjointe de ces deux principes solidaires l'un de l'autre.
La prévention de l'exposition au risque épidémique doit s'accompagner d'une vigilance redoublée à ne pas créer de risques supplémentaires de ruptures de parcours, de pertes de chances, d'événements indésirables, de dégradation de l'état de santé général des personnes.
Cela signifie une action coordonnée et en responsabilité des ARS, des départements, des MDPH, des établissements et services médico-sociaux, en lien avec les acteurs de droit commun, pour organiser de manière réactive et coordonnée : 1. Le maintien accompagné à domicile pour ceux qui vivent chez leurs aidants ; 2. La sécurisation du domicile dans les structures médico-sociales ; 3. Les solutions en soutien de ceux qui vivent dans un habitat inclusif personnel ou partagé : Une fiche annexe spécifique à la situation des ESAT a également été diffusée (ci-joint).»
[...]
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Documents joints
Consignes et recommandations pour le secteur PH – pdf – 682,36 kB
FAQ Recommandations PH – pdf – 537,74 kB
Fiche annexe ESAT – pdf – 451,05 kB
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fhf |
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Coronavirus Covid-19 / Consignes et recommandations applicables a l'accompagnement des enfants et adultes en situation de handicap - Federation Hospitaliere de France (FHF) |
16/03/2020 |
«Le Ministère des Solidarités et de la Santé a diffusé dimanche 15 mars des consignes et recommandations applicables à l'accompagnement des adultes et enfants en situation de handicap, accompagnées d'une foire aux questions.
Ces recommandations rappellent tout d'abord que le principe général de précaution, au regard de l'intensité de la circulation du virus sur le territoire national, est de favoriser le maintien à leur domicile des personnes en situation de handicap exposées particulièrement à des complications de santé. Au regard des besoins d'accompagnement médico-sociaux nécessaires à la préservation de l'état de santé global des personnes en situation de handicap, il est précisé que le principe de précaution visant le maintien au domicile s'accompagne du principe lié d'une continuité de l'accompagnement médico-social.
Il est demandé aux agences régionales de santé (ARS) et aux départements de veiller scrupuleusement, en lien avec les organismes gestionnaires (OG), à l'application conjointe de ces deux principes solidaires l'un de l'autre.
La prévention de l'exposition au risque épidémique doit s'accompagner d'une vigilance redoublée à ne pas créer de risques supplémentaires de ruptures de parcours, de pertes de chances, d'événements indésirables, de dégradation de l'état de santé général des personnes.
Cela signifie une action coordonnée et en responsabilité des ARS, des départements, des MDPH, des établissements et services médico-sociaux, en lien avec les acteurs de droit commun, pour organiser de manière réactive et coordonnée : 1. Le maintien accompagné à domicile pour ceux qui vivent chez leurs aidants ; 2. La sécurisation du domicile dans les structures médico-sociales ; 3. Les solutions en soutien de ceux qui vivent dans un habitat inclusif personnel ou partagé : Une fiche annexe spécifique à la situation des ESAT a également été diffusée (ci-joint).»
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FAQ Recommandations PH – pdf – 537,74 kB
Fiche annexe ESAT – pdf – 451,05 kB
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Coronavirus Covid-19 / Consignes et recommandations applicables a l'accompagnement des enfants et adultes en situation de handicap - Federation Hospitaliere de France (FHF) |
16/03/2020 |
«Le Ministère des Solidarités et de la Santé a diffusé dimanche 15 mars des consignes et recommandations applicables à l'accompagnement des adultes et enfants en situation de handicap, accompagnées d'une foire aux questions.
Ces recommandations rappellent tout d'abord que le principe général de précaution, au regard de l'intensité de la circulation du virus sur le territoire national, est de favoriser le maintien à leur domicile des personnes en situation de handicap exposées particulièrement à des complications de santé. Au regard des besoins d'accompagnement médico-sociaux nécessaires à la préservation de l'état de santé global des personnes en situation de handicap, il est précisé que le principe de précaution visant le maintien au domicile s'accompagne du principe lié d'une continuité de l'accompagnement médico-social.
Il est demandé aux agences régionales de santé (ARS) et aux départements de veiller scrupuleusement, en lien avec les organismes gestionnaires (OG), à l'application conjointe de ces deux principes solidaires l'un de l'autre.
La prévention de l'exposition au risque épidémique doit s'accompagner d'une vigilance redoublée à ne pas créer de risques supplémentaires de ruptures de parcours, de pertes de chances, d'événements indésirables, de dégradation de l'état de santé général des personnes.
Cela signifie une action coordonnée et en responsabilité des ARS, des départements, des MDPH, des établissements et services médico-sociaux, en lien avec les acteurs de droit commun, pour organiser de manière réactive et coordonnée : 1. Le maintien accompagné à domicile pour ceux qui vivent chez leurs aidants ; 2. La sécurisation du domicile dans les structures médico-sociales ; 3. Les solutions en soutien de ceux qui vivent dans un habitat inclusif personnel ou partagé : Une fiche annexe spécifique à la situation des ESAT a également été diffusée (ci-joint).»
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FAQ Recommandations PH – pdf – 537,74 kB
Fiche annexe ESAT – pdf – 451,05 kB
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fhf |
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La securite sociale condamnee, a Orleans, a prendre en charge les soins de deux enfants atteints de pathologies rares - Orleans (45000) |
12/03/2020 |
«Dans deux décisions rendues récemment, le pôle social du tribunal judiciaire d'Orléans a condamné la caisse primaire d'assurance maladie du Loiret à prendre en charge les soins prescrits à deux enfants atteints de pathologies rares.
Dans deux décisions distinctes rendues récemment, le pôle social du tribunal judiciaire d'Orléans vient de rappeler à la caisse primaire d'assurance maladie (CPAM) "son devoir de solidarité" à l'égard d'enfants atteints d'une pathologie rare, dont elle refusait de prendre en charge les soins.
Le premier dossier, soumis à la juridiction en charge du contentieux de la protection sociale, concernait un enfant atteint de lissencéphalie. Cette malformation rare du cerveau est une pathologie sévère et les personnes qui en sont atteintes sont dans une dépendance totale.»
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«Au regard "d’une nécessité impérieuse", le tribunal impose à la caisse de prendre en charge la facture de l’appareil. Mais aussi les éventuelles séances de rééducation sensomotrice et ce, compte tenu de "la situation exceptionnelle dans laquelle se trouve l’enfant".
Dans un second dossier, la juridiction avait à statuer sur le refus de la sécurité sociale de procéder au remboursement d’une séance de psychomotricité, d’un montant de 45 euros, qu’un médecin traitant avait prescrite à l’égard d’un enfant atteint d’une anomalie génétique cérébrale.
Dans son jugement, rendu mardi 10 mars, le tribunal social dit "regretter à nouveau de constater que la CPAM et la commission de recours amiable oublient la solidarité nationale, fondement de la sécurité sociale".
Et contraint cette dernière à prendre à sa charge les séances de psychomotricité, prescrites à l’enfant, à compter du 1er juillet 2018, date à laquelle le traitement a été entamé.
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larep |
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Autistic children's auditory delays may persist into adulthood | Spectrum | Autism Research News |
10/03/2020 |
«A delay in autistic children's brain responses to sound continues into adulthood, according to the first study to examine the phenomenon in adults on the spectrum1. The study also linked this delay to language difficulties.
When a person hears a sound ...” a musical note, for example, or someone speaking ...” the listener's brain produces two important neural responses about 50 and 100 milliseconds later.
Prior research has shown that in autistic children's brains, these responses are delayed by several milliseconds2.»...
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spectrumnews |
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&stxt=Bull Prevalence des troubles du spectre de l'autisme Publie le 10 Mars 2020 Mis a jour le 10 mars 2020 Auteur : Ha Catherine, Chan Chee Christine |
10/03/2020 |
«Bulletin épidémiologique hebdomadaire, 10 mars 2020, n°6-7 Prévalence des troubles du spectre de l'autisme Publié le 10 Mars 2020 Mis à jour le 10 mars 2020 Auteur : Ha Catherine, Chan Chee Christine Année de publication : 2020 Pages : 125-156 pdf Prévalence des troubles du spectre de l’autisme // Prevalence of Autism Spectrum Disorders Coordination scientifique // Scientific coordination Catherine Ha & Christine Chan Chee, Santé publique France, Saint-Maurice, France Et pour le Comité de rédaction du BEH : Florence Bodeau-Livinec, École des hautes études en santé publique, Rennes & Damien Mouly, Santé publique France – Occitanie, Toulouse, France
Source: http://www.santepubliquefrance.fr | Source Status
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santepubliquefrance |
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&stxt=Bull Prevalence des troubles du spectre de l'autisme Publie le 10 Mars 2020 Mis a jour le 10 mars 2020 Auteur : Ha Catherine, Chan Chee Christine |
10/03/2020 |
«Bulletin épidémiologique hebdomadaire, 10 mars 2020, n°6-7 Prévalence des troubles du spectre de l'autisme Publié le 10 Mars 2020 Mis à jour le 10 mars 2020 Auteur : Ha Catherine, Chan Chee Christine Année de publication : 2020 Pages : 125-156 pdf Prévalence des troubles du spectre de l’autisme // Prevalence of Autism Spectrum Disorders Coordination scientifique // Scientific coordination Catherine Ha & Christine Chan Chee, Santé publique France, Saint-Maurice, France Et pour le Comité de rédaction du BEH : Florence Bodeau-Livinec, École des hautes études en santé publique, Rennes & Damien Mouly, Santé publique France – Occitanie, Toulouse, France
Source: http://www.santepubliquefrance.fr | Source Status
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santepubliquefrance |
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Event Detail - Association for Behavior Analysis International |
09/03/2020 |
«ymposium #568 CE Offered: BACB ...” Ethics Positive Punishment of Severe Problem Behaviors Monday, May 25, 2020 3:00 PM-4:50 PM Walter E. Washington Convention Center, Level 1, Room 103 Area: DDA; Domain: Applied Research CE Instructor: Nathan Blenkush, Ph.D. Chair: Nathan Blenkush (Judge Rotenberg Educational Center) Discussant: W. Joseph Wyatt (Marshall University) Abstract: We conducted an empirical analysis of contingent skin-shock in the treatment of severe problem behaviors in 191 individual cases between 2002 and 2018. Overall, a 95% reduction was observed in the frequency of severe aggression and health dangerous (e.g., self-injurious) behaviors across a wide variety of psychological diagnoses.
Findings provide support for the supplemental use of contingent skin-shock in conjunction with differential reinforcement of alternative and other appropriate behaviors. We present novel findings from (a) the largest clinical sample in the skin-shock literature, (b) planned versus unplanned fading of treatment, (c) reversal of treatment effects, and (d) follow-up data spanning 16 years.
The evidence provides support for the assertion that contingent skin-shock is the least intrusive, most effective, efficient, and ethical treatment available for the severe problem behavior of some individuals.
Instruction Level: Intermediate Keyword(s): aversive, punishment, severe behavior, skin-shock Target Audience: Graduate students and practicing professionals interested in punishment procedures (e.g., BCaBA, BCBA, BCBA-D).»...
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abainternational |
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Arrete du 29 juillet 2020 relatif aux missions et aux conditions de designation des accompagnants des eleves en situation de handicap referents prevus a l'article L. 917-1 du code de l'education | Legifrance |
08/03/2020 |
«Arrêté du 29 juillet 2020 relatif aux missions et aux conditions de désignation des accompagnants des élèves en situation de handicap référents prévus à l'article L. 917-1 du code de l'éducation NOR: MENH2017998A Le ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et des sports, Vu le code de l'éducation, notamment son article L. 917-1 ; Vu le décret n° 2014-724 du 27 juin 2014 modifié relatif aux conditions de recrutement et d'emploi des accompagnants des élèves en situation de handicap, Arrête :»
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« Article 1 En savoir plus sur cet article...
L'accompagnant d'élèves en situation de handicap référent dont la fonction est prévue à l'article L. 917-1 du code de l'éducation apporte aide et soutien aux accompagnants d'élèves en situation de handicap exerçant dans un secteur géographique défini par l'autorité compétente. Il exerce ses missions en lien avec les accompagnants d'élèves en situation de handicap, selon l'organisation retenue par le directeur académique des services de l'éducation nationale.
Il dispose d'une lettre de mission établie par le directeur académique des services de l'éducation nationale qui précise ses priorités d'action. Le temps de travail dévolu à l'exercice des fonctions de référent est proportionné aux missions prévues dans cette lettre et est prévu au contrat de travail. Ces missions reposent sur tout ou partie des objectifs suivants :
1° Assurer un appui méthodologique, à leur demande ou à la demande du pilote du PIAL ou de l'IEN ASH, aux accompagnants d'élèves en situation de handicap. Cet appui méthodologique peut reposer sur le partage de gestes professionnels, donner lieu à des conseils personnalisés et à la diffusion d'outils ;
2° Apporter un soutien spécifique aux accompagnants d'élèves en situation de handicap nouvellement recrutés en vue de faciliter leur prise de fonctions et leur appartenance à la communauté éducative ;
3° Contribuer aux travaux conduits à l'échelon départemental, académique ou national en vue de mutualiser les bonnes pratiques et outils en matière d'accompagnement d'élèves en situation de handicap ;
4° Contribuer aux actions de formation suivies par les accompagnants d'élèves en situation de handicap.
Article 2 En savoir plus sur cet article...
Les accompagnants d'élèves en situation de handicap peuvent se voir confier les missions de référent dès lors qu'ils justifient des critères d'expérience suivants :
1° Détenir une expérience professionnelle dans les fonctions d'accompagnement d'élèves en situation de handicap d'au moins trois ans au cours des six dernières années ;
2° Avoir une expérience professionnelle diversifiée d'accompagnement d'élèves en situation de handicap ;
3° Avoir suivi des actions de formation dans le champ de l'école inclusive.
Article 3 En savoir plus sur cet article...
Pour se voir confier les fonctions de référent, les accompagnants d'élèves en situation de handicap intéressés font acte de candidature. Ils sont informés par tout moyen approprié de l'engagement d'une procédure de sélection.
Les accompagnants d'élèves en situation de handicap qui ont candidaté sont ensuite sélectionnés à l'issue d'une procédure organisée, sous l'autorité du directeur académique des services de l'éducation nationale, par l'IEN ASH.
Pour accompagner leur prise de fonction, les accompagnants d'élèves en situation de handicap référents bénéficient d'actions de formation dédiées.
Au terme de la mission, tel que prévu dans le contrat de travail ou à la demande de l'AESH référent, l'autorité compétente organise une nouvelle procédure de sélection.
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legifrance.gouv |
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˜I never realised everybody felt as happy as I do when I am around autistic people': A thematic analysis of autistic adults' relationships with autistic and neurotypical friends and family |
07/03/2020 |
«Abstract Many autistic people are motivated to have friends, relationships and close family bonds, despite the clinical characterisation of autism as a condition negatively affecting social interaction.
Many first-hand accounts of autistic people describe feelings of comfort and ease specifically with other autistic people. This qualitative research explored and contrasted autistic experiences of spending social time with neurotypical and autistic friends and family.
In total, 12 autistic adults (10 females, aged 21-51) completed semi-structured interviews focused on time spent with friends and family; positive and negative aspects of time spent with neurotypical and autistic friends and family; and feelings during and after spending time together.
Three themes were identified: cross-neurotype understanding, minority status and belonging. Investigation of these themes reveals the benefits of autistic people creating and maintaining social relationships with other autistic people, in a more systematic way than previous individual reports.
They highlight the need for autistic-led social opportunities and indicate benefits of informal peer support for autistic adults.»...
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journals.sagepub |
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Common test for autism found wanting |
06/03/2020 |
«The study The researchers re-examined the Autism-Spectrum Quotient (AQ10) questionnaire, a form which depends on self-reported personality characteristics to diagnose autism.
It is just one of many such forms, but it happens to be the one in most common use by GPs and the shortest one too. It is recommended for people aged 12-16 years as well as those above 18 years because they do not take much time, are easy to use, and may be used by the individual without previous training, but with acceptable sensitivity and specificity, according to older reviews.
If adult patients suspect they may have autism, they can take the questionnaire. A score of 6-10 may mean they should go in for more confirmatory tests. It is recommended by the National Institute for Health and Care Excellence (NICE), which is the UK government's voice in recommending clinical practice measures as well as NHS procedures.
NICE supports the use of the AQ10 to screen autism in adults. Such results are used in large-scale studies to understand the prevalence of autistic traits in the population at large.
These traits are also linked to the performance of the subjects on other tasks, to help to understand how autism is linked to other social skills and social behavior. However, the scientists retrieved data from about 6,500 people, all from the society at large, who had taken the AQ10 questionnaire.
They aimed to evaluate the effectiveness of the form for assessing autism. Some of the questions include whether the individuals notice small sounds that pass unnoticed by others or find it hard to identify the emotions of others from their faces.
The findings The study shows that the measure yields unsatisfactory results when the results are analyzed using several commonly used statistical techniques, which means the AQ10 is not a reliable measure of autistic traits.
Instead, say the researchers, a new system should be designed to detect the spectrum of autistic traits that manifest in a large population.»
[...]
«Implications
Other researchers have already pointed out that earlier ASD screening methods were developed before 2013, and therefore do not take into account the newer guidelines of the Diagnostic and Statistical Manual -V (DSM-5). These methods of screening are meant to be used based on clinical diagnosis, which means that when clinical criteria were changed in the DSM-5, the diagnostic decision making within the screening technique must also be altered appropriately. They have concluded that "there is a need to re-examine questions and features within the ASD diagnostic and screening tools in order to comprehensively satisfy the new criteria of the DSM-5."
The danger of using such unreliable tools is that what is currently believed about autism and its management has come from studies based on these very tools which are now being shown to be incapable of fulfilling their intended role. Shah goes on to explain, "If the measure of autism is unreliable, as we suggest, so too are the findings and conclusions. Without reliable measures, it is unclear if the findings from these studies are valid, and may hamper the support we provide for people with autistic personalities or diagnosed autism in society."
A colleague of Shah, Emily Taylor, chimes in: "This is an important finding, which will hopefully initiate a more concerted effort at examining and refining tools used in autism research and clinical practice."
She points out that the current sample is taken from the general population, which has not received appropriate medical diagnoses to countercheck the findings of the study. Therefore, she says, "The next step would be to conduct follow-up studies in equally large clinical samples."
And more importantly, she indicates a general loss of faith in the reliability of mental health assessment tools, not just this single measure of autistic traits. As a result, she says, "We need far more 'basic' science to examine and address these issues in future research towards improving their application in the management of mental health difficulties in society."
Source:
Researchers question reliability of common autistic personality test - »...
Source: http://www.news-medical.net | Source Status
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news-medical |
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Diagnosis of autism in adulthood: A scoping review - Yunhe Huang, Samuel RC Arnold, Kitty-Rose Foley, Julian N Trollor, |
06/03/2020 |
«Abstract More adults are undergoing autism assessment due to recent changes in awareness, diagnostic criteria and professional practices. This scoping review aimed to summarise research on autism diagnosis in adulthood and identify any gaps for future study.
The authors searched for studies involving first-time assessment and diagnosis of autism in adults, which identified 82 studies from 13 countries using various methodologies.
Six themes of (1) prevalence, (2) diagnostic pathways and processes, (3) gender, (4) psychosocial characteristics, (5) co-occurring conditions and (6) experiences of diagnosis were identified across the studies.
Findings suggest that receiving an autism diagnosis has a significant emotional impact on adults, but accessibility and processes are inconsistent, and formal support services are lacking.
More research is needed on autism diagnosis in adults with intellectual disability, consequences of the timing of diagnosis, and support after diagnosis.»
[...]
«Lay abstract
More adults are getting assessed for possible autism. Here, we give an overview on what is already known about autism diagnosis in adulthood and find areas that need more research. We divided results from the studies we found into six topics of (1) rates of autism in different groups; (2) the process of getting an autism diagnosis in adulthood; (3) gender; (4) personality traits, abilities and behaviours of diagnosed adults; (5) mental and physical health conditions that occur together with autism; and (6) how adults think and feel about being assessed and diagnosed. We found that adults often have strong emotions after being diagnosed, the process of getting a diagnosis can be unclear and different for everyone, and not many support services are available for adults. More research on diagnosing adults with intellectual disability, differences between early and late-diagnosed adults, and support after diagnosis would be useful.
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journals.sagepub |
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Autism Spectrum Disorder Prevalence in Children Aged 12-13...‰Years From the Longitudinal Study of Australian Children - May - - Autism Research - Wiley Online Library |
06/03/2020 |
«Abstract This study aimed to provide an autism spectrum disorder (ASD) prevalence update from parent and teacher report using the Longitudinal Study of Australian Children (LSAC). The LSAC is a prospective cohort study of Australian children representative of the population with two cohorts: Kinder (birth year 1999/2000) and Birth cohort (birth year 2003/2004). Children in the Birth and Kinder cohort with parent... and teacher...reported ASD prevalence were compared to children without ASD. There were N = 3,381 (66%) responding in the Birth cohort at age 12 and N = 3,089 (62%) for the Kinder cohort at age 16. Quality of life was measured by the Pediatric Quality of Life Inventory, and emotional/behavior problems using the Strengths and Difficulties Questionnaire.
Parent...reported ASD prevalence increased to 4.36% [95% CI 3.56-5.19] at age 12-13years in the Birth cohort and 2.60% [95% CI 2.07-3.31] in the Kinder cohort. Kinder cohort ASD children had more parent... and teacher...reported social problems, and lower parent...reported social and psychosocial quality of life.
As expected, parent...reported ASD prevalence continued to rise. The higher prevalence in the Birth cohort may relate to milder cases of ASD being diagnosed.»...
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onlinelibrary.wiley |
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LOI n° 2020-220 du 6 mars 2020 visant a ameliorer l'acces a la prestation de compensation du handicap | Legifrance |
06/03/2020 |
«Article 1 A la fin du 1° du II de l'article L. 245-1 du code de l'action sociale et des familles, les mots : « , sous réserve de solliciter cette prestation avant un âge fixé par décret » sont supprimés.
Article 2 I.
• Le deuxième alinéa de l'article L. 146-5 du code de l'action sociale et des familles est ainsi rédigé : « Dans la limite des financements du fonds départemental de compensation, les frais de compensation ne peuvent excéder 10 % des ressources personnelles nettes d'impôts des personnes handicapées mentionnées au premier alinéa du présent article, dans des conditions définies par décret.
» II.
• Le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur la mise en oeuvre du décret mentionné au deuxième alinéa de l'article L. 146-5 du code de l'action sociale et des familles, dans un délai de dix-huit mois à compter de l'entrée en vigueur de ce décret.
Ce rapport traite notamment de l'évolution du reste à charge des personnes ayant déposé au moins une demande auprès d'un fonds départemental de compensation du handicap. Article 3 Le chapitre V du titre IV du livre II du code de l'action sociale et des familles est ainsi modifié : 1° L'article L. 245-5 est ainsi modifié : a) Au début, est ajoutée la mention : « I.
• » ; b) Il est ajouté un II ainsi rédigé : « II.
• Le président du conseil départemental prend toutes mesures pour vérifier les déclarations des bénéficiaires et s'assurer de l'effectivité de l'utilisation de l'aide qu'ils reçoivent.
Il peut mettre en oeuvre un contrôle d'effectivité, portant sur une période de référence qui ne peut être inférieure à six mois, qui ne peut s'exercer que sur les sommes qui ont été effectivement versées.
Toute réclamation dirigée contre une décision de récupération de l'indu a un caractère suspensif. » ; 2° Le premier alinéa de l'article L. 245-6 est ainsi modifié : a) A la première phrase, après le mot : « accordée », sont insérés les mots : « , pour une durée d'attribution unique et renouvelable, » ; b) Est ajoutée une phrase ainsi rédigée : « Lorsque le handicap n'est pas susceptible d'évoluer favorablement, un droit à la prestation de compensation du handicap est ouvert sans limitation de durée, sans préjudice des révisions du plan personnalisé de compensation qu'appellent les besoins de la personne.
» ; 3° Le deuxième alinéa de l'article L. 245-13 est ainsi modifié : a) Les mots : « la décision attributive de la prestation de compensation ouvre droit au bénéfice des éléments mentionnés aux 2°, 3°, 4° et 5° de l'article L. 245-3 et que » sont supprimés ; b) Les mots : « elle peut spécifier » sont remplacés par les mots : « la décision attributive de la prestation de compensation prévoit » ; c) Les mots : « ces éléments » sont remplacés par les mots : « les éléments mentionnés à l'article L. 245-3 ». Article 4 Un comité stratégique, dont la composition et les missions sont précisées par décret, est créé auprès du ministre chargé des personnes handicapées.
Ce comité est chargé d'élaborer et de proposer, d'une part, des adaptations du droit à la compensation du handicap répondant aux spécificités des besoins des enfants et, d'autre part, des évolutions des modes de transport des personnes handicapées, intégrant tous les types de mobilités et assurant une gestion logistique et financière intégrée.
La présente loi sera exécutée comme loi de l'Etat.»...
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legifrance.gouv |
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Psychometric concerns with the 10-item Autism-Spectrum Quotient (AQ10) as a measure of trait autism in the general population |
05/03/2020 |
«Abstract The 10-item Autism-Spectrum Quotient (AQ10) is a self-report questionnaire used in clinical and research settings as a diagnostic screening tool for autism in adults.
The AQ10 is also increasingly being used to quantify trait autism along a unitary dimension and correlated against performance on other psychological/medical tasks. However, its psychometric properties have yet to be examined when used in this way.
By analysing AQ10 data from a large non-clinical sample of adults (n = 6,595), we found that the AQ10 does not have a unifactorial factor structure, and instead appears to have several factors.
The AQ10 also had poor internal reliability. Taken together, whilst the AQ10 has important clinical utility in screening for diagnosable autism, it may not be a psychometrically robust measure when administered in non-clinical samples from the general population.
Therefore, we caution against its use as a measure of trait autism in future research.»...
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cambridge |
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Researchers question reliability of common autistic personality test |
05/03/2020 |
«Psychologists at the University of Bath, King's College London, and Cardiff have found that a common test used by doctors and researchers to measure autistic personality traits lacks reliability and might not be capturing the right signs of autism.
This means that research including scores from this test may lack validity and raises new questions about its use for screening for autism in the general population. The 10-item Autism-Spectrum Quotient (AQ10) questionnaire asks people to report if they have personality characteristics associated with autism.
There are many forms of these types of questionnaires, with the AQ10 being the shortest and most commonly used by GPs. The National Institute for Health and Care Excellence (NICE), the government body responsible for making recommendations for clinical practice and to the NHS, recommends the AQ10 as a screening tool for autism in adults.
For research purposes, results from the questionnaire are used in large-scale studies to measure autistic traits in the general population. These autistic traits/tendencies are then linked to their performance on other tasks, in order to inform how autism may be related to other social behaviours and difficulties.»
[...]
«=In a new study, published today (Thursday 5 March) in Cambridge University Press' new journal Experimental Results, researchers used data from over 6,500 participants from the general population to examine the effectiveness of AQ10 in measuring autism.
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bath.ac |
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Researchers question reliability of common autistic personality test |
05/03/2020 |
«Psychologists at the University of Bath, King's College London, and Cardiff have found that a common test used by doctors and researchers to measure autistic personality traits lacks reliability and might not be capturing the right signs of autism.
This means that research including scores from this test may lack validity and raises new questions about its use for screening for autism in the general population. The 10-item Autism-Spectrum Quotient (AQ10) questionnaire asks people to report if they have personality characteristics associated with autism.
There are many forms of these types of questionnaires, with the AQ10 being the shortest and most commonly used by GPs. The National Institute for Health and Care Excellence (NICE), the government body responsible for making recommendations for clinical practice and to the NHS, recommends the AQ10 as a screening tool for autism in adults.
For research purposes, results from the questionnaire are used in large-scale studies to measure autistic traits in the general population. These autistic traits/tendencies are then linked to their performance on other tasks, in order to inform how autism may be related to other social behaviours and difficulties.»
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«Dr. Punit Shah, senior author of the study and expert on cognitive processing at the University of Bath's Department of Psychology, explained: "Our findings add further evidence to a growing body of literature indicating that the measures of autism and autistic traits currently used in research are inadequate.
"A lot of what we know about autism—and how to help people with autism—has come from studies where these tools are used. However, if the measure of autism is unreliable, as we suggest, so too are the findings and conclusions. Without reliable measures, it is unclear if the findings from these studies are valid, and may be hampering the support we provide for people with autistic personalities or diagnosed autism in society."
Emily Taylor, a Ph.D. researcher on the team, added: "This is an important finding, which will hopefully initiate a more concerted effort at examining and refining tools used in autism research and clinical practice. Our analyses used a large sample without medical diagnoses, so the next step would be to conduct follow-up studies in equally large clinical samples.
"More generally, we have focussed on a measure of autistic traits, but we know that there are similar reliability problems with measures of mental health tools. We need far more 'basic' science to examine and address these issues in future research, towards improving their application in the management of mental health difficulties in society."
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medicalxpress |
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Alexithymia and autism diagnostic assessments: Evidence from twins at genetic risk of autism and adults with anorexia nervosa - ScienceDirect |
05/03/2020 |
«Abstract Background Alexithymia, a difficulty identifying and communicating one's own emotions, affects socio-emotional processes, such as emotion recognition and empathy. Co-occurring alexithymia is prevalent in Autism Spectrum Disorder (ASD) and underlies some socio-emotional difficulties usually attributed to autism.
Socio-emotional abilities are examined during behavioural diagnostic assessments of autism, yet the effect of alexithymia on these assessments is not known. This study aimed to examine the associations between alexithymia and Autism Diagnostic Observation Schedule (ADOS) assessment scores.
Method Two previously collected samples of ADOS assessments were used to examine the relationship between alexithymia and ADOS scores. Participants included 96 women with anorexia, and 147 adolescents who were either high in autistic symptoms, or whose twin had high autistic symptoms.
We examined 1) the impact of alexithymia on meeting the criteria for autism/ASD, 2) correlations between alexithymia and ADOS subscales, and 3) whether alexithymia predicted scores on specific ADOS items, selected a priori based on existing literature.
Results In the adolescent group, parent-reported (but not self-reported) alexithymia correlated with both ADOS sub-scales, predicted scores on ADOS items, and predicted meeting clinical cut-offs for an ASD/autism diagnosis.
Few associations were observed in the anorexic sample between self-reported alexithymia and ADOS subscale and item scores, but the presence of alexithymia predicted the likelihood of meeting diagnostic criteria for autism/ASD in this sample.
Conclusions Alexithymia does show relationships with ADOS assessment scores. We discuss potential clinical and research implications, particularly in studies of autism where the ADOS is often the only diagnostic measure used.»...
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sciencedirect |
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Study shows LGBTQ+ individuals with autism have greater health disparities than peers |
05/03/2020 |
«Individuals with disabilities or who identify as LGBTQ+ often encounter difficulties in navigating the American health care system. A new study from the University of Kansas has found that people with autism spectrum disorder who identify as LGBTQ+ have greater health disparities than their peers, including being denied service or being told by doctors they couldn't be transgender because autism would prevent them from understanding their own sexuality.»...
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medicalxpress |
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''It Defines Who I Am'' or ''It's Something I Have'': What Language Do [Autistic] Australian Adults [on the Autism Spectrum] Prefer? | SpringerLink |
04/03/2020 |
«Abstract There has been a recent shift from person-first to identity-first language to describe autism. In this study, Australian adults who reported having a diagnosis of autism (N=198) rated and ranked autism-terms for preference and offensiveness, and explained their choice in free-text.
...˜Autistic', ...˜Person on the Autism Spectrum', and ...˜Autistic Person' were rated most preferred and least offensive overall. Ranked-means showed ...˜person on the autism spectrum' was the most preferred term overall.
Six qualitative themes reflected (1) autism as core to, or (2) part of one's identity, (3) ...˜spectrum' reflecting diversity, (4) the rejection of stigmatising and (5) medicalised language, and (6) pragmatics.
These findings highlight the importance of inclusive dialogue regarding individual language preference»...
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link.springer |
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Effects of route of administration on oxytocin-induced changes in regional cerebral blood flow in humans |munications |
03/03/2020 |
«Abstract Could nose-to-brain pathways mediate the effects of peptides such as oxytocin (OT) on brain physiology when delivered intranasally? We address this question by contrasting two methods of intranasal administration (a standard nasal spray, and a nebulizer expected to improve OT deposition in nasal areas putatively involved in direct nose-to-brain transport) to intravenous administration in terms of effects on regional cerebral blood flow during two hours post-dosing.
We demonstrate that OT-induced decreases in amygdala perfusion, a key hub of the OT central circuitry, are explained entirely by OT increases in systemic circulation following both intranasal and intravenous OT administration.
Yet we also provide robust evidence confirming the validity of the intranasal route to target specific brain regions. Our work has important translational implications and demonstrates the need to carefully consider the method of administration in our efforts to engage specific central oxytocinergic targets for the treatment of neuropsychiatric disorders.»...
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nature |
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Seine-Maritime : la maman d'un enfant autiste retranchee au sommet d'une grue depuis ce matin a Rouen |
28/02/2020 |
«Une mère de famille est retranchée à une quarantaine de mètres du sol au sommet d'une grue, depuis ce vendredi matin à Rouen (Seine-Maritime). Elle refusait toujours d'en descendre en fin de matinée.
Les sapeurs-pompiers ont été alertés à 7h15, qu'une femme s'était réfugiée sur la plateforme d'une grue de chantier à une quarantaine de mètres de haut, à l'angle de la rue Jean-Rondeaux et du boulevard d'Orléans.
Immédiatement, les secours ainsi que les services de police sont arrivés sur les lieux et ont mis un périmètre de sécurité en place.»
[...]
«Un auxiliaire de vie scolaire pour son fils autiste
La femme entend obtenir que son fils, autiste, puisse être scolarisé et accompagné par un auxiliaire de vie scolaire (AVS). Elle a indiqué à la police qu'elle ne redescendrait pas de la grue tant qu'elle n'aura pas entre les mains un document officiel de la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH) accordant à son fils, scolarisé en 5e, la présence à son côté d'un AVS.
Pour l'heure, des négociations sont en cours avec la mère de famille. Le groupe de reconnaissance et d'intervention en milieu périlleux (il s'agit de sapeurs-pompiers spécialisés) se tient prêt à intervenir pour aider la femme à redescendre en toutes sécurité.
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infonormandie |
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Schovanec : ''Autisme adulte, trop de diagnostics abusifs'' |
28/02/2020 |
«Handicap.fr : Qu'est-ce que l'autisme, à votre avis ? Josef Schovanec : L'autisme n'est pas une question d'avis. Il fait l'objet d'une définition sérieuse et médicale. Il faut mettre fin à la croyance que n'importe qui peut, après s'être déclaré autiste, définir l'autisme selon ses envies ou croyances.
En particulier, pour ne citer que les erreurs les plus fréquentes de nos jours, non, l'autisme n'est pas lié aux énergies du corps astral, ni à l'oppression des femmes sous le patriarcat...¦ De même, ce n'est pas parce qu'on arrive à la quarantaine et qu'on n'a pas eu la vie affective ou professionnelle dont on rêvait que l'on est autiste.
Le fait d'avoir été victime de crimes, de viols et d'autres horreurs ne rend pas autiste non plus. La liste serait longue...»
[...]
«H.fr : Selon vous, est-on face, aujourd'hui, à une recrudescence des demandes de diagnostics de TSA (troubles du spectre autistique), pour certains « abusifs » ?
JS : A peu près tous les professionnels de l'autisme constatent que la part des diagnostics abusifs a totalement dérapé mais peu de gens osent parler, tant le tabou est lourd. Il n'existe pas, et c'est heureux, de registre national des autistes ; nul ne peut donc savoir avec exactitude combien de personnes ont reçu un diagnostic, d'autant plus que l'expression même « avoir un diagnostic » recouvre des réalités extrêmement variables.
De façon schématique, s'agissant uniquement des adultes dont la demande est personnelle, au sens où elle n'émane pas d'un tiers, on peut raisonnablement estimer que les deux tiers des nouveaux diagnostics sont faux ou douteux. Le phénomène est assez nouveau, il y a encore dix, voire cinq ans, ce taux était négligeable. S'agissant des enfants, au contraire, je crois que la plupart des diagnostics sont plutôt fiables.
H.fr : Comment peut-on identifier un diagnostic abusif ?
JS : Un certain nombre d'éléments sont clairement indicateurs d'abus. Par exemple, pour n'en citer que cinq : quand le médecin en question ne refuse jamais de diagnostic, sachant que d'autres en refusent les neuf dixièmes ; quand le sex-ratio des personnes diagnostiquées est manifestement déséquilibré (j'y reviens) ; quand la catégorie d'autisme phagocyte les autres diagnostics tels que la schizophrénie ou la dépression ; quand des personnes sont en situation de « sur-cumul » de diagnostics (Ehlers-Danlos, double exceptionnalité HQI et multi-dys, non-binaire, TDAH, etc) et, enfin, lorsque la personne présente ce que j'appellerais le « carré magique de l'inclusion sociale », à savoir emploi-logement-famille-voiture, avec une mention particulière pour les personnes ayant eu un nombre important de partenaires sexuels. Autant de signes qui doivent inciter à la plus grande prudence.
De façon intéressante, le DSM V (manuel officiel de diagnostic des maladies mentales) a prévu des catégories de « délestage » pour juguler les abus mais ces catégories ne sont, pour ainsi dire, jamais utilisées : trouble de la personnalité limite et trouble de la communication sociale, notamment. D'autres catégories médicales sont souvent confondues avec l'autisme, à l'instar de l'alcoolémie fœtale, qui pourtant s'accompagne de traits parfaitement observables sur le visage des gens, leur taille, etc. Résultat, tout le monde est autiste. L'abus diagnostic coexiste souvent avec un sous-diagnostic des autistes réels.
H.fr : Peut-on parler de « phénomène » qui pousse à « étiqueter » autisme plusieurs troubles psychiques ou des personnes qui ne comprennent pas certains codes sociaux ?
JS : Ou plutôt qui les comprennent très bien. Il est fréquent que des personnes adultes dites autistes n'ayant aucun handicap médicalement observable arrachent des taux d'incapacité stratosphériques avec toutes sortes de reconnaissances administratives tandis que des enfants manifestement en situation de handicap, autistes peu verbaux par exemple, n'obtiennent pas les 80 % à la MDPH (Maison départementale des personnes handicapées). Pour avoir promptement un diagnostic d'autisme, il faut détenir des compétences sociales majeures, ce qui est assez paradoxal. C'est ce que j'appellerais l'effet d'éviction des autistes réels.
Un autre élément essentiel de l'autisme, qui a été à peu près totalement sacrifié, est la notion de centre d'intérêt autistique. De nos jours, la grande majorité des nouveaux autistes n'a plus de centre d'intérêt. A ce titre, il convient de préciser que s'intéresser à soi-même, passer son temps sur Facebook, aimer la nature ou encore le sexe ne sont pas des centres d'intérêt autistiques. Une anecdote qui dit tout : naguère, mon ami Tony Attwood (spécialiste mondialement connu de l'autisme, ndlr), pour établir le lien avec un autiste, lui demandait d'abord quels étaient ses centres d'intérêt ; de nos jours, beaucoup de praticiens demandent au patient de décrire sa vie sexuelle pour établir le contact et se faire une première idée.
H.fr : Cela concerne-t-il plutôt les femmes ou les hommes ?
JS : Voilà un sujet hautement sensible. Pour rester très factuel, contrairement à une idée répandue, l'autisme a toujours été un univers féminin. Depuis Temple Grandin (Américaine autiste ayant écrit le premier témoignage d'un autiste adulte, ndlr), une majorité écrasante de livres-témoignages ont été écrits par des femmes, une majorité écrasante des professionnels spécialisés sont des femmes (il suffit d'aller dans une fac de psycho ou d'orthophonie), une majorité écrasante de parents impliqués sont des mamans et même constat ou presque dans les sphères dirigeantes. La situation est telle que, désormais, l'une des préoccupations quand on constitue un comité ou une association est de trouver des hommes. Il est donc difficile de soutenir que l'autisme est un bastion du patriarcat.
Ceci étant, je constate une montée forte des diagnostics problématiques chez les hommes également, par mimétisme ou, tout simplement, par volonté d'être dans un environnement féminin – d'ailleurs parfois avec des visées plus ou moins avouables.
H.fr : Des pressions sont-elles exercées sur certains médecins pour obtenir ces diagnostics, qui cèdent pour « avoir la paix » ? La communauté médicale commence-t-elle à réagir ?
JS : La communauté médicale murmure les choses mais n'ose guère les dire. Vous n'imaginez pas la violence de la tempête qui s'abat sur vous si vous refusez des diagnostics ou restez critique : accusations de validisme, de sexisme, attaques physiques, saisine de l'Ordre ou de la justice... On pourrait écrire une sorte de compendium des situations vécues par les médecins : menaces de suicide pendant la consultation si le diagnostic est refusé, tourisme médical extrême jusqu'à obtenir tous les diagnostics requis, patient arrivant avec un dossier complet où il ne manque plus que la signature, chantages sur les réseaux sociaux, etc. Il est humainement difficile de refuser un diagnostic à un patient qui fond en larmes devant vous et fait part d'une souffrance extrême. En particulier pour les médecins en libéral, surtout si ce sont des hommes. Les professionnels de santé s'adaptent de diverses façons : certains cèdent, d'autres changent d'activité, d'autres écrivent délibérément des âneries sur la feuille comme pour alerter « diagnostic faux » et d'autres encore en font un business de façon assumée.
H.fr : Ce serait donc un marché qui peut être fructueux ?
JS : Si vous distribuez les diagnostics comme des petits pains, vous aurez une réputation extraordinaire sur les réseaux sociaux et de fortes rentrées d'argent. L'un des noms qui revient le plus souvent est une vraie caricature de la chose ; nombre d'anecdotes pourraient être dites si j'avais assez d'argent pour un avocat. Pour la personne bénéficiaire, les avantages sont également nombreux. En termes d'obtention de certains emplois, à l'université ou au CNRS (Centre national de recherche scientifique) par exemple. Un point moins connu est l'avantage pour les entreprises : avec une distribution généreuse des diagnostics d'autisme, le taux de 6 % d'emploi de personnes handicapées peut être largement dépassé en un clin d'œil, ou presque.
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informations.handicap |
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Handicap : dispositions financieres diverses pour l'acces a l'emploi |
24/02/2020 |
«Un premier arrêté du 5 février porte reconduction unilatérale de tous les avenants financiers 2019 dans la limite des quatre premiers mois de l'année 2020 pour les entreprises adaptées.
Plus précisément, pour l'année 2020, la totalité des avenants financiers 2019 mentionnés à l'article R. 5213-76 du code du travail et à l'article 2 du décret n° 2019-360 du 24 avril 2019, relevant d'une convention financière pluriannuelle en vigueur au 1er janvier 2020, sont reconduits automatiquement à titre provisoire pour une période de quatre mois maximum ; les stipulations financières des avenants 2019 mentionnées à l'article 2 du décret n° 2018-990 du 14 novembre 2018 relevant d'une convention financière pluriannuelle en vigueur au 1er janvier 2020 sont reconduites automatiquement à titre provisoire pour une période de quatre mois maximum.
Un deuxième arrêté du même jour fixe les montants des aides financières susceptibles d'être attribuées aux entreprises adaptées hors expérimentation. Ces deux aides sont : l'aide financière prévue à l'article R. 5213-76 du code du travail, une aide au poste dont le montant est modulé pour tenir compte de l'impact du vieillissement des travailleurs handicapés employés ; l'aide financière prévue à l'article D. 5213-81 du code du travail, une aide à l'accompagnement versée au titre l'accompagnement professionnel individualisé, réalisé par l'entreprise adaptée au bénéfice des salariés mis à disposition auprès d'un autre employeur.
Enfin, un troisième arrêté revalorise le montant de l'aide financière susceptible d'être attribuée aux entreprises adaptées de travail temporaire et aux entreprises adaptées autorisées à mettre en oeuvre l'expérimentation des contrats à durée déterminée tremplin.»...
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lagazettedescommunes |
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Conference du handicap : scepticisme des premiers concernes |
19/02/2020 |
«Une semaine après les annonces du président Emmanuel Macron lors de la conférence nationale du handicap qu'en pensent les personnes premières concernées ? On peut le dire, le scepticisme est de rigueur.
La fille de Sandra Froger, présidente de l'association « Chloé, princesse à roulettes », est bientôt majeure. « Les choses vont changer aussi pour nous, son avenir est presque tout tracé suivant les dires de M. Macron.
Puisqu'il n'y a pas assez d'institutions en France, et que nous n'avons pas la possibilité de faire travailler Chloé en raison de son handicap, le seul moyen de la voir est de rester à la maison à plein temps après ses 20 ans avec 900 E de rémunération en tout et pour tout.»
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«Une semaine après les annonces du président Emmanuel Macron lors de la conférence nationale du handicap qu’en pensent les personnes premières concernées ? On peut le dire, le scepticisme est de rigueur.
La fille de Sandra Froger, présidente de l’association « Chloé, princesse à roulettes », est bientôt majeure. « Les choses vont changer aussi pour nous, son avenir est presque tout tracé suivant les dires de M. Macron. Puisqu’il n’y a pas assez d’institutions en France, et que nous n’avons pas la possibilité de faire travailler Chloé en raison de son handicap, le seul moyen de la voir est de rester à la maison à plein temps après ses 20 ans avec 900 € de rémunération en tout et pour tout. »
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lanouvellerepublique |
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Researchers develop new tool to help detect hidden signs of autism in adults |
17/02/2020 |
«Researchers have developed a potential new tool to help clinicians detect hidden signs of autism in adults. Autism is usually diagnosed in childhood but a growing number of adults are being diagnosed with the condition, even in mid-to-late adulthood.
Many adults develop compensatory psychological strategies to hide their symptoms from clinicians, employers and even their own families. These strategies make the developmental condition much harder to diagnose and "performing" to fit into society can place a huge mental strain on the autistic person.»
[...]
«Checklist
Using the checklist, the researchers summed up compensatory strategies in 117 adults (58 with autism, 59 without autism) to create numerical compensation scores. They found that participants with an autism diagnosis or those self-reporting higher autistic traits (for example difficulties in reading other people's minds) had higher compensation scores.
Individuals would score 1 (presence of strategy) or 0 (absence of strategy) on each item on the checklist:
Predict, plan out and rehearse conversations before they happen, out loud or in your head
Mimic phrases, gestures, facial expressions, tone of voice picked up from other people and/or TV/film/book characters
Rely on props (e.g., dog, children, interesting object) to structure and guide conversation
Make appropriate eye contact, even if it is not useful for communication and/or is aversive OR avoid eye contact but give the impression of social interest (e.g., look at bridge of nose, stand at a 90° angle to interaction partner).
The checklist could offer a first step for clinicians to help measure compensatory strategies during autism assessments. It could also help improve awareness of more invisible features of autism to GPs, who are the first port of call for individuals seeking a diagnosis.
The study used a sample that was predominantly comprised of intellectually-able females so the researchers said further work would be needed to establish whether the findings were true of the wider autistic population.
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medicalxpress |
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Researchers develop new tool to help detect hidden signs of autism in adults |
17/02/2020 |
«Researchers have developed a potential new tool to help clinicians detect hidden signs of autism in adults. Autism is usually diagnosed in childhood but a growing number of adults are being diagnosed with the condition, even in mid-to-late adulthood.
Many adults develop compensatory psychological strategies to hide their symptoms from clinicians, employers and even their own families. These strategies make the developmental condition much harder to diagnose and "performing" to fit into society can place a huge mental strain on the autistic person.»
[...]
«Checklist
Using the checklist, the researchers summed up compensatory strategies in 117 adults (58 with autism, 59 without autism) to create numerical compensation scores. They found that participants with an autism diagnosis or those self-reporting higher autistic traits (for example difficulties in reading other people's minds) had higher compensation scores.
Individuals would score 1 (presence of strategy) or 0 (absence of strategy) on each item on the checklist:
Predict, plan out and rehearse conversations before they happen, out loud or in your head
Mimic phrases, gestures, facial expressions, tone of voice picked up from other people and/or TV/film/book characters
Rely on props (e.g., dog, children, interesting object) to structure and guide conversation
Make appropriate eye contact, even if it is not useful for communication and/or is aversive OR avoid eye contact but give the impression of social interest (e.g., look at bridge of nose, stand at a 90° angle to interaction partner).
The checklist could offer a first step for clinicians to help measure compensatory strategies during autism assessments. It could also help improve awareness of more invisible features of autism to GPs, who are the first port of call for individuals seeking a diagnosis.
The study used a sample that was predominantly comprised of intellectually-able females so the researchers said further work would be needed to establish whether the findings were true of the wider autistic population.
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medicalxpress |
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Allocation aux adultes handicapes : la prise en compte du revenu du conjoint supprimee a l'Assemblee nationale |
14/02/2020 |
«Une proposition de loi déposée par 18 députés a été adoptée ce jeudi 13 février par l'Assemblée nationale, contre l'avis du gouvernement. Parmi les mesures approuvées : la fin de la conjugalisation de l'allocation aux adultes handicapés.
Nouveau désaveu pour le gouvernement. Les députés viennent d'adopter une partie d'une proposition de loi qui vise notamment à ne plus considérer les revenus du conjoint dans le calcul de l'allocation aux adultes handicapés (AAH) ainsi que dans son plafonnement.
En effet, la prise en compte des revenus de l'ensemble du ménage a eu pour conséquence de priver certains allocataires du bénéfice des hausses exceptionnelles de l'AAH. Pour rappel, le 1er novembre dernier, l'AAH a augmenté de 40 euros, son montant passant de 860 à 900 euros.
Sauf que 10 % des 1,13 million d'allocataires n'ont pas profité de cette hausse. La raison ? En parallèle de cette augmentation, les plafonds permettant d'attribuer l'AAH ont été gelés.
Résultat, ces allocataires vivant en couple dont les ressources dépassent le plafond n'ont pas bénéficié de ce coup de pouce de l'Etat.»
[...]
«Ainsi, d’après les chiffres communiqués par le secrétariat d’État chargé des personnes handicapées au moment de cette revalorisation, sur les 270.000 bénéficiaires de l’AAH vivant en couple, 40.500 ont perçu une hausse inférieure à 40 euros et 67.500 n’ont profité d’aucune augmentation. Pour éviter cette situation, et permettre que l’ensemble des allocataires de l’AAH bénéficient des hausses, la proposition de loi supprime la prise en compte des revenus du conjoint ce qui revient donc à individualiser le versement de cette aide. Le texte doit maintenant être étudié au Sénat.
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capital |
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Centre Presse : Handicap: les parents tapent du poing sur la table |
12/02/2020 |
«Broyée et sans argent, tu vas nulle part pour scolariser ton gosse, sauf à payer 8.000 euros ton année dans le privé. Les mots de cette mère de famille sont terribles. C'est pourtant la manière qu'ont certains parents d'enfants handicapés de décrire leur quotidien dans la Vienne.
Des mots qu'ils ont eu l'occasion de répéter aux oreilles de la direction de la maison départementale des personnes handicapées (MDPH) hier après-midi à Poitiers. « Galère » Un mouvement national, lancé par un collectif, a appelé en effet parents, professionnels et éducateurs à exprimer leurs colères devant les institutions à un moment symbolique, quinze ans pile après l'adoption de la loi pour « l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées » (2005). Et au moment où le président Macron dévoilait dans la journée sa stratégie pour cette « cause nationale » comme il l'annonçait lors de sa campagne.»
[...]
« Claire parle de son expérience avec son enfant autiste comme une « galère »: « Devant les commissions de la MDPH, nous faisons face à une machine administrative, estime cette mère seule au quotidien. Les procédures, les demandes sont complexes et chronophages. Il nous faut remplir une vingtaine de pages pour expliquer chaque année que son enfant est autiste, que cela n'a pas changé. C'est un tribunal auquel vous faites face, où l'on vous juge sur votre témoignage, où l'on vous suspecte de tricher la réalité. » Les parents mobilisés regrettent un système où « la dimension humaine du handicap » n'est pas toujours prise en compte. « Pendant les commissions, on a l'impression que l'on teste les parents, explique Magali, seule avec son fils de 12 ans. Des conseillères m'ont sorti: "Il ne fait pas handicapé votre fils." » Quand d'autres parents se voient répondre « pas assez handicapé » pour permettre une allocation ou une place en établissement spécialisé.
En tout début de mobilisation, Jean-Marie Courtois, directeur de la MDPH de la Vienne, est venu à la rencontre des manifestants et les a conviés dans une salle à part « pour recueillir les témoignages ». Les parents, en larmes, sortent au compte-gouttes de la pièce alors qu'une pluie de remontrances s'abat contre le directeur. Tous appellent à une meilleure formation des conseillers sur les différentes formes de handicaps, des budgets départementaux décents et une revalorisation de l'accompagnement scolaire.
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centre-presse |
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Handicap : les 12 travaux de Macron en faveur de l'inclusion |
11/02/2020 |
«Il y a eu un avant et un après la loi de 2005, même si le chemin n'est pas terminé... Revalorisation de l'Allocation adulte handicapé (AAH), droit de vote accordé aux majeurs sous tutelle, attribution des droits à vie, école inclusive, stratégie autisme... Toutes ces mesures participent à une philosophie nouvelle où l'on ne considère plus les personnes handicapées comme des figures d'altérités, eux, mais comme des citoyens à part entière, nous.
Il n'y a pas, d'un côté, des personnes handicapées et, de l'autre, celles que le destin ou l'existence auraient épargné. » Quinze ans, jour pour jour, après la loi du 11 février 2005, qui a reconnu, pour la première fois, l'égalité des droits et des chances et la participation des personnes handicapées, Emmanuel Macron se veut rassurant et optimiste en matière d'inclusion.
Après avoir dressé un bilan des mesures « phares » mises en oeuvre à mi-mandat, le président de la République dévoile 12 nouveaux engagements pour l'acte deux du quinquennat.
« L'AAH demeurera. Jamais l'Allocation adulte handicapé ne sera transformée, diluée ni supprimée au bénéfice du revenu universel d'activité », assure-t-il en préambule.»...
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informations.handicap |
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Video Discours lors de la Conference nationale du handicap - YouTube |
11/02/2020 |
«FR 3:24 / 47:13 PALAIS DE L'ELYSEE Discours lors de la Conférence nationale du handicap»...
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youtube |
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What happens in your brain when you play with your children |
11/02/2020 |
«Playing hide-and-seek, kicking around a ball or racing toy cars, painting, singing ...¦ anything! Play, play, play with your kids. According to science, it's one of the best ways to contribute to the development of your little ones ...” and yourself! A Princeton study We already know that playing helps children to grow, to develop creativity, to carry out specific roles, to face the world.
And it also turns out that playing with mom and dad creates a special connection between the child and the adult. A study from Princeton University just confirmed this.»
[...]
«A new discovery
Now, we know that playing with children creates a unique and strong bond, beyond the game itself. It benefits both the adult and the baby, because what Princeton University has just concluded is that both the adult’s and the child’s brains – even if the child is just an infant – record increased neuronal activity.
FAMILY
New Africa - Shutterstock
Your and your little one's brains synchronize when you play.
This is the first study of how the brain interacts between parents and children while they play, and finding that there is similar neuronal activity in both is an important discovery. The research, the team said in a press release, was conducted at the Princeton Baby Lab, where university researchers are looking at how children “learn to see, talk and understand the world.”
“Neuronal synchronization” between parents and children
“Previous research has shown that adults’ brains sync up when they watch movies and listen to stories, but little is known about how this ‘neural synchrony’ develops in the first years of life,” explains Elise Piazza. Piazza, the first author on the paper describing the research, is an associate research scholar at the Princeton Neuroscience Institute (PNI).
Piazza and her co-authors say that “neural synchrony has important implications for social development and language learning.”
According to the researchers, this is surprising because the synchronization occurs in the brain’s prefrontal cortex, which is where “learning, planning and executive functioning” take place. It’s a region of the brain which, until now, was not thought to develop significantly in early childhood.
»...
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aleteia |
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Enfants handicapes : « Trop souvent, on se contente de ''compenser'' a l'echelle individuelle » |
11/02/2020 |
«Parent d'un enfant handicapé, Nicolas Eglin qui préside la Fédération nationale des associations au service des élèves présentant une situation de handicap (Fnaseph), déplore « la lourdeur des procédures administratives ». Quel bilan tirez-vous de la loi de 2005 et des mesures en faveur de la scolarisation des enfants handicapés ? Il faut saluer le fait que le droit à la scolarisation pour tous est maintenant reconnu.
Les parents ont compris qu'ils pouvaient s'appuyer sur la loi pour demander la scolarisation de leur enfant dans une école de quartier ou dans un établissement médico-social.
En 2019, avec la loi « pour une école de la confiance », l'éducation nationale reconnait un peu plus sa responsabilité en matière de scolarisation des enfants handicapés, en renforçant par exemple le statut des accompagnants.
La situation n'est pas pleinement satisfaisante. Il manque encore des places en classes ULIS [les unités localisées pour l'inclusion scolaire, qui accueillent des enfants handicapés dans les écoles, les collèges et les lycées], et le dialogue entre l'école et les instituts médico-sociaux pourrait être amélioré. « La situation n'est pas pleinement satisfaisante.
Il manque encore des places en classes ULIS. » Mais surtout, les familles se heurtent encore à la lourdeur des procédures administratives. Depuis la loi de 2005, ce sont les maisons départementales des personnes handicapées qui proposent les aménagements dont l'enfant a besoin à l'école.
Il s'agissait de distinguer le lieu de la prise de décision et le lieu de la scolarisation, ce qui est très bien : on évite les conflits entre les familles et les enseignants.
Le problème, c'est que ces structures sont embolisées par le nombre de dossiers à traiter et que la réponse individuelle, humaine, est supplantée par un traitement administratif de masse.»...
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lemonde |
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Groupe public MDPH MOBILISATION NATIONALE 11/02/2020 | Facebook |
09/02/2020 |
«ANNONCE OFFICIELLE Voici la liste des villes en France ou il sera possible de se mobiliser mardi 11 fevrier (car les coordinateurs départementaux ont effectué la déclaration en préfecture). Nous nous desolidarisons de toute autre mobilisation se déclarant liée à notre mouvement et ayant lieu sans avoir contacté l'équipe de coordination générale et sans avoir déclaré la manifestation auprès de sa préfecture.»
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10 AUBE
De 14h à 17h - MDPH de Troyes
Avec Océane et Julie
11 AUDE
De 13h30 à 17h - MDPH de Carcassonne
Avec Hervé
13 BOUCHES DU RHÔNE
De 10h30 à 15h - MDPH de Marseille
Attention : départ à 10h30 Place de la Joliette
Avec Céc Ile, Delfine et Emeline
16 CHARENTE
De 9h30 à 12h - MDPH d'Angoulême
Avec Sbane
22 CÔTES D'ARMOR
De 10h30 à 16h - MDPH de Plérin
Avec Lili Bac
26 DROME
De 9h à 17h - MDPH de Valence
Avec Lydia Kiyo
29 FINISTÈRE
De 10h à 12h - MDPH de Quimper
Avec Sophie
30 GARD
De 14h30 à 16h30 - MDPH de Nîmes
Avec Betty et Nathalie
31 HAUTE GARONNE
De 13h à 16h30 - MDPH de Toulouse
Avec Xavier
34 HÉRAULT
De 10h à 17h - MDPH de Montpellier
Avec Cat
38 ISERE
De 14h à 16h - MDPH de Grenoble
Avec Leks et Priscille
40 LANDES
De 9h à 17h - MDPH de Mont de Marsan
Avec Elodie et Sabine
42 LOIRE
De 14h à 17h - MDPH de Saint Étienne
Avec Djoe
44 LOIRE ATLANTIQUE
De 10h à 17h - MDPH de Orvault
Avec Valérie et Lucie Michel
49 MAINE ET LOIRE
De 14h à 17h - MDPH de Angers
Avec Alhyana
57 MOSELLE
De 10h à 16h - MDPH de Metz
Avec Sandra
59 NORD
De 11h à 15h - MDPH de Villeneuve d'Ascq
Avec Hélène, Mayeule et Samira
62 PAS DE CALAIS
De 9h30 à - MDPH de Arras
Avec Laetitia
63 PUY DE DOME
De 14h à 18h - MDPH de Clermont Ferrand
Avec Beryl
64 PYRENNES ATLANTIQUES
De 11h à 15h - MDPH de Pau
Avec Juliette
68 HAUT RHIN
De 9h à 15h - MDPH de Colmar
Avec Dorine
69 RHÔNE
De 13h30 à 16h - MDPH de Lyon
Avec Anna
72 SARTHE
De 9h à 15h - MDPH du Mans
Avec Dany et Oliviee
74 HAUTE SAVOIE
De 10h à 15h - MDPH Annecy
Avec Charlotte, Gaelle et Julie
76 SEINE MARITIME
De 9H30 à 12h30 - CMS Fécamp
Avec Anne-béatrice
77 SEINE ET MARNE
De 13h30 à 16h30 - MDPH de Savigny Le Temple
Avec Sivanthini
78 YVELINES
De 11h à 13h - MDA de Versailles
Avec Cathy
79 DEUX SÈVRES
De 10h à 12h - MDPH de Niort
Avec Sterenn
81 TARN
De 10h à 15h - MDPH de Albi
Avec Anouck
82 TARN ET GARONNE
De 8h à 13h - MDPH Montauban
Avec Thiebaut Julie Diaz
86 VIENNE
De 13h à 15h - MDPH de Poitiers
Avec Emilie et Isa
91 ESSONNE
De 11h à 13h - MDPH d'Evry
Avec Deborah
92 HAUTS DE SEINE
De 14h à 17h - MDPH de Nanterre
Avec Jean Christophe
94 VAL DE MARNE
De 14h à 16h - MDPH de Créteil
Avec Amandine
971 GUADELOUPE
De 9h à 12h - MDPH Le Gosier
Avec Billie, Eggy et Shanna
972 MARTINIQUE
De 10h à 14h - MDPH de Fort de France
Avec Nathalie et Aurore
973 GUYANE
De 9h à 12h - MDPH de Cayenne
Avec Nadeline
974 RÉUNION
De 13h à 15h - MDPH de Saint Pierre
Avec Naïda
De 9h à 11h - MDPH de Saint Denis
Avec Marie Julie
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facebook |
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Genetic Risk for Autism Associated With Neurodevelopmental Progress, Condition-Linked Traits | GenomeWeb |
08/02/2020 |
«NEW YORK - Infants with high polygenic risk scores for autism spectrum disorder exhibit traits associated with the condition, a new study has found. Autism spectrum disorder is highly heritable and both rare and common variants are associated with it.
Signs of autism spectrum disorder typically begin to manifest by three or four years of age, but as that is after a time of accelerated brain development, scientists are searching for ways to spot those at risk at an early age when interventions may be the most effective.
Researchers led by Hamamatsu University School of Medicine's Kenji Tsuchiya examined whether a polygenic risk score for autism spectrum disorder was associated with neurodevelopmental progress and autism-related traits in a cohort of 734 infants from the general population.
"[T]he association of genetic risks derived from common risk variants with ASD traits in children from the general population is not clear, and the association of these genetic risks with neurodevelopment in infants has not been well understood," Tsuchiya and colleagues wrote in their paper.
As they reported Friday in JAMA Network Open, they found these risk scores to be associated with infant neurodevelopment, especially gross motor and receptive language development, and their analysis implicated gene sets involved in glutamate signaling and the immune system.
To generate their polygenic risk score for autism, the researchers used data from the Lundbeck Foundation Initiative for Integrative Research GWAS study and the software program PRSice-2. They applied the score to genotyping data gathered from 734 infants from the Hamamatsu Birth Cohort for Mothers and Children without developmental delay.
They also used the Mullen Scales of Early Learning to measure the infants' neurodevelopmental progress at 18 months of age and the Autism Diagnostic Observation Schedule 2 to measure autism traits at six years of age.»...
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genomeweb |
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Simplification des demarches et acces aux droits : la CNSA dresse un bilan des actions menees - Previssima |
06/02/2020 |
«Lors d'une rencontre avec la presse organisée ce mardi 4 février 2020, Virginie Magnan, directrice de la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA) a fait un point sur les actions menées par la caisse dans le champ de l'aide médico-sociale.
Elle a notamment détaillé l'ensemble des évolutions en matière de simplification des démarches et de l'accès aux droits. Alors que des disparités territoriales profondes existent en matière d’accompagnement apporté par les Maisons départementales des personnes handicapées (MDPH), Virginie Magnan annonce une implication plus importante de la CNSA en vue de simplifier l’accès aux droits aux personnes en situation de handicap.»
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«Des avancées dans le domaine de l’accompagnement par les MDPH
Alors que des disparités territoriales profondes existent en matière d’accompagnement apporté par les Maisons départementales des personnes handicapées (MDPH), Virginie Magnan annonce une implication plus importante de la CNSA en vue de simplifier l’accès aux droits aux personnes en situation de handicap.
Ce soutien passe notamment par l’élaboration conjointe d’indicateurs devant servir à la mise en place d’un tableau de bord, ce dernier devant permettre d’objectiver les différences de délais et de qualité de réponse des MDPH dans le traitement des demandes des usagers.
Une plateforme d’information en ligne dédiée au handicap
Développée par la CNSA et la Caisse des dépôts, cette plateforme proposera « une information généraliste, officielle, fiable, facilement compréhensible et accessible sur l’ensemble du parcours des personnes en situation de handicap ».
L’ambition est de couvrir l’ensemble des étapes du parcours de vie de la personne en situation de handicap et ce, à plusieurs niveaux : l’annonce du handicap, la scolarité et les études supérieures, l’emploi et la formation, la santé, la vie sociale et culturelle, le logement, les transports, etc.
Le dispositif vise à permettre aux personnes concernées, de gérer leur parcours et leurs démarches en ligne.
La première rubrique de la plateforme qui sera mise en ligne début 2020, sera celle qui est consacrée à l’emploi et à la formation des personnes souffrant d'un handicap, et plus particulièrement à l'apprentissage.
Quant aux rubriques suivantes, elle seront mises en ligne progressivement.
Demande d’aide à domicile : un nouveau formulaire unique
Conjointement avec la Caisse nationale d’Assurance vieillesse (CNAV), la CNSA termine actuellement la rédaction d’un nouveau formulaire simplifié, permettant d’effectuer, en une seule fois, une demande d’aide à domicile auprès des institutions concernées.
Ce formulaire unique de demande d’aide à domicile devrait faire l’objet d’un test entre avril et juillet 2020 dans 6 Caisses d'assurance retraite et de la santé au travail (CARSAT) et départements volontaires.
Par ailleurs, courant 2020, une version dématérialisée de ce formulaire, sous forme de téléservice national, devrait également être élaborée.
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previssima |
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Simplification des demarches et acces aux droits : la CNSA dresse un bilan des actions menees - Previssima |
06/02/2020 |
«Lors d'une rencontre avec la presse organisée ce mardi 4 février 2020, Virginie Magnan, directrice de la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA) a fait un point sur les actions menées par la caisse dans le champ de l'aide médico-sociale.
Elle a notamment détaillé l'ensemble des évolutions en matière de simplification des démarches et de l'accès aux droits. Alors que des disparités territoriales profondes existent en matière d’accompagnement apporté par les Maisons départementales des personnes handicapées (MDPH), Virginie Magnan annonce une implication plus importante de la CNSA en vue de simplifier l’accès aux droits aux personnes en situation de handicap.»
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«Des avancées dans le domaine de l’accompagnement par les MDPH
Alors que des disparités territoriales profondes existent en matière d’accompagnement apporté par les Maisons départementales des personnes handicapées (MDPH), Virginie Magnan annonce une implication plus importante de la CNSA en vue de simplifier l’accès aux droits aux personnes en situation de handicap.
Ce soutien passe notamment par l’élaboration conjointe d’indicateurs devant servir à la mise en place d’un tableau de bord, ce dernier devant permettre d’objectiver les différences de délais et de qualité de réponse des MDPH dans le traitement des demandes des usagers.
Une plateforme d’information en ligne dédiée au handicap
Développée par la CNSA et la Caisse des dépôts, cette plateforme proposera « une information généraliste, officielle, fiable, facilement compréhensible et accessible sur l’ensemble du parcours des personnes en situation de handicap ».
L’ambition est de couvrir l’ensemble des étapes du parcours de vie de la personne en situation de handicap et ce, à plusieurs niveaux : l’annonce du handicap, la scolarité et les études supérieures, l’emploi et la formation, la santé, la vie sociale et culturelle, le logement, les transports, etc.
Le dispositif vise à permettre aux personnes concernées, de gérer leur parcours et leurs démarches en ligne.
La première rubrique de la plateforme qui sera mise en ligne début 2020, sera celle qui est consacrée à l’emploi et à la formation des personnes souffrant d'un handicap, et plus particulièrement à l'apprentissage.
Quant aux rubriques suivantes, elle seront mises en ligne progressivement.
Demande d’aide à domicile : un nouveau formulaire unique
Conjointement avec la Caisse nationale d’Assurance vieillesse (CNAV), la CNSA termine actuellement la rédaction d’un nouveau formulaire simplifié, permettant d’effectuer, en une seule fois, une demande d’aide à domicile auprès des institutions concernées.
Ce formulaire unique de demande d’aide à domicile devrait faire l’objet d’un test entre avril et juillet 2020 dans 6 Caisses d'assurance retraite et de la santé au travail (CARSAT) et départements volontaires.
Par ailleurs, courant 2020, une version dématérialisée de ce formulaire, sous forme de téléservice national, devrait également être élaborée.
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previssima |
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Le gouvernement debloque 30 millions d'euros pour l'inclusion numerique |
06/02/2020 |
«Treize millions de Français restent peu familiers avec le numérique, ce qui perturbe leurs démarches administratives et leur accès aux droits. En déplacement dans les Pyrénées-Atlantiques, jeudi 6 février, le secrétaire d'Etat au numérique Cédric O annonce dans La Croix une enveloppe de 30 millions d'euros pour former un million de personnes dès 2020. « À la notion de “fracture”, suggérant qu’on est soit “in” soit “out”, je préfère celle de “distance numérique”, nuance Pascal Plantard, anthropologue des usages numériques.
Certains collégiens, adeptes des réseaux sociaux, utilisent Internet sans le savoir. Quand on leur propose d’aller y chercher des informations utiles pour leur formation, ils sont perdus.
» Le sentiment d’exclusion risque d’augmenter, contredisant la promesse, longtemps contenue dans l’expansion du net, de rapprocher les usagers de leurs administrations et de leurs entreprises.
Le défenseur des droits, Jacques Toubon, a d’ailleurs noté une corrélation nette entre la dématérialisation des services (Pôle Emploi, la caisse d’allocations familiales, etc.) et le non-recours aux droits.»
[...]
«Dématérialisation et hausse du non-recours aux droits
« À la notion de “fracture”, suggérant qu’on est soit “in” soit “out”, je préfère celle de “distance numérique”, nuance Pascal Plantard, anthropologue des usages numériques. Certains collégiens, adeptes des réseaux sociaux, utilisent Internet sans le savoir. Quand on leur propose d’aller y chercher des informations utiles pour leur formation, ils sont perdus. »
Le sentiment d’exclusion risque d’augmenter, contredisant la promesse, longtemps contenue dans l’expansion du net, de rapprocher les usagers de leurs administrations et de leurs entreprises. Le défenseur des droits, Jacques Toubon, a d’ailleurs noté une corrélation nette entre la dématérialisation des services (Pôle Emploi, la caisse d’allocations familiales, etc.) et le non-recours aux droits.
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la-croix |
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Depakine : Sanofi mis en examen, la presidente de l'association de victimes reagit - France 3 Occitanie |
04/02/2020 |
«"Je suis extrêmement satisfaite de voir que la procédure pénale que j'avais initiée en 2016 franchit une étape importante", exprime dans un communiqué Marine Marin, présidente de l'Association d'aide aux parents d'enfants souffrant du syndrome de l'anticonvulsivant (Apesac). Depuis septembre 2016, l'enquête du groupe pharmaceutique Sanofi visait à établir s'il y avait eu "tromperie sur les risques inhérents à l'utilisation du produit et les précautions à prendre ayant eu pour conséquence de rendre son utilisation dangereuse pour la santé de l'être humain" au cours de la période de 1990 à avril 2015. La décision vient de tomber, le groupe a été mis en examen, lundi 3 janvier.»
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«"Des dizaines de victimes empoisonnées"
Cette enquête faisait suite à une procédure lancée à l'initiative de l'Association d'aide aux parents d'enfants souffrant du syndrome de l'anticonvulsivant (Apesac), présidée Marine Martin, originaire des Pyrénées-Orientales. Une association qui représente 4.000 personnes, pour moitié des enfants malades, et s'appuyant sur 14 cas de mères ayant reçu de la Dépakine lors de leur grossesse.
"Sanofi va devoir s’expliquer pour les dizaines de milliers de victimes empoisonnées, dont plus d’une centaine sont mortes", poursuit Marine Marin, présidente de l'Association d'aide aux parents d'enfants souffrant du syndrome de l'anticonvulsivant (Apesac).
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france3-regions.francetvinfo |
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Altered GABA Concentration in Brain Motor Area Is Associated with the Severity of Motor Disabilities in Individuals with Autism Spectrum Disorder. - PubMed - NCBI |
31/01/2020 |
«Abstract Several motor disabilities accompanied with autism spectrum disorder (ASD) are widely known despite limited reports of underlying neural mechanisms. Gamma-aminobutyric acid (GABA) levels in the motor-related cortical areas modulate several motor performances in healthy participants.
We hypothesized that abnormal GABA concentrations in the primary motor area (M1) and supplementary motor area (SMA) associate with different motor difficulties for ASD adolescents/adults.
We found that increased GABA concentrations in M1 measured using 1H-magnetic resonance spectroscopy exhibited lower motor performance in tasks requiring increased muscle strength while lower GABA concentrations in SMA were associated with lower scores in tests measuring body coordination.
The degrees of neural inhibition in the M1 and SMA regions would contribute to different dimensions of motor disabilities in autism.»...
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ncbi.nlm.nih |
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Condom : les dirigeants de l'ex IME Moussaron mis en examen pour harcelement moral - Infos Haute-Garonne |
31/01/2020 |
«Céline Boussié n'y croyait plus, la décision du juge d'instruction d'Auch vient de tomber. Plusieurs membres de la direction de l'ex-IME (institut médico-éducatif) Moussaron de Condom ont été mis en examen du chef de harcèlement moral.
Cela fait suite à une plainte déposée par Céline Boussié. La lanceuse d'alerte, ancienne salariée de la structure, avait dénoncé des faits de violences sur des jeunes polyhandicapés de l'établissement.
Elle avait relaté les mauvais traitements infligés aux enfants dans ce centre "décès, manque de soins, enfants attachés et enfermés". En juillet 2013, un rapport de l'Agence régionale de santé pointait d'ailleurs une situation "de maltraitance institutionnelle" à l'IME Moussaron.»
[...]
«Le procureur de la République décidera ou non d'une audience dans les mois à venir
Le parquet d'Auch décidera dans les mois à venir de la suite à donner à cette affaire, à savoir une possible traduction des prévenus devant le tribunal correctionnel.
Me Alma Basic, l'avocate de Céline Boussié s'est dite "satisfaite de voir aboutir ce dossier avec ces mises en examen" espérant "que la justice fasse son travail". Les mises en cause risquent 2 ans de prison et 30 000 euros d'amende.
En 2017 suite à ses révélations publiques, Céline Boussié attaquée en diffamation, avait été relaxée par le tribunal correctionnel de Toulouse. Une nouvelle victoire pour l'ancienne salariée licenciée de l'IME gersois en 2014. Il a été depuis repris par le groupe Clinipole sous le nom d'IME SESSAD Terre d'Envol.
»...
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centpourcent |
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Condom : les dirigeants de l'ex IME Moussaron mis en examen pour harcelement moral - Infos Haute-Garonne |
30/01/2020 |
«Céline Boussié n'y croyait plus, la décision du juge d'instruction d'Auch vient de tomber. Plusieurs membres de la direction de l'ex-IME (institut médico-éducatif) Moussaron de Condom ont été mis en examen du chef de harcèlement moral.
Cela fait suite à une plainte déposée par Céline Boussié. La lanceuse d'alerte, ancienne salariée de la structure, avait dénoncé des faits de violences sur des jeunes polyhandicapés de l'établissement.
Elle avait relaté les mauvais traitements infligés aux enfants dans ce centre "décès, manque de soins, enfants attachés et enfermés". En juillet 2013, un rapport de l'Agence régionale de santé pointait d'ailleurs une situation "de maltraitance institutionnelle" à l'IME Moussaron.»
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«Le procureur de la République décidera ou non d'une audience dans les mois à venir
Le parquet d'Auch décidera dans les mois à venir de la suite à donner à cette affaire, à savoir une possible traduction des prévenus devant le tribunal correctionnel.
Me Alma Basic, l'avocate de Céline Boussié s'est dite "satisfaite de voir aboutir ce dossier avec ces mises en examen" espérant "que la justice fasse son travail". Les mises en cause risquent 2 ans de prison et 30 000 euros d'amende.
En 2017 suite à ses révélations publiques, Céline Boussié attaquée en diffamation, avait été relaxée par le tribunal correctionnel de Toulouse. Une nouvelle victoire pour l'ancienne salariée licenciée de l'IME gersois en 2014. Il a été depuis repris par le groupe Clinipole sous le nom d'IME SESSAD Terre d'Envol.
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centpourcent |
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The Female Autism Phenotype and Camouflaging: a Narrative Review | SpringerLink |
29/01/2020 |
«Abstract Autism is more commonly diagnosed in males than females. One explanation is the ...˜female protective effect': there is something inherent in being female which reduces the likelihood of developing autism.
However, evidence suggests that the condition is underdiagnosed in females, perhaps because females express their autism in ways which do not meet current diagnostic criteria.
This review explores evidence for a female-typical autism presentation, the Female Autism Phenotype (FAP) and the component of camouflaging (compensating for and masking autistic characteristics) in particular.
The evidence so far supports the existence of a female-typical autism presentation, although further examination of the characteristics and their impact across all genders and ages is needed.»...
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link.springer |
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Identifying Language and Cognitive Profiles in Children With ASD via a Cluster Analysis Exploration: Implications for the New ICD-11. - PubMed - NCBI |
28/01/2020 |
«Abstract The new version of the International Classification of Diseases (ICD-11) mentions the existence of four different profiles in the verbal part of the Autism Spectrum Disorder (ASD), describing them as combinations of either spared or impaired functional language and intellectual abilities.
The aim of the present study was to put ASD heterogeneity to the forefront by exploring whether clear profiles related to language and intellectual abilities emerge when investigation is extended to the entire spectrum, focusing on verbal children.
Our study proposed a systematic investigation of both language (specifically, structural language abilities) and intellectual abilities (specifically, nonverbal cognitive abilities) in 51 6- to 12-year-old verbal children with ASD based on explicitly motivated measures.
For structural language abilities, sentence repetition and nonword repetition tasks were selected; for nonverbal cognitive abilities, we chose Raven's Progressive Matrices, as well as Matrix Reasoning and Block Design from the Wechsler Scales.
An integrative approach based on cluster analyses revealed five distinct profiles. Among these five profiles, all four logically possible combinations of structural language and nonverbal abilities mentioned in the ICD-11 were detected.
Three profiles emerged among children with normal language abilities and two emerged among language-impaired children. Crucially, the existence of discrepant profiles of abilities suggests that children with ASD can display impaired language in presence of spared nonverbal intelligence or spared language in the presence of impaired nonverbal intelligence, reinforcing the hypothesis of the existence of a separate language module in the brain.
LAY SUMMARY: The present work put Autism Spectrum Disorder heterogeneity to the forefront by exploring whether clear profiles related to language and cognitive abilities emerge when investigation is extended to the entire spectrum (focusing on verbal children). The use of explicitly motivated measures of both language and cognitive abilities and of an unsupervised machine learning approach, the cluster analysis, (a) confirmed the existence of all four logically possible profiles evoked in the new ICD-11, (b) evoked the existence of (at least) a fifth profile of language/cognitive abilities, and (c) reinforced the hypothesis of a language module in the brain»...
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ncbi.nlm.nih |
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Sleep, Growth, and Puberty After Two Years of Prolonged-Release Melatonin in Children With Autism Spectrum Disorder. - PubMed - NCBI |
28/01/2020 |
«Abstract OBJECTIVE: A recent 3-month double-blind placebo-controlled study demonstrated efficacy and safety of child-appropriate prolonged-release melatonin (PedPRM) for insomnia in children with autism spectrum disorder (ASD). Here, we report on the long-term effects of PedPRM treatment on sleep, growth, body mass index, and pubertal development.
METHOD: Eighty children and adolescents (96% ASD) ages 2-17.5 years who completed the double-blind placebo-controlled trial were given 2, 5 or 10 mg PedPRM nightly up to 104 weeks, followed by a 2 week placebo period to assess withdrawal effects.
RESULTS: Improvements in child sleep disturbance, and caregivers' satisfaction of their child's sleep patterns, quality of sleep and quality of life were maintained throughout the 104- week treatment period (p < 0.001 vs.
baseline for all). During the 2-week withdrawal placebo period, measures declined as compared to the treatment period but were still improved compared to baseline. PedPRM was generally safe; the most frequent treatment-related adverse events (AE) were fatigue (6.3%), somnolence (6.3%), and mood swings (4.2%). The changes in mean weight, height, body mass index (BMI) and pubertal status (Tanner staging done by a physician) were within normal ranges for age with no evidence of delay in BMI or pubertal development.
CONCLUSION: Nightly PedPRM at optimal dose (2, 5, or 10 mg nightly) is safe and effective for long-term treatment in children and adolescents with ASD and insomnia. There were no observed detrimental effects on children's growth and pubertal development and no withdrawal or safety issues related to the use or discontinuation of the drug.»...
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ncbi.nlm.nih |
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Symptom improvement in children with autism spectrum disorder following bumetanide administration is associated with decreased GABA/glutamate ratios | Translational Psychiatry |
28/01/2020 |
«Abstract Bumetanide has been reported to alter synaptic excitation-inhibition (E-I) balance by potentiating the action of γ-aminobutyric acid (GABA), thereby attenuating the severity of autism spectrum disorder (ASD) in animal models.
However, clinical evidence of its efficacy in young patients with ASD is limited. This was investigated in the present clinical trial of 83 patients, randomised to the bumetanide group (bumetanide treatment, 0.5mg twice daily) or the control group (no bumetanide treatment). Primary [Children Autism Rating Scale (CARS)], secondary [Clinical Global Impressions (CGI)], and exploratory [inhibitory (γ-aminobutyric acid, GABA) and excitatory (glutamate, Glx) neurotransmitter concentrations measured in the insular cortex (IC) and visual cortex (VC) by magnetic resonance spectroscopy (MRS)] outcome measures were evaluated at baseline and at the 3-month follow-up.
Side effects were monitored throughout the treatment course. Compared with the control group, the bumetanide group showed significant reduction in symptom severity, as indicated by both total CARS score and number of items assigned a score≥3. The improvement in clinical symptoms was confirmed by CGI. GABA/Glx ratio in both the IC and VC decreased more rapidly over the 3-month period in the bumetanide group than that in the control group.
This decrease in the IC was associated with the symptom improvement in the bumetanide group. Our study confirmed the clinical efficacy of bumetanide on alleviating the core symptoms of ASD in young children and it is the first demonstration that the improvement is associated with reduction in GABA/Glx ratios.
This study suggests that the GABA/Glx ratio measured by MRS may provide a neuroimaging biomarker for assessing treatment efficacy for bumetanide.»...
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nature |
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Pill used for nearly 40 years to treat swelling could be 'breakthrough' for children with autism | Daily Mail Online |
27/01/2020 |
«The prescription drug that costs just a few pence improves symptoms of autism Diuretic Bumetanide used to treat heart failure and kidneys disease for decades Study of autistic children found that the drug helps nerve cells communicate Medication used to treat build up of fluid in body has 'no significant side effects' A 'water pill' used for almost four decades to treat swelling and heart failure could be a breakthrough in combating autism in children, scientists say.»
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« But a study of autistic children found it helps nerve cells communicate by correcting an imbalance between the brain's chemical messengers 'GABA' and 'glutamate'.
What is more the medication had no significant side effects, say the British and Chinese team.
Lead author Dr Fei Li of Xinhua Hospital, Shanghai, said: 'I have many children with autism spectrum disorder under my care.
'But as psychological treatment resources are not available in many places, we are unable to offer them treatment. An effective and safe treatment will be very good news for them.
'The mother of a four year old boy living in a rural area outside Shanghai who received the treatment told me that he was now better at making eye contact with family members and relatives and was able to participate more in activities.
Bumetanide is a diuretic that it was found helps nerve cells among autistic children communicate by correcting an imbalance between the brain's chemical messengers (pictured a stock image)
'In future, we hope to be able to ensure all families, regardless of where they are living, can receive treatment for their child.'
There are around 700,000 people with autism spectrum disorder (ASD) in the UK alone. If you include their families, it blights the daily lives of almost three million Britons.
A scan called MRS (magnetic resonance spectroscopy) found the three to six year olds given bumetanide had less GABA than their peers - which improves brain function.
Co-author Professor Barbara Sahakian, a psychiatrist at the University of Cambridge, said:
'I'm very excited about this. I think it could be a real breakthrough and very important for these families.
'This study is important and exciting, because it means there is a drug that can improve social learning and reduce ASD symptoms during the time when the brains of these children are still developing.
'We know GABA and glutamate are key chemicals in the brain for plasticity and learning and so these children should have an opportunity for better quality of life and wellbeing.'
The ratio of GABA to glutamate decreased in two key regions - the insular cortex which plays a role in emotions, empathy and self-awareness and visual cortex that integrates and processes what we see.
Too much GABA can affect the development of neurons. Intervening at an early age may prevent symptoms that make their life challenging.
Prof Ching-Po Lin, of the National Yang-Ming University, Taiwan, said: 'This is the first demonstration bumetanide improves brain function and reduces symptoms by reducing the amount of the brain chemical GABA.
'Understanding this mechanism is a major step towards developing new and more effective drug treatments.'
Bumetanide was first approved for use in 1983. The study published in Translational Psychiatry follows research in rats and small clinical trials suggesting it works against autism.
Current treatments for children are mainly behavioural interventions, such as using play and joint activities between parents and their child to boost language, social and cognitive skills.
The 83 infants were divided into two groups with 42 receiving 0.5mg dose of bumetanide twice a day for three months.
The other 41 got no treatment. Autism can be reliably diagnosed as early as 18 months of age.
Symptoms were assessed using the Childhood Autism Rating Scale (CARS) of imitation, emotional response and verbal and non-verbal communication. Children scoring above 30 are considered to have ASD.
At the start all the children had similar CARS scores but this fell to an average of 34.51 after the therapy - compared to the control group's 37.27.
Importantly, there was also a significant reduction in the number of items with a score of three or more - an average of 3.52 compared to 5.49 respectively.
The discovery that bumetanide changes the relative concentrations of GABA to glutamate could also provide a useful biomarker for a drug's effect.
Further studies involving a larger number of children are now needed to confirm the results, said the researchers.
Many autistic people are able to lead relatively normal lives while others require support throughout.
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dailymail.co |
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Study Challenges Assumptions About Social Interaction Difficulties in Autism - News Center - The University of Texas at Dallas |
27/01/2020 |
«Autism is characterized in part by an individual's challenges communicating and interacting socially with others. These difficulties have typically been studied in isolation by focusing on cognitive and behavioral differences in those with autism spectrum disorder, but little work has been done on how exchanges for autistic people unfold in the real world.
Dr. Noah Sasson Researchers at The University of Texas at Dallas recently turned the spotlight on social interaction in autism by examining it as a two-way street. Their results, published in December in the journal Autism, suggest that successful interactions for autistic adults revolve around partner compatibility and not just the skill set of either person.»
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«“Most studies attempting to understand social disability in autism focus exclusively on individual characteristics,” said Dr. Noah Sasson, an associate professor in the School of Behavioral and Brain Sciences (BBS) and corresponding author of the study. “This presumes that any difficulties in social interaction are driven solely by the autistic person. But how each person influences and is influenced by the other is key to understanding affiliation and social quality.”
The study focused on the so-called “double-empathy problem,” which predicts that two people who are neurologically different and have distinct modes of communication and understanding may have trouble connecting with each other, as commonly occurs in interactions between autistic and non-autistic adults.
“It’s not just that autistic adults can struggle to infer the thoughts and motivations of typically developing adults, which has been well documented; the reverse is true as well. Non-autistic people struggle to infer what autistic people are thinking,” Sasson said. “Anecdotally, many autistic people often report better quality of social interaction when engaging with other autistic people. We set out to test this empirically.”
Kerrianne Morrison MS’16, PhD’19, the paper’s lead author, explained that the concept of a social-interaction difficulty being a two-sided, relational problem — and not simply a shortcoming of the autistic person — is only beginning to take hold.
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utdallas |
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Institut de l'audition : Un centre cree par l'Institut Pasteur a Paris |
26/01/2020 |
«Un Institut de l'audition a ouvert ses portes à Paris L'Institut de l'audition, centre de l'Institut Pasteur créé avec la Fondation Pour l'Audition, a ouvert ses portes fin 2019 à Paris.
Dirigé par le Professeur Christine Petit, il fonctionnera en lien étroit avec le centre de recherche clinique en audiologie voisin. Il aura pour ambition de devenir « un accélérateur de recherche rassemblant les talents internationaux pour découvrir rapidement des solutions innovantes pour tous, en faisant converger médecins, chercheurs mais aussi acteurs de l'innovation, industriels, associations et patients qui, ensemble, oeuvreront pour gagner du temps sur le temps et faire que la surdité ne soit plus une fatalité ». Géré par l'Institut Pasteur, ce centre de recherche fondamentale et médicale a vocation à toucher de nombreuses disciplines.
Son objectif principal est de promouvoir une approche intégrative des neurosciences de l'audition et de développer des méthodes innovantes de diagnostic et de traitement des atteintes auditives.
Il a été créé avec le soutien et l'appui financier de la Fondation Pour l'Audition.»...
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handirect |
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VIDEO - Greta, l'icone du climat |
24/01/2020 |
«"Envoyé spécial" a tenté de percer le mystère de l'incroyable popularité de Greta Thunberg. A 16 ans, la jeune Suédoise incarne cette génération qui exige une transition écologique immédiate.
Comment s’est-elle imposée ? Qui la soutient ? Pourquoi provoque-t-elle des réactions aussi violentes de la part de ses détracteurs ? A 16 ans, Greta Thunberg est devenue le visage de la défense de la planète.
Avec sa grève pour le climat, elle incarne cette génération qui exige une transition écologique immédiate. A l'ONU, dans les manifestations auprès de jeunes militants, dans ses tweets, l'adolescente interpelle sans langue de bois les responsables politiques.
La voix d'une jeunesse inquiète et impatiente ? Comment Greta ...’ atteinte d'un syndrome d'autisme Asperger ...’ s'est-elle imposée comme la voix de cette jeunesse inquiète et impatiente ? Qui la soutient dans l'ombre ? Pourquoi provoque-t-elle des réactions aussi violentes de la part de ses détracteurs ? Du Canada à la Suède, des Etats-Unis à la France, "Envoyé spécial" a suivi ses traces et tenté de percer le mystère de son incroyable popularité. Un reportage d'Yvan Martinet, Manon Descoubes et Karim Annette diffusé dans "Envoyé spécial" le 23 janvier 2020.»...
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francetvinfo |
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The Incredible Years Autism Spectrum and Language Delays Parent Program: A Pragmatic, Feasibility Randomized Controlled Trial. - PubMed - NCBI |
24/01/2020 |
«Abstract Behavior problems in children with autism spectrum disorders (ASD) are common and particularly stressful for parents. This study aimed to examine the feasibility of delivering a parenting program in existing services, and the feasibility of conducting a future large-scale Randomized Controlled Trial evaluation of the effectiveness of the intervention.
Parents of children aged 3-8years with a diagnosis of ASD, or strongly suspected ASD were eligible to participate. A multicenter, pragmatic, feasibility randomized controlled trial was conducted in four specialist children's services in Wales.
Families were randomly assigned to receive the Incredible Years® Autism Spectrum and Language Delays (IY-ASLD) parent program immediately or to a wait-list, treatment as usual control condition.
IY-ASLD sessions were delivered once a week for 12weeks. The primary outcomes related to feasibility (recruitment, retention, fidelity, and acceptability). Preliminary outcome analyses were conducted using covariance models controlling for study site and baseline scores.
From October 5 to December 19, 2016, 58 families were randomized, 29 to IY-ASLD and 29 to control. Three parents did not attend any sessions while 19 (73%) completed the program.
Fidelity of delivery was high (88%), as was satisfaction with the program. Fifty-three (91%) completed the follow-up measures. All 95% CIs for effect sizes included zero in exploratory outcome analyses.
This study supports the feasibility of delivering the IY-ASLD in existing services with good levels of acceptability and fidelity evident. A larger randomized controlled trial is required to examine the effectiveness of the program.
Autism Res 2019. © 2019 International Society for Autism Research, Wiley Periodicals, Inc. LAY SUMMARY: This study examined the feasibility and acceptability of delivering a parenting program for parents of children aged 3-8years with Autism Spectrum Disorder in existing child services.
Recruitment and retention in the study were good and parents rated all aspects of the program positively. Practitioners were able to deliver the program as intended and the measures used for program outcomes were appropriate.
A larger study to examine program effectiveness would be feasible.»...
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ncbi.nlm.nih |
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Enquete pour les besoins des personnes avec TSA et de leurs aidants. |
24/01/2020 |
«Cette enquête est réalisée à la demande de la Délégation Interministérielle sur l'Autisme et de la Direction Générale de la Santé, dans le cadre de la Stratégie nationale autisme 2019-2022, mesure 56 « Création de dispositifs d'éducation thérapeutique du patient (ETP) avec TSA et de sa famille ». L'objectif est d'élaborer des recommandations sur l'application de l'ETP dans le champ du TSA en France.
Cette enquête est réalisée au moyen d'un questionnaire en ligne (moins de 10 minutes), qui a pour objectif d'identifier les besoins des personnes avec TSA et de leurs aidants.»
[...]
«Il y a deux versions du questionnaire, une version pour les familles/aidants et une version pour les personnes avec TSA.
Merci de remplir uniquement celle qui vous concerne.
Questionnaire pour les aidants / familles :
Questionnaire pour les personnes avec TSA :
Source: http://sphinx.chu-montpellier.fr | Source Status
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Source: http://lenval.org | Source Status
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lenval |
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Dossier MDPH et handicap : Ce qu'il faut savoir pour faire votre demande |
21/01/2020 |
«Une personne handicapée souhaitant une ou plusieurs aides liées à sa situation doit constituer un dossier MDPH et le transmettre à la Maison départementale des personnes handicapées du département où elle réside.
Un dossier MDPH permet d'obtenir des aides comme la Prestation de compensation du handicap (PCH), l'Allocation adulte handicapé (AAH), la Reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé (RQTH) ou encore la Carte mobilité inclusion (CMI).»
[...]
«Les délais d’attente pour le traitement de votre dossier MDPH
Concernant les délais de réponse à votre demande, l’article R.241-33 du Code de l’Action Sociale et des Familles (CASF) indique que « le silence gardé pendant plus de quatre mois par la commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées vaut décision de rejet ». Toutefois, compte tenu des nombreuses sollicitations reçues par les MDPH, les délais sont souvent plus longs en pratique, à savoir 4 à 6 mois en moyenne et selon les départements. Ils peuvent également être allongés dans les cas de demandes de Prestation de compensation du handicap (PCH).
D’où l’importance de bien vérifier que votre dossier est complet, daté et signé, avant de l’envoyer.
La réponse à votre demande d’aide
Vous recevrez la réponse à votre demande d’aide par courrier. Vous trouverez dans ce document appelé « notification » le détail de ce que la Commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées (CDAPH) a accepté ou refusé de vous accorder en étudiant votre dossier MDPH.
Si sa réponse ne vous satisfait pas, vous pourrez contester ces décisions. Pour cela, plusieurs solutions existent, vous pouvez faire une demande de :
Recours pour que la demande d’aide soit étudiée une deuxième fois.
Conciliation auprès du directeur de la MDPH afin de discuter avec une personne de l’établissement.
Recours gracieux afin que la CDAPH regarde automatiquement la demande d’aide une deuxième fois.
De recours contentieux auprès d’un tribunal.
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handirect |
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Hidden Aspects of the Research ADOS Are Bound to Affect Autism Science | Neural Computation | MIT Press Journals |
19/01/2020 |
«Abstract The research-grade Autism Diagnostic Observational Schedule (ADOS) is a broadly used instrument that informs and steers much of the science of autism. Despite its broad use, little is known about the empirical variability inherently present in the scores of the ADOS scale or their appropriateness to define change and its rate, to repeatedly use this test to characterize neurodevelopmental trajectories.
Here we examine the empirical distributions of research-grade ADOS scores from 1324 records in a cross-section of the population comprising participants with autism between five and 65 years of age.
We find that these empirical distributions violate the theoretical requirements of normality and homogeneous variance, essential for independence between bias and sensitivity.
Further, we assess a subset of 52 typical controls versus those with autism and find a lack of proper elements to characterize neurodevelopmental trajectories in a coping nervous system changing at nonuniform, nonlinear rates.
Repeating the assessments over four visits in a subset of the participants with autism for whom verbal criteria retained the same appropriate ADOS modules over the time span of the four visits reveals that switching the clinician changes the cutoff scores and consequently influences the diagnosis, despite maintaining fidelity in the same test's modules, room conditions, and tasks' fluidity per visit.
Given the changes in probability distribution shape and dispersion of these ADOS scores, the lack of appropriate metric spaces to define similarity measures to characterize change and the impact that these elements have on sensitivity-bias codependencies and on longitudinal tracking of autism, we invite a discussion on readjusting the use of this test for scientific purposes.»...
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mitpressjournals |
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Docu M6 : parmi ces ''Mineurs en danger'', 25% sont handicapes |
19/01/2020 |
«Le docu "Mineurs en danger" dévoile les défaillances de l'Aide sociale à l'enfance. 25 % des enfants placés sont en situation de handicap. Un nouvel électrochoc médiatique après celui de Moussaron en 2014 ? Réponse sur M6, le 19 janvier 2020 à 21h.»...
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informations.handicap |
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Le nouveau CNCPH devoile, 24 personnes qualifiees |
14/01/2020 |
«Fin 2019, le Conseil national consultatif des personnes handicapées lançait une grande campagne de candidatures en vue de son prochain renouvellement. 400 personnes avaient répondu à l'appel dont 250 en tant que « personnes qualifiées ». Parmi elles, 24 ont été désignées le 13 janvier 2020 (composition en lien ci-dessous), davantage que les 15 initialement prévues.
Créée en 1975, cette instance était d'abord composée des principales associations représentatives de personnes handicapées et de parents d'enfants handicapés. Plus tard, elle s'est élargie aux représentants des organisations syndicales, des collectivités territoriales...¦ 2020 lui offre donc un nouveau visage avec davantage de personnes « issues de la société civile ». A quoi ce nouveau CNCPH va-t-il ressembler ?.»
[...]
«
Pdf SGCIH 1301201-Premier Ministre -COMITÉ INTERMINISTÉRIEL DU HANDICAPLe 13/01/2020Composition du Conseil national consultatif des personnes handicapées (CNCPH)
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Source: http://informations.handicap.fr | Source Status
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informations.handicap |
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ANAP -Appel a communications |
13/01/2020 |
«Pour sa 10ème Université d'été de la performance en santé, l'ANAP souhaite valoriser des retours d'expériences qui seront présentés sous forme d'atelier ou de poster les 3 et 4 septembre 2020 à Dijon.
Les soumissions doivent s'inscrire dans la thématique générale de l'évènement : « Construire des dynamiques collectives durables au bénéfice de tous » Vous avez réalisé de telles démarches ? Candidatez avant le 21 février 2020. Atelier ou poster Les propositions retenues feront soit l'objet d'un atelier d'une durée d'une heure trente qui permettra de présenter le retour d'expérience puis de partager avec la salle tant les facteurs-clés de réussites que les difficultés rencontrées, soit d'un poster qui sera présenté au sein de l'espace d'exposition de la manifestation.
Pour illustration, retrouvez sur nos actes les résumés des ateliers de retours d'expériences et les posters de l'édition 2019.»
[...]
«Comprendre le cadre de l'appel à communication ?
Vous êtes professionnel(le) intervenant dans les secteurs sanitaire ou médico-social, ou en ville, salarié ou libéral, médecin ou soignant, acteur de la promotion, de l’éducation à la santé, de la santé communautaire, aidant, représentant(e) d’usager ou usager, institutionnel(le), étudiant(e), collectivité locale…
Que veut dire aujourd’hui travailler en collectif à l’échelle d’un territoire ? Que signifie construire et faire vivre au quotidien une dynamique collective qui inclut le sanitaire comme le médico-social, au bénéfice final des usagers ? Comment généraliser et pérenniser un projet indépendamment de l’implication initiale des pionniers investis au démarrage du projet ? Comment structurer les acteurs de la coordination de façon durable ?
Vous avez expérimenté ce type de démarche et surmonté certaines difficultés pour mener à terme, dans votre environnement professionnel, un projet collectif durable bénéficiant à tous - l’ensemble des professionnels impliqués sur le territoire comme bien sur l’usager final.
Ce projet peut illustrer :
=> la mise en place d’un parcours inclusif pour les personnes en situation de handicap ;
=> la mise en place de partenariats interprofessionnels, inter champs sanitaire et médico-social au bénéfice de l’usager ;
=> la création et/ou la mobilisation de réseaux professionnels d’entraide, de réseaux de pairs, de réseau d’aidants, de réseaux d’usagers…
=> une initiative de coordination et de coopération (ex : médecine de ville /hospitalisation à domicile/Ephad ; ex : structuration des acteurs de la coordination ; ex : lien ville-hôpital ; ex : organisation collective des soins primaires …).
Ce projet de construction de dynamique collective, dont vous avez envie de partager le cheminement et les conclusions avec d’autres, devra :
être en cohérence avec la thématique de la manifestation ;
présenter un caractère transposable ;
avoir fait preuve de son intérêt/efficacité ;
avoir été porté collectivement
avoir une dimension pluri professionnelle ;
avoir été porté par les professionnels et/ou par les usagers.
Comment candidater ?
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anap |
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ANAP -Appel a communications |
13/01/2020 |
«Pour sa 10ème Université d'été de la performance en santé, l'ANAP souhaite valoriser des retours d'expériences qui seront présentés sous forme d'atelier ou de poster les 3 et 4 septembre 2020 à Dijon.
Les soumissions doivent s'inscrire dans la thématique générale de l'évènement : « Construire des dynamiques collectives durables au bénéfice de tous » Vous avez réalisé de telles démarches ? Candidatez avant le 21 février 2020. Atelier ou poster Les propositions retenues feront soit l'objet d'un atelier d'une durée d'une heure trente qui permettra de présenter le retour d'expérience puis de partager avec la salle tant les facteurs-clés de réussites que les difficultés rencontrées, soit d'un poster qui sera présenté au sein de l'espace d'exposition de la manifestation.
Pour illustration, retrouvez sur nos actes les résumés des ateliers de retours d'expériences et les posters de l'édition 2019.»
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«Comprendre le cadre de l'appel à communication ?
Vous êtes professionnel(le) intervenant dans les secteurs sanitaire ou médico-social, ou en ville, salarié ou libéral, médecin ou soignant, acteur de la promotion, de l’éducation à la santé, de la santé communautaire, aidant, représentant(e) d’usager ou usager, institutionnel(le), étudiant(e), collectivité locale…
Que veut dire aujourd’hui travailler en collectif à l’échelle d’un territoire ? Que signifie construire et faire vivre au quotidien une dynamique collective qui inclut le sanitaire comme le médico-social, au bénéfice final des usagers ? Comment généraliser et pérenniser un projet indépendamment de l’implication initiale des pionniers investis au démarrage du projet ? Comment structurer les acteurs de la coordination de façon durable ?
Vous avez expérimenté ce type de démarche et surmonté certaines difficultés pour mener à terme, dans votre environnement professionnel, un projet collectif durable bénéficiant à tous - l’ensemble des professionnels impliqués sur le territoire comme bien sur l’usager final.
Ce projet peut illustrer :
=> la mise en place d’un parcours inclusif pour les personnes en situation de handicap ;
=> la mise en place de partenariats interprofessionnels, inter champs sanitaire et médico-social au bénéfice de l’usager ;
=> la création et/ou la mobilisation de réseaux professionnels d’entraide, de réseaux de pairs, de réseau d’aidants, de réseaux d’usagers…
=> une initiative de coordination et de coopération (ex : médecine de ville /hospitalisation à domicile/Ephad ; ex : structuration des acteurs de la coordination ; ex : lien ville-hôpital ; ex : organisation collective des soins primaires …).
Ce projet de construction de dynamique collective, dont vous avez envie de partager le cheminement et les conclusions avec d’autres, devra :
être en cohérence avec la thématique de la manifestation ;
présenter un caractère transposable ;
avoir fait preuve de son intérêt/efficacité ;
avoir été porté collectivement
avoir une dimension pluri professionnelle ;
avoir été porté par les professionnels et/ou par les usagers.
Comment candidater ?
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anap |
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Violences faites aux femmes handicapees : le Senat dit stop! |
09/01/2020 |
«Le Sénat a adopté, le 8 janvier 2020, à l'unanimité une proposition de résolution transpartisane visant à alerter sur les violences faites aux femmes en situation de handicap.Déposée par la présidente de la délégation aux Droits des femmes, Annick Billon (centriste) et cosignée par des sénateurs de tous bords, ce texte, qui n'a pas de valeur contraignante, vise à appeler "à une prise de conscience généralisée des violences, notamment sexuelles, qui menacent les femmes handicapées et à une mobilisation de toute la société contre ce fléau".»...
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informations.handicap |
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Violences faites aux femmes handicapees : le Senat dit stop! |
09/01/2020 |
«Le Sénat a adopté, le 8 janvier 2020, à l'unanimité une proposition de résolution transpartisane visant à alerter sur les violences faites aux femmes en situation de handicap.Déposée par la présidente de la délégation aux Droits des femmes, Annick Billon (centriste) et cosignée par des sénateurs de tous bords, ce texte, qui n'a pas de valeur contraignante, vise à appeler "à une prise de conscience généralisée des violences, notamment sexuelles, qui menacent les femmes handicapées et à une mobilisation de toute la société contre ce fléau".»...
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informations.handicap |
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Garde d'enfants : le bonus inclusion handicap elargi |
09/01/2020 |
«1300 euros par an et par enfant pour tout établissement d'accueil du jeune enfant (crèche, halte-garderie, établissement multi-accueil, ...¦), c'est le « bonus inclusion handicap » mis en place par le gouvernement le 1er janvier 2019. Tout juste un après, les critères d'attribution sont étendus et « bénéficieront à un nombre plus important d'établissements », selon le secrétariat d'Etat au Handicap.
En effet, jusqu'à maintenant, il ne s'appliquait qu'aux enfants allocataires de l'AEEH (allocation d'éducation de l'enfant handicapé). « Ce qui ne permettait pas de prendre en compte tous les enfants en situation de handicap, le bénéfice de l'AEEH pouvant parfois être tardif », expliquent les secrétaires d'Etat Sophie Cluzel (handicap) et Christelle Dubos (solidarité et santé), en visite dans une crèche parisienne le 8 janvier pour promouvoir ce dispositif.
Ses critères d'attribution se voient donc élargis afin de prendre en compte davantage de situations, et cela à « titre expérimental ».»...
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informations.handicap |
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AAH, RQTH, CMI : l'attribution des droits simplifiee |
07/01/2020 |
«Simplifier l'attribution des allocations dédiées aux personnes handicapées ? La marche en avant se poursuit...¦ Le décret n° 2018-1222 du 24 décembre 2018 a, dans un premier temps, allongé la durée d'attribution de certains droits et prestations, pour certains sans limitation, aux personnes handicapées dont le handicap n'est pas susceptible d'évoluer favorablement.
Un nouveau décret paru le 30 décembre 2019 (en lien ci-dessous) s'inscrit dans cette continuité. Il permet, sous certaines conditions, aux commissions des droits et de l'autonomie des personnes handicapées (CDAPH) et aux présidents de conseils départementaux (PCD) de proroger les droits ouverts aux personnes handicapées (AAH avec taux d'invalidité à 80 % et plus, ACTP à 80% et plus, et toutes les cartes mobilité inclusion ( CMI invalidité, stationnement, priorité) sans nouvelle demande de leur part lorsqu'elles remplissent les conditions, c'est-à-dire une situation de handicap non susceptible d'évolution favorable, et lorsque ces droits ont été ouverts avant le 1er janvier 2019.»
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«Une entrée en vigueur bousculée ?
Le texte est entré en vigueur au lendemain de sa publication, c'est à dire le 31 décembre 2019. Dans ce contexte, le CNCPH reste vigilant… « Ces dispositions vont impacter tout l'écosystème des MDPH, dont son nouveau Système d'Information (article en lien ci-dessous), ajoute Malika Boubekeur, également membre de la commission dédiée. Or ce SI n'est pas encore complétement opérationnel sur tout le territoire. Il faudra que les conditions techniques des MDPH soient optimales pour permettre à cet élan de simplification de se donner les moyens de son ambition ». Pour s'assurer que ces mesures seront mises en œuvre dans les meilleures conditions, le CNCPH réclame donc la mise en place d'un comité de suivi national et l'élaboration d'outils à destination des équipes MDPH
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informations.handicap |
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2020 : retraite automatique a 62 ans pour les pensionnaires de l'AAH |
07/01/2020 |
«Nouveauté 2020 et bonne nouvelle : à partir de juillet prochain, les démarches de demande de retraite des allocataires de l'AAH seront simplifiées. C'est la CAF qui s'occupera de demander la liquidation de leurs droits à pension de retraite.
Finies les démarches dont il fallait que les concernés s'occupent eux-mêmes.»...
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hizy |
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SFARI announces 2019 Novel Outcome Measures in Autism Spectrum Disorder awardees |
02/01/2020 |
«The Simons Foundation Autism Research Initiative (SFARI) has awarded four grants in response to the 2019 Novel Outcome Measures in Autism Spectrum Disorder (ASD) request for applications (RFA). These grants will support the development and validation of clinical outcome measures aimed at assessing core symptoms of ASD and behavioral changes following treatment.
Related Content The need for objective outcome measures to advance intervention research in autism SFARI announces Novel Outcome Measures for ASD Clinical Trials awardees SPARK workshop discussed digital tools for phenotyping cognition and behavior in autism spectrum and other brain disorders Evaluation of ASD-related behaviors has traditionally relied on parent- and/or clinician-based reports.
These measures, however, are prone to subjective bias and are susceptible to placebo effects. Furthermore, they may lack the sensitivity to detect subtle but clinically meaningful changes in symptom severity.
The goal of this award program is to develop and validate measures that can objectively characterize ASD phenotype(s) and reliably distinguish between treatment and placebo effects.
The 2019 RFA follows an earlier RFA (launched in 2015) centered around this same topic, which funded four projects aimed at developing quantitative measures of ASD-related behaviors, including social attention, emotion and language.
Those projects advanced the frontiers of measurement science in autism, but intervention research would still benefit from better tools for outcome assessment.»
[...]
«“We need outcome measures that are objective and sensitive to modest change to better assess the efficacy of interventions for autism,” says Wendy Chung, director of clinical research at SFARI and the Kennedy Family Professor of Pediatrics in Medicine at Columbia University.
SFARI will provide $4.5 million over three years as part of the 2019 Novel Outcome Measures in ASD award program.
Paul Wang, deputy director of Clinical Research Associates LLC (an affiliate of the Simons Foundation) adds, “To test intervention approaches for autism, whether those approaches are behavioral or biological, we need outcome measures that are precise, reproducible and clinically meaningful. The measures that are available now either fall short on one of these counts or need further validation. It’s critical that we invest in this type of tool development and validation.”
The four new projects selected for funding are:
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sfari |
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Syracuse analysis results in saliva check, medical doctors suppose it might detect autism earlier | Instant Pakistan News |
01/01/2020 |
«SYRACUSE, N.Y. (WSYR-TV) - Altering the attitude of autism, a brand new saliva check is coming. SUNY Upstate Medical College chief researcher, Dr. Frank Middleton, hopes that the saliva check will assist medical doctors detect autism earlier.
The typical age of an autism analysis in the USA is 5 years previous, however Dr. Middleton believes that it ought to and may very well be found earlier, calling early detection a turning level.
"We wished to make a distinction by making the analysis attainable with out requiring an in-depth behavioral evaluation that would take anyplace from a yr and a half to 2 years to get an appointment to run," mentioned Dr.
Middleton.»...
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instant.com |
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Societe | Qui sera votre personnalite nord-iseroise de l'annee 2019 ? |
31/12/2019 |
«Qui sera votre personnalité nord-iséroise de l'année 2019 ? La rédaction turripinoise du Dauphiné Libéré a sélectionné 10 personnalités qui ont fait l'actualité nord-iséroise en 2019. Ces cinq femmes et ces cinq hommes se sont distingués dans leurs domaines : bénévolat, cuisine, taille de pierre, handicap, etc.
Ils ont marqué l'année par leurs actions. Vous avez jusqu'au mardi 7 janvier à 18h pour voter.»
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«=Marie Rabatel. Son combat pour les personnes autistes, Marie Rabatel y tient. Cette habitante de Saint-André-le-Gaz, atteinte du syndrome d’Asperger, a fait entendre sa voix au Sénat, à l’ONU ou encore à Matignon.
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ledauphine |
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Decret n° 2019-1506 du 30 decembre 2019 relatif a la simplification du contentieux de la securite sociale | Legifrance |
31/12/2019 |
«Publics concernés : magistrats, directeurs de greffe, greffiers, avocats, médiateurs, présidents de conseil départemental, organismes de protection sociale, maisons départementales des personnes handicapées, médecins experts, praticiens conseils de la sécurité sociale, médecins des maisons départementales des personnes handicapées, particuliers.
Objet : unification des règles de la procédure applicable aux recours préalables et aux recours juridictionnels en matière de contentieux de la sécurité sociale, en application de l'article 96 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019 de programmation 2018-2022 et de réforme pour la justice.
Entrée en vigueur : le décret entre en vigueur le 1er janvier 2020 . Toutefois, l'extension du champ de compétence de la commission médicale de recours amiable, la simplification de la compétence territoriale du tribunal de grande instance - pôle social et la suppression de l'expertise médicale technique prévue à l'article L. 141-1 du code de la sécurité sociale entrent en vigueur respectivement les 1er janvier 2020, 1er septembre 2020 et 1er janvier 2022 . Notice : le décret poursuit, en matière de recours préalable obligatoire, la suppression, amorcée dès le décret n° 2018-928 du 29 octobre 2018 relatif au contentieux de la sécurité sociale et de l'aide sociale, de la distinction du contentieux technique ou général au profit de la distinction du contentieux médical ou non-médical.
Dans le prolongement de la loi n° 2016-1547 du 18 novembre 2016 de modernisation de la justice du XXIe siècle, il simplifie également le traitement contentieux dévolu aux tribunaux judiciaires et cours d'appel spécialement désignés, en application des articles L. 211-16, L. 311-15 et L. 311-16 du code de l'organisation judiciaire.
L'article 9, relatif aux dispositions transitoires prolonge le mouvement de simplification et d'unification en supprimant progressivement l'expertise médicale technique, mentionnée aux articles R. 141-1 du code de la sécurité sociale et suivants en étendant dans le même temps le champ de compétence de la commission médicale de recours amiable, de manière à unifier les procédures de contestation des décisions de nature médicale.
Références : les dispositions des différents codes modifiés par le décret peuvent être consultées sur le site Légifrance (https://www.légifrance.gouv.fr).»
[...]
«1° L'article R. 141-1 est remplacé par les dispositions suivantes :
« Art. R. 141-1. - Les contestations mentionnées à l'article L. 141-1 sont soumises à un médecin expert.
« Dans un délai de quinze jours à compter de la date où est apparue une contestation d'ordre médical ou de la réception de la demande d'expertise formulée par l'assuré, le service du contrôle médical désigne un médecin expert parmi les médecins spécialistes ou compétents pour la contestation d'ordre médical considérée et inscrits sur les listes dressées en application de l'article 2 de la loi n° 71-498 du 29 juin 1971.
« A défaut de médecin expert disponible parmi ces listes, le service du contrôle médical informe le médecin traitant de l'assuré de l'identité du médecin expert, spécialiste ou compétent pour la contestation médicale considérée, qu'il entend désigner. A défaut d'opposition du médecin traitant dans un délai de huit jours suivant la notification de cette proposition de désignation, le service du contrôle médical procède à cette désignation dans un délai de vingt jours à compter de la date où est apparue une contestation d'ordre médical ou de la réception de la demande d'expertise formulée par l'assuré. En cas d'opposition du médecin traitant, le médecin expert est désigné par le directeur général de l'Agence régionale de santé.
« Les fonctions d'expert ne peuvent être remplies par le médecin qui a soigné l'assuré ou ayant droit, un médecin attaché à l'entreprise, un médecin appartenant au conseil ou conseil d'administration de la caisse concernée ou un médecin participant au service du contrôle médical fonctionnant auprès de cette caisse. » ;
2° Les quatre derniers alinéas de l'article R. 141-2 sont supprimés ;
3° Les articles R. 141-3 et R. 141-4 sont remplacés par les dispositions suivantes :
« Art. R. 141-3. - Le service du contrôle médical fonctionnant auprès de la caisse établit un protocole comportant obligatoirement :
« 1° L'avis du médecin traitant nommément désigné ;
« 2° L'avis du médecin conseil ayant fondé la décision contestée ;
« 3° Lorsque l'expertise est demandée par le malade ou la victime, les motifs invoqués à l'appui de la demande ;
« 4° La mission confiée à l'expert et l'énoncé précis des questions qui lui sont posées ;
« 5° Le cas échéant, les pièces communiquées par l'assuré à l'appui de sa contestation.
« Dans un délai de cinq jours à compter de la désignation de l'expert, le service du contrôle médical fonctionnant auprès de la caisse dont la décision est contestée, le communique à l'expert, par tout moyen conférant date certaine, ainsi que le rapport mentionné à l'article L. 142-6.
« Art. R. 141-4. - Le médecin expert, informe immédiatement l'assuré, des lieu, date et heure de l'examen. Il en informe également le service du contrôle médical fonctionnant auprès de la caisse, dont la décision est contestée, qui peut être représenté par un médecin-conseil pour assister à l'expertise.
« Il procède à l'examen de l'assuré, dans les huit jours suivant la réception du protocole mentionné à l'article R. 141-3, au cabinet de l'expert ou à la résidence de l'assuré si celui-ci ne peut se déplacer. L'assuré peut être accompagné du médecin de son choix.
« Il peut toutefois, compte tenu de la nature du litige, du rapport mentionné à l'article L. 142-6 et des pièces communiquées par l'assuré ou par le service médical, décider qu'il n'y a pas lieu de procéder à l'examen clinique de l'assuré, auquel cas il statue sur pièces.
« Le rapport du médecin comporte l'exposé des constatations qu'il a faites au cours de son examen, clinique ou sur pièces, la discussion des points qui lui ont été soumis et ses conclusions motivées.
« Le médecin expert communique son rapport au service du contrôle médical fonctionnant auprès de la caisse, dont la décision est contestée, avant l'expiration du délai de quinze jours à compter de l'examen clinique ou, en l'absence de celui-ci, dans un délai de vingt jours à compter de la réception du protocole mentionné à l'article R. 141-3.
« Le service du contrôle médical fonctionnant auprès de la caisse dont la décision est contestée adresse immédiatement une copie intégrale du rapport à l'assuré. » ;
4° A l'article R. 141-5, les mots : « doit prendre », « notifier au malade ou à la victime » et « des conclusions motivées » sont respectivement remplacés par les mots : « prend », « notifie à l'assuré » et « de l'avis » ;
5° A l'article R. 141-6, les mots : « ou du comité » sont supprimés ;
6° L'article R. 141-7 est ainsi modifié :
a) Au premier alinéa, les mots : « le tarif fixé » sont remplacés par les mots : « les tarifs fixés » ;
b) Au deuxième alinéa, les mots : « le tarif » et « traitant » sont remplacés respectivement par les mots : « les tarifs » et « accompagnant l'assuré lors de l'examen prévu à l'article R. 141-4 » ;
c) La deuxième phrase du troisième alinéa est supprimée ;
7° Après l'article R. 141-10, il est ajouté un article R. 141-11 ainsi rédigé :
« Art. R. 141-11. - Le IV de l'article R. 142-1-A est applicable au présent chapitre. »
Article 2
1° Dans l'intitulé du chapitre 2 du titre 4 du livre 1 de la partie réglementaire, les mots : « général et technique » sont supprimés ;
2° L'article R. 142-1-A est ainsi modifié :
a) Au premier alinéa, les mots : « aux articles L. 142-4 et L. 142-5 » sont remplacés par les mots : « à l'article L. 142-4 » ;
b) Il est ajouté un IV et un V ainsi rédigés :
« IV. - La transmission de données médicales à caractère personnel ou la transmission d'informations ou données à caractère secret s'effectue par voie postale sous pli confidentiel portant, en ce qui concerne les données médicales à caractère personnel, la mention : “secret médicalˮ. Sauf en ce qui concerne les échanges avec les juridictions, cette transmission peut également s'effectuer par voie électronique après chiffrement des données.
« V. − Le rapport médical mentionné aux articles L. 142-6 et L. 142-10 comprend :
« 1° L'exposé des constatations faites, sur pièces ou suite à l'examen clinique de l'assuré, par le praticien-conseil à l'origine de la décision contestée et ses éléments d'appréciation ;
« 2° Ses conclusions motivées ;
« 3° Les certificats médicaux, détenus par le praticien-conseil du service du contrôle médical et, le cas échéant, par la caisse, lorsque la contestation porte sur l'imputabilité des lésions, soins et arrêts de travail pris en charge au titre de l'accident du travail ou de la maladie professionnelle. »
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legifrance.gouv |
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Decret n° 2019-1501 du 30 decembre 2019 relatif a la prorogation de droits sans limitation de duree pour les personnes handicapees | Legifrance |
30/12/2019 |
«Objet : mesures de simplification au bénéfice des personnes handicapées, des maisons départementales des personnes handicapées, des caisses d'allocations familiales et des caisses de la mutualité sociale agricole.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur au lendemain de sa publication à l'exception de l'article 3 qui entre en vigueur le 1er janvier 2020 . Notice : ce décret s'inscrit dans la continuité du décret n ° 2018-1222 du 24 décembre 2018 portant diverses mesures de simplification dans le champ du handicap qui a allongé la durée d'attribution de certains droits et prestations et introduit la possibilité d'attribuer certains droits sans limitation de durée aux personnes handicapées dont le handicap n'est pas susceptible d'évolution favorable.
Le présent texte permet aux commissions des droits et de l'autonomie des personnes handicapées (CDAPH) et aux présidents de conseils départementaux (PCD) de proroger les droits ouverts aux personnes handicapées sans nouvelle demande de leur part lorsque ces personnes remplissent les conditions fixées par ce même décret.
Ce décret prévoit également l'allongement de la durée maximale d'attribution de 5 ans à 10 ans de l'allocation aux adultes handicapés (AAH) pour les personnes dont le taux d'incapacité supérieur ou égal à 80 % est reconnu pour une durée limitée, ainsi que du complément de ressources de l'AAH. Lorsque la CDAPH et le PCD prorogent des droits sans demande du bénéficiaire, ils précisent dans la décision que le bénéficiaire peut solliciter à tout moment la maison départementale des personnes handicapées afin d'obtenir un nouvel examen de sa situation et, le cas échéant, une révision de ses droits.»
[...]
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Article 1 En savoir plus sur cet article...
L'allocation mentionnée à l'article R. 245-3 du code de l'action sociale et des familles dans sa rédaction antérieure au 12 février 2005 est renouvelée sans limitation de durée aux personnes remplissant les conditions fixées par l'arrêté pris en application du second alinéa de l'article R. 241-15 du même code.
Article 2 En savoir plus sur cet article...
Le code de l'action sociale et des familles est ainsi modifié :
1° Il est inséré après l'article R. 146-25, un article R. 146-25-1 ainsi rédigé :
« Art. R. 146-25-1. - Par dérogation à l'article R. 146-25 et au I de l'article R. 241-12, les bénéficiaires de l'allocation mentionnée à l'article R. 245-3 dans sa rédaction antérieure au 12 février 2005 et de la carte mobilité inclusion portant la mention invalidité bénéficient, sans nouvelle demande de leur part, d'une prorogation de leurs droits sans limitation de durée dès lors que la commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées ou le président du conseil départemental constatent que les conditions fixées par l'arrêté pris en application du second alinéa de l'article R. 241-15 sont remplies.
« Par dérogation aux dispositions de l'article R. 146-25, les bénéficiaires de la reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé et de l'orientation vers le marché du travail prévues par l'article L. 5213-2 du code du travail bénéficient, sans nouvelle demande de leur part, d'une prorogation de leurs droits sans limitation de durée dès lors que la commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées constate que les conditions fixées par le second alinéa de l'article R. 241-31du présent code sont remplies.
« Lorsque la commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées ou le président du conseil départemental prorogent des droits en application du présent article ou du deuxième alinéa de l'article R. 821-2 du code de la sécurité sociale, ils prorogent les autres droits du bénéficiaire si les conditions d'attribution sont remplies et dans la limite des durées maximales règlementaires. » ;
2° L'article R. 241-32 est complété par l'alinéa suivant :
« Lorsque la commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées ou le président du conseil départemental prorogent des droits en application de l'article R. 146-25-1 ou du deuxième alinéa de l'article R. 821-2 du code de la sécurité sociale, la notification de la décision précise en outre que le bénéficiaire peut solliciter à tout moment la maison départementale des personnes handicapées afin d'obtenir un nouvel examen de sa situation et, le cas échéant, une révision de ses droits. »
Article 3
Le code de la sécurité sociale est ainsi modifié :
1° Le premier alinéa de l'article R. 821-2 est complété par la phrase suivante :
« Par dérogation aux dispositions du premier alinéa, les bénéficiaires de l'allocation aux adultes handicapés bénéficient, sans nouvelle demande de leur part, d'une prorogation de leurs droits sans limitation de durée dès lors que la commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées constate que les conditions fixées par l'arrêté pris en application du premier alinéa de l'article R. 821-5 sont remplies. » ;
2° Au premier alinéa de l'article R. 821-5 :
a) A la première phrase, le mot : « cinq » est remplacé par le mot : « dix » ;
b) Au début de la deuxième phrase, les mots : « L'allocation aux adultes handicapées » sont remplacés par les mots : « Toutefois, l'allocation aux adultes handicapés ».
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legifrance.gouv |
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Poitou : une mere convoquee a la gendarmerie apres la plainte d'un maire contre son enfant handicape |
24/12/2019 |
«Le fils de Vanessa, âgé de 5 ans et demi, aurait "mordu une Atsem [Agent territorial spécialisé des écoles maternelles]", a expliqué la mère de famille convoquée par les gendarmes.
La mairie de la commune a déposé une plainte pour "violence scolaire à l'école" à l'encontre de cet enfant handicapé, rapporte France Bleu Poitou ce lundi 23 décembre. "Cette plainte est immonde", s'est indignée Vanessa.»
[...]
«L'enfant temporairement retiré de l'école
Les services départementaux de l'Education nationale expliquent avoir organisé depuis 2018 plusieurs réunions avec les parents de l'enfant, son enseignante, ainsi qu'avec un enseignant spécialisé et une psychologue du Réseau d'aides aux élèves en difficulté (Rased). À la rentrée 2019, alors que les problèmes de comportement ont repris, une notification a été faite par la MDPH pour bénéficier d'un accompagnant d'élèves en situation de handicap (AESH) à temps plein. Mais suite à de nouveaux soucis à l'école, le directeur académique de la Vienne a prononcé un retrait temporaire de scolarisation jusqu'aux vacances de Noël pour apaiser la situation.
Le rectorat précise que "durant toute cette période, l'enfant a bénéficié du dispositif des Services d'assistance pédagogique à domicile (Sapad), destinés à fournir aux enfants et adolescents atteints de troubles de la santé une prise en charge à la maison, l'objectif étant de ne pas rompre les apprentissages."
La famille envisage de déménager
Depuis le dépôt de la plainte, la mère de famille a inscrit son garçon dans une autre commune environnante. Le rectorat a facilité ce changement d'établissement scolaire de l'enfant "pour lui permettre un nouveau départ". Un allègement du temps scolaire a également été décidé afin de "prendre en considération ses besoins particuliers et laisser le temps nécessaire aux soins." De son côté, Vanessa songe désormais à déménager. "Comment être bien dans un village où la maire porte plainte contre son enfant de 5 ans et demi ?
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francetvinfo |
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Enquete Handifaction : adapter l'offre de soins aux besoins des patients en situation de handicap | Agence regionale de sante Nouvelle-Aquitaine |
21/12/2019 |
«Le questionnaire Handifaction vise à recueillir l'expérience vécue par les usagers en situation de handicap dans leur parcours de soin. Pour nous aider à améliorer la qualité et l'accessibilité aux soins, toute personne avec un handicap peut répondre au questionnaire après une visite médicale.
Comment participer ? Toute personne avec un handicap désirant participer peut remplir le questionnaire à la suite d’une visite médicale, d’une intervention ou tous les deux mois.»
[...]
«Les 18 questions sont rédigées au format FALC (Facile à Lire et à Comprendre) notamment adapté à un large public souffrant de handicap mental. L’enquête est accessible via le lien ci-dessous ou depuis l’application gratuite.
Votre participation reste entièrement anonyme, pour vous et pour les établissements et professionnels de santé évalués. Le but est de faire un constat de la situation en France pour permettre à chacun de s’améliorer, sans être incriminant.
Participer au questionnaire
Quel est l’objectif ?
Pouvoir recueillir les observations des usagers en situation de handicap.
Identifier les difficultés rencontrées afin de rechercher des solutions concrètes.
Evaluer les progrès réalisés depuis la signature de la Charte Romain Jacob
Obtenir des données chiffrées sur la prise en charge des personnes en situation de handicap.
Depuis le site Handifaction vous pouvez également consulter les résultats obtenus grâce aux autres participants.
Depuis le site Handifaction vous pouvez également consulter les résultats obtenus grâce aux autres participants.
Professionnels, établissements de santé, structures d’accompagnement : diffusez la campagne Handifaction !
Vous êtes un professionnel de santé soucieux de rendre l’accès aux soins accessible à tous ? En faisant connaitre le dispositif Handifaction, vous nous aidez à améliorer collectivement l’offre de soin aux personnes en situation de handicap.
Pour participer, n’hésitez pas à afficher nos supports dans vos locaux. Ils sont disponibles gratuitement dans la rubrique « Aller plus loin » ci-dessous.
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nouvelle-aquitaine.ars.sante |
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Autisme et troubles du neuro-developpement : un plan d'action pour ameliorer la qualite des formations des professionnels de sante - Secretariat d'Etat aupres du Premier ministre charge des Personnes handicapees |
18/12/2019 |
«L'Agence nationale du développement professionnel continu (ANDPC) et la Délégation interministérielle Autisme et troubles du neuro-développement (TND) ont construit ensemble un plan d'action pour « changer d'échelle »1 en matière de formation des professionnels de santé. Les deux organisations partagent le même constat : la responsabilité accrue des professionnels de santé dans le repérage, le diagnostic et l'accompagnement des personnes présentant ces troubles imposent un renforcement de la qualité des formations.
Formations qui sont autant de leviers de diffusion des données de la science et des bonnes pratiques. Concrètement, mieux les professionnels sont formés :
• plus leurs pratiques respectent les recommandations de la Haute Autorité de Santé (HAS), - plus leurs compétences reflètent les dernières connaissances en matière de prise en charge et d'accompagnement, - plus ils sont en capacité de déclencher une prise en charge précoce qui permettra de modifier positivement la trajectoire de développement d'un enfant.»
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Ce plan commun d’actions s’articule autour de quatre axes de travail :
1. Une formation des équipes de l’Agence et des membres des commissions scientifiques indépendantes leur permettant une plus grande pertinence dans l’analyse et l’évaluation de l’offre de développement professionnel continu (DPC) dans le champ des TND.
Les équipes de l’Agence comme les membres des commissions scientifiques indépendantes seront accompagnées et formées dans l’analyse des offres de formations. La grille d’évaluation des actions relatives à l’autisme et aux TND sera adaptée pour intégrer des critères spécifiques.
2. Un partenariat pour améliorer le contrôle des formations : la Délégation interministérielle va constituer un groupe d’experts sur lequel les équipes de l’Agence pourront s’appuyer pour la réalisation de leurs missions : analyse des offres de formations qui leur sont présentées et contrôle a posteriori.
3. Un renforcement des exigences en direction des organismes de formation : les critères d’enregistrement des organismes de DPC proposant des actions sur les TND seront renforcés par des critères spécifiques.
4. Un développement de l’offre de formations via des appels d’offres : le premier appel d’offres en 2020 concernera le repérage précoce pour la formation des médecins de première ligne (généralistes et pédiatres). D’autres appels d’offres seront mis en œuvre concernant la prise en charge et l’accompagnement interprofessionnel et pourront associer l’ANFH comme l’OPCO santé.
Au 31 octobre 2019, 128 actions de DPC relatives aux troubles du spectre de l’autisme (TSA) et aux TND ont été publiées sur le site de l’Agence nationale du DPC. Elles sont destinées à différentes catégories de professionnels de santé (aides-soignants, ergothérapeutes, infirmiers, médecins orthophonistes, orthophonistes, …), qu’ils soient libéraux ou salariés.
Le DPC est un dispositif de maintien des compétences destiné aux professionnels de santé. L’obligation de DPC concerne l’ensemble des professionnels de santé de France, tous modes d’exercice confondus (soit 1,7 million de professionnels de santé en France). Chaque professionnel de santé doit participer à un programme tous les 3 ans et a au moins deux types d’action de DPC : d’une part, la formation continue ; d’autre part, la démarche d’évaluation des pratiques professionnelles et de gestion des risques.
http://autisme.gouv.fr/
https://www.agencedpc.fr/
1Stratégie nationale pour l’autisme au sein des troubles du neuro-développement. P15
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handicap.gouv |
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Vidéo - Numerique et handicap |
17/12/2019 |
«L'objectif de cette conférence est d'offrir de nouvelles formes d'apprentissages avec le numérique, basées sur une présentation d'un ensemble de ressources, de logiciels, de sites référencés, permettant la construction de parcours individualisés, adaptés aux besoins de tous les élèves -y compris en situation de handicap ou de troubles DYS. Patrice Renaud : « Une ressource numérique adaptée favorise l'apprentissage de TOUS. Epurer un document pour l'adapter à un élève, c'est pour l'enseignant l'occasion de cibler davantage le contenu et les objectifs, le savoir à acquérir, ce qui profite in fine à tous les élèves ».»
[...]
« Pertinence des outils numériques pour les élèves en situation de handicap : quels outils, quelles ressources, quelles adaptations ?
Comment sensibiliser les enseignants à une meilleure prise en charge des élèves en situation de handicap invisible.
Comment les accompagner ?
Comment aider les enseignants à mieux comprendre les difficultés des élèves présentant des troubles spécifiques du langage et des apprentissages ?
Garantir l’égalité des chances pour ces élèves ?
Accompagnement, développement, diffusion
Quelques exemples :
Aide matérielle, un clavier adapté, avec ou sans cache, le clavier virtuel, les souris ou joysticks adaptés, les commandes par mouvements de tête ou oculaires…
Des assistants vocaux, des synthèses vocales...
Des logiciels pour tracer des figures, pour faciliter la lecture de texte pour les élèves dys…
Élèves porteurs d’autisme : apprendre et mesurer les apprentissages, rendre les élèves plus autonomes, les accompagner dans la compréhension de leur environnement, la reconnaissance des émotions… Robotique pédagogique : conférence de Jérôme DINET.
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jane |
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Periscolaire : c'est a l'Etat de prendre en charge l'AVS |
16/12/2019 |
«C'est un sujet que je suis depuis des années, car des parents de mon coin (Plabennec - Finistère) ont saisi à plusieurs reprises avec succès le tribunal administratif. Le principe est que c'est à l'Etat de financer les accompagnements d'élèves en situation de handicap dans les temps d'activités périscolaires.
Cela a été jugé pour la cantine et les TAP (temps d'activités péri-scolaires), mais cela a été exclu pour les garderies.»
[...]
«Le Ministre a semblé l'admettre devant les parlementaires pour la cantine, mais le conflit continue sur le plan judiciaire. Le Ministre a fait appel des arrêts de la Cour Administrative d'Appel de Nantes.
En témoigne cet arrêt de la Cour Administrative d'Appel de Bordeaux, daté du 5 novembre 2019, suite à un recours de la mairie de Dax.Elle remarque notamment :
11. En l'espèce, il ressort des pièces du dossier que, par sa décision du 7 juillet 2015, la CDAPH des Landes avait accordé à l'enfant concernée, pour la période du 1er septembre 2015 au 31 juillet 2016, un temps d'accompagnement par un AVS intervenant à titre individuel à raison de 9 heures par semaine de temps scolaire et de 2 heures hebdomadaires de temps périscolaire. Elle avait précisé que les difficultés de l'enfant justifiaient cet accompagnement " pour les activités de la vie sociale et relationnelle " et " l'accès aux activités d'apprentissage ". Cette décision du 7 juillet 2015 de la CDAPH avait ensuite été transmise à la direction académique des services départementaux de l'éducation nationale, chargée de la mise en œuvre de cet accompagnement pour le temps scolaire et périscolaire, au titre de l'aide individuelle à l'inclusion scolaire ainsi prescrite par la CDAPH compte tenu des difficultés de l'enfant.
12. Ainsi, en rejetant la demande dont il était saisi par le maire de Dax tendant à la mise en œuvre de ces prescriptions, pour le double motif tiré de ce que le temps périscolaire, qui n'est pas du temps de scolarisation, n'entrerait pas dans le périmètre d'intervention des AVS et que, de manière générale, il incombe aux collectivités territoriales de prendre en charge la rémunération des accompagnants intervenant aux titres des activités périscolaires, sans prendre en considération la spécificité de la situation de l'enfant concernée et sans tenir compte des motifs figurant dans la décision de la CDAPH, le DASEN des Landes a fait une inexacte application des dispositions précitées des articles L. 111-1, L. 112-1, L. 351-3 et L. 917-1 du code de l'éducation
La commune de Dax avait demandé au tribunal administratif de Pau d'annuler la décision du 24 novembre 2015 par laquelle le directeur académique des services départementaux de l'éducation nationale des Landes avait refusé la prise en charge financière des assistants de vie scolaire accompagnant un enfant handicapé pendant le temps périscolaire. Le tribunal administratif avait rejeté la demande, mais la Cour Administrative d'Appel l'a acceptée.
Cela va dans le même sens que le juge des référés du Conseil d'Etat et la Cour Administrative d'Appel de Nantes.
C'est bien à l'Etat d'assurer financièrement l'accompagnement des élèves en situation de handicap dans les activités périscolaires. C'est ce que précise la Cour (point 9)
Toutefois, l'organisation de la restauration scolaire ne saurait, quand bien même elle présenterait pour une commune un caractère facultatif, être assimilée aux activités éducatives, sportives et culturelles visées par ces dispositions. Au demeurant, l'accès adapté à ces prestations pour les enfants en situation de handicap se distingue de l'organisation matérielle du service de restauration. Enfin, ces dispositions n'imposent pas que la collectivité bénéficiaire d'une mise à disposition en assure, dans tous les cas, le financement. Par suite, elles ne sauraient faire obstacle à ce que soit reconnue la responsabilité de l'Etat dans l'accompagnement des élèves handicapés dans tous les aspects nécessaires à leur inclusion dans l'école. La circonstance qu'il existerait un fonds " publics et territoires " susceptible d'aider ponctuellement les collectivités à investir dans le développement d'activités accessibles aux enfants en situation de handicap est, à cet égard, sans incidence.
Le fonds "publics et territoires" est géré par les CAF. L'existence de ce fonds est utilisé pour essayer d'échapper au financement des AVS pendant les activités périscolaires.
C'est bien à l'Etat d'assurer ce financement, qui permet la scolarisation des enfants handicapés "dans tous les aspects nécessaires à leur inclusion dans l'école"..
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blogs.mediapart |
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Predictors of Trauma Exposure and Trauma Diagnoses for Children with Autism and Developmental Disorders Served in a Community Mental Health Clinic | SpringerLink |
15/12/2019 |
«Abstract Exposure to potentially traumatic events (PTEs), and trauma related diagnoses are poorly understood in autism spectrum disorders (ASD) and developmental disabilities (DD). The current study examined N=7695 cases seen by a community mental health provider to compare exposure to PTEs and trauma-related diagnoses between children with ASD, children with DD, and children with other mental health diagnoses (e.g., depression). Predictors included demographics, exposure to negative life events, living situations, and subscales of the strengths and difficulties questionnaire (SDQ). Logistic regressions showed that diagnostic group, number and type of negative life events and locations lived, and SDQ subscale scores predicted trauma reports and trauma diagnoses.
The findings suggest screener questions that may be useful across diagnostic groups.»...
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link.springer |
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Ecoliere trisomique defenestree : prison avec sursis requise contre l'institutrice - Le Parisien |
12/12/2019 |
«« Trois minutes d'absence. Trois de trop...¦ Je m'en voudrai toute ma vie », sanglote Elisabeth Jaccard. Enseignante et directrice de l'école privée du Sacré-Coeur à Périgueux, en Dordogne, cette quadragénaire était jugée ce mardi par le tribunal correctionnel d'Angoulême (Charente-Maritime) pour homicide involontaire.
Le 8 janvier 2015, peu avant midi et profitant d'un instant d'inattention, un garçon de 8 ans défenestrait Laly, une fillette du même âge atteinte d'une trisomie 21. Tombée de 5,75 m de haut, la victime succombait le lendemain de ses blessures au CHU de Bordeaux.»...
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leparisien |
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« L'inclusion a l'ecole, c'est du gagnant-gagnant » |
11/12/2019 |
«A l'occasion de la Journée internationale du handicap, Olivier Cottet, inspecteur d'académie, directeur académique des services départementaux de l'Education nationale de Moselle, et Anne Padier-Savouroux, inspectrice de l'Education nationale en charge de l'école inclusive, ont visité le collège Louis-Armand, et notamment son dispositif Unité localisée pour l'inclusion scolaire.
Pour terminer, un petit rappel : en Moselle, il y a 970 écoles, 90 collèges, 37 lycées, 183 000 élèves et 20 000 professeurs.»
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«« Le message que l’on veut porter sur un plan départemental, c’est qu’on est pleinement dans le concept de l’école inclusive. On a sur le département environ 6 300 élèves qui sont reconnus en situation de handicap. Le message que je veux passer est que l’on se trompe sur l’idée que notre système ne serait pas inclusif. Sur ces 6 300 élèves, 49 % sont en classe parfaitement ordinaire. 33 % des élèves sont en inclusion. Ce que l’on a vu aujourd’hui est typique de ce que l’on souhaite. Leur handicap est pris en compte, on n’est pas là pour les mettre en situation de mal-être… Et on a 18 % qui sont en unité d’enseignement en établissement médico-social. Ici, au collège Louis-Armand, on a le spectre complet de ce que l’on peut proposer aux élèves en situation de handicap. On est dans le cas de troubles des fonctions cognitives. On a 100 classes Ulis dans les écoles élémentaires et 71 dans les collèges et lycées. Cela permet aussi aux autres élèves de découvrir la différence et de se construire avec la différence des autres. Dans tous les cas de figure, cette politique d’inclusion, c’est du gagnant-gagnant pour tous les élèves. On pratique une inclusion dans l’intérêt des élèves. Un autre point en ce qui concerne l’accompagnement des élèves. Sur 5 000 élèves, 2 128 bénéficient de l’accompagnement humain. Sur ce nombre, 75 % bénéficient de l’aide d’une personne pour plusieurs élèves. Pour un élève, la disparition de l’accompagnement humain peut être considérée comme une victoire. Cela signifie qu’il n’en a plus besoin, qu’il a gagné la conquête de l’autonomie. »
Pour terminer, un petit rappel : en Moselle, il y a 970 écoles, 90 collèges, 37 lycées, 183 000 élèves et 20 000 professeurs.
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republicain-lorrain |
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Autisme : l'appel d'une mere a Emmanuel Macron |
04/12/2019 |
«Brigitte Macron le répétait il y a encore quelques jours, en visitant à Amiens une unité d'enseignement en maternelle pour enfants autistes : "Ce sujet est une priorité je fais remonter au plus haut", a assuré la première dame.
Et pourtant, une lettre remise directement au Président Emmanuel Macron attend toujours une réponse. Camille Marc, jeune maman d'un enfant autiste de 5 ans, a écrit au chef de l'Etat pour faire part de son problème.
Ça fait deux ans qu'elle se débat. Elle est au chômage, elle doit dépenser 1.000 euros par mois pour aider son petit garçon et elle n'y arrive plus. "On vous donne 800 et quelques euros, 880, et avec cet argent là, il faut payer des prises en charge qui peuvent monter jusqu'à 500 euros voire plus par mois.
Et compenser votre perte de salaire parce que vous ne pouvez pas travailler. Donc moi aujourd'hui, je n'ai plus d'argent." Elle ajoute : "J'aimerais savoir où est le plan autiste, j'aimerais savoir où elles sont les promesses de monsieur Macron parce que Monsieur Macron, il y a un peu plus d'une semaine, dans votre poche vous avez glissé mon courrier, parce qu'on s'est débrouillé pour qu'à Amiens quelqu'un vous remette ce courrier pour vous alerter, pour vous dire qu'on allait à la catastrophe.
Ça fait deux ans que j'écris à vos services pour alerter. Moi je suis juste une maman, une maman d'un enfant autiste, et je veux juste qu'il ait un avenir."»
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«"Le parcours du combattant"
Elle ajoute : "J'aimerais savoir où est le plan autiste, j'aimerais savoir où elles sont les promesses de monsieur Macron parce que Monsieur Macron, il y a un peu plus d'une semaine, dans votre poche vous avez glissé mon courrier, parce qu'on s'est débrouillé pour qu'à Amiens quelqu'un vous remette ce courrier pour vous alerter, pour vous dire qu'on allait à la catastrophe. Ça fait deux ans que j'écris à vos services pour alerter. Moi je suis juste une maman, une maman d'un enfant autiste, et je veux juste qu'il ait un avenir."
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rtl |
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Handicap : un pole pour l'inclusion en vue |
01/12/2019 |
«Une nouvelle rencontre autour de la construction du Pôle ressources pour l'inclusion (non temporaire), a eu lieu à la salle des fêtes de Rosnay, vendredi 29 novembre, en présence des professionnels du secteur du loisirs ou de l'enfant, au PNR de la Brenne.
Sébastien Rigaud, responsable du pôle culture et éducation (PNR), Ludivine Brégeon, chargée de mission santé (PNR), étaient entourés de plusieurs représentants de structures et associations.
Les participants se sont présenté les uns aux autres Au cours d’un atelier animé par Christelle Viaud (pôle musique PNR), et un débat par l’association Kaleïdoscope en présence de l’association Éthique 36, les participants ont pu faire un partage d’expériences et d’outils.»
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«Estelle Sauret, chargée de communication au PNR, a expliqué : « On se retrouve un an après la restitution d’une étude sur le handicap, confiée au cabinet d’étude CREAI. Tout ce qui a été construit – comme une exposition avec les différentes structures, ce qu’elles ont fait autour du handicap – a abouti à quinze projets. Ont travaillé ensemble l’école municipale de musique du Blanc proposant un atelier inclusif, l’IME Atout Brenne, l’association Affiche la couleur (liens parents-enfants) avec de nombreux partenaires locaux, tel que la Mas de Lureuil. Dans ce projet de pôle qui a pris racine en 2016, le PNR résonne comme une structure collective, à savoir que les parents sont représentés avec Affiche la couleur, les professionnels du handicap par Atout Brenne, la troisième tête étant le PNR avec les élus et les animations. »
Au cours d’un atelier animé par Christelle Viaud (pôle musique PNR), et un débat par l’association Kaleïdoscope en présence de l’association Éthique 36, les participants ont pu faire un partage d’expériences et d’outils.
Projet collectif auquel participent au sein du PNR et des CDC Cœur de Brenne, et Brenne Val de Creuse, nombreux acteurs tels le cinéma Studio République, la Maison des apprentissages, la Maison de l’enfance, le RAM, la MSA, acteurs des écoles et les associations de la FOL tels le RBIJ, l’IME Atout Brenne, la Mas de Lureuil, l’EMM blancoise.
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lanouvellerepublique |
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Sleep Promotes Phonological Learning in Children Across Language and Autism Spectra. - PubMed - NCBI |
29/11/2019 |
«Abstract Purpose Establishing stable and flexible phonological representations is a key component of language development and 1 which is thought to vary across children with neurodevelopmental disorders affecting language acquisition.
Sleep is understood to support the learning and generalization of new phonological mappings in adults, but this remains to be examined in children. This study therefore explored the time course of phonological learning in childhood and how it varies by structural language and autism symptomatology.
Method Seventy-seven 7- to 13-year-old children, 30 with high autism symptomatology, were included in the study; structural language ability varied across the sample. Children learned new phonological mappings based on synthesized speech tokens in the morning; performance was then charted via repetition (without feedback) over 24 hr and followed up 4 weeks later.
On the night following learning, children's sleep was monitored with polysomnography. Results A period of sleep but not wake was associated with improvement on the phonological learning task in childhood.
Sleep was associated with improved performance for both trained items and novel items. Structural language ability predicted overall task performance, though language ability did not predict degree of change from 1 session to the next.
By contrast, autism symptomatology did not explain task performance. With respect to sleep architecture, rapid eye movement features were associated with greater phonological generalization.
Conclusions Children's sleep was associated with improvement in performance on both trained and novel items. Phonological generalization was associated with brain activity during rapid eye movement sleep.
This study furthers our understanding of individual differences in the acquisition of new phonological mappings and the role of sleep in this process over childhood»...
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ncbi.nlm.nih |
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Arrete du 23 octobre 2019 fixant le cahier des charges des contenus de la formation continue specifique des accompagnants d'eleves en situation de handicap concernant l'accompagnement des enfants et adolescents en situation de handicap prevu a l'article L. 917-1 du code de l'education | Legifrance |
28/11/2019 |
«Le ministre de l'éducation nationale et de la jeunesse, Vu le code de l'éducation, notamment son article L. 917-1 ; Vu le décret n° 2014-724 du 27 juin 2014 modifié relatif aux conditions de recrutement et d'emploi des accompagnants des élèves en situation de handicap ; Vu l'avis du comité technique ministériel de l'éducation nationale du 17 septembre 2019, Arrête : Article 1 En savoir plus sur cet article... Le cahier des charges des contenus de la formation continue spécifique concernant l'accompagnement des enfants et adolescents en situation de handicap mentionné au 5e alinéa de l'article L. 917-1 du code de l'éducation est fixé conformément à l'annexe du présent arrêté.»
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« ANNEXE
CAHIER DES CHARGES RELATIF AUX CONTENUS DE LA FORMATION CONTINUE SPÉCIFIQUE DES ACCOMPAGNANTS D'ÉLÈVES EN SITUATION DE HANDICAP (AESH) CONCERNANT L'ACCOMPAGNEMENT DES ENFANTS ET ADOLESCENTS EN SITUATION DE HANDICAP AVEC L'OBJECTIF D'AMÉLIORER LA PRISE EN COMPTE DES BESOINS ÉDUCATIFS PARTICULIERS DES ÉLÈVES ET D'ACCOMPAGNER LES PROFESSIONNELS QUI LEUR SONT DÉDIÉS, LE PRÉSENT CAHIER DES CHARGES PRÉSENTE LES AXES DE LA FORMATION CONTINUE SPÉCIFIQUE DES AESH EN MATIÈRE D'ACCOMPAGNEMENT DES ÉLÈVES EN SITUATION DE HANDICAP
1. Objectifs poursuivis
La formation continue spécifique de ces agents concernant la prise en charge des enfants en situation de handicap poursuit trois objectifs complémentaires :
1. Le développement des compétences liées à l'accompagnement des élèves en situation de handicap ;
2. Le développement des compétences liées à la prise en compte des besoins éducatifs particuliers ;
3. Le renforcement de la coopération entre les acteurs (AESH, professeurs, personnes intervenants auprès de l'élève) au service de l'école inclusive.
2. Dispositifs de formation
Les actions de formation poursuivant les objectifs précédemment cités sont déployées dans le cadre des plans de formation académiques ou départementaux, des formations d'initiatives locales (FIL), des modules d'initiative nationale (MIN) ou de formations partenariales.
En outre, les AESH ont accès à la plateforme numérique nationale Cap école inclusive qui leur permet de mobiliser des ressources dédiées à l'accompagnement des élèves en situation de handicap.
3. Méthode
Les lignes directrices des actions de formation continue proposées aux AESH prennent la forme d'un document national d'orientation relatif à la formation à une école inclusive. Ces lignes directrices sont actualisées en tant que de besoin pour favoriser l'adaptation de la formation aux besoins des agents.
Les services académiques veillent :
• au déploiement de l'offre de formation répondant aux objectifs fixés dans le présent cahier des charges ;
• à la mise en place d'actions de formation ouvertes à la fois aux AESH mais aussi aux professeurs ;
• à l'effectivité de l'accès des AESH à la formation continue et à la plateforme numérique nationale Cap école inclusive.
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legifrance.gouv |
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Digit-tracking as a new tactile interface for visual perception analysis |munications |
27/11/2019 |
«Abstract Eye, tracking is a valuable tool in cognitive science for measuring how visual processing resources are allocated during scene exploration. However, eye-tracking technology is largely confined to laboratory...based settings, making it difficult to apply to large-scale studies.
Here, we introduce a biologically...inspired solution that involves presenting, on a touch...sensitive interface, a Gaussian...blurred image that is locally unblurred by sliding a finger over the display.
Thus, the user's finger movements provide a proxy for their eye movements and attention. We validated the method by showing strong correlations between attention maps obtained using finger-tracking vs.
conventional optical eye...tracking. Using neural networks trained to predict empirically...derived attention maps, we established that identical high...level features hierarchically drive explorations with either method.
Finally, the diagnostic value of digit...tracking was tested in autistic and brain...damaged patients. Rapid yet robust measures afforded by this method open the way to large scale applications in research and clinical settings.»...
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nature |
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Inclure les enfants porteurs de handicap |
23/11/2019 |
«L'association Inclusion Enfants Handicaps Sellois (IEHS) s'est réunie récemment pour tenir son assemblée générale au CLE de Selles-sur-Cher en présence d'élus et de Michelle Gauthier, adjointe aux associations.
IEHS est une association selloise créée le 8 mars dernier. Elle oeuvre pour l'inclusion des enfants porteurs de handicap du département de Loir-et-Cher par le biais de sorties pédagogiques, culturelles, artistiques et sportives (football adapté : cécifoot, etc.). IEHS intervient également dans la mise en accessibilité, notamment en veillant à faire respecter la conformité des places PMR (personnes à mobilité réduite). Ses actions portent également sur la lutte contre les discriminations liées au handicap et offre un soutien administratif et psychologique aux familles en proposant des formations et conférences dans les écoles mais également auprès des équipes éducatives et du grand public.
Un agrément avec l'éducation nationale est en cours et un partenariat avec les acteurs de santé devrait voir le jour. En effet, l'association souhaite faire mettre en place un protocole d'accueil hospitalier pour les personnes avec autisme, TSA, dans les structures hospitalières du département.»
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«« Nous sommes en recherche active de bénévoles pour accompagner en sortie les enfants porteurs de tous handicaps (troubles du comportement, autisme, handicaps physiques, etc.). Aucune compétence autre que l’empathie est nécessaire, les formations sont assurées par l’association. Si vous souhaitez vous investir pour aider ces enfants à accéder à la culture, à l’art et au sport, n’hésitez donc pas à prendre contact », indique la présidente.
Le nouveau bureau est constitué de Déborah Goyvaerts (presidente) et de Romain Roux (trésorier).
Pour tous renseignements : contacter la présidente au 06.98.54.11.95
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lanouvellerepublique |
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Pre- and Paralinguistic Vocal Production in ASD: Birth Through School Age | SpringerLink |
21/11/2019 |
«Abstract Purpose of Review We review what is known about how pre-linguistic vocal differences in autism spectrum disorder (ASD) unfold across development and consider whether vocalization features can serve as useful diagnostic indicators.
Recent Findings Differences in the frequency and acoustic quality of several vocalization types (e.g., babbles and cries) during the first year of life are associated with later ASD diagnosis.
Paralinguistic features (e.g., prosody) measured during early and middle childhood can accurately classify current ASD diagnosis using cross-validated machine learning approaches.
Summary Pre-linguistic vocalization differences in infants are promising behavioral markers of later ASD diagnosis. In older children, paralinguistic features hold promise as diagnostic indicators as well as clinical targets.
Future research efforts should focus on (1) bridging the gap between basic research and practical implementations of early vocalization-based risk assessment tools, and (2) demonstrating the clinical impact of targeting atypical vocalization features during social skill interventions for older children.»...
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link.springer |
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Adrien Taquet : ''On se veut un peuple eclaire, et on accepte que nos enfants vivent des situations intenables'' |
20/11/2019 |
«Adrien Taquet rappelle la situation des enfants en France. " On se veut un peuple éclairé, et on accepte que nos enfants vivent des situations intenables".
• 130 000 enfants subissent des violences sexuelles - 1 enfant meurt tous les 5 jours sous les coups de ses parents - la moitié des enfants tués sont des enfants qui étaient déjà suivis par les services sociaux - 6% de la population française et ou a été victime d'inceste - 10 000 enfants sont victimes de prostitution infantile (pas des enfants de migrants) - 700 000 enfants victimes de harcèlement scolaire - l'exposition à la pornographie concerne 50% des moins de 12 ans Les chiffres sont froids mais je les répète systématiquement, et ces situations devraient faire la une des journaux @AdrienTaquet : "On aime se voir comme un peuple avancé, éclairé, et pourtant on accepte encore que nos enfants vivent une situation insupportable."»...
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franceinter |
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Pour les droits de l'enfant, Adrien Taquet devoile 22 mesures | Le Huffington Post |
20/11/2019 |
«POLITIQUE - Il veut "libérer la parole" encore "enfouie" et "tue" au sein des familles: celle qui concerne les violences faites aux enfants. Aurélien Taquet, le secrétaire d'Etat en charge de la Protection de l'enfance dévoile ce mercredi 20 novembre le plan gouvernemental sur le sujet, à l'occasion de la journée internationale des droits de l'enfant.
De son côté, le président de la République Emmanuel Macron s'exprimera dans la matinée devant des jeunes et des acteurs du monde associatif. Il devrait notamment dévoiler certaines mesures du plan Taquet pour "en finir avec les violences faites aux enfants", qui prévoit 22 pistes.
"On aime se voir comme un peuple avancé, éclairé, et pourtant on accepte encore que nos enfants vivent une situation insupportable", a déploré Adrien Taquet ce mercredi sur France Inter, citant le chiffre de 130.000 enfants victimes chaque année de violences sexuelles.»
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« Accompagnement post-traumatique
Au-delà du volet prévention et détection, le plan gouvernemental prend aussi en charge la question du traitement des victimes et notamment des syndromes post-traumatiques. Pour ce faire, “un budget de 2 millions d’euros nouveau” est prévu en 2020 assure le secrétariat d’État afin de créer 5 projets sélectionnés de “prise en charge des psychotraumatismes”. C’est le Centre national de ressources et de résilience qui sera chargé de former les acteurs de cette prise en charge.
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huffingtonpost |
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Conseil d'Etat, 4eme - 1ere chambres reunies, 08/11/2019, 412440 | Legifrance |
19/11/2019 |
«Résumé : 17-03-01-02 ll résulte des articles L. 146-3, L. 146-4, L. 146-9, L. 241-6, L. 241-9 et R. 241-31 du code de l'action sociale et des familles (CASF) que les décisions mentionnées à l'article L. 241-9 prises par la commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées (CDAPH) sont susceptibles de recours devant l'autorité judiciaire, laquelle est également compétente pour connaitre d'éventuelles actions en responsabilité engagées, à l'encontre de la maison départementale des personnes handicapées (MDPH), groupement d'intérêt public, à raison de telles décisions.
30-01-03 Il résulte des articles L. 111-1, L. 112-1, L. 351-1 et L. 351-2 du code de l'éducation, d'une part, que, le droit à l'éducation étant garanti à chacun quelles que soient les différences de situation, et, d'autre part, que l'obligation scolaire s'appliquant à tous, les difficultés particulières que rencontrent les enfants handicapés ne sauraient avoir pour effet ni de les priver de ce droit, ni de faire obstacle au respect de cette obligation.
Ainsi, il incombe à l'Etat, au titre de sa mission d'organisation générale du service public de l'éducation, de prendre l'ensemble des mesures et de mettre en oeuvre les moyens nécessaires pour que ce droit et cette obligation aient, pour les enfants handicapés, un caractère effectif.
La carence de l'Etat dans l'accomplissement de cette mission est constitutive d'une faute de nature à engager sa responsabilité, sans que l'administration puisse utilement se prévaloir de l'insuffisance des structures d'accueil existantes ou du fait que des allocations compensatoires sont allouées aux parents d'enfants handicapés, celles-ci n'ayant pas un tel objet.»
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« ll résulte des articles L. 146-3, L. 146-4, L. 146-9, L. 241-6, L. 241-9 et R. 241-31 du code de l'action sociale et des familles (CASF) que la responsabilité de l'Etat ne saurait être recherchée à raison des décisions par lesquelles la commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées (CDAPH) se prononce sur l'orientation et l'accueil des personnes handicapées, dès lors que ces décisions sont prises au nom de la maison départementale des personnes handicapées.,,,2) CDAPH s'étant abstenue de désigner nominativement au moins un établissement adapté aux besoins d'une adolescente handicapée, compte tenu de l'orientation qu'elle avait décidée, sans que cette abstention soit imputable à une insuffisance de places dans les structures d'accueil existantes. Parents souhaitant que leur enfant soit accueillie dans un établissement, mais ayant refusé de signer le protocole d'accord soumis par cet établissement.,,,En jugeant qu'aucune carence ne pouvait, en l'espèce, être reprochée aux services de l'Etat, lesquels, ne tenaient d'aucun texte compétence pour prendre une décision d'orientation vers un établissement ou service donné à la place de la commission ou remettre en cause l'orientation décidée par celle-ci, ni pour imposer à l'établissement, après l'échec de la médiation entre les parents et la direction de celui-ci, d'accueillir leur enfant, la cour administrative d'appel n'a pas commis d'erreur de droit ni inexactement qualifié les faits de l'espèce.
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legifrance.gouv |
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Selon le Defenseur des droits, les institutions francaises sont violentes a l'egard des enfants |
18/11/2019 |
«Violentes à l'égard des enfants, les institutions publiques françaises ? C'est le constat, sévère, qui apparait à la lecture du rapport annuel du Défenseur des droits, rendu public lundi 18 novembre.
L'autorité administrative indépendante, dirigée par Jacques Toubon depuis 2014, a notamment la charge de veiller au respect de « l'intérêt supérieur de l'enfant », inscrit dans la Convention internationale des droits de l'enfant, dont la France est signataire, et qui fête ses 30 ans cette année.»
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«Violences ignorées ou banalisées
Il s’agit à la fois de manifestations de violence les plus facilement visibles (coups, brimades, déconsidération de la parole…), mais aussi celles invisibles, liées directement aux modes de fonctionnement des institutions et aux conditions de travail des professionnels. Ces derniers, souvent, manquent de formation et de soutien. L’accent est mis sur les violences entre enfants ou commises par des adultes sur les enfants, celles des enfants sur les adultes étant laissées de côté.
Il ressort que les institutions publiques, « malgré une progressive prise de conscience », ne se soucient pas suffisamment des violences commises en leur sein, qui peuvent être ignorées ou banalisées. « Nous constatons un décalage entre les droits proclamés et les droits réels, comme le droit à un niveau de vie suffisant, le droit à la santé, à l’éducation… », déplore auprès du Monde Geneviève Avenard.
Vingt-deux recommandations sont formulées pour réduire cet écart, la première étant de conduire un état des lieux de ces violences institutionnelles, afin de quantifier le phénomène et orienter les politiques publiques. Autre exemple, pour lutter contre l’usage qui perdure, dans certains établissements, des traitements humiliants et des châtiments corporels, est proposée l’inscription de leur interdiction dans le code de l’éducation et le code de l’action sociale et des familles.
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lemonde |
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Garde enfant handicape (CMG) : un coup de pouce de +30 % |
16/11/2019 |
«Depuis le 1er novembre 2019, le montant maximum du Complément de libre choix du mode de garde (CMG) est augmenté de 30 % pour les familles dont l'un des enfants bénéficie de l'allocation d'éducation de l'enfant handicapé (AEEH). Cette mesure, qui figure dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) 2019, a pour objectif de « favoriser la garde de tout-petits en situation de handicap » et « reconnait le surcout que peut représenter cette garde et ainsi d'assurer un meilleur revenu aux assistantes maternelles », a expliqué la secrétaire d'Etat au Handicap, Sophie Cluzel.
Près de 54% des parents d'un enfant porteur de handicap le gardent à domicile, contre 32% dans la population globale.»...
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informations.handicap |
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Autistic adults anticipate and integrate meaning based on the speaker's voice: Evidence from eye-tracking and event-related potentials. - PubMed - NCBI |
13/11/2019 |
«Abstract Typically developing (TD) individuals rapidly integrate information about a speaker and their intended meaning while processing sentences online. We examined whether the same processes are activated in autistic adults and tested their timecourse in 2 preregistered experiments.
Experiment 1 employed the visual world paradigm. Participants listened to sentences where the speaker's voice and message were either consistent or inconsistent (e.g., "When we go shopping, I usually look for my favorite wine," spoken by an adult or a child), and concurrently viewed visual scenes including consistent and inconsistent objects (e.g., wine and sweets). All participants were slower to select the mentioned object in the inconsistent condition.
Importantly, eye movements showed a visual bias toward the voice-consistent object, well before hearing the disambiguating word, showing that autistic adults rapidly use the speaker's voice to anticipate the intended meaning.
However, this target bias emerged earlier in the TD group compared to the autism group (2240 ms vs. 1800 ms before disambiguation). Experiment 2 recorded ERPs to explore speaker-meaning integration processes.
Participants listened to sentences as described above, and ERPs were time-locked to the onset of the target word. A control condition included a semantic anomaly. Results revealed an enhanced N400 for inconsistent speaker-meaning sentences that was comparable to that elicited by anomalous sentences, in both groups.
Overall, contrary to research that has characterized autism in terms of a local processing bias and pragmatic dysfunction, autistic people were unimpaired at integrating multiple modalities of linguistic information and were comparably sensitive to speaker-meaning inconsistency effects.»...
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ncbi.nlm.nih |
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Ecole et handicap : des accompagnants desabuses dans la Vienne |
12/11/2019 |
«La voix est tremblotante. Le coeur lourd. Sophie Lecourt, cheveux rouges et cuir épais sur le dos, porte son café à ses lèvres pour puiser un peu de courage : « Pourquoi nous maintenir dans cet état-là ? Comme si notre existence, notre travail n'avaient aucune sorte d'importance à leurs yeux.
» Ces yeux...¦ ceux de l'Education nationale dont cette accompagnante des élèves en situation de handicap (AESH) cherche définitivement le regard. Accompagnée de quelques collègues, la jeune femme décide de lever le voile sur la réalité d'une profession et sa part de galère.
" Certaines courent au burn-out " Salaires impayés, acomptes incomplets, manque de personnel et de moyens et craintes pour les enfants : la coupe est pleine. C'est la rentrée de septembre qui a agi comme la goutte de trop.
« La paie n'arrivait pas et même les contrats n'étaient toujours pas signés », constate Karine Bertrand qui exerce à Poitiers. Puis il y a eu cet acompte perçu le 5 octobre : 690 euros au lieu de 800. Pour Sophie, qui entame sa quatrième année en CDD à Migné, le quotidien se complique d'emblée avec ses trois enfants à charge»...
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lanouvellerepublique |
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Quand l'AVS n'est pas la, les parents sont pries de garder leurs enfants, c'est ca l'ecole inclusive? | HuffPost Life |
11/11/2019 |
«Quand l'AVS n'est pas la, les parents sont pries de garder leurs enfants, c'est ca l'école inclusive? Il y a des poignards sans lame. Il n'avait pas l'air dangereux. Ni acier, ni dent, ni éclat au soleil, ni pointes, rien de rien.
Juste un manche en bois. On aurait pu croire à un morceau de bois poli posé là. C'est un soir d'octobre, un vendredi, alors que la nuit ne s'annonçait pas encore, dans une salle de 4 mètres sous plafond et des tables en formica, que j'en ai rencontré un.»
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«"Monsieur Louise: votre fille a le droit d'aller à l'école, mais ce serait mieux pour l'Education nationale si vous ne faisiez pas jouer ce droit.
Ce serait mieux, quand son AVS n’est pas là, que vous la gardiez à la maison.
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huffingtonpost |
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Autistic adults thought they were 'bad people' | EurekAlert! Science News |
11/11/2019 |
«Many over-50s who were diagnosed with autism late in life had grown up believing they were bad people, according to a new study published in the journal Health Psychology and Behavioural Medicine.
Researchers from Anglia Ruskin University interviewed nine adults about their experiences of being diagnosed with autism in their 50s. The participants were aged between 52 and 54. As children, some participants recounted having no friends and being isolated from others, and as adults they could not understand why people treated them differently.
Several had been treated for anxiety and depression. Participants also highlighted the lack of support available to adults with a new diagnosis. It is thought to be the first study of its kind that examines the phenomenon of receiving a diagnosis exclusively in middle age.
Dr Steven Stagg, Senior Lecturer in Psychology at Anglia Ruskin University (ARU) and lead author of the study, said: "One aspect of the research I found heart-wrenching was that the participants had grown up believing they were bad people.
They referred to themselves as 'alien' and 'non human'. "The research also suggests that receiving a diagnosis in middle age can be positive. The participants often described it as a eureka moment that brought relief into their lives.
It allowed them to understand why others had reacted negatively towards them. "Clinicians and health workers need to be aware of the possible signs of autism. Often people are diagnosed with depression, anxiety or other mental health conditions and the autism is missed.
More work also needs to be done to support older people after they receive a diagnosis."»...
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eurekalert |
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